les prolégolèmes ibn khaldoun.pdf

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A propos de ce livre Ceci est une copie numérique d’un ouvrage conservé depuis des générations dans les rayonnages d’une bibliothèque avant d’être numérisé avec précaution par Google dans le cadre d’un projet visant à permettre aux internautes de découvrir l’ensemble du patrimoine littéraire mondial en ligne. Ce livre étant relativ ement ancien, il n’est plus protégé par la loi sur les droits d’auteur et appartient à présent au domaine public. L ’expression “appartenir au domaine public” signie que le livre en question n’a jamais été soumis aux droits d’auteur ou que ses droits légaux sont arrivés à expiration. Les conditions requises pour qu’un livre tombe dans le domaine public peuvent varier d’un pays à l’autre. Les livres libres de droit sont autant de liens avec le passé. Ils sont les témoins de la richesse de notre histoire, de notre patrimoine culturel et de la connaissance humaine et sont trop souvent difcilement accessibles au public. Les notes de bas de page et autres annotations en marge du texte présentes dans le volume original sont reprises dans ce chier, comme un souvenir du long chemin parcouru par l’ouvrage depuis la maison d’édition en passant par la bibliothèque pour nalement se retrouver entre vos mains. Consignes d’utilisation Google est er de travailler en partenariat avec des bibliothèques à la numérisation des ouvrages appartenant au domaine public et de les rendre ainsi accessibles à tous. Ces livres sont en effet la propriété de tous et de toutes et nous sommes tout simplement les gardiens de ce patrimoine. Il s’agit toutefo is d’un proj et coûteux. Par conséqu ent et en vue de pours uiv re la dif fusi on de ces ressour ces inépuis able s, nous avons pris les dispositions nécessaires an de prévenir les éventuels abus auxquels pourraient se livrer des sites marchands tiers, notamment en instaurant des contraintes techniques relatives aux requêtes automatisées. Nous vous demandons également de: +  Ne pas utiliser les chiers à des ns commerciales  Nous avons conçu le programme Google Recherche de Livres à l’usage des particuliers. Nous vous demand ons donc d’utiliser uniquement ces chi ers à des ns perso nnelles. Ils ne saur aient en effet être employé s dans un quelconque but commercial . +  Ne pas procéder à des req uêtes automatisées N’envo yez aucune requête automatisée quelle qu’elle soit au système Google. Si vous effectuez des recherches concernant les logiciels de traduction, la reconnaissance optique de caractères ou tout autre domaine nécessitant de disposer d’importantes quantités de texte, n’hésitez pas à nous contacter. Nous encourageons pour la réalisation de ce type de travaux l’utilisation des ouvrages et documents appartenant au domaine public et serions heureux de vous être utile. +  Ne pas supprimer l’attribution  Le ligrane Google contenu dans chaque chier est indispensable pour informer les internautes de notre projet et leur permettre d’accéder à davantage de documents par l’intermédiaire du Programme Google Recherche de Livres. Ne le supprimez en aucun cas. +  Rester dans la légalité  Quelle que soit l’utilisation que vous comptez faire des chiers, n’oubliez pas qu’il est de votre responsabilité de veil ler à respe cter la loi. Si un ouvr age appartient au domaine public américain, n’en déduise z pas pour autant qu’il en va de même dans les autres pays. La durée légale des droits d’auteur d’un livre varie d’un pays à l’autre. Nous ne sommes donc pas en mesure de répertorier les ouvrag es dont l’ut ilis ation est autori sée et ceux dont elle ne l’est pas. Ne croyez pas que le simple fait d’af cher un livre sur Google Recherche de Livres signie que celui-ci peut être utilisé de quelque façon que ce soit dans le monde entier. La condamnation à laquelle vous vous exposeriez en cas de violation des droits d’auteur peut être sévère. À propos du service Google Recherche de Livres En favorisant la recherche et l’accès à un nombre croissant de livres disponibles dans de nombreuses langues, dont le fran¸ oais, Google souhaite contribuer à promouvoir la diversité culturelle grâce à Google Recherche de Livres. En effet, le Programme Google Recherche de Livres permet aux internautes de découvrir le patrimoine littéraire mondial, tout en aidant les auteurs et les éditeurs à élargir leur public. Vous pouvez effectuer des recherches en ligne dans le texte intégral de cet ouvrage à l’adresse http://books.google.com

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A propos de ce livre
Ceci est une copie numérique d’un ouvrage conservé depuis des générations dans les rayonnages d’une bibliothèque avant d’être numérisé avec
précaution par Google dans le cadre d’un projet visant à permettre aux internautes de découvrir l’ensemble du patrimoine littéraire mondial en
ligne.
Ce livre étant relativement ancien, il n’est plus protégé par la loi sur les droits d’auteur et appartient à présent au domaine public. L’expression
“appartenir au domaine public” signifie que le livre en question n’a jamais été soumis aux droits d’auteur ou que ses droits légaux sont arrivés à
expiration. Les conditions requises pour qu’un livre tombe dans le domaine public peuvent varier d’un pays à l’autre. Les livres libres de droit sont
autant de liens avec le passé. Ils sont les témoins de la richesse de notre histoire, de notre patrimoine culturel et de la connaissance humaine et sont
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Les notes de bas de page et autres annotations en marge du texte présentes dans le volume original sont reprises dans ce fichier, comme un souvenir
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Google est fier de travailler en partenariat avec des bibliothèques à la numérisation des ouvrages appartenant au domaine public et de les rendre
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des recherches en ligne dans le texte intégral de cet ouvrage à l’adresse http://books.google.com
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de
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ment: ia fils d'Abdel-Ghaferetpetit-filsd'AbouAbda,du
SvilleparAbder-Rabmari
chef
de
la
familleKhaldoun.
d
dans le gouvernementduKhraan.Les Abdel-MelekIbnMerouan.
r n
celuid'Emesse S- l'an 610 (12i4deJ.G. 11 passaplusieurs
ville, celui deDamasdans la province annes enOrientet mourut
à
Tunisen
p. 268.)
tie omiadeespagnole.Onappelait cette 1 Voyezci-apr s , p. 7, note1.
branchedelafamilleles
Merouanides,
haut
de Haddjadj. Cette son ditIbn yan faitpartiedela tribu
de
Lakhm,
et
reste
enrodusant
deschefs
etdessavantsd'untalent
supriur. »
Enre
les
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deSville.Arriv
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pagne. s'agissait
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Yo IbnTachefinetses ravides lado desArabes
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é l vrn sonfils,
Cettefemme letitredeOmmel-Kholef « mredeskhalifes2. »
euremen l'an 620,
rainet desdescendan
d'Abdel-Moumen,se dclara
fr entesincursionsdans
hades en 625 (1337), s'empara d'une
grandepartie del'Espagnemusulmaneet
7
etsuiv.)
possession
r ion,
veraindellfrkiya. S' tant
renfermait.LafamilleKhaldoun,s'apercevantalors
du
Ja ,
ainsi
que
des
celled'El-Azefi 1, etcetteallianceeutduretentissement. Parmises
rinage,
souverain
jouissanced'unimmeuble,ou
 
kra,
é
qui
positionqu'on
ars
avoir
sonneveu.
Cenouveau
fonctions d' irel-achghal (ministredes
gna
remier
pitale. euIbn
toutessesrichessesparl'emploi
Celui-ci
Hafs, et
Hafs, qui,
fidleserviteur, l'inscrivitsurla listedeschefs
dont il jouissait, ne pas.
YahyaIbn
el-Li-
5 Calt-Sinan,chteaudela province t II, p. 399.
deTunis,est
la direction
lage deMermajenna,leBerremadjenade on
aumondepourse urn versDieu,il fit un
er ag
suroatoire l'an
ainsi qu'u randepartie des essi et despen qu'il
avait
enu
del'Etat.Ceprincel'invitammeplusieursfois,
Mohammed
IbnMansourIbnMozni2
me
itun
rcitquejerapp
ici :
« Le
hadjeb
MohammedIbnAbdel-Azzel-Kordi,
surnommEl-
l'office
p. 466,467.)
é lev souslesyeuxduclbr
lgiste Abd-Al ez-Zobedi
Abd-Allah,
cultivait
avec
rai vers dans
toutes les bran
taientleurs é crits
à son amen
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la ssa desleonscoraniques3.Undeses epeurs
1 Lapestenoirede
universellementreconnue.Ils n' taient
é gale
rit e. avoirapprisparcurletexte
d'Es-Chatebi
quesqu'ilavait -m d'El-Betrani et d'autres a res.
Je
el-Berr ompo surlestraditions esdans
le
parM.deSacy.
lek. SonMokhtacer et sonKafya, petit
trait
de
grammaire
le
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savoir,
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(arabe).
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Aghani4.
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mairesdel'Orient et del'Occident, cinq
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unregistre.Undes
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d'Ibnel-Hadjeb.Lecapitaine Baiilie a fait
imprimeruneé ditiondeces trait s
qu'il lui a expliqu s.
' Cadidela communaut
la principalebasedusvstmedejurispru
l'A
Berbers,
 
grandeautorit,AbouMohammedIbnHarounet-Ta, lemmequi
'l-Hacen,etchargd' crireYalama(parafeim rial)aubasdetoutes
1 Histoire des Bcrbers,t. III, p.
29.
El-Bokhari,Moslem,
AbuDawud,El-
V,
p.
sept tellesqu'Abou
livresquitraitentdes
quilui avait l'esprit.Ren pays, il é udia
la
lo
que,
1 <_SjjLo, professeur
de lecture cora
(Tahecal
el-Corra,
poque
de
la
grande
et t.
do).
Revenu
sancestr te danslessciencesquisont
cette ville
* Selonlesdocteursmusulmansl'homme
* IbnTeroumt taitchefd'unegrande
fraction de
l'administration mrinide.
satisfaction.
5
Unautresavantque
le
IbnRedouanfutun
des
desonstyledansleslettres é crites
dantpaspour tr
squenous tions
des
enen
sous
leursordres
nspar
Lesuanafsde
seursonfilsAbouHafsOmar.Lenouveausouera ayant
sulan inidAbou enmarchait relui,s'enfuitde
Tu s.Dans
posacesnomades songouvernementetsefilbattrepar
ce it des'en
Au dejuillet 35o,
trahi Cai
dontlenom entd tre en Il reprodui aussiun
longfragmentd'unaure vparson
danscetteville; laforteressersistaà sesefforts.Aujourdu
s'embarqua
pour
Tus,
d'oIbnTafragums'taitenfuipourse
1 Voyezl'Histoire des Berbers, t . III, p. 34,et t. IV, p. 266et suiv. — 1 Histoire des
Berbers, t.
Depu majeunessejemesuis
é colesetles d'instruction. lagrandepeste
1 L'auteur
ins re
surl'histoire
des
supprime
ces
notices.
UU-
une
naissance à eu entrelebismillah1 etlasuitedutexte.
Versle encemendel'any53(mars-avril i3ade
des livres et
1 LesHoouara, tribu berbre,avaient six lieues,
laiss leurnomaupayssitu entreleMe- 5 Var.Ouchnali Ouchnati.
djerda, l'Auras et le littoral tunisien. ' OuGafsa, l'ancienneCapsa.
 
cette
province.
Quand
lesultan
secocertre entre
Fareh.
Ayantalorsrtablil'autorit d'Abou an ls firentchercherlegou-
 
rou etplusieurs
il
hommeimberbe.Revenuensuite à avecIbnAbiAmretles
chez
lui,
nparla
demoidansune
de
debelles-
p. 299. volumedela traduction
ville
qu'on
so
son
amen.
plusieurs chekhs aghrebis,ainsi
Parmilessavantsqui, à
cette é
qu
dans
3 -Ch el-Haceni Abd-AlahMohammed,surnomm
dansla sprudenc
phiquedechacundescinqdocteurs
que
le
sultanAbou
Einanavait
admisaunombre
renseigements
lage qui é tait
situ à unepetite journe
parties
on
ien jalousies,
meentremoietle hafsideAbou
les
colr du
sultan.Plusieursindividus,jalouxdemahau fortune,lui
prisonner. L' ir, qu'ilprivaaussi
mort
du
sultan,
1
Undesmanuscrits
porte
<_$y>
1 » •
.. parieencorede
sa
è . J' hammed.Danslatraduction,j'ai runiles
• jfc} [}t>"* iSff- 1 L'auteur
ins re
sortir
deprison
aussittqu'il
rentrerait
à
Fez.Cinqjours
sonarrive
dans
cette
dou'1-hiddja 75g
de
la
chancellerie.
(deFez)danslaquellelevizirEl-Hacen
IbnOmars'taitenfermavec
Abou estprobablementcelle quis' l ve au
sud
1 IbnMerzoucs' tait
distingu à Tlem-
son talent
om prdicateur
tention d'enlever le trne à sonneveu ( khal h). Sa biographie se trouvedans
Sad,quelevizirEl-HacenIbnOmarvait YHisloiredes Derlers, t. IV, p. 347etsuiv.
faitproclamer
paient le
la
deplusieursgrandsofficiersdel'empire.Parmieuxse rouv
sourIbn anselonleurpromesse.Jeled idaienmmeem
etqu'ElHacenIbnOmar
venait
le roupesquiavaientrec
sultan par le
mne
 
seulementqui joursquejem' tais ralli à Ifti, et enanje
me
trouvaisfaisantpartie
cedern genrede taitpeucultiv par
nombre
de
lgomnes
sultan. Ils
ici
lepremier
morceau
d' tre satisfaisant
souslepointdevuedela correction. J'ai
 
souverain.Vers
Leyde maisundes
vers est
rectifier,
comprendre.Lescopistes,
en
transcrivant
entendu.
<_>l> -*-"-,?
de
m'aflliger; elles ont fait durerpourmoi
unep riodede larmes et delamentations. — Aujour de notre s paration, ellesont refus
de
s'ar

apr s
m' touffer.
toi qui essayes par des re
montrancesde gu rir le d sirquej' prouvePour elles, sois mis ricordieux danstes semonceset
dans tes r primandes
saurais
avaler. —
Lajoie
ne
m'excite
plus, les peines de l'amourmesont intol rables, tantqueje ne Pense pas à lademeureo s jour
naitmabien-aim e.
se
levait
la lune(de la beaut ) , et l'asile o l'onavait é lev (cettejeunegazelle]. — Maisles mainsde la ruine
s sont jou es
plusieurs
descriPtionexacte et
- H las
toutes les autrespersonnesquiremplissaientdespostes
j
et lesespions baissaient les
inintelligible. Danslesvers qni viennent apr s,
le
s'adresser à lui-m me.]
Ooi qui Pousses tes chameauxauhasard dans le d sert toi qui prolonges tes marchesdepuis
le
tomberduchameaulemieuxdress   toi
l'ardeur
Poureux, chaquenuit, unefontaine o ils pourront é tancher leur soif.
— Chaqued si qui n'est
nous
amnele
qu
puisse satisfaire à nos
yeux et à nos c urs? — Pourquoi ne vas-tu pas a Mdine,o tu trouverasunabri contre les re
proches donttu
d rober
à la
1 Voyezci-apr s, p. 451.
 
Omar
Ibn
intimit
hammed.
Omartaitalors
en
tiersavecnous,
et
Mohammed,toutenfermantlesyeuxsur
la
du
d'Omar,do
j'ambitionnais,je
cessaidelevoiret,dansmon
deurquejedemandail'autorisation 'e ret rner
leur
sultan
l'esprit
Tlemcen.Jemedcidaipourl'Espagne, et,au
deses
parents,
le
RasMohammed),se
rendit
Fez,
du
sultanAbou
Salem
mon
troduction.
tion, le r cit decet é vnement.
 
Ahmed
l-Hoceni,
principal
personnage
dela
respect,enaidant,deses
propres
Gre
plaisirde
quis'taitempress defairetapisseretmeublerunesespavillons
il reconnaissaitmesservices, etmerevtitd'unerobed'honneur.Je
le
sultan
me
lettreduvizirgre-
decech rif. nadin. Elle est é crite dans le style pom-
s
Mohammed
contr
douan,
remi
ministre
trouvaitalorsdansla
Cruel.
' LevizirRidouan
 
dans
etje
la
du
Mes
pu ercev unl r -g qu'il
laissaitparatrequand
ilmevoyait.Ce
cette
villedans
1
Jesupprimeici
 
lui cachai
monvoyage.Il medonnaaussi
unelettre co
o il
avec
aurabesoindanssonvoyage.Cettepi ce
thentique.
reproduitici ; il
sultan y fait ungrand
de lui pr ter
 
dela
diaireentrelesultanetsesgrandsofficiers. Je
decet é unelettreparlaquelle ilmepressait
le
sultan
Ibnel-Ahmer(MohammedV),ne
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pasde
la
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donna ndez- à Algeretlesco dia.Je dvisallerlesre
joidre; ilmefallutrester
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1 Cette f te a lieu le )0 du moisde TazaparlesMarocains,est situ e à moi-
dhou'1-hiddja. ti é chemin
1 Cetteville, dontlenomse
laisseraittranquille.
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jemerendisdel,avec
dsirait
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le
reste
sret, ils dirent à
sultan,l'instruisantdursultat
de
l leurfaisaitpasserlessubvent quelesultanleuraccor
dait, elles suivaient
1 LepaysdesGhomra,ouGhomera,
moiet
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conduisit
lamortdusultanAbdel-Azz, quitta rarin
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le
dansundsr arid avan d'atteindreunpays
1 Voyezci-apr s , p. 1 1 5 , note4- presque toutes les rivi res de l'Afrique
2 Le
de
Debdou
vers l'ouest jusqu' ce qu'il se
jettedans duMolouaet à quarante-huitkilomtres
nous
ar
J'tais
un
ancienamarade
decelui-ci,
surpassammemonattente
danslestraitements
etlesicl
qu'ilm'ac
service,etdemanda
au
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qu'alorsdans
l'ouestducap
Tres-Forcas,
de
et à ensei emen Quandle sultan 'I-Abbas et l' mir
er-Rahmanvinrent amer
diat-el-Ar situeà
serenren
d'eux.Ensu
onermi
toutle
monde,sans
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qu'illverait
son
tion, jerslusdem'embarquer Asfi2,
l'ouest-nord-ouest
deia
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ouSafi,portdemer
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devinten lesecrtaireparticulierdusultanAbou
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1 Ville situ e surle Moloua;latitude ' Dans le texte arabe, la bonnele on
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l'in- prisonnier d'avoir ins r dans ses é crits
tentionde
pousserle
de la torture,
l'aveu ducrime
4i1 )
d'El-Obbad
. L'an776,aujour
dela
fte
sultan,ayantjug ncssaire
mont
Guezoul2,jerencontrai
lesAouladArf,quim'accueillirent
avec
desdonsetdes
honneurs.
Je
ch
eneffet
avecmafamille à Cal IbnSeiam
casdesaffaires,
etj'y
Enmefixantà CaltIbnSeiama,je m'installaidansungrandet
solide qu'Abou Ibn
des
dsiraibeauc
consulter
plusieurs
livreset
prparatifs
de
je
afin
rou dudsr jusqu' Douen,
Zab Ensu jemo dansleTell(leshau
Co an e,
tjLf'Li t-j >
d'Alger, le texte
f3***
 ..K 11 1 - • • 1 * LaPetite oasis deFarfarest situ e à
* trente-trois
de
venue
m'yrejoindre,no
3
1 Toutes les villes duBelad el-Djer d des
Berbers, je l'ai
é crit Yemloul;mais
incertaine. Dansla traductiondel'Histoire 4 Voy. ibii. p. o3, 9,4.
 
sciencesetdansl'histoire, il m'avaitcharg detravailler à
l'achv
mentdemnouvrage
aussi ,
lorsquej'eus
termin
l'histoiredes
Berberset
des
s
rieuses,
mesennemi
ausultanquej'vitaisde
com
poser
des
1 LesOmiades et es Abbacides. — * L'auteur
donne
sultan en
d'Er-
Histoire
des
Berbers,
t.
payslesplus é loigns.Jepassaiun Alandri dans
lespr
paratifspour
V rues
dela
civilisation
au-dessous
delavrit. »  
les
fondsde
les
savants.
J'espraisalorsquemafamilleviendraitmerejoindre;
le
sultan
de
seurau
collge
1
Voyez
(1171
de
aux l ves.
p.
tientledroitdesurveillerl'administrationdes endesorpheli et
Je
l'ai
jl » U « JleLcO3-\w« tUi
i b -c yUyc'iI i-iyy iyJl\iL jLi
oM
jii
t)ju
|^Sj ( « » r. iiv'SU)M *y — >l Jt ï y-^^ j
C_>iL
olj -i
0,'vjit « *JUl r(>JU I
t * a*}
jS*
(JSjUJV|* =>myt *Uj t > i>J>j tit
i-jji ï LLcivt-artiiiij
arche,
toute
sollicitation,
soit
hommes
perverset
orroms.Celaproenai
delafaiblesse
duha-
kem,qui
au
lieude
scruter
parle
dsigner
l'officier
<J-e (ja-Ko >i [}[j oJssJ ç -â -j ' l j
IU £
*Jji\Jl
J*l
^ilitlj <_>jL>
excuterles sentencesprononcesparles
avaitdesdoutessurl'int grit d'untmoin
s'appe
lait
tezkiya «
fication ; i dansle cas contraire , onusait
deladsignationdetedjrth « blessure, im-
probation. » Cederniermotd rive
pareil rapportportait atteinte à la rputa
tion
lesrapp
adresssau
é
faisaientemployerpardeshommespuissantspourdresser
leursactes
drereprohe.
co cr
,
 
consultants)denotrerite.
Cesgensavaient
mislesjuges
auxaboisparleur
depro Parmieuxse rou entdes
souventlesfetouassecontredisaient,et,pourajouterà la
breuses,qu' sefairerendre bo justice.Du
leshommesdebien,età insulter toutcequi
gens
de
leur
reme,
sen en religieux.
A ces intrigants,
mau sujets à m'attaquer
tous les ts on
du
principesdescadismescon
aparences.
Ou
enme
disaient-ils,
qu'uncadi
n'estpas
Quelquespersonnes,
m
ayantsollicit
envain
de
jugeren
dusultanet,pourlesmortifier
davanage,j'excutaicontreeuxles
moi
de
paslesusages.Aussi
je
rem
l'officede
cadi
à
celui
quil'avaitexerc
avant
etde
cette
maplace.
Le
m'oc
cupai
queDieumepermettraitdepasserle restedemesjours
Ayantren
le
scorts
par
desArabesjusqu'
Cous,
inadvertance.
supr
matieduprincequil'envoie.
3
Ici
encore
l'auteur
JyJiJ\, • l'orientale. »
1 Ibn
jurisconsulteAbou'l-CacemMohammed
Touedjen.(Voyez
Journal
asiatiquedemars
el-Ahmer, roi deGrenade, il
ment
de
l'an
7g7(fin
sur
noussonombre
tutlaire
itio . »
dtrn parl' mir Ilbogha,
le
trneEl-Melckes-Saleh
IbnCadi
Chohba,manuscrit,
ancien
quimourutle)5hoal
ce
onlenomma
professeur
au
re -Meleken acerFeredj,fils de arc
et
se
miten
rc
pour
dececonqurantest
'l-Ghomr,
' Manuscritn*
687,
 
mour
s'tait
quand eurs rs ypens,et
Leshabitantsde
voyerle
grandcadi,
de
à la
ed-Dn
en
la urai aumoyend'u rde,et,s' tantrenduaumi
lieu desrou
leur
chef.
r,
pro l'occasion
Caire,ayantquitt avecl'autorisation
de r,
v° .
n
666
fol.
Enendon
n'avait
pas
« parl
de
les
lut
valent desmotsarabes
y~ (alli
le gendre
deplusieurs rois,
 
sait
quele
texte
Egyp
etqu'ilsre
vaientence oment
Ibnel-
«
2 Manger, Vita Timuri, l .
II, p.
inu, etun ce qui é ain venus(en Syrie) avecle sultan.
Quandcelui-cieut
queles erson do nousavonscit lesnomsallren le rou
pour
remettre
id ss'accordaient
secte
et
ditions,avantageusesounon,qu'ilpourrait en parses
il
del'un à l'autreen
en
obser
vant
conversation,
dont
P ol gom nes.
Khaldoun,
du
Ibn
Khal
doun
« Dieu
tout-puissant;parma
«
sultan
« j'aivcuassez empspourvoir
leur
retraite,
l'ayant
«
dsir
del'emmeneraveclui.Acetteinvitation,
Ibn
Khaldounfit
la
« to votre

«
«
net la lunuledu
croyants;
vous,n
qui ê s amdo
jamais
« ner
et
me
peuples
pays,
deses
guerres,etc.
tard, en
dedjomadasec 8oA(janv 102 il futremplac par
Djemal
victoires s'est
é lev e à l'orientduMaghreb M.deSacy, 2' é d. t. II, p. 3oo.)
( ense dgageant)destnbresdescon- 3 IbnCadi
de pr dictions, fort clbre * IbnCadiCbohba, fol. 196 v° . Selon
parmilesmusulmans.(Voyez
v ,
IbnKhal
nommgrandcadi,pourlaci fois,
du de
dese
auxtracasdesaffairespubliqueset
y
itquelque
fois.
Cefut
dans
nom.
Lalec
re
de
let nidetalent,
dounfut remplac parEl-Bisati, au
cd-Din,fol. 55
ed-Dn,
fol. 70 r .
fol.
fol. 75
dut
avantage
humeur
rode infleible.Je
-nombreuse,
celle
des
gensde
loi,dont
il
froissait,
dans
l'exercic
de
fon
raits
surd'au
Le
vizir
joursmontrunami parledeces critsavecadmra
ar amFakhr
que eu i- lefaitremarqueravecunesatisfaction
é id te\elle s' ar beau delaforme rdi redes
hro ques es
mondejusqu'au
peupleet à haqudyaste.Danscesarticles,IbnKhaldoun
la am
exemplaire de cet ouvrage se trouve à
la Bibliothqueimpriale,ancien
tiquedel'Espagne,
dont
M.deGayangos
les soinsdeMM.Dozy,
 
cotr Il estvraiqu'en
faisantdeare recherchesilren reassezsouventdeux
r is d'un
trois
livres,
dont
le
lesec
a
pour
sujet
lespeuples
del'Orient,
etletris
est
sac
plus Au raphi etformerseptvolumes.Dans
1 Voyez
ci-devant, pagelxvii.
LetomeII,l'Histoirean-islamit laViedeMohammedet
futimprim
ment, 1847, H> i85a. La traduction troisi me et lequatrimeeni856.
fran aise du
etsurlesDjerameca,roisdeNinive;
roudos(la familled'Hrod),jusqu' la ruinede rusaempourlasec
fois;
Sur
LetomeIIIrenfermel'histoiredeladyast et
Caire
Perseet enSyrie;
puis
LeBe erde
EspagnearslesGo etpendantlado musulmane ; notice
les
 
enleval'autorit temporelleauxkhalifesabbacidesdeBaghdad
et
dans
le
Tabe'ristan;
LesBeni -Te roisduharizm
LesBeniTo IbnAlbArslan souvrainsdeDamasetd'Alep;
1 Cechapitre et le suivant ont é t publi s, texte et traduction, parM.NoldesVer
gers; Paris, i84i.
il
septentrionalede
em resde
hu
copiste
av
mise
dans
parel desAbbacides.
la
l'Orient.
Le
les
em
par
lesTu
pour
fairedes
barricades.
M.Berbrug-
Prol gom nes.
ig
par
leslettresB,G
etD.
Le
estdu
qu'il ladatedel'an 1 1 5 de 'hire(1 de
J.C).Lederner aptredes ro esymanque.
anfornesparle an G,j'airec qu'ila
etqui le 7/123.
des
son
des
o
lieuen les 78/i 38
du
m'ensu assur
de 'hire de
grand
th « des royans,Abou Abd
sulan inide
royale inid parcette am
ro es
Il est
ab ea la
«
delafoi,mortenodeurde inte Abou'1-Hacen, mirdes
noms,
monta
surle
tr
en
personne.
Enmargedece
sou Noussavons,par au rap e,queeleutlieu
entre
les
desaddit
sen deces
offertparIbnKhaldoun la io
des inide et
par
Ces
Onyrou dans
deplus,au nc dela ix section,six hap
tresentiersquimanquent
ro eslesa cce bser
Les ro esse artagenensix
' st dir , legouvernementuniquementemprel.Il faitaussi
tio 'aie quesouslegouvernementemporel.
centresdepopulat Dansla ci il
quido
travant
la
quesonteupouraueu des
nesaurai co tr ane.
direles
hoses
les
plus
titio etrenduesen plus bscresparla diffiul
qu'il é it exp er ettemen sesid et
par
mpl
surles
nesontpas
ne
se
dern lieu
sont
diffusetembro
au
lieu
l'auteur.Jedo faireobserverqueles
hal
en
turque.
son
travailausuan
musulmane
danslabibl royalede h.MM.lesdirecteursde
ferme
deux
en
datede
l'arabe.
que haqupartiedu rsyasa et
va
traductionde
Plusd'unsi l
traduction
aragrahede
'Introdu
Eg parAbd-Allatif,unchapitre
sursa
familleetsursesCompagnons
soen parsa
ples
etdenations;
de
misme.
» Danscette
desCompa
gnons
quelques
arabe,
en euqu
anhes,avant l'existencedel'espacequi el Bh-
Salut à celui dontla vracit a é t at st parl'arai
1 Voici les versets dela
Bible
par
les
Pha
mont Sina jusqu' la limite mridionale
dela Palestine, celleo les Isra lites pas
s rent trente-huit ans. Lesecond versel
est
ad
sacr s, etque,voulantenfairedispara tre
hammed ils
lionne le om<Ah d à
Mohammed.
queDieucr a, cefutmalumire.
3 C'est- -dire,entrela
inf
employ
pour
dsigner
lepoissonmonstrueuxquiporte
mographiemusulmane, il
y a
sept cieux,
zleà l'aimeretà le
quela
discorde
lui
et
sureux
tence 
pourellequel'onacultiv le styleorn etemploy les ressi
se
tient
deboutsurle
dosd'untaureau,
l'air,
cr é nesait cequisoutient les t n bres.
Cette indication,
t es
t >f*. (poisson) ,
nbres;
au-dessousdestnbres,l'humi
hqu
impriale,
aussi le
fondd'unpuits, laprofondeurd'un
dans la caverne
colombe
vintpondre
tissa sa
lesameu
se
pressent
en
foule;c'est
ellequinousapprend
con
na r lesr luios subiespartous les ê tres cr é s. Elle offreun
vaste
ham
qu : ce
et
nombredessciences.
tin
ont
traditionsdefaibleauorit.Laplu
les
circonstances
quis'yrattachaient.
Jamais
critique esten rs rn
l'ignorance offre urs
 
etmispar critl'histoire des euesetdesdy
reprodui enentierlesrensei emen
Ishac Taberi
2, El-elbi
Meghazi)
1 5odel'h gire(767deJ.
dans
l'an 3io
composa
un
grand
ouvragesur
Chameau.
chronique.
mourutenl'an
3/i5
bl
savants
ceauxrcits
de
ces
deuxauteurs,de
suivre
oul'exactitude
des
é ts
é
lorsqu'on
surunmmeplan
et
ontpour
sujet
rcits oules
volumes, texte et traduction,desPrairies
oudu
la
dynastie
se enre
hanement
auhenques)oumodernes
(et
controuvs).
Ce
leurs s,ils reprodusenbienexactement
2 Chez les historiens_
le nomd'Jbn Haiyan, composa deux Tripoli et la province
de
Constantine
pagnemusulmane, le
Etats
volumes,

Moclabs;
notice gnalogiquedes tribus ber-
Il mourutpostrieurement à l'an
dont
il
a toujours joui. N eu l'an 377 3 o(9&2deJ. C). ( Voyezle
Journal
asiu-
en
469
tiquedeseptembrei844.)
(1076).
quer
deleur
fournirces
drapeauetà
manifester
sa
ssance,
niles
etles
auses
sait ommentsouleverlevoile
etse
enre
lenombre
des
Dansquelquecasquece soit4, auc
utile
. ' Abou-Aliel-HacenIbnRechk,natif
racherausom del'insoucianceet
toire,
dans
sujet
des
hommesdumonde;pour
son
arrangement
etsadistribution
j'ai
suivi
unplanoriginal,ayant
ag
à lacivilisationet à l' abliss desvilles,j'ai el toutce
qu'offre
Decette jefais
parfeu
Schulz,dans
4 Voy. sur ce
pitres
des
sidra
sur
l'excellencedela
auxquellescesinstitutionsdoientleurorigine
l.
donne
ordinairement
letitrede
Prolgom
5 HorsduMaghreb lesBerbersavaient
fond nÉ l'empire
Berbers.
cette
suivre un
mme celui
des
difficults
genrehum aussi
aiyam
il-Arab
oaa'l-Adjemoua'l-Berber,oaamen
aasarahom
mindhoai's-soltan
il-akber
grandesdynastiesquileuront é emraies)
les tio et
cette l'ouvrageest
devenuunrecueil que,attenduque
rnerle l'on
lui;je sur lai, et c'est anexcellentprotecteur*. sour ni,
vers. 167.)
Letextedecechapitre, é tantenprose
5
 
de
une
garder
les
erreurs
etles
ises.
Eneffet,si
l'on
se
con
tion,
sansconsulter
teurset
leshommeslesplus
rss
en dupass ;
* Pour lisez y .
etdesnotes,
dans
sa
maigres,
a*
desrcis
analogues,ouleurfaire
les
yri tait
Les
1 L'auteura é crk sansfaire pr c - 5 Selon la Bible, six cent trois mille
der
cemot
parla
» fl
mernosobservations; le pass et l'avenir seressemblent
deux d'eau.
d ruisit rusalem si deleurreligion etdeleur uissan .Or
ce n'taitqu'un plgouverneur
vingtmillebommesd'armes,dontchacunavait sa suite. C'est ce
qu'attesteSeif(IbnOmarel-Acedi4),quiajoute :
»
mourut
chefsdes
[douze]
tribus,etleurs
enfants,aunombredesoixanteet
ils
en
tions,carSalomon
fut
fils
d'Aoubedou
Aoufedh
(Obed),
qu' la fronti redu
1
Dans
 
chiffre
é oupeuauparaant lorsqu'ils s' de sur
la
grandeurdes
soitmusulmanes,soit
cellesdes
grands
l'administration
militairesurle
et
quiviventdans
le
les
Onpeuttoutefois dr à cequi
desenfants d'Isral
et
Jacob,
qu'il
multiplieraitleur
raceau
pointqu'elle
 
 
vant,
entreprit
une
xpitio
djani, docteurdurite
chafe te,
parIbnKhallikan,
en
l'an
3.
leur est
erredan leMaghrebetsou cette r . antlemme
auteur, Yaser, fils etsuesseudeDhou'l-Adaar,entreprituneex
Sable)
quiestdansle
em rai
lui; qu'ils cette
ch debu
bretraditionniste et auteurde plusieurs
1 Voyezd'Herbelot, Biblioth que
' Pourjl*iV,lisez
capitale,
lesi
de
la resqu' l desArabesest,detrois
tach
de
mer
deSuez,
quisortde
cemme
etseprolongejusqu'
Sues-*
P-
ne
que
les
passaient
et
plusinvraisemblable.
à cette
rivir de
dansleMaghrebonn'enaenenduparler,malgr legrandnombre
p- >6-
les directions,
rec etjamaisonn'aenendudirequelesTobb aient
dynastie iteeutdesguerresaveclesgouverneurs
defourrage età la
longueurdela ar Lesrcis
puisqu'ilsn'ontpascetappui.L'assertion
d'Ibn
Ishac1,queledern
 
estcelui que
deuxfils,
savoir:
etCheddad,
qui
lui.Che-
en
l' de
les
Il entaitenre la
qui les fit mo tous. cequera en aber haaleb
Zamakhcheri etautres en eurs.Ils rapp entaussi qu'un
1 Laquatre-vingt-neuvime
Ixi }
 
put.Lekhalife
el-E ad elledoitê trevisi sousvotre parunmusulman
teintrougeclair, petitdetaille,ayantune
dont
j'ai
arl. »
. • - v.
enle euuY
Orcette rov a é t amment it sesro ont é t
arc rues
danstoutes les
a
fait
ent
Si
avait
sparu,
khcheri c l bre
maire mourutenl'an 538
qu'ils
ses
aunombredeanecdoes
divertissantes.
l bre traditionniste, mouruten l'an i45 ' Lesouvragesquej'ai consults n'of-
(762-763
deJ.
C),
ouen
i46. • • '  « firent rienconcernantcepersonnage.D'ail-
1 Letenou n est unsignequis'ajoute leurs le texte est al r danscet endroit
à la
li>/*
(c'est-
ran,ona
Ir a
sensenest: le on.Dansunautre
leond'Ibn ez-Zobeir,
eso
arc qu'ils artageaienses ch de in, leur it con
tracter ariag l'un avecl'aur, afin de ainsi les ir
danssa
unmomentd'ivresse,
eutcom
sareligion, parlanoblessedesanaissanceetparsahau position
ct l'environnaient
la
aurait-elleconsenti à allier
neurs. ent d'ailleurs,su sequ'Er-Re d,
avec
son
jugerd'Abbasa d'a
desonems,repoussera
l'id
qu'elleauraitpus'abandonnerainsi
quesontles
auresprinces
en
sanspou

de
ministre,de
grandsdignitaires militaires
un
effet
durdi
dontleur
preYahya
jouissait
'Er-Rechd,
arc
devenukhalife. C' ai soussagarde
etles
on
Lemot é mirs dsigneici lesgouver- d'unparti (chiy ),organiseensoci t se-
neurs
des
bacidesarriv rentau
 
ernel deDj fer la hai qui remplissait leurs é tait
si violente,quelesliensdu
sangnepouventpaslesflchir, etles
à se
abordpardes
traits
cede
ces
Mohammedel ehdi surnomm
etunmillionde i sd'argent. -Rch rem le
prisonnier
bienil respctait1le
-Rch
quil'on
et
celui-ci,
que
de
semblables
fo
et
ahya,dans
1 Pour 4
Abou
OmarAhmedIbn
ouid'unegrandec l brit .
Plt
à
Dieu
pasê trematre.
qui agitainsi steneffetbienfaible. » Pardestraitssemblableson
le
desa
Dieu
neplaise2
que
1 Lesraanuscritsetlagrammairecxigent 1 Abou'l-AbhasMohammed,surnomm
laleontjj*o-J. Ibnes-Semmak,p dicateurclbreparsa
• Pour JUiilt, lise* J~iit. Fodel i83(799deJ. C).
ibn
rputationet prit rangparmi les souju clbre traditionniste et jurisconsulte ,
lesplusillustres.Samorteutlieu l'an 187 mourut à la Mecque en l'anne 198
(8o3deJ.C). (8i4deJ.C.)i- '
à guetterles remiersrayons
rappoentque,
haque,jour,
dansses
rires,
alernat em ouune xpitio
«
lement
les
Rends-
se
faire
un
rupuld'habiller
deneuf
les
destailleurspourfairerac
surmontraitement, d'habiller ut re
vivait rs- deemp cesprinces, quiavait é t é le aumi-
lieu desbeaux
les
actesqui
pi t . Ontient delui
aveclesmanuscrits.
5
lsi
del'espritarabe.
ami
en
ce
que
TaberietMasoudi
ç ce
le roisi , duvin pur.
avecd'autresaliments,
manda
lemde
é tait
* LafamilledeBakht-Ichou (serviteur t aceto defrutosuccouvarumet
paneuna
de
Dans l'espace t coctis,
Djerdj s etsonfils Gabriel taient attach s miel. • ,
à lacour Pour lisez
par 5 AbouNouasm ritait
aporyphes. -Rch n'taitpashomme reunpchdu
.
dela
em del'islamisme. Est-ildonc is croire qu'ils eussent
vouluoutre-passercequiestlicite
que
eu
dela
famille
fils d'El ewekki
fruits.
Le
volume
primi-
dattes ,
ou
e
che
sousdesbouquet
revenu
de
son
priv,
et ElMamou
liaisond'IbnAkthem
avecEl-Mamounn'tait
qu'une
que deuxpassaientlanuitdanslammehambre.Parmiles
traits quiattestent
life,
suspectdemau
vaises
urs.
vice
clbre amAbouHanifa remplit, à
qu'il futremplac par
hommesde
auvses
lui
attribuentun
enchant
pour
les
khalife
quisetenaientrel emenaumme
« Yahya
1
auteurd'undessixgrandsrecueils
tradi-
teurs
dsigner
tion
recevait aussi le
«
aussit
en
mouvementet
tapis, le
rrirela
tapisserie,
pourl'attendre.
sson
ElMamunsouslerapportdelapit,dusavoir,desonatten
tion à imiter la co it khalifes hodoes,ses an res, à
suivrelesbons emp parlesqu remierskhalifes, ces
so en dela
nese
1 Labonneleonest 3 Pour L o 'l lisez L ol\ Jx.
1 Aprso)J , ins rez*J. » . ,' ' -
 
à l'improviste dans
vaitdansla so de
leshommes
emp pour leurproprelibertinage voyons-
traitsqui font ressortir lur arac r etdontle
sou
vouspasqu'Ibrahi
fils
d'Elehdi
excellaitdans
remoranc
et
s'loigna.
Parmiles
rcitsquinepeuventpas
dixime
ontprispour
leurs
Mohammed.
Le
bruit
desa
Avertisdecette
rte
et
Alexan
driesousle
de
ç aise. ' f
neurdel'Egypte,l'an
292(905de
J.C),
ycommandaitencorequand
Obed-Allah
au des
Syrie
et
dans
leHidjaz.De
cides, les rov de emp musulman.Ils furentmme
aumomentde dansle territoire
d'un iff re
graves,
pareils
la Perse prit la dfensedu khalife ab- unNi ).
bacide
queBessasiri
sous
Bessasiri,
furent ie
il s
le dcouvrir1.
Ladynastie di
semaintintpendantl'espace envrondeux
ig l'a
P. 3*. droits desdispositionstestamentairesdes am an rieurs. S'ils
avaient
eu
desfaits
ne
desprincipes
'a del'hrsi1, luiavaientinspir
I
ro e,
desonct,a dit,dans
dans
la
bonne
voie
(Coran,
sour.xxxm,
vers.4);doncjeferaid'abord
aux
lesdoctrinesdeleursecte.Adivrses rerises ils s' ain r l s
contrel'autorit é ali
Elekt
(le
1
la fraction de la secte chiite qui soute-
ch ï tes.
nait la cause
Dans
un
- ' -
cherches
xpient;faire la leursfaibleskhalifes. Leurscourtisanset
etdeleursouera laho den'avoir se fe r
pousser
le
duro e;et, don
consultesAbou el-Isferani
-N
fakih
'1-Kadhem,
descendant
deMohammed.
J.
C).
postrieurement
l'an
£ o4(1014de
J,
C.).
  Abou-Yacoub
el-Fokeha,manus-
(10M
fonds,n 755
et
joursmo plusempress quepersonne rabaisserlespr ntions
de euquisedon entpourdescendan du
avecfranchise*
obissance,
, s'il
aucune
attention
à
gouvernait
l'Ifrikiya
et au midra- lui. {Chrestom. d M.dSa , 2' é d.
ride
é crit aux
de
larectitude,
l'arpuretl'argentde
bon
aloi(enfait
de
science)auraienunevaleur
ses
-m
labalan
de
Hacen,
la
Nesavaient-ilsdoncpasqu'Idrs
Ier
avait
pris
une
pouse
dansune
fa
35.
que
sines etenenduesde
chaientetavaientpeud' l ai , etquauc esp nes arait
les diverseshabitations. lamortdu
 
sermentde
le
fe
auprixde
leur
Orsi le
toutes ceshistoires anan
dansla
famille
Maghreb la
r ntionsaukhalifat. Plustard, le
la
familled'Ali ,
Il
fut tu à Fakkh,
(mai786),Hocen, fils d'Ali, (ils deHa- endroit situ à trois milles de Mdin,
cenIII, fils de
J
mortel. LesAbbacides
pas
co
lanouvelleque
les is cette
ladynastieen
prolamantlasoueranet
graves;enfin
d'arracherl'arbrede
la
dans
ssanc
delutter
emp et à ierl'autorit dugouvernementabbacide;car, à
cette é
dukhalife qui taientderace
37. é ra r s' ain dusi del'empire et s laissanten-
Pour lisezgJ sans tenou n.
 
Unkhaleencage,
:
'<&, -',
les
citi
deleurs
deskhalifes
des entsoudes
x-
silegouvernement
quile
frapperaitau
al d'Idrs etde l'influence
oufausses.
tion) la randeudela
Abbacides
des
mamlouks1,qui
Dieu
son
et ce
à -dire,membres
dela famillede-Moham-
quiestpens. — Il faut supprimer le \ med), et vous assurer unepuret par-
du
groupe
yyiitljj.
faite. »
» , » •
 
songes, leur
al i.
probable
ent
avait
l'abri
pourainsi
dire,
sanspareille,
et
que
personne
ne
plusauhe ques, dev croire)
 
avaitappuy lanoblessed'une
croire)
que
cespersonnesauraien
acquis
la
conviction
qu'une
pecter
aura ho esdupeupleetdebasseextraction.
Pour
justifier
leur
sur
quenoussachions,
il
faut lirepX ï J\. 1es embranchements (c'est- -dire les di-
' Littralement, . enpr textant l' ga- verses forme8)dela « «
 
 
d'Idrs. Ils formen da ce lieu, les restesdelafamilleduPro- P.io.
et
haben
nousle entraitantdesIdr ids.LeurpreAmran,tait
filsdeMohammedfilsd'El en filsde
ehdi dateu de
demensongetoutes
les
lara
tionsqu'ilavaitfaites
et
qu'ilavait
sureux
l'avan
tage
de
surses
pas
unefouledepartisans.
Remp
de
jalousie,
ils
IjjJl,
El-Addam,et
taine.
On
le
On
Bekri, p. 328dela traductionfran aise, dela traduction.
 
aquan
ses
lesrois emtouens(lesAlmoravides
(peu lair ) quian en lanation. C'en
é taitau que,dans
danslesendroits
o
ilsdemeuraien
plusils
avaient
d'influence
au
prs
de
les
et
qu'ils
ble.
Dans
cetteentreprisele
Mehdi
sa cause, à
1 Hfaut lire \yic.. 1 Ala lettre, « la place de
cet
homme
 
'
 
,
n'avaitpas
mme
un
due,si cen' ai la
suivie arDieu l' arddesesserviteurs. (Coran,sour.xl,vers. 85.)
L'obstinationdesesennemi nierqu'ilapar à la familledu
ro ten'est
souenu parauc
la *
lontde eu
' 11
 
l'espritdela
ne
gna
Omar,l ommandemendece
ques,ontsouventbron en
em
de
se
contredisent,
s
et
de
il
les
auses
ent
Alors
avec
les
principes
et
aporyp
etle
rejeter.
C'est
en
supposant
l'emploide
cette
rap doit
a re.
qu eu
longues
io
de
em
les
é ai
qui
sub
usagesanen
ont
faitplace
à
d'autres,
lesuns
den les
pressementde haqu nation à imiterlesha desdeso rin
ainsiquele
tes et
etles torndecequifait
hu e,tablit,
auremerabordun pprochemententrecesfaits
deux
Or,
pourvivreetqui
familleexerceunegrandeinfluence. Le tr d' l estuntre
sans quen il da la s i une siio inf riur
etnefait
entqu' 'exem d'ElHaddjadj
se
casse
et
ils
dansun r ipic o la mort etla rui les attendent. Ils ne
omprennent
pas
combiende
existence. Il
tait
à
unquerauxautreslesordresqu'on
avaitentendude
la
tec'taitdeleur artune dedoctrines,et
resc dev
ê tre
gloire
dele
de
ro e,en
parlui à
des
Leschefsdesgrandestribus,
de
1
l'es
ti quifaitvivre; il n'avait é
au hangementdepu
certainesgens,
parl'ambition,ils aspirent un
vincesdel'Espagn usulmane)3.Ayantenendurac queces
lescadisdecette
nosjours, et
faitdontnous
donnerons
Ameret
In
Abbadaparten
qui
souvrain . Aurefo l'office de
deshommes
page65,noie3.) in-4".
rois de S ville, l'ouvragedeM.R.Dozy, chutedesOm ads.
 
directiondes
ent
unordre
de
espritde
rps
par
a
chute
peuples
royaume
età
gouverner
les
hommes.
Vous
trouverez,chezeux
jus-
1 Avant
* C'est- -dire, les Almoravides
....
 
livres à l'usage
de
leur
nombredesso ens4de em t renaientrangparmilesvizirs,
ainsiquenousl'avonsdit.Leshistoriensse ro rendonc ligs
1 Littralement
leurr gne. » nant
l'adopter; ilsnese
certains vizirs laiss de
Ibn bakht Kafour,ministredes
au
eaudesouverains.
sr haqu sicl, s'ilveutappuyersur
un
e4
1
Hacen quifurent tous les
Prol gom nes.
bonnepartiede
qui
suivit
analogue
veux
arabesqui,dans
levesicl,
enlev
san de ay
tio
é ai d'unedestruction Laculturedesterres
re
en
ruine,
en
graphe
et
natif
d'Espagne,
mourut
en
cc
veux
pas
. . < • > • I ; .• ; . • • ; • ;   •
Maghreb
et
ensuite
lettres,
dularynx
etse
ne', sont
pas denqu
à la
sedistinguentparleurforme.C'estainsiqu'ont t in slesca
ra res e if, ba, dj , ra, a, etc.jusqu' la desvingt-huit
lettres.Mais,
lorsque
lesArabes
 
fermerl'histoiredesBerberset
dequelquesautrespeuplesquin'ap
artenent
chercher
lemoyendeles
er.
Trouvant
peusatisfaisant
le
sys
tmequi
avoirindiquunsoqutientle euentrelesdeuxlettres.Quant
à
tionnisteel lecteur(c'est- -dire,sachant
en
m'etaisborn à ig haquson rang parl'uneouparl'autre
desdeuxlettres qui, dans
vragen'offrepas
 
L'ACQUISITION,
LES
MOYENS
DE
GAGNER
dans
le
carac
à
re nna re
taines
10. les manuscrits.
haqu é selon
rap qu existent
tels
qu'ilslesont
s,
leursren
sonne,
probatio).
figur , blesserunhommedanssa r putation.
chacun
t d l
louangesetles é l s ils
embelsse
d'indiquer, c'estl'ignorancedela de sequinaissentde
ainsi
que
vri dumensonge.
Il arrive rs-souvntque
delamer,ensortequ'ilputdessierles
figures
 
unroi 'enrepren as ent
laisserle
em
derevenir
de
pasdesformesnidesfiguresqui
leur
é id ,l'absurdit
esprits cordiaux1, il rra su ham Telle estla ausequi
la mortdespersonnesenfer esdansunesalle debains
l vientquele
dontl'e r
haleu a
ssonmeurt
dela bloquer,en
fait partied'unrci assezabsurdepourprendre
messaaé t
cetteplacesontabsurdes,si onlesjuge 'aprsl'e ri journa
lire, et euen se concilieravecles
dontons srt
contes, arM.Lane,volumeIII
ls, à
fabriqu desvases
etdesustensilesdoestques; dire
qu'onait construit
ilsconsistent,pourlaplupart,enprescriptionsarbitraires,auxquelles
le
possible :
c'est
l
un
moyen
joint à l'examendel'accordquiexiste entre le rci et ce qui se
passe rdi remen
dansles rcits la vri del'erreur, r l fo surl'appr iatio
dupossibleet
del'impossible
r
dentel etdontonnedoitpastenir ç te re nna rece
qu'ellen'admetpas. Enagissant ainsi,
nousavonsuner l sre
re resi nousdevons
la
voie
merontune
sciencenouvelle,quiseraaussiremarquableparl'ori
1 Littralement, • entrel'nonc etl'ex- science parce qu'elles offrent un objet
trins que.
» sp ial(moudou)
 
3 Avantle mot lit, il faut ins rer la (me a l) et unbut à atteindre (ghata),
conjonctiony
arabeil
fautremplacer
é lig r.Ellenedoitpoint
quelquestraitsderessemblanc
avecla
toiqu
etlascienceadmi
certesje
l'oubli
sur
fond,
tifiques,
riendes
sciencesdesautres
peuples.
1
Pour
jJllisez — *
qu'elle
s'accordeavec
la
des
hoses,etquela
recherchedes
accidents
ho
com
prise
quepourentirer duprofit. Orla sciencequinous n'est
d'auc avanage,
except pour
les savantsont
science
quevous
arguent l'appuidessciences qu'ilscultivaient; cesques
hommes,
quidoient
s'aider
muuelleme
afin
exister,
ont
tuel
que
lelangageestl'instru-
les
six espcesd'accidents reconnuesparles duction.Cepetit
Ri alet
loisparl'indication
lui
nifesteque
ces
fectentlacivilisation. renc ronaussi ç à et l d'autresques
tionsdummegenre,quelessavantsontiniqu
sanslestraiter
« 0roi,lesouerai n'arriveaufatedela ssan queparl'observa
point deroi; sas ar , po 'a sans imts d'ar
sans agriculture,
in 'imts
la
1 Pour(j*L , lisez yl*. bedi moubedan (pr tre de pr tres). Les
J Moubedanest le
san
pluriel
metcabeda.
qui
circuledans
.Vloubedanet rouan.l lesa
gouvernement
est
une
unlienquitients
force
liairesquiserventpourde
au menement
et
une
expositioncom
1 On
chercherait inutilement
ce pas-
desmusulmans
bablementtrouv dans un
 
é irso
dans
ses
discours
, ainsi
que
l'on
afmde rodu del'effet. • . . •
Ilsecontentade sacrer haququest unchapitreparticulier,
d'histoires,
hommes. ilneparvint
la traductionarabe
teur. Il fut
en a
*, ' Abo BekrMohammedet-Tortouchi litt rature de l'Espagne durant le moyen
naquit à Torloseen
Espagne,
vers l'an â ge, t . II, p. a54 et suiv. On
trouvera
note
, cahier
en
5ao
transmettre
les
ce
e.
plus
fidl1.
qui s'y
avecuneautre, lelecteur critiquesaurabienrectifiermonerreur;
voir
on
1 L'auteurad é crire :
l'auteur veutrappeler Le
t>y ont t alt r s detoutes les anires
parles copistes. Dansl' ditiondeBoulac,
« parsa lumire. »
d'un
gouvernementqui
ait
on
l'assure,
afinde ser leur vi de en leurexistence, il
lesdirige i-
ê tresune aturesp
ciale , pais il les adirigs. (Coran,sour. xx, vers. 5a.) . v
4 La
yont du par
demeurefixe.La est
à sa sr etd' r murailles.Danstoutescescir
constances, l'tat social
iy&3,dichra,
meure
fixe,sur(lerleque
en
truire,
i • . •
(dans
subsistancese mp lorsqu'onsaitqu'ilsconstituentuntatde
sa
doitpasser
avant
ceqi
estdeluxe.
J'ai
rang
dansunmme
sophesontexprim
parcette «
celuidecit .
Le
motcivilisation
1
par
une
quantit
d'aliments
Chac de
que euduforgeron,
foulage,
signifie « un lieu habit , la culture, la p,unpays,
population
d'un
mis
cellede homm
l estdans
l'intelligence,
est
lancessu enaux rnes,
lesgriffes, ui serv à fairedesblessures;les
bo er enen
peutvoir
membres, Un
xpe/as
t ov è v à O cr - bachet Hon n,sousle rgnedukhalife
pari fioplwv fut traduit enarabepar
Ho-
abbacideEl-Mamoun.
Dieul'a ainsi
vivre. Les
serait
ananie.
sontdonc ligsdevivreens i sans
scienceTesten
effet2.La
1
(maudoix,viroxeiftevov) d'unescience est
la chosedontles accidentsquiaffectent
obli
humain, lescorpsc lestes, sontlesobjets
mme
teur aurait
pu ajouter
cipes propres,dont
nadm aussi
essentielles qu'elle
é tudie.
unit s, (- t la gomtrieles points et
les
nousl'avonsiniq etl'es hu ayant
armes
leur
ro
ver
ce
hu etqu'ilaitune assez ferme,une ssan etune
autorit
assez
fortespour
tels quelesabeilles et les
d'un
effetde
Les
et re
 
dudel'es hum favoris sp alemendela directiondivine,
etque homm ainsi distingu aledroitd'exigrde
les
autres
jusqu'
grandepartiedelapopu
du
monde,et
ependant
chefpourlescontenir, é tatqui,dureste,nesaurait
rai deraisinsurl'eau,
aux 'a cela, quelqu erson ont tort,que
l'eaué tait souslaterre.Le
sa
la
é tant chang
l' dition deBoulacoffre la mmele on, enOj LiJ, puisponctu d'une anir
et remplace*Xcpar < U-« , ce quiconfirme inexacte , aura produit le mot Lebla a.
notre
septentrionale, page2ig,donneaumont
nuscrits et l' dition deBoulac, « _iLJ. Atlas lenomde Ji,Adlant: lenom
Ce
mot
est peut- tre une alt ration de d'Atlas é tait doncconnudesArabes.
tsXayos,oubien il reprsenteoiD
deuxsegment le
allon
ge
Laligne é inxia
est et
dsert5;
ces
atires.
Lesaueu
qui
du
monde,seslimites,
cequ'ilrenfermedevilles,de
centresde
dans
la description dusiximeclimat.
qui
la
mats. A
longquelesec celui-i st
quen
de
la
forme
lesujetd'unchapitredanslequel se tro xp cequi
lesdistingue
quelle se rouvdansle tri climatet partduct del'oc
cident;onla
cent
l'ifrxkiya
etleterritoirede
Barca
(la ),
jusqu'Alandrie.
et celles del'Espagnejusqu' Tarifa, liu siu su le d roit,
is is
de aner
1 Les anciens
reur;
cents lieues
deux autres merssortent
vers
lenord.
largeur
de
cl
onzecents
milles4de
decanalde
Venise.
Selonles
aueurs,une
vaste
1 Dnian'est
deladynastieo ad,
 
cinq
etautreslieux;
ensuitevient
le
pays
cettemer,
puis
de
cet
prs
du
Bab-el-Mandeb;elleestd'abord
fort
ci partiedusec
s illes
manuscrits.
t teshumaineset quipoussaientdescris
d sert
Bedja é taient lemmepeuplequeles an
ciens
merRo e.Ladistancequis
isthme
sans
y
parvenir. «
Lasec
mer
quise
tach
lacotr du et les Ahkaf Elle se diri rs le
rd enournantunpeu
dansla ix
partiedusec climat.
P.
Basradela
Syrie
etquis'
l'espace
Khazars et autrespeuples
é ra rs.La
cl del'occident* les rov d'Aderb dja etdeDe à l o
rient,lacotr Tu etcelledeKharezm; idi,leTaberis
en quitraversela tri partieduremi climat.Elle
le nomde agne ElComr,etl'onn'enco
à l'occident se rouventles Oasis. L'autre fleuve se to vers
1 C'est lamerCaspienne. l' quateur, ce quiferait au moinsqua-
1 Notreauteur
Prol gom nes.
mer
noirs,
etc'est
sursesdeux
ci
grandnombrederiiresetdonne ssan
de
et
passe
deMosul,de
l'Aderbeidjan,
deBaghdadetde
Ouacit;
plusieurs
branhesqui
ct,ungrandnombredefortes rivires.Enre hrat et le
P.
desources,il r i dansson plusieursgrandes
rivires,
et,se
mer
deFars.
» cuneobservation
la
3 Pour31.isez ( *UJI.Touteslescor- pienne. <,
Chach
(le
ouIaxartes),
et
les rov deBokharadTerm et
Cestraits rapqu offrentdescartes
etles rritoires
monde
arac re
tout à
1 II
s'agit des
Kharlokh, peuple
turc tes.
M.
Reinaud,
i3.
sieursphilosophes cefaitdoitê treattribu à l'ecs
de
la
haleur
allons é claircircettedoctrineparun
et
au
anen à l'horizon, ilyaun
dans chapitresurl'astronomie,la surieurefaitjour
diffr, pourles
astres, suivant
deuxpoints s,savoir : le
signesen
deux
et fournissent ainsi labonnele on.
i
Onne
3 II s'agit du soleil, de la luneet des
plan tes.
quis' art
so stausrale. La classerenfermeles signes depu
le
nc
(la
erg
la
en d'orienten
ques,quecette
desoixante-
qu
del'quatur, il estau it l' quatur se alors avec
l'horizon; six
er;cequi ch la rodu d'avoir lieu. Sousl' a
teur,
jusqu'
puisse avoir les deux
observationspour
ettepleaustral s'abaisse(audessou del'horizon) d'unequantit
encement
du
duellementau-dessous2del'horizon, et' lemaximumdecetabais
l' quatur lest, ainsiquenous
lest,
angulaire) est é gal à la liaiso du
nc
duCaner,
au
Lorsquel' lvainduple vingt-quatre lesoleil
le
nadir.
 
soleilse rou au
dela haleuretdel' hauffem .Pour(les
haqu cequia
du
il
arrive
est marqu par
l' quatur,jusqu'
haqu et
1
tant t
r gion.
des
nuit
dansleslatitudesqui asse vingt-cinq nord,le soleilse
rouv é l i du ith, et la haleu acquiertune emra re
moyenne,
ou
peus'en
faut;
la
rodu
qu'elle
subit
par
dansledess emen
ontunepo moyenne, ce à la haleur quir
sulte
de
che qui
87. le ag desvoyageursetunesuitenon
tr -p nombreuse.
s' de au rd
tants dans
rfutepar
l'objection
la terredecect-l, ets'avancejusqu' unelimite
sont
nier
estcontrediteparlesrensei emen quinoussontparvenus;
aisr dansle Livred Roger2,ensuitenous
donn
arabe,il faut mettreunpointsurleghan unecopier dui edecelle d'Idr ç i danssa
deLsty i . Lammecorrection doit se traductiondela Gographied'Abou'lf da,
faireenplusieurs autres endroits del' di- 1. 1, p. cxxdel'introduction,
tion deParis.
monde
habitable,
partie
hababldela
terre
deBoulacreproduit
dentes,
piste.Nousavons
misentre
des
crochets
dent droite ; aussie
fait Ibn
tion declimat. Sesnotices sont incom
pl tes et peu claires ; pourles biencom
prendre,
il
copies etles a rassemblessurunegrande
r e.Onposs derait alors unsecours in
dispensablepour l'intelligence dela des
orientation
, ainsiquelespositionsrelatives
ayantaunord les
c tes
dela Dalmatie.
pr sent s.
i ,quis' ,
delamer.Uneligne ag re,disent-ils,sedirigedel'ouest
la terre
enallantverslenord. to dit, ct,
quela terre au id l' at r est it aussi loin qu'elle
s' d.Onverra
ue
largeur
nage
avec
laton
que
l'indication;
audel
sontdes
dsrtset
dessables
quiseprolongentjusqu'au
cercled'eau
qua
ti
faut
d'autant,et
la
latitudedu
pays.
Le
motlatitudeestun
qui
s'
soixante-six et dem el lemmeaueur,la
latitudedu
1 Poury- Lojt, lisez jt climats;

remplacer
3 Letexte, traduit à la lettre,signifie : sible. Pourrendrela phraseintelligible,
« Oh
n'est
pas
ces
 
cet
soixante-sixmilleset
deuxtiersde
mille,
surla
surface
du
mier,est
centquatre-vingt-
deuxmillecen quatre-vingt-cinq;celleducin estdedeux
deux
Dans
cesdivrs
rne.
A
nuit
de
treizeheures
pour
du
qui reste, la dfalcatio decesnombres,srlasommede
1 Ces chiffres n'appartiennentpas à   Pour i, lisez
Ptolmeet ne
d'Abou'lf da. (Voy. la traduction de sa
'
Tousces calculs
vingt-cinq es.Lapluslongue dujouretdela
son
P 9a- rouvdanslalatitudedesoixante-trois etles euredeson
jourle
plus
longsontaunombredevingt.
tude.Lerem climat
ij s.,
et faites
page
sui-
9
Pour
 
Selonbo-Djferel-Khazeni1,
trois
es;
le
quej'ai
pu
trait
intitul es L.c
des
composa le Mizanen
siximevolumeduJournalofihe
American
Hokema nous apprend qu'il é crivit
un
de
leur
l'ouest à
desmerslesplusremarquables
qui
se
rouent
dans
haqu
section
dece
prince,
é riai avait
par
rgnrentenEspagneaprslesOmeades.
1
traduction
seignementsur ce
Ilacen el-Khazenidont
il est
7
IbnKhaldouns'accordeaveclesgo
ener,
lefer
avec
des
pierres,
ssen
ont
savoiren
quelpaysonpeutarriver
lorsqu'onsuit
immortelles, cequi n'offre aucun
femmesimmortelles.» Pourdire
correspond
l'ani35ode
navire
1 5
lesrayonssolairesque
d'obtenir
desrensei
sontlesvillesdeSilla3,deTekrouretdeGhana,qitoutes,aujour
d'hui,
mentle
voyage
decepays. emenau cette io
1 L'auteur para t avoir confondu la chureduSngal, fleuve que les go
rose
confondu
Silla
est
surleNiger
euamontdeTen-
tenantArguin, est situ e vers 2 1 lat. N. boklou,et à sept degrssuddecette ville,
prsducapBlanc. Elle est à environ
cent
4
Pays
ontla
livrent lavienomade.AusuddeceNilexisteun
peuple que
l'on ig
parlenomde emlem2.
emes.Les
habitants
deGhanaetdeTekrourfontdesincursionsdansleterritoiredece
peuplepourfairedesprisonniers.
Les
archands
herbeset
aussi
co
parmiles
hommes.
Les
El-
l'Afrique, p. du tirage à partdela
traductionfran aise, et lesvoyageursmo
et le VoyagedudocteurBarth.
mridionalede
T gourart,
le
pluriel
berberdeOuergla,nomquel'on
prononce
 
cun dece
affligren cepays,
1 Voy.
i
l' dition
Gora
phie
6 LesKanemdemeurentaunorddu
qui
rappell
un
peupledel'Inde2.Ibn
versel'Abyssinie,laNubie lspays
à
ch
ch unlac
surlarive auc decefleuve. ba se rou Aloua, Bi-
lac,puis
i23odeJ. C). M. Reinauda donn une \a traductionde la Gographied'Abou'l-
bonnenotice de cet auteurdans sa tra- fda,par M.Reinaud, t. 11, p. 23o.
duction de la Gographied'Aboulfda, ° pour journes J-|y, il faut sans
introduction,p.cxxixet suiv. doutelire milles Jly l, carBilac est l'an-
*
tit ses
é tudes
un
sud
delamer
Inenne,se
rend
qu'elle
n'a
rien
aumilieudelaci sectiondece mat
habite,
soitles
ct
entre les qui, se tach dela merInenne,
sediri
fui, et qu'elle
sec
climatetdesclimatssuivants.
Danscettemer,au-dessousde al,
duct dunord,onren
par
suite
del'obstaclequeluioppose
les srtsque
arc rentlesBedja,peuplederacenoire.Surleri
lamer,forment une
sur
lamerInenne,
du
3 Ville situ e prsdeia mer, entrele
et le Hidjaz,
de
 
jusqu'
finde
ix
uneforme
al
che,de
cette
l'est,
id cedes
squnc d la
C'est
probablement
une
des
partie oraphiquedecet ouvrage, l'au
situ es à l'extr mit occidentaledece cli
mat, les î lesdeSila,
Reinaud
l'orient,estla iodesAh etdeDhalar,puislacotr
centrale
dececlimat.Dans
dela
fait en Ici se erm ladescriptiondurem climat.
LEECON
CLIMAT.
vissonxtr it occidentale,dans
lamer ronant sont
xi sectiondece
d'Ibnes-Sera a, rent à maintenirleurindrpendanecet leurs
quivoulutmettre
sur
le
trnedukhalifat
undescendantd'Ali,
Ibn Ibrahim el-Tab taba. Cette tentative partiedesonhistoire, i l donneunenotice
lui cotala vie. El-Cacemer-Ressi, fr re de cetle famille. (Voy. ms. de la Bibl.
de
Mohammed,s'enfuit
74a4,t .
Sonfils El-Hocenpassadansle et l'Histoire des Berbers, l. Il, p. 499.)
s'tablit
dans
Sada,
manuscrits
montagnedummenom
la
est é critjiiLi.,Khancou
Relation des voyageurs
discours
Danslevi'siclede
dansson
Negrolund
rs s
intrieuress.
y~fi Ncer;et , Nectr.Abou'lfeda crit
, motquipeut se prononcer Yecer,
tiennentauxenvironsdeGhat, à l'ouest
temple
de
deTadjoua.
ursui sa
endroit,
s' de danslaci sectiondececlimat
1 LeNil
d'arriver à OsoutouS out. 4o6.
'
verslenord,ainsiqu l'avonsdit,etpasse
et de
lehau dela ti section etdanssa ari
occidentale
on
trouve
dansla
dienesquse rouentensuite
1 Remplacez*ilcY par<JVI; à la li-
3 Voy.la
donne
desaillie à lapninsuledel'Inde,
tion dela Relation des voyages des Arabes, cequil'oblige à porterle Malabar à l'est
p.
xciv,
a d rmin la position deBel- duMalwa,aulieu dele placer ausudd
hera. ce
siu à
r s
partieinf riure
l, à travers la ix se io, jusqu' la mer
Envronnane.
rou leDeren2(l'Atlas), agnequilatraversedel'ouest
bre ainsiqu'onle rra lusloin
jÀ ^
Khanfoun
motidraren, pluriel
Berb.
t. II , p. 1 58 et suiv. ) — 4 Le ribat
signifieun
poste
gaire
rou
lepays
de
cette
avec
ceux-
ci
s'arr
Ensu vien
Dansla partieoccidentaledecettesection, la agnedeDeren
surlamerEnvronnan et
ik Mequez) deTaza etdeCas ama8Toutcela
1 Lesgographes et les historiensara
bes é crivent tous cemot avec la lettre
l. Ce sont
, p. î a1
, p. 1-9 et suiv.
que
les cartes
ville forte situ e surla routedeTanger à
 
l'orient
est
Til enTlemcen)
taledela tri
versl'orient
d roit
ressrr, elle
sontsitu ssurlerivagede
id
cette
table gographique.)
le on La forme
surle
cap
auquel
noscartesdonnent
churede
la
Tafna
et
1 Voy.
ch de
l'Atlas), nous
Une
partie
sidrabl
decettesection,
siu delamer,puis a,puisElehdiya.Aumidi,et
du
je
tellesque
Touzer,
Cafsa
leborddelamerRomaie.Vis vis,dansla directiondumidi,on
section,
se rou lavillede adams.Al'e r it ri al 4 delasection
est
1 Voy.
montagnessitu es aunordd'El-Meclaet
ville
lesArabesnomades.
La
tris
elle
jusqu' l'e r it rie al delasection. En lamo agneetla
mer,
du
fait le de,etTo ha,
tiondutris climat.
Dansla tri
occidentaledesonct al, se
et
section.Leterritoirequis' dde
la sec
nomdecap
sejeterdanslelacdu
ter
ritoire
del'Egypteetsafameusecapitale,laquelle
section.Cebras
se
artagunese-
e.
A
embohu
duplusoccidntaldecesbrasest
paysde
l'Egypte,
est
lasec
Tor(leSia), Ala,
quiest la ville ian et enfinEl-Haura, la à l'e r it
d la section.Apartirdel lerivagedecettemerprendunedirec
rei Temout. ' Pour -il, lisez
L' dition
xtr it
leur sortie
delamerRomai danscettesectiondu
tr climat,ainsique
(Ascalon).
Dansl'intervallequi
sectioncessede e
la cte decettemerse urn vers lenord,etentredanslequa
tr
climat.
prsdelamerdeColzom,etsedirigevers lenord,ens' aran un
peuvers l'est,jusqu' cequ'elle cettepartieduclimat.Onla
nommela ag Lokam(Djebelel-Lokam) elleforme
est
Yacaba(dfil)parlequelpassent
(leJordain Taberi
Ti riade).
qu'
Adraat,
l'e r it
Damas,duct del'orient(du
de
cette
est
habit
tribusnomades.
dserts,o
les
Dans
arai danslesquelsl'Euphrateverseseseaux.Plusloin, versl'orient,
l'endroit
Ahsa.
Al'ouest
deces
cotr
on
rou
Elhat
mmesection;ellesdomnen apartie
dusud,sans quitter la section. Au-dessous(aunord)
de ormuz
lasection
mit de
1
Kurdes.Danschaque
zemmse
trou-
plus
loin.
Dans
le
su est le restedes onagn d'El-Cofs.Toutau s,au
P n3. etaunord,
manonrouvlerestedelacotr deFars,
le rd-oestdecette
en
verslemidi,pendantquelepays
de
anseprolonge
vers
La
iti
section
race rque.Cette
l'Inde.
Au
nordde
ces
dsrts
estle
Ghaur,paysdemoagnesdont
lacapitale,Ghazna
est
Al'e r it septentrionale duGhaurest le an d'Asterabad.
Plusaunord,etjusqu' l'e r it decettesection
s' d
etde
Djouzdjan.
Le
raan
P-
ni
Balkh
tait
à l'Inde. Il prendnaissancevers l'e r it orientale
de
la
partie
to
vers
l'ouest,
et,
harba ensuite il se dirige
vers lenord,traverse
le horaan
et suivrelamme
fleuveetaunordd'El-Khottel
l'ouest,ens'inclinantvers lenord.
eu
delapar
tie ridi al decette section, se dirige ensuite vers l'est en
s'inclinantvers le nord,et entredansla eu sectionducli
nonloindela limiteseptentrionale decelle-ci.
qu'unseul
et le fleuveDje s' d le an de aman quifaitpartie
du
raan
L,surle
bord
du
raan
la
porte. Le
du
paysd'ElOuakhch,
qui
orientale,
etaunordd'Et-
Termd.La
rivir
Balkhasort
des
partiedu horaanApartirdel, lariveorientaleestfo par
Ferghana,
quise
pro
dela section.
de
la section.Al'occident il confine à la rov deFerhaa; à l'o
rient, il apourlimitele ay Taghazghaz,autrepeupleturc,
dontleterritoires' djusqu' l'e r it orientaleetseptentrionale
decett section.
Pour
, lisez
quelest lepaysdesKhirkh , autrepeuplederace rque.Cette
Aunorddu irk estcelui
Leshabitants
des
r ssontsitu sdansla eu etla ix sectionduclimat,
audel du raanetdu
etdes hevaux ces roupeauxleurfournissentdes etser
vent leurnourriture.
eux
merEnronnan quis'
indiqu
ir
à
er
lesqu
emre
sections
duclimat
etunepartie
golfede en se
mit orientale dela tri section
du
d roitdeTanger, qu'elles'largitau d'entrerdansletroi
cette
section.L
(Ceuta),
sur
Badis;
la
Malaga,puis
El-
l'occidentetdanslevoisinage
delamer
Enronante,
onren
Ach
adi
et
Basta
(Baza).Au-dessous,
duct
aine-Mar de Algarves) et
vers
hbo sbo siu surlefleuve
duTadja(Tage).A
'est
de celle-ci sontles villes Ch ter tar et deCoa, P. 119.
la mmerivire, puisCanaret s-S f
(lepontde
l'E-
pe,
(Sierra),ch demoagn quisedirig rsl'orienten
ed alem
l'orient deCoria, Tole la de Ouadi'1-Hidjara
(la
18.
celle-ci,verslenord(vers le sud)sontlesvillesdeDjindjela Chi
nord-est
situ à l'est de edi Salem plusloin estSaracosta(Saragosse) ,
puisLerida, surla limitedecettesection,vers le nord-est.
La
mer,except
l'angle
),dontle
nom
l'e r it
demauvaises
cartes,
est
au
sud-est
sud,
chanedemontagnessedirigeaitdu
nord
au
sud.
ville
de
Barche-
louna
inhait s,à raisondeleurpeu due.A'oc
cidentest l' le deSardan Sardai et, à l'orient, l' le deSi-
kiliya
nombrede
quiless ar,
à l'exceptiondetrois2 points,duct dunord.Celuidel'occident
l'orient l'Alanie), à acotr desV ities
La tri section
habitants sont elbo (le se),
situ dans
Cr ), qui
seprolonge
Sardaigneest '
 
de,l prendlenomdeDjebeles-Silcela(m agnedelaCh
leTaurus)Del » cet moagne
dela
mer
section. En ces moagn se rouventplusieurs cols, apel
Ed-Doro (lesDfils),qui
section, etquise
dirige dusudaunord.
Surle rivagedelamer
l'ouest
dela
IsmaliensAssassins
affid .
d'Antakiyailya -Messa suese),puis
l'e r it dela Syrie. Vis vis, à l'occidentdela mon
agne,sont inisr et -Zrb Anazarbe) vis--visdeKi isr ,
à l'orientdela
Zerba,
sur
entre
d'abordvers
han ara emenau
Dji
han,
arriv
Quant
envi
Nsibn
(Nisibe),
So-
rivi res
oupent
etd'Er-Racca,et
l'orientdelaquelleestlepaysdel'Irac,
qu
luiconfineetseprolonge
Danscetendroit, l'e r it de
l'Irac
cequ'elle sorte dela section.
lelieuole sortdelammesection. Euhrat entre
vers
lesud,et
laisse
à
l'ouest
la
villedeSiffn.
Se
dela
section,cesbranhesentrenttoutes
dansle
trisi
climat
etvontseperdredans
lesterrains
1 Pour isio
lisez kiiijj. — 1
lement la
rection, rejoindrela
ou l'occiden d'ElCadec et,parvenu Baghdad,il mleses
eaux à celles
mer
de
rov siu vis--visdeBaghdad,duct del'orient,se torn
vers
le
pour
Djeloula.
Al'orient,
prs
d'Ispahan.
ouFehla,d signait l'an-
Prol gom nes. 1 9
 
le celle
deChehrezr,siu prsdel'endroito
lesdeuxmoagn se
runiss .Vers
villesde etd'El-Blean. À l'anglenord-est
la partie la
lesvillesdeHamadanetdeCaz Le
rou
lavilled'Ispahan.
agnequisort(decettesection) à l'occidentdela rov
nous
l'avons
ct
d'Ab u'jf da par
M.Rcinaud, t . II, p.
delamoagne,se
rou
ristan.
Ce
l'occidentjusqu' l'orient.A
moagne,s' lvela
' le
celledeMerv-Chahdjan,
qui
' Pourjlisez
« 9-
horaan ainsi
tion te entredans2celle-ciparle id al. L se
128.
rou
pays