Ala%,,e1,,,iournal hebdomadaire,

Français, vient de publierIl_r''éjuric magistrale intitiglée

o Ne serait-ce pas la mé-U;gt't -- Tout naturellement, il y

du Comité des Forges.

Et 't-bel et bien ce comité qui a

s gosive.rnants de ce pays,gjoen'Pe certaine durant lei

t l'après-go/erre. Sans doute,

re-je'rteesir sait cela Mais oublie

me°. Or, ceMnt la des verdis mi on

yra jamais trop entrer dans les

esprits,mleeis donc d'extraire, des

Je M'eeides de l'impartial Francais,

venues citationsSelon la thèse du Comité des.cs le marché des régions libé-

Fseersgrl'ait une sorte de chasse gardée,rraieot réservée h nos féodaux

far et de l'acier... En somme,l'Allimagne n'avait contribuer uspour les sinistrés ni pour le Trésor,pois bien pour les maîtres des for-

Et c'est ainsi grue ces derniers nemiment accepter de l'Allemagneque des livrais°ns de charbon et decolne pane /a raison c supérieuresentles étaient les seules inter.-eines pour eau..

Nous verrons. «sillon> parquille po/inertie audacieuse massientin niais svsiêniatique, /c Comité I

des Forges démolit, morceau parmorenn, l'édifice ou les accords deVBeshaden. Noms verrons cela, dansun mise article.

A.liouriolud, nous mutilons rete-nir la collusion certaine entré lagrimée banane et la grande métal-lurgie Ainsi les administrateurs du&mité des P*,- ne sont-ils rias, enoutre tulurateur4 d'étabtisse-ruts bancaires P Taus ou presquetous.

t.n. Eugène Schneider cumule lesfonctions d'administrateur de taCompagnie du P.-L -M.. de la SociétéNormande de M5talluraie, de l'UnionEuropéenne et Financière, de la Soeiété Franco-Suisse pour l'industrieElentrique, avec ce; mêmes fonctionsla Banque de l'Union Parisienne et

tu Crédit Lyonnais !If il. Théodore Laurent adniinis-

tre a la fois, la Basique des Paya-i'. et du Nord et les Ateliers etChantiers de France, les Etablisse-merde Métallorgieues de la Gironde,durorges et AciésPies du Nord et del'Est de la Simiéte tirovènealeConstructions Navales, des Minesil'Anderny-Chevilion, des Etab/isse-meus Intlinann, des Forges et Acié-ries de la Marine et d'Homécourt,etc..

bonnes-vous, après ce/a, si tag''.aud banque soutient le haut pa-lisslot. Et si même, it son tour, ee-51's1 Marge ceile-In. Ils ont la me.

âme. Et qui est le coffre-fort !tI savezsvous, mes amis à qui FE-su plutôt le gouvernemebt, fit

'dr Peur s faciliter la réparationdonnuages causés par la? llais tout bonnement à ces

do coffre-fort. Et c'estfut créé le Crédit National,

banque camouflée. Mainte-irez

trliatiejmLoseiteiofnamdueucs oreldit y

Hal. La liste en est un peult mais combien édifiante

ont

ABONNEMENTS

00402 ff 6 ra.

ANNEE 7,Z,IA

Louis, an,cien sous-gouver-^Islit Foncier de France, di-

président du Consed.contrôleur général ho-

Banque de France, dm.-

Pierre, ancien directeurfsnances d'Alsasue-Lorraino,

fidminIstrateurs

administrateur déléguécommercial do France.taire général honorai-

s de Haint-Gobsin.onoraire de la Com-

stdent de la Banque natio-

ent, dyirfceteuuits';01.-foi

nque de Franméleetrique du lit-

es-ils comité des Houille-

snoi,nt du Crédit du Nord.éd 'n.slttrltl'Société lu's''é-

it-

cieltdedeohie'rn?nnvir'.11,_tp Bamum de France,utz ha Badaud de 'ténias

Réclattkeet et Alatrinifittleif>el 36, Rue Requelaine - TOULOUSE - TEL toese Compte Chèques paumes i0seirjrBUREAUX A PARIS e 3 Rue erAmboiae, 3 Ce A.oeuliosemast) Télépkee i Castre/ Deb«cee

HEURTEAU, administrateue de la Com-

Hee ezetdrfti: s%-cté géné-rale.

LNEDER10/1, régent de la Banque deFrau., président du Syndicat généralde l'industrie rotortnière.

CHARL1/14-LAUREBT, anxbassadeur deFrance, président de l'Union deZ indus-tries métallurgiques et minières.

LEFEVRE, directeur général du CréditLyonnass.

LEHIDEUX, président de l'Union syndics-In des banques.

LORTHIOIS, président de la commissiontechnique de la Laina.

Georges PICOT, vice-président de la So-ciété générale de crédit industmel etcromaircial.

Plislia5/5-W/LL Scongei, administrateur dela Banque de t'arises ci. Pays-Ras

P/NOT, viee-président du Comité des For-ges (l'âme agissante dudit Comité).

RAVAL, président du Comptoir d'Escomp-te de Mulhouse.

514100, vice-président de la Banque d'In-de-Chine, a.dministrateur du ComptoirNational d'Escompte.

Et constate CenseursDESPAGNAT, président dts Syndicat

du bâtiment et des travaux publics.MACHART, administrateur délégué de la

Société du Louvre. .

RENDU, secrétaire général honorairela Compagnie dm agents de change /lmParis

Ouf Respironns 1... Aérons !...Quant aui comite des prêts, il est

également une collection choisie depotentats, petits et grands, de l'ali-mentation, de l'hôtellerie, de Findus-trie hydraulique, on électrique, oUmécanique, oui chimique, ou du tex-

.

Et c'est à ces messieurs que l'Etata confié le soin d'émettre des em-prunts formidables r plusieurs di-zaines de milliards !

D'aucuns s'étonnent des réclama-tions véhémentes et nombreuses pro-venant des régions hier envahies ettoujours point libérées complète-ment. Car les vautours y sont en-eare.

D'aucuns.s'en étonnent 1 Des nefsou des ignorants, sans nui doute.

Mais vous, lecteurs, vous oui sa-vez. Lisez, retirez. 'Et puis, jugez.

CHASTANET,Député de l'Isère.

BeavErr rra rsi Laar arnas ot OOL teOVIA.;,0C-ALGÉR;E

AKAp or ses au-delr d FA SM(

LIGNES AÉR9MIRs LarecoÈrse. o.-un a Id - PARIS

- assuazs-m.K.,,ssz.....s.assvssisa

MO.E-10SHenri Bévue!, désimuse de Inn der journaux

Imm.., en Renia, crut faire PloOir ausinage du Counta én lot demandsme on jou. s'ilPonent n Metiter

n n'abfins ses numéro dom journal qu'asneindté.L'Humanisé, in éjfés, est a rifla,. en Ronde.

On n'y peut asserir. dans le, sphères officielles,sononsimi/ismigno,

Les boldieriks, mumotsms, n'osant en intnerela lecture, tu sont arrangés Pour noie,nt soldats, ni prenne n aient le Moyen de s'enpcomess un exempt... Son pex do Me a étéfixé à sO fiesses b numéro.

Qoorino Temas considéré mnsme milsodoesils, vend en RmsM, sin 'in'.

(diCmsnol.

sev

LE MINISTRE ET LE CHAUDRONNIER.Raft' 1.10 Mec Donald, l'annal, premier anglais.

qui se nouba actuellement à Suerborough, ou ilnsisto ou congrès des Trade-Unions, oient de 3.-u, mi, pe/ife ,pératiOn. Il souffrait, en effet,cruellement, depuis ossions senri, de rhumatismearticulaire et le pouce de sa main drossé /v'lan,.Ment était perclus à se/ ou. qile reà-PronletPenuatt même plue lents un. Pltm,u

Os, au congrès de Ssedgeough monte, égale-ment un ouvrier chaudronnier qui, on dehors dann métier, s'am.« ausni d'opérations °havrerotes Il rasas que celle rida nent do terailsrunsur Mac Donald a perfaitement réuni et l'on es-père que le leader Vanilline pourra bléessts seserais do nos.,,, de eee doigts,

ets

PROPHETIES.

Dcbsess un snots on fait °Veule. en Allemagneune toschuso qui cornent de prétendun sagestirs.

L'ouoran n'est pont signt dscsrne explicationn'est fournie ...nem l'or/eine de con cil'

Peu impoile 1 Den centaines d'éditions sof de,été oendoes.

Semper, done 1 Cette brochtrn minomé messiedsmons suer taté " c.iila do Vn,oillo, 55r0déclaré caduc et net Les delle. de ene,e se-rent supprimées. Il il ana un mss./sem. en.

l'Angletesm, l'Italie és l'Allemane, Une pis-mies. colonie mns smusaa. au Reich.

r En 1927, Masn une surn. ddas les Bal-krns, be, .,/,,,,,,ansbisc, réeollennt. Et laFrance sera rninme pas l'Allemagne «Près ntepneu seins soldats, pn nions el eau délétè-res... r

On ferait bien d'enuoyer quelques-unes de enbrochures nue Etats-Unts.

LISEZ ET FAITES LIREMIDI SOCIALISTE t

SOCIALISTE

slilko..ierreescon

Une volk du ciel. Raymond Pomme/ est-t« al béateRaymond. Seigneur c'est qu'il n'y a phis de monuments aux morts ta

inaugurer

EN ROUTE VERS L'AMERIQUE

CE QU'OFFRIRA M. CAILLAUXParis. 14 sememiare. Suivant la

Core.. Trime, de ce matin, M. (lait.laux offrirait eux Etats-Unis une annuitéb'environ 75 millions de dollsrs.11 chercherait aussi à olgenir. comme à Londres,que la France ne soit pas contrainte dePayer. en ce qui concerne la drue deguerre. plus qu'elle ne reMit de l'Allesinsme na titre des récarations.

Lo sournal areerscam da sue cens seraun des uoints difficiles à réglez. car FA-

ce qu'ils n'ont pas SiMné le traité de Ver-sailles et qu'ils no désirent pas avoir leReich comme tierce partie dans le régie-trent des-dettes.

M. Caillaux tentera aussi, sans doute,de diviser la dette en ni dette politiquecomprenant les sommes ornaramtées Pourl'achat de matériel de guerre durant les

Milités. et en dette commerciale »,comprenant les sommes esppruntéesaprès la guerre. Cette différence étéadmise par le gouvernement britannique.

La délation française espère avoir ter-miné ses nèpe:mis/ho. en dix jours. Elle

rnéri uo n a ce.s6 d ré 'ter nue I ce-e aPana de navra de la France n'est pas enrapport avec les versements alletronds.Les Etats-Unis ne 'veulent nos lier la comme nouvou s embarquer pour ladatte de guerre avec les réparations, par- France /e octobre.

Les otérztion au Marco)

Nos troupes progressent leatement

LA SITUATIONSUR LE FRONT FRANÇAIS

Fez, 14 septembre. La journée d'ilieret /a nul/ se sont passées sans action donotre part et sans réaction de la part deT sri Nos trou e; consolident les posi-tions Coupées. Elles ont reçu des pro-positons d'aman de diverses Crachions quidemandent quelles sont nos conditions.

Des renseignements officiels complémen-taires pour la journée du 12 septembreindiquent que l'ennemi a opposé une résis-tance vigoureuse au mouvement de noscolonnes de drolte du secteur d'Ouezzan.L'ennemi a été successivement bousculéde Kaufman, du l'oued Hamrine ei deTechtsaben-Abou. Une autre colonne quia attaqué Bab-Hoceinte avoc des charsd'assaut, a olé constamment centre-atta-quée sur son flanc gauche, mais sans suc-cès.

Les dissidents se retranchent sur Rab-/vagin°, tireû ils ont tiré, durant toute lajournée, un feu de mousqueterie. Les per-tes de l'ennemi sont très importantes, lesMitres sent très faible. Le secteur estcalife(

Notre artillerie a exécuté, au cours del'après-midi Mu 12, de nombres, Texd'artillerie sur les villages des Senhadja.

Hier, nos Msesigrilies ont lsombardé effi-eacement les régions de tillions, Senhadjaet du djebel Aghil. .

Sur 10 front do leo cor., a. misigelleavance de roi tempes, en dirostoin deMeulay-Hou-Djmnaii, a produit une bob.impression dans la zone dissislente ot citezlos soumis, dont la rentlance so reffermit.

Chez les Humes, mielques familles ren-trent de dissidence. Tout le pays des Boa.nos commente le débarquement des Esna-gants et se montre très impressionne cesnouvelles provenant de eelle région. Lunuit a été 'calme sur le front de ce are-tout

Lo maréchal Pétain est attendu prochai-ne/nein à FeI.

On annonce que olutrif Derkaoui a réoc-cupe la n'ouïs d'Amjot.

LA PRISE DE MIMA 'CANARià septembre- On annonce

rue les celonnes espagnoles du secteur deTetouan ont continué hier matM touravance. Elles ont motté sans i.id.tKudie-Taliar. Le commandement signaleque l'agitation os In tranquillité dans larégion de Voltais dépendait du sue.; dol'opérai

Dans le secteur slgs.thusiirnas, l'ennemia été déconcerté par mare débarsai7smerst.Nous continuons à nous fendes nouasse-ment.

Les dôfenseurs de la position de Kidua- ;

Tatien preuve° hier par le gros sic niestroupes, avaient été peoaam dixjours, par t rois ouilla roblles décidés tatout prix à. prendre la positIon en appuyantleurs attaques av. plusieurs canons. Mal-gré cela, les défenseurs do la positionn'ont Iléal" â. aucun mornes! Ils ans ré-sisté avecteliacité aux efforts de Pen-nem! a été disperse et a laissé

entre nos mains cent cinquante mordsplusieurs centaines do fusils et Ms srm-brous prisonniers ingoeme ou Mc?,

Les défenseurs Oc leudistataliar sontrentres hier a 'têt... Ils p ein reps unaccueil enthousiaste Le embat en ôôs4prépare une tel.° ou eur honneur.

UN PLU DE CALMEFus, 11 seplenere. Hier, la colerme

du groupement ouest, gui marchait dls-sonal. sur Hab-Heceine, a nu lutter avecune infanterie morniinte et nombreuse quibarrait tes crûtes daci la direction de lamarche et qui Eu accrochée 3T1P mn fia00gauche; nia°. h 9 heures, nos troupe; en-/e.vaient brillamment leurs objectifs et s'ymaintenaient en dépit des attaques dot'ennemi.

Une deuxième colonne Parlant du naadr a Mamie de l'ouest Acustar attesgsiaia,vers /0 h. 30, le mamelon à lest de Dor-Araba, oht elle l'astre-ro.

A la même heure, 'une itztoOmèrhecolonne débouchait cravoudiar par Radie-rsao et se portait vers Riens.

Enfin, dans /a régieus d'Amjet, une autrecolonne a poussé jusqu'a littasitase etSiabel-Hadj, à 5 kilomètres au nordetaudour.

On signale qu'un eanon de 80 à Achir-bans el un canon de 75 à Aoudour sonttombés entre nes mains.

Le calme a régné suc le front l'après-

Dans le secteur du groupement dg cen-tre, les RiounasSe se sent enfuis dans lecourant do la nuit chez /es Mucus,5 et IreBeni-Ouled, abandonnant toutes loure pro-visions.

Ag cours do la journée du 12 septem-bre, l'aviation ést intervenue, prenantpan, objectif la ré-mu de Tanuerta,d'importants rassemblements avaient étésignalés, ainSi que ms villages d'Oued-Arrizan, Soins et Si-Milamed, les pentessud de Bab-cl-fiel et le Pjeb&-limeil.

Bans le secteur du 19e corps d'armée,d n'y a rien I signaler.(Communique-)

-UE QU'ON DIT A LONDRESLondres, 14 :septembre. Les is Daily

News conatatent que le maréchal Pétain01 10 général Primo de Rivera coi devanteux une tfielM colossale. Dans six semai-nes, il y aura la pluie qui changera lesvallées en rivifiées. L'Espagne et la Francesont en fa. (rune entreprise qui, selonbel o DallY News ss, -aurait fait reculerNapoléon lui-nrécne.

Le e Daily Chroniele a, ergseen libéral,dit qu'Abd-el-Krim no peut Otre dattigi quePar ha sais. d7iiveu St l'hiver n'arme°pas un mois mus tôt, les Soldats do laL'ordo ot d'Espagne peuvent terminer laguerre-. cet -automne.

LA LEGION A L'ASSAUT D'ASTAR

Tauonat; 14 septembre. Le poste doTaounat, ofi M général Billots instatia sonposte de eommandemont, est ansérifsblecamp retrandbr.

Los pièces startaMrie sont digliéeS der-

sabre des épaulements et bas mitrailleu-ses placées sans des casemates ...I..

Les troupes d'attaque du général 13i

Loto avait reçu la mission de s'emparer duvfilag,e d'Aster et de Panoien poste de cenom, au nord de Taounat,

Depuis la veille, l'artillerie de tous cali-bre niait rage; les avieng venus de Fez, etparticulièrement les a Goliaths a, lancentdes tonnes de projrntiles.

Le matin, à 5 heures, /a danse recom-Menea

Les troupes do premier choc sont grou-pées fa. au Nord,tes premières vagues d'a...t, comPs,

sers de la légion étrangère, s'ébranlent,soutenues sur le flanc drelt par une sec-tion de tanks, qui est surnommée la ter-re. du RUT.

Le tir de nt/Perle cri parfaitementréglé.

Un village à l'ouest de Sahola est dé-passé sans re.ontrer de résistance; mais,des lisières d'Achald, une fusillade in-tense nous accueille,

alionge sen lie et s'acharneOur les premores maisons; les tanksesquisse/H un mouvespent tournant sur lagauobe.

L'abditi:n des [riv.lèf:es

Que la bourgeoisie prenne garde I L'his-toire qui est un perpétuel recommence-ment enseigne que les révolutions sonttoujours sorties de débâcl. financière'.

La nuit du 4 août est venue trop tardon 1780 pour assurer le sa/ut des classesoriMlégiées, imam entrainereat dans liarnmele réal.,

Que la bourgeoisie, stupidement sourdeo.- appels des bourgeois ciairvoyants maila convient ii faire ta part du feu pouréchapper elle-mémo au désastre, prennegarde de se résigner trop tard â sa nuitdit 4 août

Et que le pro/étariat se tienne prêt tDemain, les replâtrages ministériels se-

ront sans doute impuissants â apporterremédie à une situation financière déses-pérée.

L'impuissance des pacha bourgeois iras'accentuant et la débâcle ire so préci-pitant.

Une situation sons issue s'ensuivra qu'onappelle une situation révolutionurthespi eXfigra des messires rétolutionnaires.

151. MOTTAçSl représente la &drue SI, soiiéis des Osas,.

Le prix des bô.els à Nacos

D'Hom &ratai, setece d. Moscou, dan

Qu'est-ce que le quart d'Imure de Rabe-lais an prix du quart d'heure moscovite 1votre coambre aux rorsinets démenti.-ics, a l'armoire sons serrure, à la sonneriemuette, 'aux fenêtres sans rideaux, voussa.° entre dix et vingt-deux roubles,selon que vous désirez vivre 'en moujia,bu vous laver.

Vingt-deux roubles, cela fait douze dod-ues et demi, le prix d'un appartementdaus les meilleurs bétels de New-York,de Londres, ou de Pahs. Le petit déjeu-ner fort petit un verre de esse autait et quelques brioctses coûte à peuprès vingt-fieux francs. Cela domo, avantmime que vous ayez enfilé votre panta-mn, le barème des prix A Moscow A table,une bouteille de mauvais vin de Criméeest vendue dix francs, une pinte de bettequinze /ramis, un plat garni quelconque,vingt à trente francs, une tartine de cmvies, trente 'francs, un slessert vingt-cumfrancs, un café, cinq francs. Il y a quel-quefois des fous mil boivent du case-pagne. il ne leur en coule que riuq A su:ceat francs la bouteille. Voulez-vous gril-lelr une cigarette ? Les plus médiocrescoûtent sept francs le paquet et /ionsait que /es cigarettes russes, munies delongs tubes en carton, n'ont pas trois cen-times'. de matière fumai.. Le blancids-sage, raffinement de relie, est un tra-vail de Chinois fort bien fait. On vousrend des cama/ses éblouissantes, qui vouscoûtent chaque jour tout juste le prixd'une chenuuo neuve à Paris...

On pourrait continuer. A quoi bon ?

.urosugeeoo peut faire si Moscou un pasgni, pour les frais, ne vaille un véritablevoyage. Voitures, guides, interprètes, toutâ %Menant.

Voyageurs, touristes, commerçants, quivous disposez à partir pour PC: D S. S.,n'oubliez point mie Io conmumisme estfondé sur le mépris sles biens terrestreset, en particulier, de l'argent.

J'oublie de vous dire le nom do l'hâte-/ler qui sait louer ses chambres et vendre

repas au triple du plus haut marchémendia/. Cet hôtelier n'est autre que!Etat soviétique. Il apeut-être raison de nepas lolérer la concurrence.

MARDI 15 SEPTEMBRE 192

20 CENT,

POUR M. AUSTEN CHAMBERLAIN

LA SIGNATURE DE L'ANGLETERRE 'AU BAS D'UVTRAITE AURAIT PU FAIRE HESITER L'ALLEMAGNE EN 1914

SE PREMUNIR CONTRE 1,9 GUERRE, C'EST eyçpke,UN MOYEN DE L'EVITER.

Pour la convocation

des Chambres

Lesmilitants délégués à notre ré-cent Congrès National, furent unant-mes à approuver notre and

Pressemoue,lorsqu'il leur demanda de vo-ler une résolution qui fuit ainsi ré-digée :

in Le Congrée donne mission auGroupe Parlementaire de demanderla convocation immé.diate des Guam-

» Pour connaître les intentions duGouvernement concernant le conflitdes Banques

C'est etzreiln de celle décision quenos amis Pool Faure, Léon Bhun etflabert-Rouger, comme nous Fall-noncians avant-hier, ont demandéau gouvernement de convoquer im-médiatement les représentants de lanation.

Les graves évènements qui se dé-roulent à l'heure actuelle, et sur lecaractère tragique desquels il n'estmalheureusement pas besoin d'insis-ter, ne justifient que trop une pa-reille mesure.

Songer qu'a notre Congrès nousn'avions ITte'rlie pas à envisager la si-tualion en Syrie. Voilà qu'aujour-d'hui le calme est loin d'y régner etque la mort y exerce son ceuvre. No-tre présence Id-bon est une folie deM. Clemenceau et du Bloc National.Ce serait faire acte de sagesse et deprudence que de donner l'ordre ànos troupes de se retirer de ce paysoù nous n'avons que peu d'intérêts.

Qu'en pense le président du Con-seil ? Justement au moment où nousparvenaient de Syne des nouvellesinquiefrtantes, nous lisions dans lesjciurnatzd des extraits d'an fort beaudiscoies, plein d'idéalisme, pronon-cé par lui à Genève,- et dans lequelil a porté de la paix à instaurer.Alors, pourquoi ferit-it la guerre ?

Car, en plies des événements deSyrie, il y a ceux du Maroc, qui illus-trent d'une manière encore plus pé-nible le contraste qui existe entre lesparoles de M. Painlevé et ses actes.

Que se passe-HI dans le Riff ? Est-Ce que .quelque chose de sérieux abien été tenté pour faire la paix avecAbd el Krirn ? prétendqu'aucune offre ne hué u été trans-mise. M. Painlevé avait promis, enrépondant aux questions

reessantesde Renaude!, à la Chambre,allait offrir publiquement la paixaux Rift ains.

Il n'a pas tenu ses promesses, puis-qu'en admettant même que des pro-positions aient en lieu, il u refuséd'en faire connaître la teneur aupulls. Colin-ci a pourtant bien le droitde corroie ; il vent qu'on en finisseune bonne fois avec les pratiquesscélérates de la diplomatie secrète.Et puis voici Lyautey qui rejoint sonposte. Que signifie ce limogeage àretardement ?

An point de vue intérieur, nousarions aussi des explications h de-mander au gouvernement. Quelle estson opinion, dans ce conflit des ban-ques, on l'on ri Vit des brasseurs demillions refuser brutalement l'arbi-trage dit ministre du Travail ? Dequel côté est-il dans cette latte ? Du'côté des employés, dont les reven-dications élident si légitime, et quiacceptaient la conciliation ? ou ducôté de l'obligarchie patronale deguerre civile?

Bref, questMn syrienne, affairemaeocezine, grève des banques, voilàdes problèmes gui ne doivent pasêtre discutés et résolus dans l'ombremustérieuse des chancelleries et descabinets ministériels. Poire dissiperle snalaise gai pèse sue le pays, ilfaut parler clairement ; ii faut pra-tiquer une politique de franchise elde loyauté.

Voilà pourquoi les socialistes, quitiennent à ce que l'opinion soit ren-seignée, réclament ln convocation duParlement.

Et si le gouvernement refuse de téconvoquer, que nos élus n'hésitentpas, comme Compère-Morel ROUS l'adit, salle Japy, à entreprendre danstoute la France une campagne éner-gique I

4_92,,

A NOS A SONNÉSVals 11.1PrELONS .4 NOS ABONNES

QUE TOUTE DEMANDE DE CHANGE.MENT IcillitrSsE DOIT EIDE ACCOMPlIf/NEE de 0 fr. tO ET DE LA DEIINIEREBANDE,

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AUX ASSISES DE CE,NEVE

En faveur da iiésermeinent

Gindre, 11 septembre. A la séance dece matin, M. Buero-TUruguay), fait ses.sortir la volonté de FAmerique latine deC3-ileorer, et cela dès son entrée dans MSeciété des nations, à l'organisation de laSiC ionique internationale. « son pays,déclare-t-il, est heureux d'adhérer aux no-/mes propos qu'a exprimés l'éminent délé-gué de la Suisse, M. Motte ainsi qu'au pro-jet de résolution de M. 'Aden, délégué dela Suède.

Le comte Apponyi, premier délégué dela Hongrie, avant d'aborder la question duprotocole, se rancit° du Rames de remua ene la reconstruction financière de la Mon-

Passant à ta question des minorités, lecomte Apponyi dit que si l'oeuvre de laS.ieté des nations et do conseil n'a proporté tons les fruits qu'on pourrait désirer,cela tient surtout à la défectuosité de laprocédure.

Arov.t anprotocole'

le comte ApPonYIexpédie qu'il fit partie de la sous-commis-Mon juridique qui élabora le protocole, au-quel il a donné son adhésion personnedeet qu'it a cherche b faire acceplter de ra-tifier perron gouvernement.

Le premier délégué de la Hongrie sato-:o.:, les paroles de MM. Chamberlain,

Boncour et Bênês, et notammenttoerlissement que donne ce dernier en

lisant que bien du temps ?écoulera ayantquo l'on puisse arriver Par les aceordsspéciaux aux mOInes résultats que ceux quimataient Cté obtenus par le protocole. Poursa part, il partage Pleinement cet avse.

Le dellaoé hongrois souhaite, en ce quicone,. le désarmement, que la situationactuelle né soit pas une impasse pour laHongrie. Seul; le désarmement lui don-nera la sécurité, car elle est sans moyensde défense. Il exhorte Pasmnablée b fairenn pis avant dans cille question. Puis-qu'en ne peut pas ...Mer an désarme-ment sonS avoir la sécurité, il proposed'amender la résolution de 51. B.:moues deLeen, en ce sens que les traaa. PréParattifs de la conférence en vue de la red.Gon des eamenmite devraient Mec entre-pris Salis délai.

La pi-e ne peut litre fondée que surla justice, dit Parafeur, qui montre que legrand péril de l'heure présente est le da-sliccord profond qui règne sucre qu'est lajustice. Il faut, pour la justice, arriver àcoite réduction générale des armements,car le désarmement unilatéral que subit lnHongrie est une source d'humiliation etd'imitation.' a

Motivant sa franchise, le comte ApponYitermine ainsi 1 « J'ai la con/Action que,lorsqu'on parle à plus puissant que soi, /aflagornerie est une insulte et la liberté delangage un boannage.

ems-,

Henriot, député communisteest arrêté' à Alger

Alger. -- Sur mandat d'oc nouer du jugetrinstrurtion d'Oran, Ilenriet, député com-muniste, a été arrête, Mer, par M. Burtin,communiste de la sûreté départementale,eu moment oû il allait s'embarquer pourLi France.

_tonere/ est Inculpé de complot contre lat, o de l'EMS Aussitilt aminé, il a subina interrogatoire d'identité et a été écrouaii prison de Barberousse en attendantnon transfert à Oran.

Cette opération a été opérée en vertuMun mandat du parquet d'Oran, qui avaitrigeorment ouvert arte enquête sur cn,tains discours prononcés par le dénotécommuniste de la Seine devant des audi-t.. arabes et dans lesquels le parqueta vu une excitation très nette à la révolte.

Ilenriet aurait notamment dit è ses au-diteurs que la réo-olte des Arabes était Ingaule façon de faire triompher le corn-...ne dans le nord de l'Afrique.

Les Moellons cantonales

14 septembre. Voici les résul-tais d'une élection au conseil général pourle canton de V111131, en remplacement deberrami, députe socialiste S. F. I. O., dé-

- cédéInscrits, 9.824. Votants, 5.455. Suffrages

imprimés, 5.344.lira dotenu Fribny, socialiste S. F. L O.,

3.205 voix (éitd; 5151. Darieuxbourg, su-rin/tete unitaire, 1109 ; Van, député, 679 IDivers, 50.

Le Pacte de sécuritéL'AjTt ['UDE DE L'ITALIE

L'attitude de l'Italie nu regard duOncle do sécurité demeure assez énig-me/au,.

R,n 'édité. le Cabinet de Rome nePaut vas ot Participer, parce qu'il pren<Irait dés engagements sans mion con-/merda ois à pis da lui des engagementscorrespondants. I a pacte vise la stabilitédes !rallié:rés dans la région rhénane..mais l'Italie n'u a pas d'intérêt, et d'autrepart l'Angleterre se refuse à élargir D do-maine de ce paote, à u comprendre careyernPle la région du Brenner, oft l'Italiea de &és gros intérêts

te col du Brenner sert actuellement dede séparation à l'Italie el à l'A Utri-

cté,. Autrefois. les deux versants arroséspur des affluents de l'Inn et de l'Adigvappartenaient a l'empire babsbourgeois,et l'Autriche couerna0 une nombreusevoltulation italienne. A utaud'hui. à l'in-verse. l'Italie « 201).0130 ressortissants clelangue allemande. parce que tout le TVI-vol, au sud du Brenner, lui a été annexé.or, Ion pangermanistes s'agitent et ritn-lie redoute d'avoir un jour le Reich pourcohin, s'il s'incorporait l'Autriche.

La question qu'elle veut poser deoanila Corerence des ministres des AffairesEirangércs est celle d'une garantie pourle Brenner.

Mais. M. Mussolini assisteraddl à cetteConiérence é lb souhaiterait qu'elle eûtlieu flans la Péninsule, et il allègue oneses oocupations lui interdisent de quitterson pays. mais les autres chancelle,riestiennent beaucoup à fixer le siège de ladélibération en Saint, D.

LE CHANCELIER LUTHER VAURINER LE RAPPORT DU

DOCTEUR GAUSSB4111h. 14 sePternibre. Le elm,,,,dier

Lutter a convocué tous les ministres ducabinet allemand à un conseil nui artralieu le lundi 21 septembre.

Hier. le chancelier, seli téirrursso ao-tuellernent à Suit, sur la mer du Nord, aentendu le rapport du directeur ministé-riel Gauss en la prnsence du secrétairel'Et t san Schubert

M. Gauss a été chargé Par le chan.-lier, de concert avec M. Stresemann,d'élaborer un rapport écrit détaillé de-vant servir de base aux décisions du mu.cru des ministres.

M. Luther a l'intention de rentrer àBerlin vers le milieu de cette semaine. TIse rendra ensuite immédiatement à Bo-ulum. ois des cérémonies auront lieu àl'occasion de la libération de la Ruhr.

Avant la fibration de la date de laconférence on s'entendra probablemententre Berlin. Londres et Paris, sur leprogramme et les p000'OilS calli seront ac-cordés aux représentants des différentsEtats.

Les puissances occidentales semblentdésirer d'abord tune conférence entre mi-nistres des affaires étrangères qui au-raient les pouvoirs nécessaires pour con-clure Une sorte de traité préliminaire le-ouel serait ensuite soumis au cabinet etau Parlement. Suivrait une conférencede pure forme. à lanuelle pourraientPrendre part éealement les chefs de ca-nes, et nui ratifierait ensuite les conven-tions déjà conclues et approuvées.

Sous le ciel de< l'Orient

AU JAPON LE CHOLERATokio. 14 septembre. Les cas de

choléra sont racticulièrement nombreuxà Yokohama, Tokio et Nové.

On est parvenu néanmoins à enrayer laMarelle du fléau.

La chah., extrême et l'huggiditO de lasaison entravent particulièrement les ef-forts des autorités sanitaires.

Des dizaines de milliers de personnessont inoculées journellement.

EN CHINETROIS, MILLE PERSONNES NOYEES

Londres. 14 septembre Les jour-naux publient la dépêche suivante deTien-Tsin

y Des Ce01aines de villages ont étésubmergés et trois mille Personnes no-yéea dans in province du Shan -Tong à lasuite de l'inondation du fleuve Jaune a.

4-weeerovo

Les événements de Syrie

IL Y AURAIT DES OFFICIERSALLEMANDS PARMI LES DIIWSES

Londres. 14 septembre. D'éprès uneclEpEel:le de Durcis au a Times o, l'unionse serait faite entre les chefs de la fa-mille' Atrash et le sultan Atraoh insisteraitpour nue la lutte soit poussée jusou aubout.

La dépêche aioute s'Ire les Doives se-raient commandés pur d'anciens officiersdu roi Faysal et que des officiers alle-mands nt-oient également parmi eux.

LE COURES SOCIALISTE

allemand

WELS CONTRE LE CABINET

Berlin. 14 septembre. A Heidelberga eu lieu l'ouverture du congrès du partisocialiste allemand. On sait que Heidel-berg est la ville natale du président dé-funt Hébert. Son épouse a été invitée àPrendre part au conomès. Le comité dupyrti e tale nombreux délégués ont dé-posé une comonne sur la tombe de l'an-cien président.

A la première séance Wels mrésident<In parti, prononça le discours d'ouver-tures

Au point de vue extérieur, Wels sou-ligna le triomphe de la politique social-démocrate. Il affirma que les ministresnutionalistoa eux-rnesoes étaient forcésde suivre la rolitique tant calomniée etdont Erzberger et Ratheneau avaient étélet victimes.

Pour ce oui est des communistes. Welsest de l'avis nue ce parti se trouve enpleine vole de dissolution.

Il combattit ensuite violemment k ca-binet Luther. 11 déclara Que depuis unedenri-année, le gouvernement des droitesavait montré aux masses que même leso iunkers a ne pouvaient Pas combattrela France par le moyen de la violenceet il a prouvé aussi aux travailleurs miepour les a bunkers a le profit et le 'capitalsont /a loi svernime. o Les rrepaes retour-rient à la social-démocratie, dit-il en ter.minant. et l'heure viendra où le parti re-prendra le pouvoir. a

les Consits gWraux

Paris, 14 .ptembro. Sept départe-ments ont tenu, aniourdami, la premièreséance de leur session d'automne.

Ce sont les suivants 1 Hautes-Am.,Corrèze, Doubs. Gard, iMaine-et-Loire,Manette, Haute-Savore.

A Tulle, le conseil a réélu M. Queuille,député, président.

A Besançon, al. de Moustier. sa/terne(Union républicaine), a été élu président

la place de M. Peugeot, par 14 poix, lest3 radieaux s'étant abstenus.

A Nîmes, le conseil a réélu comme pré,.sident le docteur 5I-Suribe

A Annecy, M. Fernand David a été rééluprésident,

,

Anis aux tuberculeuxpensionnés au 100 pour 100

La Seue-laendanee militaire do prenions in-forme Ica pensionnés à 100 ",e pour tubercule.,quo pour bénéficier de l'indemnité de scene esvmontant de 5000 Panes môme os, enniem 1% va

loi den firmnem du 31 juillet /923, lI, /Mune,adresser une demande à la Soue-Intendance dé-partemenmle des pensions (caserne Clauzel).

Cette donande doit être faite sur un modèlerègle...omise que /ee potlennée peurs. tePrOcuret Kan, de retonnignemmas den pan-/ions oe à la fédération des mutilés.

L'indenon, de mine en questions ne concerne<Pm les Peasisaai1 à RA en et sous la conditionde ne pas être [mités pour la tuberculeaa auss fraiedo Met, mi dans au sanatorium, ni dams na Istà.pita/

4111111111

Putirg gCS BeifilliAUX ITKNIPS(EN TURQUIE)

C'en est fait les Tures sont portes, cha-peau. Du mains leur président, qui est enmôme temps Le directeur de consmeneede beaucoup d'entre effx, Mustapha Ken,'le leu, conseille. Il répudie ouvertement lekalpak nomme le fez. Il condatnne solen-nelelment tout ce qui sent, de près deloin le a Moyen-Ago e La tenue interna-tionale des peuples civilisés, deo/are-t-il,doit convenir au peuple turc, s'il vont sehausser au niveau des besognes aMmanei-patio° et d'organisation qui l'attendent.

On devine de quelles mélodie,. ins-pirations Loti, s'il vivait, eût etecucilll cettenouvelle. Lui qui ne dédaignait pas Mai-der les « désenchantes u 5 e °berce,eût voué am gemmiies les « dèsenchan-tours a, modernistes et lareisateurs, enne-Mis jurés de toute couleur locale. Ses 1110-CeSaeUrS, qui vendent au Pittoresque Vr

gr,se, ne V0114 manquer de verser unpleur sur les petites fleurs rouges dent?emplissaient bazars ot mosquées, voireles boutiques à repasser, OÙ des cylindresen cuivre, brillant Sans l'ombre, alto,daient le fez dedraiehi.

Nous ne sommes certes pas insensiblesces considérations artistiques. EL nous

reesettoas fort, peur l'amour du pittores-que, que l'humanité s'uniformise à Érand

Ced dit, il faut convenir que le avViôMustapha Kemal est significatif, et qu 11plus de portée qu'il ne semble an Peu-mier sabord. Capeie0 un peu intéril t fionpasi. Décision calculée, plut., d'un hom-me ind a bes.n de donner le la et quiveut mettre au ton non seulemeni, ropi-Ilion de son peuple, nréls celle des peupleseuropéens.

On se représente mal, thez nous, laPuoleur de la masse que les Turcs d'es-prit moderne ont à train. Pour ne passe laisser dominer a nouveau par « Pots-Curant Orne », comme dit Mustapha Kemalil leu, firut un effort de tous les jour% IlIear faut donner l'exemple; et payer d'au-dace. II leur Mut se montre, OMRI% aroinpre avec toutes les survivances para-lysant., b agir en hommes slototemor, enhommes « nés d'eux-mem, b, Cenllae ditle Coriolan de Sholimptoro.

delco to fez, ou mime le Ira/pair aux or-ties, c'est affirmer, sur un humble détailsymbolique, elle volonté farouehe de ut,.grès quand même. C'est rappeler qu'uneêre est définitivement close, et qu'Une air-110 s'ouVre. Cool un peu .., toutes propor-tions gardées comme si l'On deeréDit unchangement de drapeau.

Notons bien que, en adoptant motte tacti-que,

les Ifemalistes n'entendent nulletnentse prêter à une dénationalisati. Runkno-que. fis ne veulent abandonner aucun desintérats vitaux de 1.r pays, ni rien déten-dre de ce sentiment d'indépendance au-quel il a dû le rearessement de ces der-nières années. La Turquie qui rosit parleurs soins est une Turquie patriOte, une111109111e naiienaliste. IEL l'Occidene ferabien de ne pas l'oublier.

Mais cette Turquie nouvelle doit être enmoine temps une nation moderne, capo-

- an besoin paur en défendre e.trepOoeident -- de s'équiper à 1i...dentalereitquipter industrio/i.nent, _s'équiper in-tellecluatt..nt, c'est son double pro-

D'où lu appels qu'adressent les ToresAboutes sortes de techniciens spécialistesde divers pays, avec le désir, (Oct ex-plicable d'ailleurs, de s'en passe, lu plustôt possible.

« Nous portons te chapes° °OMMI. Cela veut dira d'abord I « Notre

cerveau n'ent. pas inférieur au vôtre. Niaiscomptons bien l'emplir des notions posi-tives, lui improser les habitudes critiquesenti ont fait jusqu'ici la supériorité del'Oceiden

Pour mener b Ilion celte rude tache,sMt que les Tures d'aujourd'hui nions fontl'honneur de mompter spilicialement Surla France. Ils invoquent son exemple. Usaiment à so réclamer do son esprit éman-cipateur. Et quand on leur parie le lan-gage dose ratienalisme qui est notre meil-leure tradition on est accueilli et fêté avecun enthousiasme significatif.

Qua cet enthauslasme ne sait par unsinipic fou de paille, la preuve en ostdansIon detnandes dc prolessems quo le gou-vernement turc a adressées notre gou-vernement.11550511 nombreux dûs aujour-demi les jeunes Français bien équipés,pourvus de tons les tite. universitairesvoulus, qui vent enseigner. à Angora com-me k Constantineple, la physique ou laChimie, la littérature ou la sociologie.

ES ont de grana. choses à faire, si.seu-lement ils comprennent bien l'état sire.pré du pays où on les a envoyés un paysqui est en train de muer, ai Ton ose dire,et qui 05 1115 encore acquis tons les or-ganes nouveaux dont il a besoin.

Aidons-le avee sympathieI c'est notreintérêt minime le sien. Et lorsqu'il Mon-de/nue fez eu kalpak, ne nous contentonspas do blaguer : msayous de comPeeltdre

G. B.

La se rie u 0 1,§LE TRAGIQUE ACCIDENT de FRIBOURG

Mayence, 14 septembre. Voici des dé-tails au sujet de l'accident survenu ankaviateurs Thierry et Caste

Au-dessus de Fribourg, les aviateurs sesont trouvés, hier Matin, vers I heures,dans noldigation d'atterrir par suite d'unepenne d'arrivée d'essence. Dans la descentepour se poser, une aile de l'avion heurtaan solfia d l'appareil tomba dans le Rot-bisets, cours d'eau situé entre les stationsdu ebemin de fer du Holiental, de Pos-

tetemliplêemdeontniet17.me aLe'uarosiulcursne purent Mec retirés des débris infornmsqu'avec d'énormes difficultés.

Thierry a succombé à ses litessures etson corps a été déposé S /a morgue deFritioarg-en-Brisbou. Ceste a éte Messe as-sez sérieusement, mais sa vie n'est pas C11dar;ge, ; il o êtê transporté é l'hôpita/ Jo-sephdlaus, à Fribourg.

LA DISPARITION DES AVIATEURSLAPORTE ET PR/OL

Marseille, 14 septembre. Le peur« Porté-If n, courrier d'Ajaccio, signaie

edes lettt e flottants quos q'T%n il tu.tato./"''"ateré_partenir aux appareils des aviateurosseP0011et Laporte. Le mauvais état de la mer n'apus permis au « Corte-Il n d'approcher etde recueillir ces débris."êtésssêt

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LA SANTE DE LA VIGNEET SON FEUILLAGE

La vie, dit-on est un éternel recommen-cement. A peina /es vendanges sont-ellesterminées, qu'il faut penser h la prochainerécolte, et apporter aux souches les soinsnécessaires pour une bonne production.Ces soins sont variables suivant l'état desantil des vignes et l'aspect du feuillage,en ce moment, don00 des renseignementsprécieux h ce sujet. Dans le « ProgrèsAgricole .et Viticole AL Ranz examinant0011e qurollol,, boa ' ttmantes, relatives au feuillage c vert franctendre, il indique des vignes qui parfoisont iras pet/ produit vignes court-nouéesou ayant coulé, soft accidentellement, soitperce «Mettes sont atteintes de coulureeonstitutionnelle.

Vert franc se teintant très légère:no-ilde in eus : vignes Monate% 0,01110, 'II00100, MaiS 51011 Oaliguess par la produc-tion ou messe hien tenues Si elles sontfaibles, c'est-a-dire si elles nMn1 pas lapnissanoo désirée, elles doivent etre re-montées par des fumures eopieuses, maisparticulièrement azotées Si elles sont vi-goureuses, les Demules réalententaires, ouencore pas ile fumure.

Vert jaune, pâlissant de plus en pluss'agit de vignes lx végétation saus moyennequi ont, eessé de emitre de benne heure,qui ont bien mûri leur recolle, mais quiont pris lealivenrent la teinte d'automne.Ces vigiles donnent les produits de plushante quant% raisins et vin. S'il s'agitd'obtenir la qualité, il faut les maintenirdu in cet mn: pa$ de fumure active, maisplutôt engrais li action lente, done orge-nlques f bonne culture pas d'herbe, carles labours fréquents ffelsrent un peu Iola manière Jude dos engrais organiques.

Jaune brun, vo tacha,l de plaques bru-nes pl, ou moins étendues n la lacera.périeure, puis feuilles tombant de bonneheure, :Mss.t les raisins dégarnis et mû-rissant mal 1 Il s'agit généralement ici devigne qui ont surproduit pac rapport.leur puissanee. 011 connalt le malade 1ilfaudra à la taille prochaine réduire lacharge humée a la souche, supprimer .eeMags bois ou diminuer le nombre dit cour-.sons, pins, de bonne heure, c'est-h-direl'automne ou avant janvier. fumer avenengrais immédiatement actifs en totalitaou en partie, tamier d'écurie ou de ber-gerie, complétés Per lin tiPPort de Potassesous Tree des formes indiquées ci-aprês,ou engrais chimiques 000g' nés de 400500 kilos par hectare de sulfate d'ammo-niaque ; 100 kilos do superphosphate de

Nos iliferes se promènentM. ANDRE HESSE A ROCHEECIRT

Rechefort, 1S madelinot, M. A. Hesseministm des eolonies, a poisidé, hier, àPochera., l'inauguration de l'Expositiondépartementale du tramail.

Le 'ministre a fait IMoge de la renais-sance de l'artisanat francais.

Le miaistro a quitté /Dai/fort porteSaint-Agitant-lemalarats, oii il a présidestne manifestation agricole.AL JEAN DUR AND DANS LA CREUSC,

I i septembre. al. DanDurand, ministre an l'agricultiffe a Pré-sidé, hier. le Comice agrMoD départe/no,tal de Felletin.

Au banquet, plaie/no discours ont étéprononcés.

M. ANTERIOU DANS L'AILIJECIIELarnastre, 1-4 septembre. -- M. Anteriou,

tninistre des pc,ions. a inangere. hier,l'hôpital-hospice de Lamastre.

A midi, a eu lieu un banquet, qui a 010préside par le ministre.

M. Antée,/ a clatuni la sitre des dis-cours. Il a fait entrevoie une paix assezprochaine aU Maroc.

III. DE SIONZIE AU DANEMARKCopenhague, /4 septembre. Line ré-

ceptIon, a la légation de Franee. a eu lien,hier, en l'honneur de Nt de Momie, minis-tre de l'instruction publique, a laquelleassistait. M. Stauning,, président du Cluln

1,0 comte de moltke, ministre des affai-res atrangères,a offert un déjeuner auministre français.

Dans Sa soirée, l'Association des atu-Dents avait organisé une représentationde nate eu coure de laquelle M. oc Atonaleet 3a. Brunot, dey./ do la Egostlid desLettres do Paris, ont prononre des dis.

M. de Monzie part sajou/MI. patir Ber-lin, oit il doit vuir des persounaiites uni-versitaires irone régler les accords 41sujet des -échanges dont il a parlé dansatin discours du 2 septembre, à la S.-/nt/ne,

PETITS FMT3MEDIUMS ESCROCS

Londres, 14 septembre. Le narrespon-dant du Daily Express to à New-Yorksieeme gu'à ta salle d'une enquate faitepar un journaliste dans lesimilieuxles, Or/ a arfee romilmge médiums sonsPineuipation d'escroqueries. Pcadant queces arrestations avaient hou, 2a00 adeptesdu spirit...macèrent de mort le jour-naliste et tentèrent de Io D.I.,

UNE BIJOUTERIE CAMBRIOLEE

Decazeville (Ave.yronI, 14 septembre.La bijouterie de M. Jules Cantal°00, raede la Gare, a reeu la visite d'audacieuxvoleurs, dimanche.

Profitant de diverses emeonstanees bave-reines et notamment de raft-Denro dÔ-Dangers accourus b Decazeville b l'aces-slon des fêtes annuelles, ils Purent oPéreran tarde tranquillité, les membres de lafamine Cantalone ayant abandonne eux-mêmes /elle magasin et reur logementp-er assister au concert don, sur laplace de TEglise.

A. l'heur' actuelle, le mordant du volne peut Sire Olotoel exaetement; mals ildépassera 90.000 frees.Lo magasin el l'appartement du p.-noie; étage ont été visitée post les yol

qui ont tldrobo un plateau complet d'al-haneee en or, /me deuzaine00 sband/Ost

chaux et 200 kilos de potasse sous la fermedo ieyhanne roi. 0-000 101051, au dochlorure do potassium 400 kilos, ml

400 1 il suivant 'lesterrains. La potasse est l'élément recolla,

'tuant des vignes lin/times.D'autre part, cette année

1101100,cmcela, les vigne., eu certains endroits dotpris brusquement vers la fin juillet un as-pect n e dû au brunissement et àIn dessleation partiaile des feuilles st,1001 00100 les nervmes ; les vigiles parais-sent avoir été grillées. Cet aceident a été

artnoulierement Berme. dans les has-fonda où les dépressions et sor /es vignesmal tenues, envahies par des herbes. Si lasurproduction ne peut guère être invoquètek ear Den souvent les souches atteintesont peu de fruits, on peut admettre toute-fois l'influence dune surproduction Pan-

P.

000l,uill n.

faut faire entrer en ligne de compte toutecause empéchant la nutritian inntlitode dessouches culture dilf.tee,e, terre cool-Dote zil hop huinide,

etc..,tytisinti'dru toit la sécheresse souk nepeul, Men incriminée. /I y a autre choseTact le monde a vu ce qui se pame par-Pns à l'automne. Les feuitles plus ou moinsvertes et jaunes ou rougealres par en-droits, persistent boutes sur le sarment. Siune benne pluie survient, elles se recro-quevillent, se vident, se rouillent et tom-bent. La phde en monoant fait tomberbeauceup plus de feuilles que la eche-resse.'C'est ce phônonffine qui a dû se pro-duire dans les vigies dont il est question,Ayant phse ou moins souffert de la sur-productinn, d'un sol défectueux on d'uneenture insuffisante, le systême radiculai-re n'a pu 00 reconstituer normalement, etDs fortes pluies de fin juill.. et d'aoûtont fait ce qu'elles font à l'auDihnest-à-dire ilinigrer le contenu des feuilles dansle MISS do la souche, provoquant

alunileurdéoolm'ationi pubs le brummetnel etleu, chute.

Comme dans le cas de 'brunissure, il fautci une bonne fumure avec une Mnne dose

de potasse et appliquée d'assez bonne heu--re pour que son action se manifeste tan-mie mènne.

Les « Patates »

sulfate de potassium , as,

LA POURRITURE MENACEVOS POMMES DE TERRE

Le milDou de la pomme de terre fmo-risé par l'humidité excessive des mois dejuillet et août, a pris, dans notre déparetome. une extension extrainement incguidante,

m. brillants. Des vele.% des bons duTrésor, 11,3 papiers lIe famille et unesomme do 1210110 Maries r1t espèces ent étéégalement slibtilisés. Leu tiroirs des eom-inodes, des secrétaires ont été ou',erts.

li est à pré... cependant mie tesvoleurs Mrent dérangés au COM, de leurbmogne, car des ceinte. et chan, en er, I

des Meurs do valeur ont échappé h leursinvestigations.

La police locale et la gendarmerie on- I

quêtent mie ces malfaiteurs, partis sanslaisser de traces. "

UN MARI IffOMPE 11UE SON RIVALTonneins, 14 septembre. Dimanche

soir, vers 19 1-1,;a0, 51. Picue Testut, SI ana

kornallerGolden, près de Tonneins, a

t é d'un coup de Poil D. Ulysse Carotte,37 1111.1, dans les eirennslames suivantes

i'ropiro do la bou000, IIIprésentait au domicile de TeZtttl et

dentandait à la félin, de ee dernier do luidonner de fargoilt pour cileetuer serrer.achats. Comme elle s'y refusait, il pr,tendit l'y, contraindre en la menaça, d'un

'71t.eVesstut, intervenant, reP.oha alorsCarafe d'avoir des relations coupablesaveu sa femme et, comme celui-ci persis-tait dans son attitude, il le menaça à. sontour d'un fusil h piston avec lequel ill'uval déjà blessé dans le courant du moisde Millet dernier. Loin de céder devant lamise en demeure du mari, M. Carette pre-nait une attitude MAGlo et pense b boap,M. Teston déchargea son armo sur sonrivai, le blemant grièvement dans la ré-gion lombaire droite.

Son erinie accompli, le meurtrter mon-tait tranquillement au premier éloge de samaison, cependant que sa femme entraî-nant In blessé devant la parte de la

mal'Lesvoisins, accolants au bruit de ladétonation, firent immédiatement préve-nir le docteur Dèche, qui se rendit auprèsdu blessé, dent il ordonna PhospitaliSationinunôdiate. La gendarmerie, avisée, arrêtaaussat le meurtrier.

La vietime de ce drame étant décédée a3 heures du matin, le parquet de Mirandeest arrivé sur les lionS erime à 15 heu-res, pour amister â l'autopsie de Canetteet procéder â la reconstitution du crime.

LISEZ ET FAITES !IRELE « MIDI SOCIALISTE a

En cinq Eguel

Parie. M. Paul Painleveé. président ducensalb a offert majeurs/1mi, au ministère de laguerre, un déjeunas intime en b toouom,e d,er minttre Littannienn et de Mo Baldwin.

Moscou. TensAi a revu une délégationde la Damon parlementaire do Labeur Party. IIlui a déclaré que l'Union dei 2tWiel; était entréedans nne vele de collaboration active avec lesaro. Etate et que cone, 8.,Osajt . atmos.1,4;1re de confiance mutuelle.

Au Pays des Soviets

04 COMPLOT CONTRE' L'AMBASSADEURDU JAPON

MOS0013, Ii septembre. La police a. découvert ms complot dirigé contre l'am-bas... japonais, M. Tanaky.

On emelt que de nombreux °sombres dela colonie °binais% à .Moseren, avaleorésolu d'assassiner l'ambassadeur

L.ourdes

qu'esl'heure

'eltrillS etnt%4.:rléldn ens.,onddt;,,,t.tit:,;:ain,ottn,ot;

100 ronddesastreux en provoquantSi nos agriculteurs n'ytoute leur retint° peut atrluunal,leilieli,:es,iaiànceorm;eindesZael

situation moins comprimeed/tond quelques consails eu,lions à prendre ausulet de Ide la conservaiion dei p..Nous los reproduisons cette a'sista. spécialem

Quand on Be bel/IVO Sn aeent sur leu

hrSéP pna'r$ cMri'euocm' p111.m1e05 et'n't mio,1%/ets /t° leivifrazesmiltineterà/;;,,

'9t.v Er,terkalverte'r:iosip,e,,«...s.nomleiotpaj, leu2.tons let tlibereol. enpourriture nu tachés mikbImita ceux qui ont été blessésarnments d'arrachage. Be entoute blessure est Mie porte

P7ri,iiitiusrsee'r ressuyer Ion tubaterrain pendant plusieurs heMs rentrer. Si te temps estser l'essuyer 24 heures au nogar au dans la grange a5'cou00l

le,pljp,airtë qUi suit Pausado neuve. tous les Inhepa, M pourriture. Refair

iPmtêtr10 1 t'E et' h:tutPlIiOOrelbc

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derD'ottit.deorslite"d0re'sser des tasde eo centimètres d'épaisseur, MAdes locaux ne permet pal

-am fagots qui SOPV.ir:s,dolteL11:bio

ifa

'poicaution, placer dans ta inas

ration et utiliser largement Mo

do lesmiSlieo.e,leasA,,gritotoe'

Voici in tapette livrede visions pope

« LA V/CTO/RE DEROVIll

tinneà que Marcel Seinfint venait l'achevéIersqu'il fut surpris par la mol et .11da Padntiration de ses innombrables:mis,

« LA VICTOIRE EN DERMITE zvente à la Librairie du u Midi Socinii.Prix 7 Ir. hl Franco r I francs.

Les Minems

sent in ralsiheanh

Londres, 14 sortembra. Ccok,secrétaire de la Rédératiem des rainerasbritanniques. a déclaré. hier à Stsplefin

Avant que la commission 103,16qui se réunit aujourd'hui pour la oremiére fois ne commence ses nevaili,

nin ties à déclarer, au nom des 0(0100,r,quoue;

n'srnrpteOono ive-vois 00e 5001005'fion des heures de travail ou une drnimi

tien des salaires. Les consnissatiesvent fermer les Ileines. nous treuverWemoven de les rouvrir. Les travaillaisbennent dérormams le pouvmr, comas ona nu le constater lorsque le premier rejnistre a mis les pouces et a octroyé unesubvention gouvernementale è iarbstne,dnu,clyuajr,t ,%.,boLer6sotaltzieos. do M. Euldwis

l'exposition a

UNE PROLONGATIONG renoble. 14 septembrd Le noirs

sariat de l'Exposition, de la vals Dor0110 communique la n eote suiss

« En raison de sen grand tauds, IMF'sition de la houille grande, dont Mir'/utero avait été nuée au début der.s5100 prolongée jusqu'au 3f ectobtaLl:lion des bons de l'Exposition sion rené;nuée jusqu'O. la 01115110lm d,e5,deivait avoir lieu 1e lb septembre, (roperlé an 20 octobre proehain.

s

Les Contributilne voedllei

so met ce Lrève?

aParis, 14 septembre. euewc,,dical d. agents dos contre. ;esroetes s'est réuni hier, en séance Prrue de Poitiers. Après discussionseil syndical a décide, h l'unfaire la grève écu yeuxsatisfaction n'était pas acomiltement au personnel sur la gale.péréquation des traitomens

LA VIE sroîtritlaMAORIS ET AOSTRALIENS.,

DEMANDENT A /01000 EN FRAat.

L'ANNEE PROCHAINE

ParPoils,Id septembre. Netssure d'annonces es, In a Unkesdas

CI

Sud et d'Au.alie viennent tour àmander officiellement à le F. F.nen teprésestatives 0,141e4,.,1France ;;emlant me grande partie192E1927.

Abelheureuserece, la

rt171'tr rsit?,:eadiZ Mctuorrr

ll'ensoCZ:°ZEst la

st MolePorganisatien

intég101100010Unegrend° ,"en Fran., et o./rotesdée, mn Brimnntanno. Lde se taira sn es sui rP.414

&vs le Slid-Onent, ln Sin/ 15 t'Pinde. "sarong One

Prisme

DEMANDE DE MATel

mo s nata snob/, t«80MP/4s

licLa poe a anaca.dee`'îj Fo°2j0{,::,"'

IIMIN.setà 2 MrwoOnomossw LE MMISOCIALLinE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

I. Montréjeau 15

oaliee mumemele 5

police municipale 2

gsnu de cheminots ale laj

3..Cosse

3

fkryèsesC59.1rekesMalafesseLayeale

,4nséquelCordelleBonnet G

RibesliseraMetchéMaureKanc, C.Raflée

LouffmeBourdallcDuclosLaurentGaleEaux/erreFortSallesFerra.'PichalrieuxGabande 2

1MarfaingBambara!Baffles

1BernierBugeaud 0 50

. 0 50PereyFinis 050

Heureuse initiativeVoici extraite de notre confrère le

Petit Marseillais s du ',sa',de. Marseille, le sénateur Flaissières, surla création d'un metrel,é quotidien donsbrout Henri IV

vaut l'innovation toulousaine ?que vaudra-t-elle 5 liet avenir prochainnom Vatorendra. Mais elle mérite. dèsaujourd'hui. d'être indiquée et aonlignéeAussi, en asons-nous fait part au sena-

teurmaire de Marseille et voici, résumé,Entretien eue nous avons eu. hier, avec

Haissières.creofsavoir 1u la note parue dans la

.0 'e et tout rmécialenrent celle ruasdonnée, à ce sas/et, le o Midi Socialiste,M. Fleissières no,s a déclaré

J'approuve entièrement l'initiativede mcs collègues des bords de la Ga-ronne. Non seulenrent, je r approuve,mais je la juge ingénieuse, °Prestese escor durant tout, courageuse, à notre m'am

Dans le désordre de l'heure présenteau point de vue économique. il faut trou-ver le moven de ramener l'équité et l'han.Envie. Ce n'est pas précisément facile,Dans oette lutte contre lu vie chèretant d'obstacles 'orisent les meilleures vo.Pesés. Nous en savons quelque chose...

Ainsi donc Monsieur le maire, on aPeu fait à Toulouse 7

C'est une trouvaille heureuse, nui anon entière approbation, vous Pouvez le

Eh bien dans ce cas, à Marseille ?..A Morsbille ? Pourquoi pas 7 Jeton

dis nac union crée un nouveau m,arché,sels le système fou/muai° a du bonemnoncer un peu partout, a travers la9lle. de bonne heure. les prix des den-déos.. Excellente mesurez. excellenteDécaution... dant les ménagères allantrua divers marchés sauront ortylitexlm...nuea secondes de silence. e, Iriarsoffle donne ordre on tire enarenteeix exemplaires le communien5n'llniciPa/ toulousain dont nous lui avons

391s le texte, au début de notre con-versation

Vous voyez, reprend-il, je vais met.Ire au courant de la question mes colla-borateurs... Nous l'examinerons enserra-Me. et une décision sera Mise, 9991 35'1

Vans avez, bien fait de venir noe'3,1er de cela... Sans doute, nous neenerirons ras le mal, mais si nous mare,eues queloue soulagement, ce sera déjà'it'n rom la population marseillaise...Et le sénateur-maire se frottant les

'205s. dans un geste qui lui est coutu-''' les Yeux malicieusement cligne-

ee,n9lre se parlant à lui-môme. lais.

Ah .1'es'rar'te'srm'erieurs.t.'. iorTSFen avant, avec le Prerra

P. L.

?or les Grévistcs de la BanqueDIA-steptième EsÊe

La félibre° de Muret1 Bseelo deraS Pireneos a avait choisi,année. II-bonne ville ôr. Muret, patrie

'cenelle/eus IDalavrao, du maréchalla félibre Pierre Eons et du père de

lément Ader, pour la érilebra-e aSle.gagnennu« félibre° r cul. lieuranche, sous un soleil splen-

une fonte eonsidireble.à la mairie u Sté Marquée

osant cencours de criera/msPu remarquable discours en

ohm tuni Vineent Auriol,qui n'est pita seulemeni

un administrateur forci-ri anse à ses heures, MIO convaincu et spiritueL

s manque pour donner 10de la Séance effleielie de

Purs de laquelle M. I. Signe-

à CasquésMialletSourr, I 13,1

Lahaille 9Agracios 1

StSardos tLaor,eizelle IDerman IVieu ... ,.... IBanat IDucros

IlRatioGourtade tGélade ........ ...... 1

Gaillard 1

Total de la I7e liste .. 7065TotaI des listes précédentes 6.555

Total à ce jour... . 6.634 65

PART DE LA BOURSE DU TRAVAIL

Cinquième listeSyndicat des Pàtissiers 2e vers.. 10

don IR)Tvnegraphes (2e vers.). 1-50

professionnel féminindes P.T T 100

des Boulangers 20des Cursuaers (2e vers) 20des Meuniers 20

Total de la Se liste 420Tcral des listes précédentes 7.31900

Versements effectués à ce iour. 773') 80

rot fut, nominé( sonemapiscol, /aMeSsu avec chants gascons et SermOn de

Corsage, la « tautejado oùmalheureusement, les toasts furent plusnorbreux que les vins flrss, de la Courd'Amour o idistriblitiora des prix, intermè-des par l'Harmonie Dalayrae et la Chenil°de Longes.), -- enfla des hommages ren-dus en cortège aura divers héros de Muret,netnn1Ment à Pierre let', roi d'Aragon, qui,cm 1213, vint verser généreusernentsang Mtsu la plaine de Seyases pour lar,ucue Occitane.

L'éclat de cette balle manifeetation ré-gionaliste a été nehanseé par la presenced'une gracieuse reine, Isabelle Sandy, l'au-teur d' « Andorre a et I le plusieurs romanscélèbres, de lied. Sarrieu. Serval (de 'Mansait, colonel Mention, Pasqiiier, ClaudeMarly, Pierre Médan, Armand Praviol,0.-H (Mitard (représentent le « GreureOccitan u de Paris), Joseph Niel, Dam-bielle I. Girard, De cap et Servet, prési-dent du Syndical R'inifiative de la région,le dévoué organisateur cette futé littéraireet pope/aire.

G. A.

IfAITRES -11AIXESS -PLATRIERS noninscrits annuaires. désirant recevoir tarifbriques tontes cliMensions, pries taireconnaître adresse à r Briquetemo mécani-que CilIALARD, b CASTEIN_AILITESTRE-TERONER.*01CREUSEZ DES CANIVEAUX!

Notre dernier article sur les .Caniveauxdont nous demandions l'installation dansla traverade des villages qui avoisinentIon/mise, aux croisements de routes enavant des passages à niveau, c'ést-e-direaux points on al faut « obliger r les ()Qo-m mita à ralentir, nous Ballons uncbTgrand nombre de lettres

quinuap

s

Ir"i-nu)-vent et nous sommes hmireux de vtrtenedes confrères comme AL hiarcel Lelongdans « Bonsoir s parEatitTnt notre manièrede voir.

Nous relevons clans Son article ceslignes qui viennent à l'appui do notre

114

Prenons licaornple bien cOnnu de laville de Saint-Cloud, que traverse la route

Vergaill.. Après d'innombrables ami-dents, la mntrieipsiite a dû mobiliser qua-tre agents ppm, dresser des procês-ver-bauX aux it chauffards On a calculé quece servioe revenait au beget municipalplus de 40000 francs t 115Pe0re Saut-Ilnoter que les « délinquants n, s'Os con-sentent à stopper an coup de sifflet tesoucient Mû/num( pvea d'une contraven-tion d'un prix minime et d'ordinaire cou-verte par une assurante...

a Supposez que rédilité cledolddiennefasse crelser quatre caniveaux asa pointsdu parcours où se tiennent les agents, elleinscrira h ces dépenses quelques centainesde francs peur la cnnfection et l'entretiende ms ouvrages d'art a. Dès lors, devantl'obstacle et sans interventhe d'une policeonéreuse, les bolides automobiles, peu res-pectueux do la vie de leurs contempo-rains, mais soucieux de ne rien casser, àde sompbueuses machines, ralentiront àcette vites. de 55 kilerrailms que pres-crivent de dérisoires pancartes s.

On commence à être d'accord sur leremède, le mai/leur, A notre avis, à appor-ter à la folie homicide des a chauf-fards :a ; c'est déjà quelque chooeet on peut espéler voir de prochaines réa-lisations. II ne faut cependant pas oublierqu'en même temps que l'on ercumma erscaniveaux, I/ faudra mettre sur le butéde la route des signaux visibles do jourcomme de nul. Sans cette ehumnialreprécaution, le caniveau ne sera qu'un périlde plus cerné star les routes dr France.

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CHRONIQUE DE LA T. S. F.

OA ET LALA QUESTION DES TRAMWAYS

Tous les proprietaires ou locataires d'amterrain à Salonique, ainsi qu'au sonnnetTerre-Cala/1de, sont invités à la réunion quiaura lima mercredi If septembre, à '21ers, dans cane des salies du Café Clminuni(Arcades du CaPitole7,

usure du jour a -rrammays rie Salonique;Surveillance de cimetière de Salonique /anuit ; Questions diverses.

MIL les conseillers immitriparni, einsique A/5/, les dirigeants de la T. C. lit T. etles habitants dru environs sont gracieuse-ment invités.

Pour le Comité provisoireMaroc' Cabrol,

CONSERVATOIRE DE 51I,SIQUE(amie des chreurs)

Les cours de l'école municipale deschceurs seront repris, au Conservatoire deMusique, le mar& 15 septemere, a 20 assu-res, ct auront lieu tous les mardis, jeudisct samedis, de 20 à 22 heures,

las nouveaux élèves pourront se faireinscrire à /a mairie (service de l'instruc-

moins et de 35 ans au plus pour les da-mes, 40 ans pour les hommes et fournir,

l'appui de leur demande, un certificat debonne vie et rameurs délivre par le dizenierdu quartier et vise par le comanissaire de

Ils auront, en outre, à subir avec succèsun examen d'admission devant na jurynominé par le maire.

CONCOURS D'ADMISSIONAUX ECOLES NORMALES

(Session d'octobre)I/ ne sera pas institué de enneours d'en-

trée dans les &oies normales en octobreproehain a le recrutement de ces écolesest assuré. sauf en ée qui concerne cellesqui sont désignées ci-après

Instituteurs Roumi, 9 vacances ; Var-.3,, 7 ; Laon, 3 ; Bourg, 5 ; Montimison, 3 ;tacon, 2 ; licade, 3 ; Commercy, 1 Char_

Ires, I ; étuis, 3 ; Melons, 1 ; Beau-vais, 8 ; Loches, 4 ; Angers, 3.

-Instiutrices Privas, 3 vacanees ; Mende,1 vacance.

Les vacances indiquées ci-dessus sermntpourvues eu moyen des candidats et can-didates inscrits sur les listes supplémen-taires des départements de l'académie àlaquelle appartient l'école ou des départe-ments limitrophes des écoles.

Les demamdes d'admission devront êtreadressées aux Recteurs des Académies in-téressées.

VOL D'UN PORTEFEUILLEUne enquête est ouverte au Ire arron-

dissement relative au vol d'un portefeutilecommis sur un des trains faisant le trajetEsquirol-Brequeville, dans la journée tindimanehe 13 septembre courant, au préjuidiee de M, Touro, 17, rue Delpech.

Ce partefeuille contenait la somme delà() Dam, et diverses pièces d'identité.

LE SAC DU BUREAU DE TABACAu cours de la nuit de dimanche à lundi,

des malfaiteurs ont pénétré clans /e &bitde tabac-ber situé rue hierly, 5, à l'aide tssfausses clés, et ont soustrait au prejmlicede M. Delfour Félix, bundiste à cette adres-se, une certaine quantité de cigares, desPoquets de cigarettes, de tabac inam9andet caporal supérieur.

On ignore t'importance de ce vol, Pin-ventaire n'ayant pas encore étê fait.

Une enquête est ouverte au 3rue arron-dissement.

DISPARITIONHier, à 22 heures, M. Rameau Paul, àgê

de 50 ans, comptable ià l'Intendance mua-taire, demeurant rue Merlv, 22, a signaleà /a police la disparition de ma fils André,âgê de 18 ans et demi, élève au Conserva-toire de musique, lois quitté le dorniminpaternel le même jour, à 12 12011008. Le

.tere p.Peun're Paul, eA 'J'O g aa» àn s.Son signalement est le suivant ; tante,

I m. 55, cheveux bruns, t'aie au milieu dela tête, figure maigre et allongée, teint pAle,vétu d'un complet gris à petits carreaux,coiffé n'un chapeau de feutre mon noir,chaussé de souliers bas à tacets jaune fon-cés, bas gris clair, chemise Manet. avecpetites fleurs bleues, col semblable à lachemise, cravate bleue dite régate.

Une note de recherches a 010 adresséeau service de la Sûreté.

VO/ES DE FAITHier, A 23 h. 15, s'est présenté à la Per-

manence le nommé liman Paid, âge de25 ans, employé de la maison Delon, deBordeaux, et de passage à Tou/ouse, oh iltravaille et loge à niôle/ de la Croix-Blan-che, rue du Faubourg-Saint-Etienne, et adéclaré que, sc trotunnt à la fête locale dela Côte-Pavée, alors qu'il dansait avec uncamarade, il a été tiouseulé et roulé àterre ; en se relevant, il a reçu Un violentcoup de poing f l'oeil rirait de la part dunommé Jean Segré, entrepreneur de plâ-trerie et maçonnene.

II a reçu des soins de AL le docteur Da-ri., qui a délivré un certificat médical,

tac enquête est ouverte et continuée Parles soins du Une annndissement.

TOMBER DE TRAMWAYHier, vers 20 h. 10, Mlle Deville Marie,

algee de 38 ans, demeurant rue de la Pro-vidence, 351 qui se trouvait sur am tramde la ligne 14 allant aux Minimes, ayantvoulu descendre avant l'arrêt fixe situéplace Saint-Anbin, est tombée du tram, sanstoutefois se blesser grièvement. Reievu.aussitôt, Mlle Derille a été ensuite trans-portée à son domicile à l'aide de la ea-mionnette municipale,

TROUVAILLESRedamer r à M. Millet, rue Mespool, 8,

un paquet renfermant une paire de chers-mres d'enfant ; à M. Grafeille, rue Ponsonville, 23, un lorgnon ; à M. alluma, rue dela Briquetterie (quartier Arago), une petitesomme ; à M. Reynaud, rue des Potiers, 2,des faux -cols ; A M. 51olinié Jean, petiterue Riquet, 3, une montre M. Soiens,into de, Lois, /I, une Petlic somme ; àl'agent Miquel, attache au ler arromlisse-trent, un trousseau de clin', à Mme Catuee,boulevard Bonrepos, 12, un porte-monnaie;au bureau des épaves, un clé, one pairede lunettes l'agent Binard, attache auSec arrondissement, une chaire th mente°.

COURRIER ARTISTIQUE

ROMUALD JOUERAU THEATRE DU CAPITOLEDANS t, HUON Dhl BORDICAIA

C'est ce soir, à 8 h. 45, qu'aura lienl'admirable représeqation do la belleMène Iluon de Bordeaux s, créée dilua:i-nt. dernier, stir la scène du namier, avecen succès considereble C'est à la demanded'un Menibreux public et pour permettreaux personnes n'ayant pu assister à lamatinée de dimanche dernier quoseconde et dernière représentait,. cs'iofferte au publie PMI/rusai°.

:Poule la presse a longuement parlé dubran talent de M. liconnald Joulgi dans lerôle de Huon; sa fringue généreuse, nttion irnpereiab/e, sa parfaite stature, drai-nent au personnage de Huon une ampleurextraordinaire quo rehausse encore labeauté de ronavre dlEnule Roudié. Entour':On partenaires au laient éprouvé, comme3111e Tarons, de 10ddon M. Gentes, nidecompatriote, qui s'est « révilié « dans leneele de Gadéran, et Mule !a offiihpeenie(m'a su gemmer M. Joubé, do IMF-&aux déchainera. ce soir. te mémoenthousiasme indescriptible de 1a pre-

.

la Mention est onverte au prix erelinairedo Theatre du Capitole et il est indispon-serde de touer dés maintenant patte ara-ser', aine bonne phro pelas ce min

THEATRE DU CAPITOLEa Monsieur Enticalin qui sera pro-

isité peur la première foie à Toulouse, au'DIM.! I Ou .1 I , r l' d meintimatographiones offrant le Orle rital.-traits par la grande riches.so et là-dégermesomma/nem pire Fort (mye dans reconl el endenté !Mur plaie:Lü toua les

C'est ee nui explique l'enthousiasme In«deseriptible nue cette importante prmine-tho p rnvoque et gni a valu à Ilotiolnh/rgiat,tinn de sc voir Masser au rause des

per.calis ppornrceniePA de Pceren.Ln !metten polar la matinée el la misée

d'ausào-dosain iendi shinvidr, s,, geori.tSu Theedre (111 Canitnlo, demain mercredi,dc 10 à 12 heure& et c li à IR heures.

PARTI SOCIALISTE (S. F. t, O.)

GROUPE DES CARMESIn membres do osons, mot priés d'apister

résides nui a., 11, ue soir mar& suege Calé des Am, me des Prônes. Questionss importent,

VIE OUVRIERE

INTERSYNDICALDES SERVIC.ES PUBLIC EP CONCEDES

Les Employés et Travailleurs des Sen-I.S e LEP et Fp In t

aux Syndicats de l'Eclairage et forcesmotrices, des Tramways et du personnelmunicipe/ votait, il y aouelcues mois

plus exactement le 21 février un or-dre du jour, dans lequel ils s engageaientà poursuivre l'application intégrale de lajournée de huit heures, le réajustementdes salaires au coût de la vie et les se-traites

D'autres questions, telles que les con-gés pavés, conseils de discipline, créa-tion des cadres, s'y ajoutaient encore,montrant ainsi mute l'action, la persévé-rance Qu'il faudra déployer pour les faireaboutir.

Le Comité- intersyndical, en rappelantaut:ourd'hui, aussi bien à l'achnInist.-tien municipale actuelle, qu'aux adreinis-Dations concessionnaires respectives. unrésr.rné de l'ordre du jour dakrs, veutdémontrer l'inquiétude de tous ces tra-vailleurs fiai, encore armés de toute lapatience désirable, voient leurs reven-dications indéfiniment retardées.' Pourtant, il n'est pas de moment oùles besoins neressués var I aunventatIorcroissante du coût de la vie n aient étédél1 s,ismalés.

Il n est cas de circonstances, non plus,où l'application de la journée de huitheures, n'ait été présentée,

Et nous en passons, sachant qu'en hautlieu. on est suffisamment fixé...

Dans ne cas, qu'attend-non ?

Faudra-t-il pour que ce mutisme, cesatermiernento pintôa. cessent pour éclai-rer oublieuse ?

Car elle (kit savoir, comMe le phis vui-gaffe des v cachons de payant n, ce queles ,Cormagnies concessionnaires encais-sent de bénéfices sire son dos de s mou-ton a, toujours tondu.

Elle doit savoir aurai, les salaires payésau remonnel travaillant roue ces Corrusa.gnies, comparé à celui qui est noya/erre.49"Irn333 aux omnipotents directeurs.

Ce sera notre travail de dernain. baséemmure documentation solide. nue lesMus timorés accepteront parce que lavérité est rele neve.

Aux travailleurs de faire confiance aComité intersyndical pour le sa/ut etdéfense de /curs intérêts.

Pour le C. I.Le Secrétaire ; H. FAURE

LES SGOIETES

Ler Furdiér de la Councordo. Aujourd'hoi15 sertembse. à 9 heures, résnion générale, te-

tombola. Présence de rigueur.La Pserehess dr L'Arseào. Réanion der re.

ciétairdu aujourd'hui mardi D courant, à 9 heneuanioarrrial. grand Sak Verdier. Présence

de rigueur.01e.

VIE SPORTIVE

GALIJA UNIVERSITAIRE TOULOUSAINCe mir mardi, 55 heures rérinton du Mem

et de la commission de male r merbes de di-rnanche contre les Adana (2) et les Whit.Dmia.

Vase te caterah,r de l'Omise (1) d. GalaSeptembre. 20 r White-Deryns To.lousaino,

a. T.O.E.C.; 27 Arlemins-Chib Toulonsomtermin de

Chtolare. 4 Stade Saint-Caudines, à Sr.-Gaude., H r Toulouse-Bosneloy Saoul Icham-nienne), à Bonnefoy: 18 m Stade Lavelessties(Championne), terres d. Galli, 25Semtive Mostréjesphise, à Montréjosa

Novenbm. r Assied. Sportive de Crois-Damade. terrain d. Galli, 8

m Sport/na-Ciel,Ma...étain, à Msaseet: II m Blagnac Sporting-Club, terrain du Galli.; Il S.-Ohm/sas /damn-a. faernrionnat), 22 : &admet. hhaérien(Championnat); 29

m Fa, 1,00,00,..,Décembre. 6 : Ch...Sonne (vordc do 9,9

on A.S. Croix-Dourade, à Cies-Daurade: 13ruchait-G.10 Cannessin, à Carmen.: 20 (Imm.Ai011nat (cool, de nefs): -27: Union Sportive Caca.bdasee, Caussade.

jasper. Championnat branle de truie! ouStoCirons Sportins-Club, à Sy-Gironst 10:Union Sportive de, Cheminots, Chaise., 17Finale d. Championnat des Pyrénées; 24 r Asm-mies Score 'e Brierrem, à Béziers, 31, en pour-parlers.

7 Stade Sr:thé/nia. à Rodes:14 : Sport-Olympien Marengo, ,pPn du Galli,

2/ : Spesina-Club Caressantes, à Decazeville,28 : bd orne.

Ma,. 7 illsanau-Srorting-Chib. à BI,anact D Union Snorti, der Clnanmere, ter-rain d. Galli, 21 : Aspaiaton Soortive Cape-sennal,e, à Carcassonne; 28 Tedouse BonnefoySpartt rerrdin du Cell,.

A,(1. 4 Foehall-Club Toulousain, a.11 Réservé; 18 romparteni

23 Avesir, idepagnis, à Mois..

L'AVENIR OLYMPIEN TOULOUSAINL'Ave.: (Permien Toulormin mit fait milmi

dimandm denier, à tUrsion Sportive des Chemi-nes du Midi (S becs loi donner /a men.,

Les noir et blanc, privés &deux ou Pots Meurs(eh:ois an demi, roOment ms suppléer àrensigo di et d'armes roi stamient ras Meber de sadetaroc,, furent ohligis de faire soucià l'amsbilité de. 0/sale/ans boa: bancher lesbéas.

Aussi en-ce plukst es merl, de boa etnes. csimistenent jona plutôt qu'une réelleparue. Mais le ma fut d, plus atm., es,0 nienemelles règ/es m à lo copuehn des ég01Pksa.

Nca ftillittalions ans ohamniona dos Pyrénéesde 50 série pour !se, bon quinae aie e"ati,e,ast deballantes rad...Labres, et pour leur monnaie,en0 mention snéciale aus jeunes cheminesRatera, Medi.. Cades, Douille., Boas /rune,Marmy le devon, maya, POSTER.

OMS thIGUni, Ils Sae Rom 31 irEs.1013%)

E-

PUBLICATIONS DE MARIAGESDo 12 Sentembre 1925

Cabrivil Parrière, .rsent eu 53 liée° h k'.iltes et Jesme Can,rellu, s.r. l08, oiraiTernis.

Lotirent Feus, ainuesr, 12, rse StaGermier etEues/. VO, s r., 1, petite rue Bsurrassol.

Auguste Rivière. maym, reit chemin Lerade,la Sathd. et Marie Besees, rè,leure, oheam de

Cineetous.Francois Vernibres, propPétaire, à FesouiretNoslie Mayrasaue, s. p,, rente de Parie, 52.

Isidore Fomés, emistose, 11, rue St.-ParoutMarque:Po Bémrd, s. o, 10, me Cacus

Piero Poritié, tapissier, e me.b/es. 20, rsr Mauryet Marstreme %irae, brodeum d'ameublements,20, me Ma.m.

Midel Désirs., mootrnr nrm,,rct Montaudreet Marguerite Messal, s. n., quartier Montand,:Edouard Kop..ki, mise, 27, rue Mem etMaryuerite Remo, a. P0 108, avents de Mu.set.

Emle Cahot, élneicien, me da Lansuedoe,75 et Marie Rami... p., rue Bernard 5.1.16, 22.

Pitilre3 Ultimes teSTES, If, ne II 3311111

NSISSANCESDu /2 Septembre 1925

Jeanne Déieas, alléea de Cugnan., 39. lact1Torrap Grand'Rue SY-Michel, 39 bis. YvonneSena, allée de Barcelone. 26. eihnard Marty,cbsuiu de Pouvoupine. Georgette Dehma,allies SnineAsne, 1/4. Pan Ciammunt. nieTurneleaille, S. Dendene Mtvlia. à Cr...-Daurade. jacquoa Mtnnuer, rue d'Antirom/. 5.

Jeanine Guillavas, allées de Ceronne. An-dré Die, ,co Pie, Bosoch, 7. Caus-me. me Canto,. (Villa Floréal). MudeleineDam, me Alasoe, 27.

A L'IMMORTIELLE, rue de Bei/rusai, fiCouronnes mortuaires. Pertires de mariées

DECESD. 12 Septembre 1925

Aimé Den, 22 Murs à la lassasse. LéaMartmle, 68 ans. me Seset.rares, 24. Fran-çoise Simonset, épouse Armel. 64 ans, chemin d.Buscs, 23. Henri Adoonht, 29 ans. Ine Vol,.13. Bemarde Lacombe, Muse Teisseire, 77mrs, me des Tourneurs. 60. Jeanne Segé, Ors.Lailsme. 69 ans, à DL-hi:non. Nal de Cro-aant, 65 are, I. place du l'in, chnval. Ion.-

sues Cor, 33 ms, roc Freyssinet, 3 (11.B. de Bal-ma). Jodéphine Bmt. épous. 59 eu.me Menin 19. Alexandrin. Gnieherd. verveGsliany. 86 am, rue de, Potiers, 6. HonoréRival, 64 ans. quartier Sounetard. Rose SuArne, veuve Cransac, rue de Rémusat. 48. --Caria Riesyrm. enosse Coodé, 37 ans. immed. l'Oise,. jean lasr, 73 ans, rue d. la Pro.vider,. sera/nais 106.

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Foire de Montesquieu-Volvestredu 19 septembre

Des trains supplémentaires de voyagterrsdessemant toutes les stations et arrêtsculeront entre Le Messd'Asit, Montesquenet Carbonne, samedi- prochain 19 septem-bre, à l'occasion de lu foire de Mont,-quieu, aux heures suivantes

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Aller. Départ du Mes-dblail à 9 h. Amrivée à. Montesquieu ér 10 h. 05.

Départ de Gardienne a /I h. 20. Arrivéeà Montesquieu à 11 11, 45.

Retour. Départ de Montesquieu à 11 inArrivée à Carbonne à 14 h. 50.

Départ de Montesquieu à rd h. 55. Atvée nu Mas-Frasil à 18 h.

ORES LA TIAPIL/EUECROLXDAURADE

CHORALE. Cr soir mardi, répétiedeFill'eoncsheambe pinlm000ruralua solet.nnite.

SAINT-SIMON.CHORALE, MIXTE DE L'AMICAFLI -

LURE. Ce soir, à 9 heures, repelcrise/11de.

SAINTRIPUr"REUNION. La camPagne élertorate '

poursuit activement, déja mua:vers coins -

rus ont été visitces ct le candidat so.9.-liste r4 du Cartel des Damnes repolt par-font non accueil.

trier, a eu Leu à Saint-Béat Ira réunionpublique annoncée a le docteur ViviD, con-seiller général, présidait, assisté de Al. Dia-choie, lie Siint-Béat et Lassen, d Este.s.Avant de donner la pende aux orateurs, ledocteur Visés fait la décntrution anisante t

Citoyens, ici, je viens remplir rio de-voir 0/1fIreS du Parti 5001ilii,10. LOI'Mit/0comité radical-socialiste m'a donne le irMd de le représenter nu conseil géréj'ai répondu r oui, mrds je Dans etrele candidat de tout le parti réPleinalincialiste. Nous avons nommé une déréelqui s'est rencontrée rime ers derniers.parti socialiste a demandé, en celmagcsa

con...ration'Ii' candidat au

d'arrondissement. Notis avons accepté et,aujourd'hui, nous avons A tenir boa ongs-gements. Tont exprès, je suis venta mueel -tri. pour dire à mes amis radier.-cialistes que le seul candidat du Cartelgauches c'est Pierre Fenton. Nous de,.et je veua engage à voter pour loi. o

Par ses applaudissements, la salle le opcombien ces dernicres paroles Mu de i

portance.La parole est ensuite donnée au canna.

'-acre h

'ous marre de, Cosme.- '

ne houreavec une belle Oee'qgu'éb'S'lee,na d'il'é.-tr.oppe le programme socialiste, et il a dit

que, bien nos ton, sans sa Ion 01e eintrierepontique, il avait vu que le parti socia-liste avait prêté son loyal concours auparti radical et qu'il comptait qu'aujour-d'hui la réciprocite nous serait rendue danste canton de eaint-Beat.

Toute la salle applaudit vigoureusementla péroraison do notre camarade.

La maso/é est ensuite donnée au cama-rade Slinan, avijoint au maire, professe.A !Iodez, qui, mi, aven roc grande aster.,puisque Sonau est rie Fos, demande àamis de ne pars oublier les paroles du Moleur Vives et de voter pour le camaradeFontan. -Après avoir dit que notre adver-saire, sous l'étiquette de radical innées,-dual, n'est, en réalité, que lu tu/ni:dm duBloc National, il e montre ie danger qu'ify aurait pour le parti républicain à etrureprésenté par un nomme qui n'a jamaisservi M République, nrais qui s est 10,j011.servi d'elle.

Le camarade Fontan a pris la parole,non pas pour Mire un long discours, maispour dire un mot du programme socialisteet dire à ses nombre,e'i anrs de tous leupartis que ail avait le bonheur d'être élu,il saurait, en toutes circonstances., faireson devoir.

Le camarade Cassais lit une tonere lettredu camarade Vincent Aurio), qui regrettede ne pouvoir etre présent aujourd'nui,mais qu'il est de tout croie avec nous etengage le parti républicain à faire son de-voir Four /e candidat Pierre Fonte°.

La séance est levée aux cris de «République démocratique et sociale

MONPREJEAL

O. O. MARENGO BAT U. S. AL parpoints h 15. Partie de début de saisonassez cafouillée et rendne encore plus con-fuse par l'application des nouvelles règles,.qui parurent gènes assez sérieusement les'joueurs.

111a.ungo possède cette saison une fortbelle équipe, avec, notamment, un packactif et puisaant, qui sera serement un des'meilleurs de 2me série. Bons demis et ar-rière exceimat. Tous les joues. Uontadroits et déjà Lien souffle.

Montréjeau, on essaya une trentainede joueurs manquant totalement d'entrai-nement, à part deux ou trois. Aussi, je neferai aujourd'hui aucune critique. Je mocontenterai de recommander vivement àtons les &pipiers d'imiter l'exemple desMégien Gathies, Ifffuste, Bige, de venirs'entrainer au moins une fois en semaineeId 'assister ans séances où l'ami Cam-bour leur fera /a théorie au taLleau noir.lIc

cnar

e ohemPIX10.1 9 IS7Pr." '

os ont trros un hiesoin Engem.,L'IL S. 3/. possède d'excellents éléments,

mais i/ faut travailler dur et... sans tarder,

STATION ItADIOTELLPHONIQUEDES P. T. T. DE TOULOUSELangueur d'onde o 320 mètres

11110GRAMME DU 15 SEPTEMBRE20 h. 30, M. Yves Périsse, avocat, dire-

g Que de a Feuilles au Vent », fera une cau-serie trou La Folle des Pyrénées s.

A 20 h. 45, informations de M dernffreheure, Bulletin météorologique.

A 21 h., essai de retransmission du Pr,gramme de PEcole supérieure des /'. T. T.

RAD/D-TOULOUSELcagueur d'onde a 432 métres.

PROGRAMME DU 15 SEPTEMBREA. IO h., cours du marché municipal des

légumes de la ville de Toulouse,,jchangssde le matinée.

A /0 h. 30h répétition des dsrniers coursdes légumes, changes de la matinée.

A 12 h. 30, une demi heure de musiquevariée a

Le Gaulois (Clapsonl; flirt ému (L.-V.Marc); Berceuse, solo de relia (Schuman);Promesse (L.-V. Marc); Le Chalet, fantai-sie (Adami.

A 13 h., annonce de l'heure, météoro-logie changes de Paris et marchés remit-murs, informations de ln matinée, specta-cles et foires.

A 13 th 1), concert par l'orchestre Ba-s'in-Toulouse, sens /a direction de M. Mes-sin .

Gavotte des Petits Enfants (A. Cornés);Midi-Express (A. Cam); Solitude (Mens-chett); Prossto, solo de violon (S. Bach) a

Pour toi (A. Alonestes); Lucie de Laraner-moor, fantaisie tDoniselti); The Monkey10. Dutrey); hl. I... Rollin et M. Robin, ac-tuellement en représentation au Théâtredes Variétés, dans a Troubles-Moi v.

A 17 lm 45, Bultetin de in Confédérationagricole du Sad-Ouest, Bourse de Com-merce de Paris, changes, Bourse des va-1ii,(iour,ss. de Paris et de Toulouse, inform,

A 20 h. 30, Variation des changes, in-formations de la journée, derniers cours.commerciaux.

20 h. 45, concertPetite Sérénade (H. Bertrand); Exquise

Tendresse (A.-L. Cases); Couvre-feu, solode hautbois (A. Berthe); For a simile (A.monestes); Dans Parus tiède et parfumé(M. Pesse).

21 h. 15, A. agriculteurs le temps dodenmin.

Causerie sur la mode, par Mlle 51addyBerth ; Conférence de M. Pommer, prési-dent die Ecrivains français en Algérie a

a L'effort français en A/gérie21 h. 25, musique de dan. aMarrane (Luearelli-Davison) ; Amor

Lagrimas (H. Léopold); ForlArcla des Me-chabées (F. Ilagleb/; Les l'argile/Mes (O.Sérum) ; La Maringa (Berdiel p BatelL152!. Mirlet's et Dubal, diseurs fantaisistes,

72 h, 15, lin de l'élnisSion.

LE MIDI soaausTE -"m.« a oemsi

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PREMIERE PARTIE

FRÈRES ENNEMIS

Pierre s'était redressé.De ses mains, le 512015, le marteau eé-

Chappdrent... tornbarent avec un bruitsinistre sur le parquet

Alors, hagard, les cheveux iittrsdia,comme sil venait de oonlmettre un annu-lée, l'artiste se recula.

regarda I. nbg...L'Aube... le fruit de or. peines... L'Au-

be... en laquelle il avait plata tant le su-prême espoir de sa vie I

Il se tordit palgnets.iEt un cri déseepnrê expira sur se, la-

e;°:

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Le soleil venait de sr cacher. Il ne MIT:-hait Plus /a Statso d'une gloire cfayullato-se... Ltortere s'était faite, l'enveloppantcoMnae dîna volte de deuil.

Le fin isage de snarbre ne arohloil 1,100le même,

l'irise crut le vair sasSoofiltrinlesy,loii.-m nea fer/-es sur le joli sentir,remplis d'angeison ot de repretile.

Les lèvre,- les 50100de Clones ..Il bégaya t-'Pardon-. pardon...De nouveau, toutes tes chose,: dansaient

autour de Mon Dieu, co 41,11 éprou-vait bath coup- cotte Pesanteur donsla tata cet andantissentent de tout Sonêtre, c'était étranr,0

Il abaissa le voile qui arlm:t LA.10tous les rogands

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Et ilde sort

fit quelques pas dans la direction. Mais il thlt s'arrêter.

1.00 bandelettes de toile avaient glissé,tialtainant le pansement qui reCOuvrait saiiiessure.

Pris d'une faiblesse soudaine, 11001 obli-gd, pour no pas tomber, de chercher unappui.

Et il rasta la. les jatnbea défaillantes. letairps glacé par la Sueur qui l'inondait.

Des mots brefs, /tachés, indisiinals, mon-tèrent it sa douche.

Srs yeux se fermèrent., pois or 1,111,:-rent aussitôt, agrandis démesurément danstule expressien de terreur indicible.

Il cuit'.Oden Die°, jr vais mourir_ c'est fini-

jama)s pl., je ne reverrai Geneviève, etc'est lui_ l'infante, qui Enta tué-

Il étouffait ...do rO gorge rot:tractée,aucun son I.e salait pins.

Soudoie, il Mil la sensation d'un liquidetiède qui glissait oses, ',titrisa, un iiqut-de dont i! votait la coulée lente mu' ersmembres.

Ce fut d'abord on minee 111e1 impercep-tible, puis le Idei grossît- chaud- Ma-

ri comprit.Il gegaya- Du sang- c'est du sang.Re burent sas derniarea paroles.Un brouillard s'étendit devant ses youx

sen mains trampounées aIl meuble s'eu-Vrtrent... tachèrent leur appui...

Lin instant, elles parurent chere.her dansle vide.

Puis avec un râle sourd, sUr le sol oudéjà son sang Mettait une flaque rouge...Pierre a'abattil lourdement.

Une der:II-heure plus lard, la mûre lissa-nard. qui s'entretenait dans sa loge av.:

vmsines de l'évènement du jour, reg-h-dire de ES pauvre jeune hatume rametieEn si piteux blet, aprês on duel stupide onne sait avec qui; la mare Ereanatal (littout à COup à sa fille, uno jeune personneiongua et Skalle, aux cheveux de cuivre

Ninic, lu vas garder la rantque j'aide lo votr, ce mailleureox... Il nfiaordonné de daller attprès de lui que dansla soirée._ Jamais je ne pourrai attendreSI longtemps... Qaatid se 1.01 (putti', Jatremarque ovni la DM sa- JO n'y 1.0pins d'inquiétude, je vais tout d esuiteyeler e coup d'ou! I.

Et la FOSSIS femme s'engagea datIS ré-Scolt 11101Mit à la 0511r.

A droite se dressait, le petit pavait. ha-biîtii par le sculpte..

Elle monta les quelques marolles dupersica

La elle s'a/Tata, onsta Tomate.Elle n'en/audit ouata betsit.settttottte 40,5homme reposait-ILPourtant, cils voulut s'en assurer.Diumement elle posa sa main si, le

holden de la porte, Imm101 celui-ci aveud'infinies précautions...

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titts u un rhumatisme névralgique; delmiS

quatre ans, les crises dmeatticat de pi.cg plus violentes, les douleurs étaient intmlerables. Je passais dus natta sans pouvoirdarmir, il mo semblait qu'on m'enfonçaitdes couteaux dans ln tète ; une arthrite dela marboire aro donnait de terribles amasde dents ; les cachets divers n'auMent pluenutun effet, sauf celui de m'abîmer l'esta-

a Il y n on mois, le rhumatisme, aprèscasSe c,casiouné Une cystite, SC ICeali97But muscles du cou -.. torticolis - et aubras gauche ; j'étuis pa.alysée le moin-dre MeilVerdent de la tete provoquall unedouleur virde.e.

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- Et elle poussaLa perte ne s'ouvrit pas.La mère gresnard poussa plus fort051115 résistance.Elio s'ou étamaiQu'est-ce que cela ventait dire ?Le jeune artiate dahu enterméelles lui ?Mais alors. sainte Vierge I il s'était levé,

lui qui avait si bien promis do delneUrerfranqUill,. I.., lui, 5 qui elle avaif rée°,les parole; formelles Mi docteur 1 pas ungeste, pas un mouvornent, inunebilité ab-solus

Pourquoi avait-il fait cela ?Il ne voulait done pas qUan vint levoir.., il refusait les scons qu'elle, la mère

Errsnard, s'dtait propesdo de lui donner'?La cateierge. vexée. pivOla stui elle-mê-

me. Bah ! sll,il.rllo se faire. du 000uVf.15Sang de,111t de telles singularités I

Non testes.Elle serait mannerut trop bonneAprAs tont, t'était son affaire, S ce jeune

hornme, 8/.1 voulait se faire arriver desdésagréments.Pqrfaitement: Libre luit... Il n'étaitplus un enfant. It Manifestait la volnnteon,.i ne vint pas le &transes. Soit, en no

In dérangerait pas IA Dieu no plaise.Déjà la brave femrit0 Se disposait à re-

descendre les marnhas du perron.Mals, Itatt a coup, elle se ravisa.Et sa figure Miugeande, qu'agrémentait

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Oui... peut-êtro...fettemailCar dans l'esprit de la grne,,,, el MO

n'y avait place peur aucun dpul/malaire avait fait des baser, q,,,et,

eette Mijaurée, Cette endet.e, venue une fois 1100,

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était la eattSniMais comment savoir ?...Bien qu'ena fût d'une nature

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