lenfant face à la mort. « a mon lit je me couche, a mon lit je me rends, si mon corps sy endort...
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L’enfant face à
la mort
« A mon lit je me couche,
A mon lit je me rends,
Si mon corps s’y endort
Que je ne pense qu’à la mort. »
Hélas! Laissez les pleurs couler de ma paupière,
Puisque vous avez fait les hommes pour cela!
Laissez moi me pencher sur cette froide pierre
Et dire à mon enfant: « sens tu que je suis là ?»
La mort vient avant que nous puissions avoir appris à vivre!
On pleure ainsi parce qu'on a dans la mémoire les larmes universelles
que la mort a fait répandre.
A toi petit ange,
Qui est partie il y a si longtemps,
Tu étais si belle,
Avec tes grands yeux bleus.
Je me souviens…
Des moments passés ensemble,
De nos jeux, de nos rires,
Nous étions si petites!
Et pourtant…
Je ne t’oublierai jamais petite fille,
Tu seras à jamais au fond de mon cœur!
« Je l’imagine souvent avec son beau « Je l’imagine souvent avec son beau sourire, ses yeux charmeurs et ses sourire, ses yeux charmeurs et ses
caresses si intenses et je me dis caresses si intenses et je me dis qu’ils sont heureux ceuxqu’ils sont heureux ceux
« Je l’imagine souvent avec son beau « Je l’imagine souvent avec son beau sourire, ses yeux charmeurs et ses sourire, ses yeux charmeurs et ses
caresses si intenses et je me dis caresses si intenses et je me dis qu’ils sont heureux ceuxqu’ils sont heureux ceux
Qui peuvent bénéficier de sa Qui peuvent bénéficier de sa présence, et qu’un jour je remettrai présence, et qu’un jour je remettrai
mon nez dans son petit cou et le mon nez dans son petit cou et le couvrirai de baisers comme c’était couvrirai de baisers comme c’était
si bon de le faire. »si bon de le faire. »
Qui peuvent bénéficier de sa Qui peuvent bénéficier de sa présence, et qu’un jour je remettrai présence, et qu’un jour je remettrai
mon nez dans son petit cou et le mon nez dans son petit cou et le couvrirai de baisers comme c’était couvrirai de baisers comme c’était
si bon de le faire. »si bon de le faire. »
De savoir que plus jamais, Je ne verrai dans tes yeux,Briller de mille feux, Cette petite flamme,Qui voulait dire combien tu aimais vivre Sur cette terre "sans âme"
Le souvenir de ton sourire,
Sur ton visage d'enfant heureux,
Me fait encore plus souffrir.