les abeilles

12
LES ABEILLES

Upload: others

Post on 18-Jun-2022

0 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: LES ABEILLES

LES

ABE

ILLE

S

LES ABEILLES

Page 2: LES ABEILLES

T E X T E S S A B I N E B O C C A D O R

LES ABEILLES

Avec la collaboration d'Yves Lecomte, directeur de recherche à l'I.N.R.A.

et spécialiste de la biologie des abeilles.

Page 3: LES ABEILLES

T E X T E S S A B I N E B O C C A D O R

LES ABEILLES

Page 4: LES ABEILLES

22

Extrémité de la languegarnie de poils très sensibles

A

Tout est dans la têteLa tête (1) de l’abeille abrite son cerveau. Elle présente

deux antennes (2) recourbées, sur les côtés deux énormes yeux (3), et sur  le  front trois  autres petits yeux disposés en triangle : les ocelles (A), avec lesquels l’abeille analyse la direction

de la lumière et les modifi cations de clarté. La  tête se termine par deux mandibules  (B), grandes pinces entre lesquelles

se trouve la  langue (C).

Une vue adaptée à ses besoinsLes gros yeux (3) sur les côtés de la tête

sont constitués de milliers de petits yeux, qui captent chacun un morceau d'image. Le champ de vision de l’abeille est proche de 360 ° ! Celle-ci voit trois couleurs diff érentes : le vert, le bleu et l’ultraviolet,

que l’homme ne distingue pas.

L’odorat et le goûtCe sont les antennes (2) qui servent de nez à l’abeille. Elles lui permettent de s’orienter vers une odeur

en comparant les informations qu’elle connaît déjà. L’abeille capte

les odeurs beaucoup mieux que l’homme. Pour identifi er le goût des diff érents nectars, elle utilise ses antennes, la partie inférieure

de ses pattes et sa bouche.

Gros plan sur un œil à facettes

6

12

3

4

B

C

LES ABEILLESIl existe environ 20 000 espèces de ces insectes dans le monde. Les abeilles mellifères (à miel),

appelées aussi abeilles domestiques, sont celles que l’homme connaît

le mieux, car il les élève dans des ruches pour leur miel. Vivant en collectivité,

elles se répartissent sur tous les continents. Les abeilles sont apparues

sur la Terre avec les plantes à fl eurs. Retrouvée dans de l’ambre,

la plus ancienne remonte à 80 millions d’années environ. Celles qui ont vécu

il y a 30 millions d’années ressemblaient déjà à nos

abeilles actuelles.

Page 5: LES ABEILLES

Apis cerana(Asie)

Megachilidae(Europe)

Abeille charpentière(Europe)

Abeille géante (Asie du Sud-Est)

Osmie cornue(Europe)

Un large abdomenL’abdomen (5) de l’abeille contient

une partie du système respiratoire, ainsi que les systèmes digestif et reproducteur.

Il est formé de sept segments mobiles. Chez l’ouvrière, il abrite les glandes cirières, qui fabriquent la cire blanche.

Il présente à son extrémité un aiguillon venimeux, le dard. Celui-ci est caché : l’abeille ne le sort que lorsqu’elle se sent menacée.

Un thorax muscléSur le thorax (4), composé de trois segments soudés, sont fixées les trois paires de pattes et les deux paires d’ailes à nervures que font fonctionner des muscles puissants. Les deux ailes avant sont reliées aux deux ailes arrière par des crochets, et toutes bougent ensemble pendant le vol. Les ailes postérieures, plus petites que les ailes antérieures, ne sont bien visibles qu’en vol.

Il existe de nombreuses espèces d’abeilles qui peuplent tous les

continents de la planète.

Les pattesLes six pattes de l’abeille se terminent par deux griff es et une pelote adhésive qui lui permettent de se fi xer sur les surfaces. Les pattes avant (6) sont munies d’un peigne avec lequel l’abeille nettoie ses antennes.Les pattes arrière (7) présentent un petit creux, la corbeille, sur lequel l’abeille tasse le pollen qu’elle récolte sur les fl eurs. Elles sont munies de petites brosses qui l'aident à former une pelote avec les grains de pollen (voir page 15).

UN SENS DU TOUCHERMULTIPLELe corps de l’abeille est recouvert de récepteurs sensoriels avec lesquels elle perçoit le monde extérieur. Elle utilise aussises antennes pour tâtonner.

5

7

Ailes

Dard

L’abeille n’a pas d’oreille à proprement parler  ; elle perçoit les sons dans les pattes

et dans les antennes.

Le corps d’une abeille ouvrière mesure

environ 1 cm de long.

3

Page 6: LES ABEILLES

4

UNE SOCIÉTÉ TRÈS STRUCTURÉE

La vie d’une abeille n’a de sens que si celle-ci est intégrée à la colonie.

Une abeille isolée meurt. Une colonie est composée d’un nid et de trois catégories ou castes d’abeilles, à la morphologie et aux rôles distincts : la reine, les ouvrières et les faux bourdons. Chaque caste est

responsable de tâches bien précises qui lui permettront d’assurer la survie

de la colonie et de l’espèce. Les abeilles sont très solidaires et extrêmement

organisées. Elles travaillent toute leur vie. À l’intérieur du nid,

tout est bien rangé.

UNE SOCIÉTÉ TRÈS STRUCTURÉE

La vie d’une abeille n’a de sens que si celle-ci est intégrée à la colonie.

Une abeille isolée meurt. Une colonie est composée d’un nid et de trois catégories ou castes d’abeilles, à la morphologie et aux rôles distincts : la reine, les ouvrières et les faux bourdons. Chaque caste est

responsable de tâches bien précises qui lui permettront d’assurer la survie

de la colonie et de l’espèce. Les abeilles sont très solidaires et extrêmement

organisées. Elles travaillent toute leur vie. À l’intérieur du nid,

tout est bien rangé.

UNE SOCIÉTÉ UNE SOCIÉTÉ UNE SOCIÉTÉ TRÈS STRUCTURÉETRÈS STRUCTURÉETRÈS STRUCTURÉE

La vie d’une abeille n’a de sens La vie d’une abeille n’a de sens La vie d’une abeille n’a de sens que si celle-ci est intégrée à la colonie. que si celle-ci est intégrée à la colonie. que si celle-ci est intégrée à la colonie.

Une abeille isolée meurt. Une colonie est Une abeille isolée meurt. Une colonie est Une abeille isolée meurt. Une colonie est composée d’un nid et de trois catégories composée d’un nid et de trois catégories composée d’un nid et de trois catégories ou castes d’abeilles, à la morphologie et ou castes d’abeilles, à la morphologie et ou castes d’abeilles, à la morphologie et aux rôles distincts : la reine, les ouvrières aux rôles distincts : la reine, les ouvrières aux rôles distincts : la reine, les ouvrières et les faux bourdons. Chaque caste est et les faux bourdons. Chaque caste est et les faux bourdons. Chaque caste est

responsable de tâches bien précises responsable de tâches bien précises responsable de tâches bien précises qui lui permettront d’assurer la survie qui lui permettront d’assurer la survie qui lui permettront d’assurer la survie

de la colonie et de l’espèce. Les abeilles de la colonie et de l’espèce. Les abeilles de la colonie et de l’espèce. Les abeilles sont très solidaires et extrêmement sont très solidaires et extrêmement sont très solidaires et extrêmement

organisées. Elles travaillent toute organisées. Elles travaillent toute organisées. Elles travaillent toute leur vie. À l’intérieur du nid, leur vie. À l’intérieur du nid, leur vie. À l’intérieur du nid,

tout est bien rangé. tout est bien rangé. tout est bien rangé.

Un nid bien cachéLes abeilles bâtissent leur nid dans des cavités abritées du vent et des intempéries, dans le creux d’un arbre, en hauteur, à l’intérieur d’un rocher ou bien sous les toitures des maisons.

La structure du nidQuand elles ont trouvé le meilleur emplacement pour leur nid, les abeilles cirières (voir page 12) construisent des rayons de cire parallèles, eux-mêmes composés d’alvéoles, petites cavités en forme de tubes à six côtés dans lesquelles la reine pond ses œufs et où les ouvrières entreposent le nectar et le pollen. La construction des alvéoles commence par le fond, puis viennent les parois, qui sont très fi nes. Le bord supérieur est plus épais.

UNE SOCIÉTÉ TRÈS STRUCTURÉE

La vie d’une abeille n’a de sens que si celle-ci est intégrée à la colonie.

Une abeille isolée meurt. Une colonie est composée d’un nid et de trois catégories ou castes d’abeilles, à la morphologie et aux rôles distincts : la reine, les ouvrières et les faux bourdons. Chaque caste est

responsable de tâches bien précises qui lui permettront d’assurer la survie

de la colonie et de l’espèce. Les abeilles sont très solidaires et extrêmement

organisées. Elles travaillent toute leur vie. À l’intérieur du nid,

tout est bien rangé.

Page 7: LES ABEILLES

5

L’organisation du nid

Au centre du nid se trouvent les alvéoles qui contiennent le couvain (œufs, larves et nymphes). Au printemps et en été, le couvain a la taille d’un ballon de rugby tant

les alvéoles sont gonfl ées par la présence des larves et

des nymphes. Les alvéoles situées au-dessus du couvain sont utilisées pour stocker le pollen. Celles qui viennent ensuite servent à entreposer le miel.

Coupe d ’une partie du nidAlvéoles pour le couvainAlvéoles pour le pollenAlvéoles pour le miel

Coupe d ’une partie du nidAlvéoles pour le couvainAlvéoles pour le pollenAlvéoles pour le miel

La photo ci-contre montre des ouvrièrescirculant sur des alvéoles contenant des œufs et des larves à diff érents stades de leur évolution.

Les alvéoles ne sont pas toutes de la même taille selon qu’y sont élevés des mâles ou des femelles. Certaines sont fermées par un petit couvercle de cire : elles abritent les abeilles qui sont sur le point d’éclore.

5

LES TROIS CASTES DE LA COLONIEAu printemps, une colonie comprend une reine, de 1 000 à 4 000 faux bourdons et de 20 000 à 80 000 ouvrières.

LA REINE La reine est en principe la seule femelle qui pond des œufs. Elle se distingue des ouvrières par son abdomen plus développé et son thorax plus volumineux. Son poids est de 0,25 g. Sa langue est de petite taille, car la reine ne va jamais butiner. Ses pattes ne sont pas munies comme celles des ouvrières de corbeilles et de brosses pour récolter le pollen, car ce n’est pas non plus son rôle. On croyait autrefois que la reine était un mâle : on parlait alors du roi des abeilles.

LES OUVRIÈRESLes ouvrières sont des femelles qui accomplissent toutes les tâches de la vie quotidienne nécessaires au développement de la colonie. C’est pour cela qu’elles sont aussi nombreuses. Leurs glandes et leurs organes sont adaptés à leurs multiples fonctions. Elles pèsent 0,1 g.

LES FAUXBOURDONS Les faux bourdons sont les mâles de la colonie. Leur corps est moins long que celui de la reine et plus gros que celui des ouvrières. Ils pèsent 0,23 g et sont dépourvus de dard, ce qui les rend absolument inoff ensifs. Leur langue est trop courte pour leur permettre d’aller butiner le nectar des fl eurs : ils sont donc complètement dépendants des ouvrières et du nid pour se nourrir. S’ils ont avant tout pour rôle de féconder la reine, les faux bourdons aident aussi à maintenir le nid à bonne température.

Rayons

Alvéole

Coupe transversale d’un rayon de cire

Page 8: LES ABEILLES

18

La ruche moderne Elle est constituée d’une caisse en bois, ou corps de ruche, avec un plancher et une ouverture permettant aux abeilles d’entrer et de sortir. Le corps de ruche contient dix cadres amovibles en bois, couverts d’une feuille de cire gaufrée amorçant la formedes alvéoles, que les abeilles fi niront de construire. Ces cadres accueillent le couvain, ainsi que les réserves de miel et de pollen destinées aux abeilles. Entre le couvre-cadres et la hausse, une grille permet de récupérer la propolis déposée par les abeilles. Sur le corps de ruche, l’apiculteur ajoute une ou plusieurs hausses, des petites caisses composées de cadres amovibles identiques aux précédents. Ces hausses, qui servent aussi aux abeilles à faire des réserves de miel, constituent le « grenier à miel » de l’apiculteur. C’est là qu’il se sert en retirant un à un les cadres gorgés de miel. Sur le corps de ruche, une grille empêche la reine, plus grosse que les ouvrières, de monter pondre dans la hausse. La ruche est couverte d’un couvre-cadres et d’un toit qui protège les abeilles des intempéries.

Toit

Hausse

Couvre-cadres

Grille à propolis

Grille à reine

Corps

Plancher

Cadres

Cadres

Entrée de la ruche

Porte

Des ruches diff érentes

Au fi l des siècles, l’homme a fabriqué des ruches aux

formes et dans des matériaux très divers. Au XIXe siècle,

les naturalistes Debeauvoys, Langstroth et Dadant

inventèrent la ruche à cadres amovibles, c’est-à-dire que

l'on peut déplacer. Cette ruche facilitera

grandement le travail des apiculteurs par la suite.

Ruche datant de 3 000 ans, en argile et paille

L’APICULTUREÀ la Préhistoire, déjà, l’homme traquait

le miel en le récupérant là où les abeilles faisaient leur nid,

dans des endroits souvent diffi ciles d’accès. Il avait découvert que cette

substance extraordinaire, à l'agréable goût sucré, pouvait être récolté près de chez lui en construisant

pour les abeilles des abris qu’on appelle des ruches. C’est ainsi qu’il est devenu

apiculteur, c’est-à-dire éleveur d’abeilles. L’apiculture est née environ 3 000 ans

avant notre ère, en Égypte. Aujourd’hui, ce métier est pratiqué

sur tous les continents.

Page 9: LES ABEILLES

19

Ruche traditionnelle dans un tronc d’arbre

Ruche traditionnelle en paille

Ruche Dadantdu XIXe siècle

Ruche Langstrothdu XIXe siècle

L’enfumoirQuand l’apiculteur rend visite aux abeilles, surveille la ruche ou enlève les hausses pour récolter le miel, il est toujours équipé d’un enfumoir. Dedans brûlent des aiguilles de pin ou de l’herbe sèche qui produisent une épaisse fumée blanche. Celle-ci se dégage par un couvercle en forme d’entonnoir lorsqu’on actionne le souffl et. Ainsi, les abeilles, trop occupées à chasser la fumée, ne cherchent pas à piquer l’apiculteur.

Le travail de l’apiculteurL’apiculteur surveille attentivement la ruche, voit si la reine est en bonne santé pour pondre et veille à ce que la colonie soit à l’abri des maladies. Il fait en sorte que ses abeilles aient suffi samment de quoi se nourrir pendant l’hiver, car l’un de ses objectifs est d’avoir le plus grand nombre possible de butineuses au printemps. Il doit en outre récolter et vendre

le miel. Les apiculteurs professionnels, qui vivent de leur travail, possèdent plusieurs centaines de ruches. Ces ensembles s’appellent des ruchers. L’apiculteur est vêtu

d’une combinaison qui ne doit laisser aucun passage aux abeilles et porte sur la tête une protection

sur laquelle est cousu un voile qui protège tout le visage.

Page 10: LES ABEILLES

TA B L E D E S M AT I È R E S

LES ABEILLES 2

UNE SOCIÉTÉ TRÈS STRUCTURÉE 4

LA DESCENDANCE 8

LES OUVRIÈRES 10

L'ESSAIMAGE 16

L'APICULTURE 18

UNE ESPÈCE UTILE MAIS MENACÉE 22

© 2020, FLEURUS ÉDITIONS57, rue Gaston Tessier, CS 50061, 75166 Paris Cedex 19

www.fl euruseditions.comDirection : Guillaume Arnaud

Direction éditoriale : Emmanuelle Braine BonnaireConception de la collection : Émilie Beaumont et Jack Delaroche

Édition : Amandine Doubre Recherche iconographique : Léa Bernardin

Conception graphique  : Éric Laurin sous la direction de création de Élisabeth HébertDirection artistique : Bleuenn Auff ret, assistée de Julien Di Giorgio

Mise en page : Graph’MDirection de fabrication : Thierry Dubus

Fabrication : Axelle Hosten

Loi n° 49-956 du 16 juillet 1949 sur les publications destinéesà la jeunesse, modifi ée par la Loi n° 2011-525 du 17 mai 2011.

Dépôt légal : mars 20202e édition – N° d’édition : J20015

ISBN : 978-2-2151-6483-8 • MDS : 660529N1Achevé d’imprimer en février 2020 en ItaliePar LEGO S.p.A par l’intermédiaire d’Ercom

Page 11: LES ABEILLES

Crédits photographiques

Fonds des pages : pixabay.com. Page 2 : Tête d’abeille © Shutterstock – Langue d’abeille © Shutterstock – Œil à facette © Shutterstock – Abeille de profi l © Biosphoto / Eric Tourneret. Page 3 : Apis Cerana © Biosphoto / Roger Tidman / FLPA - Frank Lane Picture Agency – Megachilidae © Biosphoto / Michel Rauch – Abeille charpentière © Biosphoto / Pascal Goetgheluck – Abeille géante © Shutterstock – Osmie cornue © Biosphoto / Joël Héras. Page 4 : Nid bien caché © Biosphoto / Ingo Arndt / Minden Pictures – Couvain © Biosphoto / Eric Tourneret – Rayons de cire © Biosphoto /Cavagnaro David / Peter Arnold. Page 5 : Alvéoles © Biosphoto / Eric Tourneret – La reine, le faux bourdon et l’ouvrière © Shutterstock. Page 6 : Communication permanente © Biosphoto / Claudius Thiriet – Abeilles © Shutterstock. Page 7 : Bouche-à-bouche © Biosphoto / Claudius Thiriet – Abeille aspirant du miel © Biosphoto / Eric Tourneret – Abeille et gelée royale © Biosphoto / Eric Tourneret. Page 8 : Accouplement © Biosphoto / Pascal Pittorino. Page 9 : Naissance d’un faux bourdon © Biosphoto / Claudius Thiriet. Page 10 : Nettoyeuse © Shutterstock. Pages 10-11 : Nourrir les larves © Shutterstock. Page 11 : Surveillance des larves © Shutterstock. Page 12 : Des acrobates-nées © Biosphoto / Heidi & Hans-Jurgen Koch / Minden Pictures. Pages 12- 13 : Abeille transportant de la propolis © Biosphoto / Eric Tourneret – Abeilles qui se réchauff ent © Shutterstock. Page 14 : Récolte du pollen © Shutterstock. Pages 14-15 : Récolte du nectar © Biosphoto / Michel Rauch. Page 15 : Abeille transportant du pollen – Gardiennes faces à un frelon asiatique © Biosphoto / Eric Tourneret – Dard © Shutterstock – Abeille soldat face à un frelon © Biosphoto / Eric Tourneret. Page 16 : Abeilles en vol © Shutterstock. Page 17 : Essaim © Shutterstock – Construction d’une nouvelle ruche © Photo12 / Alamy. Page 18 : Ruche en argile © Shutterstock. Pages 18-19 : Ruche dans un tronc d’arbre © Shutterstock – Ruche en paille © Shutterstock – Ruche Dadant © Shutterstock – Ruche Langstroth © Shutterstock – Apiculteur © Biosphoto / Eric Guilloret. Page 20 : Fabrication du miel © Biosphoto / Sylvain Cordier – Couteau à désoperculer © Biosphoto / Sylvain Cordier – Miel © Maximilian Stock Ltd / PhotoCuisine / Corbis – Chouchen © Jean-Daniel Sudres / TOP / Eyedea – Pain d’épices © J. Riou / PhotoCuisine / Corbis. Pages 20- 21 : Extracteur © Biosphoto / Denis Bringard – Nougat © Maurice Rougemont / TOP / Eyedea. Page 21 : Filtrage du miel © Eric Guilloret / Naturagency – Mise en pot © Philippe Lebeaux / Naturagency – Pollen Nicoloso / PhotoCuisine / Corbis – Bougie © Shutterstock ; Gelée royale © Biosphoto / Bringard Denis. Page 22 : Avion déversant des pesticides © Shutterstock – Guêpier © Shutterstock – Hirondelle © Shutterstock – Lézard vert © Shutterstock – Guêpe © Shutterstock – Frelon

© Shutterstock. Page 23 : Ruches de l’Opéra Garnier © Jean-Claude N’Diaye / Biosphoto.

Les illustrations suivantes ont été réalisées par Marie-Christine Lemayeur et Bernard Alunni :Coupe d’une partie du nid (page 5) – Coupe transversale d’un rayon de cire (page 5) – Évolution de la larve (pages 8-9) – Les nettoyeuses (page 11) – Les manutentionnaires qui fabriquent le miel (page 13) – Coupe d’une fl eur (page 14) – Combat de reines (page 16) – Schéma d’une ruche

moderne (page 18) – Schéma de la pollinisation (page 23).

Couverture : Abeille sur une fl eur © Stéphane Vitzthum / Biosphoto.Vignettes : toutes les photos proviennent de Shutterstock.

Les images à découper sont des reprises d’images des pages intérieures.

Page 12: LES ABEILLES

7,95 € (France)

MD

S :

660

529N

1

LES

ABE

ILLE

S