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PIQUE-NIQUEFESTIVAL

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Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension.

Concert n° 35

01 juil. 2014

Opéra de Reims

5€ - 10€ - 15€

Andrea Hill /Carmen

Rémy Poulakis /Don José

Mathieu Gardon /Escamillo / Zuniga

Camille Slosse /Micaëla

Mayuko Yasuda /Frasquita

Quatuor Akilone /quatuor à cordes

Quintette ArteCombo /quintette à vents

David Walter /direction

partenaires

mardi 19h30

Les Flâneries Musicales sont disponibles sur :

@FlaneriesReims#flaneriesmusicales#FMR

« Carmen, l’histoire tragique de Carmen et Don José »

LES FLÂNERIES MUSICALES DE REIMS remercient l’ensemble des

partenaires publics et privés qui les soutiennent.

Responsable de publication Joëlle Damery, Déléguée Générale des Flâneries Musicales de Reims. Tirage 900 exemplaires. V :

V

LOGO AIRFRANCENº dossier : 2007399E

Date : 28/11/08

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Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension.

Distribution

ChanTEurs :

Andrea HILL /Carmen (mezzo-soprano)

Rémy POULAKIS /Don José (ténor)

Mathieu GARDON /Escamillo / Zuniga (baryton)

Camille SLOSSE /Micaëla (soprano) Mayuko YASUDA /Frasquita (soprano)

EnsEMbLEs :

Quatuor AKILONE /cordes

émeline COnCé et élise DE-bEnDELaC /violons

Louise DEsJarDIns /alto

Lucie MErCaT /violoncelle

Quintette ARTECOMBO /vents

Mayu saTO /flûte

baptiste GIbIEr /hautbois

annelise CLéMEnT /clarinette

Frank sIbOLD /basson

Cyril nOrManD /cor

auTrEs InsTruMEnTIsTEs :

Esther BRAYER /contrebasse Nicolas PUISAIS /trompette

Mélanie DUTREIL /harpe

Thibault LEPRI /percussions

Gisèle MAGNAN /direction artistique générale

David WALTER /direction musicale et instrumentation

Dominique DOLLÉ /adaptation, scénographie, décors, costumes Aurélie COHEN /direction d’acteurs

Aurélie GUYOT /chargée de projet Carmen Walter DE MEHLKNEPFLE /éclairages

Maïra RAMEDHAN-LÉVI, Élise GUILLOU, Heidi CORDEY /costumes Stanislas REYDELLET /chef constructeur

Stéphane VUIGNER /construction de la boîte scénique

Par les participants aux ateliers de chant choral : Chœur des Gamins, Chœur des Cigarières et Chœur du Toréador Plusieurs mois d’ateliers de chant choral ont été organisés en amont de la représentation pour préparer le « lever de rideau » avec plus de 140 habitants de reims. Tous ensemble et accompagnés par l’orchestre, ils chantent ce soir les chœurs les plus emblématiques de l’opéra Carmen.avec la participation des enfants des écoles Clairmarais et Pommery, et des adultes des Maisons de Quartier Les sources - Espace Trois Fontaines, Jean Jaurès - Espace Le Flambeau, Maison blanche, Trois Piliers, Châtillons, Orgeval, Cernay-Europe, Croix-rouge et arènes du sud - Espace Verrerie, ainsi que de l’association Jamais seul, du secours Catholique, du Foyer Paindavoine et du Foyer berthe roche-Collet.

Chefs de chœur : hélène LE rOY, Marine bOuILLé, Yamina bEnrabah, stève LaDOuCE, aude PérIGnOn et benjamin VInITPianistes accompagnateurs : Claire MarIn-DéCarsIn, Emmanuelle MOrIaT, Delphine arManD et antoine sIMOnAdaptation des chœurs et initiateur du projet : Pierre-alain braYE-WEPPE un grand merci à tous ceux qui, de près ou de loin, ont permis la réalisation de ces actions.

Lever de rideau

Rémy Poulakis / dans le rôle de Don Josérémy Poulakis commence à 6 ans sa formation musicale à l’école de son père, alain Poulakis, avec l’accordéon.ses études le mènent successivement à l’école nationale de musique de saint-Etienne où il étudie l’écriture, l’analyse. Il obtient en 1998 la Médaille d’or en accordéon de concert, mention très bien à l’unanimité et félicitations du jury, puis un prix de perfectionnement en 1999, au conservatoire national de Lyon.Il s’intéresse également au piano qu’il débute à 11 ans à l’Ecole nationale de Musique du Puy en Velay pour rentrer en 1997, au CNR de Lyon, dans la classe de Mr Soler. Il obtient son Diplôme de fin d’étude mention très bien dans cette discipline.En 1998 son intérêt pour le chant le mène quelques temps dans la classe de Mme nicolas puis très vite sa rencontre avec Evelyne brunner le pousse plus loin dans la maîtrise de cet art. S’en suivent alors de nombreux concerts lors desquels il interprète divers rôles comme Le chevalier de la force (Dialogue des Carmélites), alfredo (Traviata) , Ferrando (Cosi fan tutte), Le Duc de Mantoue (Rigoletto), Pinkerton (Madame Butterfly)… ainsi que de nombreux oratorios souvent sous la direction d’Eric reynaud ou encore Philippe Peatier.Récemment, il a interprété aux côtés de Mina Agossi des extraits de Porgy and Bess au chant mais aussi à l’accordéon sous la direction de nicolas bianco (commande de l’opéra de Lyon).En 2010 et 2011, il interprète le Renard de stravinsky pour la compagnie d’art lyrique Justiniana , le duc de Mantoue pour Almaviva à Lyon, Don Jose pour « la fabrique opéra » à Grenoble sous la direction de Patrick souillot puis. Il participe également à la création d’un spectacle autour de shakespeare pour la compagnie Opéra. En 2012, il chante radames dans Aïda de Verdi pour la « fabrique opéra » sous la direction de Patrick souillot, Rita ou le mari battu de Donizetti, Don Jose dans l’adaptation de Carmen de bizet pour Les Concerts de Poche, Monostatos dans La flûte enchantée de Mozart…Trop amoureux de musique pour se consacrer uniquement au chant ou à l’accordéon ou encore au piano, il multiplie les projets et styles musicaux (« amachao » quartet de jazz, « Elouna » duo chansons italiennes et tango, « bal des cousins » création d’un bal décalé, « trio barolo », « Impérial Orphéon »…) qui lui permettent d’exprimer toutes les facettes de sa personnalité.

David Walter / adaptation musicale, direction musicale, direction d’orchestreDavid Walter, hautboïste formé Conservatoire national supérieur de Paris (Premier prix de hautbois et de musique de chambre) a très vite acquis une renommée internationale grâce à ses 5 récompenses internationales à Munich, Prague, Genève, belgrade et ancona.Musicien éclectique, il partage aujourd’hui ses activités entre sa carrière de soliste qui l’amène à se produire sur les cinq continents et la musique de chambre qui occupe une place centrale avec le Quintette Moragues (fondé en 1980), l’ensemble baroque Pasticcio barocco et de très nombreuses rencontres avec les pianistes C. Zacharias, s. richter, C. Désert, E. strosser, C. Ivaldi, J.F. heisser, M. Dalberto… les quatuors à cordes Ysaÿe, Ligeti, Manfred, Endellion, Psophos... Il affectionne également la direction d’orchestre dans un répertoire allant du baroque au jazz avec de nombreux orchestre internationaux comme le Metropolitan Lisboa, l’Orchestre national de l’Ile de France ou l’Orchestre royal de Wallonie ; et la pédagogie : professeur de hautbois et de musique de chambre au Conservatoire national supérieur de Paris depuis 1987, également professeur des mêmes disciplines de 1997 à 2009 à la Guildhall school of Music de Londres, sa passion de transmettre l’a vu donner des master classes dans plus de quarante pays.Enfin, la transcription a chez David Walter une activité très intense qui réunit à ce jour un catalogue de plus de 600 œuvres allant de la sonate à l’opéra entier. Il a composé une trentaine d’opus principalement en musique de chambre. En 2013, il a écrit en collaboration avec la dramaturge Emmanuelle Cordoliani un conte musical.

Biographies

CARMEN, L’HISTOIRE TRAGIQUE DE CARMEN ET DON JOSÉ

C’est l’histoire de la déchéance de Don José, un soldat déchiré entre le sens du devoir et sa passion pour Carmen. Il se laisse entraîner au gré des tentations contradictoires qui le déchirent. son indécision et son aveuglement sur lui-même vont le conduire à la monstruosité, le meurtre de Carmen.C’est aussi l’histoire de la bohémienne Carmen qui découvre les limites du : « Je fais ce qu’il me plaît ! ». Elle jette son dévolu sur José, mais celui-ci la déçoit. Carmen choisit plutôt d’aimer le torero Escamillo, mais sa vie et son élan vers ce nouvel amour sont tragiquement interrompus.Les enjeux dramatiques : Frasquita, l’amie de Carmen, est au long de cette histoire l’agent du « destin », le grain de sable qui vient contrecarrer l’arrangement initial voulu par la mère de José : bon fils et bon soldat, il doit épouser la jeune Micaëla, et tout semble ainsi établi pour le mieux. Micaëla décore d’ailleurs l’espace scénique de fleurs, en vue de son prochain mariage. José à l’air heureux mais c’est compter sans Frasquita qui lui présente Carmen en modifiant le cours attendu des événements. Carmen a beau avoir lu dans les cartes que le sort impitoyable lui réserve la mort, elle décide d’aller quand même vers José, celui « qui n’a rien dit, mais qui lui plaît ». Carmen révèle à José un monde étranger qui le fascine et l’effraie, et qui le rend indifférent à l’amour sincère que lui porte Micaëla. (Tableau 1)José n’est pas prêt pour autant à prendre le risque de tout abandonner pour suivre Carmen. Tous les deux se cherchent sans jamais se trouver... C’est Frasquita qui va précipiter les choses en poussant José au meurtre « accidentel » du lieutenant Zuniga, ce qui l’oblige à fuir avec Carmen dans la montagne, vers une liberté dictée par la contrainte et un amour illusoire parce que non assumé. (Tableau 2)Dans la montagne José, Carmen et Frasquita sont devenus des bandits. Le torero Escamillo y vient pour tenter sa chance auprès de Carmen, dont il est amoureux. Il met José face à la réalité de ce qu’il est devenu : un déserteur que Carmen n’aime décidément plus, vérité insupportable pour José. Lors du combat aux couteaux qui les oppose, le torero épargne la vie de José. Mais quelques instants plus tard, José tente de tuer Escamillo qui est à terre, désarmé. À cette lâcheté Carmen préfère dorénavant la noblesse d’âme d’Escamillo, le combattant magnanime dont elle sauve la vie de justesse. Malgré sa frayeur, Micaëla est venue chercher José dans la montagne et lui annonce la mort imminente de sa mère. Il part, bien obligé, mais c’est pour revenir, dit-il, car il est condamné, enchaîné à Carmen pour toujours. (Tableau 3)Carmen aime profondément Escamillo ; elle ira au bout de cet amour quoiqu’il puisse lui en coûter. José revient, il a tout perdu. Il ne lui reste que son obsession maladive pour Carmen. Il n’entend pas l’ultime avertissement d’Escamillo qui l’exhorte au courage et à la lucidité : « L’amour attend celui qui affronte le taureau à l’œil noir (symbole de l’impulsivité aveugle qui caractérise José) ». José refuse également d’entendre Carmen qui lui dit qu’entre eux « tout est fini ! ». Le constat de sa déchéance et de la perte du « salut de son âme » provoque en lui un aveuglement supplémentaire. José, le possédé, croit se « sauver » en prenant possession de la vie de Carmen : il la tue. (Tableau 4)

Résumé des tableaux

Biographies

Andrea Hill / dans le rôle de CarmenNée au Canada, Andrea Hill fait ses débuts en Europe, dans le rôle d’Angelina (Rossini - La Cenerentola) à Hof, en Allemagne, et au Canada, dans le rôle de Siebel (Gounod - Faust). De 2007 à 2009, elle est membre de l’atelier Lyrique de l’Opéra national de Paris, avec lequel elle chante plusieurs opéras et donne des concerts à La scala de Milan, La Villa Medici de rome, avec l’Orchestre Philharmonique de roumanie à bucarest...andrea se produit aussi régulièrement en récital. Elle a été invité à chanter dans plusieurs festivals européens et collabore avec des artistes comme les pianistes spencer Myer et Jean-Frédéric neuburger, les Quatuors ardeo et Modigliani.... avec le Quatuor ardeo, elle crée “Le lien entre les jours” de Piotr Moss au Château Fontainebleau en 2009. En 2010, elle est invitée à participer à lʼacadémie du Festival d’Aix-en-Provence, où elle aura l’honneur de gagner deux prix - le Prix des Amis du Festival et le Prix hsbC.Andrea Hill fais ses débuts scéniques à l’Opéra National de Paris en 2011, interprétant le rôle d’altichiara (Zandonai - Francesca da Rimini) à l’Opéra bastille puis Varvara (Janacek - Katia Kabanova) à l’Opéra Garnier. La même année, elle fait ses débuts à la salle Pleyel comme sélysette (Dukas - Ariane et Barbe-Bleue) et à l’Opéra de Dijon, chantant le rôle titre dans la tragédie de Purcell, Dido and Aeneas.En 2011/2012, elle se retrouve à la bastille, interprétant le Lycéen, l’habilleuse, et le valet dans Lulu (berg). En novembre 2012, elle était au Théâtre des Champs-Elysées pour chanter Octavian dans un extrait de Der Rosenkavalier. Fin 2012, elle était à l’Opéra Garnier, sous la baguette d’Emmanuelle Haïm, dans le rôle de Diane (Rameau - Hippolyte et Aricie).En 2013, Andrea Hill interprète le rôle de Carmen dans l’adaptation des Concerts de Poche : Carmen, l’histoire tragique de Carmen et Don José, Krista dans l’Affaire Makropulos (Janacek) à l’Opéra bastille.En 2014, elle chantera le rôle de Carmen à Tours, Mägd/Schleppeträgerin dans Elektra à la scala et Hänsel à Garnier.

Mathieu Gardon / dans les rôles de Zuniga et Escamillonommé révélation artiste Lyrique 2013 par l’aDaMI Mathieu est nominé pour les Victoires de la Musique Classique 2014 dans la catégorie révélation artiste Lyrique.Mathieu Gardon trouve très tôt le chemin du chant et entre, à l’âge de huit ans, dans la Maîtrise du conservatoire de Mâcon où il étudie déjà le saxophone et l’orgue.Plus tard, c’est parallèlement à ses études que Mathieu étudie le chant à Villeurbanne dans la classe de Catherine Maerten et en musique de chambre avec Didier Puntos. En 2010, il intègre à l’unanimité la classe de Françoise Pollet (Professeur associé hélène Lucas) au Conservatoire national de Musique et de Danse de Lyon.Il a été sélectionné pour l’académie Européenne du Festival d’aix-en-Provence avec laquelle il a interprété Le Directeur dans les Mamelles de Tirésias de Poulenc.Il intègre pour la saison 2013/2014 la troupe de l’Opéra studio de Lyon.ses prochains projets sont Escamillo dans une adaptation de Carmen à Cherbourg, Le Directeur dans les Mamelles de Tirésias à l’opéra de la Monnaie à bruxelles et la création mondiale steve V de roland auzet à l’Opéra de Lyon.Il se produit également en soliste dans des œuvres tel que le Messie de haendel, Carmina Burana de Carl Orff, le Requiem de Fauré, Songs of the Fleet de stanford, Via Crucis de Liszt, ainsi qu’en récital, la Mélodie Française et les Lieder étant des répertoires qu’il affectionne tout particulièrement.

Mayuko Yasuda / dans le rôle de FrasquitaMayuko Yasuda intègre Les Jeune Voix du Rhin de 2006 à 2008 où elle bénéficie notamment des conseils de Michel Plasson, antoine Palloc, Françoise Pollet et elle est alors engagée par l’Opéra national du rhin.Dans ce cadre, elle est Madame herz dans Der Schauspieldirektor de Mozart, La Princesse Laoula dans l’Etoile de Chabrier. Elle interprète lors d’une tournée française, Olympia, antonia, Gulietta et stella dans Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach mis en scène par Julie Depardieu et stephan Druet, dirigé par Philippe hui, pour laquelle elle a obtenu un accueil très chaleureux et unanime de la presse et du public ainsi qu’un prix spécial d’interprétation de advis. Elle incarne sœur Constance dans Dialogues des Carmélites de Poulenc à l’opéra de Tokyo (mis en scène par robert Fortune), ainsi que Königin der nacht dans Die Zauberflöte de Mozart avec l’Orchestre Prométhée, dirigé par Pierre-Michel Durand, et dans « La leçon de musique » de Jean-François Zygel au théâtre du Châtelet.née à Tokyo, Mayuko Yasuda étudie à l’université nationale des beaux-arts et de la Musique de Tokyo où elle obtient une licence de musique et le Prix ataka, grâce auquel elle obtient une bourse de l’université. C’est après une rencontre avec Mady Mesplé qu’elle décide de s’installer et de se perfectionner en France. Elle travaille alors avec Fusako Kondo au Conservatoire supérieur de Paris où elle obtient son Diplôme d’Etudes Musicales en 2006, mention très bien. En 2005, elle est lauréate du Concours International de Chant de Verviers (belgique), puis remporte en 2006, le 1er prix du Concours International de Chant de l’uFaM à Paris. Elle se produit également lors de nombreux concerts en Europe (notamment au sénat, festival ars Terra, festival de Querceto en Italie, à l’Hôtel de Ville de Bruxelles), et au Japon.

Camille Slosse / dans le rôle de Micaëllasoprano, Camille slosse a étudié notamment au Centre de formation pour jeunes chanteurs du Conservatoire National de Région de Paris dont elle sort première diplômée du cursus supérieur en juin 2007. Elle se produit régulièrement avec La Compagnie des brigands (b. Lévy, C. Grapperon). Camille slosse a été l’assistante du chef de chœur Philippe Caillard au Conservatoire du Centre de Paris et a dirigé le chœur administratif du théâtre du Châtelet.En tant que soliste, elle a notamment interprété le Stabat Mater de Pergolèse, le Stabat Mater et la Missa Brevis St Joannis de Deo de J.haydn, un programme Luzzaschi autour des Dames de Ferrare, les rôles de Manon dans La Veuve joyeuse de F.Lehar, de suzel dans Le Doctor Ox d’Offenbach, de la reine de la nuit dans La Flûte enchantée de W.a. Mozart, de sophie dans Véronique de Messager au théâtre du Châtelet, et a participé à plusieurs créations notamment le Luthier de Venise de G. Dazzi (théâtre du Chatelet) et Les Esprits de Garonne de J.P.noguès.En avril 2005, elle a remporté le premier prix lyrique et le prix de la ville d’auray au concours de théâtre musical Tremplin Musical Jeunes Talents.récemment, Camille slosse s’est produit principalement dans Jeux d’Anges Heureux (théâtre du Lucernaire), Maître Zacharius avec l’Opéra studio de Genève et La Cour du Roi Pétaud de Delibes avec la Cie des brigands, Yniold dans Pelléas et Mélisande de Debussy, sylvie dans La Colombe de Gounod, L’Esprit des Lois de J.P.noguès, Kaïro : une création de la Cie art Zoyd et Les Fées de Wagner au théâtre du Châtelet.

Biographies

Les Concerts de Poche est une association reconnue d’intérêt général, agréée entreprise solidaire et agréée par le ministère de l’éducation nationale, qui a pour objet d’emmener les plus grands artistes de la musique classique, parfois aussi du jazz, du théâtre musical et de l’opéra dans les zones rurales et les quartiers excentrés des grandes agglomérations, afin de rendre ces musiques accessibles à tous les publics.C’est une organisation d’ateliers et de concerts itinérants à très large portée géographique. Les concerts sont indissociables d’une action culturelle très élaborée, visant à développer dans la durée des liens inédits entre les musiques dites « savantes» et une très large diversité de publics.Les Concerts de Poche organise chaque saison, 80 concerts et représentations d’opéra, 1.000 ateliers musicaux répartis sur 14 régions.

Présentation de l’association « Les Concerts de Poche »

Présentation du projet « Carmen »

CARMEN, L’HISTOIRE TRAGIQUE DE CARMEN ET DON JOSÉ

L’association Les Concerts de Poche produit depuis le printemps 2010 l’opéra « CarMEn, l’histoire tragique de Carmen et Don José ».Fidèle à son exigence de qualité, les Concerts de Poche ont fait appel à des artistes confirmés, aussi bien pour constituer l’orchestre que pour la distribution des rôles.Les chanteurs, qui ont l’âge des personnages, font déjà partie de grandes productions d’opéra, et les musiciens de l’orchestre sont de jeunes chambristes et solistes déjà très reconnus .De plus, ce collectif d’artistes, très souvent programmé ensemble, démontre une grande complicité qui ajoute à la connivence si nécessaire à l’esprit de l’opéra.C’est ici une Carmen « de tréteaux », résolument théâtrale, qui développe la plus grande proximité entre les artistes et le public. Les personnages évoluent dans une boîte scénique créée pour l’occasion, véritable théâtre portatif autonome qui contient les lumières et les décors des différents tableaux inspirés par le merveilleux des lanternes magiques et des théâtres de papier. C’est dans cet espace clos, à la fois étonnant et « tragique », que les protagonistes s’affrontent, victimes ou vainqueurs de leurs illusions de leurs émotions.Pour que le public s’approprie pleinement l’opéra, l’association Les Concerts de Poche propose des ateliers de chant choral aux habitants des communes accueillant le spectacle. Pendant les quatre mois qui précèdent la représentation, ceux-ci sont invités à répéter chaque semaine les chœurs emblématiques de Carmen. Le soir de la représentation, ils se produisent tous ensemble sur scène lors du lever de rideau, accompagnés par l’orchestre.

Opéra : « Carmen, l’histoire tragique de Carmen et Don José »Adaptation de l’œuvre de Bizet pour cinq chanteurs et ensemble orchestralDurée : 1h40 + entracte de 15 mn

Musique de Georges BIZETDirection musicale : David WALTERUne production : Les Concerts de Poche

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