les salaires et bonus dans les entreprises publiques continuent d'agiter les esprits. rémunérer...

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  • 7/31/2019 Les salaires et bonus dans les entreprises publiques continuent d'agiter les esprits. Rmunrer lefficacit !

    1/4

    La pression fiscale en 2012Les prvisions du Bureau du plan indiquent que

    l'effort budgtaire se situe principalement au niveau

    des recettes. La pression fiscale augmente de 43,4%

    du PIB en 2011 45% en 2012. Autrement dit, les

    rformes socio-conomiques menes ne parviennent pas mettre les dpen-

    ses en ligne avec ce que la croissance conomique permet.

    >INFORFEBWWW.FEB.BE

    La newsletter pour dcideurs

    [ 18 MAI 2012 N 16 ]

    On entend de tout. crter les hauts salaires

    des entreprises publiques au niveau de la

    rmunration du Premier ministre. Ramener

    les rgimes de pension privs au niveau de la

    pension des plus hauts fonctionnaires. Bannir

    les bonus des entreprises publiques. mesure

    que les effets de la crise se font sentir et que

    les efforts demands chacun augmentent se

    dveloppe un terreau favorable des ides qui

    font vite leur chemin dans le grand public,

    mais sont inutilisables pour les gestionnaires

    et aboutissent des conflits striles. La

    matire fait lobjet daccords long terme qui

    ne peuvent tre remis en question selon lhu-

    meur du moment. Lorsque nous laborons une

    politique dans ce domaine dlicat, nous

    devons garder lesprit que nous sommes une

    petite conomie ouverte et le bon sens doit

    nous prserver de tout excs dans un sens

    comme dans lautre. Ainsi en est-il de la ques-

    tion de la rmunration dans les entreprises

    publiques. Le monde des entreprises a besoin

    dentreprises publiques efficaces et effi-

    cientes, diriges par des quipes de premier

    ordre.

    La rmunration des managers des entreprises

    publiques actives dans le secteur marchand

    doit invitablement se fonder sur des compa-

    raisons faites avec le march plutt que sur le

    salaire du Premier ministre ou de tout autre

    politicien. Les rfrences sur le march varie-

    ront dailleurs en fonction de la nature de

    lentreprise publique. Une administration

    autonome jouissant dun monopole absolu,

    une chane de tlvision confronte la

    concurrence ou une entreprise publique cote

    en bourse et risquant de perdre des parts de

    march ne recherchent pas les mmes profils

    de manager. Les secteurs sont eux aussi trs

    diffrents. Vu la complexit de ces rmunra-

    tions et la sensibilit du public leur gard, il

    sera essentiel demain plus qu'aujourd'hui

    de dfinir et de communiquer des principes et

    systmes in tempore non suspecto. On vite

    ainsi toute improvisation, ainsi quune partie

    de la critique. De plus, la presse et lopinion

    publique doivent accepter que les personnes

    sollicites pour tirer une institution d'embar-

    ras ou redresser la barre dun bateau la dri-

    ve doivent tre rmunres en consquence.

    Toutefois, il est souhaitable que les pouvoirs

    publics adaptent les comparaisons de march

    leur situation spcifique. Et ce pour deux

    raisons. Premirement, jai dj recommand

    (y compris pour le secteur priv) quon ne

    cde pas sans rflexion la pression la

    hausse inscrite dans les rapports et tableaux

    que nous servent les consultants.

    Deuximement, il est normal, comme lin-

    dique le professeur Xavier Baeten (Vlerick

    Leuven Gent Management School) dans sa

    thse (*), que les pouvoirs publics adoptent

    plutt les tranches infrieures des fourchettes

    salariales ressortant de ces comparaisons et

    optent pour une rmunration variable plus

    modeste. En effet, les pouvoirs publics doi-

    vent tre particulirement attentifs laccep-

    tabilit socitale de leurs paquets salariaux.

    Mais il faut aussi tre cohrent : lorsque len-

    treprise publique convient de limiter la partie

    variable de la rmunration et que les objec-

    tifs sont atteints, le paiement doit se faire cor-

    rectement, sans dclencher chaque fois un

    La rmunration variable attri-bue aux managers des entre-prises publiques rcompense-t-elle vraiment une amliorationradicale de lefficience en

    termes de cots ?

    > BUDGET > Le Bureau du plan pointe un niveau dedpenses structurelles trop lev

    PRVENTION DES RISQUES > Leadership et participationdes travailleurs

    PME > Le plan d'action de la ministre Laruelle

    HEBDOMADAIRE BUREAU DE DPT : SINT-NIKLAAS P409959

    LE CHIFFRE DE LA SEMAINE PINGLER

    Les salaires et bonus dans les entreprises publiquescontinuent d'agiter les esprits

    Rmunrer lefficacit !

    45%

    >

  • 7/31/2019 Les salaires et bonus dans les entreprises publiques continuent d'agiter les esprits. Rmunrer lefficacit !

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    Le 25 avril 2012, quelques jours aprs le lan-

    cement de la campagne biannuelle Ensemble

    pour la prvention des risques 2012-2013, le

    point focal belge de lAgence europenne pour

    la scurit et la sant au travail a organis un

    kick-off meeting pour attirer lattention sur le

    dbut de la campagne en Belgique. Celle-ci

    porte sur le double concept du leadership du

    management et de la participation des tra-

    vailleurs lamlioration de la scurit et de la

    sant au travail. Une grande offre de matriel

    (tudes de cas, publications, checklists, outils

    pratiques et matriel de promotion) est mise

    disposition gratuitement sur le site internet de

    la campagne (*). De plus, lAgence europen-

    ne a dvelopp un nouveau film Napo (Napodans Travailler ensemble) sur la collabora-

    tion. Vous pouvez le regarder sur le site Internet

    de Napo (**).

    Une politique de prvention ne peut tre

    fructueuse que si elle est soutenue par le

    management. Visibilit et leadership sont les

    moteurs de la politique. Il appartient prsent

    au monde des entreprises de montrer quil ne

    sagit pas l de mots creux. Cest pourquoi la

    FEB soutiendra cette campagne. Les fdra-

    tions et les entreprises, parties prenantesnationales, peuvent en orienter le cours.

    Kris De Meester [email protected]

    (*) http://www.healthy-workplaces.eu/fr/hw2012/

    (**) http://www.napofilm.net/fr/napos-films

    Voir aussi www.feb.be > Publications >

    Brochures gratuites > Pour une meilleure approche

    du risque. Une politique de prvention efficace

    PME

    Le plan d'action de laministre Laruelle

    En Belgique, la situation des PME n'est pas

    mauvaise, mais elles sont sous pression en rai-

    son de leur lien indissociable avec leurs homo-

    logues des autres pays de l'Union europenne.

    L'conomie belge devra, dans un futur proche,

    relever un certain nombre de dfis de taille,

    tels que le vieillissement de la population ain-

    si que la cration et la dcouverte d'un nou-

    veau potentiel de croissance. Telles taient les

    conclusions de Carole de Vergnies, conseillre

    Classes moyennes & PME au cabinet de la

    ministre Laruelle, lors de la runion de la

    Commission juridique de la FEB qui s'est tenue

    le 10 mai dernier. Elle a par ailleurs prcis

    que la ministre Laruelle entend, pendant cet-

    te lgislature, anticiper ces problmes au

    moyen d'une politique des PME en cinq points:

    (1) le financement des entreprises, (2) la sim-

    plification administrative, (3) le statut social

    des indpendants, (4) l'encouragement del'emploi dans les PME et (5) l'internationali-

    sation des PME. Via la mise en uvre de ces

    points d'action court terme, la ministre vise

    le rtablissement d'un climat favorable aux

    entreprises. Dans ce cadre, l'accent sera mis

    sur les engagements de l'accord gouverne-

    mental, tels que l'objectif d'une baisse de 30%

    >

    Les fdrationsd'employeurs des Balkans la FEB

    La FEB a reu le 9 mai dernier la visite des

    fdrations d'employeurs du Kosovo, d'Albanie,

    de Serbie, du Montngro, de Bosnie, de

    Croatie et de Macdoine. La rencontre tait

    place sous le signe du programme BOSMIP,

    qui prpare les fdrations patronales des

    futurs tats membres europens l'adhsion

    l'UE. Olivier Joris a donn un expos sur le

    fonctionnement de la FEB et sur l'importance

    des institutions internationales Bruxelles

    pour l'conomie locale et belge. Michle Claus

    a ensuite prsent le modle belge de concer-

    tation sociale. Celui-ci en particulier a donn

    lieu une sance de questions/rponses trs

    nourrie.

    Pieter-Jan Van Steenkiste [email protected]

    Peter Praet (BCE) la FEBLa FEB et ICC Belgique ont accueilli leur tri-

    bune Peter Praet, chief economist de la

    Banque centrale europenne (BCE). Celui-ci

    est revenu sur le fond et le contexte des inter-

    ventions de la BCE face la crise financire et

    aux dettes souveraines. Les coorganisateurs

    ont insist sur la ncessit de sauvegarder leu-

    ro et de mettre effectivement en uvre l'arse-

    nal rcemment adopt en vue de renforcer la

    discipline budgtaire et la convergence des

    politiques socio-conomiques en Europe. Ils

    ont galement point limportance du renfor-

    cement de la comptitivit de lEurope et deses entreprises.

    Olivier Joris [email protected]

    >

    >

    ACTION FEB

    >

    >

    Peter Praet, chief economist de la Banque centra-le europenne (BCE)

    dbat interminable. Mme dans une entrepri-

    se publique en difficult, une rmunration

    variable doit tre possible. Le tout est de dfi-

    nir les objectifs avec soin.

    Cest prcisment ce point qui pose question

    au monde des entreprises : la rmunration

    variable attribue aux managers des entre-

    prises publiques rcompense-t-elle vraiment

    une amlioration radicale de lefficience en

    termes de cots ? Cet objectif doit tre plus

    prpondrant que jamais lheure o chaque

    euro compte !

    RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DLGU

    (*) Un actionnariat majoritaire limite larmunration des CEO.

    PRVENTION DES RISQUES

    Leadership et participation des travailleurs

    >

  • 7/31/2019 Les salaires et bonus dans les entreprises publiques continuent d'agiter les esprits. Rmunrer lefficacit !

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    Le Bureau fdral du plan a publi ses prvisions conomiques pour la

    priode 2012-2017. Pour cette anne, il prvoit une croissance co-

    nomique de 0,1%. L'emploi va progresser lgrement (+7.800 units),

    mais la croissance de la population active restant plus rapide, le nombre

    de chmeurs continuera d'augmenter. Les prvisions du Bureau duplan intgrent pour la premire fois une valuation de l'impact exerc

    sur le budget par les mesures adoptes par le gouvernement fdral. La

    bonne nouvelle est que ces mesures sont apparemment suffisantes

    pour nous permettre de raliser cette anne notre objectif budgtaire

    de 2,8% du PIB. La moins bonne nouvelle est que les prvisions du

    Bureau du plan indiquent que l'effort se situe principalement au niveau

    des recettes. Ainsi, la pression fiscale augmente de 43,4% du PIB en

    2011 45% en 2012. En dpit des rformes socio-conomiques

    menes (p.ex. en matire de pensions, de chmage,), celles-ci ne par-

    viennent pas mettre les dpenses en ligne avec ce que la croissance

    conomique permet. Cela est d au fait que ces conomies sont tou-

    jours largement compenses par la forte hausse des dpenses de pen-sion (entre autres du fait du vieillissement et de l'enveloppe bien-tre)

    et des dpenses de sant (en raison, notamment, d'une norme se situant

    toujours un niveau trop lev, compte tenu de notre croissance co-

    nomique plus faible).

    D'ici 2015, le budget doit nouveau tre en quilibre. Le

    Bureau du plan montre quen matire de rformes socio-conomiques,

    il faut encore aller plus loin. Une nouvelle hausse de la pression fisca-

    le est en effet totalement inenvisa-

    geable pour un pays qui figure dj

    parmi les plus taxs. Gnrer des

    gains defficacit tous les niveauxde pouvoir doit galement constituer

    une priorit absolue.

    Bernadette Adnet [email protected]

    Geert Vancronenburg [email protected]

    des charges administratives, ainsi que sur les

    promesses en matire de stimulation de l'em-

    ploi et de promotion du climat d'investisse-

    ment et de dveloppement pour les

    entreprises. Pour activer le potentiel de crois-

    sance des PME, la ministre entend en outre

    sensibiliser ces dernires aux avantages de

    l'entrepreneuriat l'chelle internationale.

    Anneleen Dammekens [email protected]

    DIRECTIVE SERVICES

    Pour une transpositioncomplte et ambitieuse

    Une note rdige par la Commission euro-

    penne sur l'impact macro-conomique de la

    directive Services rvle que, depuis la date

    limite de mise en uvre de la directive en

    2009, son impact moyen sur le PIB est de

    +0,8%. Les conclusions font par ailleurs tat

    d'une influence significative sur les services

    transfrontaliers et les investissements tran-

    gers directs. En ce qui concerne la Belgique,

    la Commission value l'effet de cette directive

    sur le PIB +0,6%, alors que les exportations

    auraient augment de 3% et les importations

    de 2,3%. Dans notre pays, de nombreuses bar-

    rires subsistent dans certains secteurs.

    Vu l'importance du March intrieur

    des services pour la comptitivit et le poten-

    tiel de croissance de l'Union europenne, et

    pour l'achvement du March intrieur en

    gnral, la FEB plaide en faveur d'une trans-

    position complte et ambitieuse de la directi-

    ve Services. Celle-ci est dautant plus

    essentielle en raison de lampleur des

    changes et de l'interdpendance entre les ser-

    vices et l'industrie, et ce plus particulirement

    encore pour une petite conomie ouverte com-

    me la Belgique.

    Pieter-Jan Van Steenkiste [email protected]

    CONOMIE ETENVIRONNEMENT

    Fostplus, chanonessentiel de l'conomiecirculaire

    Fostplus est lorganisme priv qui prend en

    charge la promotion, la coordination et le

    financement des collectes slectives, du tri et

    du recyclage des dchets demballages mna-

    gers en Belgique. Financ par les producteurs

    demballage, Fostplus a russi son ambitieux

    pari : changer les modes de consommation des

    mnages belges en un peu moins de 20 ans.

    Avec des chiffres record de 91,7% de taux de

    recyclage et 95% de taux de valorisation,

    Fostplus a atteint sa phase de maturit. Dune

    tude comparative europenne, il ressort que

    Fostplus est le meilleur systme en termes

    d'optimisation des moyens. Il est un chanon

    essentiel de lconomie circulaire, c.--d. cet-

    te conomie en circuit ferm o les dchets

    sont rintgrs dans le circuit conomique

    comme matires premires. Lors de sa sance

    acadmique du 14 mai, Fostplus a accueilli

    Kurt Vandenberghe, chef de cabinet du

    Commissaire europen lEnvironnement,

    Janez Potocnik.

    Cette sance acadmique fut locca-

    sion, pour la FEB, de fliciter Fostplus pour ses

    rsultats. Ceux-ci sont la preuve que, lorsque

    le politique confie les rnes au secteur priv,

    il est non seulement possible daller trs loin,

    voire d'tre les meilleurs dEurope, mais aussi

    d'y parvenir au moindre cot.

    Isabelle Callens [email protected]

    >

    >

    BUDGET>

    Le Bureau du plan pointe un niveau de dpenses structurelles trop lev

    [INFOR

    FEB

    16

    18MAI2012

    ]

    Une nouvelle hausse de lapression fiscale est tota-lement inenvisageablepour un pays qui figuredj parmi les plus taxs.

  • 7/31/2019 Les salaires et bonus dans les entreprises publiques continuent d'agiter les esprits. Rmunrer lefficacit !

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    BELGIAN CONTACTCENTRE AWARDS

    Des 'caviars' pour lesmeilleures !

    La fdration professionnelle Contactcen-tres.be, affilie la FEB depuis lanne der-

    nire, promeut et dfend les intrts des

    centres de contact en Belgique. Le secteur,

    qui constitue lun des rares marchs en crois-

    sance en Belgique, a dcern le 10 mai 2012

    lEvent Brewery Bruxelles, pour la qua-

    trime fois, ses Caviars (anciennement

    Belgian Contact Centre Awards) aux entre-

    prises du secteur qui se sont distingues au

    cours de lanne coule. Aprs une rflexion

    acadmique du professeur Geert VanHootegem (K.U.Keuven) sur les principaux

    dfis pour lavenir, les prix ont t remis N-

    Allo, filiale dElectrabel, HP CDS, Randstad et

    TV Vlaanderen/TlSat en partenariat avec

    Unamic/HCN. Le duo de jurs Peeters&Pichal

    (Radio1), inspirateur de la Charter voor

    Klantvriendelijkheid, a dcern le Customer

    Experience Caviar Telenet. Le Contact

    Centre Ambassador Award a t remis Erwin

    Vanhoorne, conseiller clientle chez BNP

    Paribas Fortis.La FEB flicite la jeune fdration,

    qui fournit des services et collabore avec des

    entreprises de presque tous les autres sec-

    teurs affilis la FEB, pour son initiative posi-

    tive et tourne vers lavenir. Les efforts du

    secteur en faveur de la qualit, des nouvelles

    technologies et des nouveaux mdias, de

    lchange dexprience et de connaissance

    entre les diverses parties (centres de contact

    internes, fournisseurs de technologie, consul-

    tants et sous-traitants) profitent lensemblede lconomie belge.

    Kris De Meester [email protected]

    >

    FEB Fdration des Entreprises de Belgique ASBLrue Ravenstein 4 1000 Bruxelles tl. 02 515 08 11 fax 02 515 09 15

    RDACTION : Anne Michiels tl. 02 515 09 44 [email protected]

    Thrse Franckx tl. 02 515 09 50 [email protected]

    DITEUR RESPONSABLE : Charles Gheur rue Ravenstein 4 1000 Bruxelles

    PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes tl. 02 515 08 43 [email protected] PUBLICITAIRES : ADeMar bvba tl. 03 448 07 57 [email protected]

    CHANGEMENTS DADRESSE : FEB Service mailing tl. 02 515 09 06 fax 02 515 09 55 [email protected]

    COPYRIGHT : Reproduction autorise moyennant mention de la source

    LInfor est imprim sur du papier issu de la gestion durable des forts. La gestion durable des forts tient compte de l'cosyst-

    me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestiers*) et est

    responsable d'un point de vue conomique.

    DATE : 22 MAI 2012

    DATE : 31 MAI 2012

    DATE : 6 JUIN 2012

    DATES : 11, 18

    ET 25 JUIN 2012

    DATE :

    17 SEPTEMBRE 2012

    Comment trouver votre chemin parmi lesstandards RSE ?

    En collaboration avec Business & SocietyPour comprendre les implications concrtes que peuvent avoir lesdiffrents principes et lignes directrices pour votre entreprise etchoisir linstrument le plus adapt, rendez-vous le 22 mai pour

    un sminaire pratique et interactif.

    From bench to bedComment raliser un pont entre la recherche appliqueet la mdecine spcialise en Belgique et linterna-tional

    Une confrence sur les technologies mdicales organise par la FEB, HealthcareBelgium, Unamec et NCBME.

    Secteur priv et services publics : en concurrence ?Dans le cadre de Brussels MetropolitanCe sminaire a pour but d'identifier tant les nouveaux marchspotentiels pour les oprateurs privs dans des domaines relevant

    jusqu prsent de la sphre publique que les dfis lis la con-currence en provenance du secteur public sur des segmentsdactivits commerciaux.

    FEB Social Academy workshopsDialoguez mieux avec votre personnel pour atteindrevos objectifsEn cette priode d'incertitude conomique, impliquer son person-

    nel dans les objectifs de l'entreprise est un lment important de croissance.

    Forum FEBOuvrez vos perspectives : be international !

    Envie de dpasser les limites de votre pr carr pour entreprendre ?Le 17 septembre, le Forum FEB traverse les frontires et ouvre ledbat de linternationalisation des entreprises belges.

    Plus dinfos > www.feb > Manifestations & sminaires

    LIEU : FEB, BRUXELLES

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    LIEU : FEB, BRUXELLESINFO : ANNE COUDEYRE

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    17.09.2012

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