les elections municipalesbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_04_12_mrc.pdf · 2014-02-27 ·...

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79* Année, 30. CINQ CENTIMES CENTIMES Ümmsàe i%Afff.il 49Q&* RÎÔSA&D, Sainte-Maxenc*. table : 1* l e C h â t e a u situé sur les ccm- a's»e-Maxénce et de icnieliancé dé î heC; Iles borls de l'Oise, à l «lç P'??î ' 2* cn" rent. P r « p r l é t ^ sise une de Poatpolnt, à de la pré cède qte, kinè'res eaviron. — t : inemd Richard, no- ;-Maxence. ÉTUDX [firdlu et * Pièef' sis cemicuae et à vendre à l’a- »sev a M* Richard. ETL'DE Veineuil-sur-Ois**. |s '•>- 1 H ô:e’-d»*-YiHe, ske- à Verneuil-.'ar- |V-Pée Saiate-Genc- ••ï tc Geneviève », h-M* Richard, notaire pence. le Dimanche r-h uivs de relevée. |ilTïï33 , d habitation boai> r. -on -ca a ruelle adjudication, en ui>i« re- de M* Ri- > : nte-M.txence, |r. Uv-S a 2 heures IETUDE |A ceux, on la Grande adjudication, ea ictère dé M* E e à Pont-Sainte té 26 Avril ü>Jd. a ->ABIE.. notaire 1 Mairie de TLi- 26 Avril ”1908. à t vée. en 1 Etude é • Desabie. notaire, ^sise à Thzvernj. IAUGIN. notaire jtirail de Culture. •"cuiturë. à~Vi! e- u doxi.-iie d-- M. 12 Avr. 1&>. » LRRY. nc-taire r 10 ;uüle:' l£*8. d'an'ers-:. «isc le nom 'd'Eùtei Stade de M* QUENTIER, à Chamblj (Oise). A vendre ou à louer une i appelée le Moulin neuf, située à C bîy (Oise), sur 1» route naüouaü^ Paris à Calais. — S’adresser 4M*Q tier, notaire. Étude de M- fHiitÔl'fM, notaiig I à Acy-en-MuIt:en. Adjudication, par suite de décès 1 Dimanche 12 Avril 1008, à une Veui^l demie de l’après-midi, à Acy-cn-jJ tien, sa l'Etude d-* M* Thirouio, ,3 très bon Fonds do SerrnriJ M écanicien, situe à Brégv, cantoô| Betz ^Oise) r-îfb dei'OravTet, dépe-^ do la suecessio.1 de M Louis-Théopl Desjardins. Étude de M* Jcles ROBERT, notai à Baron (Oise). .4 vendre à l’amiable, no prlcte Ilont-grcoUe. située a BΫ3 rue et ptjrte de l'F hei-f-', et ^ Mai son d'iiabicatîdn. s sb à rue d'Enfer. — Pour tous reosei . ments et pour 'isit**r. s’adresser àcl Robert, notaire à Baron. ■iat itoôi A vendre à l’amiable, s a ? Mali sise à Montlogncn, et diverses .ft de Terre, **ré e‘ Sois , sises tcrroi^J ^aron et Montlogncn. — S’adreas** M* Robert, notaire à Baron. Etude de M* LEXOIR, huisjior | M cnic M obilière, à Saint-Fini en la demeure de Mme Du herr.in. * de ii Gare, à la requête de M, loque, administrateur provisoire <jfj succession de Mme Duiliemin, par ad dica ion. le Dimanche 12 Avri' I 9fij une heure de l'après-midi, par le àhj tère de M* Lenoir. huiss er DEMANDES_ET 01 On demande u n m érià» l'homme à toutes mains et la fen^i pour la basse-cour. — ExcelleiS références exigées. S'adr. au Bureau du Journal, Des ouvriers con| vreurs sont demandés chez i HERBAIN-BERGER, entrepreneurs. couvertures à Crépy-en-Yalois. i j HÇ" On demande, pour matd bourgeoise, un ménage, i'bonn saeharit-. soigner cheval, entrete^ jardin d'agrément et connaissan;! service intérieur, la femme bonj cuisinière, sachant coudre] iavejj repasser. S'adresser à M. MOQl'ET. à CrJ .Oise). ' Monsieur seul demai jeune fille pour tenir son rnéna= — Bons gages, nourrie, coujchée] ~'adr. au Bureau du Journal. ^T' On d e m a n d e pot Gouvieux : homme touti mains, jardinier, marié, i i ver auto, femme inoccap ; — î OO fr. par- m ois, — Bonnes références. -•2r.:,| ^s'adresser à M. 1H£LL l*»r- à Gouvieux (Oise). i Boi* | *- "Î. j M‘ MORAND, avoot i -ig: i Seiilis,) deiuande un p e tit clert, ' ' - e un petit clerc g - P a r c e !»•« * *c p lan le viÇPï joijRKi IX BON Ê AT *C-ÜF. FEIMTS^S LT £AXGSâ?3{p 90 .-*^1. »e k lo . r « OG7ERIE& DM L‘S1 oiles RENAULT Frères \n - DoiMb PhaétBB - atréBî latérales ©500 francs |abi!es 3IZAIRESNAU0IN 2 et 3 ]u>latoes [l TES T E R ROT Ijirraixnnti rapide) S LOt il, ÏK K u.evard du Cours, COMPIÉî.N’E - ?? w ’f r » f e ?m L/c ’J GUS .b v "t. A h|S et Copertnt taPulls bit ®. D'CSarOEFfl ofc bÉn m it <*•* #/ ’ a U.uu-» i»r<*Iuttdrmr&. ; tnvoi ( ESSAI] un , y. »*«• * « lu r <t ür arc:-, .ai . O'tvji D? Hi rs DE SE.i-fi'T: qui 8*>rt a Uew. a '.ouia \ y r< jf!r l dc</. * r\ »lüf>ért,r \r cr«iu( (.uti. uit ui jffF pour lu j yuMr uJ p^u# U fvuCt**' uriucitt. : J- r.'.u> r»-palr^t;ofiA mouac u o uu - ri ac oi. P rix - 1 : pti Ariù»: 1 5 0 fir*. tiutti. que dii cupl.iAU du Juu/vtal officiel et p»uuio:gué^ i'j ik.fin \ff/ ,C Uxist 5 fc Aùirj’ .ftc.üi, ^ MM. et C1 -, à Raisme Nord Cor •suruimr. Ct tes du Nord, due « i* Xuciii^nuséc, m dAuUus >r^ / ‘U'X/IXiii.UEW. k r r ftfcrtCfcS , Vu.c Cu Pû/ie EjL^o»t.ou J'/A- |u ;00 //cet/ee. gtLMibhl utl Jüfif tiOht ÇUMO*# 1 **• iurc-géumuUe A Chujtüly N :iii. Bïji'rao/ buA^Usur-, 1Uôlel d t - i il t. -A-r.ivtjf Paraissant le Jeudi et le Dimanche. JOURNAL DE SENLIS Rédacteur en chef : Loup BERTROZ. A B O N N E M E N T S Senlifl et Oise. ... 6 fr- 4 fr. Autres dép. 8 fr. 5 fr. On s'ab§nnb aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L’abonnement est payable d’aTance et continue de plein droit jusqu’à réception d’avis contraire. « * * * u 'Abonnements partent tte t’ eu <hi 18 d» chaque mois. bureaux / rédaction & administration SENLIS 11, Place de l’Hôtel-de-Ville, 11 — SENLIS TÉLÉPHONE xx* *4 Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus. Nous commençons aujourd’hui notre nouveau feuilleton .* LE TESTAMENT VOLÉ Ilcnri DEMESSE Sentis, le 11 A vril. Les Elections Municipales Les derniers débats parlementaires ont souligné rimportanee quejrésente Dicco t.briinjUMaîGS".-11''”''"'* r'c' Comme l’a dit très justement II. Jaurès, ce n’est pas seulement au point de vue du choix des délégués sénatoriaux qu’apparait leur caractère "politique. II résulte encore de ce fait qu’à l'heure actuelle un grand nombre de questions économiques, ou môme . purement locales en apparence, tou chent îi sa politique. Sans doute il convient de ne rien exagérer dans cet ordre d’idée. Les municipalités qui comprennent réellement leurs devoirs, c’est-à dire celles qui sont aux mains de républicains sages, s'efforcent, dans un intérêt d’union, d'apaisement et d’équité, de mêler le moins possible la politique à la gestion des affaires communales. .Mais il en est tout autre ment lorsque les mairies 'sont occu pées par des politiciens sectaires : céttx-ci considèrent trop souvent la besogne administrative comme chose sunallerne et se bornent à mettre le pouvoir dont ils disposent' au service de leurs passions, de leurs ambitions, de leurs visées électorales. On pourrait citer de nombreux exemples du gâchis financier et de l’anarchie auxquels ont abouti les municipalités collectivistes. Mais il suffit, à cet égard, de citer l’exemple le plus récent : celui de la Ville de Brest, dont notre distingué confrère, Louis Combiner, nous tra çait ici il y a quelque temps un tableau aussi fidèle qu’impressionnant. Pour être moins considérable et moins .ap parent, le mal n'en est pas moins très étendu, dans d'autres cas. lorsque des ' alliances avec les collectivistes obligent certaines administrations municipales à faire à des minorités auxquelles elles doivent leur succès électoral une part qui, comme la tâche-d’huile ne tarde point à s'étendre démesurément. La responsabilité de cet état de choses n'incombe pas toujours entiè rement à nos adversaires. Trop sou vent nos amis, en se désintéressant des affaires publiques, en se dérobant, sous de futiles prétextes, aux candi datures qui leurs sont offertes, assu ment, en cette matière, une large part de culpabilité. Trop souvent aussi ceux d'entre eux qui consentent à af fronter la lutte, soit à l'expiration de leurs mandats, soit pour la première rois, se présentent devant le surnage universel sous des dehors timides, embarrassés, en ayant l’air, en quel que sorte, de plaider pour les idées et pour eux-mêmes les circonstances at ténuantes. C'est là une cause réelle d'infériorité, l’opinion ayant une ten dance instinctive à se porter du côté' de l’énergie et de la hardiesse. Elle est guidée presque toujours, en pareil cas. beaucoup moins parla confiance que par l'intimidation. Il n'est point douteux, qu’ib'existe dans le pays, à l'heure actuelle. 1111 malaise profond : l'inévitable consé quence des fautes commises, des froissements de conscience, des pro messes inconsidérées, commence à se faire sentir. Or il ne suffit point de gé mir sur le maiheur des temps, en attendant qu'un miracle y porte remè de. Il faut faciliter le retour aux vrais principes de gouvernement et d’admi nistration en permettant aux idées saines de se dégager des scrutins. C’est pourquoi nous adresserons à tous nos amis un pressant appel. S’ils possédaient seulement la moitié de l'ardeur que déploient nos adversaires nous serions certains, la plupart du temps, de remporter la victoire. Ja mais l’heure n'a été plus propice pour tenter un sérieux effort 1 Les dernières élections législatives avaient jeté dans nos rangs un décou ragement excessif. Nous n avons pas l’intention de nous attarder ici dans des récriminations rétrospectives : nous pouvons rappeler cependant que. dans bien des circonscriptions, les élections se sont faites sur des équi voques, sur des malentendus, sous l'eméire do circonstances qui ont pu fausser l’expression de la volonté na- tiouale. Mais elles se sont modifiées ' et, d’ailleurs, les influences qui ont pesé d'une foi'ou si néfaste, sur les élections législatives de 1906, ne sau raient, il s’en faut de beaucoup, exer cer autant d’action sur les élections municipales portant sur plusieurs noms, sur |des questions moins com plètes et plus immédiates. Il ne faut pas perdre de vue, enfin, que les élections municipales sont souvent la base des élections législa tives. Ceux que l'oeuvre du Parlement n’a point satisfaits, qui redoutent pour le pays et pour la République les-sui tes de la politique aventureuse et ja cobine trop longtemps pratiquée, peu vent trouver, dans les scrutins de_mai prochain, pour préparer l’avenir, le plus favorable des terrains. On a.dit avec raison qu’administrer c'est prévoir. Cette maxime n’est-elle point applicable aux électeurs qui, dans un pays libre, contribuent tous, par leur bulletin de vote, à l’adminis tration du pays '? Louis B rin' deau , *progressiste ,’ t,‘ Député du Havre. BCHOS ET NOUVELLES Les fêtes de Jeanne-d'Arc à Orléans Par une lettre de son Vénérable, le juge de paix Bouiii, la loge d'Elienne-Dolet a fait connaître à M. Courlm-Rossignol, maire d’Or léans, son intention de prendre part, cette année— comme Tan dernier — au cortège commémoratif du 8 mai. Nous croyons savoir, écrivent les journaux d'Orléans, que M. Courtin-Rossignol a ré pondu par une lin de non-iveevoir. Il déclaré que la municipalité a décidé de revenir aux « anciennes tradili'ons »> . Grâce au chien « Lion » Un malfajteurcomparaissait avant-bier devant la 11e chambre et y récoltait 13 mois de prison. Son cas. est d'ailleurs banai : il volait, la nuit, des marchandises à la gare d’Arcueil. Mais la cause prend un singulier intérêt de ce fait que le voleur a été arrêté par un chien policier. . A la suite de vols répétés à la gare. d'Ar- cueil, .l'administration s’était adressée à la police pour organiser une surveillance étroite. Les agents y perdirent leur peine. Ils eurent alors l'idée de recourir aux bons otliees de « Lion », chien policier réputé pour les services qu'il a déjà rendus. La nuit suivante, le il mars, Lion, mis en observation, lovait un voleur, le poursuivait et lui mettait les crocs au mollet. Les agents l'arrêtèrent. 11 comparaissait avant-hier en correctionnelle. Le plus vieux ménage de France. Dans un de ses numéros du mois de mars, le Journal de Rouen pariait d'.tm ménage qui, existant depuis 07 ans, passait pour être un des plus vieux, sinon le pius vieux de France. Cette indication n'était pas tout à fait exacte. Le record du plus vieux ménage serait détenu par la ville de Louviers. M. et Mme Charles Leblanc, qui habitent 17. rue de la Ravine, compteront bientôt 69 ans d'union ; en eft’et. s'étant mariés en juin 1839. \LChar les Leblanc est né en 1816,-il a donc 92 ans, et son épouse 90 ans. L'heureux vieillard n'a jamais été malade et, malgré son grand âge, il s'occupe ehcore de jardinage chez des propriétaires. Dans sa, jeunesse, il a été jardinier au service de ■Louis-Philippe, aux Tuileries, et c'est plaisir de l'entendre parler avec admira tion de ce souverain, de la famille royale, de Guizot, dels divers hommes politiques -qu'il approchait; fréquemment. _ Condamné â mort. La cour d'assises de la Haute-Marne a condamné à mort. Michel Schmitts, vingt et un ans. coupable d’avoir, à Joinviile, assassiné sa fiancée; Gabrielle Thiriat, qui venait de rompre avec lui. Un conscrit minuscule. Le plus petit conscrit de France est très certainement le jeune René Bayié, qui s'est présenté devant le conseil de révision à Monségur (Gironde). Le jeune Bayle. qui remplit les fonctions dé comptable! à îa perception de Monségur, compte en effet, soixante-sept centimètres de taille. Questions Militaires Les Manœuvres d’Automne. Le ministre de la guerre a décidé qu’en principe, les manœuvres d'automne de 1908 devront être terminées et les troupes rentrées dans leur casernement dans la journée du 22 septembre au plus tard. La circulaire~relative aux appels des réservistes en 1908 qui doi vent concourir à ces manœuvres, sera envoyée ultérieurement. La Guerre au Maroc, Les Quinz’ Mil! Air de : Cadet Rousselle. Nos r’présentants ont augmenté (bis) D’ six niilF francs leur indemnité; (bis) Ils ont fait leur coup en cachette, Dé peur que l’électéur n’ rouspète, Ah ! ah ! ah ! mais vraiment L’ contribuable est bon enfant (bis). II Nos r’présentants annuell’mpnt Touchent quinz' mill' bail' c’est charmant, Sans compter d’autres avantages, Mais se refus’ à tout partage, - Ah ! ah ! etc. III Nos r'présentanls ont des autos Ou des carross’ à deux chevaux, I’ s’ vol’ des r’traites pour leur vieillesse, Le tout aux frais de la Princesse, Ah ! a h 1 , etp. IV Quand les pauv bougres d'travailleurs , Peinent pour nourrir ces hâbleurs, Ëf càsènUoute îeur'?amrtîé,rc Ah ! ah ! etc. Lorsque mon p’til gars sera grand J’tàcherai d’en faire un Quinz’ Mill' francs, Comm' de son métier n’ sait rien faire, Ce s’ra F parfait parlementaire, Ah ! ah ! etc. VI Pour obéir aux Francs-Maçons On .chass’ les Sonirs de leurs maisons, ] Mais quand un F.-, a la colique, F n' peut plus sentir les laïques, Ah ! ah ! etc.' VU Il fait y'nir un' Sœur pour Y soigner, Et M’sieu T Cur.é pour F confesser,. Il fait des vœux et des promesses, F'ra ses Pùqu’, ira à la mésse, Ah ! ah ! etc. VIII Mais dès qu' son bobo est passé Le Quinz’ Mill, se r’met à gueuler : i « Hors les Sœurs ! à lias la calotte ! Je suis F plus pur-des sans-culottes ! » j Ah ! ah ! etc. IX Quand-on le prend la main dans F sac j N’ croyez pas quëT Quinz’ Mil F ait F trac, Son argument est sans réhiique, C'est pour sauver la République ! Ah ! a h ! p.t#». X Si F Quinz’ Mille a quinze; mill'.raisons i De Fuir à sa situation, . Les électeurs en ont quinz* mille De F renvoyer dans sa famille, - Ah ! ah l etc. XI ; Lorsque viendront les élections Tous ces pillards nous les chass'rons, i Malgré promesses et prières, A coups de pieds dans le) derrière, Ah ! aii 1 ah ! mais vraiment L'électeur n' sera pas bon enfant 1 ; Baron d'Hamonville. La Réunion de Heuilly-eüThelle. Le combat de Settat. Les mehallas de Moolay-Hafîd ont at- j taquê le 8 avril le bivouac des troupes | françaises, près de Settat. Après un comnat j assez vif. les Marocains ont été repoussés j avec de fortes pertes : ie général d'Amade i les a poursuivis pendant sept kilomètres. I Nos pertes sont d'un officier tué et de sept hommes blessés. I Le général d'Amade a offert un diner au ' général Lyautey, à M. Regnauit et aux ! membres lie la Croix-Rouge. Dans son : toast, le général d'Amade a salué frater- ! nettement' M. Fcurnier-Sarlovèze, maire de Cornp’ tègTtP.. Ainsi que nous l'avions annoncé, une importante réunion oiganisée par le Co mité républicain démocratique cantonal, a eu lieu dimanche dernier à Neuijly-en- Thelle. sous la présidence d'honneur- de M. Gaillard, l'excellent dépu'é de Creil. A trois heures, plus de trois cents élec teurs, de Neuilly et^des communes envi ronnantes, se f’ress’ênt dans la grande cailo <To 1‘H.ïioI aJ> i G optr*. L a - prêqi*J*iUC*î est donnée à M. Dupont, maire de Boran, qu'assistent M. Chartier-Duraincy. maire de Morangles. et M. Jossé. conseiller mu nicipal de Neuilly-en-jTlieile. M. Dupont prend je-premier la parole pour remercier les nombreux électeurs qui ont répondu à sor| appel, et présente à l'auditoire notre sympathique confrère et ami M,Georges Bonnefous, membre de ia Fédération Républicaine et rédacteur à la République Française. L'éminent conférencier a traité avec beaucoup de clarté et d'autorité son sujet : «l'Avenir de la République». Il établit tout d'abord un parallèle saisissant entre la Déclaration des Droits de l'Homme etla façon de gouverner de nos sectajires. Ii- flétrit énergiquement la minorité, 'agis sante mais néfaste, qu'est la Franc-Ma çonnerie. qui a introduit dans i'arrnée, dans la magistrature, dans l'administra tion, l'infâmante pratique de la délation et du mouchardage. M. Bonnefous oppose à cet état de cho ses. la pratique si large de la liberté telle qu'elle existe dans la République des Etats- Unis. Il félicite les électeurs d'avoir pour député l'honorable M. Gaillard, si libéral et si sympathique; mais pourquoi les au tres circonscriptions n'ont-elles pas suivi l'exemple de celle de Creil? Nous n'au rions pas cette Chambre, dit-il en subs tance, qui dupe le pays avec le mirage fallacieux des retraites’ ouvrières et l'im populaire projet d’impôt sur le revenu. Âpres avoir mis les électeurs eh garde contre les déceptions que réserve la politi que radicale, M. Bonnefous. dans; une pé- i roraison accueillie par d'enthousiastes ap- 1 .plaudissemerits. trace le programme de la République de i Avenir qui consacrera le 1 triomphe de la Liberté,et l'entente indis- i pensable entre patrons et ouvriers, j M. Dupont remercie avec émotion i’o- ; rateur, l'audit ,ire attentif et.a quelques ! paroles aimables à l'égard de là presse i progressiste et libérale qui prépare U re- j vanc-he dans notre département. ! A l'unanimité moins trois n i tance vote l'ordre du jour suivau « Les électeurs du canton de e.n-Thelte, réunis au nombre de la grande salle de;l'Hôtel du Centre, à Neuilly-en-Thelle, sous les auspices du Comité républicain démocratique du canton, remercient M. Georges Bonne fous de sa belle conférence, adressent à leur dévoué député, IM. Jules Gaillard, le témoignage de leur fidélité et de leur en tière confiance, acclament à nouveau les idées républicaines de liberté, d'union et de progrès si bien exposées par le confé rencier de. la Fédération républicaine , et se séparent aux cris de Vive la Répu blique démocratique;! » En résamé, belle et bonne journée pour lacause libérale dans le canton de Neuilly- en-Thelle. A. M. fort de |9. Bitseh. Nous avons appris avec une pénible surprise la mort de notre excellent confrère M. François-Joseph Bitsch, admi nistrateur-délégué du Moniteur de l'Oise , membre de la. Chambre de Commerce, conseiller municipal de Beauvais et ancien professeur if Allemand au collège de cette ville.- Né le 11 juin 1854 en Alsace, à Burn- haupt-le-las, M. Bitsch opta, après l’année tragique,pour la nationalité française et abandonna le pays dnnexé par l’ennemi. M. Bitsch, qui avait reçu en 1897 la décoratioi bien méritée d’officier d’acadé mie , état administrateur délégué du « Moniteir » depuis .plus de deux ans. Avec M Bitsch disparait une physio nomie bien connue de Beauvais. L'Asso ciation Amicale de la Presse de l'Oise perd en lui un le ses meiribres les plus dévoués et qui savait, au couhs des réunions pro fessionnel,es, s’inspirer d'une saine lo gique et faire preuve d'un esprit de conci liation qui aplanissait bien des difficultés. M. Bitsch, que caractérisaient la loyauté, la droiture d'àine et la plus franche cordia lité, ne comptait que{ des amis. Il laisse le souvenir d'un homme de bien dans toute l'acception du mot. Sa mort laisse un vide au Moniteur de l'Oise où ses ser vices étaient appréciés et parmi ses confrères dont il avait toutes les sympa thies. En cette pénible circonstance, nous adressons à M. Edgar Bitsch, à sa famille et au Conseil d'Administration du Moni teur de l'Oise l'expression de nos plus vives et sincères condoléances. loup jjivuinuz,. otre regretté confrère Cathédrale de Beau- ue énorme affluence Les obsèques de n, ont eu lieu hier, à la vais, au milieu d'u d'amis. La levée du corps a été faite par M. l'Abbé de Hédouvillè ; le char disparais sait sous les .fleuri et les couronnes, offertes par la Churrt|bre de Commerce, le Moniteur, le consei breuses sociétés de Les cordons du pc MM. de Poly. présid minisfration du Mot de Beauvais : Comm Chambre de Comme municipal ; Peschet ■d'Ku : et Duhamel, commerce de Beauv Dans la nombreus quait tous, les mernb municipal et de nom- ële étaient tenus par ■ut du Conseil d'Ad- ileur ; Iluoher, maire uneau, membre de la rue ; Loisel, conseiller principal du collège juge au Tribunal de üis. % e assistance on rernar- res du Conseil d'Ad- rninistration du Moniteur, les adjoints èt conseillers municipaux, les membres de ia Chambre de Comiberce, des professeurs, MM. Albert Faure, rédacteur en chef, Repusseau , Boulanger ."rédacteurs du Moniteur : MartinÂMamv. rédacteur en chef de la République de l'Oise ; Tholomé, ancien directeur du \ Journal de l’Oise ; Loup Berli oz, directeur du Courrier de l'Oise et'-. ! _ L absoute a été donnée par M. le Curé de la Cathédrale. Au cimetière des discours émus ont été prononcés par M.M. Hucher,_ de Poly, Cornrnuneau et lfruvost caissier du Moniteur. \ Otes de nos sénateurs. 1 . Séance du <>avril. > rutin sur l'amer Legrand à l'article 2 dant a modifier la lo sur la séparation di dément de M. Louis du projet de ioi. ten du 'J décembre 1903, s Eglises et de 1 f.tat, repoussé par 103 voix contre 97. Ont. voté contre : MM. Dupont et Noël. N'a pas pris part au vote : M. Cuvinot. , 1 assis- Neuiliy- 100 dans Séance c Scrutin sur l'ame de Saint-Urbain à l'a i la ioi sur la sëparati 1 l’Etat tendant a acco sonnes désignées coi auteurs des fondât! une action en reprisé pour inexécution d par, 1 i vûîx contre Les sénat;urs de 1 Scrutin sur l'amer Càzes Lozère), d' reprise peut être lar Paraissant le Jeudi et le Dimanche. IN S E R T IO N S ^ i Réclames...................... ........... 0,80 c. I&Mot» Faits divers.............................. I #r. P R IX 33 E S Annonces légales..................... 0,20 c. la ligne. Annonces volontaires 0,25 OX naccepte PAS D'INSERTION AU-DESSOUS DE 1 ERANC Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les Départements sont reçues directement aux bureaux du journal. des fondations, le légataire universel ou le conjoint survivant. Repoussé par 173 voix contre 81. Ont voté contre : MM. Dupont et Noël. N’a pas pris par au vote : M. Cuvinot. . Scrutin sur le maintien des mots « in terprétatives » dans le 5e alinéa du para: graphe 3 de l’article 3 du projet de la loi sur la séparation des Eglises et de l’Etat. Adopté par I3§ voix contre 103. Les sénateurs de l’Oise ont voté pour. Séance du S acril 1908. La translation des cendres de Zola Scrutin sur le projet de loi portant ou verture d'un crédit extraordinaire de 33,000 francs pour la translation des cen dres d’Emile Zola au Panthéon. Le crédit est voté par 161 voix contre 83 et 42 abstentions. Ont voté pour : MM. Dupont et Noël, p'est abstenu : M. Cuvinot. Parmi les sénateurs ayant voté les.33.000 francs, citons : MM. Chaumié, Cdcula, Grémieux, Combes, Demôle, capitaine Humbert, Mascuraud, Strauss, Poirson, Ranc, Rouvier. Parmi les sénateurs ayant voté contre, citons : MM. Audiffred, Charles Dupuy, Francis Charmes, de Las Cases, Gotteron, Lozé, général Mercier, Emile Rey, etc. Enfin parmi les abstentionnistes, remar qué : MM. Bérenger, Decrais, Fleury- Ravarin, de Freyemet, Méline, Poincaré, Tillaye, Prevet. Votes de nos députés. Séance du ti avril. Scrutin sur l'ordre du jour de confiance de M. Dubief ainsi conçu : « La Chambre confiante dans legouvernement pour faire aboutir le rachat de l'Ouest, les retraites ouvrières, l'impôt progressif sur le reve nu et pour s'ajîpuyer uniquement sur la majorité qui 'désire ces réformes et re poussant touté addition passe à l'ordre du jour. » Adopté par 319 voix contre 86 . Ont voté pour: M.M. Baudon, Bouffan- deau, Butin, Ghopinet et Delpierre. N"a pas pris part au vote : M. Gaillard. Scrutin sur Partie c 2 deceprojet, adop té par 173 voix contre 82 . Ont voté pour : MM. Dupont et Noël. N'a pas pris part au vote : M. Cuvinot. Scrutin sur le premier paragraphe; de l'article 8 ainsi conçu : « Toute action en reprise quelle soit qualifiée en revendica tion, en révocation ou en résolution, doit être introduite dans le délai ci-après dé terminé ». Adopté pur 190 voix contre 44. Les sénateurs de l'Oise ont voté pour. u 7 avril ndement de M. Vidal rticleJJ du projet de ri d p Eglises.'et .de der à toutes les per- nmé' héritières par les pris le droit d’exercer ou eh revendication es charges. Repoussé )2. Oise ont voté contre. dement de M. de Las rat 11 que’ l'action en rrée par les auteurs Fédération des Sociétés de Tir de l’Oise. Assemblée générale du 29 mars, ù neuf heures, salle lleuvelel, à Creil. (Suite) Modifications aux Statuts. Le Président expose à l'assemblée qu’il a reçu de diverses sociétés des observa tions touchant l'affiliation de la fédération à la Société Nationale de Tir, dont le Président, d'après les statuts a son droit de contrôle et de direction dans la gestion de cette association. Il propose, afin de rendre la fédération autonome et dégagée de toute tutelle, de retirer des statuts tout ce qui concerne ta participation de la Société Nationale de Tir dans la fédération de l'Oise. Une discussion's'engage à ce sujet et plusieurs délégués prennent la parole. Après un échange inobservations cour toises et la lecture des statuts de « La Fé dération des Sociétés de tir de la Gironde » dont communication est faite par M. Deshens de là”Baillen!aise, L’assemblée, à l'unanimité, décide : i - De rendre1la fédération complètement autonome : De retirer en conséquence l'affiliation à la Société Nationale de Tir ; 3° De remplacer les statuts existants par d'autres ayant pour modèle ceux de la Fédé ration des’ .Sociétés de tir de la ciroiide avec quelques modifications de détail dont note est phase par le secrétaire, notamment : Eu ce qui concerne les concours fédéraux annuels qui continueront à être organisés pour les 3 divisions : indivision, amie de guerre, ’i tireurs âgés d'au moins t s ans. à division, carabine, 5 tireurs âgés d'au moins 13 ans. 3* division, carabine, 3 tireurs âgés de 10 à-13 ans. Décide que ces concours seront facultatifs et que les sociétés qui désireront y prendre part devront avoir demandé et obtenu leur admission à ia fédération avant le !" avril de chaque année. Par exception pour 190S, cette date sera prorogée au I" mai, dernier délai. t. n vice-président sera nommé par chaque arrondissement. I.a cotisation annuelle reste fixée i 10 fr. t. assemblée générale de la Fédération aura lieu a tour de rôle à Compiègne, Creil, tîeau- vais, Clermont, chaque année a une date comprise entre le 15 février et le 15 mars. Hommage au Colonel Ùoussaud Dullié. En raison des services rendus à la fédération dans l’Oise, par M. le lieute nant-colonel Coussand Dullié, chevalier de la Légion d'honneur, commandant le 131’ territorial d'infanterie, l'assemblée, sur la demande du Président, décide à l'una nimité de ie nommer Membre d'honneur de l'association. Adhésion à l'Union des Sociétés de tir de France. Sur la proposition de M. Desiiens de la Bailleulatse. appuyé par divers délégués, notamment ceux "de la société mixte de Tracy. l'assemblée décide, à l'unanimité, de donner son adhésion à l'Union des Sociétés de tir de France, pour Farinée 19u8 et charge le Président de faire le nécessaire pour régulariser cette adhésion. Organisation, date et lien des Concours en 19(1*. La date et le lieu des Concours sont renvoyés au Conseil d'administration qui décidera. Quant à présent et pour une partie seulement ées Sociétés fédérés se trouvant dans la région des stands ci-après dési gnés, il est. question de Pour la Ie division, arme de guerre, .Mut' ... Pour la 2* Division. — Carabine — Cuvilly, P.tinlines, Gouvieux. Conformément au principe admis en - 1907, confirmé par vote au bulletin se cret de la présente assemblée, les concours 1» et 2' Division auront lieu, tu tuetne jouf dans la I" et un autre jour également unique dans la 2e par région dans plusieurs stands de façon à éviter des frais de trans port trop onéreux aux Sociétés. Ils seront effectués en présence de jurys, partiels conquises par chaque stand du prési lent ou d’un délégué nommé par lui. de ch tque société, concurrente. Le classem’ént général aura lieu par un jury composé de MM. Ducrocq, Orem, Dufételle et Vieille qui sera juge en der nier ressort. Pour m 3“ Division (Pupille) le concours aura lieu le même jour que celui de la 2 'Division. Sur la demande d’un délégué de la Fra ternelle de Saintines il sera facultatif aux: Sociétés de faire tirer le concours des pupilles, soit au stand désigné pour la Société dont dépendent ces derniers, en présence du jury au concours, 2* Division soit au Stand de la Société même pour éviter tout déplacement, en présence du maire de la commune ou de son délégué. Les noms des 5 tireurs et de 2 sup pléants pour le remplacer en cas d’empê chement désignés par les Sociétés pour prendre par au Concours devront être adressés au secrétaire de la fédération, au moins 13 jours avant ces concours, suns peine de ne pouvoir y prendre part. Date cl lieu de la féte fédérale en ■1908 Pour la fêle fédérale comportant la dis tribution des prix des concours 1968, deux Sociétés se présentent et solicitent l'hon neur de recevoir leurs camarades de la fédération. Après un échange d'observations, il t st décidé de. procéder au vote au bulletin secret pour déterminer le lieu de la fête. Le dépouillement du scrutin donne la majorité à « l’Avant Garde de Rémy ». Èn conséquence l'organisation de la fête fédérale est confié. La date sera indiqué par le conseil d’ad ministration. Insignes pour les tireurs délégués Une proposition de la Fraternelle de Saintinffi tendant à munir les délégués tireurs de concours d'un insignede la fédé ration est en principe prise en considéra- llW«« vl IVIUVJÔL Ù . unv |^l UL-llrtlIIC itîî&tflll'” Liée. Démission de. la Claireogan’ .e. M. Roussel, président de la société de tir « La Clairvoyante », explique à l’as semblée que sa société se trouve dissoute et! que par suite, elle ne peut plus prendre part aux concours ni compter sur les con trôles de la Fédération. Il se trouve en conséquence dans l’im possibilité de continuer ses fonctions de vice-président de la Fédération et exprime à ses camarades tous ses regrets d'être dans l’obligation de se séparer d'eux- L'assemblée donne acte à M. Roussel de sa déclaration etdécideque la Clairvoyante n'existant plus nu fait plus partie de la Fédération. M. Roussel , vice-président honoraire. Sur la demande de M. Blanchet, tré sorier-adjoint de la Fédération, qui rap pelle aux délégués que M. Roussel a été le collaborateur actif et dévoué de M. Ca gnard, pour la fondation de l’association à laquelle il a toujours témoigné son estime et un grand intérêt manifestés par un tra vail incessant et sa présence à toutes les réunions et les concours. M. Roussel est acclamé vice-président honoraire aux applaudissements de l’as- semblée. ^ Il remercie ses cainaradés de cette marque de sympathie à laquelle il est très sensible et les assure de son dévouement continuel à leur œuvre artistique. Conseil d’administration. Il est ensuite procédé i la nomination du conseil d'administration, élu pour 3 ans sauf renouvellement par tiers tous les ansi conformément à l’article 6 îles nouveaux statuts. Sont élus : Président, M. Cagnard, à Morienval. Vice-Présidents, {Cornpiègne} M. Orcns, à l.alaule ; (Sentis) M.- Ducrocq, ti Virent ; (Beauvais)M.Desliens,àJiaillcul; Clermont) X. Secrétaire, M, Lesueur, à Saint-Jean-aux- Bûis. Secrétaire-Adjoint, M. Dufetellc, k Remy. Trésorier, M. Blanchet à Apremont. Trésorier-Adjoint, Carotte, k Songeons. Administrateurs, Vieille, à Tracy-le-Mont ; Boucheny, k Baron. Un déjeuner servi avec soin, par M. Beuvelet, à l'hôtel du Chemin de Fer, réu nissait à nouveau tous les délégués de la Fédération qui ne se quittèrent qu'après avoir procédé au tirage de la tombola dont nous avons publié la liste. Contributions indirectes. Tableau d’avancement de 1908. Commis principaux inscrits pour le grade de receveur : MM. Hanot, commis principal 'distilleries), i Warnavillers. David, commis principal, à Sacv-le- Grand. Escaüé, commis principal, à Ressens. Tuot, commis principal, à Korrnerie. CartigDies, commis principal, â Crêve- cœur-le-Grand. Leducq, commis principal, au Coudrav- Saint-Germer. Meresse, commis principal (distilleries), à Catenoy. Joulfroy, commis principal (bureaux ■ . > a-...

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Page 1: Les Elections Municipalesbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_04_12_MRC.pdf · 2014-02-27 · que sorte, de plaider pour les idées et pour eux-m êm es les circonstances at

79* Année, — 30. C IN Q C E N T IM E S C E N T IM E S Ümmsàe i%Afff.il 49Q&*

RÎÔSA&D,Sainte-Maxenc*.

table : 1* le C h â te a usitué sur les ccm-

a's»e-Maxénce et de icnieliancé dé î heC; Iles borls de l'Oise, à

l «lç P'??î ' 2* cn" rent. P r « p r l é t ^ sise une de Poatpolnt, à

de la pré cède q te, kinè'res eaviron. — t : inemd Richard, no- ;-Maxence.

É T U D X

[firdlu et * P i è e f ' sis cemicuae et à vendre à l’a-

»sev a M* Richard.

ETL'DE

V eineuil-sur-O is** . | s '•>- 1 H ô :e ’-d»*-YiHe,

ske- à V e rn e u il- . 'a r- |V - P é e Saiate-Genc-

••ï tc G enev iève », h-M* R ic h a r d , n o ta ire p e n c e . le D im anche

r-h u iv s d e re lev ée .

|i lT ï ï3 3 ,d habitation boai>

r. -on - c a a ruelle adjudication, en

ui>i« re- de M* Ri- > : nte-M.txence,

|r. Uv-S a 2 heures

IE T U D E

|A ceu x , on la G ran d e ad ju d ic a tio n , e a

i c t è r e dé M* E e à P o n t- S a in te ­té 26 A v r il ü>Jd. a

->ABIE.. notaire

1 M airie de TLi- 26 A v ril ”1908. à

t vée. en 1 E tu d e é • D e sab ie . n o ta ire , ^sise à T h z v e rn j.

IA U G IN . n o ta ire

jt ira i l d e C u ltu re .

•"cu itu rë . à~V i! e- u doxi.-iie d-- M.

12 A v r. 1& >. »

L RRY. nc-taire

r 10 ;u ü le : ' l£*8. d 'a n 'e r s - : . «isc

le nom 'd'Eùtei

Stade de M* QUENTIER, à Chamblj (Oise).

A vendre ou à louer une i appelée le M oulin neuf, située à C bîy (Oise), sur 1» route naüouaü^ Paris à Calais. — S’adresser 4M*Q tier, notaire.

Étude de M- fH iitÔ l'fM , notaiig I à Acy-en-MuIt:en.

Adjudication, par suite de décès 1 Dimanche 12 Avril 1008, à une Veui^l demie de l’après-midi, à A cy-cn-jJ tien, sa l'Etude d-* M* Thirouio, ,3t r è s bon F o n d s do S e r r n r iJ M écan ic ie n , situe à Brégv, cantoô| Betz ^Oise) r-îfb dei'OravTet, dépe-^ do la suecessio.1 de M Louis-Théopl Desjardins.

Étude de M* Jc le s ROBERT, notai à Baron (Oise).

.4 vendre à l’amiable, no p rlc te Ilont-grcoUe. située a BΫ3 rue et ptjrte de l'F hei-f-', et ^ M ai son d 'i ia b ic a t îd n . s sb àrue d'Enfer. — Pour tous reosei . ments et pour 'isit**r. s’adresser àcl Robert, notaire à Baron.

■ i a t i t o ô i

A vendre à l’amiable, s a ? Mali sise à Montlogncn, et diverses .ft de Terre, **ré e‘ So is , sises tcrroi^J ^aron et Montlogncn. — S’adreas** M* Robert, notaire à Baron.

E tu d e de M* LEXOIR, huisjior |

M c n i c M o b i l i è r e , à S ain t-F in i en la d em e u re d e M m e D u herr.in. * de i i G a re , à la re q u ê te de M, lo q u e , a d m in is tr a te u r p ro v iso ire <jf j su cc essio n de M m e D u ilie m in , par ad d ica io n . le D im a n c h e 12 A v r i ' I9fij un e h e u re d e l 'a p rè s -m id i, p a r le à h j tè re de M* L e n o ir . h u iss e r

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- • 2 r .: , | ^ s'ad resser à M. 1H£LLl*»r- à G o u v ieu x (O ise).

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et C o p e r tn t ta Pulls b it ® .

D ' C S a r O E F f lofc b É n m i t

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u n , y.»*«• *« lu r <t

ür arc:-, ■.ai .

O 'tv j i D? Hi rs DE SE.i-fi'T:qui 8*>rt a Uew. a '.ouia \ y r<jf!r l dc</. * r\ »lüf>ért,r\ r cr«iu( (.uti. uit ui jffFp o u r lu jyu M r uJ p ^ u # U fvuCt**' uriucitt. : J -

r.'.u> r»-palr t;ofiA mouac u ouu - ri ac oi.

P r i x

- 1 : ptiAriù»:

1 5 0 fir*.

t i u t t i . q u e dii c u p l.iA U du Juu/vtal officiel

et p»uuio:gué^ i'j ik .fin \ff/ ,C Uxist 5

fc Aùirj’.ftc.üi, ^ MM.

et C 1-, à Raism e NordCor •suruimr. Ct tes du Nord, due

« i* Xuciii^nuséc, m dAuUus>r / ‘U 'X/IXiii.UEW.

k r r ftfcrtCfcS , Vu.c Cu Pû/ie EjL^o»t.ou J'/A- | u ;00 //cet/ee. gtLMibhl utl Jüfif tiOht ÇUMO*#

1 **• iurc-géumuUe A Chujtüly

N :iii. B ïji'ra o / buA^Usur-, 1 Uôlel d t - i il t .

■ -A-r.ivtjf

Paraissant le Jeudi et le Dimanche.JOURNAL DE SENLIS

Rédacteur en chef : Loup BERTROZ.

A B O N N E M E N T S

Senlifl e t Oise. . . . 6 fr-

4 fr.

A utres dép. 8 f r .5 fr.

On s'ab§nnb aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L’abonnement est payable d’aTance et continue de plein droit jusqu’à réception d’avis contraire. « * * * u

'Abonnem ents p a r ten t tte t ’ eu <hi 18 d» chaque m ois.

b u r e a u x / r é d a c t io n & a d m in is t r a t io n

SENLIS 11, P lace de l’Hôtel-de-Ville, 11 — S E N L I ST É L É P H O N E xx* *4

L e s m a n u s c r its , in sérés ou n o n , n e so n t p a s ren d u s .

N ous com m ençons a u jo u r d ’h u i no tre

n o u v ea u fe u il le to n .*

LE TESTAMENT VOLÉI l c n r i D E M E S S E

S e n tis , le 1 1 A v r i l .

Les Elections Municipales

L e s d e rn ie rs d é b a ts p a r le m e n ta ire s o n t so u lig n é r im p o r ta n e e q u e j r é s e n t eD icco t.briinjUMaîGS".-11' '” ' '" '* r'c'

C om m e l’a d it t r è s ju s te m e n t I I . J a u r è s , ce n ’e s t p a s se u le m e n t a u p o in t de v u e du c h o ix d e s d é lé g u é s s é n a to r ia u x q u ’a p p a ra i t le u r c a r a c tè re

"po litique. II ré s u lte e n c o re de ce fa it q u ’à l 'h e u re a c tu e lle un g r a n d n o m b re de q u estio n s é c o n o m iq u e s , o u m ô m e . p u re m e n t lo c a le s en a p p a r e n c e , to u ­c h e n t îi s a p o litiq u e . S a n s d o u te il c o n v ien t de n e r ie n e x a g é re r d a n s c e t o rd re d ’id é e . L es m u n ic ip a lité s q u i c o m p re n n e n t ré e lle m en t le u rs d e v o irs , c ’e s t-à d ire c e lle s q u i s o n t a u x m a in s d e ré p u b lic a in s s a g e s , s 'e f fo rc e n t, d a n s un in té rê t d ’u n io n , d 'a p a is e m e n t e t d ’éq u ité , de m ê le r le m o in s p o s s ib le la p o litiq u e à la g e s t io n d e s a ffa ire s co m m u n a les . .Mais il e n e s t to u t a u t r e ­m e n t lo rs q u e le s m a ir ie s 's o n t o c c u ­p é e s p a r d e s p o litic ie n s s e c ta ire s : céttx -ci c o n s id è re n t tro p s o u v en t la b e so g n e a d m in is tra tiv e c o m m e c h o s e su n a lle rn e e t se b o rn e n t à m e ttre le p o u v o ir d o n t ils d is p o s e n t ' a u se rv ice de leu rs p a s s io n s , de le u rs a m b itio n s , de le u rs v isée s é le c to ra le s . On p o u r ra it c ite r de n o m b re u x e x e m p le s du g â c h is fin a n c ie r e t de l’a n a rc h ie a u x q u e ls o n t a b o u ti le s m u n ic ip a lité s c o lle c tiv is te s . M ais il su ffit, à c e t é g a rd , de c i te r l ’exem ple le p lu s ré c e n t : c e lu i de la V ille de B re st, d o n t n o tre d is t in g u é c o n frè re , L o u is C o m b in e r , n o u s t ra ­ç a i t ic i il y a q u e lq u e te m p s un ta b le a u a u s s i fidèle q u ’im p re s s io n n a n t. P o u r ê tre m o ins c o n s id é ra b le e t m o in s .ap­p a re n t , le m a l n 'e n e s t p a s m o in s trè s é te n d u , d a n s d 'a u tr e s c a s . lo rs q u e des

' a llia n ce s av ec le s c o lle c tiv is te s o b lig e n t c e r ta in e s a d m in is tra tio n s m u n ic ip a le s à fa ire à d e s m in o r ité s a u x q u e lle s e lles d o iv en t le u r s u c c è s é le c to ra l u n e p a r t q u i, co m m e la tâ c h e -d ’h u ile n e ta rd e p o in t à s 'é te n d re d é m e su ré m e n t.

L a re s p o n sa b il i té de c e t é ta t de c h o se s n 'in co m b e p a s to u jo u r s e n tiè ­re m e n t à n o s a d v e r s a ire s . T ro p s o u ­v e n t n o s am is , en se d é s in té r e s s a n t d e s a ffa ire s p u b liq u e s , e n se d é ro b a n t, so u s de fu tiles p ré te x te s , a u x c a n d i­d a tu re s q u i le u rs s o n t o ffe r te s , a s s u ­m e n t, en c e tte m a tiè re , u n e la rg e p a r t de c u lp a b ilité . T ro p s o u v e n t a u ss i c eu x d 'e n tr e eu x qu i c o n se n te n t à a f­f ro n te r la lu tte , so it à l 'e x p ira tio n de le u rs m a n d a ts , so it p o u r la p re m iè re ro is , se p ré s e n te n t d e v a n t le s u rn a g e u n iv e rs e l so u s d e s d e h o rs tim id e s , e m b a r ra s s é s , en a y a n t l’a ir , en q u e l­q u e s o r te , de p la id e r p o u r le s id é e s e t p o u r eu x -m ê m e s le s c irc o n s ta n c e s a t ­té n u a n te s . C 'e s t là u n e c a u s e ré e lle d 'in fé r io r ité , l’o p in io n a y a n t u n e te n ­d a n ce in s tin c tiv e à se p o r te r d u côté ' de l’é n e rg ie e t de la h a rd ie s s e . E lle e s t g u id é e p re s q u e to u jo u r s , e n p a re i l c a s . b e a u c o u p m o in s p a r l a c o n fia n c e q u e p a r l 'in tim id a tio n .

Il n 'e s t p o in t d o u te u x , q u ’ib 'e x i s te d a n s le p a y s , à l 'h e u r e a c tu e lle . 1111 m a la ise p ro fo n d : l 'in é v ita b le c o n sé ­q u e n c e d e s fa u te s c o m m ise s , d e s f ro is s e m e n ts de c o n sc ie n c e , d e s p r o ­m e ss e s in c o n s id é ré e s , c o m m e n ce à se fa ire s e n ti r . O r il n e su ffit p o in t d e g é ­m ir s u r le m a ih e u r d e s te m p s , en a tte n d a n t q u 'u n m irac le y p o r te r e m è ­d e . Il fau t fa c i l i te r le re to u r a u x v ra is p r in c ip e s de g o u v e rn e m e n t e t d ’ad m i­n is tra tio n e n p e rm e tta n t a u x id é e s s a in e s de se d é g a g e r d e s s c ru tin s .

C’e s t p o u rq u o i n o u s a d re s s e ro n s à to u s n o s a m is u n p re s s a n t a p p e l. S’ils p o s s é d a ie n t s e u le m e n t la m o itié de l 'a r d e u r q u e d é p lo ie n t n o s a d v e r s a ire s n o u s s e r io n s c e r ta in s , la p lu p a r t du te m p s , de r e m p o r te r la v ic to ire . J a ­m a is l’h e u re n 'a é té p lu s p ro p ic e p o u r te n te r u n s é r ie u x e ffo rt 1

L es d e rn iè re s é le c tio n s lé g is la tiv e s a v a ie n t j e t é d a n s n o s r a n g s u n d é c o u ­ra g e m e n t e x c e s s if . N o u s n a v o n s p a s l’in te n tio n de n o u s a t t a r d e r ic i d a n s d e s ré c r im in a tio n s r é tro s p e c t iv e s : n o u s p o u v o n s r a p p e le r c e p e n d a n t q u e . d a n s b ien d e s c irc o n s c r ip tio n s , le s é le c t io n s se s o n t fa i te s s u r d e s é q u i­v o q u e s , s u r d e s m a le n te n d u s , so u s l 'e m é ir e do c irc o n s ta n c e s q u i o n t pu f a u s s e r l’e x p re s s io n de la v o lo n té n a - t io u a le . Mais e lle s se so n t m o d if iée s

' e t , d ’a ille u rs , le s in f lu e n c e s q u i o n t p e s é d 'u n e fo i'o u si n é fa s te , s u r le s

é le c tio n s lé g is la t iv e s d e 1906, n e s a u ­ra ie n t , il s ’e n fa u t de b e a u c o u p , e x e r ­c e r a u ta n t d ’a c t io n s u r le s é le c tio n s m u n ic ip a le s p o r ta n t s u r p lu s ie u rs n o m s , s u r |d e s q u e s tio n s m o in s c o m ­p lè te s e t p lu s im m é d ia te s .

Il n e fa u t p a s p e rd re de v u e , en fin , q u e le s é le c tio n s m u n ic ip a le s so n t so u v e n t la b a s e d e s é le c tio n s lé g is la ­tiv e s . C eux q u e l 'o euv re d u P a r le m e n t n ’a p o in t s a tis fa its , q u i re d o u te n t p o u r le p a y s e t p o u r la R é p u b liq u e le s - su i­te s de la p o litiq u e a v e n tu re u s e e t j a ­c o b in e t ro p lo n g te m p s p ra tiq u é e , p e u ­v e n t tro u v e r , d a n s le s s c ru tin s de_m ai p ro c h a in , p o u r p r é p a r e r l ’a v e n ir , le p lu s fa v o ra b le d e s te r r a in s .

O n a .d i t av e c r a is o n q u ’a d m in is tre r c 'e s t p ré v o ir . C ette m a x im e n ’e s t-e l le p o in t a p p lic a b le a u x é le c te u rs q u i, d a n s u n p a y s l ib re , c o n tr ib u e n t to u s , p a r le u r b u lle tin d e v o te , à l’a d m in is ­tr a tio n du p a y s '?

L o u is B rin' d e a u ,* progressiste, ’ t , ‘ ‘

Député du Havre.

BCHOS ET NOUVELLESL es f ê t e s d e J e a n n e -d 'A r c à O r lé a n s

Par une lettre de son Vénérable, le juge de paix Bouiii, la loge d'Elienne-Dolet a fait connaître à M. Courlm-Rossignol, maire d’Or­léans, son intention de prendre part, cette a n n é e — comme Tan dernier — au cortège commémoratif du 8 mai.

Nous croyons savoir, écrivent les journaux d'Orléans, que M. Courtin-Rossignol a ré­pondu par une lin de non-iveevoir.

Il déclaré que la municipalité a décidé de revenir aux « anciennes tradili'ons »>.

G râ c e a u c h ie n « L ion »Un malfajteurcomparaissait avant-bier devant

la 11e chambre et y récoltait 13 mois de prison.

Son cas. est d'ailleurs banai : il volait, la nuit, des marchandises à la gare d’Arcueil.

Mais la cause prend un singulier intérêt de ce fait que le voleur a été arrêté par un chien policier. .

A la suite de vols répétés à la gare. d'Ar- cueil, .l'administration s’était adressée à la police pour organiser une surveillance étroite.

Les agents y perdirent leur peine. Ils eurent alors l'idée de recourir aux bons otliees de « Lion », chien policier réputé pour les services qu'il a déjà rendus.

La nuit suivante, le i l mars, Lion, mis en observation, lovait un voleur, le poursuivait et lui mettait les crocs au mollet.

Les agents l'arrêtèrent. 11 comparaissait avant-hier en correctionnelle.

L e p lu s v ie u x m é n a g e d e F r a n c e .Dans un de ses numéros du mois de mars,

le Journal de Rouen pariait d'.tm ménage qui, existant depuis 07 ans, passait pour être un des plus vieux, sinon le pius vieux de France. Cette indication n'était pas tout à fait exacte.

Le record du plus vieux ménage serait détenu par la ville de Louviers. M. et Mme Charles Leblanc, qui habitent 17. rue de la Ravine, compteront bientôt 69 ans d'union ; en eft’et. s'étant mariés en juin 1839. \L Char­les Leblanc est né en 1816,-il a donc 92 ans, et son épouse 90 ans.

L'heureux vieillard n'a jamais été malade et, malgré son grand âge, il s'occupe ehcore de jardinage chez des propriétaires.

Dans sa, jeunesse, il a été jardinier au service de ■ Louis-Philippe, aux Tuileries, et c'est plaisir de l'entendre parler avec admira­tion de ce souverain, de la famille royale, de Guizot, dels divers hommes politiques -qu'il approchait; fréquemment. _

C o n d a m n é â m ort.La cour d'assises de la Haute-Marne a

condamné à mort. Michel Schmitts, vingt et un ans. coupable d’avoir, à Joinviile, assassiné sa fiancée; Gabrielle Thiriat, qui venait de rompre avec lui.

U n c o n s c r it m in u s c u le .Le plus petit conscrit de France est très

certainement le jeune René Bayié, qui s'est présenté devant le conseil de révision à Monségur (Gironde).

Le jeune Bayle. qui remplit les fonctions dé comptable! à îa perception de Monségur, compte en effet, soixante-sept centimètres de taille.

Q u e s t i o n s M i l i t a i r e sL es M a n œ u v res d’A u to m n e .

Le ministre de la guerre a décidé qu’en principe, les manœuvres d'automne de 1908 devront être terminées et les troupes rentrées dans leur casernement dans la journée du 22 septembre au plus tard. La circulaire~relative aux appels des réservistes en 1908 qui doi­vent concourir à ces manœuvres, sera envoyée ultérieurement.

La Guerre au Maroc,

Les Quinz’ Mil!Air de : C adet R ousselle .

Nos r’présentants ont augmenté (bis)D’ six niilF francs leur indemnité; (bis) Ils ont fait leur coup en cachette,Dé peur que l’électéur n’ rouspète,

Ah ! ah ! ah ! mais vraiment L’ contribuable est bon enfant (bis).

IINos r’présentants annuell’mpnt Touchent quinz' mill' bail' c’est charmant, Sans compter d’autres avantages,Mais se refus’ à tout partage,- Ah ! ah ! etc.

IIINos r'présentanls ont des autos Ou des carross’ à deux chevaux,I’ s’ vol’ des r’traites pour leur vieillesse, Le tout aux frais de la Princesse,

Ah ! ah1, etp.IV

Quand les pauv bougres d'travailleurs , Peinent pour nourrir ces hâbleurs,Ëf càsènUoute îeur'?amrtîé,rc

Ah ! ah ! etc.

Lorsque mon p’til gars sera grand J’tàcherai d’en faire un Quinz’ Mill' francs, Comm' de son métier n’ sait rien faire,Ce s’ra F parfait parlementaire,

Ah ! ah ! etc.VI

Pour obéir aux Francs-Maçons On .chass’ les Sonirs de leurs maisons, ] Mais quand un F.-, a la colique,F n' peut plus sentir les laïques,

Ah ! ah ! etc.'VU

Il fait y'nir un' Sœur pour Y soigner,Et M’sieu T Cur.é pour F confesser,.Il fait des vœux et des promesses,F 'ra ses Pùqu’, ira à la mésse,

Ah ! ah ! etc.VIII

Mais dès qu' son bobo est passé Le Quinz’ Mill, se r’met à gueuler : i« Hors les Sœurs ! à lias la calotte !Je suis F plus pur-des sans-culottes ! » j

Ah ! ah ! etc.IX

Quand-on le prend la main dans F sac j N’ croyez pas quëT Quinz’ Mil F ait F trac, Son argument est sans réhiique,C'est pour sauver la République !

Ah ! ah ! p.t#».X

Si F Quinz’ Mille a quinze; mill'.raisons i De Fuir à sa situation, .Les électeurs en ont quinz* mille De F renvoyer dans sa famille,

- Ah ! ah l etc.XI ;

Lorsque viendront les élections Tous ces pillards nous les chass'rons, i Malgré promesses et prières,A coups de pieds dans le) derrière,

Ah ! aii 1 ah ! mais vraiment L'électeur n' sera pas bon enfant 1 ;

Baron d'Hamon ville.

L a R é u n i o n d e

H e u i l l y - e ü T h e l l e .

Le c o m b a t d e S e t ta t .Les m ehallas de Moolay-Hafîd ont a t-

j taquê le 8 avril le bivouac des troupes | françaises, près de Settat. A près un com nat j assez vif. les M arocains ont été repoussés j avec de fortes pertes : ie général d'Amade i les a poursuivis pendant sept kilom ètres. I Nos pertes sont d 'un officier tué e t de

sept hom m es blessés.I Le général d'Am ade a offert un d iner au ' général Lyautey, à M. R egnauit e t aux ! m em bres lie la C roix-Rouge. Dans son : toast, le général d'A m ade a salué fra te r- ! nettem ent' M. Fcurnier-Sarlovèze, maire

de Cornp’tègTtP..

Ainsi que nous l'avions annoncé, une im portante réunion o iganisée par le Co­mité républicain dém ocratique cantonal, a eu lieu dim anche d e rn ie r à Neuijly-en- Thelle. sous la présidence d 'honneur- de M. Gaillard, l'excellent dépu 'é de Creil.

A tro is heures, plus de trois cents élec­teu rs, de Neuilly et^des com m unes envi­ro nnan tes, se f ’ress’ên t dans la grandecailo <To 1‘H.ïioI aJ>i Goptr*. La - prêqi*J*iUC*îest donnée à M. Dupont, m aire de Boran, q u 'assis ten t M. C hartier-D uraincy. m aire de M orangles. et M. Jossé. conseiller m u­nicipal de Neuilly-en-jTlieile.

M. Dupont p rend je -p re m ie r la parole pour rem erc ie r les nom breux électeurs qui ont répondu à sor| appel, et présente à l'auditoire notre sym pathique confrère et ami M ,G eorges Bonnefous, m em bre de ia F édéra tion R ép u b lica in e e t rédacteu r à la R é p u b liq u e Française .

L 'ém inent conférencier a tra ité avec beaucoup de clarté et d 'au to rité son sujet : « l'A v en ir de la R épub lique» . Il établit tou t d 'abord un parallèle saisissant entre la Déclaration des Droits de l'Homme e t la façon de gouverner de nos sectajires. Ii- flétrit énerg iquem ent la m inorité, 'ag is ­sante m ais néfaste, qu 'est la Franc-M a­çonnerie. qui a in troduit dans i'arrnée, dans la m agistra tu re , dans l'adm inistra­tion, l'infâm ante pratique de la délation et du m ouchardage.

M. Bonnefous oppose à cet é ta t de cho­ses. la p ratique si large de la liberté telle qu 'elle existe dans la République des Etats- Unis. Il félicite les é lecteurs d 'avoir pour député l'honorable M. G aillard, si libéral et si sym pathique; mais pourquoi les au­tres circonscrip tions n 'ont-elles pas suivi l'exem ple de celle de C reil? Nous n 'a u ­rions pas cette Cham bre, dit-il en subs­tance, qui dupe le pays avec le m irage fallacieux des re tra ite s ’ ouvrières e t l'im ­populaire projet d’im pôt su r le revenu.

Âpres avoir mis les é lecteurs eh garde contre les déceptions que réserve la politi­que radicale, M. Bonnefous. dans; une pé-

i roraison accueillie par d 'en thousiastes ap- 1 .plaudissemerits. trace le program m e de la ■ République de i Avenir qui consacrera le 1 triom phe de la L iberté,et l'en ten te indis- i pensable en tre patrons et ouvriers, j M. Dupont rem ercie avec ém otion i’o- ; ra teu r, l'aud it ,ire a tten tif e t .a quelques ! paro les a im ables à l'égard de là presse i progressiste et libérale qui prépare U re- j vanc-he dans notre départem ent.! A l'unanim ité moins trois n i

tance vote l'o rd re du jo u r suivau « Les électeurs du canton de

e.n-Thelte, réun is au nom bre de

la grande salle de ;l'H ô tel du C entre, à N euilly-en-Thelle, sous les auspices du C om ité rép u b lica in d ém o cra tiq u e du canton, rem ercient M. Georges Bonne­fous de sa belle conférence, adressent à leu r dévoué député, IM. Jules Gaillard, le témoignage de leur fidélité et de leu r en­tière confiance, acclam ent à nouveau les idées républicaines de liberté, d 'union et de progrès si bien exposées par le confé­renc ier de. la F édéra tion rép u b lica in e , e t se séparent aux cris de Vive la Répu­blique démocratique;! »

En résam é, belle et bonne jou rnée pour lacause libérale dans le canton de Neuilly- en-Thelle. A. M.

f o r t d e | 9 . B i t s e h .

Nous avons appris avec une pénible su rprise la m ort de notre excellent confrère M. François-Joseph Bitsch, adm i­nistrateur-délégué du M o n iteu r de l'O ise , m em bre de la. Cham bre de Commerce, conseiller municipal de Beauvais et ancien professeur if A llem and au collège de cetteville.-

Né le 11 ju in 1854 en A lsace, à B urn- haupt-le-las, M. Bitsch opta, après l’année trag iq u e ,p o u r la nationalité française et abandonna le pays dnnexé par l’ennem i.

M. Bitsch, qui avait reçu en 1897 la décoratioi bien m éritée d’officier d’acadé­mie , é ta t adm in istra teur délégué du « M o n ite ir » depuis .p lu s de deux ans.

Avec M Bitsch disparait une physio­nom ie bien connue de Beauvais. L 'A sso­ciation Amicale de la P resse de l'Oise perd en lui un le ses meiribres les plus dévoués e t qui savait, au couhs des réunions pro ­fessionnel,es, s’in sp ire r d 'une saine lo­gique et faire preuve d 'un esprit de conci­liation qui ap lanissait bien des difficultés.

M. Bitsch, que carac té risa ien t la loyauté, la dro iture d'àine e t la plus franche cordia­lité , ne comptait que{ des am is. Il laisse le souvenir d 'un homme de bien dans toute l'acception du m ot. Sa m ort laisse un vide au M oniteur de l'O ise où ses ser­vices étaient appréciés e t parm i ses confrères dont il avait toutes les sym pa­thies.

En cette pénible c irconstance , nous adressons à M. E dgar Bitsch, à sa famille et au Conseil d 'A dm inistration du M oni­teu r de l'O ise l'expression de nos plus vives et sincères condoléances.

loup j j iv u in u z ,.

otre reg re tté confrère Cathédrale de Beau-

ue énorm e affluence

Les obsèques de n, ont eu lieu hier, à la vais, au milieu d'u d 'am is.

La levée du corps a été faite par M. l'Abbé de Hédouvillè ; le char disparais­sait sous les .fleuri et les couronnes, offertes par la Churrt|bre de Commerce, leM oniteur, le consei breuses sociétés de • Les cordons du pc MM. de Poly. présid m inisfration du Mot de Beauvais : Comm Cham bre de Comme m unicipal ; Peschet ■d'Ku : et Duhamel, commerce de Beauv

Dans la nom breus quait tous, les mernb

m unicipal et de nom-

ële é taient tenus par ■ut du Conseil d'Ad- i le u r ; Iluoher, maire uneau, m em bre de la rue ; Loisel, conseiller principal du collège

juge au T ribunal de üis. %e assistance on rernar- res du Conseil d'Ad-

rninistration du M o n iteur , les adjoints èt conseillers m unicipaux, les m em bres de ia Chambre de Comiberce, des professeurs, MM. A lbert Faure, rédacteur en chef, Repusseau , B oulanger ." réd ac teu rs du M oniteur : MartinÂMamv. rédacteu r en chef de la R ép u b liq u e de l'O ise ; Tholom é, ancien d irec teur du \ J o u rn a l de l’Oise ; Loup Berli oz, d irec teur du C ourrier de l'O ise et'-. ! _ ■

L absoute a été donnée par M. le Curé de la Cathédrale.

Au cim etière des discours émus ont été prononcés par M.M. Hucher,_ de Poly, Cornrnuneau et lfruvost caissier du M o n iteur .

\ O tes d e n o s s é n a te u r s .1 . ■

Séance d u <> a vril.> ru tin su r l'am er

Legrand à l'article 2 dant a modifier la lo su r la séparation di

dém ent de M. Louis du proje t de ioi. ten­du 'J décem bre 1903,

s Eglises et de 1 f.tat,repoussé par 103 voix contre 97.

Ont. voté contre : MM. Dupont et Noël. N 'a pas pris p a rt au vote : M. Cuvinot.

, 1 assis-

Neuiliy- 100 dans

S é a n c e c Scrutin su r l'ame

de Saint-Urbain à l'a i la ioi su r la sëparati 1 l’Etat tendan t a acco

sonnes désignées coi au teurs des fondât! une action en reprisé pour inexécution d par, 1 ■ i vûîx contre

Les sén a t;u rs de 1

Scrutin su r l'amer Càzes Lozère), d' reprise peut être

lar

Paraissant le Jeudi et le Dimanche.

I N S E R T I O N S ^i Réclames...................... ........... 0 ,80 c. I& M ot»

Faits divers.............................. I #r.

P R I X 33 E SAnnonces légales..................... 0 ,20 c. la ligne.Annonces volontaires 0 ,25 —

OX n ’a c c e p t e PAS D'INSERTION AU-DESSOUS DE 1 ERANC

Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les Départements sont reçues directement aux bureaux du journal.

des fondations, le légataire universel ou le conjoint survivant. Repoussé par 173 voix contre 81.

Ont voté contre : MM. Dupont e t Noël.N’a pas pris p a r au vote : M. Cuvinot.

. Scru tin su r le m aintien des m ots « in ­terpréta tives » dans le 5e alinéa du para : graphe 3 de l’article 3 du p ro je t de la loi su r la séparation des Eglises e t de l’E tat. Adopté par I3§ voix contre 103.

Les sénateurs de l’Oise ont voté pour.

Séance d u S a c r il 1 9 0 8 .L a tra n sla tio n des cendres de Z o la Scrutin su r le projet de loi p o rtan t ou­

vertu re d 'un crédit ex traord inaire de 33,000 francs pour la transla tion des cen­dres d’Em ile Zola au Panthéon.

Le crédit est voté par 161 voix contre 83 et 42 abstentions.

Ont voté pour : MM. Dupont et Noël, p 'e s t abstenu : M. Cuvinot.Parm i les sénateurs ayant voté le s .33.000

francs, c itons : MM. Chaumié, Cdcula, Grémieux, Combes, Demôle, capitaine H um bert, M ascuraud, Strauss, Poirson, Ranc, Rouvier.

Parm i les sénateurs ayant voté contre, citons : MM. Audiffred, Charles Dupuy, Francis Charm es, de Las Cases, G otteron, Lozé, général M ercier, Emile Rey, etc.

Enfin parm i les abstentionnistes, rem ar­qué : MM. B érenger, Decrais, F leury- Ravarin, de Freyem et, Méline, Poincaré , Tillaye, Prevet.

V o te s d e n o s d é p u té s .Séance d u ti a vril.

Scrutin su r l'o rdre du jo u r de confiance de M. D ubief ainsi conçu : « La Chambre confiante dans legouvernem ent pour faire abou tir le rach a t de l'Ouest, les retraites ouvrières, l'im pôt progressif su r le reve­nu e t pour s 'ajîpuyer uniquem ent su r la m ajorité qui 'désire ces réform es et re ­poussant touté addition passe à l'o rd re du jour. » Adopté par 319 voix contre 86 .

Ont voté p o u r : M.M. Baudon, Bouffan- deau, Butin, Ghopinet et D elpierre.

N"a pas p ris p a rt au vote : M. Gaillard.

Scrutin su r Partie c 2 d ecep ro je t, adop­té par 173 voix con tre 8 2 .

Ont voté pour : MM. Dupont et Noël.N 'a pas pris p a rt au vote : M. Cuvinot.

Scrutin su r le prem ier paragraphe; de l'article 8 ainsi conçu : « Toute action en reprise quelle soit qualifiée en revendica­tion, en révocation ou en résolution, doit être in troduite dans le délai ci-après dé­term iné ». Adopté pur 190 voix contre 44.

Les sénateurs de l'Oise ont voté pour.

u 7 a v rilndement de M. Vidal rticleJJ du p ro je t de ri d p E glises.'e t .de der à toutes les per-

nmé' héritières p a r les pris le d ro it d’exercer

ou eh revendication es charges. Repoussé )2.Oise ont voté contre.

dem ent de M. de Las rat 11 que’ l'action en rrée par les au teurs

F é d é r a t io n d e s S o c ié té s d e T ir d e l’O ise .

A ssem b lée gén éra le d u 2 9 m ars , ù n e u f h e u re s ,

sa lle lleu ve le l, à Creil.(Suite)

M odifica tions a u x S ta tu ts .Le P résident expose à l'assem blée qu’il

a reçu de diverses sociétés des observa­tions touchant l'affiliation de la fédération à la Société Nationale de T ir, dont le Président, d 'après les s tatu ts a son droit de contrôle et de direction dans la gestion de cette association.

Il propose, afin de rendre la fédération autonom e et dégagée de toute tu telle , de re tire r des statu ts tout ce qui concerne ta participation de la Société Nationale de T ir dans la fédération de l'Oise.

Une d iscu ss io n 's 'en g ag e à ce sujet et p lusieurs délégués p rennen t la parole. A près un échange inobservations cour­toises et la lecture des s tatu ts de « La Fé­dération des Sociétés de tir de la Gironde » dont com m unication est faite par M. Deshens de là ”Baillen!aise,

L’assem blée, à l'unanim ité, décide : i - De rendre1 la fédération complètement

autonome :2° De retirer en conséquence l'affiliation à

la Société Nationale de Tir ;3° De remplacer les statuts existants par

d'autres ayant pour modèle ceux de la Fédé­ration des’ .Sociétés de tir de la ciroiide avec quelques modifications de détail dont note est phase par le secrétaire, notamment :

Eu ce qui concerne les concours fédéraux annuels qui continueront à être organisés pour les 3 divisions :

indivision, amie de guerre, ’i tireurs âgés d'au moins t s ans.

à division, carabine, 5 tireurs âgés d'au moins 13 ans.

3* division, carabine, 3 tireurs âgés de 10 à -13 ans.

Décide que ces concours seront facultatifset que les sociétés qui désireront y prendre part devront avoir demandé et obtenu leur admission à ia fédération avant le ! " avril de chaque année.

• Par exception pour 190S, cette date sera prorogée au I" mai, dernier délai.

t. n vice-président sera nommé par chaque arrondissement.

I.a cotisation annuelle reste fixée i 10 fr. t. assemblée générale de la Fédération aura

lieu a tour de rôle à Compiègne, Creil, tîeau- vais, Clermont, chaque année a une date comprise entre le 15 février et le 15 mars.H o m m a g e a u C olonel Ù oussaud D u llié .

En raison des services rendus à la fédération dans l’Oise, par M. le lieute­nant-colonel Coussand Dullié, chevalier de la Légion d 'honneur, com m andant le 131’ territo ria l d 'in fan terie , l'assem blée, su r la dem ande du P résiden t, décide à l'una­nimité de ie nom m er M embre d 'honneur de l'association.

Adhésion à l'Union des Sociétés de tir de France.

Sur la proposition de M. Desiiens de la Bailleulatse. appuyé par divers délégués, notam m ent ceux "de la société m ixte de Tracy. l'assem blée décide, à l'unanim ité, de donner son adhésion à l'Union des Sociétés de tir de F rance, pour Farinée 19u8 e t charge le P résident de faire le nécessaire pour régu lariser cette adhésion.

O rganisa tion , d a te e t lien des Concours en 19(1*.

La date et le lieu des Concours sont renvoyés au Conseil d 'adm inistra tion qui décidera.

Quant à présent et pour une partie seulem ent ées Sociétés fédérés se trouvant dans la région des stands c i-après dési­gnés, il est. question de

Pour la Ie division, arm e de guerre , .Mut' . . .

P our la 2* Division. — C arabine — Cuvilly, P .tinlines, Gouvieux.

Conform ém ent au principe adm is en - 1907, confirm é par vote au bulletin se­cre t de la présente assem blée, les concours 1» et 2 ' Division au ro n t lieu, tu tuetne jo u f dans la I" e t un au tre jo u r égalem ent unique dans la 2e p a r région dans p lusieurs stands de façon à éviter des frais de tran s­port trop onéreux aux Sociétés.

Ils seron t effectués en présence de jurys, partie ls conquises par chaque stand du prési lent ou d’un délégué nommé par lui. de ch tque société, concurren te .

Le classem’én t général au ra lieu p a r u n ju ry composé de MM. Ducrocq, O rem , Dufételle e t Vieille qui sera ju g e en der­n ier ressort.

Pour m 3“ Division (Pupille) le concours au ra lieu le m ême jo u r que celui de la 2 ' Division.

Sur la dem ande d’un délégué de la F ra­ternelle de Saintines il sera facu lta tif aux: Sociétés de faire tire r le concours des pupilles, soit au stand désigné p ou r la Société dont dépendent ces dern iers , en présence du ju ry au concours, 2* Division soit au Stand de la Société m ême p o u r éviter tout déplacem ent, en présence du m aire de la com m une ou de son délégué.

Les noms des 5 tireu rs et de 2 sup­pléants pour le rem placer en cas d’em pê­chem ent désignés par les Sociétés p ou r p rendre par au Concours devron t ê tre adressés au secrétaire de la fédération , au m oins 13 jo u rs avant ces concours, suns peine de ne pouvoir y p rendre part.

D ate c l lieu de la fé te fé d é ra le en ■1908P o u r la fêle fédérale com portant la dis­

tribution des p rix des concours 1968, deux Sociétés se p résen ten t et solicitent l'hon­neur de recevoir leurs cam arades de la fédération.

A près un échange d 'observations, il t s t décidé de. procéder au vote au bulletin secret pour déterm iner le lieu de la fê te .

Le dépouillem ent du scru tin donne la m ajorité à « l’Avant Garde de Rémy ».

Èn conséquence l'o rganisation de la fête fédérale est confié.

La date sera indiqué par le conseil d’ad­m inistration.

In s ig n es p o u r les tireurs dé lég u és

Une proposition de la F rate rne lle de Saintinffi tendant à m unir les délégués tireu rs de concours d 'un insignede la fédé­ration est en principe prise en considéra-llW«« vl IVIUVJÔL Ù. unv | l UL-llrtlIIC itîî&tflll'”Liée.

D ém ission de. la C la ireo g a n ’.e.

M. Roussel, p résident de la société de tir « La Clairvoyante », explique à l’as­sem blée que sa société se trouve d issoute et! que par suite, elle ne peut plus p ren d re part aux concours ni com pter su r les con­trôles de la Fédération.

Il se trouve en conséquence dans l’im ­possibilité de con tinuer ses fonctions de vice-président de la Fédération e t exprim e à ses cam arades tous ses reg re ts d 'ê tre dans l’obligation de se sép a re r d'eux-

L 'assem blée donne acte à M. Roussel de sa déclaration e td é c id eq u e la C lairvoyante n 'ex istan t plus nu fait plus partie de la Fédération.

M . R oussel, v ice-présiden t honora ire .Sur la dem ande de M. B lanchet, tré ­

sorier-adjo in t de la Fédération , qui rap ­pelle aux délégués que M. Roussel a été le co llaborateur actif et dévoué de M. Ca­gnard , pour la fondation de l’association à laquelle il a toujours tém oigné son estime et un g rand in térê t m anifestés p a r un tra ­vail incessant e t sa présence à toutes les réunions e t les concours.

M. Roussel est acclamé vice-président honoraire aux applaudissem ents de l’as- sem blée. ^

Il rem ercie ses cainaradés de cette m arque de sym pathie à laquelle il est trè s sensible e t les assu re de son dévouem ent continuel à leur œ uvre a rtis tique .

C onseil d ’a d m in is tra tio n .Il est ensuite procédé i la nom ination

du conseil d 'adm inistra tion , élu p o u r 3 ans sau f renouvellem ent par tie rs tous les a n s iconform ém ent à l’artic le 6 îles nouveaux statu ts.

Sont élus :Président, M. Cagnard, à Morienval. Vice-Présidents, {Cornpiègne} M. Orcns, à

l.alaule ; (Sentis) M.- Ducrocq, ti V irent ; (Beauvais)M.Desliens,àJiaillcul; Clermont) X.

Secrétaire, M, Lesueur, à Saint-Jean-aux- Bûis.

Secrétaire-Adjoint, M. Dufetellc, k Remy. Trésorier, M. Blanchet à Apremont. Trésorier-Adjoint, Carotte, k Songeons. Administrateurs, Vieille, à Tracy-le-Mont ;

Boucheny, k Baron.Un déjeuner servi avec soin, par M.

Beuvelet, à l'hôtel du Chemin de Fer, réu ­nissait à nouveau tous les délégués de la Fédération qui ne se qu ittè ren t qu 'ap rès avoir procédé au tirage de la tom bola dont nous avons publié la liste.

C o n tr ib u tio n s in d i r e c te s .T ab leau d ’a va n cem en t de 1 9 0 8 .

Commis principaux inscrits pour le g rade de receveur :

MM.H anot, commis principal 'd istilleries), i

W arnav illers.David, com m is principal, à Sacv-le-

Grand.Escaüé, com m is principal, à R essens. T uot, com m is principal, à Korrnerie. CartigDies, com m is principal, â Crêve-

cœ ur-le-G rand.Leducq, commis p rincipal, au Coudrav-

Saint-Germ er.M eresse, commis principal (distilleries),

à Catenoy.Joulfroy, com m is principal (bureaux ■. >

a - . . .

Page 2: Les Elections Municipalesbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_04_12_MRC.pdf · 2014-02-27 · que sorte, de plaider pour les idées et pour eux-m êm es les circonstances at

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' ■*temmi!55mims prriic ipanx ins( item en t de 2.700 francs :

in scrits pour

com m is p rinc ipa l (distilleries), à reillers. «

com m is p rinc ipa l, à Sacy-le-

m *

fié, com m is p rincipal, à R essons. ■•commis p rincipal, à Form erie .

Cq, com m is p rinc ipa l, au Coudray-SaintfGermer.

M éresse, com m is principal (distilleries), à Catenoy. . . ,

C artignies, com m is p rinc ipa l, a Crève- cœ ur-le-G rand .

Jouffroy, com m is principal (bureaux), aBêâUYdis

A nglard , com m is p rincipal, à Chantilly.

P r o c è s d e P r e s s eAu débu t de l’audience correctionnelle

de m ardi, a é té p rononcé le jugem ent dans l'affaire de diffamation queM . Ch. Loonen, m ah’e de Tracy-le-M ont, e t M. Vieille, poursuivaient con tre la D épêche de l ’Oise-

Voici le s points essentie ls de cette déci­sion judicia ire .

L’artic le de la D épêche est reconnu com m e in ju rieux et ditl’am m atoire.

M. Richez, g é ran t, est condam né à 25 fr. d’am ende e t 25 fr . de dom m age-in térêts envers chacun de MM. Loonen et Vieille, e t à une in sertion du jugem en t dans la D épêche de l'O ise.

L es P a l a i s n a t io n a u x .Le J o u rn a l O /'/ ic ie ld a i " avril publie

le décret présidentiel du 22 m ars, réo rg a ­n isan t le service des bâtim ents civils et des Palais nationaux.

Le personnel du service d arch itectu re com prendra :

Les inspecteurs généraux au nombre de 4 ; L’inspecteur des chantiers et de la compta­

bilité des travaux ;Les architectes en chef ;Les architectes ordinaires ;Les vérificateurs ;Les agents du service des jardins, au nom­

bre de 18.Les concierges et gardiens de parcs

d’édifices.Les em plois suivants du service d 'a rch i­

tec tu re des Palais nationaux son t sup­prim és :

Inspecteur aux grands travaux et inspecteur à l’entretien ; J ,

Sous-inspecteur aux grands travaux et sous- inspecteur à l’entretien ;

Gardien du bureau des agents, etc.Comme conséquence de ce décret, les

fonctions d’in specteur des bâtim ents na­tionaux au Palais de Compiègne se trouvent

ST e poste de gardien du bureau de l’agence avait déjà été .supprim é depuis quelque tem ps. ^

N o m in a tio n tl’O l'f ic ie rsd e S a p e u r s - P o m p ie r s .

P a r décret du 21 m ars 1908, sont nom ­m és aux g rades c i-après dans les corps de sapeurs-pom piers du départem ent del'O ise. .

M o lie n s . — M. Poi Feuquer, cap ita ine ; M Théodule Cailleux, [lieutenant ; M. A rth u r Ohri, sous-lieu tenan t.

S a in t-P ierre -ès-C h a m p s. — M. Louis C ressoiin ier, sous-lieu teuan t.

C o u r c e l le s -E p a y e l le s . — M. h é l i x f a r i-

m S « ^ I r e e '“- a ! ' J o s e p h Demazure,

S% linquenm p o ix . - M. Louis Pellieux ,sous-lieu tenan t. , ,

u o m e c ic i ' . — m . A inv ii a - - ' ,

^ îâ in t - A u b m - s u r - E n /u l r y . - M. Louis P tn n iiêu x , lieu tenan t lionü iaire .P S « . - M. Nicolas Rousselle,

“ X a f e “ l îu l - T h é r a in . - M. E m ileD es- liens, lieu tenan t.

La C h a p e lle -a u x -P o ts .

lMM. P au l Fallut, lieu­te n an t e t Aimé Dum ont, sous-heu lenanL

F o n ta in e -S a tn t-L u c ie n . — M. u n ie

L S : - M M . a A lbert D efasquelle. ca-. n„ioiti<n li»ntan;inf. : i\.l"

- M. Sylvius

ta ine ; Em ile D elattre , lieu tenan t fi-ed Bouteille, sous-Iieu tm an t.

M il lù - iu r -T h é r a m . — MM. A lphunse I efebvre, cap itaine ; Louis Levoir, lieutc- n a n t ; W é o p f e l^ahurel sous-heu tenan t.

J ia in t-D em sco a r t. — M -J.-R - Lozette,lieu tenan t.

y il le n -S a in t- IS a r th e le m y .Colflard, lieu tenan t.

L es R é c o l te s d a n s l ’O ise .Les conditions m étéorologiques du mois

de m ars n ’ont pas été favorables aux blés.Le fro id e t l’hum ididé qui n’on t guère cessé de ré g n e r pendan t to u t le cou ran t du m ois leu r ont été fo rtem ent préjudi­ciables et ont coupé co u rt à l’am élioration qui s’éta it produite dans le mois de février.

Il fau t espérer que le mois d’avril sera p lu s favorab le-e t que, p a r une tem péra­tu re plus clém ente, il rép a re ra dans une certa ine m esure le dom m age actuel.

Il a déjà fallu réensem encer certa ins cham ps trop com prom is p a r l'h iver ou trop endom m agés p a r les cam pagnols, dont les ravages con tinuen t dans un assez g rand nom bre de localités. Cette opération s’est faite dans des conditions assez défa­vorables, e t il en a été de m êm e p ourd 'en ­sem encem ent des blés qui n ’avaient pu ê tre sem és avant l’hiver.

Les seigles conservent tou jours leur belle apparence.

Les sem ailles d’avoine ne fon t guère que com m encer e t ne s’effectuent aussi, à cause du m auvais tem ps, que dans des conditions défavorables.

Gn ne sèm e pas encore d’orge.La saison est fo rt en re ta rd et il est u r­

gen t que le beau tem ps vienne et que la chaleur fasse sen tir sa b ienfaisante in­fluence su r la végétation.

L a r é c o l te d e s b e t t e r a v e s .T em pératu re m oyenne de la huitaine

6°0 con tre 9°5 en 1907 et 3 '9 en 1906. La hu ita ine sous revue a été caractérisée par une tem péra tu re basse, in férieure en m oy­enne, de 1-0 à la norm ale, e t par de 'fré ­quentes ondées. Au point de vue agricole, un tem ps sec e t chaud est vivem ent désiré, ca r le m om ent approche où l’on va s’occu­per des sem ailles de betteraves. Au su jet des m archés de betteraves à sucre, on ne s 'a ttend point, en général, à une superfi­cie sensib lem ent différente de celle de l ’an dern ier.

Dans les au tres pays betteraviers du con tinen t, en A llem agne e t en A utriche- H ongrie notam m ent, on pense que l am é­lioration des cours du sucre ne modifiera pas d 'une façon notable les dispositions prim itives des producteurs de betteraves. En R ussie, on prévoit, p a r su ite de la di­m inution de p rix de la betterave, une ré ­duction des em blavem ents. P ou r I ensem ­b le de l'E urope, les indications actuelles ne fon t pas prévoir de changem ents sen­sibles dans la superficie betteravière.

M. W ille tt e t Gray, de New-Yorck, écrivent, le 19 m ars, que, vu les avis dé- défavorables de Cuba, il Y a heu de ré - duire de 100.000 tonnes leu r estim ation de la récolte de Cuba, ce qui ram ène celle- ci à 1.000.000 de tonnes. De ce chef les statistic iens am éricains chiffrent de100 .000 tonnes à 200 .000 tonnes la quan­tité de sucres de betterave que les Etats- Unis devront acheter cet été en Europe. P o u r l’ensem ble de la révolte coloniale 1907-08. MM. W ille tt et Gray adm ettent6.594.877 tonnes contre 7.343.230 tonnes en 1900-07 ; pour la récolte européenne,6 .332 .000 tonnes con tre 6 .710,000 tonnes en 1900 07 ; pour la récolte de sucre de betteraves des E tats-U nis, 440.000 tonnes con tre 443.010 tonnes en -1906-07. La ré ­colte universelle en cours sera it ainsi de13.946.877 tonnes con tre 14,487.000 tonnes en 1906-07, soit un déficit su r cette dern ière cam pagne de 540.191 tonnes.

L’adm inistration des con tribu tions în d irectes vient de publier le tableau des r é sultats de la cam pagne indigène lJ O j-1 .08 a rrê té s au 15 m ars 1908. Il n y avait plus à cette date de fabrique en activité, non plus que l'an dern ier. Le volume des jus C r n l V a m qerevanon eia ii uo v:; . . i i . o o hecto litres e t 68 litres, con tre fin.004.263 hecto litres e t 32 litres en 1906-0/ ; la den- sité m oyenne des ju s soum is à la deteca- lion de 5" 16; con tre 5"62 ; les charges co irespondan t.au rendem ent légal, a r a i son d s 1,300 g r. de sucre raffine p a r hec­to litre e t par degré de densité des ju s sou mis à la défécation, de 330.443.809 kilogr con tre 348.2C9.526 kilogr. et la produc­tion an sucré tu rb in é , valeur en tu rb ine valeur eu raffiné, db, 6 3 8 .666 .000 kilogr con tre 003.178.383 kilogr. et, W b -lf iO g soit une différence en m oins de 24,o12,.>8j kiltrr. pour la cam pagne en cours.

La production finale para it devoir ê tre d ’environ 648.000 tonnes, en raffiné, sucre fictif des m élasses c.ompns, con tre 072 tonnes en 1900-07.-

(J o u r n a l des fa b r ica n t* clc sucre).

fondie du corps humain. — Ses os, scs mus­cles, ses articulations, ses organes*. el dans laquelle chacun des mouvements à sa raison d’être et permet d’obtenir un résultat précis e.t prévu d’avance.

Ainsi, tel exercice redressera la colonne vertébrale, tel autre amplifiera la cage thora- cique, un autre reportera en arrière le moi­gnon d e .l’épaule, un autre encore effacera la cavité abdominale* etc.

La gymnastique rationnelle ne vise pas à former des athlètes doués d'une foîee prodi­gieuse, ni à former des sujets extraordinaires exécutant des exercices merveilleuxou battants des records monstres. Elle a un but plus sim­ple et d’une plus grande partie, par sa source ”énecgi8-et producteur de travail.

Elle modifie en lés améliorant les organismes débiles, elle fait d’un être chétif un être nor­mal et d’un être normal un être physiquement dus perfectionné. Sans entrer dans de trop ongs détails, disons simplement que la gym­

nastique rationnelle recherche un quadruple résultat : — Hygiénique — Esthétique — Eco­nomique moral.

a. Hygiénique par une quantité de travail exécuté de sa violence, de sa durée et dans des conditions suftisantes pour procurer lès échanges nécessaires au maintien d’une bonne

b. Esthétique par la répartition des efforts demandés ù tous les muscles du corps. Aucun n’étant négligé, il en résulte un développe­ment harmonieux des formes extérieurs. Le maintien correct est également recherché par des exercices appropriés.

c. Economique en procurant l’adresse, l’élé­gance, l’agilité, remplaçant la lourdeur, la jaucherie et la maladresse qui font gaspiller es forces.

d . Moral par les qualités viriles qu'on déve­loppe : audace, courage, décision, maîtrise de soi-même.

Il est des cas où elle est indiquée : En prin­cipe on peut dire que toutes les personnes se portant bien ont besoin d'exercice pour se maintenir en bonne santé.

Mais il y a de nombreux cas où l’on peu t apprécier les améliorations et les guérisons, que la gymnastique rationnelle procure. Les: exemples suivants en donnent une indication

— Aux enfants bien portants elle assure un développements et une croissance dans des conditions satisfaisantes.

— A ceux qui, pâlots et chétifs,sont souvent malades, elle refait une santé plus vigoureuse qui leur permettra d’être plus à l'abri des ma­ladies. !

A ceux dont le dos voûté indique la faiblesse de constitution et à ceux dont îa poitrine dé- )rimée a pour origine, sôit le rachitisme, soit ’obstruction nasale, elle modifie les condi­tions de nutrition intérieure dont le squelette profitera et redonne une constitution n.ormale.

— Chez les jeunes ffitee clic prévient uu combat t'anémie dont elles sont souvint attein­tes et qui ouvre le chemin à toutes sortes de mala­dies dont elles sont souveqt atteints et qui ouvre le chemin à toutes sortes de naladies et aux déviations de la colonne vertébiale ; elle leur assure un développement cqrrœt et har­monieux ainsi que la beauté, l'aisaice et la grâce des mouvements.

— Aux jeunes gens elle donne la vigueur et l'agilité souvent nécessaires au: cours de l’existence.

— Aux personnes dans la force de l'âge et ne fatiguant pas assez, elle procure la dose nécessaire de fatigue et d’exercice pour main­tenir la santé et prévenir l’embonpoint ou les maladies dues au défaut d’exercice, telles que goutte, diabète ; en un mot elle convient tous les neuro-arthritiques. .

— Aux personnes âgées elle conserve 1 ai­sance des mouvements en empêchant la rai­deur des articulations.

E. M. (A suivre).

M, Eloi

exercés avrfht le 9 therm idor dern ier, est invité à les consigner p a r écrit déposé au secrétariat dans les 5 jo u rs , p o u r ê tre statué p a r nous com m e appartiendra. F ait en séance perm anente ..» . 20 V ient ensuite su r la liste le C. Q uint, ex-agent national, qui a été désarm é en vertu de son p rop re arrêté d u i3 p rairial su r le désarm em ent. 11 en­voie u n m ém oire contenant ses réclam a­tions contre les motifs qu i lu i on t fait appli­quer cette rigueur. Ce m ém oire est expédié au D épartem ent qu i le renvoie au District et celui-ci au Conseil <« qui est prié de con­trô ler les faits prétendus justificatifs allé­gués par son au teu r ». Les com m issaires feront une enquête, e t u n rap p o rt q u i sera d iscuté le m ois prochain.

(à su ivre ). A. M. ♦ — 4-----------------------

JT Zravers S en lisS p o r t V é lo c lp é d iq u e S e n l is ie n .

Le 3 m ai p rochain , le Sport Vélocipé- dique Senlisien, de concert avec la G. C. Alcyon, organise à nouveau cette année une belle reunion de décentralisation qui, l’an dern ier, rem porta un fo rt beau succès.

Les com ités de ces deuxSociétés se sont imposé de réels sacrifices pour do ter de fo rt beaux p rix toutes les épreuves figu­ra n t au p rogram m e de cette im portante journée .

' Course scratcli, 2.000 m . (S. Y. S.), 4 p rix .. Course scrateh , 2.000 m. (C. C. A.),

3 prix.G rand p rix de Senlis (am ateurs), 2.000

m ètres, 3 prix .Consolation, 3 p rix (élim inations). Challenge T urquet de la Boisserie, une

h su re à l’am éricaine par équipe de deux coureurs. Au club gagnan t, le challenge ; à l’équipe gagnan te, deux m édailles-bre- loques o r; l’équipe deuxièm e deux m é- dailles-breloques verm eil; l’équipe tro i­sièm e, deux.m édailles-breloques a rgent.

P h a r m a c ie o u v e r te .Demain dim anche, M. Le Conte, p lace

H enri IV . ' ' ' * -

E ta t c iv i l d e S e n lisdu 3 avril au 10 avril 1908. I '5

du Haut-de-

| 3

Naissances.5. André-Aliïed Vimeux, rue

Villevert.8. Henri-Léon-Antoine Colombani, rue des

Cordeliers.Décès.

4. Mme Grand, née Adolphine-Clémentine Du­bois, sans , profession, 02 ans, rue de Beauvais.

Publication de Mariages.3. M. Jules-Cliarles Valois, messager, el Mlle

Eugénie - Louise Carron, domestique, tous deux à Senlis.

3. M. Pierre-Joseph Dauchy, concierge, et Mlle Anne-Marie-Dora W'ieger, gouvernante, tous deux à Senlis.

5. M. Jean Maragnon, cocher à Senlis, et MlleJuliette-Jeanne Terrer, femme de cham­bre à Versailles.

3. M. Emile-Armand Bellamy, garçon d’hôtel à Pont-Ste-Maxence, et Mlle Marie-Marlhe Mader, femme de chambre à Senlis.

M. Théophile-Adrien Fillesoye, maréchal des logis au 2e hussards, avec Mlle Blanche- Leontine Passerai, couturière à Lesches.

M a rc h é d e S e n lis d u M a rd i 7 A v r i l 1 9 0 8 .

NATUREDBS

CÉREALES

Froment 11qualité..

Seigle.

Avoine

Farine, 1" qualité.

Pain, le kilo

1" qualité. 2*

1" quai. 2» —

PRIXDES

100 ldi.

PRIXDE

Vhecto.

POIDSX E T DBlhecto.

21 Tu 16 35 7621 . . 15 55 7420 75 1-i 50 7016 . . 11 20 7018 . . 8 65 '4817 . . 7 50 '4452 . .. . 36. . 33

L a C ro ix -R o u g e .La réunion de la Croix-Rouge

de F rance au ra lieu le m ardi 14 avril, à deux heures, salle de l’A ncien Evêché

settes, vient d’ê tre effectué à la dem ande du Comité de P aris , pour nos soldats du M aroc. Mme M artin , la sym pathique pré­sidente, p rie donc instam m ent les Dames de se dévouer pour venir confectionner des chem ises de flanelle qui sont instam ­m ent dem andées. . . . . . .

Un envoi de livres a d’ailleurs ete deja fa it e t est dû à la générosité du colonel lle n rio t e t de Mmes A uguste C harlier, Grésy, Boisseau, A ronssohn e t Léon M artin.

Nous apprenons, d’au tre p a rt, que tes infirm ières qui ont été les aides de Mme Léon M artin, au concours de Chambly, sous la ten te d’am bulance, Mlles Fidière des P riveure et L epère , v ienneu l de ren ­tre r en F rance. P arties les prem ières des infirm ières des tro is Croix-Rouge, elles v iennen t seulem ent d’ê tre relevées.

Nous leur adressons ici l’hom m age de notre sincère adm iration .

Conseil de Révision.

M o rt d ’u n e c e n t e n a i r eLes jo u rn a u x du L y o n n a is a n n o n c e n t la

m o rt 'd e Mme Jo sé p h in e -Is m é r ie Lecocq, feT ve de M- C la u d e B o n n éfo n d , cu l tiv a te u r 1^ 'h a l e i n s ?Ain), o r ig in a ire du village de M orienval a r ro n d is s e m e n t de Senlis (u ise). EU e éüù t n ée le 9 m ars 189», e t ss tro u v a it donc dan* sa cen t u n iè m e a n n é e .

L o r s d'un b anquet récem m ent donné à roM asion dc son cen tena ire , elle se plai- I n S d e “ que ses jam bes a ne pouvaient p lus la p o rte r ».

Il y avait de quoi.

La Gymnastique rationnelle.S o n b u t e t s e s a p p l ic a t io n s .

1,’éduealion physique doit 1 ai ce partie de l'éducation générale, elle ne doit pas d re une éducation professionnelle spéciale, mais abou­tir au perfectionnement plWStoMd nbn '! !? virtuosité, elle doit eiiip.lSyér des m appropriés au but llnul ; suiljiles et efhhàbes, adaptés h notre étal social, aux conditions (le |a vie moderne, ces moyens seront en ouue applicables à la masse, aux faibles et présen­tés sous une forme aîjpayante, convenable à l'enfant et à la jeunesse. Comme Sud nom i ip- dique, la gymnastique rationnelle est une gymoasl'ùjyê basée sur la connaissance appro-

Senlis s o u s ja TerreurNotes bout servir à l’Histoire âe Senlis.

A v r i l 1 7 9 5 .(S u ite ) .

nrrete m unicipal, ie oo, —glanage : il n ’au ra lieu qu ’après enlève­m ent de la récolle, et du lever au coucher du soleil ; le pacage est soum is aux mêmes conditions.

Du i " a u îa prairial (ao-di m ai). ■— Le 4, dem ande d ’autorisation au D istrict pour loger à Saint-Vincent la cavalerie qui est annoncée ? Perm ission accordée de suite,

Le io i ii) m ai'. — Deux délégués de la Société populaire viennent dem ander le désarm em ent des terroristes. En effet, la liste en est de suite dressée, Cette quettion est reprise peu après ; conférences avec (e D istrict ; 4 com m issaires sont nom m és (parm i lesquels les C. C. Broissc el Bou­cher d ’Argis) pour com pléter l’enquête et faire un rappo rt duquel il résulte : « i ” Le prem ier inscrit est le f<. Didclet, m em bre fin Conseil. Il fut. dit-on. l’un des zélés chefs du Cpnjiié ne surveillance, dès son origine ; dans m ie séance présidée à la ci- devant cathédrale par le C. Collot-d'Ucr- bois, il accusa le Conseil de laisser les liabitans m anquer de pain . En tout cas. répopd-on, il a manifesté une telle dou- ieiïr d 'avoir été { 'instrum ent des actes tyran­niques inspirés par la loi d u ii) septem bre; il a m is tant d 'em pressem ent a sortir de ce com ité, q u 'il m érite l'indulgence ». En con­séquence. il est passé à l’ordre du jo u r. .La qsibalif»» eot smdcvéo .le le mmai .et un projet d 'arrêté soum is ail Dis. irict V Considérant qu 'il im porte d 'assurer l'exécution des lois du ai germ inal et du- îa floréal an 3“, m ais q u ’il convient d'oj)é- rc r avec prudence et im partialité, il est d it 0 que to u t ciloven qui a u rro ità se plaindre d 'actes arb itraires,ypxatoiresel ijn iun iqups

L a P a s s io nDem ain dim anche, à une heure et demie,

nouvelle audition de la P assion , dans la salle Sain t-Itieu l.

Toutes les p laces son; retenues pour la rep résen tation de dem ain, les o rgan isa­teurs ont même été obligés de refuser des cartes. Aussi ne saurait-on trop îeeom - m auder aux personnes désireuses d assis­te r aux auditions du lundi de P âques et du 26 avril, de vouloir bien se m unir dès à p résen t de cartes d 'eu trée .

A l’O c tro i.Nous ai/prenons que M. Philliert, ancien

employé de .M. Chuquet. est nommé rece­veur de l'octroi de la porte Saiut-R ieql,

LU emploi de préposé auxiliaire est va­can t à l’octroi de Senlis,

S’adresser à M. Dufiuisson, con trô leur du service de l'octroi.

P o u r la r ô le «le ( io u v ie u x .Nous avqns annonce

d’tine école devait prochain .

que Pm augurationavoir lieu dim anche

I ULIIUIU. .M. Huât, président de la com jiagm e dé­

partem entale des transpo rts autom obiles, m et à la disposition du sous-préfet de Seidis et des invités à dette fêle scolaire un de ses coquets autofius- .’ Là voiture sci-a décorée de drapeaux, elle p ren d ra à Senlis ou à la gare de Chantilly le cortège oil ciel.

Le service de (Iouvieux sera assuré paru n e a u t r e v o i lu r e

Ilotts «le S e n lis JMme Séverine se trouvait, d im anche, à

Senlis. Elle a passé la nuit à l’hôtel du 'G ran d -C erfav an t de regagner, par Verbe-

lie , sa villa de P ierrefpnds.

S ig n e s conven tionnels .B. b o n ; s. a . service au x ilia ire ;

i*:C a n to n d e N e u illy -e n -T I ic lle .Dêmorest Ernest, Circs-les-Mello, e.; Bat-

teux Emile, Balagny-sur-Thérain, b.; Ligne- reux Charles, Balagny-sur-Thérain, s. a.; Cro- quelois Améclée, Ully-Saint-Georgcs, b.; Sassi- gneux Alphonse, Neüilly-en-Thelle,b.; Roulette Félix, Balagnv-sur-Thérain, h.; Calvez Paul, Balagny-sur-Thérain, b.; Chary LéopoUl, Tui- seux-le-IIautberger, e.: Despothuis Fernand, Neuillv-en-Thelle, b.; Millet Léon, Foulangues, b.; Dujardin Paul, Chambly, b.; Lobé Auguste. Cires-les-Mello, b.: Arthus Victor, Mesml-St- Denis, b.; Dulôt Isidore, Puiscux-le-Hautber- ger, b. a.; Clignot Vietor, Balagny-sur-Thérain, a.; Gueudelin Léon, Ercuis, b.; Bouvet Gérard, Xeuillv-en-Thelle, b.; Moulin Georges, Cires- les-Mello, b.; Ilallol Louis, Cires-les-Mello, b.; Plichon Olivier, l'Uy-Saint-Georges, a.; Ber- tazzi (îeorges, Boran, b.; Petit Théodore, Ci- res-lcs-Mello, b.; Plocq Emile, Chambly, a. Jumelle Léon, Cires-les-Mello, a.; Hainaut Au­guste, Boran, b.; Dairc Julien, Morangles, b. Pinson Elie, Circs-les-Mello, b.; Le C.am Jean Balagny-sur-Thérain, b.; Bailleux Gaston Neuilly’-en-Thelle, h.; Lefeuvre Bené, (’.ham- blv, b.; Poequet Alfre-l, Balagny-sur-Thérain,a.; Macs Eugène, Ercuis, a. au 20 mai; Cour­tois Emile' Balagny-sur-Thérain, b.;. Maigret Charles, Dieudounc, b.: Bruyer André, Cham blv, b.; Odent Jean, Chambly; a.; Garé Geor n-es, Belle-Eglise, s. a.; Chouquet Didier, Bala­gnv-sur-Thérain, a.; Piequerl Maurice, Ciros les-Mello, b.; Pujolas Emile, Belle-Eglise, b. Petit Eiigèno, F o u lan g u es . b.: Salentin Emile Neuilly-enfrhelle, b.; Labeille Lucien, Veuilly- en-Thelle,| b.; Marquel Georges, Chambly, a.; Péruet Auguste, Boran, b.; Scrbruyus l'harlcs. Circs-les-Mello, b.; Begnicr Maurice, Nouilly- en-Thelle,:a.; Caron Julien, Chambly, b.; Wa- rangol Abel. Chambly, b.; Gaudefroy Maurice Mesnii-Saint-Denis, s. a.; Lcnoir Xavier, Cham­bly, a. au 20 mai; Vollard Séraphin, l'Ilv-St Georges, b.; Levasscur Fyêmîrie, Balagny-sur Thérain, a.; Bocjud Henri, Mcsnil Saint-Donisb.: Chérpnl Louis, Ercuis; Bollé 1-ûuis, l'Uy Samt-Gcorges, b.; Fouquet Ernest, Morangles a.; Francart Léon, Ev-ouis, a.; Mangé Lucien Ercuis, b..; fihardivilliers Henri, Chambly, 1 Le Hotuionnoe Henri, Balagny-sur-Thérain, I: Bouteleux Georges, Cires-les-Mello, b.; Lebrun Tancrède, Cires-les-Mello, b.; DeinontrouiUo Emmanuel, Ully-Saint-Georgcs, b.; Sosson Pierre, Belle-Eglise, Ij.; Baudry Maurice, Cires- les-Mollo, a.; Guudoiroy Georges,Chambly, b.; Levasscur Ernest, Mosnil-St-beuis, b.; Béguin Joseph, Morangles, b.; Fillion Henri, Foulan­gues, a.; Dubois Léon, Cires-les-Mello, b.; Saint-Cyr Marcel, Crouy-cn-Thcllc, b.; Gourlau Maurice, Nouilly-en-Tlielle, b.; Cailloix Euû- lien, Cires-les-Mello,. b.; Crussiévos Louis, Chambly, b.; Macro Alphonse, Freanov-cn- Thelle, h,.; lAepftlhuis Georges, Chambly, b.; Echard Moéi; Erouis, b.; Devinoy Georges. Ci- res-lCn-Mello, b.

A jo u rn é s .Chantrelle Louis, Ully-SaiiU-Georges, s. a.;

Dumont Caipillp, ijaiaguy-siir-Thérain, c.; t’.a* mus lignoré, Boran, b.; Caillac Alexamb'O, Ba-logny.ou»- Thixnxîn, 1»., r Uvui VHiaui-bly, b.; Ticqn Henri, Mesnil-Saint-Denis, e.; ÈèhaKl Albert, Ercuis, b.; Cœurdcroy Henri, Crouy-en-Thelle, e.; Haunon Marcel, Chambly

C a n to n d e P o n t-S a in te -M a x e n e e .. Çhilly AIzire» Pont, b.; Betschart Charies,

Villeneuve-sur-Verberie, ex.; Hass Maurice, Pont, b.; Geoffroy Alfred, Verberie, b.; Diana, Verneuil, e. v.; Van Damme, Villeneuve-sur- Verberie, b.; Havy Gabriel, Fleurines, b.; Her- maa Albert, Villeneuve-sur-Verberie, b.; Cre- veau René, Fleurines, b.; Frayon Alexandre, Pont, b-; Dar Paul, Verberie, b.; Richard Jules, VeAerie, b.; Bouvier Joseph, RuUy, b.; Miroux Aîcidè, Rullv, b.; Dermigny Lucien, Pontpoint, ex.; Decolbée Julien, Roberval, b.; Pagnod Rosiaux-Alexandre, Verberie, b.; Lebon Fran­çois, Pont, b.; Geoffroy Marcel, Verberie, b.; Thiéuard Léon, Verberie, b.; Dumont Victor, Rully, b.; Desseaux Georges, Pont, b.; Pau- pierre Gustave, Pont, b.; Grégoire Gustave, Pont, aj. au 2G mai ; Péchon Georges, Verbe­rie, b.; Landrat André, Verberie, b. a.; Lemoine Paul, Pont, b.; Cardon Louis, Verberie, b.; Nocq Moïse, Verneuil, b.; Lerambert Charles, Pont, b.; Conin Louis, Pont, b.; Dameron Félix, Rully, b.; Fercot Marcel, Verberie, b.; Grand Paul, Verberie, b.; Thierry Maurice, Pont, e. v.; Tack Félix, Verberie, e.; Beuriot Jules, Pont- point, b.; Lefèvrc Gastave, Verberie, b.; Gé­rard Jules, Raray, ex.; Tréhau Agénor, Ver­berie, b. a.; Gourland Joseph, Pontpoint, b.; Dambly Fernand, Verneuil, b.; Levasseur Emile, Villeneuve-sur-Verberie, b.; Brochot Arthur, Fleurines, b.; Malher René, Verneuil, e. v.; Desenlis Gilbert, Roberval, b. a.; Dupressoir Adrien, Roberval, b.; Legrand Félix, Rully, b.; Halov Marcel, Fleurines, e. v.; Compiègne Al­fred,'Verberie, b.; Grignon .Georges, Pont, b.; Lemoine Auguste, Verneuil,' b.; Noblet Robert, Verberie, b.; Corbon Louis, Verberie, e. v.; Lamour Jules, Verberie, a.; Orhon Léon, Ver­berie, b.; Dupuis Paul, Verneuil, a.; Devaux -:ictor, Pont, a.; Desenlis Fernand, Verberie*

Leclerc Ruîlin, Pont, a.;. Geoffroy Louis, Verberie, b.; Ihiénard Léon, Verberie', b.; Le-

-,eur Louis, Pont, b.; But Alfred, Verberie, .; Koch Auguste, Verberie, e.; Duchauffour

Léom, Pont, b.; Bernard René, Verberie, b.; Rayon Victor, Pontpoint, b.; Roisin Jules, Pont, e. v.; Lefèvre Edmond, Pont, b.; Bieseman Georges, Raray, aj. au 26 mai ; Clouet Louis, Verberie, c.; Morelle Eloi, Pont, b.; Séguin Albert, Pontpoint, b.; Quentin Joseph, Saint- Vcast-dc-Longmont, a.; Laurent Emile, Verbe-

. b.; Bréhamel Léon, Verneuil, b.; Dclettra Henri, Verneuil, b,; Lequcux Abel, Roberval, b.; Duchauffour Armand, Pontpoint, b.; Laudc Emile, Rully, b.; Leroy Julien, Pont, a.; Josse- liu Maurice, Verberie, c. v.; Diana Yalenlin, "erneuil, e.

A jo u r n é s .Domart Fernand, Verneuil, e.; Schmidt Xr-

thur, Pont, s. a.; Petit Jean-François, Pon't, e.* Beaufort Gustave, Verberie, b. a*.; I)es<j'hamDscto. } x Dotpuo AxTtXjsttyxjy » CIUCI IG,b.; Didclot Raymond, Pontpoint, e.; Ebel Mar­cel, Verneuil, b.; Lcbcgue Gustave, b. a.; Des- maret Nicolas, Pont, c.; Normand Léon, Ver- ncuil, s. a.

La Familiale de l’Arrondissement de Senlis.

A s s e m b lé e G é n é r a le .( S u ite e t fin ) .

La journée du 8 octobre à Senlis, fui l’acte décisif. Une commission fut décidée où seuls" entreraient des cultivateurs et des ouvriers agricoles pour étudier, en commun, les réfor­mes sociales à faire en faveur de la classe ou­vrière.

La deuxième phase s'achevait : les élémeuts politiques qui avaient grandi se trouvqiemi: chassés de notre «ouvre; une orientation mïti- velle était apportée à mes effort.'.

Pourquoi celte orientation nouvelle ?Parmi les arguments répandus à profusion

contre la Familiale, il eu était uu «pii avait pris une importance capitale et qui la menaçait singulièrement: « Je voulais avec la I'amilialo, disait-on. fermer la bouche aux revendications • ouvrières : tout mon programme social consis­tait eu cet i-mbrigadement des ouvriers pour leur faire espérer beaucoup dans l'avenir, rien dans le présent ».

Vous sentez, Messieurs, le danger que pré­sentait une (elle affirmation. Je tiens à vous dire que j'avais, dans ma première, pensée* vôriolu de partir de la Familiale et de grèfïer sur elle toutes les améliorations possibles : ce plan m'était inspiré par celte réu n io n qu’il fallait d’abord enlrainer les gens aux conces­sions, les rapprocher, et qu’après avoir fait largmiici.l leur devoir de mutualité, proprié- Ud-'os el cultivateurs viendraient naturellement aux autres obligations. Les affirmations men­songères de nos faux démocrates m'avaient arrêté dans l'accomplissement de mon œuvre.

Résolu h aboutir, je changeai mon action et décidai do tracer, de concert avec la commis­sion qui serait nommée, l'ensemble des réfor­mes à obtenir la Familiale devenant, du même coup, la liliale de cette organisation après eu avoir été le point de départ, l’élan généreux qui avait tout mis en avant. Il fallait constituer cette commission.

Ai-je besoin do vous dire que, devant mon attitude, les campagnes de presse se multi­plièrent : Un journal, lo Petit Valois, était spécialement créé pottr-ces basses besognes: je fus attaque du us mon industrie, dans ma fa­mille, dans tout ce qui pouvait m'être cher.

Je me devais à mon œuvre : aussi, je restai impassible, laissant à ceux «pii m’avaient com­pris le soin de défendre les intérêts de la com­mission «tu'on voulait disqualifier à l'avance.

Cependant, toutes les Sociétés d'agrieulVure de l'arrondissement nommèrent, avec u»> <»«- ,ucsacuieni août jo tiens a les remercier, lesdouze délégués cultivateur-;, «pii certes ne

î pouvaient être mieux choisis. ______, ..... | Les scrutins du lrr décembre et du 22 dé-b.; Lehmann Jules, Ercuis, e.; Fauquei Henri, j nombre suivant nommèrent les délégués ou-

" 4 ‘ ’ " * vriers, et il me sera permis, de proclamer bien1 u,' ‘*' la façon admirable dont la classe ouvrière

r .7 , w cdo do notre arrondissement lit son devoir^llVcil, .ÿeiûUy-'cn-Thelle, s. a. 1 en nous désignant douze hommes à tous les

Chambly, e.; PlaaqeUù André, Ralauay-sur- i vriers Théruip*/s. ^.}Cûvliery Honc,Nèuiliy-ci»Tlieile, | haut 1 p.; Railly 'Louis, Cm u >-cn-Thelle, l>4 Slopiu • agricc

(1) F euilleton du CO U R H IE R de L O IS E

LE TESTAMENT VOLÉPAR

H e n r i U F .H E S S K

P R O L O G U E

I

l a c a r t o m a n c i e n n e

L a tire u s e de c a r te s a lig n a ses ta ro ts en d em i cercle , «u r u n e p e tite ta b le r e ­c o u v e r te en p e lu ch e d ’u n e su p e rb e cou-

IeUA cette ép o q u e - en 1 8 6 4 - s o n n o m é ta i t in s c r it c h aq u e jo u r , en g ro sse s le t tre s , à q u a tr iè m e p a g e des g ra n d s jo u rn a u x d u h ig h life :

LOISA DESORMEAUXLA PREMIÈRE CARTOMANCIENNE DU TEMPSL ’A c c n i- p a r les C a rte s ou p a r les

L ig n e s de la M a m ;X e u l’h o n n e u r de p éd ire

l’a v e n ir à d es tê te s co u ro n n é es , e tc , e tc . C O N S U L T A T IO N S A D O M IC IL E

DISCRÉTION ASSURÉE - BÉUSSITE CERTAINEg ie r , P la ce V endôm e , P a r is .

E n t ré e p a r tic u liè re .

E lle d o n n a it ses c o n su lta tio n s à dom ic ile ou d a n s so n c ab in e t, a u g é de s e s c lien tes : le s fem m es, e n effet, c o n s ­t i tu a ie n t s u r to u t ses h ab itu é e s .

L e s g ra n d e s d a m e s, t itr é e s o u n o n ; le s t éto iles » des th é â tre s ; le s filles à la m o d e la co n su lta ie n t.

— T o u jo u rs d u p iq u e , c’e s t u n e ca­la m ité ! E n c o re ... le v a le t, la d a m e à p ré s e n t ! V o u s avez u n je u d é p lo ra b le !

L a scène se p a s s a it d a n s u n b o u d o ir t r è s r ic h e m e n t m eub lé de l’hô te l a p p a r ­te n a n t a u g é n é ra l R o d rig u e M on tfer- r a n d e t s itu é à la lis iè re d u p a rc M o n ­ceau . ,, .. ,

L a c lien te de la D e so rm ea u x é ta it la g é n é ra le M o n tfe rra n d , u n e fem m e de v n g t a n s e n v iro n ; u n e a d o ra b le c ré a ­tu re , g ra n d e , sv e lte , é lancée.

S u iv a n t la m ode de 1 ép o q u e , elle p o r ta i t u n e ro b e de c h a m b re à lo n g u e t ra în e , e n so ie b la n ch e , o rn ée de p e lu ­che e t de ru b a n de s a tin : c o q u e t v ê te ­m e n t d’a p p a r te m e n t a u ss i a ju s te que p o ss ib le p o u r ne p a s g ê n er le s m o u v e -

A ss ise s u r u n e ch a ise , d a n s u n e p o se a la n g u ie , elle m o n tr a i t l e x tre m ite de ses ia m b e s d’u n e in c o m p a ra b le finesse c o u v e r te de b a s de so ie n o irs , à co in s à fa ce tte s d’a rg e n t, e t jo l is p ie d s c h a u s ­sé s de m u le s en s a tin n o ir , a u x ta lo n s L o u is X V .

S es b e au x b ra s p o te les, a la p e a u fine , ém e rg e a ie n t d 'u n flo t de r ic h e s d e n te lle s , , __

S i ro b e , déco lletée p a r d e v an t, en p o in te , la is sa it v o ir , so u s le s d en te lles , sa g o rg e b ien p lacée , b la n ch e , a u x de- ljç a tes ro n d e u rs .

D e u x d ia m a n ts é tin ce la ie n t à ses o re ille s . ,

S a c h ev e lu re d ’u n b lo n l fauve é ta it ré u n ie en u n e n a t te lo n g u e , te rm in ée p a r u n n œ u d de s a tin b lanc a tta c h é avec u n e bo u c le o rn ée de tro is g ro sse s p e rle s .

E n f in ses y e u x , n o irs , b rilh u en t so u s l 'a r c t rè s p u r de ses so u rc ils lin s, d o rés e t so y eu x .

— V ous a p p re n d re z a u jo u rd h u i m o ­rne u n e n o u v e lle qu i v o u s cau se 'a a la fo is u n e g ra n d e jo ie e t u n c h ag r in p ro to n d !

— E t cette n o u v e lle A tte n d e z !... Il y a u n je u n e h o m ­

m e b ru n d a n s v o tre je u ; il v o u s a im e e t v o u s 1 a im ez ! R eg a rd ez : v o u s ê tes la d a m e de c œ u r ; p rè s de v o u s se tro u v e le v a le t de trê lle , c 'e^ t le je u n e h o m m e b ru n . C 'e s t à so n su ;e t que v o u s re cev rez u n e n o u v e lle ! Q u e lq u e ch o se , q u e lq u 'u n , je ne s a u ra is d ire au ju s te , v o u s sép a re de lui ; m a is le jeu n e h o m m e fa it to u t ce q u ’il p e u t p o u r p a s s e r o u tre ; l’a s de trè fle , bon cela : c’e st la v ic to ire : L e je u n e ho m m e ré u s s ira !

— A p rè s Y— D iab le ! d iab le ! v o ilà q u e ça se

g â te !— Q u ’y a -t- i l Y Il y a u n h o m m e q u i veille s u r

v o u s : u n v ie illa rd ; v o y ez -v o u s le ro i de c œ u r Y O h '. .c o m m e il e s t ja lo u x ! L u i a u ss i il vous a im e.

— A p rè s , ap rès '.'_ T ro p de p iq u e s , t ro p de p iq u es I.

Ca se g â te de p lu s en p lu s ! U n , deux , (ro is , q u a tre , c in q : u n e re q e o n tre .

— U n e re n c o n tre ?■ — U n duel il m e sem b le ...

— Q ue d ite s -v o u s ï— U n d.iol qui a u ra lieu e n tre le

je u n e h o m m e et le v ie illa rd !• — E t p u is ?

— U ne, deu x , tro is , q u a tre , c in q ; qu 'est-ce que ça v eu t d ire ? J y su is, u n e n a issa n ce , c 'e st clai ! il v a u n e n fa n t d a n s v o tre je u . A tten d ez , ça se co m p liq u e ; u n e , d eu x , tro is , q u a tre , c in q ... D iab le !

— Q u e s 'g n ilie :L a c a r to m a n c ie n n e se tu t .— E h b ;en Y— J e ne p e u x p a s d ire le re s te .— P o u rq u o i ■;— C 'e st q u e ... P a r ie z ! Q u e v o y e z -v o u s en co re Y— T ro is m o>ts !L a g én éra le fr isso n n a . M ais ... l’en fa n t Y d em an d a-t elle.

V o u s m ’avez d it q u ’il y a v a it u n e n fa n t d a n s m o n je u Y

— A tte n d ez ! P o u r c ela , il f a u t que je fa sse le g ra n d je u . C 'e st c in q lou is en p lu s ! 5

L a je u n e fem m e se leva e t m a rc h a v e rs u n jo li m eu b le de b o is de ro se o rn é de cu iv re a jo u ré s co m m e la d e n ­te lle d 'u n e m a r ié e ; elle en t i r a une b o u rse n v g n o n n e en f ilag ran e d ’o r d a n s laquelle elle p r i t c in q lou is q u ’elle re m it à la d e v in e re sse .

— F a ite s -m o i lé g ra n d je u ! - d it ebe. L o ïsa a b a t t i t ’es ipièces d 'o r , d 'u n

seu l co u p , d a n s sa m a in g au ch e , p a r u n m o u v e m e n t qu i ;devait lui ( tp e h a ­b itu e l, et em p o ch a la so m m e pêle m êle. P u is elle a lig n a ses ta ro ts p o u r la

deux ièm e fois, m a is avec des c o m p li­ca tio n s p a rtic u liè re s .

— A h ! je vo is la p e tite fille !... R e ­g a rdez, la d am e de c a r re a u , c 'e st elle. O h ! la p a u v re p e tite 1

— Q u ’y a-t il donc Y. P rè s d 'e lle , je vo is u n so ld a t.

C o n n a issez -v o u s des p a 3T ,an sï— N o n . P o u r q u o i Y— La p e tite fil'e est avec des p a y sa n s .

C om m e elle so u ffrira , la m ig n o n n e !— E lle so u ffrira Y— J e ne v o is p lu s le so ld a t , u n b ra v e

h o m m e ; l’e n fa n t e s t avec u n p a y sa n . P a u v re p e tite !

— A p rè s Y... A p rè s Y— A tten d ez ! T o u t s ’é c la irc it ; il y a

u n a u tre e n fa n t, je le v o is d is tin c te ­m e n t. C om m e il défend la p e tite ! A h ! vo ilà la m e illeu re c a r te du je u , elle s o r t cette fo is en co re : l 'a s de trèfle.

< L es c a r te s so n t t rè s b ien p lacées , la p e tite a u ra f in a lem e n t la v ic to ire . V oyez, l’as de trè fle e n tre le v a le t e t la d a m e de c a r re a u , e t l’e s de p iq u e p rè s du ro i de p iq u e : le ro i de p iq u e , c’est le p a y sa n ; l’a s de p iq u e in d iq u e c la ire ­m e n t q u e le p a y sa n m o u rra e t il e s t p lacé de te lle s o rte que je p u is a ffirm e r q u e ce s e ra de m o r t v io len te .

M ad am e M o n tfe rra n d é ta it to u te frém issan te .

S o n c œ u r b a t ta i t à c o u p s red o u b lé s,— L a issez -m o i 1 d it elle d ’u n e vo ix

v ib ra n te . J e veu jt ô trç sçule .E lle s o n n a sa fem m e de c h a m b re q u i

p a r u t au ss itô t.— M ad am e a so n n é Y—• R e c o n d u irez m a d em o ise lle I

- F a u d r a - t - i l re v e n ir Y d e m an d a L o ïsa ,

— J e vous fe ra i a p p e le r .

I l «

L E L A Q U A IS

L a g é n éra le , re s té e seu le , to m b a s u r sa ch a ise lo n g u e e t é c la ta e n san g lo ts .

P e n d a n t u n e h e u re a u m o in s , elle re s ta pensive .

P a rfo is elle tre s sa illit .E n f in elle se c a lm a , e ssu 3*a ses yeux ..»

e t so u p ira p ro fo n d é m e n t.U n e d é te n te s’o p é ra it en elle.E lle s’é tira ; p u is , se le v a n t, elle a lla

s 'a cc o u d e r a la fen ê tre e t re g a rd a d is­t ra i te m e n t d a n s le p a rc .

L a ra iso n a v a i t r e p r is ses d ro its ; la je u n e fem m e s o u r it en fin .

— J e su is foTe ! d it-e lle .C ep en d a n t, en l’é ta t o ù elle é ta it,

elle tre s sa illit en e n te n d a n t h e u r te r à la po te .

— E n tre z ! c ria -t-e lle .O r, ce fu t u n v a le t qu i p a r u t ; Un

g ra n d d ia b le m a ig re e t sec com m .ê une b ra n c h e de bo is m o rt ; u n in d iv id u à m in e ch afo u in e , a u te in t "blafard, et d o n t les y e u x p e tits , m a lic ie u x , é ta ien t to u jo u r s vo ilés à d e m i so u s de h a u te s p a u p iè re s d ’u n ro u g e de b riq u e .

Il p o r ta i t c o rre c te m e n t u n e liv rée é lég an te : h o b it b leu à b o u to n s d*cr e t à p a re m e n ts ro u g e s .

* (A suiore).

' v « î J S 1piod«râ lu -

Evi«iuc.-qu'on IJlUSSiîly vi«Je c o l leurs T

vunnilp a n ie | le u r s ! c re d il de V il eu le m and s o n t i

bal a | m ie ( d o n t!

t e u r jpercii

11Là C u l 1*1

S ecoI a e u l toi 1*6

Page 3: Les Elections Municipalesbmsenlis.com/data/pdf/js/1908/bms_js_1908_04_12_MRC.pdf · 2014-02-27 · que sorte, de plaider pour les idées et pour eux-m êm es les circonstances at

L E C O U R R IE R D E L ’O IS E

I C anton d e Pont-S ain te-ilaxence*Chilly Alzire, Pont, b.; Betschart Charles,

|Villeneuve-sur-Yerberie, ex.; Hass Maurice, f |P o n t, b.; Geoffroy Alfred, Verberie, b.; Diana, ■Yerneui!, e. v.; Van Damme, Villeneuve-sur-;■ Verberie, b.; Havy Gabriel, Fleurines, b.; Her- Inian Albert, Villeneuve-sur-Verberie, b.; Cre- ; ■veau René, Fleurines, b.; Frayon Alexandre, ■Pont, b.; Dar Paul, Verberie, b.; Richard Jules, ■Verberie, b.; Bouvier Joseph, Rully, b.; Miroux lAlcide, Rully, b.; Dermigny Lucien, Pontpoint, > ■ex.; Dccolbée Julien, Roberval, b.; Pagnod llîosiaux-Alexandre, Verberie, b.; Lebon Fran- I» ois, Pont, b.; Geoffroy Marcel, Verberie, b.;* ri'hiéuard Léon, Verberie, b.; Dumont Victor, ■Rully, b.; Desseaux Georges, Pont, b.; Pau- Ipierre Gustave, Pont, b.; Grégoire Gustave,■ Pont, aj. au 20 mai ; Péchon Georges, Yerbe- I rte, b.; Landrat André, Verberie, b. a.; Lemoine ■Paul, Pont, b.; Cardon Louis, Verberie, b.; [Nocq Moïse, Verneuil, b.; Lerambert Charles, fpon t, b.; Conin Louis, Pont, b.; Dameron Félix,■ Rully, b.; Fereot Marcel, Verberie, b.; Grand ' ■Paul, Verberiè, b.; Thierry Maurice, Pont, e. v.;■ Tack Félix, Verberie, c .;rBeuriot Jules, Pont- • |j« )in l, b.; Lefèvrc Gastave, Verberie, b.; Gé-■ rarcl Jules, Raray, ex.; Tréhau Agénor, Vcr- [berie, b. a.; Gourland Joseph, Pontpoint, b.; iDambly Fernand, Verneuil,b.; LevasseurEmile,■ villeneuvc-sur-Verberie, b.; Brochot Arthur,■ Fleurines, b.; Malher René, Verneuil, e. v.; ■Desenlis Gilbert, Hoberval, b. a.; Dupressoir ■Adrien, Roberval, b.; Legrand Félix, Rully, b.;■ llaloy Marcel, Fleurines, e. v.; Compiègnè Al- ■fred,*Verberie, b.; Grignon .Georges, Pont, b.;| Lemoine Auguste, Verneuilj b.; A’oblet Robert, ■Verberie, b.; Corbon Louis, Verberie, e. v.;■ Lamour Jules, Verberie, a.; Orhon Léon, Ver- Ile rie, b:; Dupuis Paul, Verneuil, a.; Devaux ■Victor, Pont, a.; Desenlis Fernand, Verberie* |l>.; l.eclerc Ruflin, Pont, a.; Geoffroy Louis, fverberic, I».; Ihiénard Léon, Verberie, b.; Le- Iv s .cur Louis, Pont, b.; Rut Alfred, Verberie, 11».: Ivoch Auguste, Verberie, e.; Duchauffour |Léon, Pont, b.; Bernard René, Verberie, b.; ■ftayon Victor, PoutpoinL, b.; Roisin Jules, Pont, le . v.; Lefèvre Edmond, Pont, b.; Bieseman ■Georges. Raray, aj. au 2ti mai ; Clouet Louis, Ivvrlierie, e.; Morelle Eloi, Pont, b.; Séguin ■.Vlbert, Pontpoint, b.; Quentin Joseph, Saint- ■Vr.ast-dc-Lbngmont, a.; Laurent Emile, Verbe- B*ic, 1».; Bréhamel Léon, Verneuil, b.; Dclettra p ïen ri, Verneuil, I»,; Lequèux Abel, Roberval, H-.; Duchauffour Armand, Pontpoint, b.; Laude

Emile, Rully, b.; Leroy Julien, Pont, a.; Josse- liü Maurice, Verberie, c. v.; Diana Valenlin, ^'crneuil, c.

A jo u r n é s .Domart Fernand, Verneuil, e.; Schmidt X r-

Ihu r, Pont, s. a.; Petit Jean-François, Pon.'t, e.* p rau fo rt Gustave, Verberie, b. a.; Des'j'hamps, i 'o .r.u„ wttw.iwj •tciucne, p.; Didelot Raymond, Pontpoint, e.; Ebel Mar­te l , Verneuil, b.; Lebcgue Gustave, b. a.; Des- piarct Nicolas, Pont, c.; Normand Léon, Ver­neuil, s . a.

La Familiale de

A s se m b lé e G é n é r a le .( S u ite e t fin ) .

La journée du 8 octobre à Senlis, fut Pacte |d éc is if . l'ne commission fut décidée où seuls

en trera ien t des cultivateurs et des ouvriers Jag rieo les pour étudier, en commun, les ré (br­im es sociales à faire en faveur dé la classe o u - . Iv iïè re .

La deuxième phase s'achevait : les élémeufs |politique* qui avaient grandi se trouvmeatl

Liasses de notre <ouvre; une orientation m5u- |v d le était apportée à mes cf,ort>.

Pourquoi eette'orientation nouvelle ?Parmi les arguments répandus à profusions

■contre la Familiale, il eu était un î/ii avait pris 1 1 ne importance capitale et qui la menaçait

gulièreinent : « Je voulais avec la Familialô, Idisail-oe. fermer la bouche aux revendications ouvrières : J«nit mon programme social cojisis-

1 tait en cet embrigadement des ouvriers pour | i uir faire espérer beaucoup dans l'avenir, rien

i ans le présent ».Vous sentez, Messieurs, le danger que p ré-

entait nue Id le affirmation. Je tiens à vous I l'ire que j'avais, dans ma première, pensée* j , . .~ulu de partir de la Familiale et de greffer

sur elle toutes les améliorations possibles : ce plan m'était inspiré par cette réflexion qu’il

I iallait d'abord entraîner les gèns aux eonees- ! f ions, les rapprocher, et qu’après avoir fait | largiuiici t leur devoir de mutualité, proprié-

l i v s et cultivateurs viendraient naturellement ~ : ux autres obligations. Les allirmations men-

ougères de nos faux démocrates m'avaient : rrèlé dans Vaceomjdissement de mon couvre*

Résr-Ut à aboutir, je changeai mon action e t décidai de tracer, de concert avec la commis­sion oui serait nommée, l'ensemble des réfor-

I i ics à obtenir la Familiale devenant, du môme > oup, la liliale de cette organisation après en.; voir été le point de départ, l’élan généreux qui avait tout nu* en avant. Il fallait constituer-

et te commission.\i-p-. besoin de vous dire que, devant mon

dtinule, les campagnes de presse se multi- .‘lièrent : l ï i journal, lo Petit Valois, était spécialement créé pour ces basses besognesr .e fus attaque dans mon industrie, dans ma Ca­ndie, dans tout ce qui pouvait m’ètré cher.

h u»c (ievais à mon oiuvrê : aussi, je restai, ^passible, laissant à ceux qui m’avaient com- >ris le soin de défendre les intérêts de la com­

mission qu’on voulait disqualitier a l’avance* dépendant, toutes les .Sociétés d'agrieulVtire

<ie l'arrondissement îmmmèrenL avec un *»>«_: .csaciiicni dont je tiens a les remercier, les douze délégués cultivateur*;, qui eertes ne couvaient être mieux choisis,

te s Scrutins du Ier décembre et du 22 dé­ombre suivant nommèrent les délégués ou- riers, et il me sera permis, de proclamer bien iaul la façon admirable dont la classe ouvrière -grico.UMU' notre arrondissement lit son devoir n nous désignant douze hommes à tous les

points de vue r e m ^ f ^ ”e d is r ie n d etrop, l’avenir P ^ I t ” nstituée.-

L a c o m m is s io n é t a i t ^ c 6 lé s le 5

— F a u d r a - t - i l r e v e n i r ’? d e m a n d a ù o îsa .

—-J e v o u s fe ra i a p p e le r .

I l

L E L A Q U A IS

L a g én é ra le , r e s té e seu le , to m b a s u r sa c h a ise lo n g u e e t é c la ta e n s a n g lo ts .

P e n d a n t u n e h e u re a u m o in s , e lle r e s ta p en siv e .

P a rfo is elle tre s sa illit .E n f irre lle s e c a lm a , e s s u y a ses y e u x . . .

; t s o u p ira p ro fo n d é m e n t. >U n e d é te n te s’o p é ra it en elle.E lle s 'é t i ra ; p u is , se le v a n t, elle a l la

s 'a c c o u d e r à la fe n ê tre e t re g a rd a d is ­t ra i te m e n t d a n s le p a rc .

L a ra is o n a v a i t r e p r is ses d ro it s ; l a e u n e fem m e s o u r i t en fin .

— J e su is fo ’le ! d it-e lle .C e p e n d a n t, en l 'é ta t o ù elle é ta i t ,

elle t r e s s a il l i t en e n te n d a n t h e u r te r à la po te .

— E n tre z ! c ria -t-e lle .O r , ce f u t u n v a le t qu i p a r u t , u n

g ran d d iab le m a ig re e t sec cornm .e u n e b ra n c h e , de b o is m o r t ; u n in d iv id u à n in e ch a fo u in e , a u te in t b la fa rd , e t fo n t le s y e u x p e ti ts , m a lic ie u x , é ta ie n t to u jo u r s v o ilé s à d e m i s o u s de h a u te s p a u p iè re s d ’u n ro u g e de b riq u e .

Il p o r ta i t c o rre c te m e n t u n e l iv r é e d é g a n te ; h o b it b le u à b o u to n s d 'e r e t à p a re m e n ts ro u g e s .

(A su ivre).

La comuu==.vj- . tous cales le5 re - Nos ^ o rte alWÈtt® g,émutj ,cs p ^ . ^ r s

gards. La .,es explications.publiques réclamèrent de wPBt de , Répu.

M' ’• président actuel, deman-. lilique, M. Falneres, p n dtals pjUadaient des rense g Messieurs, monl'homme iso e du d™ celui que j(J ne noUdevoir j e plus ™ S rfa’ire aux prescriptions,0U , rnrfairfi «*... r -s négliger san s jo rf t ^ répondre _à;Çous

re'r à 1l'appu. des.fort:cns AnUsVunWtpolitique, croyez-sal.le, et cela non dans un nu P ^ notre en(re_le bien, mais poui le suie prise. . , ,. niitraenceau, Ruau, Vi­

de ma conscience, £ elt“ lr œ m ? e ' qui naissait

Les visiles à MM. Clémenceau^‘ ““-^ ^pporté là encore la fran-

ffu re n t la su ite normale de" " f, rai Messieurs, apporté là ecliise que j'ai g venus "de tous les ministres “ des voutiquef mais décidés af Z f f e d i T : A s m inistres m o n t eom-

pris, ils m'ont approuve, i le conduiteP Aussi, Messieurs, grâce d | a i a .ss .pd lou tesde votre commission; chacun sa façonles brumes, et en laisst»“ é à nos travauxde penser, nous a v o n s ^ ^ qui a u r ï sur les

“lîvrfeiï ap'icolés .une inlluence logique etconsidérable. u que nous l’avions

Mais la commission U . U .4 qu,-une y,e ré.constituée ne po jent manqué de la u -caire. Les f S e n s e W e . E llen ’ava.ttorité morale qm est iud‘sPouvait espérer trou- aucunc vie le0ale ® ' ipes h ses travaux,

les ressources ne ces et des res-s taut Utï» it. Znnnuft SUr-ver

Or. il noussourcesabondanteSjCar à notre époque sur-tout rien ne se fait a \ ^ ^ d p,.endre vie,

M. Ruau ,fnf sl0Lu°sni'égidc d’une des lois

ï S m e l b a s f q f n ’est pas la moins impor-

lante' xiP«ieurs, qu’aujourd’hui, nousDe S° l i ùanl l’arrondissement de Senlisune

rfnr!rale de tous les propriétaires,

“ A u to u rs de la ^ u n io n , 27 m em bres nartie inan ts (21 hom m es et 6 tem ines) ses o t fm U nscrire , ce qui a ^ u re ^ d è s m ain-fpnant le succès de la iu ttire so u e ie

î t s ’ystèm e « A ssurance m alad.e » a été

adLesf cotisations nm nsuelles son t de ii f r .nnur les hom m e et 0 fr . 75 pour les fem ­mes Les indem nités jou rna liè res en casde m aladie sont de 2 f. ProurJ e s '1ii™I? e1S0rs de 75 pour les fem m es. Ces dern ières, lors des couches ont dro it à une a*10.0^ 1? " de 10 fr . L’allocution a ttribuée à la famille en cas de décès et égalem ent de 10 ir .

Ont été nom m és m em bres du bureau provisoire. .r P ré sid en t : M. B arré Rem i. .

V ice -P résiden t : M. D um ont Antoine. Secré ta ire - Trésorier : M. Dubreuil

k C ontrôleurs : MM. D elassalle P ie rre , T assart A uguste et M inard François.

C h a m b l y . - S oirée. - D im anche 18 avril 1908, à h u it h eu res précises, une- grande soirée théâ tra le e t m usicale sera offerte p a r la fan fare de Chambly (chef M. Combefie) à ses m em bres >wn0™ r ds,avec

la ^ a r d e U é^ifi)licafne e t d ’a rtis tes des

théM T c e r m t i n , : bary ton d ' O j g r ^ i ;r e ­tenu p a r Mi. N ell, lau réa t du Conserva- to ire.

PROGRAMMEPREMIÈRE PARTIE

allegro (Bourgeois), par la

cultivateurs et ouvriers pour ConseüCette AsssOTiation gr t o é e d(j tr?ls

d'administration et po commis-annéestous les * « « « sociales., sion d Etude et_ de . vienj pune des liliales de

Notre Familiale: devient^ u ainsi un toutl’Association et “ us 01|Solide qui empêchera harmonieux, un „np nrp.mièrp.'Upou“ donner àcette association son ampleur,nour expliquer à tous son but précis, des con férences vont être faites dans toutes les com­munes de l’arrondissement. . ____

Dans ces conférences on fera de la Pr°pa" ,'andc pour l’Association et la Familiale , on développera l’une et l’autre en même temps et, nhis encore, nous réunirons, près des patrons Su des ouvriers, tous les renseignemen s, tons fes détails indispensables pour assurer les pre­mières réformes, les œuvres sociales qui au- ront pour résultantes d’aeerottre e bonheur de m te la nain d’œuvre.agricole, de celte mam Ifuîuvro que nous aimons et dont nous nous occupons quoiqu'on puissent dire les dema- gogues Les ambitieux en mat d’un siège poli-

‘'T v o u s devais, Messieurs, cet historique, n est uct il CM ‘oule l’expression de la

VéEt j'ai la conviction intime que maintenant ,.o,,s avez compris pour pioi il à pu vous pa- ,«>îtpD Messieurs, que nous nous ôtions arrêtés. C’était pour garantir.ee que nous avions acqu, > ^ ? éclairer la route et en jalonner lespour mieux eclairer la points principaux.

Eunaintenanfi Messieurs, tous en avant pour le ulus grand bien de nbtre agriculture et de notre uiain d’œuvre agricole.

Salué par une salve d’applaudissem ents ce discours paru t faire une im pression nrofonde su r les auditeurs.

M Bonainy tréso rie r de la .Société p rit ensuite la parole et donna lecture d une SlS ÎR on d l eaisee lout à fad <

Les comptes approuvas, M- œ 1 se le v a â nouveau et déclare ij.up )'“ relar^ dans la rem ise des liyrets de caisse du I S d e îro v ieu t des rouages bOmphqu s d ^ la mélhode employée a 1.9 is d a i .bureaux com pétents. _

Il examifit'i en^uitu lu . 011 s i *créer des caisses de iecours-m aladie ■nous ob jecte dit-il dans les com m unesOù n o m m il* rendons <p< d e.r,s(e ,„ j„ Pes, caisses sentblabLca ; aussi no tre u n i- c fu sio n est-elle t!c Ùtisscr rjaon l a p jr - sen t déco te cette 'p M > o n ,r n n t>jmem<t les ouvriers ù en trer dans t , s m u tu e lle s m a la d ie s d é jà eréeles. Nos lecteurs ont pu voir dans le discours publié plus haut ;ue .M. de Cornois y tra ita it d u n

velhi organisation dont |a la rm lia le seittit

. Le Coquet, Fanfare

La Perte du Hameau, par M. Bonnelli.3. Ça m’fait rêver d'amour et Rémy,

Leroux.par M.

i Fantaisie pour violon (X...) par M. Chauvet. 5*. patrouille d’amour, Madame Chrysanthème,

nar M. Berthal. ^M. Germain dans son repertoire opéra-co­

mique

les fam illes, avec le concours- de^M. De- resm es, ex-pensionnaire de la^ Comeaie F rançaise ; Mlle Louise Ç a s te lfc ra h- l’Odéon ; Jane M arnay, d u théâ tre & irah B ernard ; Renée Dormay, du théâ tre An toine ; Mme Laporte ; M. S e r v o t . e d a très a rtis tes des principaux théâti es deP aris . Au program m e d,euji .clief®"f, avec

-du m aître : O n ne badine pas l 'a m o u r , comédie en tro is actes, ei l l n e f a u t j u r e r dé r ien , com édie égalem ent en tro is actes. Nous ne doutons pas q

J e public creillois ne réserve à c e ta ttia y a n t program m e le succès qu’il m érite .

— Cours DE FEU SUR LA VOIE- Yerini R inardot, m archand am bulan - sans dom icile fixe, à^é de 17 an® d ’m ercredi soir essayait F aubourg-de-Parisun revolver qu’il venait d acheté :-nn tra inconnu, a é té l’objet d’une double con tra­vention pour coup de feu su r la voie pu ­blique et po rt d arm e prohibée , le revol ver a en outre été saisi.

Son patron Jean R ubini, m archand^am ­bulan t, dem euran t à P a n s , qui é ta it întev .venu su r ces en trefaits s est vu dresser une contravention i la police du roulage pou r défaut de p laque à sa voiture.

— D o n s . — M. Crouzet, dem eurant i Creil, a rem is 100 fr . au m a i r e de la ville potfr ê tre distribués p a r moitié en tre le B ureau de B ienfaisance et la Cantine sco­la ire . Mme veuve Poulain , 41 ocoasl° " ^ m ariage de sa fille, a égalem ent relR 's 20 francs pour le B ureau de B ienfaisance. Au nom des pauvres, m erci aux donateurs.

— S o c iét é P h il a n t h r o piq u e . d es O u­v r ie r s d es F o rg es de C r e il . — Cette So­ciété a conquis les sym pathies non seuie: m ent de la presse toute en tière , m ais aussi des nom breuses personnes, qui, sans com pter, p rê ten t leu r concours désinté­ressé p ou r la réussite de la tom bola dont l’objet principal est hum anitaire.

C’est ainsi que nous voyons, parm i les nombreux lots offerts : un magnifique ser­vice de table, offert par M. Oaillard, dé-

un service de toilette (brosserie

nue M- de Cornois y tra ita it d u n e nou­velle organisation dont la Fam iliale seyait une des principales filiales. A ous a llons, d it il liusser dans les co m m unes a h n d ’exposer la n o u c e lk o rgan isa tion qu est TA ssocia tion G énéra le d ’E tu d es e t de P récouance sociales. . ,

Parian t des retraitéSj M. de Çornois dé- , .imp nue celle question e s t . tr è s délicat» ■vais ;... ponvu'is. résiste r au plaisir de re - pioduire une partis'Ue-so» im provisation ù. (w su jet ;

Evuletament je ne nie pas qu’on s'oecupeUt*.s l u i r a l t e * . j e U i ia l u iC m c p l u s , j e . d . i a inu'on fait tout pour ahoutii', mais le temps passe. Aussi j’estime qu'il faut pousser les ou- vrie.s et patrons ù entrai’ dans notre Mutuelle, Je comprends fort bien l'objection des culti\a- teurs qui, si la passe seront doublement impo­sés : pa*' eux-mêmes et par la loi, ainsi que celle des ouvriers qui diraient « A quoi bon me faire une relraite puisque l Etat doit m en ser­vir une. »> Je l'ai déjà dit et je le repète : nous verrous alors à agir, mais ,ce seront toujours des résultats acquis. , .

Il v a même une chose qui m a saute aux veux* : il fut un moment donné, question que l’on ferait des retraites à tous, sauf à l’ouvrier agricole. Cette anomalie a été tranchee jus­qu’à un certain point.

A près quelques paroles de M, F leuran t, M cie Cornois rem ercie les assistan te e t la réunion est levée à q u a tre heures e t derme,

P . Boxniol.

Musique militaire, marche des S^s-Soucis, duos, par Mme Laure Jan e et M. Manus,

Fleurdtt.'L'VMi.vOaf -------M. Leroux.

DEUXIÈME PARTIE

10. Fantaisie sur Salommbo (Reyér), par la Fanfare.

11. M. Leroux dans ses créations.12. Deux duos pour violon (Ch. de Bériot), par

M. G. Gauaefroy.13. Victime de l’Amour, par M. Bonnelh.

Les noces de J ea n n e tte Opéra-Comique en un acte

Jean, M. Fermain ; Jeannette, Mme Berthal ; Pierre, Mme Laure Yanc.

Entre la première et la deuxième partie : Entr’acte : 10 minutes.

NOTA.— Pour les places-supplémentaires, s'adresser chez M. Dufossê, secrétaire de la fanfare. a

L iste électorale. — La liste électorale de cette com m une close le 31 m ars dern ier, com pte cétte année 528 électeurs au lieu de 507, soit une augm entation de 21.

C h a n t i l l y . - L a F r a t e r n e l l e . - La com pagnie J arc la F ra te rn e lle de Chan­tilly, a procédé dern ièrem ent au tirage de

1 0 \p rè s qne heure et demie de tir le vola­tile est tom bé sous la flèche du chevalier Châtelain A ., qui fu t proclam é roi pour 1908-1999. . .

Ont été nommé : c a p ita in e , M. L h ino t, lie u te n a n t. M. Noë Em ile ; so u s-lieu te ­n a n t, *M- k a r e h e r ; trésorier, M. Bâton père ; secréta ire et ro i , M. Châtelain A.

— 1 e ÜÉrùT de R e m o n t e . - La com ­mission du dépôt de rem onte p a s s e r a i cfiantillv et opérera , près de la gare, après-dcuiain i l avril.. Les propriétaires de haras qui voudraient les lairp v isiter (émit ‘jfi à se p résen ter- devant la com-missiou. j

— S u ites d’un a cc id en t . — Nous avons elaté en son tem ps, l accident survenu

le iii ianvier 1998, su r la ligne du chem in de fe r du Nord, en tre la gare de Chantilly e t le canal de la P anardfèra , au cours duquel Sim one R rabant, qui se trouvait assise su r sa m ère dans un com partim ent de 3" classe, avait été tuée en tombait su r la voie, la portière mal ferm ée s é tan touverte sons |e choc. . 1’ .

L ’instruction puyerte v ien t d aboutir au renvoi devant le tribunal correctionnel de Senlis des nom m ées (joy, sous chef de e a re, A llard, v isiteur, Semildamg.. conduc­teur, e t Dem aism an, garde: fre in , sous j’inculpation d hoinicide par im prudence.

— ’FaÉATRE. — Dim anche prochain 12 couran t, à B h . 1/2 so ir, au .T béâ tre de la Ville, grande soirée organisée par Rolian B rpcüs’P ed ro ._____________ , „ r £ e R oi

tine),; offërt"par M. Dupont, séna teu r ; en­fin d’au tres jo lis .lots égalem ent son t of­fe rts p a r les conseillers d’arrond issem ent, conseillers m unicipaux et aussi p a r des m utualistes qui ne se départissen t pas de leu r rô le en se m on tran t généreux pour

^4,VcfesSûucBit ttté S i h r° piqlie à aSS“ re rLes lots sont exposés aux v itrines de

l’Im prim erie Nouvelle, avenue de la Gare.Disons, pour te rm iner, qu’un concert

au ra lieu le jo u r du tirage de la tom bola, le 19 avril, salle de l’Hôtel de F landre , à deux heures, e t que deux billets donneron t d ro it à l’en trée g ra tu ite de ce concert.

I nsultes et Outrages aux .Agents. —Les agents Jouve e t Seillon, qui é ta ien t de service jeudi soir, ayan t en tendu vers 11 h. 20 des individus se d isputer dans la salle des pas perdus de la gare, av isèrent un de ceux-ci qui venait de passer su r le quai pour se renseigner su r la cause de la

T ’inJferîiln uni CO TlAITim

— La F a m ilia le de T arrond issem en t de S en lis . — Nous avons eu vendredi dern ier, au V ieux-C hâteau, une confé­rence très in téressan te faite par M. F leu- rant-A gricola e t à laquelle assistaient 75 personnes environ, pa trons e t ouvriers agricoles. ..

M. A gricola e st jeu n e , nous dit-il, pour expliquer à Crépy, comme il le te ra sans toutes les com m unes, le bu t de la com ­m ission d’études sociales de 1 arrondisse­m en t de Senlis ; les m em bres de ce grou­pem ent veulent rechercher les moyens d’entente en tre les ouvriers e t les agri­culteurs. . _____

Après avoir m ontré que les grèves ne m enaient â rien e t é taient p lu tô t nuisibles aux uns et aux au tres, le C onférencier dé­clare qu’il ne vient pas faire de p ro ­messes fallacieuses e t explique les^ ra i­sons qui on t em pêché le s cu ltivateurs de suivre comme l on fa it les îndus^trielis lavoie ouverte dans l’augm entation des so­laires. Il c ritique 1 uniform ité de ces mêmes sa la ires proposée p a r l un des mem bres de la com m ission e t fa it com- prendre à tous la loi il(' répereusston qui fa it augm enter les denrées quand les sa­la ires augm entent. , ..

T rès écouté M. F leu ran t parle ensuite des maisons ouvrières et des re tra ite s et fa it ressortir à ce su jet l’avantage de la la m utualité. C 'est pourquoi la s io n d’é tu d e e t de p révo ya n ce sociales de l’errond issem enl de S e n lis veut s en­to u re r de tous les ouvriers agricoles et de tous les cultivateurs afin de faire un groupem ent fo rt et de chercher les moy­ens de faire du salarié un hom m e plus heureux. La réunion fu t levee à 9 heures 1 /2 e t ehacun se re tira persuadé des p ro­grès q ie peqt réa liser la bonne volonté .de tous. p _ B

— P ’.aque de Bicyclettes. — Quelqu’un qui n’ap as de chance c’est le jeune P etit Léon, tgé de 21 ans, vern isseur à Crépy. Procès-verbal lui avait été dressé 2, pour v'olences légères. Le surlendem ain passant â bicyclette devant la gendarm erie il s’es vu dresser une nouvelles contra- ventioi pour défaut de p laque de contrôle. Une tn isièm e contravention lui lu t oc- trovéeen même tem ps pour bécane non munie de plaque d’identité e t la m achine fu t confisquée ju sq u 'à paiem ent de la trunouution.

— I épart pour l’Algérie. — Nous apprem ns que parm i les 35 hom m es du

FAITS LOCAUXB é t h l s y - P a l n t - P i e r r e . — R éunion.

— A ujourd’hui dim anche, à deux heures, à ta m airie, réunion des m em bres de la Société de! secours m utuels de ‘Saint-Frgn- çois-Xavier.

D ans la vannerie. — Les ouvriersvann iers, employés à la fabrication des uaniers â bouteilles, avaient convoqué leurs patrons à une réunion fixée au m er­credi 8, à six heures, dans 1 une des salles de l’Hôtel de la Vieille Bouteille, pour/JiS- c n le r l’augm entation de salaire qu ils de^ m andaien r; mais avant ia reunion ils se sont mis d ’accord avee leurs patrons

— D é f a u t d ’é c l a ir a g e . — P rocès-ver-ULr Al f ibal a été dressé ie 5, à sep t heures ef de mie du soir, par ta gendarm erie à M- F -, dont la voiture n’éta it pas éclairée.

— P e r c e f t io n . — M. Defaux, percep: teu r, à B éth isy-Sain t-P ierre, est nommé percepteur de prem ière classe à fe rg n ie i ,

Il est rem placé parM . Brille, peioep teur à Cuts.

I J o n n e t i i l - e n - V a l o i s . — Société de Secolrs-Mltuels. — Le D im anchederm er, a eu lieu â la m airie une réunion p répara­toire en vue d’é tab lir dans- la com m une

Le spectacle com m encera pardes D étectives, pièce pu 3 actes â tra n s ­form ations, de Potian, e t con tinuera par Les étoiles’ parisiennes rep résen tan t D ranem , Y vette G uilbert, e tc ., e tc ., .tro is heures de fou rire ,

NOUS engageons 1 aim able public qui assisteront, à se re n d re à cette rep résen ­ta tion à 8 h. f / 2 précises, heure de la levée du rideau . .

— C o n t r a v en t io n . — V endredi der­n ie r 3 couran t, vers 10 heures du soir, deux horizontales, dem eurant une à N agent-sur-Q ise e t l’au tre à Creil, qui é ta ien t venu passer la soirée en ville et qui se bécotaient avec des palfreiiiers dans la salle des pas perdus de la gare , pn t été su rprises par les gendarm es qui leur ont dressé contravention à l’a rrê t m unicipal su r la prostitution.

— C a rn et m o n d a in . — Prochainem ent au ra lieu le m ariage de M ademoiselle Duiilocq E lise-H enriette , sans profession, dem euran t avec ses père e t m ère à Chan­tilly, fille de Mme et M, Duiilocq, ancien gra ine tie r, avec M. Cottiau E nule-Paul- V ictor, négociant en fer. dem euran t au Gateau (Nord). Nous p résentons aux fu tu rs époux benheu r et p rospérité .

C r e i l . — B anquet m il it a ir e . — Di­m anche dernier, 1 |0 olficiprs d 'E tat-M ajor du service des étapes, se sont réun is tj. midi, l'hôtel Beuveiet, où un banquet des mieux servi les a ttendait. Tous ces Officiers dont les divers uniform es je ta ien t en ville une note gaie sont venus à Creil pour ins­pecter laG arg , la place Carnot, le P arc et divers au tres lieux p ropres à la concen tra ­tion des troupes en m ànœ uyre ou m) mo­bilisation. A deux heures a eu lieu à. l’issue du banquet, l'Hôtel, que confé­ren ce su r la stra tégie.

— P onts-et-Ciiaussés. — L ’assem blée générale des conducteurs des Ponts-e t- Chaussées a eu fieu dim anche m atin à l ’hôtel Beuveiet. Elle a été suivie à midi d’un banquet de 30 couyerfs,

T h é â t r e de C r e il . — A l'occasiondu a™ anniversaire d’Alfred de M usset, le T héâ tre de Grm! nous offre aujourd’hui 12 avril, une g rande soirée de gala pour

ispute. L'indfvidu, qui se nom m e Auduin, tra ita les agents ue « fa inéan ts e t de lâches », et comme ceux-ci voulaient p ro­céder à son a rres ta tio n , des agents de la C om pagnie/le conducteur Collin et le fac­teu r T héry in terv in ren t, non comme on pou rrait le p enser pour p rê te r m ains fortes aux agents, m ais pour les em pêcher d’a r­rê te r Auduin, tra itan t eux-m êm es les agents de « fa inéan ts et d’ivrognes, » Collin allan t même ju sq u ’à saisir l’agen t Jouve par 1» bras pour le so rtir de la gare : un voyageur de C lerm ont au ra it égalem ent pris les agen ts à p artie ; le con trô leur Gohier serait égalem ent intervenu mal à propos, p ré­textant à to rt qu’Auduin avait un billet, ce qui a été reconnu faux. Cette in terven­tion m alheureuse de Collin et T héry a fait l’objet d 'un rapport qui pourra ê tre pour eux l'occasion d 'explications p lutôt gè riantes. Ouatit à Auduin qui s’est en outre livré à dés voies de l a i t 1 su r l’agen t Bar­thélémy, il se ra poursuivi pour outrages et rébellion.

— lîni.LT éci|appé . — Mardi m atin , a 10 h . ï / 2 , un buiuf que débarquait^ M. Sanas, bouclier à Creil. s 'e st échappé, et traversan t la cou r de la petite vitesse franchi la palissade d 'une p ropriété qui se trouve près de la gare, où on a heureuse­m ent pu le ra ttrap e r de suite, sans qu il cause d’autres dégâts que les quelques planches qu’il avait brisées.

Etat civil'de Creil du $7 mars au f avril,Naissances. — 29. Caruelle l.ueien-Gcorges;

30. Leroy Robert; 31. Marchai Roger-üuslave; 1. Béaslé Jeanne-Ëmilienne-Adriennc.

Publications de mariages. — Entre : M. Vereouter Henri-Léon, üeeqlleieur, pi Mlle Bourdon'Majne-Lücj.e, cpulurière, tous deux domiciliés à Creil,

M. Bpiènngne Cyrille-,’Vugusle-Aime, demeu­rant à Rantigny (Oise), et Mlle Boudevillc Amélie-Marguerite, employée de commerce, demeurant à Creil.

M Millet Pierre-Charlcs, professeur, demeu­rant-'it Creil, et MUe bflehe Ijertlie-lSmélic, sans profession, demeurant à Bouy (Marno).

M Mesnier Ernest, dessinateur, demeurant à Creil, et Mlle Roger Alice-Aouise-Marie, sansprofession, demeurant à Nogen't-sur-Oise.

M Thémé N'oill-Lnuis, magasinier, demeu­rant à Creil, et Mlle Boucliez Eugùnie-Rny- monde, ouvrière en confections, demeurant a Nogent-sur-Oise. . ,

H. De Cfloly Omer-Jpsepli, journalier, de­meurant à l|autmont (Nord), et Ml(e Collin Ernestine-Georgetle, sans profession, demeu­rant â Creil. .

Mariages. ~ 31. M, Radel lleotor-Mizaôl- Diogène, cultivateur, demeurant à Villers-St- Sépulcre (Oise), et Mlle Boulay Mane-llennelto- ltosalie, employée de commerce, demeurant à Creil.

Décès. — 28. penant Ali'rud-Eugène, 07 ans, cordonnier ; 30. Martinet Ernest-Hennand, 43 ans, ôbônistre ; 31. Pernier Marie-Alberlme, 23 ans, ménagère, (hôpital) ; ,1. \achette , fé­minin, présenté sans vie ; 2. Vualtellier Desire- IIonoré-Alexandre, 73 ans, sans p re s s io n .

Çi ’é p y V ü l o l s . — Au Cercle A rtistique* — Lu Comité du Cercle Ar­tistique a tenu sa réun ion m en su e lle m ardi dern ier. Les questions à Tordre du jo u r ont été solutionnées au m ieux des in té rê ts de la société.

A près en ten te en tre les rappo rteu rs des divisions d ram atique e t nmsicqlei. la p ro­chaine soirée a é té fixée au 17 mai.

— L a d is p a r it io n d e M. A g u e t . — M al­g ré les nom breuses recherches en tre ­prises pour re trouver M. A.guet, le m ys­tè re reste toujpurs aqssl im pénétrable. Les jo u rn au x de P a ris ont relaté a leur to u r cette d isparition, e t Tun d’eux, Le J o u rn a l , a reproduit in extenso notre artic le de dim anche dernier.

— A l ’U n ion M u t u e l l e . — Le tréso- rip r inform e les m em bres de T L m o n

géiie qui viennent de p a rtir de Ver sailles jour TAlgérie se trouve n o tre con- citoyenM . Gabriel Chevallier, fils de M.G. Chevallier de Crépy. Ce jeune soldat sera prtbablem ent.sous peu ap p e le rà par­ticiper t l’expédition du M aroc. Nous es­pérons qu’il se ra de ceux qu épargnêron t les ballts des p artisans de Moulai-Haliid

— É i a v e s . — L e 5 , un beau parapluie à poigiée ronde, trouvé rou te de Séry, p a r M. P illebout, no taire . — Le 8, un collier cuir, de cheval e t garn i de grelots, trouvé îo r te de Parib par le jeune Gaston Bordeaux, garçon boucher chezM . Vilcocq. Réclamer ces divers Objets au bureau de police.

— Double Mariage. — Nous apprenons le prochain m ariage de M. Iiéb ran t Raoul e t de M'110 M arie Jouvion, ainsi que celui de sa sœur M“M” H ébrault avec M. Bayer de Crépy. Nous p résentons aux fu tu rs époux nos v aux de bonheur. ;

— Pharm acie ouverte aujourd’hui : Masseau, rue Nationale.

— Acte de p robité. — Il avait été perdu il v a environ un an, à 1 établissem ent de bains de noire ville, une boucle d oreilles d’une certa ine valeur. Cette boucle a été retrouvée la 'sem aine dern ière dans la ca­nalisation d’une baignoire, parM . (Illi'rqn, gérant des Eaux et fe n d u e )à sa proprié­taire. Nos sincères félicitations.

— A la Société in te rn a tio n a le des A u teu rs et C om positeurs. — Nous avons, il y a quelque lumps parlé ici: nièn|e t e M /Sylverem iis, fonijatépr et d irec teur de i'iiiqiortante Société in terna tiona le- d is au teu rs et com positeurs. Nous app re­nons que no tre co llaborateur M. Paul Bonniol, vient d 'en ê tre nommé m embre correspondant. Toutes nos félicitations.

S o c ié t é d ' h o r t ic u l t u r e . — Demaindimanche, réunion de la Société d Horti­culture, salle de l’Ecole des Garçons, à 1 heure 1 /2 de l’après-m idi.

— Carnet mondain, — C'est |o 2f ayril que sera célébré, en l’église de Saint- Denis de Crépy, le m ariage de M. Pufiard, agent-voyér à Crépy, avec Mlle A guus. Nous avions, en leur tem ps, annoncé leurs fiançailles. ■

— Au Concours. — Il nous revient que la Société m usicale les JSp fqn te du Valois a ( intention de p rendre part, en août prochain, au [concours de m usique de Saint-Quentin (Aisne).

— O h é Bacchus f — Dim anche dern ier les gendarm es ont mis en élut d 'a rres ta ­tion, pour jyresse publique et m anifeste, l’ouvrier belge Vandeesten, âgé rie 33 ans.

— A coups de doino. — Lors du conseil de révision, les jeunes gens sont trè s belliqueux. Le- 2 avril dernier, les nom m és' P etit A lexandre, Blondeau et P etit Léon se sont adm inistrés quelques coups de poing. Aucun ne voulant être fautif, M. le juge de paix départagera les avis lors de sa prochaine audience.

C h u t e g r a v e . — Mardi dernier. Mine veuve Thuillier, dom estique chez M. Lault, propriétaire de l’hôtel des Trois-Pigeons, descendait à la cave, quand soudain elle perdit l’équilibre et s’abattit au bas des Hjarches. Relevée aussitôt, elle reçu t les soins em pressés de M. le docteur Jourdain , rem plaçant M. le docteur Gagey, qui re ­lova une ecchymose de l’œil gauche et une plaie contuse de la face. Dans 10 ou 15 tours il n’y p a ra îtra heureusem ent plus.

Décès. — 6. Drouel Jules, 16 ans, rue J.-J. Rousseau. .

Publications de mariages. — 5. HêDrani R -A ., menuisier, et Mlle Gougeon Marte, à Crénv : 5. ' Bayer ’J.-G., ouvrier d usine, et Mlle tlébrant, tous deux à ürépy’; 10. FauveU.^ et Louise-Alphonsme Debaye, toux deux xans nrofessiou i Crépy ; 10. Delorme Léon-A., ouA-rier agricole àG oidrev.lfeet Mlle Parmen- tier Georgette, sans profession a Crépy.

Mariaaes. — 4. Entre Dutuc François, ser­gent au 14' de ligne, et Mlle Camille Fourbet, à Crépy-en-Valois. l '£J]

D u v v . — L a J eunesse de D uvy. — Nous avons il y a quinze jou rs , re la té 1 éclatantsuccès rem porté par la jeunesse de Çuvy, doiyent >e a n, rlors des rep résen tations qu elle donna. charlauns et deNous apprenons q u ’infatigable son dévoué vent leur caus„. déceptions.d irec teur a décidé de donner sa m e d i, | Nouslafflrmous hautentont: h .euU méthode d im a n ch e e t lu n d i une nouvelle série de sédncôs

Les jeunes a rtis tes in te rp ré te ro n t le V o ya q e de B e r lu ro n e t Y a d u don, cette p ièce 'fu t fo rt goûtée lorsqu!elle fu t jouée dern ièrem ent.

E m é v i l l e . — Nécrolocie. — Lundi dern ier, ont été célébrées en l’église d Emé­ville les obsèques de Mme Jaunet, épouse de M. Jaunet, ancien m archand de vins en gros à Crépy, et m ère de M. Jaunet, qui a repris la m aisôn de com m erce de son pere.

De nom breux am is avaient tenu a venir assister à ces obsèques.

En cette douloureuse c irconstance nous p résentons nos sentim ents sinceres de condoléance,

F e i g n e u x . — A d ju d ic a t io n . — C'est dem ain 12 avril qu’il se ra procédé à la m airie de Feigneux, à l’adjudication pour les années 1908, 1909, 1910, 1 9H , 1912, des travaux de curage des rûs de Feigneux, de Feuillières et M orcourt, situés su r les te rrito ires de Feigneux e t de B éthancourt.M ontant du devis, 1.041 fr . 42.

d a i g n e s . — Délit champêtre. _M. Ram et A lexandre, cu ltivateur à Glai- gnes, ayant détérioré un chem in public avec ses chevaux, s’est vu d resser procès- verbal.

M e l l o .— Nos archers. — Nous lisons dans le V ra i C heva lier que les com pagnies de Cires-le-M elle e t de Mello sont admises à faire partie de la Fédération des Compa­gnies d A rc de l’Ile de France à dater du l«r avril 1908. Ces deux soeiétés form eront le' deuxièm e groupe pour le P rix au T ir F édéra l.

M o n t a t a i r e . — F ête du bataillon.—A l’occasion de la fête du bataillon qui doit avoir lieu le jo u r de Pâques les m em­bres honoraires qui voudraient assister au banquet dont le p rix est de 3 fr. sont priés de se faire in scrire à la Mairie.

— L iste électorale. - La liste électorale a rrê tée cette année, à 1743 inscrits com ­prend 88 inscrip tions nouvelles su r celle de l’année dern ière qui ne contenait que 1655 nom s.

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réclame jamais d’honoraires, même après gué­rison.

L a Vérité à C l e r m o n t .Lorsqu’il s’agit de so igner vos re ins,

vous devez em ployer un rem ède qui agisse spécialem ent su r les re ins et pas d 'au tres. D a rs c e cas, les P ilules Poster pour les re ins sont tout indiquées, car seules e lles sont uniquem ent préparées pour les m a­ladies des re ins e t de la vessie, e t les in ­nom brables preuves qui sont depuis si longtem ps publiées dans ces colonnes ne font que confirm er leur succès constan t. L ’attestation ci-dessous, tou t aussi facile à vérifier que les précédentes p e rm ettra 4 ceux qui peuvent douter encore, de se rendre com pte par eux-m êm es et de ju g e r en connaissance de cause. Lisez ce qui s u it: Mme Poulain, 68 rue d ’A m iens, à C lerm ont nous d it: « Voilà p lusieurs années que je me p laignais de m aux de re ins, m ais ces temps dern iers m on état s’éta it aggravé e t je ne me trouvait bien nulle part. Je soutirais continuellem ent, la nu it je ne savais com m ent me m ettre pour pouvoir reposer et le m atin , en m e levant, j'avais des vertiges, des éblouisse­m ents, des maux de, cœ ur e t parfo is je tom bais en sueur. Le m oindre m ouvem ent m’était douloureux et je n ’osais fa ire aucun m ouvem ent b rusque. Tous les m édica­m ents ordonnés éta ient restés sans effet et j ’étais bien inquiète , lorsque j ’en ten à îs pa rle r des cu res m erveilleuses opérées par les P ilules Fosler pour le s Reins, vendues à Senlis, Pharm acie Le. Conte.

Je n 'avais pas encore te rm iné m a p re ­m ière boite que j ’avais obtenu un soula­gem ent inespéré . G râce aux P ilu les F oste r

Y î i u c i c u n e . — A c c id e n t . — Le 6 je me porte aujourd’hui beaucoup mieux avril, à la Raffinerie de Cornois, l'ouvrier qu 'autrefois et je me trouve si bien que H urdebourg a été brûlé au bras d roit alors j ose e spérer une com plète guérison . Je qu 'einplissant un moule de m asse cuite, | certifie exact ce qui précède e t vous au to - celui-ci veint à bouger le contenu s[en est | çise à le publier. » ( lu trouve les P ilu les répendu. Soin dp,U r B rassard de Villers- i Foster (mai que originale) chez to u s les— ■' ■’... I pharm acioiri, 3 fr. 39 la boîte, 1 9 f r . le s

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ile révision à B out-Saint-M àxencè, on peut | résu lta t, exige? la véritable boite avec la donc dire que c’est une belle classe pour , ’’*tro fo 8 K to u taVerberie.

— P a t r i o t i s m e , — A l’Issue du conseil j de révision de Pont, une partie des jeu n e s | gens de Verberie, se sont rendus clairons i sonnan ts au ï l ia m p s de M ars, devant le m onum ent di/s enfants du Canton m orts | pour la patrie , et, tète découverte y uut j déposé une couronne , ;

A la bonne heure , «eux là, ne sont pas an tipatrio ïes ; bravo. ’ j

N o m in a tio n . — Nous apprenons que M.Berthe, receveur buraliste à Tricot, vient d 'ê tre nom m é en la m ême qualité à Ver- berie en rem placem ent de M . Boite!, décédé.

Nous lui souhaitons la bienvenue.

C o ncert d e La l ig u e . — R appelons que c ’est samedi 18 avril prochain qu’aura lieu à 8 heures Satie Lévèque, Place de la M airie le concert de la Ligue Amicale qui sera suivi d 'un g rand bal. Ce concert coïn­cidant avec l’inauguration de la Salle très coquettem ent décorée prom et une soirée sensationnelle.

C otterèts, 6 jou rs de repos.V e r b e r i e - U n e b e l l e c l a s s e , -

S u r 28 hom m es fa isan t partie 4e la c-lasse 1907 à Verberie, 2(i ppt été reconnus bons pour le service m ardi dern ier au conseil

im itation ou substitution 13

Enigmes et Charadesla charade Cliat-rat-de (Cha-

7 unil s ça cl liie.

M u tu e lle qqe les coj.isqtiDus seron t reçues à p a rtir du ' dim anche 1 2 jusqu au dim an­che 19, Les am endes seron t appliquées a p a rtir du 20,

— V agabond v o l e u r . — Dans la jou r née de jeudi, les gendarm es de Crépy ont arrê té le nom m é P arfait Ch., tonnelier, âgé fie 20 qns, sans domicile fixe, En m fouillant, on trouva su r lui un coupon d’étoffes qu'il avait dû dérober. Il a donc été a rrê té comme vagabond et comme voleur.

Soluliôq rade). _

Solution de. la question (C’est un israélile).

Ont deviné la charade : Comme l'hermine, Youyou, Renée et Guile, G. Devinay, un me­nuisier.

S im p le Q u e s tio n .Prouvez que S9 et 1 font 44 ?

Envoi ; Comme l'hermine.

C h a r a d e .Vois-tu dans ces bosquets, mon avide premier, Qui ronge l'arbrisseau,puis broutemon dernier, Cueille bien vile, ami, mon odorant entier,Car mon premier, goulu, pourrait le dévorer,

Envoi : N a tif de la rue de Beau va ts.

jou rs U n ’y para îtra— Accident de T ravar,. — Lu G avril, à

Pusine Clair, M. Saint-Germ ain, tourneur, voulant assu je ttir le p ro tecteur de ,sa ma­chine, a été a tte in t aux quatre doigts de la inaiu gauche, par son outil, lüj f l urs de

^L e* 8, à la même usine, M. [Philibert Cottin, découpeur, a reçu dans l'œ il droit un morceau de bois renvoyé pur sa scie. T raum atism e de l'œ il. 0 jou rs de repos.

Le 5, en gare de Paris , M. V annier Gas­ton, chauffeur au chem in de fe r du Nord, a eu le doigt p ris en tre le châssis de i’é- cpqn de sa m achine et |a coulisse. T rau ­matisme par écrasem ent du médius gau- phe. Spifis du H ' Caüleuy, \ jo u rs de repos. . .

Le jeûne Robert A ntoine, s est donné un coup de ciseau à la main droite, Pblegr m on. 8 jou rs de repos.

Elut civil de Crépy du 2 au 9 avril 290$.Naissances. — -VrDeliail -tdûnis-Maiéel, rue

Saiiü-Tlmmas ; 5. Tliuez Mapcelle-.yngide, rue de Compiègne ; 6. Idelol Léonc-I-ouise, place de la République.

B S i l i i l R I C Q L È i R I C Q L i S lR I G Q L l S R i C Q L M

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le D im a n ch e 10 M a i 1 9 0 8 , à quatre heures du soir,

en la salle de la Mairie de Nogant- sur-Oise,

par le ministère de M* DESABIE, notaire à Creil,

M A I S O Nsituée à, SAULClj

‘ commune de Nogent-sur-Oise, consistant en :

Un principal corps de logis dis­tribué par bas en une cuisine, une chambre à coucher à côté, au pre­mier étage en deux chambres, gre­nier au-dessus couvert en tuiles. Cour, remise, au fond de cette cour, toit à-porcs, dessous de porte vert en tuiles à côté du r'p" corps da logis, jardin à côt<

Le tout contenant sept ares trente centiares, tenant d’un côté Duche- min, d’autre côté Joseph Alexandre, pignon mitoyen entre, d un bout par devant à la rue, d’autre bout par der­rière Vassenr. Droit d’égout de huit mètres de longueur sur le jardin des réprésentants Jean-PieVre Alexandre, propre à la maison ci-dessus dési­gnée.

Mise à p rix :- 1 .0 0 0 francs.

Cette vente a lieu en exécution d’un jugement rendu sur requête par

' Je Tribunal civil de Senlis, le douze février mil neuf cent huit, enregistre.

cou- principal

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigné, le onze avril mil neuf cent huit.

Signé : SAINTE-BEUVE.

S ’adresser pour les renseigne­ments, à :

1» M® SAINTE-BEUV E , avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2° AI® D E S A B IE , notaire à Creil, .dépositairë du cahier des charges.

Pour insertion :1450 Signé : SAINTE-BEUVE.

Art. 2.Étude de VI® SA IN TE-BEU VE,

. - avoué à Senlis.

Ixtrait de Jugement de Divorce.D’un jugement rendu par !e Tri­

bunal civil de Senlis, le dix décembre mil neuf cent sept, enregistré et si gnifié ;

Au profit de Madame Jcannc-Rosc Ménard, épouse de Monsieur René- Jacques Besse, sténographe, avec lequel elle est domiciliée de droit à Boran, mais ladite dame autorisée à résider et résidant de Tait il Boran, chez Monsieur Ménard, sou père ;

.Demanderesse, comparant et con­cluant par M® Sainte - lîeuve , son avoué constitué ;

D’une part ;Et par défaut contre Monsieur

René-Jacques Besse, sténographe, demeurant de droit à Boran, mais résidant de Tait à Paris, rue d En- ghien, numéro 1 ;

Défendeur défaillant faute par lui d’avoir constitué avoué ;

D'autre part;Il appert :

Que le divorce a été prononcé d’entre tes époux ttes.-n-Ménunl, h . la requête et au profit de Madame Bessè, avec toutes scs conséquences légales.

Pour extrait certifié conforme par - M* Sainte-Beuve, avoué, ayant occupe

pour Madame Besse.Senlis, le dix avril mil neuf jeept

1448 Signé : SAINTE-BEUVE.

Éludes de M® L o u is E S C A V Y ,avoué à Sênüs (Oise),

et de M e F E R R Y , notaire à Béthisy-Saiht-P,ièrTe(Oise).

VENTE SUR LICITATIONavec faculté de réunion totale

ou partielle,

Une M aisonA USAGE DE

Commerce de B oulanger, s i s e à N É R Y ,

en la rue des Peupliers ;

Une autre MaisonA USAGE DE

Commerce de B oulanger,s i s e ù, S A IN T -S A U V E U R ,

en la Grande Rue ;

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s i s e ù. SA IN T -S A U V E U R ,lieu dit le Village ;

7 Pièces de T erresises terroirs de

S a in t - S a u v e u r e t V e r b e r i e .

L’adjudication aura lieu le D im a n c h e 1 2 A v r i l 1 9 0 8 ,

deux heures de relevée,en l’Étude et par le ministère de

M* FERRY, notaire à Béthisy-Saint-Pierre (Oise), |

commis à cet effet.

S'adresser pour les renseigne­ments :

A M ' L o u is E S C A V Y , avou à Senlis, poursuivant la venté ;

A M ' M ORAND, avoué à Senlis, présent à la vente

A M ' D IE T , notaire à Crépy-en- Valois ;

Et à M ' F E R R Y , notaire thisv-Saint-Pierre, dépositaire du | cahier des charges.

.S ’adresser pour les renseigne­m e n ts :, A M* G eorges MORAND,[avoué S Senlis, poursuivant la vente;

A Me ESCAVY, avoué à Senlis,[ présent h la vente;

Et à M* MÉZIÈRE, notaire à [Betz, rédacteur ët dépositaire du [cahier dés charges.

[Études de M* SA LY TE-BEU V E,avoué à Senlis,

et de M® D E S A B IE , notaire à Crèil.

j JT Vendre sur lieitaiionaux enchères publiques,

S IX P IÈ C E SDE

|Terre& Boi$situées terroir de M o n ta t a i r e .

L’adjudication aura lieu le D im a n ­c h e 2 6 A v r i l 1 9 0 8 , 0 ^heures du soir, en la Mairie de Montataire, par le minisière de M® DESABIE, notaire à Creil.

S ’adresser pour les renseigne- | ments à :

1° M® SAINTE-BEUVE, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2® M« ESCAVY, avoué à Senlis, pré­sent à la vente ;

3° M® DESABIE, notaire à Creil, I d^nositaire du cahier des charges.

Élude de Me G e o r g e s M ORAND,licencié en droit, avoué à Senlis,

10, rue Saint-IIilaire, successeur de M® Levieux.

Vente sur XicifationDE

U N E M A IS O N ]s i s e a SAIXT-FIRM LV,

lieu dit le Chemin des Poissonniers] ou des Ormes,

arec Cour, Jardin, Circonstances et Dépendances;

TROIS PIÈC ESDE

T E R R E & P R Ésises terroir de S a in t - F i r m in ,

d’une contenance totale de 7 0 a r e s 1 4 c e n t i a r e s ,

EN QUATRE LOTS

L’adjudication aura lieu l e M ARDI 5 M AI 1 9 0 8 ,

heure de m idi,en l'audience des criées du Tribunal

civii de première instance de Senlis, r* ’ Justice, rue de laau Palais de

République.

les renseigne-

A&T. 3.

S o c i é t é A n o n y m eDE LA

Distillerie. Airicok de Barbery(Oise).

Messieurs les Actionnaires de la Distillerie Agricole de Barbery sont convoqués en Assemblée générale annuelle le trente A vril m il neuf cent huit, à deux heures, a Senlis, 22, rue du Châtel. 1*8*

S ’adresser> pour ments :

A 31c G e o r g e s M O R A N D ,avoué à Senlis, poursuivant la vente

A M® G a s to n LO IR , avoué à Senlis, présent à la vente ;

A M® B A L É Z E A U X , notaire à Chantilly;

Et au Greffe du Tribunal civil de Senlis, où le cahier des charges est déposé.

Etudes de M® SA IN T E -B E U V E ,avoué à SenHs,.

et de Me P IL L E B O U T , notaire à Crépÿ-en-Valbis.

S U R L IC ITA TIO N aux enchères publiques,

EN 3 L O T Savec faculté-de réunion pour les

deux premier)'s lots,

M A I S O Ns i s e à C R É P Y -E Y -V A L O IS ,

rue Nationale, n° 28 (en face l’Hôtel-de-Villc),

Idans laquelle est exercé un Fonds de Cornnyerce de Marchand de Vins e t’ Débitant de Tabacs,

AVECCirconstances et Dépendances,

liaison d’flabltatioBs i s e a u d i t C R É P Y ,

rue Bergeron,DE CONSTRUCTION RÉCENTE

AVECCirconstances et Dépendances

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7 ares 95 cent, de Prét e r r o i r d e M O Y V IIJÆ R S ,

canton d’Estrées-Saint-Denis (Oise).

L’adjudication aura lieu l e D I­M ANCHE 3 M AI 1 9 0 8 ,deux heures de relevée , en l’Etude et par le ministère de Me PILLE­BOUT, notaire à Crépy-en-Valois; commis à cet effet.

S'adresser pour les renseigne­ments à : __

i® M* SAINTE-BEUVE, avoué Senlis, poursuivant la vente.

2° M®9 SAVARY et ESCAVY, avoués à Senlis, présents à la vente.

3® M® DIET, notaire à Crépy-en- Valois.

Et M® PILLEBOUT, notaire Crépy-en-Vàlois, dépositaire du cahier des charges.

Éttiâes de M® L o u is E S C A V Y ,avoué à Senlis,

7, rue de Villevert, et de M® D E S A B IE , notaire

à Creil (Oise).

VENTE SUR LICITATIONentre m ajeurs et m ineure,

avec faculté de réunion totale ou partielle,

DE

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rue Voltaire, n° 49 ;

UNE MAISONs i t u é e à JMOXTATAIRF.,rue de la République, n» 102 ;

UNE MAISONs i t u é e ù, M O N T A I A IR E ,

jivenue de la Gare, n° 2 ;

15 Pièces de TerrePré «Se Bois

sises terroir de M ON TA TA IRE.

L’adjudication aura lieu le DEMANCHE 2 6 A V R IL 1 8 0 8 ,

à deux heures de relevée,• n la Salle de la M airie de

M ontataire, par le ministère de Me DESABIE,

notaire à Creil, commis à cet effet.

S ’adresser pour les renseigne­m ents :

A M® L o u is E S C A V Y , avoué à senlis,;poursuîvantIa vehfèT

A M® MORAND, avoué, présent à la vente; '

AM® MELLOTTÉE, notaire ù Mello; Et à M® DESABIE, notaire à Creil,

pépositaire dii cahier des charges.

Étude de M® L o u is C lia u d o y e .docteur en droit, avoué,

18, rue du Châtellier, à Clermont (Oise), siiccr de M®E. Caillard.

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Étude de M ' L o u is GUtTLV,gradué en droit, huissier à Ctanljily,

successeur de Me Albert oly.

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Commune de Gillocourt.

Adjudication de TravauxLe Dimanche 26 A vril 1908, à

deux heures du soir, en la Mairie de Gillocourt, il sera procédé par le Maire et dans les formes légales, à l’adjudication en six lots, au rabais, par voie de soumissions cachetées, des Travaux à exécuter pour la C o n s t r u c t io n d ’u n e M a iso n d ’E c o le a v e <5 L o g e m e n t p o u r l’I n s t i t u t e u r e t M a ir ie .

Le montant du devis des Travaux dressé par M. J. DRUELLE, archi­tecte à Crénv-en-Vfllnjc c’Ai-v chacun des lots, savoir :

1er L o t.— Terrasse,Maçonnerie, Fumisterie 11.256 f. 15

2® Lot. — Charpente. 2.502 503® Lot. — Couverture

et Plom berie................ 2.505 40Lot. — Menuiserie

et Mobilier Scolaire . . . 4.343 57Lot. — Gros Fers

et Serrurerie................ 2.6066e Lot. — Peinture

t V itrerie..................... 1.283Im p rév isio n s ..... 2.455

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comprenant : C h e v a u x , V o i tu re s , K ro s k i l l ,

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à V 1 N E U IL (O is e ) , le D im a n ch e 12 A v r il 1 9 0 8 ,

à une heure précisé du soir, sur la Place Communale,

près de la Halte, et dans la carrière .dé M. Loquet.

Le tout appartenant à M. LECLERC, grainetier à Vineuil,

et provenant de la ferme de Rrasseuse

Par le ministère de M® GUÉTIN Huissier a tnanimy.

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É tudesde MeG e o r g e s M ORAND,avoué à Senlis,

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V E N T E S U R L I C I T A T I O Nle Dimanche 26 A vril 1908, à 2 h. ,

en l’E tude de M® Q uentier, notaire I appeIé le M oulin D oby, sis à Bre- * rham hiv- H* ! I teui^ su r ]a rivifcre de la Noye, avec

le m atériel y attaché immeuble par destination. Mise à prix : 3.200 fr,

3° 18 ares 10 cent, de Terrain, en nature de Jard in , situés à Bre- teuil. Mise à prix : 1.600 fr.

4° 1 2 a r e s d e P r é , sis terroir de Breteuil, en face du Moulin. Mise à prix : 560 fr,

5° Environ 3 a r e s 0 9 c e n t i a r e s d e P r é , sis te rro ir de Vondeuil- Gaply. Mise à prix : 80 fr

6° 6 a r e s d e P r é , sis te rro ir de Breteuil. Mise à prix : 320 fr

à Chambly, de :

TROIS MAISONSsises à C h a m b ly , Rte Je Paris, 37,

rie Je l'Hospice, 7, et ne Pierre-W, 15, Mises à prix : 3 . 5 0 0 fr., 2 .0 0 0 fr.

et 3 . 0 0 0 fr.U N J A R D I N

sis à Chambly. M. à p. 5 0 0 fr. ^

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Mises à prix de 2 à 5 0 0 fr.S 'adresser pour les renseignemen ts :

À M* G e o r g e s M OR A Y D ,avoué à Senlis, poursuivant la vente;11 Me SAINTE-BEUVE, avoué codici- tani ; et à M' QL’ENTIER, notaire ii Chambly, rédacteur et dépositaire du cahier des charges,

L’adjudication aura lieu l e M er­c r e d i 1 5 A v r i l 1 0 0 8 , heure de

\midi, en l’audience des criées du Tribunal civil de Clermont (Oisel, sise audit Clermont, en l'une des salles du Palais de justice.

Études de M 'G e o rg e s M ORAA O,licencié on droit, avoué à Senlis,

10, rue Saint-Hitalre; et de M* M ÉZIÈR E, notaire à Betz.

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commune de Mapeuil-sur-Oui’cq,avec

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commune dé Mareuil-sur-Oureq, EN 2 L O T S

L’adjudipation aura lieu le DIM ANCHE 3 M AI 1 9 0 8 ,

a deux heures de relevée, an la Mairie de Hareull-»ur-Ouroq,

par le minisière de M® MÉzièan, notaire à Betz,

commis h cet effet.

Étude de M® L o u is GUETIN,gradué en droit, huissier h Chantilly

(Oise),su c c e s s e u r deM® A lb e rt J dly.

A L A M O R L A Y E (O is e ) ,

les D im a n ch e 2 6 , L u n d i £ 7 A v r i l 1 9 0 8 ,

et jo u r s su iva n ts , à une heure et demie précise,

au domicile de M“.® veuve PRATT

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Par le ministère dé M® GUÉTIN : huissier.

Àu comptant. — Frais ordinaires1458

j S'adresser pour les renseignements: i» A M» C1I4UP0YE, avoué pour-

Isuivant; , . ,2° Au Greffe du Tribunal ctvd de

Clermont (Oise), oti est déposé le le cahier des charges ;

3» A M® VAST, notaire à Breteuil (Oise); . . . .

4» Et à M® MARGANT, huissier à [Breteuil, -1436

ADJUDICATIO Nle Mardi 28 Avril 1908,

à 2 heures de l ’après-midi,A SENLIS

en l’Étude et par le ministère de .M» DELAUNAY, notaire,

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Comprenant : Pavillon de maître (12 pièces), logement de jardinier, écuries (4 chevaux), remises (3 voi­tures), jardin et dépendances. Conte­nance -I hectare 2 3 arcs 0 6 cen­tiares. __

S’adresser pour tous renseigne­ments, h M® DELAU.XAY, notaire.

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S’adresser à Chantilly.

i M« GUÉTlNjhuissier 1244

62

Total.............. 27.013f.84Toutes les pièces relatives au projet

sont déposées à la Mairie de C.illo- lourt, où les intéressés pourront en prendre connaissance.

Le Maire,1453 GLOUX.

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Adjudication, en la Mairie de Thi- verny, le Dimanche 26 Avril 1908, à quatre heures de relevée, en l’Etude et tar le ministère de M* Desabie, notaire, l’une P ro p rié té , sise à Thiverny,

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Étude de M® MAUGIN, notaire à Verberie.

Chevaux e t A ttira il de C ulture,à vendre aux enchères publiques, par suite de cessation de culture, à Ville- neuve-sur-Verberie, au domicile de M. Dupré, le Dimanche 12 Avril 1908, à une heure précise, par le ministère de ” ? Maugin, notaire.

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A vendre par adjudication volontaire, 8 h e c ta re s 1 9 a r e s f 1 c e n t ia re sd T ^ f r e ' aux terroirs de Brasseuse, Bray, Barbery. Ognon et Montépillov, le Dimanche 12 Avril 1908, à 2 heures, r r,raZ.’ e.n la Maison d’Ecole. ■— S’adr. a M* Petit, notaire à Sen’is.

Étude de M* THIROUIN, notaire à Acy-en-Multien.

Adjudication, par suite dé décès, le Dimanche 12 Avril 1908, à une heure et demie de l’après-midi, k Acy-en-Mul­tien, en l’Etude de M* Thirouin, d’un t r è s bon F o n d s d e S e r ru r ie r* M écan ic ien , situé à Brégy, canton de Betz (Oise), rue d el’Ormelet, dépendant de la succession de M Louis-Théophile Desjardins.

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Étude de M* LENOIR, huissier à Senlis.

V e n te M o b iliè re , à Saint-Fiimin, en la demeure de Mme Duchemin, rue de la Gare, à la requête de M, Bande- loque, administrateur provisoire de la succession de Mme Duchemin, par adju­dication, le Dimanche 12 Avril 19G8, à une heure de l'après-midi, par le minis­tère de M* Lenoir, huiss!er.

Étude de M* FERTÉ, notaire à Sentis, rue Betion, n* 18.

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