les malheurs de sophie d’aprés tiffany thao-sith partie...
TRANSCRIPT
Les malheurs de Sophie d’aprés Tiffany Thao-Sith
partie 1
Synopsis
Tirer de l’œuvre de La Comtesse De Segur, Sophie De Réan, agée de sept ans, fait beaucoup de bétises qui lui arrive d’être punie, sa vie bascule quelque mois aprés, le naufrage, le décés de sa mère, la disparation de son cousin….
personnage principaux
Sophie De Rean : l’heroine, agée de sept ans au debut du film, 10 ans à la fin, espiègle, vives, accumule les betises, tres proche de sa mère et son cousin, sa vie bascule quelque mois plus tard, lors d’un naufrage, la perte de sa mère et son cousin le remariage de son père, la maltraitance de sa belle mère et le déces de son père.
Paul d’Aubert : le cousin de Sophie, âgé d’une dizaine d’années, très proche de Sophie, ses parents souvent absent, celui-ci vit au Château De Réan auprés de sa cousine, il disparait lors d’un naufrage.
Camille De Fleurville : amie de Sophie, même age de Paul, son père est mort quand elle était plus jeune, gentille proche de sa sœur.
Madeleine De Fleurville : la petite sœur de Camille, agée de 9 ans, proche de sa sœur et sa mère.
Mme De Joséphine Réan : Maman de Sophie, elle est sévère mais juste, elle punit souvent Sophie, mais celle-ci trouve la mort dans un naufrage
Mme Honorine De Fleurville : mère de Camille et Madeleine, veuve, amie et voisine de Mme De Fleurville.
Mr Henri De Réan : pére de Sophie, souvent absent, c’est un homme d’affaire, il partit à la Nouvelle Orléans, mais durant le naufrage il perd sa femme, sa belle sœur, son beau frère ainsi que son neveu porter disparu. Un an après il se remarie sans savoir que sa nouvelle épouse maltraite Sophie, il meurt cinq mois plus tard, laissant sa fille sous l’emprise de sa nouvelle épouse. Mais il laisse cependant sa fortune et ses biens à sa fille gerer par sa sœur Clémentine
Fedora Fichini : belle mère de Sophie, celle-ci maltraita Sophie, femme autoritaire, froide.
Mme Louise D’Aubert : la mère de Paul, sous ses airs de femme superficielle, c’est une femme delaissé par son mari, triste, au fond elle veut que le bonheur de son fils.
Mr Clarence D’Aubert : le père de Paul, mari infidele, père absent pour Paul.
Les domestiques
Les Marins
Le commandant De Rosbourg
Leon et Jean De Rugés
La grande mère de Sophie (mme De Segur )
Clementine De Réan : la tante de Sophie, La sœur de Mr De Réan
Jim : camarade de Sophie à La Nouvelle Orléans
Rosa : la nièce de la nourrice Grace à La Nouvelle Orléans
La nourrice Grace : domestique noir dans la demeure de Mme Fichini, elle est la seule qui a de l’affection envers Sophie après le naufrage
Séquence 1 : Scène 1 : 1859 : au château De Réan, en Normandie : dans le hall d’entrée : interieur : jour
Au dix neuvième siècle, generique plan sur le château De Réan en Normandie, plan sur une tortue, des abeilles, les poulets noirs, le pain des chevaux, la créme et le pain chaud, un écureuil sur un arbre, plan sur un
chat et un bouvreuil, et pour finir les poissons dans un aquarium.
Puis dans une chambre d’enfant, une petite fille aperçoit un carosse arrivé à la cour du chateau
Une petite fille courut dans le hall descendant les escaliers, aperçoit un coli sur le sol, appelant sa nourrice.
Sophie : Ma Bonne !!! ma bonne !!! vite !!! papa m’a envoyé une caisse de Paris !! allez ma bonne vite !! (sur un ton enthousiasme)
La bonne sortit de la pièce à côtés, et surprend Sophie en train d’ouvrir la boite
La bonne : doucement Mlle Sophie, attendez, je vais y faire.
Elle ouvrit la boite et découvrit une jolie poupée en porcelaine.
Sophie : une poupée
La bonne lui donne une lettre
La bonne : tenez mlle Sophie, une lettre de votre père.
Sophie : pour ma fille adorée, puisse cette poupée être ton amie et ta confidente, prend en soins c’est très précieux. Ton papa qui t’aime. (En lisant la lettre) merci, mon papa cheri. Regarde Paul, elle est jolie ma
poupée(sur un ton enthousiasme )
Paul : fais voir
Sophie : non parce que tu vas me la cassé
Paul : je te le promets, que je ferais attention
Sophie : tiens (en lui donnant la poupée)
Paul la secoue
Sophie : pourquoi tu l’as secoue ?
Paul : elle est fragile ta poupée, tu devrais faire attention, je crains que tu
risques de la cassé.
Sophie : pas du tout, je ne ferais jamais de mal à ma fille, je vais la montré à Camille et Madeleine, elles seront si contente de voir ma fille. (prenant sa
poupée des mains)
Paul : elles vont te la cassé
Sophie : c’est pas vrai, elles sont gentilles, tu dis ça parce que tu es jaloux
Paul : ce n’est pas vrai !!!
Sophie : si c’est vrai !!!!
Paul arrache la poupée des mains de Sophie, puis ils finissent par se battre celle-ci finit par griffé son cousin.
Paul : tu es méchante !!!
Sophie : pardon mon cousin cheri !!! (en le serrant dans ses bras) , tu dis rien à maman
Paul : c’est promit.
Séquence 1 : scène 2 : dans un balcon : exterieur : jour
Sophie pose sa poupée sur le bord du balcon, sa mère intervient
Mme De Réan : Sophie, ne met pas ta poupée au soleil, la cire fond
Sophie : maman, elle est toute froide, faut bien qu’elle bronze un peu.
Mme De Réan : je t’avais prevenue, écoute ce que je t’ai dit.
Sophie aperçoit Camille et Madeleine
Sophie : Camille et Madeleine sont là
Mme De Réan : prend exemple sur ces deux filles, elles au moins elles écoutent leur maman
Sophie courut et descendu les escaliers et salut Camille et Madeleine
Sophie : bonjour les filles
Camille : Bonjour Sophie
Madeleine : Bonjour Sophie
Mme De Réan sortit du château et salue Camille, Madeleine et Mme De Fleurville
Camille et Madeleine font la révérence
Camille et Madeleine : Madame
Mme De Réan : bonjour Mesdemoiselle, toujours aussi adorable, bonjour ma chère Honorine
Mme De Fleurville : cher Josephine, je me réjouis de vous revoir
Mme De Réan : moi de même
Mme De Fleurville : Bonjour, ma petite Sophie
Sophie : bonjour, madame
Paul arrive en courant, le visage couvert de griffe
Mme De Réan : Paul qu’as-tu fait ?
Paul : je suis tombé dans le houx, ma tante
Mme De Réan : tu me déçois beaucoup Paul, normalement tu es censés être un exemple pour Sophie
Les deux mamans entrent dans le château
Sophie : les filles venez, je vais vous montrer ma poupée
Sophie, Camille , Madeleine et Paul, partient au balcon et découvre la poupée, les yeux fondu
Sophie : oh non, ma poupée
Paul pris la poupée et la secoue
Paul : la cire a fondu et ils sont tout mou
Sophie comment à pleurer
Camille : ne pleure pas Sophie
Paul : on va demander à ma tante de la guerir.
Ils partient dans le petit salon
Mme De Réan : les yeux sont au fond de la gorge, il va falloir la reparer, il me faut du file et une aiguille.
Mme De Réan et Mme De Fleurville montrent aux enfants comment reparer la poupée
Mme De Réan : Paul allume la bougie et apporte la moi
Paul donne la poupée
Mme De Réan : attendez que la cire refroidisse, voilà, maintenant il faut la recoudre
Mme De Fleurville : pendant que nous allons recoudre la poupée, allez jouer dans le jardin.
Les enfants partient dans le jardin, pendant ce temps, dans le petit salon, mme De Réan et Mme De Fleurville discute tout en faisant de la broderie.
Mme De Réan : vraiment, je ne sais plus quoi faire avec Sophie, elle me fatigue avec ses idées loufoques accumulant les betises
Mme De Fleurville : a mon avis, elle fait ça pour se faire remarquer
Mme De Réan : se faire remarquer ? Vous savez ce qu'elle a fait, un jour, elle a pris des poissons rouges qui étaient dans mon bocal, et elle a en fait
un plat composé de blé et de sel, et elle a dit que c'était Simon, mon domestique, le responsable. Vraiment elle a commis une faute grave. J’ai
faillit à lui faire du chatiment corporel en guise de punition.
Mme De Fleurville : ce genre de chatiment n'est pas toléré, ce qu'il faut c'est de passé du temps avec elle, comme je le fait avec mes filles et je suis
sur qu'elle serait une vrai petite fille modéles.
Mme De Réan : une vrai petite fille modéle comme Camille et Madeleine, vous ai je dit que la mère Louchet à recolté plus 200 livres de Poires ?
Mme De Fleurville : formidable
Mme De Réan : nous allons donner deux caisses de poires aux familles les plus démunies, on va garder seulement une caisse de poires, vous
connaissez Sophie, elle est si gourmande, mais c'est vrai elle met de l'harmonie au chateau.
Mme De Fleurville : comment va votre soeur ?
Mme De Réan : mal, Paul lui manque et son mari la délaisse. Elle commence à boire, et a fumer
Mme De Fleurville : ne peut elle pas venir en Normandie pour se ressourcer et retrouver Paul ?
Mme De Réan: elle a beaucoup de travail à Paris, elle a des problémes avec son mari.
Flashwoard
Dix ans auparavant, aprés la naissance de son fils, Louise découvre les infidélités de son mari, celle-ci se confie à sa sœur.
Louise : je viens de lui donner un fils et lui ce qu'il fait, il me trompe avec une pute!!!(Sur un ton de colère, et en pleure)
Josephine : je suis désolé
Paul commence à pleurer, Josephine s'approche de lui
Josephine : la mon petit Paul (en le prenant dans ses bras, le berçant) chut.
Louise : il faut que j'y alle le voir, occupe toi de lui.
Louise partit voir son mari
Quelque minute plus tard, Louise arrive en larme
Louise : il a tellement changé depuis notre mariage, je le reconnais plus. (sur un ton triste et en colère )
Josephine : et moi aussi je te reconnais pas, tu es épuisé va te reposer.
Fin du flashwoard
Séquence 1 : scène 3 : dans le jardin : extérieur : jour
Les enfants font un bassin
Camille : dans notre jardin, nous avons récolté des framboisiers, vous devriez faire pareil
Paul : ma tante ne veut pas qu’on plante des fruits, elle est trop gourmande.
Camille verse le seau d’eau dans le trou, mais la terre boit l’eau, alors qu’ils creusent la terre, ils s’arrêtèrent pendant un moment
Paul : il faut un grand seau
Sophie saute et éclabousse ses amis
Paul : Sophie arrête !!!
Sophie : non
Paul tente de la faire sortir
Paul : arrête maintenant
Sophie : bon d’accord
Sophie pousse Paul a terre
Paul : Sophie
Paul se lève et se bat avec Sophie dans la boue
Camille ; arrêtez !!!
La bonne : les enfants, vos mamans vous appelle
Les enfants courut vers le château.
Mme De Réan : Sophie, Paul, dans quel état êtes-vous mes enfants ?
Paul : désolé ma tante
Mme De Réan : allez vous changer, et rejoignez nous a la terrasse pour le gouter
Sophie : oui maman
Une demi heure plus tard , ils s’assoient à la terrasse
Mme De Réan : assis toi prés toi, Sophie
Sophie s’assoit auprés de sa mère tandis que Paul s’assoit à cotés de Camille
Mme De Réan prit l’assiette de sa fille et lui mets une part de gateau au Myrtille
Sophie : c’est tout
Mme De Réan : ben oui, une part et c’est tout, si tu continues à manger trois parts de gâteaux d’affilé, tu finiras grosse comme une baleine.
Paul se mit à rire ainsi que Camille et Madeleine
Mme De Fleurville : sacré Sophie, toujours aussi gourmande
Mme De Réan : Sophie adore manger, en particulier les gâteaux, c’est pour ça qu’a chaque goûter j’ai demandé à Marthe de lui servir une part de gateau, un fruit et un verre de lait et un sorbet deux fois par semaine,
j’interdis aux enfants de faire planter eux même des fruits, Sophie mangerais tout.
Camille : c’est ce que Paul nous a dit
Le domestique apporte une boite de fruit confit
Mme De Réan : venu spécialement de Paris, les enfants prenez un seul, vous avez assez mangé de tarte et de sorbet
Les enfants prennent chacun un fruit
Sophie : est-ce que je peux en avoir encore ?
Mme De Réan : non, Sophie
Sophie : s’il vous plait ?
Mme De Réan : n’insiste pas je t’ai dit non
Mme De Réan donne la boite à une domestique
Sophie : mais maman, j’ai encore faim
Mme De Réan : va jouer avec tes amis, tu a assez manger
Sophie partit avec le trio
Séquence 1 : scène 4 : dans le jardin : extérieur : après midi
Les enfants continuèrent à creuser le grand trou
Sophie : Camille, quel parfum as-tu aimé ?
Camille : l’abricot
Sophie : l’abricot, o zut, j’aurais mieux fait de prendre l’abricot et toi Madeleine ?
Madeleine :la pêche, j’ai beaucoup aimé
Sophie : et toi Paul ?
Paul : La mandarine
Sophie : ce n’est pas un peu amère ?
Paul : je voit bien ou tu veux en venir, t’aimerais gouter ces quatres parfums
Sophie : je te demande comme ça
Sophie aperçoit sa mère et Mme De Fleurville se promené dans la cour, elle partit discrètement.
Paul : ou va tu ?
Sophie : je reviens, je vais changé de chaussure
Paul : changé de chaussure ? Elles sont comme neuf
Sophie partit en direction du château
Sophie entre discrètement dans le salon, elle prend une chaise et monte, elle ouvrit la boite et mangea la moitié des fruits sans le savoir, elle sortit du
salon comme ci de rien n’était.
Sophie arrive en courant au jardin
Paul : elles sont belle tes nouvelles chaussures, Sophie je sais tout
Sophie : tout quoi ?
Paul : tu as mangé les fruits et tu n’as pas changé de chaussure
Sophie devient rouge
Camille : Sophie, qu’as-tu fait ?
Sophie : mais rien
La domestique : les enfants, vos mamans demande à vous voir
Sophie : oups
Ils partient au salon, Mme De Réan en colére demande des explications
Mme De Réan : cette boite manquait plus d’une vingtaine de fruit, il en reste cinq qui a mangé ces fruits.
Sophie : maman, c’est moi
Mme De Réan : je te demande pardon ?
Sophie : oui maman, j’ai mangé les fruits, je vous demande pardon, maman
Mme De Réan : va dans ta chambre. (sur un ton sévère)
Sophie partit dans sa chambre
Séquence 1 : scène 5 dans le petit salon : interieur : fin de l’après midi
Madeleine, Camille et Paul sont assise à une table jouant au carte
Madeleine : Paul, pourquoi ta mère ne viens jamais te voir ?
Paul : elle vient de temps en temps, mais elle a beaucoup de travail à Paris avec mon père.
Camille : ça doit être dur d’être séparer de tes parents
Paul : je m’habitus tu sais, heureusement, j’ai ma tante et Sophie
Madeleine : c’est dommage, que notre papa soit plus là
Camille : Madeleine (en prenant la main de sa sœur) mais tu sais on a une gentille maman
Paul : que vous avez de la chance, moi j’ai l’impression que mes parents ne m’aiment pas
Camille : je crois qu’ils t’aiment, mais ils ne le montre pas
Paul : tu as peut être raison, Camille
Madeleine : Sophie est tout le temps punit
Camille : avoue qu’elle cherche un peu
Paul : elle fait ça pour tirailler ma tante
Le soir même, Mme De Fleurville et ses filles se preparent pour rentré chez eux
Mme De Réan : à bientôt chère amie, nous vous voyons samedi pour le thé
Mme De Fleurville : bien sur, chere amie, au revoir
Mme De Réan : faites attention sur la route
Les filles font la réverence après qu’elle est dit au revoir à Paul et Sophie, elles montérent dans le carrossse
Sophie : au revoir, à samedi.
Séquence 2 : scène 6 : deux semaines plus tard : l’anniversaire de Sophie : interieur : jour
Lucie, la domestique coiffa Sophie
Lucie : ma petite demoiselle Sophie a desormais huit ans , vous devenez une grande fille.
Sophie : est ce que je peux lisser les cheveux ma poupée ?
Lucie : non mademoiselle, votre mère vous a interdit
La domestique laisse Sophie s’habillé dans sa chambre et sortit, Sophie s’approche de sa poupée, prit un ciseau
Sophie : comme, j’ai pas le droit de lisser tes cheveux et ben je vais utiliser le ciseau pour essayé de le lisser
Sophie prit le ciseau et tente de le lisser mais celle-ci coupe accidentellement les cheveux de sa poupée faisant une sorte carré degradé.
Sophie : tes cheveux, bon sang qu’est-ce que j’ai fait ?
Paul entre dans la chambre et lui souhaite un joyeux anniversaire
Paul : Joyeux anniversaire !!!
Paul dépose un baiser sur la joue de sa cousine
Sophie : merci, Paul
Paul : Sophie, tu as coupé les cheveux de ta poupée ?
Sophie : oui
Paul vaut mieux que ça que tu brules ses cheveux.
Sophie et Paul partient dans le salon et s’avance vers leur grand-mère
Sophie : grand-mère !!! (S’avançant vers elle)
La grand-mère : joyeux anniversaire ma petite sophie
Sophie : merci grand-mère cherie
Tante Clementine : joyeux anniversaire, ma nièce adorée
Sophie embrasse sa tante, puis elle aperçoit son père entrer dans le salon
Sophie : papa !!! (en courant vers lui)
Mr De Réan : ma fille cherie (en la prenant dans ses bras)
Sophie : merci, mon papa cheri, j’aime beaucoup la poupée que vous avez offerte
Mr De Réan : je suis ravie que ça te plaise
La grand-mère : a quel heure viendra Louise et Clarence ?
Mme De Réan : au alentour de dix heures, chère maman
Quelques heures plus tard, les invités arrivent, Paul embrasse sa mère et son pére, Sophie embrasse Camille et Madeleine, et sa tante et son oncle.
Quelque minutes plus tard, Sophie ouvrit ses cadeaux en présence de sa famille et de ses amis.
Sophie : oh une jolie dinette, merci Camille Madeleine et Mme De Fleurville
Sophie ouvrit un paquet qui s’avère être une boite à ouvrage
Sophie : merci, vous avez vu ces beau fils, ces pointeaux et ses aiguilles
La grand-mère : c’est de ma part, ma chérie, comme ça tu pourras créer tes propres robes de poupées et tes mouchoirs.
Sophie : merci, grand-mère, maman, je pourrais faire du thé ?
Mme De Réan : oui, mais tu feras semblant, je ne veux pas que tu empoisonne tes amis
Louise : allez ouvre le notre
Sophie ouvrit un autre paquet que s’avère être un tableau
Louise : il a été peint par un artiste très connu
Sophie : merci, ma tante et mon oncle.
Mme De Réan : c’est l’heure de soufflé les bougies
Le cuisinier apporte le gateau et le pose sur la table
La grand-mère : allez ma petite cherie, c’est l’heure de soufflé les bougies, ferme les yeux et fait un vœu
Sophie souffle les bougies
Tous : bravo !!!!
Mme De Réan et son mari embrasse leur fille
Plus tard dans la journée, Sophie et ses amis sont à la terrasse, celle-ci à une derrière la tête.
Sophie : attendez-moi là, je reviens
Paul : ou vas-tu ?
Sophie : je vais chercher de quoi pimenté le jeu
Camille : Sophie a une idée derrière la tête
Paul : moi aussi
Madeleine : que veux tu dire ?
Paul : ma tante a dit de ne pas faire de thé, bien sûr elle n’en fais qu’a sa tête !
Sophie partit dans la cuisine, prit de la craie et des trèfles et de l’eau non potable
Celle-ci arrive avec un plateau
Sophie : voilà (en prenant la cafetière mettant de l’eau) désirez vous du sucre ? (en s’adressant à Camille)
Camille : volontiers madame
Sophie prit la tasse et verse « le thé »
Camille : merci madame
Sophie : et vous ma chere Madeleine ?
Madeleine : volontiers
Sophie : et vous mon cher Paul ?
Paul : heu….oui
Alors qu’ils boivent tous les trois, ils recrachent aussitôt
Paul : tu as mis quoi dans ce thé ?
Sophie : de la craie et des tréfles
Camille et Madeleine : ah !!!! (sur un ton ecoeuré )
Paul : tu appelles ça du thé !!!! ben tiens bois
Paul et Sophie commencent à se battre alors que Camille et Madeleine tente de les separés alertés par les cris, Mme De Réan sortit
Mme De Réan : mais qu’est ce qui se passe ?
Paul : Sophie, nous a fait boire du thé
Mme De Réan : du thé ? Voyons Sophie qu’as-tu fais ?
Sophie : j’ai mit de la craie et des tréfles
Mme De Réan : tu commences bien ton huitième année, Marthe apportez ceci dans la cuisine
Marthe prit la dinette
Marthe : bien madame.
Mme De Réan : tu as de la chance que ça soit ton anniversaire, sinon, je t’aurais punit
Mme D’Aubert sortit et allume une cigarette, Mme De Réan s’approche de sa mère
Mme De Réan : depuis quand tu t’es mis a fumé ?
Mme D’Aubert : depuis que je t’ai confié Paul, et que Clarence voit une autre femme
Mme De Réan : oh non, pas encore.
Mme D’Aubert : je l’ai suivi et je l’ai vu entré dans une maison close
Mme De Réan console sa sœur
Mme De Réan : ça va aller.
Mme D’Aubert : je sais plus quoi faire, heureusement que j’ai Paul, est ce qu’il est heureux avec toi ?
Mme De Réan : oui, Sophie et lui sont comme frère et sœur.
Mme De Réan sert sa sœur dans ses bras
Séquence 2 : scène 7 : quelques jours plus tard : exterieur : pluie battant : jour
Sophie sortit du château, et danse sous la pluie
Sophie : ou sont ces cordons ?
Elle rentre au château, tout mouillé
Paul : Sophie, tu es toute mouillé, allez viens sinon tu vas tomber malade.
Sophie : ne t’inquiète pas Paul, je vais bien, atchoum
La bonne sortit de la salle a manger
Mlle Edwige : mlle Sophie qu’avez-vous ?
Sophie : ce n’est rien, Edwige, j’ai froid
Edwige : mon dieu, mlle Sophie qu’avez-vous fait encore comme bêtise ? Simon va chercher madame (prit l’enfant dans ses bras)
La bonne la pose sur son lit, et prit plusieurs couverture
Mme De Réan arrive, touchant le front de sa fille
Mme De Réan : oh ma pauvre enfant qu’as-tu fais ?
Sophie : pardon maman
Mme De Réan : allez chercher un médecin, et dites à Marthe de lui préparer un bol de lait avec du miel
Mlle Edwige : oui, madame
La domestique partit
Mme De Réan : oh ma cherie, je t’aime tant, ne me laisse pas.
Mme De Réan borde sa fille et met une serviette sur son front pour baisser la température
Le medecin arrive une heure plus tard, celui-ci examine Sophie
Le medecin : une pneumonie, elle a besoin de resté au chaud, si la fièvre continue à augmenter demain, vaut mieux l’emmené à l’hôpital. Je
repasserais demain.
Le docteur partit et Mme De Réan s’occupe de sa fille, mettant sa serviette sur son front, tandis que Paul reste assis sur son lit auprès d’elle.
Mme De Réan : Paul va te reposer, mon cheri
Paul : je ne suis pas fatigués ma tante.
Mme De Réan : ce n’est pas bon de respirer dans une chambre d’un malade
Paul : vous croyez qu’elle va s’en sortir ?
Mme De Réan : bien sur que oui
Paul : ma tante, malgré tout le respect que vous dois, je vous aime plus autant que ma propre mère.
Mme De Réan : mais tu sais que ta mère t’aime plus que tout, elle n’est jamais là pour toi, mais tu es la dans son cœur
Paul sert sa tante dans ses bras.
Paul : je vous aime ma tante
Mme De Réan : moi aussi, j’aurais aimé t’avoir comme fils, allez va dormir
Paul sortit de sa chambre, Mme De Réan se mit à genou et fait une prière.
Mme De Réan : Seigneur, guérissez ma fille, faites qu’elle s’en sorte, je vous en supplie, je ne veux pas la perdre.
Le lendemain, Sophie ouvrit les yeux et aperçoit sa mère endormit auprès d’elle
Sophie : maman
Mme De Réan : ma Sophie, tu es guérit, la fièvre est tombé, dieu merci
Mme De Réan sert sa fille dans ses bras
Mme De Réan : tu m’as fait une de ses frayeurs, on peut en mourir de ces choses-là, tu vois qu’il faut écouter sa maman.
Sophie : je voulais avoir des cheveux bouclés comme Camille
Paul entre dans la chambre de Sophie
Paul : Sophie, tu vas mieux ?
Sophie : oui
Mme De Réan : Paul va dire à Marthe de préparer son petit déjeuner.
Paul ; j’y cours, ma tante.
Mme De Réan : ça mérite une promenade cet après midi. Ça te dit ?
Sophie : oui, maman
Séquence 2 : scène 8 : la promenade : extérieur : jour
Sophie, Paul et sa mère se promènent dans la forêt
Sophie : regarde Paul, un fraisier
Mme De Réan : Sophie ne traîne pas, s’il te plait
Paul suivit sa tante, tandis que Sophie ne pouvant résisté s’arrête pour manger les fraises
Tandis que Mme De Réan et Paul s’avance dans les bois
Mme De Réan : passez devant moi les enfants, ou est Sophie ?
Paul : elle est restée a l’arrière ma tante.
Sophie pousse un cri voyant le loup, mais Paul la sauve grâce à leur chien
Paul : allez les chiens !!! Attaques Krypton !!!
Le chien attaque le loup, le loup reussit à s’enfuir
Mme De Réan : je t’ai dit de ne pas t’éloigné (sur un ton affolé et en colère)
Tu es blessé ? (en la prenant dans ses bras)
Paul : tout va bien ma tante
Ils partirent au château et retrouve Mr De Réan
Sophie : papa !!! (En s’avançant vers lui)
Mr De Réan : ma petite Sophie (en la prenant dans ses bras) bonjour mon neveu
Paul : bonjour mon oncle
Mme De Réan : bonjour cheri. (en embrassant son mari)
Sophie : un loup voulait me mangé
Mr de Réan : comment ça cherie un loup voulait te mangé ?
Mme De Réan : j’avais demandé aux enfants de ne pas s’éloigné, mais comme d’habitude Sophie ne m’a pas écouté. J’ai fallu la perdre hier a cause de la fièvre. Vraiment, je sais plus quoi faire. Je pensais que cette
promenade lui ferait du bien
Mr De Réan : il faut faire preuve de patience avec elle.
Ils partient au château excépté Paul, qui lui aimerais bien être à la place de Sophie, avoir une famille.
Séquence 3 : dans le petit salon : une mauvaise nouvelle : interieur : jour
Une semaine plus tard, Louise la mère de Paul apprend que son ami, Robert Fichini est mort d’une crise cardiaque à la Nouvelle Orléans, en Amerique
Mme De Réan : allons, c’est juste une histoire de deux ans
Mme D’Aubert : je n’arrive pas à y croire qu'il soit mort.
Les enfants entrent dans la salle
Mme De Réan : les enfants, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncé, Mr Fichini, un ami de votre père vient de mourir en Amerique
Paul : on va devoir y allé ?
Mme De Réan : oui, malheureusement on va devoir rester un an ou deux, il a légué sa fortune ta mère et à ton oncle, et nous sommes attristé de quitter
nos familles et nos amis
Sophie : on part quand ?
Mme D’Aubert : nous partons pour Paris, demain
Mme d’Aubert allume une cigarette devant les enfants
Mme De Réan : allez préparez vos affaires
Les enfants partient preparer les affaires dans leurs chambres
Sophie : dis moi c’est comment l’Amerique ?
Paul : il y a des indiens, des jolies chevaux, des jolies paysages
Sophie : comme ça doit être beau. Je suis sûr qu’il y aura des vaches de toutes les couleurs
Paul : et des corbeaux rouge, bleu pas comme ces affreux corbeaux noirs.
Pendant ce temps, dans le salon, Mme De Réan réunit les domestiques
Mme De Réan : Norbert, je vous confie le château, Marthe, Gabriel, Simon et Lucy vous resterez ici. Edwige, Mina et Honoré viendront avec nous à
Paris. Je compte sur vous pour vous occuper du château.
Norbert : oui, madame.
Le lendemain, la famille disent adieu à leurs amies
Mme De Fleurville : vous allez rester combien de temps en Amerique ?
Mme De Réan : un an ou deux ans, je vais profiter de cette occasion de passer du temps avec Sophie
Mme De Fleurville : tant mieux, c’est triste de ne pas vous voir pendant 1 an ou 2
Sophie offrit une lettre à Camille et Madeleine
Camille : merci, Sophie
Sophie : je n’ai fait aucune faute d’orthographe
Madeleine : tu vas nous manquer Sophie
Sophie : nous aussi
Elle sert ses amies dans ses bras
Sophie : je vous aime
Mme De Fleurville s’approche d’elle et s’agenouille devant Sophie
Mme De Fleurville : c’est un long voyage qui t’attend, promet moi d’être bien sage
Sophie : c’est promit
Elle embrasse Mme De Fleurville et la sert dans ses bras
Mme De Fleurville : aller au revoir, ma petite Sophie.
Elle entre dans la caléche
Mme De Réan : au revoir, chere amie, à très bientôt
Sophie et Paul : au revoir
Dans l’après midi, l’heure de la pause, en pleine campagne Sophie commence à vomir.
Mme De Réan : Sophie, qu’est-ce que tu as encore ? (sur un ton inquiet)
Sophie : pardonnez-moi maman, j’ai mangé du pain des chevaux
Mme De Réan : combien de fois je t’ai dit que le pain des chevaux n’est pas bon pour la digestion, elle reste dans ton estomac.
Sophie : je pensais qu’il y avait rien à manger, pour le voyage
Mme De Réan : mais ma pauvre enfant tu te punis toi-même, est ce qu’on t’a privé de nourriture ?
Sophie : non
Mme De Réan : ben alors, écoute ma chérie, ce que j’aimerais c’est ce que tu m'écoutes et que tu sois attentive. J’aimerais que tu sois une petite fille modèle comme Camille et Madeleine. Pense à ces gens qui n'ont rien à
manger, notamment des enfants qui ont le même âge que toi qui vit dans les rues abandonnés par leurs parents.
Plus tard dans la journée, la famille arrive à Paris, Sophie et Paul fut fasciné la beauté de la ville de Paris, ils arrivent dans une maison, ou ils furent
accueilli par Mr De Réan et Mr D’Aubert
Sophie s’avance vers son père
Sophie : Papa (en courant vers son père)
Mr De Réan : ma Sophie, tu as fait bon voyage ? (en la prenant dans ses bras)
Sophie : oui, j’ai écrit à Camille et Madeleine et sans faute d’orthographe
Mme De Réan : Sophie n’a pas pu finir son panier repas
Mr De Réan : a bon, ça m’étonne d'elle, d'habitude elle est capable de manger trois pommes d'affilés.
Mme De Réan : je t’expliquerais la dernière bêtise de ta fille
Mme D’Aubert allume une cigarette sous les yeux de son mari et son fils
Clarence : tu sais très bien que j’ai horreur que tu fumes (en retirant la cigarette de la bouche de sa femme) surtout devant ton fils.
Elle entre dans la maison vexée
La tante Clémentine (la sœur de mr De Réan) arrive
Clémentine : bonsoir, tout le monde, avez-vous fait bon voyage ?
Mme De Réan : oui, merci, chère Clémentine
Sophie : bonsoir, ma tante
Clémentine : Bonsoir, ma petite Sophie, Paul
Paul : bonsoir ma tante
Lors du dîner, l’ambiance fut tendue
Mme D’Aubert : pourquoi s’occuper de Mlle Fichini ? Alors qu’elle a peine trente ans
Mr De Réan : Robert nous a laissé une fortune d’environ quatre millions de dollars, c’est lui qui a créer la ligne du chemin de fer qui va de La Nouvelle Orléans jusqu’en Californie. Ne t’inquiète pas Louise, Mlle Fichini sait ce
débrouillé toute seul.
Mme D’Aubert : justement, j’ai vu une photo de cette femme, et je me demande qui pourrait aimer une femme aussi grosse et laide (en prenant un
verre de vin) aucun homme pourrait lui faire la cour.
Mme De Réan : que tu es mauvaise, ma chère sœur, la beauté vient de l’intérieur.
Clarence : Louise s’il te plaît, ne donne pas de préjugés
Louise : voyons, j’ai entendu dire que c’est une femme capricieuse et
Superficielle
Clarence : un peu comme toi
Sophie : maman, on pourrait aller voir grand-mère, demain
Mme De Réan : oui, cherie.
Louise commença a boire un troisième verre de vin
Plus tard dans la soirée, Sophie s’approche de ses parents
Sophie : bonne nuit papa, bonne nuit maman
Mme De Réan : bonne nuit Sophie (en l’embrassant)
Mr De Réan : bonne nuit ma chérie
Paul embrasse sa mère
Paul : bonne nuit maman, père
Clarence : fils
Plus tard dans la nuit, Paul entendit ses parents se disputé qui sont de l'autre côté de la pièce
Louise : bon sang, il faut que tu choisisses c’est elle ou moi !!!
Clarence : elle n’est rien pour moi !!!
Louise : c’est ça prend moi pour une idiote, cette catin est enceinte de
Toi !!!!
Le lendemain, Sophie et Paul enlacent leur grand-mère qui les accueilles dans sa demeure
Ils entrèrent dans la maison.
La grand-mère : mes chéris j’ai un joli cadeau pour mes deux petits enfants adorés
Sophie : chouette.
La grand-mère arrive avec deux paquets
La grand-mère : tenez mes cheris
Paul ouvrit un paquet et c’est une boussole
Paul : merci, grand-mère
Sophie ouvrit son paquet et découvre un pendentif
Sophie : merci, grand-mère
Louise : apportez-moi un verre de Whisky (en s’adressant à un domestique)
Le domestique : oui, madame
La grand-mère : je sais que c’est une tragique perte, cherie, mais ne noie pas ton chagrin dans l’alcool. (En s’adressant à Louise)
Louise : Robert était un de mes amis, je l’admirais beaucoup. C’était un de
Mes confidents, oh mère vous saviez que Clarence va avoir un batard ? (en buvant un verre de whisky)
La grand-mère : oh le chameau !!!! J’aurais jamais du te laisser épousé Clarence.
La grand –mère la sert dans ses bras
La grand-mère : je suis là, chérie
Mme De Réan qui est en train de coudre, Sophie s’avance vers elle.
Mme De Réan : Sophie, tu sais nous devons retrouver les cousins de Camille et Madeleine au parc cet après midi.
Sophie : Leon et Jean De Rugés ?
Paul : ma cousine rougit quand elle entend le prénom de Jean, car elle a un petit faible pour lui
Sophie : tait toi, Paul tu deviens pénible !!!
Paul : c’est toi qui dit ça ?
L’après midi même, ils partient au par cet retrouvent Leon et Jean
Jean : dis moi Sophie, tu m’écriras quand tu seras en Amérique
Sophie : bien sur, tu me donnes ton adresse
Jean : oui
Jean lui donne son adresse dépose une bises sur la joue de Sophie
Leon : alors c’est promit, tu m’écriras, si tu rencontres des indiens d’Amérique
Paul : c’est promit, Léon
Leon : ça doit être passionnant de faire le voyage en bateau, tu as vraiment de la chance
Paul : je ne suis pas aussi chanceux que ça
Leon : que veux-tu dire ?
Paul : mes parents n’arrêtent pas de se disputé
Leon : c’est normal, tu sais chez certains parents, ils se disputent sans arrêt, et certains parents ne se disputent jamais comme les miens
Paul : ou comme les parents de Sophie
Leon et Paul aperçoivent Sophie et Jean main dans la main
Paul : on va rentrer, nos mamans nous attendent. A bientôt
Leon : a bientôt, Paul, a bientôt Sophie
Sophie : au revoir, Leon au revoir Jean
Jean : faites bon voyage
Paul : merci
A la gare, Sophie et sa famille dit au revoir à ses domestiques.
Sophie : au revoir Mlle Edwige, Mlle Mina
Edwige : au revoir Mlle Sophie, vous allez nous manquer
Sophie : a moi aussi.
Mme De Réan : au revoir, Edwige et Mina
Mlle Edwige : au revoir Mme
Mina : au revoir Mme
Ils montérent dans le train
Séquence 3 : scène 9 : le lendemain : en route pour l’Amérique : extérieur : jour
Arrivés au port du Havre, ils embarquèrent sur un bateau nommé ‘’La Sybille’’
Le commandant : bienvenue, mesdames et messieurs au bord de La Sybille, permettez-moi de me présenter, je suis le commandant De Rosbourg
Mr De Réan : bonjour, cher commandant De Rosbourg, je suis Henri De Réan, et voici mon épouse, ma belle-sœur et mon beau-frère, ma fille
Sophie et mon neveu Paul.
Le commandant : bienvenue les enfants, est ce que je vous fasse une visite du bateau ?
Paul et Sophie : oui, mon commandant
Le commandant : permettez-vous que je les emmener visiter le bateau ?
Mme De Réan : certainement, tu écoutes bien le commandant, Sophie, sois sage
Sophie : oui, maman
Plus tard, durant la traversée, Sophie admira la mer de sa cabine.
Mme De Réan : Sophie, regarde le mouchoir que j’ai brodé
Sophie s’approche de sa mère
Sophie : que c’est beau, un S comme Sybille
Mme De Réan : non, un S comme Sophie, des que ça sera terminer ce mouchoir sera pour toi.
Sophie : merci, maman
Paul entre dans sa cabine, après avoir passé la journée avec le commandant
Louise : tu t’es bien amusé ?
Paul : oui maman, j’aime beaucoup le commandant, il est gentil
Louise : les rapports entre ton père et moi sont tendu, ça te rend triste que je viens jamais te voir en Normandie
Paul : que se passe-t-il entre papa et vous ?
Louise : chéri, dans certaines familles, la signification du mot amour
n’existe pas, j’étais bien jeune quand je me suis marier avec ton père, dès la première fois que je l’ai vu, j’en suis tombé amoureuse, il m’a dit qu’il
m’aimait, puis après le mariage, il a littéralement changé, j’ai vu un autre homme, il voulait que je lui donne un héritier, et je t’ai eu toi, mon fils,
après la mort de ton grand père, il t’a laissé un héritage, une fortune, car tu sais ton grand père a fait fortune dans le diamant.
Paul : je suis désolé, mère
Louise : ne le sois pas, tu es heureux avec ta tante et Sophie
Louise embrasse son fils sur la joue
Louise : allé il est tard
Paul se mit en pyjama et sa mère le borde
Louise : bonne nuit mon cheri
Paul : bonne nuit maman
Le lendemain, dans la cabine, Paul et Sophie sont sur la passerelle du bateau, Sophie commence à avoir mal au cœur.
Sophie : j’ai mal au cœur
Blaise : ce n’est rien mademoiselle Sophie, vous avez le mal de mer, il suffit que ça passe (en lui donnant un gâteau)
Sophie : merci, Blaise, vous avez des enfants Blaise ?
Blaise : oui, j’ai une fille, Lucie, qui a peu près votre age.
Sophie : et le commandant il a des enfants ?
Le commandant s’avance vers les enfants
Le commandant : oui, j’ai une fille qui a environ quatre ans, elle est exactement comme toi, espiégle et curieuse.
Paul : vous avez jamais pensé à avoir d’autres enfants ?
Le commandant : si, j’aimerais beaucoup avoir un fils comme toi
Paul sert le commandant dans ses bras, sous le regard de discret de sa mère qui fume une cigarette, son mari s’avance vers elle.
Louise : une fois arrivés en Amerique, je ferais en sorte pour qu’on divorce, et je ferais en sorte que tu n’auras pas un centime de la fortune de Robert
Clarence : tu me quitte, tu n’auras pas Paul, et tout ce qui a toi est a moi.
Louise : tu n’as jamais aimé notre fils, tu t’es jamais occuper de lui (sur un ton de colère) je dois penser à lui
Clarence : et moi aussi, je pense à lui
Louise : c’est cela oui
Clarence : Louise, je te previens tu divorces, tu n'auras rien, pas de logement, plus de travail, plus d'argent et plus de sortie à l'opera.
Paul aperçoit ses parents en train de se disputé
Sophie : Paul, tu viens ?
Paul : j’arrive
Le soir même au dîner, l’ambiance fut détendu et convivial
Louise : cher commandant, êtes-vous déjà allé en Amérique ?
Le commandant : oui, mais je passe plus de temps en mer que sur la terre, qu’allais vous faire en Louisiane ?
Mr De Réan : nous allons passer un an ou deux à La Nouvelle Orléans, un ami a nous qui est décédé nous a laissé une fortune estimé à plus quatre millions de
dollars, et on doit s’occuper des affaires et de l’avenir de Mlle Fichini
Louise : mlle Fichini parlons-en, qui pourrait épouser une femme aussi grosse et aussi laide ? (en buvant plusieurs verre de vin d’affilé) c’est vrai, elle a l’air
tellement pathétique et désagréable
Clarence : arrête ne recommence pas !!!
Josephine : Louise, je crois que tu as un peu trop bu, les enfants allez dans la cabine (sur un ton sévère)
Sophie : mais maman on pas finit de manger
Mr De Réan : finissez de manger, les enfants, ensuite allez dans vos cabines
Louise allume une cigarette
Josephine : ne fume pas devant les enfants !!!'(sur un ton sévère)
Louise : vous commencez sérieusement à m’énerver, entre mon mari qui va avoir un bâtard, mon fils que je ne vois jamais qui grandit tellement vite, (en se levant
de table, sur un ton de colère) vraiment, vous êtes désagréable !!!
Clarence : pardonnez-nous, commandant, ma femme traverse une mauvaise passe
Mme De Réan : les enfants allez dans votre cabine
Sophie : mais on n’a pas attaqué le dessert
Mme De Réan : discute pas !!! Je t’apporterais une part de gâteau dans la cabine même deux, vu que tu as été sage durant la traversé (sur un ton calme)
Paul et Sophie sortent de table
Mr De Réan : bonne nuit mes cheris (en s'adressant aux enfants)
Le soir même, fut la tempête, Sophie
Dans la cabine, Paul et Sophie jouais aux cartes
Sophie : quel ennui
Paul : si seulement on pouvait sortir
Sophie : tu as vu le temps qu'il fait
Paul sortit de la cabine et cinq minutes plus tard, Mme De Réan entre dans la cabine avec une assiette de dessert.
Mme De Réan: Paul n'est pas avec toi
Sophie : il est partit dans sa cabine, maman, est ce qu'il y aura des occupations pour nous quand on sera en Amerique ?
Mme De Réan : bien sur, il y aura des promenades à cheval, visiter les coins sauvages de l'Amerique, il y aura surment des enfants avec qui vous pouvez jouer.
On ira voir les alligators.
Sophie : jamais on se quittera
Mme De Réan : mais quel question jamais on se quittera ? .tu veux que je te dise, je suis fière de toi car tu as été très sage durant la traversé, j’aimerais que ça
continue.
Soudain l'eau de la mer entre dans la cabine
Mme De Réan: mais qu'est-ce que...?
Paul entre dans la cabine.
Paul: ma tante, Sophie, il faut partir
Mme De Réan : que se passe-t-il ?
Ils sortent de la cabine, alors que c’est la tempête en dehors, mr De Réan courut auprès de sa femme
mme De Réan : Henri, qu'est ce qui se passe ?
Mr De Réan: je ne sais pas, je monte voir le commandant
Mme De Réan : Paul ou es ta mère ?
Paul : elle est montée sur le pont avec papa
Ils montèrent sur le pont,
Le commandant : les chaloupes à la mer !!!!!
Louise : cheri, tu n’as rien ? (en s'approchant de son fils)
Paul : non, ça va.
Le commandant : allez vite dans le canot !!!
Paul decide de rester au prés du commandant
Paul : je veux rester avec lui!!!Louise: non !!Non!! Reste avec moi !!
Paul : maman sache que je vous aimerez toujoursLouise : Paul !!!!
Soudain une grosse vague engouffre le bateau, Mr De Réan prit sa fille dans ses bras, Mme De Réan, mme D’Aubert et son mari montèrent sur le canot, mais le canot descendit tellement vite, la vague emporte le canot, Sophie et son père
tombe du bateau, Sophie voit sa vie défilé
Elle voit le visage de Paul et sa mère partant d’une direction à l’autre, celle-ci revoit les
Bons moments passés avec sa mère et Paul, les bêtises qu’elle faisait.
Mme De Réan : Sophie, n'oublie pas maman est là, maman t'aime, je veillerais sur toi.
Celle-ci se réveille dans une cabine croyant que c’était un rêve
Sophie : maman !!! (En sortant du lit)
Un capitaine arrive
Sophie : vous n’êtes pas le commandant
Un capitaine : calmez-vous, mademoiselle
Sophie : ou es mon papa ?
Un capitaine : il est allongé dans un lit, je vais vous emmener
Le capitaine emmène Sophie dans une cabine, celle-ci découvre son père allongé dans un lit
Sophie : papa
Mr De Réan : ma fille chérie, nous sommes désormais seul (sur un ton triste)
Sophie : ou sommes nous ?
Le capitaine : nous sommes en Floride
Sophie : Paul ou est -il ?
Le capitaine : qui es Paul ?
Sophie : mon cousin
Mr De Réan : il y a eu une tempête, ta pauvre maman, ta tante ton oncle ont …
Sophie : non, je n’y crois pas (en pleurant serrant son père dans ses bras)
Le lendemain, Mr De Réan se remet doucement et écrit un télégramme à Mlle Fichini.
Sophie : papa, que faites-vous ?
Mr De Réan : j’écris à Mlle Fichini pour expliquer la situation, ma chérie, nous allons remonter le fleuve du Mississippi, on va devoir se serrer les coudes.
Arrivés en terre ferme, Mr De Réan et sa fille, doivent prendre le bateau mouche pour aller à La Nouvelle Orléans
Mr De Réan : vient Sophie
Sophie : non, je ne veux pas retourné en bateau
Mr De Réan : allons, ce n’est pas la mer, c’est un fleuve
Mr De Réan la prend dans ses bras.
Lors de la traversée, Sophie regarde le Fleuve, celle-ci s’assoit et regarde le mouchoir que sa mère lui a offert, Mr De Réan s’assoit auprés d’elle.
Séquence 4 : scène 10 : arrivés à La Nouvelle Orléans
Mr De Réan et sa fille arrive et aperçoit Mlle Fichini
Sophie : c’est Mlle Fichini, la bas ?
Mr De Réan : je ne sais pas, je l’ai vu en photo
Sophie : ma tante disait qu’elle était grosse et laide
Mr De Réan : surveille ton langage Sophie
Sophie : Pardon papa
Mlle Fichini s’approche de lui et de Sophie
Mlle Fichini : monsieur permettez-moi de vous présenter mes sincères condoléances
Mr De Réan : merci
Mr De Réan commence à toussé, ils entrèrent dans la calèche, ils arrivèrent dans la demeure soudain en sortant de la calèche, Mr De Réan entre dans la maison
Mlle Fichini : pauvre monsieur, appelez un médecin !! Exécution (en s’adressant à un de ses domestiques) Grace emmenez Mlle Sophie dans une chambre.
Grace : venez avec moi Mlle Sophie
Grace l’emmène dans une chambre
Grace : j’espère que la chambre vous plaît
Sophie observe la chambre et découvre une moustiquaire autour de son lit
Sophie : qu’est ce que c’est ?
Grace : c’est pour les frappes d’abord
Sophie : les quoi ?
Grace imite les moustiques
Sophie : les moustiques
Sophie sortit de la chambre et demande a voir son père
Sophie : mon papa va mieux ? est-ce que je peux le voir ?
Mlle Fichini : non, Sophie, vous ne pouvez pas, laissez-le
Sophie : s’il vous plait
Mlle Fichini : c’est non (sur un ton sèvére) obéissez.
Sophie partit dans sa chambre et pleure.
Le lendemain, Sophie ouvrit un paquet qui s’avère être une robe noir, celle-ci fondit en larme, elle regarde le médaillon que sa grand-mère que lui a offert
La nourrice entre dans la chambre
Grace : Mademoiselle Sophie vous avez bien dormit ?
Sophie : Non, je veux ma maman
Grace émue sert Sophie dans ses bras
Grace : pauvre petite, dites-vous que votre maman est au prés de dieu
Sophie : Paul est en vie, je le sais, je le sens au fond de moi
Grace : priez pour qu'il soit en vie
Sophie sortit de la chambre, discrètement et partit dans la chambre de son père
Sophie : papa
Mr De Réan : Sophie, ma petite chérie, vient approche
Sophie s’approche du lit, et s’allonge sur le lit, son père la sert dans ses bras.
Sophie : vous allez mieux ?
Mr De Réan : oui, mon enfant
Sophie : elle me manque
Mr De Réan : a moi aussi, chérie, nous sommes tous les deux seul a présent.
Sophie : j’ai peur papaMr De Réan : je suis là, ne t’inquiète pas
Mlle Fichini entre dans la chambre
Mlle Fichini : Sophie, je vous ai dit que votre père a besoin de repos
Sophie : je voulais juste embrassé mon père
Mlle Fichini : sortez (sur un ton sèvère)
mr De Réan : obéit, Sophie.
Sophie sortit de la chambre, mais elle revient sur ses pas s’avance vers son père
Sophie : je vais faire un dessin pour vous, papa, pour vous remonter le moral.
Sophie partit de la chambre
Quelques semaines, plus tard, Sophie sortit celle-ci partit dans le jardin et aperçoit une petite fille afro-americaine cueillir des cotons
Sophie : bonjour, je m’appelle Sophie
Rosa : et moi Rosa
Grace : mlle Sophie, vous êtes là, je vois que vous avez la connaissance de Rosa, ma nièce.
Sophie : pourquoi elle travaille dans les champs de cotons ? Ne va-t-elle pas à l’école ?
Grace : ma nièce est obligée de travailler, c’est la loi chez nous.
Sophie : est ce qu’elle pourra jouer avec moi ?
Grace : je ne sais pas, madame ne voudrais pas
Plus tard dans la journée, Sophie aperçoit un petit garçon cueillir des crevettes dans la rivière, le petit garçon tente de s’enfuir mais Sophie arrive
Sophie : attend, je m’appelle Sophie et toi ?
Jim : Jim
Sophie : enchanté, ça te fait pas mal d’attraper des écrevisses et des crevettes ?
Le chien de Mlle Fichini arrive et aboit, et Jim s’enfuit
Sophie : attend !!!! clebard tu l’as fait partir !!!(En s’adressant au chien)
Sophie entre dans la cuisine
Grace : alors aimez-vous La Louisiane ?
Sophie : ça va. J’ai rencontré un garçon Jim
Grace : mlle Sophie, asseyez-vous prêt de moi, je vais vous expliquer pourquoi vous ne pouvez pas fréquenter ce petit garçon, et Rosa, il existe une loi que les gens comme nous ne doivent pas fréquenter les gens comme Madame car nous
sommes des esclaves.
Sophie : pourquoi ? Pour moi vous êtes une domestique et une amie
Grace : c’est comme ça chez nous, vous comprendrez quand vous serez plus grande
Mlle Fichini entre dans la cuisine
Mlle Fichini : que faites-vous là mlle, sortez d’ici. (sur un ton sévère)
Sophie sortie de la cuisine
Mlle Fichini la suit et la prend par le bras
Mlle Fichini : la prochaine fois que je vous surprends avec la domestique gare au fouet (sur un ton menaçant)
Mlle Fichini la pousse contre le mur, Sophie semble effrayée
Pendant ce temps, en Normandie, Norbert et les domestiques se réunissent dans la cuisine, Norbert lit la lettre et annonce la mauvaise nouvelle
Norbert : oh non, il y a eu une tempête, Madame De Réan, ainsi que sa sœur, Mr Paul, Mr D’Aubert et plusieurs membres de l’équipage ont disparue au cours du
naufrage.
Mlle Edwige : pauvre Mlle Sophie, Pauvre monsieur
Norbert : je garde espoir pour qu’ils reviennent (en lisant la lettre)
Mlle Lucie : ma pauvre petite Sophie
Marthe : ces deux enfants était comme frères et sœurs, c’est bien triste
Mlle Edwige : mlle Sophie était si coquette, si vive, qu’en ai t-il de nous ? Norbert
Norbert : on doit s’occuper du château, le temps que monsieur revienne.
Le soir même à la Nouvelle Orléans, Sophie est dans le living room avec son père
Sophie : papa, est ce que vous pouvez me lire la lettre de Norbert ?
Sophie pose sa tête sur l’épaule de son père
Mr De Réan : oui ma chérie, (en sortant la lettre)
Monsieur, Nous sommes attristés par le drame qui est survenue,Madame était quelqu’un d’exceptionnel, j’espère que
Mlle Sophie n’as pas trop chagrin, le château est vide sans vousSans entendre les rires de Mlle Sophie et Monsieur Paul, MadameFaisant sa broderie, s’occupant des plantes dans sa pièce préféré,
Ainsi que les coquetteries de Mlle Sophie,Mme De Fleurville et ses filles nous rend souvent visite, elle vous fait part de ses
sincères condoléances.La mère Louchet a récolté beaucoup de poire si mlle Sophie était là, elle aurait
mangé la moitié des poires, gourmande comme elle est.
Sophie s’endort et fait un rêve dans lequel Paul est sur une île seul
Mr De Réan porte sa fille en l’emmenant dans sa chambre.
Il partit dans son bureau, assit regardant le portrait de sa femme, une semaine plus tard, Sophie entendit une conversation entre son père et un homme.
L’homme : nous avons trouvé un marin qui dans le vaisseau avec vous, on la trouvé au large de la Floride, il est en ce moment dans une clinique.
Mr De Réan partit avec l’homme
Sophie : papa, ou allez-vous ?
Mr De Réan : ne t’inquiète pas ma fille, papa va faire un tour en ville, tu restes avec Mme Fichini, sois sage, tu ne fais pas de bêtises.
Sophie : papa, les bêtises c’est terminer, maman n’aurais pas voulu que je fasse des bêtises surtout quand on est dans un nouveau pays.
Mr De Réan embrasse sa fille sur le front
Mr De Réan : a tout à l’heure.
Il partit avec l’homme d’affaire, tandis que Sophie partit dans le jardin et aperçoit Rosa et Jim en train de travailler, celle-ci aperçoit du piment planté dans le jardin,
celle-ci prit du piment et tente de mangé
Rosa : mlle, non, ne mangez pas !!
Sophie : pourquoi ?
Rosa : c’est du piment, ça pique, si vous gouter, votre langue va gonfler
Sophie : vous voulez jouer avec moi
Rosa : non, désolé mlle, nous avons du travail
Sophie : j’aurais aimé que vous jouez avec moi
Jim : si ont été blanc, on aurait aimé jouer avec vous
Sophie : blanc ou noir ça m’est égal
Miss Grace : mlle Sophie !!!
Sophie partit voir Miss Grace
Sophie : oui, Miss Grace
Miss Grace : Mlle Sophie, je vous ai dit de ne pas jouer avec Jim et Rosa, que dirait madame ?
Sophie : allons Grace, ce n’est pas toi qui va dire.
Miss Grace : je ne dirais rien, parce que j’ai de l’affection pour vous, je sais comment madame réagirait si vous jouez avec Jim et Rosa. Allez venez, il y a un
colis est arrivé pour vous
Elle partit dans la chambre, et découvrit un colis sur son lit, elle ouvrit le colis et découvre le collier de sa mère et une robe noir, elle fondit en larme
Sophie : pouvez-vous m’aider à mettre le collier ?
Miss Grace : oui mlle
Miss Grace met le collier autour du cou de Sophie
Séquence 5 : scène 11 : un mariage et un enterrement
Un an plus tard fut le mariage Mme Fichini et Mr De Réan sous le regard perdu de Sophie
Plus tard à la réception, Sophie est assise avec d’autres enfants à une table qu’elle ne connaît a peine
La petite fille : comment tu trouves la mariée ?
Sophie : elle ressemble à une meringue !!!
La petite fille : que tu es mauvaise, tu oublies que c’est ta nouvelle maman
Sophie : ce n’est pas ma maman !!!(Sur un ton de colère) Rosa !!(en la voyant guetter la fête) viens, tu veux un morceau de gateau ?
Rosa s’approche
La petite fille : sort d’ici, on ne veut pas de négre à la fête (sur un ton snob)
Sophie : c’est mon amie (en se levant) traite là de negre encore une fois et tu auras affaire à moi.
Sophie partit avec Rosa prenant une assiette de gâteau et de petits fours et partit de l’autre côté du jardin
Sophie : tiens, mange celui-là, il est délicieux, il est ou Jim ?
Rosa : il a été vendu
Sophie : vendu ? Mais ce n’est pas un jouet, c’est un enfant !!!
Rosa : c’est madame qui ordonné
Sophie : oh la catin !!! Elle n’a pas le Droit de faire ça (sur un ton de colère)
Rosa : ce sont les messieurs qui ont le droit
Quelques heures plus tard, Sophie est dans la salle de bain, en train de se débarbouille
, Mme Fichini entre dans la salle de bain
Mme Fichini : que faites-vous là ? Votre robe, mademoiselle, commentOsez-vous la salir ? !!!! (en lui donnant une gifle)
Sophie sortit de la salle de bain, elle rejoint son père à la salle de réception
Mr De Réan : Sophie, qu’as-tu ma chérie ? (en voyant sa fille triste) tiens
Mange un peu de gâteau.
Sophie : non, merci papa, je n’ai pas faim.
Mr De Réan : comment ça ? Toi qui es si gourmande, est ce que ça te dit de danser avec papa ?
Sophie : oui, avec plaisir.
Mr De Réan danse avec sa fille, une valse sous le regard de Mme Fichini, jalouse car elle sait que Sophie sera l’unique héritière de la fortune de son père.
Quelques semaines plus tard, Sophie apprend a marcher commeUne grande dame.
La préceptrice : allez mlle Sophie, la grâce je veux de la grâce
Sophie tente de marcher comme une grande dame avec les talonsMais celle-ci trébuche
La préceptrice : aie aie c’est la catastrophe !!!
Plus tard, elle réapprend les bonnes manières, Sophie ne se Tient pas bien correctement
La préceptrice : tenez-vous droite !!! Mademoiselle, pas de coudes sur la table, la tête droite !!!
Lors du cours de danse Sophie s'en sort pas mal
le prof de danse: bravo, mlle Sophie, votre mère doit être contente
Sophie : ce n'est pas ma maman !!! Arrêtez !!!
Mme Fichini entre dans la salle
Mme Fichini : taisez-vous ou c'est le fouet
Sophie : allez y mon père saura que vous avez vous fait (sur un ton révolté)
Mme Fichini: il ne croirait jamais une petite impertinente.
Sophie : je vous déteste.
Mme Fichini lui donne une gifle.
Quelques mois plus tard, Mme Fichini et Sophie partent dans une boutiqueAu village.
Mme Fichini : gare a vous mlle si vous n’êtes pas sage, gare auFouet
Sophie : ça faisait longtemps que je n’ai pas fait de bêtises, croyez moiJe suis sage
Mme Fichini : petite sotte, restez ici et attendez moi là
Mme Fichini entre dans le magasin tandis que Sophie reste devant le magasin,Celle-ci pense à avoir vu Paul
Sophie : Paul ? est ce que c’est toi ? (en courant dans les rues tentant de le rattraper) Paul ?
Reviens !!! Paul !!
Le garçon ressemblant à Paul se retourna et Sophie s’aperçoit que ce n’est pas Paul
Sophie fondit en larme, Mme Fichini arrive et la prend de force par le bras, l’emmenant dans
La caléche
Mme Fichini : espèce de petite peste, ou vous croyez vous (sur un, ton de colère en la prenant de force)
Plus tard dans la journée, dans la maison
Mme Fichini : comment oses tu t’échapper à ma surveillance !!! (sur un ton sévère)
Sophie : je pensais que c’était Paul
Mme Fichini : mauvaise graine, ton cousin est mort !!!! (sur un ton de colère)
Mme Fichini prit une ceinture et la fouetta
Plus tard dans la soirée, Grace s’avance vers Mr De Réan
Grace : monsieur, votre fille ne va pas bien, madame, c’est fâché fort et
Mr De Réan : allons quel bêtise a-t-elle fait ? (sur un ton calme)
Grace : Monsieur, Mademoiselle n’a pas fait bêtise, madame la battue
Mr De Réan : quoi ? (sur un ton de colère)
Il partit dans la chambre de Sophie
Mr De Réan : Sophie qu’as-tu mon enfant ?
Sophie lui montre les marques et Mr De Réan est choqué
Mr De Réan : oh mon dieu, qui t’a fais ça ?
Sophie : mlle Fichini
Le lendemain Mr De Réan réécrit son testament,
Suite a la mauvaise attitude de Fedora Fichini Envers ma fille, je lègue tout ma fortune, le château,
Les biens à ma fille Sophie qui soit gérer par mon unique Sœur Clementine, en ce qui concerne l’héritage de Robert
Fichini, Fedora Fichini n’aura rien qu’as par 300 dollars par mois.Si je vains a finir mes jours en France, ma fille Sophie sera a confié à mon amie
Mme De Fleurville ou par ma sœur Clémentine.
Il envoya le testament à Paris mais le testament arrivera que deux ans plus tard.
Mme Fichini entre dans son bureau
Mme Fichini : vous avez demandez à me voir
Mr De Réan : oui madame, comment osez-vous frapper ma fille ?
Mme Fichini : je ne vois pas de quoi vous parlez
Mr De Réan : vous avez frappé ma fille, vous l’avez fouettez, je pensais que vous serez une bonne mère pour ma fille
Mme Fichini : votre fille est une menteuse, insolente et difficile !!!
Mr De Réan : a partir de maintenant, je vous interdis de vous occuper de ma fille. Elle partira pour la France dans deux jours, ma sœur s’occupera d’elle. Sortez
d’ici !!!
Mme Fichini sortit.
Mr De Réan s’assoit et Sophie arrive
Mr De Réan : Sophie, ma cherie, va dans ta chambre et prépare tes affaires, tu vas rentrez en France, tu vas allez chez ta tante à Paris pour le moment.
Sophie ; et vous, papa ?
Mr De Réan : je te rejoindrais la semaine prochaine
Sophie sert son père dans ses bras
Le surlendemain, Sophie finit par preparé ses valises, elle partit au port de La Nouvelle Orléans avec son père.
Sophie : papa, j'ai peur, toute seule sur un si grand bateau
Mr De Réan : Allons, tu as été courageuse ces deux dernière années, j'aimerais ça
continue. Sache que je t'aime plus que tout, ta tante t'attendra au port du Havre.
Elle sert son père une dernière fois.
Mr De Réan : allez file
Elle monte sur le bateau.
Sophie : je t’aime papa.
Mr De Réan : je t’aime aussi.
Quelques semaines plus tard, fut l'enterrement de Mr De Réan à Paris.
Sophie dépose une fleur sur le cercueil de son père, tandis que Clementine sert sa nièce dans ses bras.
Mme Fichini : c'est ta faute, Sophie (sur un ton de colère lançant un regard noir)
Pendant ce temps, sur une ile, Paul se réveille sur une plage deserte.