Les journées du 1 % artistique : du 14 au 20 septembre 2015

Valorisation des œuvres d’art au rectorat et dans les établissements scolaires

Participation des établissements scolaires du second degré aux journées du 1 % artistique (14-20 septembre 2015)

Cette année est organisée, dans le cadre des 32èmes Journées européennes du patrimoine la 2ème édition de la semaine du 1% artistique. À cette occasion, écoles, collèges, lycées et établissements d’enseignement supérieur volontaires présentent du 14 au 20 septembre 2015, leurs œuvres conçues dans le cadre de ce dispositif. L’ouverture sur le temps scolaire offre plus de facilité aux établissements désireux de faire partager leur œuvre artistique. Pour l’édition 2015, ce sont vingt et un établissements (cf. liste en annexe), qui ouvrent leurs portes afin de faire découvrir un patrimoine témoignant de plus d’un demi-siècle de création artistique contemporaine. Par ailleurs, le rectorat accueillera cette année une exposition des productions d’élèves des établissements labellisés « excellence des métiers d’art » (EMA).

Cette manifestation constitue donc une manière d’associer les établissements scolaires aux Journées Européennes du Patrimoine. C’est aussi pour le rectorat de Dijon la volonté de valoriser les métiers artistiques au travers du label « EMA », et de mettre en avant le patrimoine scolaire, symbole de l’importance qu’il accorde tout au long de l’année à l’ensemble du patrimoine culturel de notre académie.

Le patrimoine artistique au cœur des établissements scolaires

L’ouverture du patrimoine artistique des collèges et lycées a donné lieu à une forte implication des équipes afin de retrouver une mémoire oubliée quant à la date ou aux conditions d’installation de ces créations artistiques. Des membres de la communauté éducative ont pu travailler ou même faire travailler des élèves sur ces œuvres, ou le feront à partir de la rentrée. Du lundi 14 au vendredi 18 septembre parfois, le public pourra franchir le seuil de ces établissements et admirer les œuvres. D’autres établissements ont choisi le samedi 19 septembre voire le dimanche 20 pour faire de même.

Exposition EMA 2014

®R

ecto

rat d

e l’a

cadé

mie

de

Dijo

n

Origines et principes du 1 % artistique

Un premier projet du 1 % fut lancé en 1936 au moment du Front Populaire, mais ne put aboutir. On doit au sculpteur français René Iché (1897-1954), fondateur du Syndicat national des sculpteurs statuaires professionnels, de rédiger en 1951 le projet qui installa définitivement le 1 % artistique. En 1951, l’arrêté pris concernait à cette époque exclusivement l’Éducation nationale et proclamait : « 1 % des sommes consacrées par l’État pour chaque construction d’établissement scolaire ou universitaire devra financer la réalisation d’une œuvre d’art contemporaine intégrée au projet architectural ». C’est dire si l’Éducation nationale a été précurseur en la matière. À partir de 1961, et notamment sous l’impulsion d’André Malraux, le 1 % fut étendu progressivement à l’ensemble des constructions neuves de bâtiments publics, ainsi qu’à la réhabilitation ou à l’agrandissement de bâtiments. Depuis 1951, on estime ainsi à plus de 12 000 le nombre d’œuvres créées en France par cet intermédiaire.

Concrètement, la commande publique s’oblige à réserver 1 % du montant hors taxe des travaux de création, d’extension ou de réhabilitation d’un bâtiment public à la création artistique. Le maître d’ouvrage réunit alors un comité artistique composé notamment, du maître d’œuvre et d’un représentant de la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) pour choisir l’œuvre retenue qui est ensuite réalisée à l’intérieur du bâtiment. Le but de ce 1 % consiste bien sûr à sortir l’art des musées.

60 ans de création artistique contemporaine

Grâce au dispositif du 1 % artistique, de nombreux établissements de l’enseignement secondaire en Bourgogne sont dépositaires d’une production artistique originale. Depuis plus d’un demi-siècle, l’ensemble de ces œuvres constitue un panorama de la création contemporaine d’une rare diversité : bas-reliefs, carrelages, mosaïques, fontaines, stèles, tapisseries, peintures, vitraux... Les matériaux le sont tout autant : les sculptures, très nombreuses, sont réalisées en bois, bronze, acier, polyester, terre-cuite, grès, céramique, béton, etc.

Installées à l’intérieur des bâtiments ou à l’extérieur, elles ont pour auteurs des artistes français, souvent bourguignons, mais aussi étrangers parfois installés en Bourgogne, comme par exemple le célèbre peintre chinois Yan Pei-Ming dont une des oeuvres est exposée au collège André Malraux à Dijon.

Ces œuvres ont formé et continuent de former le quotidien de générations d’élèves et d’enseignants qui, pour beaucoup, ignorent qu’elles sont présentes au titre du 1 %. Elles représentent en tout cas le symbole d’une ouverture forte des établissements scolaires sur le monde de l’art contemporain et sont souvent le support abordé par le professeur d’arts plastiques ou le professeur d’histoire au sein de leurs cours. C’est par exemple le cas du Disque de Phaïstos de Jean-Bernard Métais, sculpteur français, au collège La Croix-Menée du Creusot, qui reste un point de départ idéal pour aborder avec les élèves la mythologie grecque.

Le bâtiment du rectorat, œuvre de l’architecte Rudy Riocciotti, ouvre ses portes et dévoile l’œuvre du 1% artistique réalisée par

Gérard Traquandi

Le rectorat de Dijon accueille les services de l’éducation nationale en Bourgogne, représentés par Denis Rolland, recteur de l’académie de Dijon, chancelier de l’université de Bourgogne, ainsi que ceux de la direction départementale des services de l’éducation nationale de la Côte-d’Or (DSDEN 21), représentés par Evelyne Greusard, IA-DASEN ainsi que la direction régionale de l’ONISEP.

540 agents, répartis dans 210 bureaux, travaillent ainsi dans ce bâtiment au service des 275 000 élèves et des 26 500 enseignants, personnels d’éducation, d’administration et de direction de l’académie. Ce bâtiment est l’œuvre de l’architecte français Rudy Ricciotti, lauréat en 2006 du grand prix national de l’architecture. Parmi ses réalisations :

^ 2013 : Le MUCEM, musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille ^ 2012 : Le département des arts de l’Islam au musée du Louvre à Paris ^ 2011 : Musée Mémorial du camp de Rivesaltes, à Rivesaltes, Pyrénées-Orientales ^ 2006 : Centre chorégraphique national d’Aix-en-Provence, intitulé « le Pavillon Noir », ...

Pour en savoir plus sur Rudy Ricciotti : http://www.rudyricciotti.com/

L’entrée du bâtiment débouche sur un vaste hall où est exposée l’œuvre du 1 % artistique réalisée par Gérard Traquandi. Né en 1952 à Marseille, il partage sa vie entre Marseille et Paris. Diplômé de l’École des Beaux-Arts de Marseille il a été professeur invité à l’école nationale supérieure des beaux-arts (ENSBA) à Paris en 2002-2003. Jusqu’en 1995, il a enseigné à l’École supérieure des Beaux-Arts de Marseille, à l’École d’architecture de Marseille et à l’École d’art de Nîmes. Ces dernières années, il a exposé au Musée Cantini à Marseille, à l’Institut Français de Berlin, à l’Artothèque Pierre Tal-Coat d’Hennebont, au Musée des Beaux-Arts de Valenciennes et à la Maison Européenne de la Photographie, à Paris. Pour cette œuvre, « Violet nocturne et céleste s’accorde à une terre d’ombre naturelle jouant des contrastes terre-ciel, solide-fluide, traitant du corps et de l’esprit, sans oublier que le violet est la couleur symbole de la connaissance. Les couleurs utilisées ont une grande qualité de résistance à la lumière et sont d’une exceptionnelle qualité pigmentaire (couleurs des terres de Bourgogne) ». Pour en savoir plus sur Gérard Traquandi : http://ateliersauguste.tumblr.com/post/54413642088/interview-de-gerard-traquandi-artiste-peintre-au

Le hall du rectorat accueille du 16 au 30 septembre l’exposition « Excellence des métiers d’art ». L’académie de Dijon s’est engagée depuis 2009, en partenariat avec le Ministère de la Culture, dans la création du label «Excellence des métiers d’art ». Ce label concerne huit établissements de l’académie qui se distinguent par une offre de formation pointue, originale et de qualité, aux confins de l’art, de l’artisanat et du design (taille de la pierre, céramique, art du bois, design, ferronnerie, tapisserie, art et couture, art de la table). Il a pour but de valoriser les lycées généraux ou professionnels qui souhaitent développer leur spécificité dans le domaine des métiers d’art.Les œuvres d’élèves exposées au rectorat sont donc un aperçu du dynamisme et de l’ouverture à la modernité des huit établissements bourguignons actuellement labellisés.Pour en savoir plus sur le label EMA : http://artsculture.ac-dijon.fr/spip.php?article226#226

Quelques mots sur le bâtiment du rectorat

« Un bâtiment sculpture, à la croisée du monde de l’art et de la taille urbaine, une référence à Donald Judd ou Robert Morris, une installation permanente, qui questionne son environnement. Ici, pas de stigmates d’un style copié collé, d’un énième bâtiment lambda, aux caractéristiques si évidentes et si anesthésiantes, mais une énigme, une interrogation, une sculpture monumentale minimum, et non minimaliste, détachée des effets de mode. Intemporelle, parée pour l’avenir, sans risque de ringardisation… » Rudy Ricciotti, architecte.

Haut de 33 m, cet immeuble est constitué de 10 niveaux (dont un sous-sol) avec une surface de 11 400 m2.

Ce bâtiment possède des atouts en matière de développement durable. Quatre aspects peuvent être notamment soulignés :

^ La volonté de l’architecte de privilégier la lumière naturelle : la structure générale est en béton armé avec des façades en parement de pierre agrafée. Les bureaux sont particulièrement lumineux. Le bâtiment comporte un atrium végétalisé à partir du 5ème niveau.

^ Un mode de chauffage alternatif aux énergies fossiles : le bâtiment sera raccordé au réseau de chaleur de l’agglomération dijonnaise. La production de chaleur sera assurée en partie par des énergies renouvelables (l’usine d’incinération et par une chaufferie).

^ La performance énergétique : le bâtiment est équipé de dispositifs permettant de diminuer sa consommation énergétique.

^ Les modes de déplacement alternatifs à la route : le bâtiment, à proximité de la place de la République, se situe à 2 km du centre ville ou encore à 2,4 km de la gare ce qui lui permet de bénéficier de modes de circulation alternatifs : un arrêt du tramway (T1 - Auditorium), une station de vélo en location (Vélodi) se situent à proximité immédiate.

®R

ecto

rat d

e l’a

cadé

mie

de

Dijo

n

Le 1 % dans les établissements scolaires :quelques médiations particulières à ne pas manquer

Les élèves de 6ème du collège Leroi-Gourhan de Vermenton (Yonne) ont réalisé un film à l’occasion des 20 ans du collège. La trame du film repose sur une belle interview du sculpteur, Yves Varanguin. Le film sera diffusé vendredi 18 septembre, entre 14h et 16h45, en présence de l’auteur et du public bien évidemment invité.

[extrait du film présentant Y. Varanguin, devant son œuvre, au collège de Vermenton]

Les Collèges André Malraux de Dijon, La Croix-Menée du Creusot (Saône-et-Loire), Bibracte de Château-Chinon (Nièvre), Édouard Herriot de Chenôve (Côte-d’Or), Lentillères de Dijon, Le Rimorin de Dornes (Nièvre), le lycée Léon Blum du Creusot (Saône-et-Loire), et le collège de Saint-Georges-sur-Baulche (Yonne) proposeront de leur côté des visites libres ou guidées, parfois commentées par des élèves sensibilisés aux œuvres durant la semaine.

Aux collèges Albert Camus de Genlis (Côte-d’Or) et Miles de Noyers-sur-Serein (Yonne), on pourra découvrir une exposition des productions d’élèves. Au collège Adam Billaut de Nevers, une grande soirée à destination des élèves, parents et voisinage sera organisée autour de l’œuvre et de l’art contemporain dans le quartier. Pour connaître les horaires précis d’ouverture ainsi que le type de médiation proposée, il est conseillé de téléphoner à l’établissement.

®R

ecto

rat d

e l’a

cadé

mie

de

Dijo

n

Focus. Quelques œuvres présentées lors des Journées du 1 % artistique

Vitres gravées au collège Édouard Herriot à Chenôve

En 2009/2010, l’artiste Thierry Géhin, originaire de Franche-Comté, auteur déjà de plusieurs œuvres au titre du 1 %, a réalisé au collège Édouard Herriot de Chenôve une intervention in situ de grande envergure. Étudiant les voies de circulation menant les élèves au collège de Chenôve à partir de données cartographiques, il a ainsi initié un tracé qu’il a développé par jeu de symétries afin de symboliser les quatre points cardinaux. Le motif une fois obtenu a été gravé sur verre par sablage et placé dans les principaux espaces de circulation de l’établissement : halls, couloirs ou escaliers. Au total, plus de 330 m² de gravures sur verre ornent l’établissement et pourront être admirées par le public le vendredi 18 septembre après-midi. Le collège avait déjà ouvert ses portes l’année passée, et la présence de l’auteur, Thierry Géhin, avait permis de nouer des contacts avec les enseignants particulièrement investis dans les projets « patrimoines en Bourgogne ».

Fleur d’eau à la cité scolaire de Digoin

La cité scolaire de Digoin présente Fleur d’eau, une sculpture sérielle de 4 mètres de hauteur en béton armé, vibré et lavé, composée de sept éléments identiques reposant sur des consoles. Elle est l’œuvre de Maxime Descombin. Son titre, Fleur d’eau, témoigne du projet initial : les puissantes formes de béton devaient se refléter dans un bassin dont on aperçoit encore les traces, mais qui a été remblayé avant sa mise en service. L’œuvre n’en dégage pas moins une force certaine de par son caractère monumental.

®R

ecto

rat d

e l’a

cadé

mie

de

Dijo

n

Deux spatiaux de Marcelle Cahn L’œuvre de Marcelle Cahn, artiste-peintre française (1895-1981), se confond avec l’évolution de la peinture du XXème siècle. Elle a ainsi réalisé de nombreux collages mais aussi des « spatiaux », c’est-à-dire des maquettes de sculptures abstraites ouvrant l’imagination. Grâce à Gottfried Honegger, deux de ces spatiaux ont été transformés en sculptures, dans le cadre du 1 % artistique. Les deux seuls spatiaux réalisés de Marcelle Cahn seront donc accessibles lors de ces Journées du patrimoine. L’Envol ou Plans dans l’espace avec sphère est une sculpture en tôles peintes, émaillées et vernies exposée sur la pelouse du collège Le Parc à Dijon. À Is-sur-Tille, le collège P. Fort propose une sculpture en polyester peint installée en 1976, Spatial C, dont l’articulation des plans et les ouvertures pratiquées permettent de conduire la lumière et d’offrir une grande variété de couleurs.

La mythologie au Creusot

Enfin au Creusot, il ne faut pas manquer de découvrir au collège La Croix Menée, deux belles sculptures. La première Signes humains III est l’œuvre d’un artiste hongrois, Pierre Szekely (1923-2001). On doit la seconde le Disque de Phaïstos à un artiste français, Jean-Bernard Métais (né en 1954). Ce disque sis à l’entrée du collège est un étonnant tube anneau métallique de vaste dimension accueillant sur ses deux faces des vitraux. Des signes en spirale représentant une inscription datée du début du 2ème millénaire et retrouvée en 1908 dans un palais crétois ont été gravés sur les faces du disque. Des citations sur le temps encerclent l’œuvre : une belle invitation pour ceux qui le regardent à réfléchir sur la connaissance, l’énigme et le temps.

®R

ecto

rat d

e l’a

cadé

mie

de

Dijo

n

®R

ecto

rat d

e l’a

cadé

mie

de

Dijo

n

®R

ecto

rat d

e l’a

cadé

mie

de

Dijo

n

Annexe : Liste et coordonnées des établissementsparticipant à l’opération 1 % artistique

[Pour connaître les horaires d’ouverture, veuillez téléphoner à l’établissement]

Côte-d’Or

Lieu Œuvre Artiste ContactCollège Lentillères, Dijon

Mur de photographies d’élèves

C.Boltanski 03.80.68.81.81

Collège Le Parc, Dijon Sculpture en tôles peintes émaillées et vernies

Marcelle Cahn 03.80.53.10.90

Lycée Le Castel, Dijon Sculpture 03.80.76.70.00Collège André Malraux, Dijon

2 tableaux représentant des enfants du collège

Y. Pei-Ming 03.80.74.93.40

Collège Marcelle Pardé, Dijon

« Déesse antique », sculpture en métal

Berto Lardera 03.80.76.97.97

Collège Paul-Fort, Is-sur-Tille

Sculpture en polyester peint

Marcelle Cahn 03.80.95.10.88

Collège Édouard-Herriot, Chenôve

Vitres gravées Thierry Géhin 03.80.52.20.55

Collège Albert Camus, Genlis

Sculpture Jean Gorin 03.80.37.72.01

Nièvre

Lieu Œuvre Artiste ContactCollège Le Rimorin, Dornes

Stèle totem Albert Vallet 03.86.50.62.33

Collège Bibracte, Château-Chinon

Sculpture D. Babinet 03.86.85.13.11

Collège Jean-Arnolet, Saint-Saulge

Sculpture sur paneau de bois

F. Rouillot 03.86.58.30.35

Collège Les Courlis, Nevers

Peintures sur plafond à caissons

P.-F. Gorse 03.86.59.78.00

Collège Adam-Billaut, Nevers

Sculpture en acier inoxydable

G. Honegger 03.86.71.88.80

Saône-et-Loire

Lieu Œuvre Artiste ContactLycée Léon-Blum, Le Creusot- Site Jaurès- Site Lavoisier

Mosaïques, releiefs peints, sculptures sur bois, sculpture en béton creux et plaques de métal

P. Leygonie, A. de Barry et F. Perreault

03.85.77.67.00

Carrelage mural en céramique

E. Pignon, M. Rivière

Collège La Croix-Menée, Le Creusot

Sculpture en granit béton et tube anneau avec vitraux gravés

P. Szekely et J.-B. Métais

03.85.55.10.99

Cité scolaire Camille-Claudel, Digoin

Sculpture en béton, Fleur d’eau

M. Descombin 03.85.53.61.00

LP Théodore-Monod, Blanzy

Sculpture en métal G. Honegger 03.85.67.76.20

Yonne

Lieu Œuvre Artiste ContactCité Pierre-Larousse, Toucy

Sculpture en métal, sculpture obélisque avec graphismes et calligraphie

J.-B. Métais 03.86.44.14.34

Collège Jean-Bertin, St Georges-sur-Baulche

Stèle en fonte figurant le concept de l’aérotrain

F. Gueneau 03.86.48.33.44

Collège Leroi-Gourhan, Vermenton

3 sculptures en pierre calcaire

Yves Varanguin 03.86.81.69.05

Collège Miles de Noyers, Noyers-sur-Serein

Fresque avec photos de classe du collège depuis sa création

L. Gueneau 03.86.82.69.01

Rectorat 2G rue général DelabordeBP 81 921 - 21019 Dijon cedex www.ac-dijon.fr

Contact presse :Service communicationTél. : 03.80.44.84.35presse@ac-dijon.fr

®co

mm

unic

atio

n - w

ww

.ac-

dijo

n.fr

- Im

pres

sion

: re

prog

raph

ie d

u re

ctor

at