l'ecole valaisanne, avril 1958

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nédactiUll : MICHEL /lEUr HEY olliee de l'enseignement SION f( edaJ...timl: Prof, ERNST SCflMlDT Sch!tlill spektor BIUG Tel , (028) 3 1516 L'ECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE POUR L'ECOLE ET LA FAMILLE PARAIT CHAQUE MOIS me A NNEiE . 6 SION, LE 1er AVRIL 1958 WALLISER SCRULE ZEITSCHRIFT FOR JUGENDBILDUNG IN SCHULE UND ELTERNllA US ERSCHEINT MONATLICH 2, JAHRGANG ' N", 6 SI1'TIlN, DEN 1. APRIL 1958

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Page 1: L'Ecole valaisanne, avril 1958

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nédactiUll :

MICHEL /lEUrHEY

olliee de l'enseignement

SION

f(edaJ...timl:

Prof, ERNST SCflMlDT

Sch!tlillspektor

BIUG

Tel , (028) 3 1516

L'ECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE

POUR L'ECOLE ET LA FAMILLE

PARAIT CHAQUE MOIS

2ème A NNEiE . N° 6 SION, LE 1er AVRIL 1958

WALLISER SCRULE ZEITSCHRIFT FOR JUGENDBILDUNG

IN SCHULE UND ELTERNllA US

ERSCHEINT MONATLICH

2, JAHRGANG ' N", 6 SI1'TIlN, DEN 1. APRIL 1958

Page 2: L'Ecole valaisanne, avril 1958

La liturgie de la Semaine Sainte Abbé R. ROSSIER, vicai re de la Cathédra le, Sion

Die Kirche hercHet. Ll/IS dl/rell flle letz tclI d'Ci Tage d er Kwwoclw aul Ostel" VOl

donll crstag, KU/he1lal!. '"I(l J(w so.11Istag frire hel/cn IVlr WISe/il [('!Ide,,, sic" (m! c;çrl/I'

G~.l(ulelltug~ lJorz,.,.berclLeu ? WII wollcn sie 1/1. cme l"eltglO.~e Slll1lllumg' /Jersetzen D~e$(' i'~;;;~~~" wu' .~ ''I' e l~~I C II : dflrch e~l1e mi;glich st /l ei:uige 1'eilllflhm e a il d cr Liturgie; dt;rch I~~: ,, ' Uli//l g de, li~dlg~1L ZeremolII en ; durci, das Emrluû tell des tic/enl Silll! e.~ jedes eill zelnclt 'l .ages.; d~u';h IILl/rglsell e T"~Slm!.'!JI. Ilud . Gebetc und durci, l'erso,,liche Op/er, auf die wjr sie ll/lI we/.~e/J . ~o .. wcrdell (be ["-lmler dlesp. Tage der [(" ,.,voche cr/cben und ih H . d Ostergtlade WC IL a/hw/!. r en pr

Quand VOus lirez ces lignes, nous serons déjà dans la semaine sainte.

Elle est là, comme la dernière étape du carême, toute tendue vers le Jour entre tous, celui de la résurrection: Pâques! Pâques, triomphe de la vie sur la mort, de la grâce sur le péché, de l'amour sur la haine. Mais à que:l prix, ce triomphe! L'Eglise qui nous met en contact avec lui par sa liturgie (la liturgie, surtout la liturgie sacra­mentaire, a justement pour but de nous rendre présente, sous un rite déter­miné, une œuvre rédemptrice du pas­sé), nous fait vivre, par cette même liturgie, les événements qui ont mené au triomphe. Jeudi, vendredi, samedi. saint, autant de jours où nous retrou­verons réellement, bien que sous un mode spécial, liturgique, le Christ rom­pant le pain, le Christ mourant, le Christ mis au tombeau, le Christ res­suscitant. Ces jours que seront-ils pour nous? Et pour les enfants dont nous sommes responsables? Ceux-ci reste-

ront-ils en marge de ces richesses que l'Eglise nous rend accessibles, ou au contraire boiront-ils aux sources de vie? Cela dépendra beaucoup de nous.

Les prêtres chargés de l'enseigne­ment du catéchisme auront déjà parlé ou parleront encore des cérémonies que nous vivrons bientôt. Peut-être serez-vous tentés, à cause de cela, de ne rien ajouter, de ne rien faire d'autre. Est-il vraiment nécessaire de rappeler combien l'influence du prê­tre est limitée auprès des enfants si elle n'est prolongée par le personnel enseignant? De sorte que toutes ces explications risquent de rester « blo­quées» dans un coin du cerveau, si vous n'aidez l'enfant à en faire un ali· ment de vie. Il est donc très important de créer ou d'intensifier l'atmosphère relig ieuse, ces jours.

Comment s'y prendre? Permettez· moi ici de vous rappeler quelques points qui pourront vous aider, et

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auxquels d'ailleurs vous avez peut­être déjà pensé. Il ne s'agit pas d'épui­ser la question, i'en serais incapable. Cette atmosphère religieuse pourra se

créer à partir : 1. D'une présence et d'une participa­

tion active aux offices (chants, lec­tures, prières ... ). La question de la pré­sence posera peut-être un problème à certains endroits, à cause de l'heure tardive des offices, surtout pour le samedi-saint. Quant à la participation, il serait urgent, si l'on ne l'a pas déjà fait, de se mettre en rapport avec le Révérend Curé de la paroisse. C'est avec lui qu'on règlera toutes les ques­tions concernant ce point.

2. D'une explication des cérémonies. Si elle est faite par le prêtre tant mie.ux ! On n'aura qu'à la reprendre en insistant sur l'un ou ,'autre point. Si personne ne s'en charge, alors vous pouvez, à J'aide de votre missel, dé­gager les lignes principales de chaque office, et en donner un léger commen­taire. N'entrez pas dans trop de dé­tails, l'enfant se perd dans la multitude des choses. Chaque jour a sa couleur propre, son caractère propre, si l'on peut dire. Il est donc important de le faire nettement ressortir. Ainsi le jeudi­saint, J'accent est mis sur la Cène, l'Eucha ristie; et le lavement des pieds signale l'amour du prochain, comme un élément nécessaire à toute com­munion avec le Christ. Le vendredi­saint, c'est la Croix qui est mise en relief avec la lecture de la Passion, avec les grandes prières universelles parce que le salut vient de la Croix, avec "adoration de la Croix où J'ins­trument de notre rédemption nous est

dévoilé, et avec la Communion où nous nous unissons au Christ crucifié. Le samedi-saint, durant la journée, l'Eglise nous fait penser au Christ « caché » dans le tombeau: les autels sont dénudés, les tabernacles vides, il n'y a aucun office jusqu'à la nuit où nous célébrons la Résurrection. CeHe­ci est symbolisée d'abord par l'appa­rition de la lumière dan~ les ténèbres, elle est vécue ensuite par le baptême (passage du péché à la grâce) elle éclate pleinement par la présence réel­le du Christ durant la Messe de la Résurrection.

3. De ledures, prières et gestes sug­gérés. Lectures liturgiques illustrant les explications données. Ainsi le jeudi on lira l'épître, l'évangile ... le ven­dredi on pourra prendre les 2 lectures précédant le récit de la Passion, etc ... Ces lecture,s se feront avantageuse­ment au début de la matinée après la prière, qui, elle aussi, s'inspirera de la liturgie du jour (oraison de la messe ou de l'office ... ). Lectures et prières auront l'avantage de donner, de suite, le ton de la journée. Il ne restera plus au maître qu'à suggérer un effort dé­terminé pour la journée: aujourd'hui nous faisons tel effort .. . pour nous donner avec le Christ qui se donne (jeudi, charité), pour mourir avec le Christ qui meurt (vendredi, mort à l'égoïsme), pour être caché avec le Christ dans le tombeau (samedi, oubli de soi) ...

Avec cela, l'enfant qui a vécu toute la journée dans le sens indiqué par la liturgie, n'aura pas trop de peine, le soir, à goûter - à sa mesure toutefois

la richesse des offices religieux.

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Page 3: L'Ecole valaisanne, avril 1958

Tout cela va nous demander du tra­vail : contacts avec les prêtres, étude sérieuse du missel, choix des lectures prières, résolutions. Oui, c'est vrai: cela exigera du travail, une vraie re­traite, el la grâce pascale jaillira plus

abondante dans leurs âmes mel"iei~ le usement préparées. N'est-ce pas dt l'effort, de la souffrance que jaillit 1 Vie? Pas de Pâques, sans vendr.d~ saint. Bonne chance!

Bildung und Lehre Dr. Albert CARLEN

MUllo: Steig iiber dell ZUUIl Ulld schau

zmiicJ.- ; dlltlll ÛeJu;1. du d einell Gurlell

besser !

~~ gymll~uc clossirJu e 1I0U.~ montre bien lu di~' liIiCLio/l qu'il !mlL établir cntre la cullllre el l mMruclWII . Le 8J'III,wse Ile SuuraÎt sc CQlltenter d'être une û mplc l)réfJumtion aux étude5 spéciales; s'il n'était 'lIU! cela, ou ne cmnprclldl'ait JUH pouI''luoi l'on y étl/die cer/ai"es bru1l­ches q~l(! plus .l(jr~l OIL n ' //f',il,i sCI'{1 pratiquement /HIS . Celle ICIU. ;.~e cOllceplùm du bilL des collèges comllUt parlol.s Il cles CnlUjLICS injllstifi.éc,~ de ce type d'élllth~s , LAI plupart des brmlcl!es étl~cliée.~ ait ~y,mllJS f:! ,'te, d~nl1ent pas d e c01l11ai,çsances valables en sui, des c01U1ui.çsllII ces « qlli iJ~tel~t ), m cu s ce.s cl,sclpllll es forment l'être h"maill, sa pcrsolullIlité, ouvrent ~OIl esprit et ~fg~ "sent sn sel1.sib,ilité, ~ 'out all contrai,'e, I.e .~ imJJI,e ense igl/ em ent dOlin e cerlllillCS technique. ,:~df.S~)eILSables ft l cxc:clce d 'ullc professio/l , POlir Z'ecclésia..s ti(Juc, le magistmt, le nr édeci/I , l JIIStltuLeur, la COllllau,mllce des tec/HlleJues propres ù telles brwlches ne !Ul flit pas, Il leur

/t~ut el/core U~l certain prest.ige intérieur (JU C seule la cl/lture peut apporter, Le gymnase das­s" q~e ~IC cultl ve donc avant l,out ni les mathématÎcJlIes, ni les sciences, mais la philosophie, llHs~OlreJ les langues cUlciellnes, la ltl1lgue maternelle ct, par elles, l'ouverture de l'esprit el

s~n IIIclépendallce d e jugement, Tel est le but véritaMe que l 'Olt doit assigner aux études clas­siques,

Cetl~ IJUe dit but à aU P.. indre doit aussi ex ister dun.s l'ell seigtl el1Umt primaire. N otre école cOllr'

le ~McJu e d'être cUlltaminée pur cet esprit ntililOi,.e qui la fait m éprisel' tl'Op suuvent tout ce CIIU < II C sert IJas» di,'eCLemcllt. 0" oublie que la v fk iulble formation du cœu/' de l'en/allt ne d épclld pas de la m éthode employée, mais du sens Pl"nlond d es lwaies 1)lIleu/'s, dit sens de l'édu. caLiOll quc le maÊtre pOrte en lui,

* - 304-

VORBEMER/WNG

Unlel' den \'(" l'schi ell c ll clI wi chti gen Schulfragen. di e wcite Kl'e Îge - bei uns und anderswo -

e, enwiir lig gd .r s hll'k bcschiiCtigcn, steht jCll e ntl ch der Aurgabe d cs heuli gen Gymnasiullls. ~.dl der Wii nschba rkeit und Moglichkcil se.inel' An i>ASSllll g lm neue Bediir fnisse und Anforde" rllugen, hcd ingt durch die geradczu ~tliJ'mische Enhvicklun g in Tcchnjk und Wil'tschaft, Bille gfl nz besonderc Bedcutung gewillnt di ese Fl'uge Ali Ch lIoch durch di e :r.win gende N Olwen" lligkeil• den tatsiichlich b c.s tehenden cmp(jndli chen MAn gel an tcdmischen Kadel"ll in unserm eigeustcn I ntcr c!!sc l'ccht hnld zn bch eb cn, Die Gcfahl', un Bililung und Lchl'c zn sparcn, mll nlogli chs i I" ft sd. nus eill er blühenden Konjunkt\ll' lIlutcl'i ellen GCh'iull zu zich en, besteht, 1111d iluch jcnc lllldcl'c, S tuclium lilld B el'ur llH Ch solchen Gesicht spunklen UtlSzul'ichtcn, Es iSI duhel' dn iiuSSCl'sl VCl'lli cnstvolIcs Untcrnehmcll, mÎI all er nUl' wÜlI schbarcll Dl'inglichkcit sur

dell 1Il1schii tzlllll' t' 1I Werl hnIl1Hllisti ~chf'I' Bildung hin:r.uweisc ll, wic sic gcrade 1I11SC1"e kutho" lischcn G)'IlIllASicll in HlIsgczcidlll elcl' W eisc ,'enuittc1n, cine Hildun g. "UII del' w.iL" überzcugt ~il1d, tillas sic ni cht IIUL' Hi,' cl en Thcologt'II, Al'ZI und JUl'lsten di e lwi-I t r , di(: idealc VOI"hercitullg ,uf dlls Fach sludiulll dlll'uelIl, 50ndern mlch Hir !,l''d ere B erure,

Del' RedakLor diesel' Zeitschrifrt., lIIein verchrter Hel'l' Kollega, el'suchL Illich, h ier kurz d'arzulegen, was Bi!· clung sei und WHS sie mi t unsern Schu· len und uns selller zu tun hat. El'­lallhell Sie, dass ich diese Frage auf einem Umweg, der mir gelaufiger ist, zu heantwol'ten versuche. Es 'gibt cine Sclllùstufe, die sicb mehr aIs andere ZUDl Ziel gesetzt hat, nicht an el'ster Stelle pl'aktisch es Wissen, sondern Bilclllng zn vennitteln : das Gymna­sium, VOl' allem das hunmnistische Gymn8sium mit Latein und Grie­chisch. Wenll es gelingt, darzulegen, was JUan da wiJl , und zn rechtfel'­tigen, was man da tut, ist zugleich ge­sagt, was Bildnng i st und warum we­der Leh l'er noch ,Schiller auf sie vel'­zichten kODnen. S ageu S ie nicht: Oas geht uns P'llimadehl'el' werrig an, Es gd l.l uns an, die wir an d el.' For­mung der J l1genc1 arbei ten und uns nicht mi t blossem E intrÎ{:hLel'n " von unverhindlidlem \Vissen begniigen woUen , Anf we] chet, Stufe wir ,nnch tlllLcnichten, das Ziel i5t nuf weite

St reckcl1 hill das gleiche, wenn anch der lStoff, mü dem wil' es Zll erreichen sllchen, Z Ull1 Teil verschiedell i 5t .

Haben Sie ein wcnig Geduld ! Viel­leicht erweist es s ich ZUlll Schluss, class 5ich cHeser Weg aIs pl'aktisch er­fol greicb h crausstellt.

lm land)al1f~gen UrteiI, clas der Gymnasiast, dns konk1'ete Bel'ufsziel VO l' Augen, wohl ohne weitel'es teilt, sch eint die Sac11e einfach : Jedel'­mann besu cht die P'l'imarschule, weil man h eute leseu, schl'eiben und 1'ech­llen konnen muss. Entscheidet sich cler junge Mann filr einen akade­mischen Bel1uf, oder wird el' von sei· nen Eltel'n dahingelenkt, clmnit e l'

einmal nuC e inem hohel'n, geachte­tern , eintraglichel'n Posten steh en kOlll1e, lll'll SS el' clR S Gymnasitml hesu­chen 'aL" unel'Hissliche VOl"stufe ZUl'

Uni vCl'si üit. Endlich cignet er sich an (1er Uni vcl'siüit das notige Berufs-

- 305-

Page 4: L'Ecole valaisanne, avril 1958

wisscn un, macht dUlll1 sein Stants­eX'um en und wird ~als hoffnllngsvoller Jlll'Ïsl, rf.heologe l 1\fedi:t;incr, Inge­nieur, aIs MiLteI- oder Hochschul-1el11'e1' nuf cHe h egliickte lVlenschheÏl losgelassen. Das scl1eint e inf acli klar ' der Weg ist VOl'gcze.ichuet, da's Zicl sichtbar, und etw:as anderes gihl es im NormaHall ni eht. Frl'eilich ist clas Gelcl manclunal schwer zu heschaf­Cen, di e Exanuna sind streng, diesel' und jener bIeibt 'auf der 'Strecke <in­clem el' mOl'aHsch oder geist ig vel's~gt; doch sind diese FaIJ e Ausnahmcn, clie das Gcsamtbild nicl1t zn triiben ver­Ulogen. So wei t, 5 0 gul,

J edoch winl der Bildungsgang fl'flgwiirdi ger, 6oba~d man die Fachel' Îln ein zelnen anschaut und auf Wert oder U nwert zn ühe1'p1'iifen begiunt, D a seufzen denn dic annen Gymna­siasten untel' ü Jledast des Lehrslof­fes, zn l'ccht odeT zu unrecht, hleibe dahingestel1t, Wozu .]ie hohe1'e M a­

thelna1dk, ai e Chemie, Llie Physik, die i ch 3 ] S Ffaner, rus Advokat, aIs Be­amter, aIs Lehrcr doch 11icht bilau­che? Sollen es dic studie.l'en , die spa­t.er Wissensclw ftl er, Ingenieure, Phy. sikel' oder Arzte w0rden ! Und umge­kelnt jammel'll die Anwal'le1' 'aur clie technischen Berufe und vicIe mit ihnen wegell cler Übcrzahl der gl'ie. chisoh en S llUlden, dem Iateinisch cn Drill, cler QuaI cler A llfsatze, über di e Gesehichte und L ileraturgeschichte . Das alles m einen sie, sei toter Ballast, der Lei dem Sprungc an dns Polytech­nikum oder die Univel'siüit iibcr Bord gewO'l'Cen werd e, 11111 nicmals wiedc l' gebraucht :'.u wel'fl en, Zugegehen, anch fü.r rlie nalunvisseuscllaftli ch en

Bel'ufe ist es von praktischenl Wetl einige hund ert 1ateinisch e und grie: chis te J.lremdworler zu k ennclJ 8cheint aber doch ein ullver zeih1iche; .LnxlIs, Huf Kosten wichtigcl:er Fachet acht jaJlI'e ILatein und sech s Jahre Griechiseh zu slndieren, die ver_ schlungenen Fiiden dei' Satzle1u-e zu cnt.wirren, Taoitus und Cicero, So. phokles ·und PJ1ato zn entzj[[ern, III e in cm zweij ahl)igen Kllrs konnLeu die paal' h11ndel'l '''ol'ter und nolwen(ü. gen Fo1'meln ohne weitere..<; edernt und eingepaukt werden, Und die ge­plaglen Eltern, welche den dorui, gen Weg ihrel' gell ebtcn Spl'üsslinge verfolgen, und nlÎt SOl'gen die finan. zie}len I..3sten des nie endenden St n,

dilLlns h edenkeJ1, geben ihncll offcn oder insgeh eim recht,

Und danu kOlllmen die jungell Leule a11 die Univcrsitat lmd m erken, dass sic zu wenig und zn viel wissen. sohafrtli ehe Vorbildnng haben: zu wenig in lIen Fachern, die nun ZII

ihl'em Herufsstudium gehfuen, llnd z u viel in aUen andenl, welche sie

ni cht mchr gebl'auchen, Es karul nicllt gelel1 gn et werden, dass dicses I\1'Ïssbehagen gesteigert wird rlul'ch den S toff ch'uck, der von Beiten der math em atlscben und natul'\vissen· sch afùi ch en Fakultiiten und VOl' al­lem der Eidgenossische.n Technisehen Hoch schu1e ,auf die Schülel' allsgeübt wird un'cl bis jus Gynmasiull1 spiirhar ist, Diese 1'a tsach cn wro'c1en alsdann dl1!l:ch cHe jtulgen Ak'adem~kcr in EH· post ' und wohl aueh noch einiger Vbertl'eil'tuJg Hil S [l'ühere GynmasiullI zlu'ii.ckgemeldel , was dOl'·t cine Ath· mosphJ:i,re der Unruhe und U'llsicher·

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heil schaff.t und den lVla turanllen die Oberzeugung hcihringt, die mengen­nûissige Vermehnmg ihre:r ch emi­sehen, ph ysikalisch en oder mathema­thischen Kenntnisse und das Ver­trautsein mi t allcn manuellen F'el'.tig­keiteu des Lahora'lol'inms seicn he· deu:tend wichtigel' -aIs das gcruhsam c Lesen des Faust 'Oder eill klar entwor­

fenel' Aufsulz,

Mag mal1 soIche Klagen ein Ans­weichen VOl' clen Sclnviel,jgkeiten nen­nen Ilnd sic jugencHichcm Unvcrstand zusehl'ciben, de"!' mit zunelunender Reife von sclJJst zur Einsicht kommt _ und zum Teil stimmt es - so wird me Sach e hedenklicller, wem1

mail Akndemiker in Anlt und WÜl" den iilnùÎche Meinungen aussern hOTt, « Ieh war ·ein Musterscbüler im Grie­chischen », sagtc ein tiichtiger und gescheitel' Chirurg, 4: und k,ann k'aum mehl' Iesen, Wie wünsohte ioh, ich vermoehte sMtrt dessen die englischen Fnchzeitsehtliften zn verst'chen ». Und ein Sekundarlehrer klagte: «Alles, \\"as ieh .am Gymnas·jllm v:ernachJas­sigte, Zeichnen, Gesang, Turnen, Deutsch , sollte ieh hahen, und alles, was icll mil E ifel' betrieb, brauch e ich nicht », Und so fort, Das Missbe­hagen der Akademiker und die Zwei­rel an dem Wert ·ihœs Jangen Bil· dungsganges m elden sich besonden, wenn sie erst 'mit dreissig ].ahren da~

Zukollullen , .sich selbstandig zn ma· chen llnd ci Ilen Hallsstand zn '~rün­

den j wenn iechnikcr, die aus dem Hundwerk J.;:ommen, ihnen gleichge­Rtelh wenlen ; wenn Nichtakad elui­kel' sie a us den kuntonalell und eiclge­nossiscllen P larlan\enten verc1rangen,

wenn jeder Handwerkcr und Un­tel'nehmer (nicbt gegen diese ehl'en ­vollen Bel'ufe !), sie finanziell zehn­m al ühel'fIügelt ; welm sÏ'e seh en müs­sen, dass ihnen hci ' Vr.:lhlell die <akade· misch en Ti tel eein Hindenlis sind, die sie schamhaft veTSchwejgcn müs­sen, Die llcutige, unerhol't helastende KOlÙ(Urrenz erlauhe nicht melll', ei­l1i ge J u;hre sich ungestOrt mit Vissen­sehaflt und Kunst zu hcfassen, wic cs am GYll'lIlasium gesch ehc, sonden1 mü.~e ein er 1'l'iihzeÎloigen Frachaushil­c111ng weiohen, in welcher Form sie hume.r am Gylunasimll betriehen wel'­den konne, Das liebende Sich"ersell­ken in die Welt des W.ahren, Guten und Schonen sei ein ullverzeihlicller Lnxus in cler heutigen harten Zeit, wo cs lUlU ISein oder Ni chtsein gehe.

Von diesel' Unsicherheit und Un· ruhe ~st dus Gymnasil1m sowohl aIs auch das akademisohe Studitml er­

schÜ't:.let\t . Mlun versucht KonzessÎonen zou maclren llilch der Seite der prak. 1 isch en Niitzliehkeit rhin, In der M·a­llll'a C iSl Griechüich und Latem ab­gcsühaffl ; aber anch die andcrn Ty­pen sind sturk unteJ.'hühlt und mit allelll moglichen BaHast üherfüllt. In den m eisten staaÙichen Gymna. sien, niclü h ei m1S zum Glück, ist die Philosophie auf eine w'enig verbind· lich e Philosophiegeschichte zns'am­m engesehrmnpft, Sollen wiT h ente an­gesi chts diesel' 'Schwierigkei ten kapi­tulieren, wie es Dr, Ernst Haensslel' im Basler Schulblntt geschriehen hal: « Die piiclagogische Theorie h at den Begriff del' BriJc1ung formaI durch­HUS 'oÎnwandfl'e i fonllu1iert, D ie Schu­le aller muss b eute ehrlich und offen

- 30ï -

Page 5: L'Ecole valaisanne, avril 1958

gestclten, cluss sic di ese formaI und bcgrlff]j ch geJ'usste Bildung verah. schi cden muss. Sie k'ann h en te ke inc BUdling 111ehr gchen, woh] aber noch Aushilclung in eng bcgl'en zter Vel·. zweckung ». (Amn, : Dieses und noch einige fo]genclc Zi tatc entninllllt der Sch reibencle dcm 135, Jalnesberi cht der Sti~tssehllle EÜlsiedehl (1954) .

Mit cliesem gl'un dsiitzlich en Ver. zi cht wiiren wh am E nde jeder ech ten BilcllUlgs31'beil angel angt. Dagegen

wehro11 wir uns, Nach der klassisch en FOr1l11Ùierllng des hl. Th om as sagCl1 wi1', n achdcm wil' die Einwande VOl'­

ausgeschick t h aben : Sed con llra es t - Dagegen ware Z li sagen :

• Erwarten Sie nicht, die Antwor t

8 11f cliese Beclcn ken künn e ohenso ein. fach , kJal' u nd schlagend formulieTt werden wie die E illwan de selber und in zwei , cl rei ISiitzen liessen sich die Wtirkungen des Gymnasialstudiums aufzeigen, Es liegt in der N atur d'el' Sach e, dass gcis tige Wr:irknngen, wie e lwa cHe Wirknng des Gehctes, nul' sehr 5chwcl' un d mit grosser UlllSicht feststellba r sind, obsehon an ihnen llicht zu zweifeln ist. Es mag schon von N utzen sein, einmal das P1l'oblem in .seiner ganzen Seha'l'fe siehthar zn m ac11en, wu auf clicsem Wege lah. m ende Zweife1 'Ull die OherfHich e zu brin gen.

Ich m uss gesleh en , class ich zu einer eindeu tigcn, klarell Antwort nic11t vOI'gedrungen bin, soc1ass sich sagcu liess'e : Hier jst der .Bl'auken , und hiel' ist das Brot, das S ie dafür be. kommen , Del' h entige .ak<a de111isch e

B ildu ngsgang ist cin echtes, w:irkli. ch es P roblem mit ta tsachlichen Schwicrigkeitcll. Anf deI' eil1el1 Seite die otW'cndigkeit, den stets wachscn. dCll bc.l'u fJicllen An forclel"lmgeu ge. wach sen zn sein, und au f der andern Seite die ungestol'te Pflege des Gei. stes und der P ersonlichkeit. Es 18t in m ehl' ols einer Be:deIHUlg eine paradoxe Lage, der nicht lnit cinen) theo1'e l:Ï sch en Allheilm1Ltel und ein

pu al' Stundenplaniinderungen a111

Gy mnas imll beizlIl<:OJnmen ist , Son.

dern clie mU' im kOllkreten F alle VOln

E inzelneu bcstanclen wcrden kamI. Vicl1eicllt liegt gerade in diesel' Ge. genslitzlichkeit die frnclltbal'e Spau. nUllg, die den .gtets wachsenden Ein­sa tz der \'ollen P ersonlichkeil fo rderl und ein Ahgleiten in die geistige Be­Cjuem'li r hkeit verhindert. Immcrllin lass l si cJ l verschiedclles sagcn ,

VO l'erst ist vonnoten, cine .galùlere begriffli che Ahgrenzllllg von Bildung und Lehre zn geben, Bildung und LeIne untersch eiden sich in der Zie}. l'ichtutlg ungefühl' 50, wie Schiller und Goethe in den «Xenien » von dem vCl'Sclliedeuen Gebrauche der \Vissensch aft sagen :

« Einem œst sie clie hohe, clie himm· Hsch e GottIÎn , dem andern

Eine tüchtige Kuh, die ihn mit But. tel' versol'gt ».

Sobald m an au d,as Gymnasimu _ wie übel'haupt an rue Sch Uile - her. angeht mit dem M!asstah de"s prak· tisch Nützliohen, winl es vollig un. vel'Standli ch und überfliissig, Philo· sophie uud Gesohichte, Gdech~sch und L a te jn, Literatur und KUllstge. schich te, h oh ere Mathematik und Na.

- 308-

1I1 f\~jsse ll schafl , d, h, fas t a]]e Facher Ileli humanistisch en Gymnasiullls sind uichl Realfach el' wie U m gangsspra.

chen, Zinsreehnuugen und R echt· schreil.Hl ng, Sie vermitteln kcinc un· J1uttelba l' mÜllzbaren Kellntnisse llnd Ferligkeil\ell , dic man gegen Elltgelt nach aussen wei tergeb en kann. Das Gymnasium solI '11i cht e1n h albes Fachswdium sein, sondenl eine lUI·

verkau fli oh c IUld unverlierhare Bi]· dung, ÜLel'spitzt gesagt: M'an stu· dier,l am Gy,mnasium gerade das, \Vas man pl,aktisch nid 1t hraucht, was aber (las eigell e Innel'e au ferhaut , den MCllschen er..st zum Mensch en mach t, die P'Cl'sonlichkeit weitet und festigt, uns empfindlidl macllt l'li t

wah l' ll nd fa-1sch , gut und schon, d. h. einen echten Masstah der 'Verte ver · nÙu,elt. H ier wh'cl gelehrt lllid gelernt, \~as den E uropaer untersclleidet vou den Asjnten und den nlU geschafts­lüchûgen Alnerik!anel'n (die nota bene gCl'aele d'<U'iUl sind, ihl'e nul' IH'akt.ische Schule nach der ZipJrich· tung des elU'opilisch en Gymnasiu1l18 UIllZl1l1lodell1 ) ,

An del's ein e Lehre: Eine Lehre briugt die n otigen k ol'perlich en oder geistigcn H andgl'iffe bei , die znr Ans· ilbung cines Bernfes el'fOl.·derlich sind, und h auptsachlich dies. Die ange1Cl'll' ten Fiihigkei tcn sind l1ach ilu SSCn ver· kaufbar , werclen bezahlt ; ibr E ntgelL ist de r gc.rech t:e, angem esselle Lohn und nich ts wei ter. Diese üngclenlten Fiilligkei.ten nehmen nicht den VtU­weg liber d.ie P el'sonlichkeit. Sie ge· hen in die Hand und ·aus der Rand, hochstens noeh über den Vel'srtand ; aber Herz II nd Gemüt W e!.l:clCIl nicht

llavon betro ffen, S ie vcrl110geu cla­l'um aud ) clnen l\'I.cnsch cll nicht zn erfüllen , Kcin Wort sonst gegen die Lchre. Sie ist uOlwcndjg und e.Ill'cn· haf, t ; es IllllSS ~i e gel1en.

Aher fl arübel' hinaus gibt cs Be· l'ufe, wo diesc hlo55 meehanisch e Ah· wjck'hmg ni(!ht gellügt. Der B eruf lIes GeisÙich ell, des Antes, des Rich· te llS, des Betriebsleiters, des Leh re"rs tlsw., d, h , aller Bernfe, die znl' vol· len WiÎ rkung iln"er AI"beit ciner g l'OS­

sen il1l1'Oo1'l1 A ntol'itat bedül'fen, erfol" dern den Binsatz del' gaUZ"Cll Persoll' lichkei t , E benso wichtig wi e das tech · ni selle Fach wissen sind die rncl1sch1i. ch en QU<l litiitcn: dje Bildung des H erzens, das V'CralllWOl'tungsgefülù , <lie Grün(Uichkeit, die Ablleigung ge· gen P fusch flllH.l Sch windel , die Elu­fUl'cht, die Sehn&llcht nach dem Gu· ten und 'Sch onen, das psycllOlogischc V'C l'stünclnis, die sprachli ch e li""ormu· lier,uugsk'l'aft, cle t' Überblick über die e.inzelnen \'\',i s~ensgcbiete und Ge­schehlllsse, die l'aseh e Aufr asslmgs­ga be, dic Anpm.sungsfiihi gkeü , die W cite des Geistes, der gesC',hichtlich geschu'rfte Bli ek, der in die Vcrgan. gcnh eit hinlU1tcl'l"cicht und claTlul1

anch in dic Zukun.ft, Es muss je. m and geben, der iihel' den personli. ch en Nutzen oder Schuùen hinaus die Zusnmmenlûinge überblickt und d ie Vel'untwortung fiir die AIlgemelll . h eiL libernimJ1lt, und han (11 e es sich auch nu l' mu eine Ideine Gem einde; jenumd, der fiihi g ist Zll fragen , nicht, was ist gul für mieb , was ist wal11' zu meinem N ulzen, sohün zn hesitzell, sondenl: Was ist gnt, wahl' und schün an sich ? Ein solch er E ins-at z

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Page 6: L'Ecole valaisanne, avril 1958

deI' ga nzen .Personlichkcit, he i dem maLl nicht bloss sein Wissen oder Konncn, sonclcrn sic11 selhcr jedes­mal mil in die \Vagschale wirft., ist dalll1 alle.rclings nichl mil Celd auf­wiigbar. Man sagt daller llicht: E.r bekolllllll den angcmesscnen Lohn da­fiir , sondcrn : E r hCZlieht cin Hono­raI.". Dnriilier hinaus ahex sammeln sich innere, nnbezoahlbiH'e 'Verte 1\n, Gewiss haben das nichl alle « (;.chil­dc ten » und allc M enschen diese1' hohen Hel'ufe erfassl, und es geht irgendwie ~tu ch sonst, abel' nul' ZlllU

grosslen 5clHIC..len cler Allgen1einheit. Nicht dalllit clie Vel1tl'e ter rlieser B e­

l'llfe nachher l eic"hler und mehl' Gold vel'dicncn kÜlme.n , stoUt der Staat un­tel' grossen Opfern die l\1ittelschu]ell tmd Hochschulen zur Verfiigung, son­dern clamit clwas nit' Irlie GClllein­schuft No twencliges Ihel·anssehal.le,

In den Bergen hoi SulJiaco hinle l· Rom sah dCl: Schreihcllde VOl' 20 J uhl'en, wie ein l\Œann eill lanfkeimen­des junges ,'\l iihl ehell wieder mit (len

'Vurzeln ausgrnh, ' Varum 0 1' das rucht wachsen lasse, fra gle 'el' den :Mann, Es ergehe d och mit den .T ahrel1 den ~iI'bons len Wald, der hiel' fchic lUld

unhezahlhar wiire. « \Varwn 5011 ich den wnchsen ]assen ? :t antWOl'tete d er

Mann, « Dan11 haLe icb nichts clayon,

m ein 50hn h al auch nichts da von, und die spiilern sollen wieder selher sOl'gell ».l\!lil einer solch en Einstellllng allein iat kein Volk und kein Land

lebensfaJlig.

Djesel' Ulllerschied zwischcn Bil­dung und TJehre muss VOl' Augcn ge­hUlh en werdcn, wenn man das Gym-1l3sillU1 verstchen will. Es geht nicht

Hill die ~ul:tbarkeit uud praktische Allwendba l'kei t, sondel'n 11111 oine fot,

mule Bildllug,. bei der ich Sprachc, Vel'st.alld Gcmiit 1111(1 rli c sitllichc1, Fi"ihigkeitcn handhaben Jerne, und es geh l um ciue geistigc Allgemeinhil. dnng, (lie rIen ü berblick nnd die Weite des Geistcs verbürgt.

Ein ,anderes <Îs t 'cs, ob nlln die heu. tige } .... 01'l11 des GymnasiulUs gerade cHese Bildullg vermiloLelt odel' l1icht, und ob au ch andel'c Fonnen der Aus. biluung, die zugleich die prak1ische Vel'wendbal'keil mehr ÎJ1 den Vorder_ gnmd s LeUeu, diese Bildung zn geben ve-l'I.n ogell .

Gewiss Îsl zu sagen, class jedes Fuell und jede Schul e Bildllllgswerte zu vennillelt imslandc ist, werm nUl'

cl er Leill'el' rliese 'Ve rte reichlicL in si('h tragt, tilld der Sohüler willens ist, sie Rnfzllnehmcn ; das8 ferner allch

das Gymnusiul11 oder einzeine Facher wil'kllngslos hl eiben kônnen, Dal'auM

mag m an seh en, wic unendlich wich·

lig cHe sOTgfiitige AU5wahl der Lehr. kriiflte ist; d mis man E1llSichtige, nichl bloss Diplome anstellt.

Man pflegt bei der Vertcidigung rIes kl ass isch en 5tudiums genl.e auf· zuzeigeu, wie die Miinner, die die­sen Bilclnngsgang chll'chiaufeu ha· oen, sich bewahrten, und das wohl mit Recht. Prof. Joseph V, Kopp, der Verfasser des «Sokl''éltes» und des « Brulus », hie1t 1954 in Luze.rn ci ne ausgezeichnete Ansprache an die scl1 eillenden l\IIaturanden, Dort wies el' hin 'anC den ISta'l."ltslll.ann Ph, A.

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SegesSCl', auf Pfal.Ter Slulder, den Begri.incler dOl' ·schweizerisch en Nrnnd­PJ1tforschung 'U. a, Wir kOl1utcn hier hei uns 'e t wa einell DomhenIl D. hnesciJ rJlennen, lhnen 'ancn, sagl Kopp, sei eine \VeiLe des Geistcs ci­gCO, cin e Fiihi.gkeit, sich !luil den ver­sohieclenste.n Problemen zn )1e[a5SCI1 , und sje hiitten ,"1ch g"l'.ade auf Ge­hietell ·a1.lsgezeichncL, (Lie nicht zu ihretm engerl} F-achwissen geho·rten, Das stimmt. Es ist aller schwiel'ig, uachzuweisen, dass :s ie gel'ade dll'l·c.h die kl uss ische .B.iJduug das geworden sind, was s ie Wal'CH, Ein anclcrer Bil­dungswcg stand ihnen l1ich1 offen, und sie ha t,ten sich hei e inem andel'n Studium vielleicht eh cllso bewahrt.

IUUlleI'hin haben -sich zahlrciche Man­nel' mit klassischel' Bildung h crvor­ragend Lewalut, wiilll'end manch e Schultypen ·den Beweis erst anzutrl!­ten hahen . Mml k,ann sageu : Das Gymnasiul11 biotet ailso die Mog]rj ch­

keit , eine reich e und wertvoll e Pcr­sOlÙÎchkeiL zu wercIen, LUul das i5t schon viel. BUteon WVI· uns, eine 1.11.sti· tution leichtercUngs üher Bord zu werfen oder .lit) verwassern, h evor w·j r clwas Besseres oder l1l"indest ens

GleirhweL1Liges gefundcn hahcn.

Es muss cloch auffallen, rlass die Akademikel', we1che die Matura A und B ahsolviert habell (mit minde­stens einer alten Spradm), in der Gl'Osszahl wiederl1ln ·den gleichen Bil­dlll1gsgang wii,hlen wiil'den, wahreucl die teinen Teehl1iker unler den 'Inge­nieul'cn und Chemikern an del' Seho ihrer Idassiseh gehilde-ten Kollegen sehr hiiufig an Mindcrwerl.i.gkeit,sge­iüi1len 1e](ten, wenll Qie ihl'en diirf-

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tigell gcist.i gen Besitzstand ülJel'hlik­ken, llnd ilLl'e Sohne an ein klassisch es Gy mnasimn sehickcn. Dcsgleichen vCl'Jangen dic Universitiiten keines· wegs eillc venn ehrLe fachliche VOI'­hildung, nichl eine Steigcrung des 5 toffes, sonden1 geis li ge 'Vendigkei t, sprachli ch e Ausrlrncksfiihigkeit, und eine All gcmeinlJi.ldung gerade in lien

hutll anisLisch cn Fikhern, n.icht den HeuJfiichern . I~anll man clas hewci­

sen? Gewiss. Die Gcneralversammlnng des Ver­

e ins Schweiz. Gymna!7iallehrer stc1ltc in Huer 90. Jlahresvcrsammlung in Baden, anl 3, und 4, Okloher 1953, diese P.lùhleme zur Diskussioll , und cHe Konfel'C.I1Z rI e l." Rek.tore n lier

8chweizel;sdlen Mittelschulen tat 1952 in Luzel·.l~ dassclhe, indem sic

Manner der Pl'axis und der \Visse.n­

sch aft auf.forderte, sich ~.u der F rage, VOl' allem l.1t~1' Ma·tura A mît Latcin und Gl'iechi sch , zu iiussern. l\IT an w~ihhe mil Ahsicht zwei Berufskhs­s~n, die d~l11 Bildungsgang des Typ ua C lohne aILe Sprach en, abeJ.' mit m el1l' Na tul'w.issensch aften und Mathemll­tik ) scheinhar am nach sten stehen : lngenicul'c namlioh, Archit.ekten U1H~ lVl ecli ziner. 1111.'e Antworten slützten

sich zum Teil auf Hllllclel"te VOll

Rückfragen jn ilue ll Berufskl'eisen,

Und sieh e da : (l eh wenle jetzt fast wOl't,11 ch laus den PI'otokol1en 7.itÎe­l'en ) , Die ·Miue]schule sei keine Uni­versltiit en min.iaLure . Die Il1genielll'C lehnen 11\ cler wei taus grosstcn Zahl eine Ausbildung ab, die all S ihuel1 nul' Fachleute macht.. Lelz,tes Ziel der Mittelschule sei nicht das kalte, lecre Wisscn, 'Sonrlern die Formllng des

Page 7: L'Ecole valaisanne, avril 1958

Chal'akl c[s, tles gar1Zen iHenschcn. DarulIl steh e im Vordcrgrullg der Mit~ telschnlc cin griindlich er Sprachnn­tenicht, JJegleilet von den inhaltl-ich 80 ertl'agreichcn Fachern der Ge­schiclltc und IJitera llll·. Es gche VOl' allem ml1 dje Grundlagen der ET­k enntlTisse, die verbindend c Einhe.i t der Faehel·. \Vichtiger laIs der Mathe­malik'cr sei die Persünlichkei L Das Zicl der M.itteJschule sei, gate l\!Ie n­schen zn hilden, cli e VOl' der Schüp­fung und all em Lehen EIll'l'urcht ha­ben, Es solle an deI' Mfittelschule keine Spezialausbilchulg gehen. Es zeige sich, dass (lie Absol ve.nten der Matllratypen A und B an der ETH. nioht ..schlechter abschneiden, und zu­dem gelle es noch andere uud hohere Werle 1uls den E rfolg. Das Gylll_nasiUlll moge rnicht Menschcn d es Wissen s hil­den, sondern des Versteh ens, lmd die Sehnle brauch e wiec1cI' m elu vom Geiste des m, Geistes. So fasl wcid­

liel. ?.i tiert aus dem VotUl11 vou Ing1ep

nieut' Hans Meyer aus Hase", ,de r sich auf eine Um fl'age bei 300 Inge­nieut'en und A'I'chil ckten slützl.

« R edonner le g:Oltt de la culture générale », d, h, kulLurempfindlich macllcn, soU die l\1:i t relsclnùe, ver­langt Ingenieur E. G, Ch oisy, der Di­rektor der Dixence und Pl'iisident der S.I.A. 200 hel'l'agte Techniker vedan­gen e ins1-imnrig 1Uchr Allgenleinhi l ~

clung. Prof. Dr. Willlelm Lüfflel', cler Dircktor der Universit i-Îlsklillik in

Züdch , f ol'dert von den lDugchenden Melliûnern k:eine ll1edizinisch en Vor­kenntnisse, wolù 'aL CI' die Fahigkeit, sich müu(lli ch und sohrifùich ge­wancll nnd l'ichtig auszudl'ücken. Mit

aUcJ' E nlsdlictl611.hciL \Cl'wirft er dil' sp 1'l1l·ltlidle Gleichgii higkcit, da. « parlcr nègre », wjc es genanllt winl das 1 auderwelsch flii ehtig h ingewot: fcner WOI'l- und Satzluocken. Zeich. nen sei wi ch tlig, .Englisch l'ür medi. z'iniscJl \Vlissenschaftlich Arbeilende einc Notwencligkeit, La1ein unersetz. lieh, Gricdüscl l ausscl'ordcnrJicll et.

wünscht, 11Î cht aber MatllJ'atypus C. Die I~ulls tgesohichte sei ein ausge. zcichlletes MiLle], die B eobachtungs. gabe zu scharfen. Die ErfoJ'schung dcr geschi t!hllich en Gl'lludlagen un. seres mocIel'lleu Wellbildes sei imlller

uocL llie bestc VOJ'sehule einer gI'wld. li ch en geist.igen Bildung. Lachend wieclerholte Professo'\' Loffler run Schlusse den Rat, den ilUll eirunaJ

ein akndenlischcr Lehrel' der 1Vleclizin gegeben habe: « .Lesen Sie den DOIi Quiohote ; das lllitzt lliuen mehr rus JlUmclleS J.JBhrlmch (l eI' Physik und Meclizill ».

P II·Of. Dl'. Eric Martin, der Direktor der Genfc!' Poliklinik, sagte: « Um

der Gefaln' vorzuheugclJ , welche den heutigen l\1ediziner hedl'oht, niünlich ein Nur-Spezialist und ciu Funktiolliir des Stuates zn werden, sei die geistig

wel'lvolle Bilclungsarbeit der MitteI· schnle das beste Heilmitrel. \Vas er dmui t meÎnl, besagt cler Satz : « lm· portance primocliale des humanités: langu es anciennes, histoire, philoso. phie :t . Und dazll '88ubel'C Hefte, « une bonne écri llue, écrire COl'l'ectelllenl

et clairem ent ». Diese Zeugn1s.5e lies­sen si ch beHehig verme1ll'cn. WIl6 maugle, sei nicllt Fachwissen, SOli'

d el'n selhstiindiges Arheit'en und pero sonlich es Lel'nen, Gmnessenes und Ge·

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schautes sprachlich zu fOl'lnen, sagt der Anatolll Prof. Ludwig in Base!, Genug davon. Man sieht, es wiire wohl

IJraktiscll und llequ em , wenu die an­gch811dcn Hoch schulstudentcJl einc.n gllten Teil des Faobwissens, d,as sie sich hiCJ' in h artol' Arheit aneigncn sollen, sehol1 fix vel'pakt vonl Gym­!lusium mitbrachten, JJesouders jcne hnmer Boeil ZU zl.lhIrcich e Gl'llppC, \\""elche dic er8ten zwei SelllCster ' ICI"

InunmclL. Del' ISache seIlle!' ahcr WRT-8

keineswegs gedien t.

Gewiss, \Verden sie Sluclenten sageJ1 , Iheoretisch wird clas stinmlcn, aber in Pl1'axi wird hah einf,ach so und 50 vicl vCl'lungl, besonders an der ETH. Was nÜl.zcn da di e heiligsten B etcne­rungen ? 'Vo lieg l dic Schllld, nnd wo ist für Abh ilfe ZII sorgen ? Die Schuld 1iegt ZU111 Teil in cler enOl'men Aus­weitlmg cler natnl'wissenschafrtlichen Wissensgehiete. Auch das Gymnasium kann davol' n-icht die Au gen ver­sllhliessen , Vielle:ieht sind zwcl antike

Sprachen auf die Daner nicht m ehT tl'agha!', Die Losung 1iegt aher nicht darin, duss nul' (h·ci, vier Stud enten Griechiseh belegell und die 'andern aile davon l1ichts melu horen . Die griechisch e Welt, nuf der ein Gross­lei! llllseres \"(Tissens 1"uht , muss ein­fach für dic Durcll.leuehtung unSCTCl' ZeÎl lJerUcksich ligt werden , wcnn an­ders wir lLnS n icht mit einem zusam­mcnhanglosen Portienvissen hegnü­gcn wollen. Gut, geh e man Hir -alle eine Ein rlihnmg in clie gricc]l isc11e Klùhn, und hindc das 'SprachJich e auf ein Minimtul1 Zluriick. Dann bl eibt Ralllll l'iiI' E nglisch tlllld J\lI\athematik.

Dus isl nul' cin pl'i"alCt Gedankc U1ul

1ll1l SS nahcl' und sorgfaltigcl' ahgeklart

wercIen. Die Sclllùd liegt Cerner darin, dass

gewissc Realgynmasi en, die sioh im Sch alten cIcr ETH, oder einer ancle1111

Hoch s-clwle hedl'Î:Îckt fiûllen , die For· derllngen in l\iathCJnatik und Natur­wissenscllarten h-jnausschrauhen, zum grosslcn S('had en der all gem einen Bi]­duu g. Die Dozenten der Hochsdnùen /Hill glauhen s ich vCl'pflichtet , auf rliesem Niveau zu Leginnen, mul so sin(l die Matu_l'anden mit Matura A und B im Riickstand~ ja, cli c m eistcn h aben gal' ni cht clen Mut, -au die El'H. zn geh en, obwohi an solch en Berufen ein starkel' Mange] h errscllt. Ni cht clas Gymnasimu muS$ hiel' i'e~

fOl1ni eren, sonc1ern clie Hoch schule. Sie ImllSS cinfac.h im Programm tiefel' h eginnen. Eine oa ndere Losnng ware, dass lUlsel'e Gymnasicll oot Mlatura A und B an OstCl'll , alJsch'liessen. In diesem zusa tzlichen 'Sommel'semestel'

müsste clie ETH. ü hel'brückungsknrse fül' sol ohe Schül el' einschieben, dam:it sie maÙl emaûsch-natnrwissensc]laft­Hall gegenühel' den Realgymnasien aufholen konntell. Das ware vielleicht die einfach ste LOsung.

W~e auch immer das GymuasiUlll deI' Zuknnft ·ausseh en ,yjrd : das Heil­miltel kann wedcr iÎn eine:m weitern Anpasscll an di e praktisdle Nutzbar­keit. liegen, noch in eine.m Aufbl ahen des Wissensstoffes, J eder gute Gymn a­siast weiss h eute 'luengenmassig von der Maùlematik mehr aIs Archimedes und En klid, und niemal'i in cler Ge­sohichte der M~.nschheit war dus Wis­sen von an erlei Dingen 8 0 gross wie h eute. Der ",\,:feg zu m HeiJe liegt in

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Page 8: L'Ecole valaisanne, avril 1958

ciner Beselu'iinkung auf das Elem en­tal'C, in cin e .. Vf' rti cfun g und se]bst~in­

digen Vel'a dJ:ülllug, « \Vir müssen je­des Ding zu Ende den.ken », sagL R o­mano Gu ardini. \Vi" mÜSSC Il es erfas­sen mit R etz und C..:'1l1ii L und den Sinncn, damiL a1huahli ch d ie Unter­schcidungskruft zwisdl cn wahl' und falsch , gut une1 Dose, wlinlig und wi.ti'de'los, sch (}n IInd l!~ssli ch zum selbstversUindli ch en Besitz werde, Ob wir ln 50-60 J ahren 110ch die h entige Form des Gy mn asillJl1 S h aben werden , wer wHl das wisse" ? Ab er auf kei­nen Full wird die Schule, o11.ne sicb selber aurzugcben, verzichten künnen auf AutorÎlat, DiszipJi ll und Erzie­hung, 'au f di e Eh-rfurch t, wie GoeÙlc sagt, vor dem, was über llIU; ist, VOl'

dem, was nns gleiüh ist, und VOl' dem, WllS nnter uns ris t, I,Hlf spr,achlieh c

FormlUlg, auf gesehi chùi ch e VerGe­fuug und phil oso phisch e Durehdrin­g ung. Und sol ange wh am ,aheud­Hindisch en Geist fcsdl alren wollen , wil'd (li c chriSl1ich c R eligion und irgend ein StudiLIIll der Antike nieht feJ-ù en konnell , U nsere ganze Welt, lInser \Vissen und lUlsere Kllllst sind dUl'eht rü nkt mil gricchisch em und r Ü.llljscLen Geist, und clie zahllosen F rem dworlel' sind mu- ein Zeieh en d a­für, aus wclch en Qu clJen unsel'e We1t gespeis l wn rde,

Bei 11 l1em grundsiit:hHchen Ij'csÙtal­ten ,danlll, dass das Ziel der Mittcl­sclllùe die B Udung und nicht die l' r aklisch e Lchi'e ist, woIl en wil' ni cht vcrgesscn, rl ass vie1es dcm Wandelun­telJi eg t, IlUI11 ches verhesserungsh e.­düd'ti g ist , dass e i1l geistestrages ' ''ci­Icrschl eppen ah er Ladenhüler in der

Zeit des allgemeinen Umbruchs niclll gcnügl, sondcrn cin Besinnen <luf die wesentlieh en Ziele und GrtmdlageQ und ein standi ges Allsriehlen des Lehl'glltes auf die j eweilige Zeitlage vonnot'en lst ,

Allzu1 eicht und menschlich ver. st iinclli ch sll ehe~ die '5chillel' aller SchuJstllfell den Grund des Versageu!i ZlI Cl'st hei [ ;ehl'e ru und 6 duùe, he. sonclers Wel1l1 es einc einhei'lUische Schu]e ist. SeIn hiillfig ]iegt die Schlllr1 Ili cht d<ll'În , d'ass sie diese ScLlùe dUl'chlaufen IHthen , sondern geradc darin, dass sie den Forderun. gen diesel' Schll] e mit grosser Wendig_ kei'L j alu'el ang ausgewich en sind, Das

IJersonli ch e Interesse und die fl U8-

daucl'Jlde Arb cit kann clem ScLüler luem and abnelllnen, Bei einer sehr alll'egendell lDiskusslon im Sch osse cler akademisch en Verhindung Gothen, wo 1955 fli ese Gedankcn vorgetl'agen Wll lld c.u, frugte ein e l'stsemest'riger Student : «Alles gut, abCl' wo is t das Gymnasimn, wo einem dicse vieJge­l'ühmtc Bildung beigehracht wil'Cl ? » Bildllng, wurde ihm geantw0l1et, kann ni ch t 50 beigehl'adlt wercleu ; sic ' hangl zu Dreivierteln VOlll p'er. sonlicJles F.insatz ab, AJs Kolumhus Ameri )Qa en l'clec.kte, k01Ulte ihm nie­malld sagen, wo Amerika liege, weI­chen Weg e l' wahl en miisse und wie lange es dauerc his dahin , Die Koni· gin ste:Jltc iJnn Schiffe, 6 01dartJC'll und

Gelt:! znr Vel'fügung, Den Rest musste el' sel ber f,inden, sonst ware Columbus nioht KoJumlms geworden, Wagemllt, A benteuel'geist , unbeirrbare Ziihig­kei t geh o'J"en auch zum Entdeckel' des Geistes, Denl \Veichlich cn und Zero

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fahtcn en, dcm sittlich Verwild erten und Z1.ldltlosen miissen nO'Lweudiger. \l'eise das Zic] des Gymnasiullls und scine Fach e!' im IUllcrsten widerstre­'-'en, besondcrs wenn tHe F amilie im

trl eichen Geleise fahrt. oDer gei,sû g rei,je, selbstündig(~ Menseh ist, da s Ziel, Lassen wir nns nicht imponieren von eiuclll see.1en1o­sen Managertum, clas h enunungslos Ge1d Zll l'iu ffen vel'st ellt , sonsl aber (luch gal' n ichts, E~ ist die m at ellÏal'έstische Geist esh altllng des sp atel'n 19, Jahl'hunclerts. die nnn in die h r.eit en Massen ah gesunken ist. A uf cli e Schule iihertragen, wiirrle diese Hal­tung grob gcsproch en so ]auten : Mü­glichst raseh und mogli ch st billig zn einem m oglid-lst eintraglieh en B eruf und dami t zn einem hequem en Lcben kOlllmen, W'Ûhl don Schii.l ern, del'en Lchl'er einseh en , dass aU dies auf di e Dauer ni cht ~ ll h efri ed,igcn vel'lnag, und ihnell Bleiheuderes vermitteln, Zn a~l en ZeÎten wcrden cliese Schiller zurückkehl'en kOllllen zu den Que]­len, welch e r:i hre J.ugend nahrle : Zu Homer und Plalo, zn Vel'gil IUl e]

Dante, zu Augustinus und Thomas, zu Sh akespeare, Goethe 'Und Stifter , Sie wel'den alsdmID die Antwort wis­sen anf d ie hange F r,age HOlderlins : «'\Vo nehm e ich, weIll es Winte r ~sl, die BI-umen, dass 1c11 Kdinze den

HimmJisch en wind e ? » Keh ren wir zum Schluss zut' Pa:i­

mal'schule zuriick. " ' enn cl eT Unter­Hchied zwisch en Bjldung und Lehl'e aurgezeigt werden konnte, daun ist die Übe1'trng lU1 g anf die Primarschule llichl srhwe r, lm e"Înze]nen wiire e Lwa

zu sagen :

1. r:!Jin Zeigeist, von dem wil' a.lle angestcckt sind, will an eh in der Primarschul e 1UU' cine Vorhercitnng au f Bcrll fswissen und Gcldverdienen seh cn, nas h 8t Z lll' F olge, dass b er ­zcnshildencl e F iieh er , wie Gcsang, FJ:ei1l anelzeichnell, der Umgang mil GecHchten und Geschichten, dic He­bende Versen.kung in die h eimat1ich c, clorr1i che Welt. und Geschichte und

dCl'l e i « lInnüt z]i r.h e Dinge» verkiilu-111,e1'n, ail eh~J1 Rand gedrangt wcnlen ; .i a, cl ass <luch (1 er D eutschnnterri cht

und die Natul'belnlch tnn g Hues m Cll ­

seh enfol'lnenden 'Vertes entk1eidet werden zugllllsten cin es Examens, cinel' A ufna1uue prüf-ullg, eines « nütz­lich cn :. Zwcckes, H i er muss zmn Woh1e des l(judcs und del' Gem ein· sch af l lam Bi1c111ngszic]e fes tgchaltell

werden,

2, Oh clieses Zial angestreht odel' nach Mogli cltk eit erl'ei cht wÏ'rd, kommt nich t an ersteT Stel1e auf Me­th ode, F iich el' und Hilfsmittel an, 5011-

dern anf clic Personlichkeü des Leh­l'ers. E l' selbst muss die We:rte in sidl t l'agen, die e l' vcrm'Ïttehl will, lllU SS

diese geistige R egs<lmkeit, clie wahre H e1'zensbildung, die l( ulturempfind­lichkeit hesitzen, muss von dem eIll'­fiirchtigen Geiste des ID, Geistes he­

ri'lhrl sein,

3, Sowie l1icht de r N lU'-Medizinel' der idea1e A1'7~t ist und nicht der NUJ'-lngenjcul' cler ideale lngenielll', so ist aueh nichl deI' nul' meùlOclisch Illlll cHd akLisch geschulte Lehrer rIe l' ideal e J.Jehre l', sonden l deI' vol1gülLig, h a l'nlouisch und allseits gchilclete

Mensch ,

- 315 -

Page 9: L'Ecole valaisanne, avril 1958

N(lc/uchrift. der Reda laioll Ail 1 11 r" '. '. . - liS l en vOl"l, le le ll( en us nlu'ungell lInsel'es hochaesch", Ml,lu rbcll crs ergllil Sich b czi.igli ch VolkssclmJe und Lt'hl'cl'bilduug di c zwingendc N" 0' "d·l~lI kC11 1 d p ' .} 1 . - ... wen Ig.

" ~lI.C 1 em l'lIllal I! u e l" e lll e Illoglu:hsi umfnSliende A'lI geme.inbildun g zu gchell. Ei LcIHClllJldllngsull t! tnlt clarf Ilit-ht ZUI" !'einCIi Berllfsschlil e Uhfi i.,kc., W', ' G' _ nf S' ,1 .1 . _.. . . . . t',.J e ll es 7el s tcs, Inn

Il: l e~ l e ll und A I~lontal Slild (tir den Lehrcr ouf jrdcn Fall ni cht minde!" wichtig und t'rt wcmhg a is 1Ilt'lhorhlSch ", Kelllltnisse und Fertigkcitcn. 1101.

D CI' Kontol1 Wallis ÎSI "e " " 1 . LI' . . . . . ' '', gell\\Ur tg (l'WUIl , selll t;l e lrerlllldulIg 1It: 1I Zli onlnen. Die daHi,' i cl.:tcr LUll e ~'t' runtwol'Ihcllt:n Stellcn halH'1I di c \'t'rschicd c IICIi Moglichlc('ÎIt'1l Cill!!l- n

~o sung .(L ehrcl'biidullgsuIl5talt und GylllllusiulIl ) g.l"i.indlich gepriift, ihrc VOl"- und Nac~~~I~'; ,.eg~1I ~.lIl~lIdcl' üh g~~vo_gCII und s ich elll~chlossr ll , di e 'tl'aditione ll e Ldll'e rhildnng beizubchal.

E1CIlr' Sil J,e.do ch hczugllt~h d e i· Duue.· ZlI vcrHin gcl'U, s ic IlU sz LLbnuen, Zl1 verh eî!sern den Ile

l' OnlCl'III S5Cn HIlZlIl ' S5 M · 1 1 r·" .. • Ut:n , 1<1 Cil, assgc Jem ur dlt,;sen Entschluss WHl'CII di e tatsüchliehc n Ve b'"

Illsse und Bcdi.idlli sfi t' uilsercs Landes, \'or allCIII .JIlS Bcs trc hcn ihm s lnllfJi", "'cni.ige II' a d" ti.i chtigc Le ll1'krüfle (ül' sein e VolkfiSdll1le wr VCl'fii gllll g 1.1l s tc ll c lI,' .. " Il{ un

Les nombres en couleurs

de Georges Cuisenaire

(Suite)

C. GATTEGNO

Professeur à l'Univers ité de Londres

Une autl'e leçon impol"tante qui ré­slùte de lu struotllre des réglettes est 'l'elalive 'aux fra ctions et aux nom­

.ures rationJlels, Chaque fraction est

un couple ordonné de Il.'égleltes, l'une serv·ant ci m esurer l"autre ; donc cha­que couple [ourni.t 2 fra ctions ,inver­ses J'une de 1'Iaut1'c , :NIais il y a Hile

multJi.tude de fractions égales clans ce Sens de mesure d'une régl ette l)ar une au·tœ, TouLefois, eUes appm'aissent distinctes paJ' les ~otlleu[l"s ou les

longueurs qu 'elles offrent. Celte clas­se d'équivalence qui s'exprime par la 1-elation lH'ésente dans loutes ces fvac· tions est le nOln.ure 1'ationnel ou rap' port qui entre dans les O'pévatioDs,

Autrement nul ne saurait ajouter 112 e l l/:j , 'Ce tte addition (JUi ne peut

êllre exécutée que s'il -s"agit d 'enriel'6

devienl possible .lorsque dans la fa·

mille égaJe à 1/2 e t dans celle égale à lia , on (trouve les [118ctions qu i font appel à une même unité de mesure.

- .1]6 -

Alors, on ajoute le. .. 2 enticl's et on trOUVC lUle fraction qui fait partie

d'ullc classe d'équivalence dont on

petit choisir 1I11 [! qui sera dite irré­

ductible, P résenter les fractions conunc co u­

ples ordonnés (le nombres e ntiers plu­tôt que couune partie d'un tont, pa­rait lc point de vue à r ecomm.mder ft tons les I11<1Îlres de tous les degrés, Mais il y fi anssi la fraction opéra­leur el l'algèlJœ tic ces opérations lJ.ui

introduiL L1IlC fraetion dont l'action

serait éqni valen te ci 13 su ccession d 'ac· üons de Llellx fractions c l fpl 'on rlé· not e t'omme addition ou multiplica­tion des fra ctions suivant quc les deux opéra teurs p ortent la m êln e cn­tiLé ou le second sur le résultat ue l'action du premier. En inversanl l es opéra tions ,o; lU' les opérations, on dé fi­

nit ]a soustraction c t I]e quotient de deux ,l'l'actions. A vec les l'égleucs Cui. sennil'f', 011 peut ·aisém ent rénover l'enseigllcm en t LIe cette partie diffi­cile cie J'urithmétique (cf. « Les nom­bl'es en conleurs» par G_ Cuiscnairc et C. Gatteg:no, ]954, Delachaux e l

Niest1é, Neuch âtel et p.arj s, et« NUln­

bers in eolour » H einemann, 1954),

Bicu qne nous ayou" déjà montré à ()llel point l'invenlion de l\1on sic llT

Ctûscnaire peut êt re consitlé,'ée com­me la contribution l a plus imPOJ't ,Ulte

que HO US aurions pu esp érer pour l a

50ln1ion cl e nos prohlèmes clan.s l'en­seiguemenl de l'arithmétique, nous

allons dire quclques mols concernant Ù'a llLl'es applications. Le calcul COIn­

binaLoire devienl un jeu cl'-enfanL Des théoJ'èmes sur la théorie des groupes de pel'lllutations sautenl aux: yen.x

et sonl énOlH'és même pal' des élèves de 14-15 ans. Les progœssions a1'ith­m é.t l(rues e t géométriques se laissent tl'uiLer pIns ou moins com.plè tem ent, offrant rl'en:tblée I1n symholism e lbn­

pid e. E n considérant les extrémités de

ch~lqlle régletle comme distinctes, on

e ll COI'e chaque l'églctte comme tU1

co uple ordollné de points, on p ent int.roduire les vecteurs SUl' la (holle cl, en ohservanl (Ju ' il y a sY1uétrie par l'apport à une origine arbitraire SU!l: l a droite, rendre l'algèbre SlU' J'en ­

semhle des 1l0lU.hre.s p ositifs et néga­lifs évidente, En pal'Liculicr, une ]110-

dification de la règle ùes signes pal' la ll11liltiplication 10girfUe de deux couples de !l.l<ulSformalÏon s opposées

peut ê tre mise en évidence e t offel'le

à la r éflexion des êlèves, Des questions géométriq lICS, à parl

celles qui résultent ùes constructions

possibles, SOlil f.acilemcllt posées, Pat' exempl e, on peul, à raide de l'égle.ttes d'une seule espèce, fm·mer des cubes. On pent dernander de trou­

vcr le nombre de l'égleues nécessai­res j de calculer les aircs e t les volu­lU CS des cubes e t par là conduirc à

l'énoncé relatif au r,apport des ,aircs e t cles VOllllll.CS (r espectivem ent) de cnlJes aymlt pmu' côtés respeetirs a ct

1J mùtés. Nn LLu-ellem enl, celLX qui ont il c n­

seigner antre chose que l es procédés uL'ithmé tiqucs voudront savoir com­

ment on p eul llli,liser ces 'l'églettes pOlll' Lravailler SUr des quantités, H n 'est pas difficile de voir que ~a pen· sée rat.ionn elJe luaÙlémati4]lle n"a p OUl' il'apport qu 'e1le-ll1ême, mais ]01'5-

-317-

Page 10: L'Ecole valaisanne, avril 1958

qu'on t.raite mentalem ent de gran­

deurs qualifiées ( telles tIllC poids e l

volmues) on s"ajuste intérieluement

à ]a 'grandeur choisie et On crée 'lUI

climat 'Où la perception et ,l"action

sont mohilisées ,daus ·]e sen s ,de l'ex­

périence de cette grandeur. A'insi ,

s\il s'agit de problèmes 'S ur la mon­

naie, ou J.a ttemphatuJ"e, ou les poids,

les pl'oeessus arithnIétiqnes sont plus

ou moins semhlaLles, ]a selùe diffé­

rence pl'Oven.ant de ce qu'une teJupé­

l'ature n 'est p 'as Wle gr,andeur 'additive

dans la vie eourante, que l'argent

(en Angleterre, par exemple) fait

appel à des relations presque arhi­

traires, que le poids est additif et suit

hien ]e schénla numérique, etc." 11

seuIllle donc qu' il faille ne pas ap­

prendxe nécessa irenlcnt les 1l0mlJTes

à tJravers l'expéâence concrète, au

fm'et il Im esure que l'eXpérience s'é­

tend_ ,Les enf.ant n 'éprouvent aucune

difficulté à celle adaptation s i on

commf'..nce conectcment. lIeur initia­tion,

CONCLUSION

D(}puis que les Nomhres en COll­

leur.s ont fait leur apparition dans le

monde p édagogique, il y a e u que]­

que chose de cllungé, Maintenant, il

n e s'agit plus de trouver le moyen

d ' améliol"el' l'enseignement. Il la é.té

trouvé par Cuisenailre , Les e fforts

conjugllés de ljlwl(IUes-uns ont déjà élaboré 11n bOll ' nomhre d 'usages de

cet outil (y compris dans l'en seigne.

ment des 'l angues) et tout ce qui est

demandé de l'ins ti1utcul' ou du pro.

fesseur 'est ,de ne }las 'aUendre que

tous aient pl'ofï té de ce don pOUl' J'essayer.

Lor,sqne tous se seront penchés SUI'

l es techniques qne permettent de met_

tre au point ces 'moyens, nous pOUl'­

l'ons enfin di'l-;e tIlle ]a sci ence de

l'enseignement et sa technologie au.

l'ont été fondés pout' compléteJ: l'U11t de l'éducateur.

Offr.i l' à ohacun ce complément à son effort ,pédagogique est une rIes

joies qui couronnent UI1 lruvaiJ inten­

sif. Nous pouvons l e faire ici ,

Les rég,l e ttes en cOllleu·l's \Sont puis­

santes parce que, 'luaÙlématiquement,

elles pOl'tent I!lU premier rang l es re­

lations et les S lll"lI Otu l1CS et parce (fue,

psyohologitjuement, elles s timulent

l'intuition et facilitent Jes découver­tes,

Qui pourra dire tout cc que. con­

tient col outil nouveau qui participe du 'lllrÎ.raclc ?

Ah, quel beau choix aux

MONTHEY, MARTIGNY, SAXON, SION,

SIERRE, VIEGE

- 318-

------------------------------1 PRAKT ISCHER TEl L

LEBENDIGE SCHULE

Der Lehrer führt zur Berufsreife

Dr, HUGO Wl'SS, akademisclte BerufsberatulIg, Luzcm

lm lclz,lcn ArlÎkd haben ",il' Wallisel' Pa­dagogen 1lIlgCl'{',gl, dne Berufswahlschulc zn

crorfnclI, Unkr UmstiiTHlen konnte die Fort­

/Jadll/ll5ssclwle einc Vors lure dazu hildclI ,

Sie \1i.irrlt: ollllehin 'ctwas aus ihl-cl' S ta g­

lIalioJ} gcl'Îsscn wel'fl ~n" Ist >sic Ili chl oft cine

reille Rcpct it' l'unslaII ? Dallei hit'lt-'t s ie t'inc

ciulIIali ge Gd egtm!reit, in de n Dieusl dei'

bcrufli,'hcli Fiinlerun g gcstclh zu WCl'dCll,

Die Forrbildungsschul e soli te llie Faoher "

Bm'bhaltllll g und VOl' allèlll T c('IIIIÎ sdl7.eidl' nt'II t-'infiihl'clI, Kiimell noch dazu h Cl'ufs­

tlhischl' und hCl'ufslwlIllliehe Allfkliirllng, \\Terkstat l- und Indush- i eh~slll:h e, dUlm wiir­

dru lIIanch e Sdli.il e.r so weit gc.fo rdcrt, dllss

sie na c.h ciniger Zeil den UntelTidll der Ge· wel'besehult' \Icsnchell I(O lll1ll'll, 11l\(',hd em sie

si ch für c.ine Bel'uf"lehrc enttichlo s~en hütlcn, Jill ZlIsl.lllllllcnhRl1g mit il!'.I' Gt-'w l!rh e~rhul e

Îsl der OIH!rscllule besol1dc.re AufmCI'ksalll­

keil 7.11 sche llkell, Es so llte so wcit komnwlI,

Jau ZUIll mÎndcii ten tli e geweckterell Ah,

~ch\\lsskHi",s \ e.r <lem Ulltcrriclll lUi d e. l- Ge­\\'~rbesch111e fo\ ge n kOlln en, Dic GcwcI'be-5e/mle IIH1 SS auf de n Kt'lIl1lni S.'H.: n (leI' Ah­

sddussklas.sen und ni chl auf denCll d er

'l.WcÎlell Sckundurkla ssl' wciterbanen, Nlltiir­lich \-el'll111gt die:;, da!;s au ch die Obcl"­

~chute UUSgChRlit und gefiinlert und d en

BeJürfni ssf'n der spiitcren Hel'ufslclu'en lin·

gl! fla s~ t winl. Es ;st tli es nicht nul' e in Gellol dcl' s(l7tialen Gcredlligkeil, SOIl(lcl'Il !r eutc

gallZ lw!)ollllcrs w ichlig in AlIh~II'aehl des

VI

Mangel s ail FudHlrbeitern, DÎe ilHlusll'ieJl en Führe r hnbe l1 ill dei' Z",il der wirlscllllftli­

dl en Konjllnktlll' 'SchOll iiflers (Jaranf hin ge·

Wi CSCll, dass die ~h ~llluligcn Pl'imarsc.hiilel'

ill t;!.i nel- gUllz bcstÎmmteJl Hinsicht VO Il Be­deulullp; sind' sic 1.leibe n d CIll Bl'I'ufc Ireu

und wnndern Ili chl ah in llie Techl1ik{'fl

odet' in Aufsti egslJcl'l1fc, Es isl schOll und redll, we llll sid, die inlelJ cktuclI fiiliigen

Handwcl'kcl' wcitc l'llilden, aljf' r es hL'suchl imm erhin HlH;h (\ine stabiJ e Schi cht VOIl

Fl1l'harbeilel'll, E s niit7.t (leslHllb eiuclII Be.

tri che nichts, 'l'l' ilil CI' IlUl' dit: ht';;tell Sc. kUlH,larschiil el' aI s Lt'hrlingc aufnilllllli. Des,

IHl.lh mli ;;sell OJ)cl'schul e lIIlll FortbildulIgs­

scillde aile Anstl'engungcl1 unlenlelnn en, mil

iITr'" IJ~ssel'en Sl;hiil el' 80 weit z U fiirclt'rn,

da s5 sie den Anfol'Clerungeli der Gewcrhe· sehule gew8c,hscn sind, Die Zahl d er Unge­lcrnte n sn llte <luf cin M.indcstma:;s h eruh,

gese lzl II'crdclI, wcil dit>se wegell ih1'c l he­

mfJichell Unstahilitiil in Zeilen der sinke n, .Jt-'n KUlljunktur die wi l,tschaftl ich Gcfiihr·

df!tcII sind , Die Al'IllCnlastell (1er Gemeinden

hetl'cffeJl mcj stcns Familil'Jl, dCl'en Viiter k e.inen Bel'uf gelt""llt Imhen , And erseits

kiillllt'il die gf'lcl'Illcn Al'heitt-'I' ilu"c Eltcl'll

und Gcsehwislcr bcsscl' unters tiil 7, ten und

d cn jiingCI'en Ge!'chwistcrn cinc Lchre el'· mii glit'!I t! II, Dass dit-' Wnlli f;el' ni cht llliissig

sind, bmveisl di e Feststellung, das~ " i(~ ~tarl;;:

vertrctc.n sind in den Lehdingsbes liindclI

der g"O~~f' lI 1Ilf'lall "erUJ'h ei lt'mlCIl Illllustri el1,

- 3/9 -

Page 11: L'Ecole valaisanne, avril 1958

Ma n kAIIII ~ogn r Cillt' ll SdH'itt wCiler gc hclI 11I1J nnstrcbe n, dntis llll ch Ji e IIilfs31'lJc itcl'

illl'e A rbc il lIach hCnlrshcl'a k l'ischcn Ge.

sich tsllullk lell wnhle ll . Dellli \Ve nll s ie c ine ArheÎ tsstelle wiihl cn kOlill e ll, di e Huer Eig·

Iltlng und NeigulI g nm hf"stc n t' ntspri chl,

e rhüht sich ihre Chall ce. e ÎIlt'1l spn lt"r e n

Lehra bsdlluss zu a bso l"i cr en. E s iSI sch o ll

gcsngt wOI·d en. d ll ss sic in solchcll l'üJl t!u

die d Oi>l>c h e Ze il dcr ,'ol'geschri cht'Il cn L c h .. -jl1hre Îm h etrcffend clI Benlf gcarhe ite r lllld

di c GClI'cl'beschul e bes lichi Imhc ll miilSsen,

Di e E dahl'llll gc ll zeigen zwar, dl.l sS di e Se­kundal'schill cr n ic.hl Ilur ill tl cn Ihcu reti .

sch clI Fiic h ern, sO llll cl'Il o rt aUt·h im Pr .. k.

ti sch en hcsser bcgnhl sind, Ein gutcr Pro­

ze ntsalz von Pl'imar schiil cl'Il ab cr leilS te l in

d ei' Arbe itspriHung Gleichwcrti gcs wie Ili e

Sekunda l'sehiiler; in gcwislSen B erufcn ha­

hen ti ie sogal' d ie bessercn R esulta tt! en 'ciehl.

Ma u II1USS mÎI d en Obersehiil t:I'n au riiHgl id l

lIlehr Gcdult! h ab .. .. . Sie 1e.I'lI eu lungsamcl',

hahen sie a her elwm~ crfas5t, dalln s ilz l

es, Le hl'mcistcl' habell dic E dahrulIg ge­

IIl adll, d uss d ic PI' ima l'schiilcr di e « HarIC:'

d cs T Oll cs und !CHmas im B ctri t-h hesser

ertl'agcn aI s di e ort sehl' "el'WO hlllen S~· kUlldru'sc:hiilc l' , die gcl'II e. glallbcn, .si c sc ic lI fUI' (' TI oh er e.s:. gehOl"en,

Es s ind !loch t' inige Ges'ÏcJtts/llIllkle dCI' Ht'­l'urs llentlun g 'in B Cl'gknlllollcll zu crorle nl,

Es i s t le ider cine Talsuch c, dUl:;s vide Bnucrn unb ekiimmcl't in .li e b erufli ch e

Zll k llnfl ihrcl' Kind cr seh clI, D et, B au el'

d ellkt gan z and Cl's ais d er A l'he iler, d cr

cs gcwohllt isl. fii .. st- inc W eitcr elliwick.lun g zu Id impfc n, So d cnk t d ta, Bauer o ft: ja,

wenll Ilichl aUc nuf d CIH Hofc hl eil)t'l1 kon­

li en, <l nun gt-h eu sie halt kll echl cn. Es muss

di e Übcl'Zcugung Plalz gr e.i ren, d us!! d ie I3 crufs lehrc Hir d cn E in zclll eli und d e n

BCl'gk unl on RUr lan ge Sit:hl niitzli clt cr is l

I\l s so ro rli gel' Vcrdi enst.

N Ull sind nlle nlings di e 13cr gkantoll e gl':gen­üb er dCI11 Mittelland slUl"k im N aehtc il. S ie

hube l1 welli gt: l' Lclu's lcli ell, " 01' allem gibt cs

1H'lIt l' ill1l1 lt'l' :-;cll cl1 r r Lf' III'$ld lc lI Ill il KOI

ulld Logis. W'CI III da zl1 nodl ungii nSligert

Vcrkc h.-silellil lgllil geli kOlll 111C II, "CrteUetl s ic ll di e Lehre wcscBllich ,

Es el"gt·l. cn sk h Hi l' tla s Wulli s wicllti

Fo lgcl'uugen : E s muss snwohl deI' Schli~ \l' ie d er BcrufslJt'l'attlll g groSSt· Auflll <'.I'ksl UI,

k f' il sch t' llkc lI ; tl e nll wClln sch Oll \' ielt jUllge L f' ule wcgwalld t' l'l1 müssf" n, !.UI fo,

illll CIl c'in wiilll'!:ichnrlCS Rii stzeug mit7.lI&r,

bCI1 ; lia tli e Wnlli st'I ' JlI gtllcl -se!t{'nel' Eiu, bli ck b ckollllllt ,in el ie Vi eHalt dei' Berlir~,

IIlUSS di c Bcruf~lH'riltt1ng lIodl fn ii l bCS~et

flll sgebutli "t' in nls jlll Unlt'l-lalld, E s hraucl.l

nl so hnuiltamlli ch c BCl"urs!Jeratcr , di e di t'

ni,ili ge Zeit hnlle n, Le hrlingsstell cl1 zu 5n­

ch cn lllltl Zt1 "Cl'millet .. , E s soUlell PUlen,

sch aftcn ni l' Lt-lu'linge e .... ichtc l wcnlrn,

D t' Il n wus ni.itze n di l' sch on e l1 VerzcichniSo6('

Orre ll cl' Lelu's tcll clI, die di e B crufsheraler

illl Mi n cll nl1ll in lli c Hcrgkalltonc schickel1

wen n cs a il Gcld fehlt, d ic jl1ngen Lenl~ <l unch Ili t;' Leine Zl1 bri ll gt!ll! Gem eilltl!'1i

k OUll tCII anch S til'cnd ie.n folld s au fll ell und

Lt·lu'lingt·n zinslose Da .-l che n gewiih l'c l1, Ali, del'st'j lil lIüiss tt! 11 di c wirlse,haftli ch gesegllcle,

l'cn La lldcsrc.ile tl e .. i1i esh ezü gli cJ. sch wiiche,

l'Cil CCgt- IHJ zn Hilrc kOlllm en, \Vie schOll

e r wiillllt, ~ illtl lll t!hr L eh,-ün gsheim e eill~lI'

l'i chte ll ,

Der n Cl'ur-li beralCr s tdlt "m L cltr1Jeginli

cincn Kos tf' lI - und Til gulIgsplan auf mil Iitu

Z\Il' Vc!"filg ulI g s ie hend en S ripcndien de Kantoll .\i , d er Gem ci lld e 1I1H1 d Cl' BUlLdel­

rr ici-spellll c. In schwicrigcl'en Fiill t!n. oder wo d er Va ler \\'ii hre11l1 dC'l' LcJll'c slirbt,

511 Chl d e i' fl erursbcl'alcr wcite re f 'Înanzit­

rU lIgslll üglkhhi lcn, S lipend ie ll oder Da.rlr·

h en d ta, P r o JU VC lllult' orI el' der WilweJl- und

Wlt iscnhilrc . Der B l'u ttoll ufwand Hir cine Lchre in d!'r

S ladi Onkl. Kl eifl e r, Sdlllhc, Wasche, Kran' kcnk nssc 1lSW.) 1;;01ll1ll1 auf nlIId 8000-9000 Fl'nllken ZII steh en . W enll d er Lclwlil1g!· 10 h11 lllilgC l'cchll e l wird , lI'e rdt!1l sic.h di~

Kostc l1 lloeh auf 4000-6000Fl'allkclI belauCctl,

- .120 -

Aus de r Praxis für die Praxis

Sr. Loyola ZUMTAUGWALD

Obllllg f!11 Iii,. d ie Oberslu/e :

,\ur der ObcrMurC strcht man IIt~ solld ers

(lie Sichcl'h eit der Sal 7,ze idl l': l1 au. Mail

IIrheil t" t :lIIr di eser S lufe no ch inl l! lIsÎ\'cr 11Ii! Saehga nzcll abcr do ch nieht uli sschiiess­

lich, Allch Il tl f di ~t! r Sture is t di e R echl schl'e i­

Ilung mit Zii hi gkeil und U nll!l ch git-bi gk e il

zU pfl cgt! I1 , dC1I1l hi cr 111I1S5 -sie zm- mecha ­

lI isl:hen Sicherh e it wf"l'd en, W ohl be tl'e.ibclI \l'i l' Illlll illtCIISÎ\·Cl' di e L05 un gsIllcthod e,

IIher la5sen w il' cs tin s gesagt sei n, was Paul

Georg Miin ch in se ÎllclII Buch : « So macht's

Freml c :., schrcibl : « Wcder T eurcl, Iloc.h aile He.i li gcn helfen un s dariibcr hinweg ;

Rechl sch re.ibung IllUSS in di e F,inger, R ech­

Ichl'eilHlu g 1ll11 SS gedl'Îllt wCl'dc ll >, Fern cr 5chrei bt cr: « R ethtschreibunte .... icht ist

für 1I11 ~ Lelll"er dcshnlb so schwicrig und

vcnll'icss li ch, weil w ir hier gt! l'adc das

Cegcnt tl il \'011 dcm lun miisscn, was Uli S

50ll ij t 11 111 H crz cn li egt: wil" mii ssen d en

K,ind cl'l1 tl lI S D~nkell ahgewüllll en ! H en Lehrer, W OI' U llI iSI d c nll Flol1undCl' fal sc.h ? Es ist cloc.h d usse.lhe wie H o Uerbusch . -

.n Warum habcll S ic Dorrschünke an ge­

strich cn ? Das is t d och der Ausschank ?

Da wird cloch ni chts "er sdl cnkt ? « Ein Kind luf <lem Ge.hiete der Recht~c1ireibung d eu­

ken leh re n, heisst : es ner"os muchell , .., Wenn di e K imler fl'a gen: W arum wird

dellII d as \Vor l gerael e 100 gesdll'iebell, mu~s

man oft mil d cr Gegenrrage nntw orten!

( Warull1 is l der Monel ni cht " icl'ccki g? :.

ln dcr Re chlschreibung gibl cs 1llII' d rei

Ohc.I·legun gc n : W,jc lih cn, iihe n, iih{' ll

\l'il'? " ,:t - lm fol genden mm e inigc

OIJtlll gs ll t' ispi ele.

8eisl,;ele, di e lUUll t h e lIu ch rii .. cli e Mittd­

stuCe ge gchen ~ it,,1 :

LI/Mige Uei/llfl r be;t ,

Mon schrc ibt cin t' II Sat z an di e Tarcl , z' D-e:. Wh' wo ll e u RoÎmc (jnden :t> , Nlin suchcn

wh, Siil ze di e hinl en immer iihnlich Idingel1.

Es 1co nntc 'e twn so hcrauskommen:

W ir 1I'0ll e l1 R eime find e ll,

D its werrl en wil' all en ki'lIulcl1,

P e ler will cincn Verein gri.inden . wir wcrd e n e illmal Dlumcn hindcn ,

W untl l! lI muss mnn cl och "crbiml en . Die So lda te n .f;dlÎesscn m it F linlen,

Die Mensch en b cgc he n manch e Sündcll ,

lm Oo rre hat cs gl'osse Linden, Die B aume habcn di ck e Rincl cll , Dits Schifr fuh .. au ch h ei sturken Winden .

ErarbcitulIg :

W i .. ol'c1n en di c R e ime mit « den :. Li nd cn, Sünd en . . , mit « ten » Flinten, mil

i - mitii.

Woir se tze n die Sütze in verschiedene Zeil.

fOl'lu cn .

A uf cl er Oher·stufc It onne n wir noch die

sch wach en und slark en Formen gruppieren ,

Noeh t VCU LI~tiges.

Zu r Abwcehslung Ire iben wu mal WOtt­

s llie!. Dus W ort « Bild :., s lehl an d er T are!.

J ed er, d cr e inen Einral1 hnl. clad am W ort

e twAs ündern. E s elltsteht :

n ild - WJld - W ald , h ald - hold ;

ha it - hart - H nrz • Herz - Sc11e.t'Z,

Regen - Scgell - l cgen - pflc gClI - pflii gell l'li gcl1 _ liigc n . ru gen - sa gCll - Magell - kla­

gel! ,

Die so gdulld cmm W ürl er kOl1ll en wi edcr

in Sul7.fo l'lIl cn odel" sonslÎ gen Sprac.luIIICga­

h e ll a usgcwcr le t werd en"

- 32/ -

Page 12: L'Ecole valaisanne, avril 1958

fr/ir arbc;tell m;1 Tf/orlJ)(WI"ell,

Feuer utul Flatlltllt! ITerz und Dan tl

Wahl li ml Welt e Rul uncl Tnl \'Veg und S ieg

SA ng utul Klang Knull und Full

beUcn und hcil t' tl nlhell wul nlslCIl

bit'gen odcr hrc ('hcll H'hiilZCtl uml SChÎI' /UCIl

schnltc n und wu ltell h cgcn tlnd pfl cgcll

srhcidCJl uml IIl c idcll

r,'isch uud rrohliclt

fnmk und rl'ci

kl ipp und Idar t1Ii idc Ilnd tIIull

we it 111111 bl"cÎI

eehlccht lItul r ccht dil:k und t1iitllL

W ir hildell Siil:w : Mit Fe w'l" unel Flnllllllt'" \\' Ul' 1· " "uIJe i. Wcr i ... t bcsorgl fiil' dm; \'\' ohl

und Wehe tics Vnlkcs liS\\'. Nac:hhcr Nueh,

Ilchrifl odcr lluSWCntli g ni cdt'niehn'iIJ cn je nllch delll S lund der Kla sse,

Del" Wi/ld cds Persoll (Lobsit'n )

Dra usscn h ellhe d eI' \Vill(!. Er l'rcss te sich hU1'1 gegcll Tiir und FemlCl", ab wol lte er

sie e illlll'lickclI, IIm Einlass zu erhalten , E s

gt' Iun g ihm ahel' ni chl, !Hill l'nu er mit 111'1 ,

ICII, s,'hneidclHl en Tüncli durch das Schliis­selloeh . DUIIH ahC!' 'SJll"ilng Cl' Hill das Haus

h enllll, riss mil LIlC h~1I ur III JauchzclI fIn s

Sch clln ~lltor nll ~ dc n Hallgell, schleurl l!l' te cs ho c.h in di e Luft und "unn wied el' krllcht'1l11

auf dt'Il S tc inwull , tl er den kleincl1 Gal'tcJl um ga b, dn~~ di e 7.errÎsSt' IlCII Brettcr UllIhcl'­

f1vge n, In d emseibcil Augenhli('J( ranlile

cr wie ci n lollel' Junge du s nietl erc, schl"iige Sll 'o hdaeh t' 1II)lOI' \lnd Illi es mit heulendc lI TrolHpetenstossen in deu Sehorns tein ' wi~

das Sehl"cie n c ill er wildel! ' XTolfmclile idung cs.

G 1 cie I, e l' K 1 a Il g

LEERE RRI fi el J'c isi

AIs Aufgubc IJI'ing t ,l el' Schül el' da cine

Menge ZllSUllllllc n , Die bi c ten UliS wied CI'

~" g i cbi gC IÎ Stoff zlIm Diktienm. WÜ' be-

sI/che!

\'V i, ' lIlel'ken IIII S di,· KOlllllla,

n) h,·j « ai s ) h ) hc i « 11111 )

c) b ei « lIlId )

t1 ) hci sc11l1 ell('11 nnd schn cidcml t' n e) be.i « ri ss )

n das5.

Diese B e ispiele kommell zur S [ll"aehe, Wir fUl"IlI C Il Sü tze mil « ais :. mil lIIlI , mit und US\, .

Del" Wi nd Irc ulte, cds woU le f'r alles iibcr, lih,ell. Er sang, ais u;ollte cr crs tel' Dorfsan, gel" werdel/,

E., lll"eSs lc ails Fe lls tet", 11111 Ei nlass Z!I l'r,

hull f' Il , El' pfiff dUl'cll s Schlü5selloch, /lm

cloch :: u s tiin:n , Er sprung mil (hls I1au5

1r l.\..I"II111, 1IIt1. tllIS :m Stül'ell, ..

Alli e ige ntlidl cn Beispici 5tossell wi,' au'

di e Probl e lU e, Di fl!ie w~l"dcll (hu'ch t'igcnc

Allfguhen gddün und amgewertel. So gibt

obigcs Bt'i ~ lIicl 6·7 Aurgabcii. E s wiirtlr zu wcil fiiluClI, dit: hi el' dal"7.ul cgell,

BcisJlicl "UII e illt:1lI ' VlC rkhlull ZUI" Recht, schl'e ihhilfc.

U Il t er s e Il i t: li 1 i c h e

Sc hl' c i bwe i sc

LEHRE Rad

"id l'ciss t

griind cn di e S("llreihweise mite inUlltl e l' wHI

Imlllcl, en di c ge fllIH.1~ll en 'Vorlel" im 51111,

-322 -

Ober/ege ! ]cdf!r Schiil er hat 30 Zend Ùl der Grosse

l'on 3 x 5 cm , Diese Ze ttel konncll , rom

Schiilcl' sel1l1::1" gcschnillc n wenlen, An cl t' I' TaCd sld, t' 1l 4 Lcitwol"tcr, z, B, J, Geriile, 2, Werheuge, 3, Gehiiudc, 4,

RÜUlIl t",

Diese II'crd cn aur die Zend gesehl'i cbcll, ,wcnl. in Dnl cksc!lI'ift. N un stt'h en an Il .. r 'fulel ,· ill c gallzt: Anzahl Worte l' durch.

ein:u1tl cr , Die wc!"de n in Sehreil)schriCt auC

die Ze tl el gesl'hl' idle n. Die Zeltd ",cnlen drrlnll unt cl' dic L c.itzeu c.l geordnc t und in ihrel" R eihf' lIrnlge sich gcmerkt und nU!i.

wend ig tl llfgesclll"i cbc n, Die ZCltcl kiinnen

nueh rlir' IlII llt~ I'e Ühunge.n gebrauclat werclcll , z. B. Ais SclbSldiktal~ zu Sa !zllildnngen usw,

Di e hessel'll K, llls~c n konncn :UH:JI di e WOI'·

IcI' 'scihel" s li chen, Du steh en nUI" di e Le it, WU t' ICI' lmf d er Tafel.

Tale/bild : Ger ü t e , Wedtzellge . Gcbüude . HiiulIl e

Flammel', Zimlll el', Tell el', Kanllllel', Mei !>se l,

Httd t', Sp31f'tI. Ruil e, Schiissel, San l, Bi.igel­

eisen, AHue, Nagd, SI<l11 , Schaufcl, SJlt!Î ' dH't' , Sense, S tuhe, B eseu, HallS, Zangt'!.

K .. lIcl", Ta!ise SChUPI)CII Kalmll, FJur usw,

AtlS Fehlem lenlen.! Multer « isl :' dus Fl'llhstli ck ,

1'fl/elbild .-

Dus Manlticl" tdigt clie Last,

El' halte ke ine lange Fri st

Del" Baucr fi.ihn Mis l E l" fi el fast hinunter. S ie wei st ihm den Wcg,

Toni IIlUSS l C ni esen Nun lies wcitel',

Die Sii lze wcrden ersl durchgesproehcn, iiherlegt, und IIlUIl kommt aur di e Anwei·

sung ! « Fiilue dns WOI"I tluf -seine Grulld·

(Ncllufol'lu) l.ul"ii ck und le ite wieder VOIl

Tufelbild ,

j (k ll l'7.) i (lang) ih

bill

KÎllll

sind ich

mich

Rosine Musik

ihn ihl' ihm

Sol che ZusalUlnenstellnnge n konlle ll wicdcl'

in N ied"'l"ii,'Ir.-ifl und Suizhilduilg Ru sgewf'l"' tcl \l'crde ll , Bei Satzbildutlgen aher ÎmlllCr

\Vil' eSSCn dus Fdihsliicl<, I ss t von essen hal

l.wt'.Î ss, Ts! und iss t klingt ahnli ch und hc· denle t docl. verschit'dt'n, Mail muss he illl

Zweifel dcs \\Tol"tes Ruch .J en Inhalt übel" legf' II ,

\V il" su che n c ine Anzahl soleh er Be i5picle.

La sSI uns gehclI,

Die Kuh fl' isst Elli mi ss i das Tuch,

Del" Hund fasst ihn.

Du weisst cloch clas. Du knnl1st es geniessen, S ic Hcss mic.h gehen,

.Jiese l' GrundCorm al> :. , Nnchher werden di e Sii lze Huf. Hd el' nachgcscJmieilen, Ifl el.ch verscltiedeuC! < i,.! Wir hoJ en eine

ganze Anzahl Worlcr' h erbei und ordnCJl sic in folgenden Ruhriken :

;e iet.

Liecl Vieh

Fl'iede bef,je]

Bicne stiehl Licbe

c twus BestÎmllllcs Îm Auge hahen, z, B. cinc

C l"ltppe nl s S li ehworl cl" für einen Allrs<llz hcrllusnehm .. n, IItl ~ 1' V hun g VO H We tm, ' AJ~,

. Dass, . Weij,Sii tzcn,

- 323-

Page 13: L'Ecole valaisanne, avril 1958

/fIir SlIc " ell cl Ues liir C ;IISmUltfClI » (W(lrt. fe1d ) In gem e. insal1llllcr Arbril hol cn wil' 011 die

Tatigkcile ll hel'lJei, di e d as c Zu fi UUUntm :t heze ichne n .

klehen, killen, \'cl'binden, Jeimell , mie lc ll,

schwcisscn, kOPllcln, e inschahcn, JOle n, "Cl"

IHl gd n, vere illi gt' II , ulllsehJi esscll, umrllSSCIl,

vCl'schmclzclI, "cI'schritllhclI, hcrtcll, e inJJÎu .

flen , vCI'S h1ick cll, kniipfclI, n :rfan gen , fessc1 n,

knol clI, kllpI)c1n , altschil'l'clI, cinhaken, lin· ziehen, unrftSSell, vel:ke ile. lI , vCI'bohen, anbiin.

rh' ln, schli cssen , Wi,' bihJcn 1111 5 ci ner Anzahl IJi cser Würtl"r,

c in ZUlial11lUellhiillgc nd cs S pl"aehstiick , z, B.

1/1 der Freizeit,

III dCJ' Fl'cizcit kallll ich vit'J c T1il igkcitclI

lIlilei llolld el' \'erhindell . Ena z.iche ich cinCIi

l'cchrcn Al'beilskiue l a il, (.1t'1l1l I, c ule will

id1 kJeben, le imen und kilten, Da habe ieh

lIIollrJleri r i Ullzurllssell , Jetzt sd,Jicsse k h

IllcÎnen 'VerkzeugkHslen lIuf und n ehm t!

ilHes No twenc1i ge h e.nms, Die Arbeit Ieunll

beg innc u. Ich sehalte d en S irom ein , D er

Lc im wire! erwii nlll. d eu [G u lHUSS ich

du('(,hkne le ll . !st aU es hel'eil, leime, heh e und presse ich lIuch H enen !:îlusl. Wus habc jeh wohl \'o IlJH'll chl?

Obigc rr' ü/'lp/, Iffs Miu eI wih ·te,. !lCl' Ver­gutlgell heit , z, B. vCI·kl ehl e DJütlcr, "f'I'ki tte tc SdleihclI , Vf' J'­

bunde ne Balke n u s\\"

Obwig cle,. Leiclelorm : Die Blalle!' werd en gel ~i mt , D ie Lochel' \"t:t'd e n verkitte l. D ic

Bolleell \Verde ll vel'lmndeJl,

T/I. GegellUKI/·t, Vergu ligellh eiL und \'o ll ende­tcr Gegc nwul·!.

ObulIg ill GrousclmûbuIIg d es TütigkcÎl's­

worles. Z UIIl K lt' hen b l'aur.h el1 wil' Cem entit.

ZUIll Le imen nchm ell wÎI' Knlt. oder Wll rlll '

Jei lll usw.

Der Schiil.er dîl.:l.Ïel'l, ZUI' Huusuufgabe crltiilt c ill hcstinnllic i'

Sehi.ile!' d en Auftrug 20 Worte.l' üher eÜl

hes timmt c.s Thcmn nufzuschl',(· iIJen. So ldl c in

ThcHla knnH sf"in : Vcrkchr, Wus illl Wolm.

zimmer zu sche n dsl. lm S tail. Anf d cm Dnhnhof II SW.

D l' r JJ ctrcfrr llde Sch iil cr dik LÎ e,'1 die WOl'ier

am folgemlen Tug de r Klasse. E iu Schiil er schrf'ib t die Wo rtel' auf dit' Riickseilc der

Tofel. Nuchhcl' w inJ gem cinsalll yergli chen

und ko rl'Ï gicl'1.

Die 7 Leil.~'iitze /iir.~ Kommu,

1. SUI7. u if'!.cn -sind notwcndig, lIIU deu Siun

tl es S.lIzcs zu erkeun c il.

2. l\nl't' t1 ,'n wt'n lell "0111 iihdgell S<llzII'H ge tl'fmllt ,

3, Elllpfindl1ngswortel' werd t! 11 (Jureh cil!

K Ul11l11 n " "Ill 11IIdc I'u Sltlzte il gclrennl,

.1-, Gleic hilrli gt.: SalztciJe wenle n dUl'f'h l' in

KO lllmu VOll~iI1U1Hlt!J' getl'e nnl.

5. Ga nze Siitze \l'enle u dmch chi Kom llll\

vonci nund t:.r gelrcnnl,

6. 'ehcnsiitu wenJen dlll·ch ei n K0 I1I11111

,'om Houptsatz geu·cnul.

7. Die lluc.h ges lc l.lte lleHiigullg wird ,in KOIl1. IIlIlS e.ingesdll osse ll .

Diest' Lci tsii tze bilclell den Stofr IIH:lll'crer

Wodlen, Jede.l' winl an Dei spiclen mi.indlich

u!ld sch .. irtlich dm'ehgenchl'I. Am SehJu ss

klll111 mun di e 7 Sii tzc uuswclHlig,

2 11m Scld/ls.~ eill e bULige JJ'?or l.~p ielerei !

Dt'r c Zuuhel'schl'e in :. Diesf's Wort s teht un flt!I' Tufd,

AII/gfl/,e:

Z i! dt! gt ohigcs W on und sctzl ncue Wü rtcl'

ZllSU11l11lCIl, Es di.irfcll aller IItH' die Bllch·

s!((bcfl. uus obigcm 'VOI'I YC,'wcndel werden,

W ir d iil'fen Iluch di e \Vortart bes til1llllt:n,

Beispiel : Ei, Sch n:i, Schein, S dll'lIube, Sl'ltal', Zur,

S('h t'i ll t', Bcm, Ban lISW.

Ah StillbcsehiHti g un g oder a is Ansfülliibulig

fî.il' j ed ell, dei' sc.hne ller fepti g ,is t, hal solche

Wnl'l l' uclt e e ill en H e iz. Freilidl konnen diesc

Wiirlt'l' wit'd cr fiil' S)ll'llchiibuII gC II ausge·

wcrte l W(,l'clCIl.

Es miissCIl grosse WOl'lzll sunlllwll st' L:r.un gclI

ol s Grul1tllu gc gcgehcll werden. wie z, n. :li l'klls \'urs tl' HUll !!!, So mlllel'ul'lan hsf l'cndeu,

Fl'eudcnfcuer fll nkeJI LI S1\'.

Dus s ind e inige k.leitw und 10se AlI sgucks·

mOlllt'Jll e in di e UII ZiiJlli gt!Jl Jhbeitsmü glid,· ke ilt' Il IlnSe l'CI' B.echtsthl't'illlin g. Al lg, Ohr

Ulld TTel'z uur, und die R el'lttsdlrt! ibung

wil'd RIU,I, mu ZIIt' FremIe!

- 324-

[ __ P_A_R_T_'_E ___ P_R_A_~_I _'_Q_ U_E_-----!

LES NOMBRES EN COULEURS GEORGES CUISENAIRE

Lc ' 1w 4 cle l'Ecole l 'ulu;SflIIWJ Imblill it /flle leçoll de calcHI dOllJl(!(' IHI/' M, Biolla 1; dafl,~ sa Clcfsse d'(I /J/,I.icuti(1II de l'licolc IIol" llIfth!, Le cn!uU!w' des Nowbn's (>11 cOlf/eurs, M, Ge.orges Cui,çelWir(!, (1 eu cOlI/wisWllcc d{~ çe ,,11ft/ tint. II ff (J lwli/i é le Irrwlf il de M, Hiollaz de « If'ça" !ouillpc, biclJ clwrpclIlét', trë.~ IIhmllle ) , "'n'c;elfx eticolII'ffgf'/JICtll pour SUif f(tlteur ! Mais Ic mat.éricl est. riche e l , pur cO/w!quell t, fes /lf~'Ofl,~ de PI·océder SOllt muftip/.e:!, NOli S 50""" ~S clOIl C rH.II' ,.Îculi i·remenl heureux d e /JublicI' fIIu ill l.('flflIIt Cil fJunrllMe /Ill e leço /! co /! ç/fC 'lUI' M. CJ(i,~l!IlII;I'e lu;·mème, que IWU,~ rcmCl'c i OHS de .~Oll pxtnjm e obligea/lcc. Aj()/lWIIS fmcore, ri l'intcllLÏoll de tnU!i CCli X (Ilff~ Cf>lIe m éthude flUssioulle, (Jlle M, C lliSClIltire

viel/Jru proc/miuemellt Cil VCl ZU;S : i/ pourrit ",;polldre ((ills; fi I.ol/tes leurs (11H!MiQII,~. Red,

NOMBRE 24 : PREMIERE LEÇON

A, Hevisioll:

6 x 2 = Qll e1cJu e.!i C(J/CII1,~.

(12 - 6) x 2 _ (J2 : 4) x 3 = (:J / ft {lt: 12) x 2

12 2 3 x 1 -

12 <1 ~ 12 3 = 1 /~ de ]2 = I/~ dt, 12 -lIn ti c 12 _

8 x 2 -I /~ d t: 16 !/H de 16 '-­I/~ d t' 16 = 16 B ~ 'l x" -

16: 4 = 16 2 =

H, Leçon

. (lI" de 12) x 2 ~ ('113 de ] 2) x 2 = (J2 + 8) 4 = 15 - (12 2) l B - (12 '1) _

e/~ d e 16) + (1/ f! d e 12) (G/H (Je ]6) - (!/ r. d e 12) (' l, de 16) - ('l , d e 12) -(12 + 4) (12: 3) = (9 + 1) - (4 + 8) ~ r'/~ tJ c 16) x (12 ; 6) ::.... P/4 d e 16) - (3f~ de ]2)

/"·O/Jremclit dite:

MoliplILio/i : J ' a i 12 Cl'ayons dan s ull e

boite. Com b ien dUlls 2 boïkli?

J. FO l'l1l0lio l1s ,linéaires du l1 omhr!:! 24

l1\'ce de.s réglettes (Jltelco,, (ille,~. Ext!l1Ipl c:

(2 x B) + (5 + 3)

(3 x 3) + (t x 2) + (3 + 41

(6 x 2) + ('1 x 2) + (2 x 2)

t' h ',

2. Lecture tll.' ,' t ' oS rOt'lllati oll",

3, COlûe de ces formalions.

4-, Ext' I"'Î(·t>s absll'aitS,

a) Cerluin.s ('al cu ls des ëJèves (vui ..

C'opics) . Bfrllct'I' un tf'l'Ille ou un

racleur. EXf'mple:

(2 x Hl + (? + 3) - 24 t'le,

h) Cu lnal s présenl és pUI' le maître,

(21 3) + ? = 24

(lB + 2) + ? = 24 e lC,

t} Prohlè.llw ~ ; J'u\'ai s 24 fI'. J'ai cl é· )H'IISé 2 rois 9 ft·. Il m e res te ?

e tc.

NOMBRE 24: DEUXIEME LEÇON

A, 1< e II i ,'( i 0 Il: Qmdljues culcul.~.

n) Ca ll'u ls du N o 'l, a), b) de Ja leçon

IIl'érédente,

h ) CA lcul s sur 18. COlllh inaisoll Îl avec 12 Cl ] 6.

n. T,(> ç ° II.

l'I.1o/ilmdo/i : J'ai 24 sold;tIS. De co mhi e n

dt· rA~OI1S puis·j e J( ':; ran ger en li gnes

(:gn les ?

l, FOI'mutions linéaires du noml}!'c 2'1,

m'cc d,·,~ I·ég/clles égaf e,~,

E Xt' mpl c :

12 x 2 8 x 3 etc,

- 325-

Page 14: L'Ecole valaisanne, avril 1958

2. L~'clllr~' .1 ., Ci!S fOnlllttioli s.

3. Copie d t! celi (oL'IIHtliuIlS.

4. Cnn ~ lat ll li o llS :

aJ MllI1h'C ln Il! dt' 24 ? Le Il,, ? Le 1/ 4 ? l ,C I t.~?

Le I /~ ? Le 11_ ?

h)'lh de24 ? 'l/p de 24 =- ?

:Slll de 24 = ? 1'1 ....

p) Forllle lIll r Cl"IlI ligl e a\'CI" les n~. g lCItCli 6 r flIH oulI e.':: !lalls la fortU lI­lion.

COllillièll d ~ roi s 6 ? MUIII:'t' ln IOll gueu r du r ectangle? La lurgcur?

In di<!ue-lIIoi le numbre de fui s 6 IWUL' (Mire 24 ? On prort-il (!ra ~l e la 1Il~lII e façon

110111' 3 x 8.

5. Cll icul s nhs lrui ts c t Ilroblè lll cs.

(6 x 3) + ? ~ 24 Il . ti c 24 = (U : '1) + (l/~ dl" 2'0 56 - (1/4 de 24) = ri / II de 24.) : 6 _-(~h de 21) x " - hl Il u d e 2,~ :::::: clr. Avt!c uu e fi, 'e ll e d e 2rJ, elll. rOl'llie UII

cn IT~ ; tlll l'H tllUgLc; lIll triangle,

Lon guellr du cô té'! Pér'imètre?

Sr MARIE-ETIENNE

CINQUIEME LEÇON: LE CENTIMETRE (Ellfanls ti c 7, 8 c l 9 UliS)

Matéricl

Le m èlre cn nu e,

Quelqll cs dm. + J Ill. r églé pn {'Ill. co lori és, Alitant d e cm. que ll'enfants. Un milou m étriqu e,

Une règl e gradnée pOlir ('hnqu e enfau l,

a"cc I(lI c l<jllf'S olljj'lS m c" m 'IHlt cxm:tc lIH'ul

Il c m" 6 c m" 12 I:m " c tc ..

UII rubAJI, qu clqu cfi IUliul l's J e JlltpÎ '- I~ d e 1 à J "111 ., 2 À 3 (lm.

RapI,el dit cOI/nu

Comme il la leçon 4, Ajou tons le contrôle d c lit notio" du tlm.: Montre-mo i La 1011 '

gueur du dm., cntre le pOuce cl j ' index,

Jusqu'o ll lllThre le dm. il l'in léri e lH' d e la Illain ?

NotiQII du celltimètre

Montre·moi quelle longueur a cc rulmn (ollvri r Il' fpOU CC cl l'indcx pal' J' écartemcnt

d ei> doigls ). Montn"'lIloi la lurgcur d e ce.tlc band e de !)Ollit'l' « lui m Csure 2 x 3 cm .) ;

la largcur d c celle-ci (qui lII eli lll'e l x 3 CIII,),

j'Ic".

C ltuqll c cnrunl é t:llrlc le pOUl'C et J'ilulex,

IH'CC: tluclques t1irrén' ~tecs , COlllmclIt 8111111 1"

IIOLI S fai,.e pour IlI eSUl'er exltetcment la lar­geur de ce ruban ?

Il faut une lUCiiUl'e e n core plus petite

que le dm, MOlltnms le dm. réglé Cil cm,

Comptons ]0 parties; d e nouveau on a

di visé la mesm e e ll 10. Celle dixièmc paL'tie

Iturn oussi un nom: le ctn., écrire l'ul}l·é"in· tion tUl tableu u noir,

Maman li UI1 C centim è tre :. Ull l'uban métri,

qllC. Monlrons Ic ruball llIt!.trique. Comptons juStJu'it dix , pui s déposons sur le ruhan

IIll dm . cn papi CI' réglé Cil cm , et co lol·jé,

Complol ls: 10 Cil 1. , t:Ollll ll e SUl" I ~ nlhan!

Conlimroll s i, d éposc.r If's dill . e l eomploll~

20, ,10, 40, 50, etc., jusqu'il ]00 cm.

- 326-

Dans Je m è tre ru han, il y a 10 ,1111 , 011 100

cnl. Donnolls un e hand c de papier de l ('m. d t'

hu'gelll'. MeSlIrtlll :S noIre ongle: ex u,·temelll

1 cm, i IIHll'C(UOItS-C Il la IOllgut' ul' p lU' 1111

trait ail s trlo ; cOlnparons a"ec celui ti c lïn· téri eur tl e lu main (,lm.). P rt'IHHls II" (' III .

en tre le pouce e l l'iudex, gardons J'écaI'lc­

Illent Cl é,·uIl.IoI18 la longueur d'lIl1 Iwtit

"1'0 )'0 11 , III lnllll'!. c d 'un li vr'e, lu I"rgt' ur d e l't'lui , la IlUlI'gC (lu ca hi cr, /'tl' .. ,

J\1I1t1IJ'Ol1 S \tnc règle grad uée, npI'I'ClIOIlS il lil'c flcJlui s le 0, Sigllilions que les plus pe lites IlIf' SlIl'CS s'a p·

pell"llt mm , ct qll e nous les étud ierons plus

ton!.

nabilllcr les cllfa ns l!. tnice r, l'u ns pr('rHlre d t'

meS11res, ti cs li gnes aY,l'lt J cm ,,4 I:m " 6 cm,

e t vérifi er ell ~uilt',

1. Distribuer UII C fcuillc à chaque t'1I(UI1 I.

ou tllI cahi er , Exercice d c mesuragc:

Im. g u l" u!" e l Inrge m' !I\'PI' II' l'IIIU'OIll'S d c

III 11H1Îlressc.

2, COIT"dinn d,os (alltl's dl' l'' t." hll'C d c!'! cm,

.... 111' III rt- g le,

3, Démontrcl' comlllenl on tlcss inc dun!' 11 ~

cahi cl' 1111 (lm. t)t t"omlllt'l1t tlll le paria ge

Cil l'nI. ... l'aid e d~ la "èg le, l"IUIIllt'nt on

le colorie . Les enfants (eronl plusieurs c!'\crCÎces dc Ct' genre,

[ [ [ [ [ [ [ [ [ [ 1

È u

N

1 dm. Surtout, beauco up .J 'exer'cices de mtlsum ge,

Ilc )Ictites feuilles, d e \' it'jJlelj em re loppcs,

é tui s, c lc ... C'cst une première initiution il lïd ée du IHlurlour, du rectan gle e t du caIT~.

SIXIEME LEÇON: LE CENTIMETRE (s uite)

Cnlllililloll~ la leçon comme pour le dm .

FtlÎ" c r c./lUlrt[lIl"l' la place du Clll , ll ' Ull C

ftt çoll concrète; ellsuite f nÎ1III'e d e!) réduc· tiOIlS,

Réo li ser c.o ncl'ètement, d 'abord par 3 ou 4

exemples, les Cli lcul!! suivants, ensuite faire

le devoir co rres!)ondant e n se servant du Tableau Reinhal'd ; par ex ..

Dans 2 cm " comhien y a-t·il d e mètn'ls?

Cons tutons en r egardant les mCSllr~8 con­

crè tes )losées SUr la lable : }O 0 Ill., 20 dm .,

pui s 2 CHI. , qui s' ex)lriment 0,02 Ill.

1. 2 CHl. combicil tle lll, 't (0,02 Ill. )

7 cm, l>

9 Cnt . »

,.f. T. R. 286

2. 2 lll , comhie n de Cm, (200 cnd 6 Ill, =-4 Jl1. =

cf. T. R. 288

3. QUf> mallqu c- I·il à 3 cm" 8 CIII" 7 ("Ill,

pOUl' fail'e 1111 tlm , '? cf. T . R. 289 .(.. COlllhiclI dc CIlI. dans 1 dm, ? 00 CUl ,),

7 dm, ? 3 dm, ? cf. T . R. 290 5. 27 Cllt , =- combie n lIe dm. ?

32 Clll . = > U ('.111 . -' ;)

Voir Ics sutrt's exerl'ices 1111 T, R. 291

296.

REMAHQUE

Pour J'é lude du millimètre, ))l'océder a\'ec Ics enfant s de 9·10 ans (le la 1l1p,ll1e fa ç.o l!

'lue [lOti!' Il"s précédellles lcçons. 1ll5is lcI'

surtout SUl." les ·exerc.ic.es prutiques dç mcs u­

l'ages c t de r édu c. tÎons orales, pnr ex, : cha­

que t"dunt Il un e rcuillc de 20 CUI, x 12 Clll.

Il nllte "u cl'ayon ](',5 rédul'liollS !S1Il' lu

ft'uillc.

- 327 -

Page 15: L'Ecole valaisanne, avril 1958

COURS COMPLEMENTAIRES

(Suite)

René ARBEL LA Y, d irecleur des Cours

CCIlI.,c d ' inl é l'j"'1 d évI' !UPllé HU Cours complém entaire!; t:t" lllruli séti ft u di strÎI·t Il e Sil"ITC

Troisièm e partie:

MECANISATION VITICOLE

loçon 1

A. COlI sid,:nll;Oll5 gê1H!rIlle;s.

1. Rôl e de la m[l chin~ !

Il) Alléger les tn"'"l1X lie rlwnllll c

h ) Dilllilluel' la maiu-t1 'œu \'re

c) Oeu vrez' A.vec: rapidité ri ) P l' l'm ellre tlll ll'll\'uil rationnel

c) Obtenir Ull revenu ~ ul'éricllr

2. E xige ll cf's d e h. nu\dline : a) lnl clli gell ct., gOlli. ÎIIÎIÎUli"c, adapta.

lion de celui qui l'emploit' b ) Un h'OVllil ~uHi sa lil (minimum 350-

400 h . dfccli "t's ti c tnn-Hil ù ple iH

n :!IHJ e ml' llt )

cl ImJlose de !"unls c lI g ngt'lllt'ntl'l t'II

capitnn x

d) SUJlllOSt' d t.~ l'creltes !)crmeltanl

amorlÎSSClllcn l c l entre ti en

e) Exige HII C CO llllHuhilit c St!riell~c

f) ]lIIllOSI' lu rutiollali sntioll des t·ul.

turcs

fi. Que !auL-iI IHwr rendre rationnel le trel'

vail ", écullicJll e daw. SUIl vignoble?

1. Grouper ses Jlnl'cdlcs de vi gnes pour

cn avoir le moins posli ible (remanie.

ment subsitli é ou privé, regroupem ent, édlanges, acha ls),

2, Qu e chncuilc de ses Jlarcelle:, ':ioi cnt

liuffi liUllIll1 enl gl'Undl~j SLlI'toul Jong ue

(d rillS Itl vignoble très Cil pcnle LJrévoir

IlUII'S sous·jacents pOlll' diminuer l'é· ro ~ ioll ) ,

3, Ne pus m élun gel' les cé"'I!;es (sul ratage m éclllliqLlc),

4, Adapter lc sys tèm c d e laiJle raeililanl l'emploi 11(,s llluI,hin t>s (Tuill e Gu yot),

5, Adaptcr les di stanccs de planLatioll

O,10,J,20) c l all ées honlurcs, p erm ct,

tunt l'ucl'ès e t le Inll,ail racil e des ma· t,!ainrs,

6, Adupler l'ul igl1l!lIlenl ;Ivec les yoi s ins

pHUI' lL'Ill'nillt'I' en COllllllun,

7, Favori scr la COIHitl'lI ction de chemins

"iticoles, R, Bicn choisir ln Illachine la mieux

adaptée Hli , 'ignohle vuluiliUll (Tr,cnil

pOUl' le tolenux, cheni llette à petit

éCA rt cment pour lit plaine),

l eçon 2

Mo ye ns d ' acqu ér ir e l t1'utili ~er les machines

"i ti coles .sous le r égimc dc la l1e lÜ c pro, pr ié té:

A, Achat de mocllillej e" coopérative: f.conomique IlIni s ex ige parfaite entente

cntn~ les tOOpél'fil ClIl'S,

B, Aclwt 1)(/1' Société d'agriculture ou agence

agricole (location journalière),

C, Ellltmie elll ,'p ('tllli.~ ml coopùuti lJe de

tra va il: Ac.hat cie ll1acllÎn (~ (lu e les "oi· li ii1 8 n'ont pus : ~! Iltellte pn'iHlal.I~, Le

l'rtl[lt' ié tairc avcc -su lll'oprc llllH'Jlinc, rnit les tnwllll X des Ami s Cil coo(l érnti\le , R~ci·

llroc it é,

- 328-

D, f:lI ll'eprelleur I,itico/t·, Cf's t tll1 (ll'Opl'Î l-.

1<1 i 1'1' Ih, lIIu chiucs v it ico les Ilni (,rr('('l uC

ù régic ou À rodait à st',s risques Cl pé l' ils

IOUS In.l\'aux , ' iti eolcs mais Cl;s('ntil, III"

1lII'Il t llIécu nÎ(IUcS,

E, Trl/item'!.ll! lmtiparm.ilnire du I1ÎgII"Mp

Cil COOIJPrati ve, Cette so lution est séri Cl! '

!W lll t' ili l'IIVÎSll gét' pal' Il'5 vig n(' rons, Ct' :-rs lêlll e de lI'ail cllI clit all lilHlI'a ... il ll ire a 110llllé Il' lIi ll t'III's II't'xcr'llellts résuJtnts

d alls plllSic lll's zo nes 31'bol'ku les dL! cano to n , Plucé sous lu compt'itt'Ilce d p. III S IO,

tillil l'ali l olllll~ (Jour ln jll'Ukl't io ll d t:"

(l1 :l1Itcs, il re"l: l UI\(' séc1II'ilc 13nl hiologi,

qlle que phrlosunilaÎl't>,

QUllldèmc IHII'ti c :

DROIT RURAL

leçon 1

COlllTll ent p cut,on devcnir pl'O}ll'i é tllil'e ti c

,'igne '? l. IUII' h é.I'jtuge

2, (J3r achat

3, plll' échllnge ,~, pal' donation

5, p31' testalll e llt

6, pal' IH'Cscl'iptÎon Ln vigne peut ê tre grevée:

1. ll)'pOlhè<lues en 1e r, 2i:me et même 3èm c

rang, H)'l)olhè«ucs légales

2, JII1,,;,ts COllllllUmmX ct cantullu li X

3, Taxe!'! plt ylloxél'ilJue et OPAV, 'l. SC l'vinltl es

u) PussHge à char (3 m,)

h) Possuge piéton (J ,60 111 )

c) Passage conduiles d'caux ct égoôtli

li ) Pussage conduite aérienne et soutcr,

rain€> électricité haute c t hasse tCllsion,

TT. Dn rail (lU 'un terrain cst vignc, il juuit de

certains droits. Lcs(luc.!s ? 1. Droi t d e l1assuge juStlu 'ù lu voi e IHlblilJl1p' 2, Dl'o it a ux SOUl'(' eJ et aux conduitcs (l'eaux 3, Dl'oit aux subsides de reconstitution 4, Omit 11\1 sccours (suhsiflcs gel, gr êle,

illOllllulioll )

Que doil'Oll !'espccter Cil é tuhli ssflnt une

vi gne?

l. Ln di s tunc e tl e "hllllûtion avec Ics vnisirlS (0,50 111, )

2, Les droi ts ci e palisllge pour uutrui

3, Lu distull cC légule pour Ultll'S de fioutè lle·

men l

4, Les (iI'oi lS de passage de cund uites (e:lUx,

TT, gaz, électri cité) ex is tantes,

leçon 2

A qll o i e",t sOllmis Jc Jll'uJlriétAirc d'unc Vigllt' ? 1. Le (lropl'i é tnil'e d ' une vigne est obligé d e

rcce voir SUI' SOIl ronds les cau x «ui s'é·

co tllt'1I1 naturell emen t du rlllHl s supé·

l'i t' lII', 1I0 laUIILlcnl d e pluie ou neige, Il e sources non captées, Aucull vois in ne petit d é\' i~r l e cours 1I11111rd .J €>s eUlI x

1I11 d éll'ÎlllCllt des antres voi s in s,

2, L'cau qui s'éwulc li lll' Ic rond s illré l~ i cUl'

et qlli lu i t's t Il écessnü'c Ile (leUr é h'e

l't'tt'IIU€> par le ronds supéri eur quc si c ll e lui est incli "pensllhl e,

3, Le PI'UI,H'i é tll.ire es t tCIIU , contre L'épnration

inlégral e CI pl'éala ltle des dOlHmuges, de pCl'lllCtll'e l' élahlissl'illenl il tru,'el's 1\011

fOl1d 1l tl'aqucducs, de drain s, égolits, gaz, TT, électri cité , IL n' t'st toutefni s obligé

{ IU C s' il est impossible d 'exécuter allh'c·

Ill ent les ouvrages sam frai s excesli irs, IL Le (lropri é taire qui Il'a pas tl'iss,uc ou

une issue in surfi santc SUI' la , 'o ie JlubLi.

CIli e fleut r'xigcr d e ses vuisins ((u' il s lu i l'èdclll le paSsa gt' nécessaire IIIO)'CIIIIUIlI

plc ine illl,lemnit é., Le droit de lJltssage doit ê tl'c inscrit nu Uegish'e rOnCÎt>I',

1.-cs org(l/I;s(lLiolls v ;û, v;llicoles du Valais,

O l'gsni sutioll !<i (,()lltL'ilnlllnt à la rOl'lnlltiolL ,les vi gncl'llII s :

l , Cours COIl1}JJ élllentain~s de dis tl'Ïct li

2, Cotlrs dOl1l1és 11111' les Sodétés tl'Ilgrirul·

lun:, ,section viticole, Dip1ôm Cl dc mnitl'C

,·ignel'on

J, Ecole canton .. le d' ugl'i cultul'c CluÎIl'UlIllt'ur

(2 semestres)

- 329-

Page 16: L'Ecole valaisanne, avril 1958

4. S tages aux ~ tllti o ns ft:tlémll' s d ' t'ssnis, Luu­sa llne

5. Cours d 'œ llologit' il U1U S<lllIH' (S tat io ns ré­d!!n:ll~s) c t Waedenswil

6. HClisc igne nwll ts donnés (l ' Il' les S tations ca ntonales tl e vitic.ulture (lnf()rmarion,~,

p1lbli ca tions)

i, Confén'nces, cour:; cl'étud es. e tc., lionnes p lU" l t'~ nrgUili sulioru v iti co lt's pour It'urs

mcmbrcs

Orgffllis(lt.iOIlS IJrole.~,~hJ/lllclles df'S vigllero/l s l'(l!a;S(UlS,

A, Orgmris/a.ioll de lu fJ/"od.IlCI,;o!t

Groupement. des vigneroll s du Valais fp.li

ralli c les secti ons sui va ntes: 1. Socit:té Cl.l nt o nnl e cIe viti culhlrc

2. Pl'o vins

3. Uni on des vi li c' ulte urs "u llli sa ns

B. OrgllllÜetÛOIl viticole pour r ellcu vuge el. let venLe:

J. Provins e t ses Cn\'es coopé.m tivcs de

Si~lTc. Sion, Lcytroll, An.lon e t .l e urs

cliv~I'ses ca\'CS di :;;~émill ées daus h's l'égioliS \piticolcs.

COMMUNICATIONS

TRENTE ANS DE RECTORAT

Les pl'o resst' ul's t'I les êt udillnts du Colli!gc tle S ion viellll t' iii ci e ft-h~l' la tl't'! lI t ième an ·

nêl' de r ce lOl'at d~ M, Ir Clmlloi llt' Pierre

Evé(!UH7 .. Prontaltt de son l'ô le ti c trait d'u· ni on ell l! 'e I ~s t1iVl'I'S ch'grés d e notl'" t'II' se ign elllc nt. c L' Ec:ul c va la isonnc :. es t h e u.

re ll~e d ~ réunir tous seli eo llllborat t' u rs e t

tous srs It'c te llrs pour eX I}l'iluel' à M. le

Hec te n!' Evéquo7. ses félici tations c t s es vœux les mei llc urs, M.V.

RADIO A L'ECOLE

La rudio il I)'éc:olc, fr éqll clIl ll lt'llt uljli sée

chez nous e t spédalelll cilt .Juns n llS écolcs

cl t: montagne, jouit d ' un r cg imc de rav(',ul" Cil te qui C'Ull cel'ne; la rcflc-- vR IH't! la paye~' fi "Administl"OliOlI dt!s P ,T,T.

2. N égoc·iant s l' II vins

3, Les CIlCII"C U l"S pl"Ïvés

C, l''ropugwule

L oHicic ll e : pm' rOPA V (ac lion d 'c ll vcl'_

glH'c) 2. privée: par tou s I ~.'I co mm e rces de

vi ns dam le CHdre de Icul'" Jlossibi. lil us

N, H. - La propngandc ln plus cfri ('ilCe c t tin.

l'lIhl e est baséc :

tI ) pt'Udl1ils d e I)\lulit é

h ) hOIllI l! ICIé; d cs pl'otlur't e.urs t'I des cO m·

m erces d e , ' ius

D, Ordre de III C/UlIIlIC (fondation 1957) Bllt ,~

1. D é; r~ ndl"c le \'in e l les trava ille urs du

"ill 2. Faire ro unllÎ tre. Ilimer c t apprécici' le

vi n à sa j ust~ \'uleLil' 3, Eloge tlu \' in (l itt ér a ture. )lnblit~111iom.

rolklol"e. O:HI\'res IlI" ti SlitlllCS)

4. Honol'el' Ir s piolinit!l-s de la vi gne et du vin ,

MITTEIL.UNGEN

En Crl'ct, 10 taxe t1 tl c'() n cc-- s~ ion anllucllt' de

ces héncricia ircs s'é lèv{' il fI', 7,20 sCld clllcn t Ill! Ii ~u d t' fI' , 26,- c t d e fI' , 38.- .

Ces tflXCS S01l1 tou jours jliI )'éc's pUL' l es COHl-1IlllllCS,

Il va SIlIIS dirl' que cc II .. rR\'CUI' n 'es t aCI:c)!,­

déc qu c fiOUl' lI uluut 'I l l e les l'Illliorécepteurs

sont insta ll és dc fa\:o ll défill i tÎvt' dans I~s

salles J e chc ssc ct qu'ils n c servcnt (Iu'à ln l'éCeplioll dt's ~Jlli ss ions de la radio-sco· laire ou pOUl' d 'nut res émissions pouvant

illter .. ssel' l ~s é lèves,

Ol' il a l"l'i,pe quelquerois qu e Ics instÎtutclII'S

c t lcs ~nstil'utri ccs s 'O tll'ibuellt le (lI·oit. en

dellOl's d es h~III,t!s ti c dusse, d'utilisel' ces appareils l'Il pl"Îve t!1 c1all s le u rs logcmellts

sans "voir, bi en c nt endu, d e concessions pel'­

socll1 ~lI cs. NO LIS U\'OIiS égule ment dû sévir I:Olltre des pCl'SOUlles apparelltécs il des ius­

tilutClII'S, chcz Icsqucllcs on aVilit ill s tall ~

-.1.10 -

\1' raciioreCCIJleur qui de, ait Iwc'lIIal e lll t'lIt

~c !I",lIvr l' il l'éco le.

NOliS attirons dOIIl; J'attcntion du pC1'SOIlIlcJ

sur les possibilités d ' usagc Jimite 'Ill e lui orrre III radio-st:tllaire. -spéc.ia lemcn t en f:e

(pai COllcen\t! "utilisai ion Cil pri vé de ccs

BPJlun:j l:; t! t nous cspérons quc dc sem!'hll , les

1\1.1115 nt' S(' rCllo li vell cl'onl plu!;.

Dil"ect.ÎQ/I de,~ Lf.li!p'IO/le,~ , Siol!

ECHANGES DE CORRESPONDANCE (C l ft ,~ses d'un glai s)

Les élèves de vo tre c1usse d és irent-i ls COl'­

rcspomln: uvcc d es camarad es américains ?

JI ,'a il S suHil d 'e ll voyer la li s tc dc leurs lIoms, en pl'éci sunt l'Îlge, le sexe, l'adresse

compl i! t.l!, les goûts ct les loi sÎl's prérért:s

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Nous !lI"io ll s égalemcnt IIO S collègues qui

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pie c:UI'lc pOl'tn lc, en m entio nnant simplc­lUeut le ur adres, .. c lIlIprè.s cl e Mlle Gay­

Ct'osier, Les VCl'ge .. ~, Mill'iigny-Ville, y, G,

- 331

COLLECTE DE LA FEïE NATIONALE

Ln ('Clllecte J%8 c.., t dcstillr-e II UX lIIè l'CS lIé­

ccssil t'wlt's. L(l {'umit é canto nal lance un

a p pel nu "01'1' ::1 t'ns('jg IJan t c l :mx éli-\"es

de c11tlz uous 1111111' la , 'enl c dc,,; ('!Il'tl''-; , NOliS U"HIl S é té très ht'lIreli x ,II' pOIl\'oi r

c'olls tatel' qut', g l'Îlcc à la cn lla hOl'flt iun des ills tilutcurs c l dl's é lèves, la vell te des CH r,

tes a do ul ,lé l'on I,assé, Le comit!! cantollal

l'xprimc sa " j\'t! gl"iltitnde e t lies r"éJicilatillll ~,

Lcs ill sti tu telll'S III im:a itutrice.-; reccvront

pt"ochail H' J1II'n t les hellcs curi es d e 19511. L' imprcss ion lit' se ("it qu 'à fin murs ct unl' partie dc' nos éco les ~e fel'Ill e à fin nvril

d éjà : il fuut donc hât er l'oq.~u nisa t ion , Le l'limité cantonnl tl emande iusta mm cllt ic

re ux q ui nc pcuve nt fuire vendl'c le s CUI'­

Ics par letll"s élèves, pour rai son d'âge, d e

les trall smclll'e à un illIll'C ins Litut~ur ou lIe les l't'tolll'ner' (III J1IIl ,~ lIile a u comi té f:.l'\ ntona l

dc ln fê lt! nationale. il SiOi!. No us osons

espérel' que to utes It!s CUI-Ics serOnt \'cndues (' 1 qu ' il Il'y IIlIl"a O U CUII l'etHlII·.

OBERWALLISER LEHRERINNENVEREIN

Bericht über die Versammlung

Del' Obcl'wullil) t' I'-Lehrcl'in llcl l\'cn :in hi e lt

sein t' W,inlcdw ufcr t' ll7. mil 27, Fe hnulI' im

Institut SI. U I·iillla. Brig, ah,

U m 9 Uh .. wurù t' in d er K loskrkil'dlC Ge.­IIleillse l,u rtsmcsse gdei c l·t. wührCl ld cl Cl' Ull­

sel' I!;t' is tlich er Bcrntel-, TT, H, Prarrt'I' Wcr­

ner . ein lidchn'chda cht es Kall7.dwort - uls wii l'd igc.r Aurtakt 7. llIll Tagt' - ail llll S

!'iehtl,tc .

Ruseh riillte !'i ich gcgcn ]0 Uhr d ei' T urnsual

dcs Ill sLÏtul l'"s : tHe Oberwnlliscr-Lchl'el'in.

ne n, rast \'o ll ûihli g und mil ihllcn t! inc gros­se Zalll Gcladenel': U ll se,' \'crchl'le l' H en­

El"ZiehulIgschef Gross mil se.i n~m Sckl'etiil-,

Herl'll r.haslonu y, ,li e J\fitgl ieder des Er-7,idlllngSl'lItes, die II. TT, Schulinspektorcn,

lIH'hn:rl' ge islli ch c H erren. plu·w. Fl'tlu Mut­

tCI' RosuJjt!, eh l' W. SI', Dil'ck torÎn cles Institu ­

tcs, die clwll' iinlige n Lehr scllwcstcl'll ,

Die Prii s id cntin, Friillie ill LUggCl', ricltt tl tc un

di e AII\\'I'~eml f-' n h Cl"Z lichc li Wi ll kolUllll'lI ­

gl'll SS ulld cl'ürflU!te di e VcrsalHllllllng.

Page 17: L'Ecole valaisanne, avril 1958

Nnt h I1t' lI1 V,' d c::.t' II d cs P,'olol~ oIl3 bÜ' 1I um

d er Hcrcr cIII .les 'l'ugt'!i H, H , Ti l/Ur l\1r~ (' a­

l'nI: l'w incil f' I'::.hm Vor lnl g, d t' r scholl m il

vicl S I'III1t1l1U g t'I 'warlc l \\"un le,

H, H , Mésr aruz isl Iu-uh' Ungurn-Fllicililings­sed sOI'ger j" B ust'I, wnr friihcl' M ilarheil cl'

Knn linll l Mindszt' Illi s, a is dit' sel' not;b Bi ­schof wnr, (H , fi. Méscann: Icgt We I'l a u f

!liese FCsli; tc llulI g !) E r ge.r ic l in Gefull ge ll­

II r hnfl, di e t' l' Ilchl J nhre in ail ihrl'II QUlIl c lI

un d Hiirtcn dun'hl l' blC,

Ahel' Il'nlzclf'1I1 \l' IIITII se inl~ Al lSriihrUII )!;C rl

IH'linc Auldngc n im iiblidltll Sillll C, k cinl '

Mîl lei!l heischcnd clI Worte LIIal kcin DiiSlc' l'cl'f1hbcn d ei' fi dlOn ualIIenlofi ll'ullrj g l~ 1I Zu,

stünd c, Sic wnren ein Vel'i'uch eJl1 l!r Aus,

c in ul1Ile l'sc lzung lUil dem Bolsche wi sllllt s,

c ill e Id ore, nii chl Cl'1l e Dat'Slc Uling " on Sclhs l­

cl' Id11 Cm uHcI Erlill enclII, U nd Il,t!i l jlmen

j egli ches Hesscntimelll so fc rn e lag, konll ie n sie lIuch 50 ühel'zeugelld wil'kc lI,

Del' Bolsdl CWj !;IIIUS ris t cÎn Il egaûves .Ev<m ­

ge!iulI1, cl er Glnube lill das Bose, an di e

Un. lind e, Wus CI' h Cl'3nzii chte l, das siml di e Malel'inli ste ll , Und cl och i$1 ihn!'1l ~ las Ei ne

wichli g : di e Seele, du s l eh , di e. Obcr zeu guu g

cl e l'l>I', .Iii' ilme ll ZIII' Erreicllllll g ilu'er Zi e lt'

im Wcgc sll!hell , DanlJlI ail die leu rJischclI

Foltt' I' rllt' Ihodc n, di" QlIalcn d el' Iwltt'Il

clUllklcli ,Zelle, di e lagelnngclI V erh or e, di t!S t~

Vel'hore, dic miirhc lll'lI.: b ' ll slJ ll e ll ZUlU

Ges liintlni s, Dus Il' llllri ge Los der Millio l\ en, die im Vi eh wugcn ciugt' ll fl'l'ch l IL" l l(oll zC"n ­

trutionslngcl'll S ihiri ens f' nlgegcn l' illien _

rlir tli e II1 clstcn d ie Entl slaüun ilucs Lt-hcns - sponel jedel' BClieh l'c illllll g, E:. kmlll Jli('ht

andcrs sein, Ais " UliS untel' tl er un gt'hcu l't' II

Wudll lli esel' Vcrhahni ssc dus TraditioneJl e zlIsanunenb.-i cl lt und /llIl' d ns Gill e Blalld­

h a it. Das Bose IIIU!;S hesieg l werden durdl

das Gute, E hrful'chl tl nll Gottcsrnrcht IIlIlSS

G l'lllldhuhung tiChl j ed el' Erziehung, dic gUI!!

Mell sehcn h Cl'llllhildcn will. Und: « Dai!

Bose 1<!I1ll1 nul' h es iegl wcnl fl ll , il1(lem wir

dus E"ungdilllll wÎrk li ch leh en, cs iSI di es das eü ,,~ig fl lTeilm illcl hl (l en Wi rl'nissell 1111 :

II Crc.I' 'l'lige »,

Leidel' isl cs mil' im Hnillnen di eses Be­

l'ithles lInmügli ch, Iliillt:r auf die A ilS­

HihruugclI "0" n, H , Méscal'oz e inzll geh cn ,

icll huhe HUI' Wcsc lli liches fC51gehûltell, lrn NU lll cn all el' m üc ht e ich ihlll llochnHlls d an ken ml' d ie he Î(l cn wt"rt" olll' n Vor,

Irii gc ,

N II(' II Ahsl' hlll ss des Rt'rc l'a tes l' l'grirf Ilerr

l!:l'z ichullgschd {;l'OS5 dns \Vurt. Er d allkl~

" t' Ill R t'ft' l' t' nt t' l1, gab !<c inel' Fremie AU$­

d rul 'I" 1111 d e r T ngull g te il genoJUm en 1.11 ha, h Cll , Icg le d cn Lchl'c l'illll en dus Cl'Sle Zirl

d l' I' St'hul t" di e gui !.! Erziehung, hesonllcl'li an s lien und Ol' iCli liCl' lc iiht'r gan z kOllkrele P liinc tics EI'z iehullgsdcpnl'lelUetltes, " 01 1 de,

nt' II c' illi gt' schOll gl'o :-;:'it' Iltcils vel'wi rld iehl

sind, Elltwnrr Zlll' VerHillgerulIg d ei' Schul,

dUlI el', Vorlllgc riil' dcn .Bau cilU~s Lehl'{,f'

S l ' Illillnr ,~, EriiHn ll ng "un nell ell Sckuudnr, Hllusha l ttl ll gs- und Primal'sdlult' ll Il'Olz Leh: l'enllun gel und Slc Utc in ab6Chbal'f': r Ze il das

Ersdlf' in cn t'inf'S n Î! II CII L~' hrplans tuul n CIICf

Lchl'Illille i in A ussÎC'ht ,

Se inc WUI'IC ('l' lllc lell l'eiehclt Bej(all. Die

Ze.it wal' v~)I'ge l'ii~:k~ mun hegab sidl Will

Mil1 .. gcsscn , \'0 11 fi !' ]' 11l,; lilubk iic.h e in ge,

wohnt gul er Weisc ser" ie!'I ,

A lli N udlmÎuug hult!!n -s ich di e Rcih cn der

Gelnl lclle ll e illi gel'III IlSSf:11 ge lidlte l, weil 1111111 c ben au ch di c H erl'll Kollcgen il! der

c: Lind e .. Zl! N lItCl'S mit c inelll Besuche

ht't'II!'f' 1l wn lh l',

OCI' VOl'trng des Rcfcl'enl ell hi t:1t wictlel' "Ile in SP:.l llllllllg lllltl di e M.itlcil11llgCII dt'I' Pl'ii,

~ id t" ntill illiCh , A chl 1I1l ser er Koll egillllt'l1,

di e übe r 40 Jah,'t' im B eru r s lallfl tm, li essclI

s ich iih"ITHsche ll und cl'fl'eneu dUI'I:h eil!

Icl t' Înes (ait .. \' :oeIll' wt'I't"olles !) Buehge­Sl'hcllk c: ZUI- Erillll cr ulI g ,III tlOj iihrige Tl'eu~

in Sehul c IIl\d El'z iehuug im Dif'nstt' \'(/11

Jugeml tlnd Volk .. :

tl'üu1l'Î1I A m nekc l' A;;III'S, Ei scholl

.. Rannnallcl' Id .. , Nu teni

.. Juun Tdu, 1\ i l'bd

Kiiulpfe ll Puu lin t', R icd-Bl'i g

L Cl'j cn Ciisnl'in e, Vi Ril

WUltCl' Mari e, GriicllclI

Z en Ruffillt'II A nna, Leuk

Z Ul'briggc lI A III Ht, Bette ll

W il' gl'llt tlli ercn !

UIII IllIdl Ilu ch ein hi $Jj t:.hcll GclegenJltil 1. \1

habc lI , im kl einen K re ise Erlelmis und Ge'

tl ankcnnu s lIIl1 seh zn prJcge n, wunlc die

- 332 -

Kourcl'cn z gcgen 17,30 geseh]os!ien und a li­

sciti g bcfl'i f' ,li gt iiber d en inltw!!!Ssunlt'1l un"

anl'egcnden Tag k e lll'ic man abends lIach

Elnu$c, Rm1Îna

OBERWALLISER LEHRERVEREIN

8ericht über die G e neralversammlung

Alli 27, Fcbl'll!l r 195R nachlllillags vc rsllllllllcl­It ll sif'lI di e Mitglieder des Vere;nes kut/w, (iscl!cr Lchrcr und Schrtl,miillller des Oiler­r va llj ,~ im neuen Suale znr « Lind t! " in Na­lers ZII I' 32, onl entlic1l t!n Vell erlll,'crsnmm, lung, Der VOl'sitzende, Lchrcr Slucky A u xili us, t'rMfuc le die Ver sammlllng mu HOa Dhr und heg riissle in UII !;t!I'er Millt! besolHtel'!i fT !' ''l'n Staalsratspl'ÎÎ sidenl M, Gr 0 '5 s, E I-zi e ' hUllgschcr und Henlt Dcparlcmenlsst!kre liir A, Chaslollu y, Die au( Zirku lunveg zll gestdlte Tnlk'IlHld c lI­lisle Il'unie dulün uhgeandert. dass unle l' Trukiandlllll Nr, B eille Eillgabe ans Leh l'e r­krcisc lI UliS tlem Oberwallis an den Ve re ins­prosirltm tell "el'Iescn wt!l'd e.n sulltc , Dit! ab­gcüllderlt' Trnktnl1dcnliste wU1'd e \ '0 11 tl cr Versnlllllll ulI g gC l1chmigl, Ons Pl'O tokoll d ei' le t'lten GY \'o m 31 , 1. 57 \l'unie \'crl esell und gene1l1nigl , Hel'!' S lliCky schilderte das abgelaurt'IH' Vcreilll:ijn h r im gl'o ssen und gall'l,en a is ei " gliick,li ch efi, inde m aile Lehrcr wü hl'end des WinICl'S ihren hehre.n BCl'UJ nusi.ibcll und \l't'gen d ei' Hochkonjullktur Ruch wührellll des SUlllmel's lIicht Miihc h a tten , ci ne m e hl' IId er \l'cllige!' jlusse nù e Arbeit 7. U filld cll , Schnillel' Tod h al nU I! ullsem Rcihen enfj'is­sell H en'n T heofi.! Blalter. FOl'tbildungs ­~chllllt'hl'e l', Billen , Auch be trnuel'll wil' den Tod l1nsert'S 1;elu' ve.I'chrlen Obel'walliscL' Siautsra les H enn Karl An lhama llen, Di e Versa mmll1ng ch l' te di e Verstorbenen in tiblicher \Ve i5e dm'ch einc Minute s til1e n Ged f'nkcns, - Grn tuliel'ell konnte der VOl'­sttzemle im Namcn der Versammlung H errn Lehl'er Jose r K cn zdm anIl, Zeneggf'II, 7.11 se iner Wah l nls Regienmgssta llha lt el' d es grosstell B ezil'kes, und H erm Sekundad ehrer DI', Ruùolf J ellcltcn. Vis}), zn scinel' Wü hl aIs P rofessHI' un das Lehl'ersem imll' in Sit­len , Del' Ve l'c Îns\'01'Sl8Ud lraf sieh in scchs Sil , ZUl1 gCIl und hehandeltc llliter anderlll di e folgel1d en FI'lIgen : Revision del' Ruhegehahslwssp., AUHI'ir. lltung einer Spczialleu erullgsz ulagc. AUSI' iclltUIIg cincs Dienstaltersgeseh cnkcs mil ,~O Oi enslj ahrell, Aktion ZIl1' Schulvediingerung, Neubal l d es Lchl'cl'scmiunrs,

Ges tal lung de r zukü nfti geu Leh r el'hildllll ;; im Wa llis,

Amilellung c ines Se.krelürs des Zenu'nl \'t! I'­IWIHl es,

BerÎ chl e über di e \'crschi ed enen Oele gi e l" Ij'nvel'sullllnlungt' Il,

Organisution von BCZ.Îl'k sko llrcrcn zen,

S ldlungnahm l! zn c inelll EnlwlIl'r f'illt's St'aaIH a lllhcs('hlusses ZUl' Fiinlerun g de r Schul\'e l'liillgCl'llllg,

Diesel' Staatsl'llt sh es('hl uss 50 11 die l\1ii gli ch­keit ci nel' Schul vel'langcJ'llll g i l1 die IHi licl e tlcr E lt cl'll d er s~hlllpf1ichli gen Kind cl' legen, iml em ùlc E lten l von 30 % d er schul pfli ch tige ll KilH:lt'r ei nel' Gl!lIl einde e inc Schul vcl'Iiingemu g fiil' ihre Kindcr " Cl'lll ll ­gell lcünnen, Mau VCl's pl'i c ht sic.h von di c-11er Mogli('hlce it ,Jel' fak ultutil'en Schul "cl'­liillgel"ll Ur; 1!Î1lf' 1I gr osse n Fort .'i('hr ill Illif dicsclll dOl'lli gen Wege dcr Walli sel'sehul e_ Hert' Prüsid cnl S lu cky schli esst seinell Julm:·:s llt'I'i c.:hl m il Il erzlidien \Vurte.n d e i' ullh' Ît:hlige li Dank ba rke il ail 1lllSC I'II Depnl'­IC! lI eIIIS\'OrSlch cr H e l'rn Slaal sl'atsprasiden­Il' 11 M, Gr 0 -5 S 111111 tlt'sst:n St'kre tür H enn A, C ll u 5 1nll1l y,

OCI' KasslIlJt'l'i cbl ullSc res Kassjers H e.rl'll Lelu'er Vo gel Erich zeigt, Ilass wir an Ein­l1ahulcn Fr, 857,99, l'II Ausgabell FI', 1 522,45 uutl sOlllit cinen Ausgaheniiberschll ss 1'011 FI' , 661~A6 zn " erh udw.1l hauen, Obwnlll wil' mit dies e,U1 Au:sgabelltihel'sclluss uns in gutc!' Gcscllschaft bcIindcn, muss do ch be igefiigl wenJen , tl uss de.rsclh c au s tl em Gnua lt! e nts tund. weil tlie J ;:rhrcsl)t:i­trage rl'üh cr 1II11 eill }ahr l'ora usgebuchl ,,'ol'de n \l'arcn, A uf An h'ai; del' Rcchnull gs­r ev Îsol'en lll'1l1l ner Jules und Gau len Joscf Il'unl e ,11'111 [(nss iel' unl er VCl'dnllkung se i-11 er Al'be it Decharge el' teill, Auf Antrag dcs KOillitees W ll rt] C der laInes­he it l'ug prll 1958 ",i e rolgt festgeselzt: l, fül' Pdlllarlehl'el' Fr, 12,-2, ({il' Sel~' l ehrcr li , a, Fr. 9,-AIs Ncumil gli eder konnie n in den Vc rc in lIufgenmnmen \Verd e n : TI, H. prat'I'C I' P e lcr A l'lI old , Morel FI. H , P fal'rcl' A, Zenziinen. Lax ln d er FCll ge. kU IlI ci ne Eill gabe AUS Lehrer­kl'eise n 6n c1e n Vors lf\ud des Lchrcr\'cr eills zu!' Bchandhmg, Die E ingabe wunle \'0111 Aklual' \'erl csen \JIIII von dei' Vet'sal1l mlun g krüfli g npp laudi p. l't. S ie bezwcck le ZUl' Haup­snche dj e dl'ingcnd llotwclldige Schul"erliin­gCl'llllg, aber auch einc Ncuordnun g de L' Wohnun gscn lsol lüt1igun g sow-ie ,li e Anpu;jo sun g deI' G l'lllulgehfiltef des Lchrpcl'solll\l s lin Ili ejclligclI d er Kantone mit ühlllieheli wirtschllhl.Îch cll V~l'lliiltlli SSl'n , wic das Wil l­li s s ie a ufweist. ln schwun gvoll cl' Hede bcgdindc lc Lelu'Cl'

- 333-

Page 18: L'Ecole valaisanne, avril 1958

Otto Super saxo , Saas-Fee, rli c Ei" gab e, iu­d t!1ll e" au ~ fiihrrc, dass di ~ E ingRbc ;

1. k eill e oppositioncll e Mae hen5chaft vis ,iI­\,is {lem K OIllÎtcc des Lchrcr vere ins od er ,,;ugar gegcn dus Depa rt em ent sei ,

2, ke ine Ve,'ke nllun g d e r 1;,'05sc n Arhe it von Komitcc und D cp;n'tem ellt h e7. ii glü~11 di e llt-'sl:l t'. rsleJllln g d er Lehrer~chafl in LI en le l7. te ll Jahre" hed eut e.

3, ke in c Absch wüchun g betrr. d el! illÎti uli­ven Ein ~<L I 7.es d es K om itees und des De, partenlel,tc~ in Hi chtullg Schulvl' rliil. gf' ­run g ~ci , im Gegelltcil, s ie sc,i einc Aner ­k enmm g d es E insat 7.es und d e.r hishe ri gcn E rfol ge,

4, positi v d ie akti \'c O nte rs ttl ' zull g "011 Komitec Ilnd D epartem ent Îm K all1pfc lIlll d i t' V n wi r kJi chun g einc !i d er \'onll'iu g­lichstc lI u :1l1 a !,nneUslen P l'ohl em c, nam ­lieh d it~ Vcrl üngt'HlII g rl Cl' Schul c, he-7,wed ;c ,

!?c,' R etlnt' r wies di c N o twe lHli gkeit d e.r E infiihl'llil g de I' Jahressehul e ,uld" indelll t' r das Zc italter d t'" Motori sienlll " s l'hild erte lI'lfl fonl cl' te, d ass cin e.!' \ \' irt~~h ~ftlid; ~11 Mo torisienmg illi ch ci ll e gci S li ~ t' Mo tori .s ie­l'Img gcgclliibe rs tehcn Hollt e, Fem er zeig te e l' d en Ma ngel ail na turwisse nsch nrtli eh cn und tedllli sc.hen Bcrufen illl W allis auf, {1er ha up tsachlü:h uus der traditi olle ll en Un ter­~c.h iitzun g di eSel' B erll (e, aUÎI d cr zu kurzcn SchulcJuuer und d er 1.11 cin sei ti gen Aush il ­dUllg l'esuhi el't. Tn llUse rel' Schul e ko mlll cil (li e He alfüch cr, di e N <ltnrk ulld e, di e kiin srlc­d SI:h e und di e hand we[kliclt e A usbihlnn g zn ku l'7._ De" Gellanke e in t:r 8 M onatsschlil e fiir aile Schule n weisc wohl bc(lelltclH! e posiLÎve Mo m ellte auf, sc i j edo ch liU!- c ine hlllbe Li)s lIn g, Mit A usnuhm c VO Ii Gr au b iin­den und Wallis se ien heut e ail e Sl'h we izcr­k anlOn e Zut' Ga nzjalu'csschule üb ergeg an;;t n und w a;; in un SCl'n Nachharland erll lI ueh zwei furd ltbar ell We lrk l'i egen Illogli ch se.i, !'iollte mit glltcm W ill en im Atom ze illl1ter (lUdl im \Va lli s m ogli ch se in , Zur bessern Ver wirk lichun g des Pro blem s wcnlen ver seh ied ene Sehul ty pe n, üh n lich w ie in alHl erll Kalltoll en , kOlllbini el't mit Ga ll 7. la g- u il d Halb tagssclmlen tl'Hl eine ge­sehmcidige R cgelung der f'e l'i en voq.~el;chl a ­gen , Die Einfiihl'Uil g der J ohl'esschul t-! wiird e hed eutc!l, lIa5s s ieh d as Le hrpenw nal r es tlos se in em Be ru fe widmen und in obligatori­schen Fortbildunglikurscn we itcrhilden k onn­te und dass di e e norm e AbwandenlII g d er jungen L'chrcl' gC8 toppt wiird e., FolgclI w-Ït' l,le m malmend en Ha dioappell UlI se"cs Land­mannes Kurl Biffi gel', d er rli e bess .... e A ns­hildung d cl' W alli sel' Jugellli drin gellll fOl'­del't ! Nchmen wil' unserel' gesundclI lIIlIl intel li ge nten Ju gend mit eÎ nCl' wohlfulldie r­tell Anshiltlun g ull c Mi lHl el'wel'li gkeitsgc-

frlhle und seh cllkcn wir ihl' s tol zes Scl hst, hewlIss t~c i n a is S,'ld ii.-;;sel j e Jl; li d lell E rfo lges ! Del' hrauscll d e Appluus a ller An wesend en ze igle Idar, d ass cs 'Sich bci di eser E ingabe n IB c in ull gcm ein drin gf' lHl es Prold('1lI han, tl elt, das all e a n deI' E l' zi elulll g Vera ntwortli_ d lt' n hescha ft ig t u n d von dcsscn bald igel' un d gliick l ich er LOSlln g das Wohlund Wehc d er gesul11 ten Wa ll iser Ju gell!l ahhiingig se in winl , Ocr Ver ci llS\'orstalHl n illlmt das Postul at wohlwoll clHl .. ntgegeu und winl in VCl'hÎl,_ d lln g m i t d e m Depal' Ieme nt Mill el und Wege st lllli e re n, lllll di csell steil cn und s tei ni gell Weg zu e rklillllllcn.

1" eill er liin gc l'I1 A nsJl l'Ullhe gill p; 1I11Ser sehr , 'el'ehrtcr Erû e hullgschef, H cl'l' Staa L'il'a ts, (}!'üsidcll l Gross, auf di e w icJ1fi gs ten Sdml­un d E rziellLlllgsI'l'o J,I ,' me ei n, w it:s all f die fusl ulliibel'wimlüehen Sdllvjeri gkeiten hill, di e eN zu heseiti gcll gilt und fOl'd erle di c Vel'sa lllmelten a uf, da s E,'z,iehun gsd ep<lrte, ~ lI t! llt in sein en B es tr t' llUn gt'n zu unlel'_ sLi.ilzCIl , UIH 1Î 1Il Sd lulwcsell im Wn lliH einen r cv01utionare n Schritl \'orwal"ts zn kOllun cu, i~l s e.ine n solt'hen h C7.e.Îehn e.te CI' d en En t, wurf e ill ci'3 S taatsral" IH~sehlusst' s , der di c Ko m petellZ ,1e r faknltati\' cn Schulved an ge_ mllg de n E lr cl'll deI' schulp fli chti gen KlÎ. llder i.i h e.l'gib t , Well n lIiimli ch 30 % lIe,. E ltern der sch ul"fl ichLigell Kind el' einer Gem eü. d e es \'erlangell, 50 lll U5S fiil' cli cse Schül cl' , 50fel'll cs lllindes te ns 10 5oind , di e Schulc verlün gel't wcn len , Auf di e,;e Weise hoHt man der aIl­~emein en Schul\'crlallgerung allmahli ch den Wcg zn hahncn und zn ehn cn ,

Di e Au sfülu'un gen unser es D epartem ents­vOl's'teher s wu r d en "011 d en A nwesend ell mil grosscm B eifa ll aufgeno lllmcn und \'0111 VOl's itzenù en hel'7. l ich vcnlankl. \Vil' s ind all t iihel'7.cllg t, in H erm Staatsra t Gross d cn Erzichuu gschef zn hahell, cl er mit s taa ts­lllÎ.innischel' W'e its it,:ht und û iher Energie das \Van ise,. Sdllllwesen fjil'd ern und d em WaI, li scr L ehrp e.r so nal cin e bessCl'c sozia1c Stc!, lung er k ii.mpfe n win!.

lm zwei ten Teil d er Tagung spl'ac.h B ochw, R er r Pfan er P e tcr Al'Ilold , Morel, über dus Thema: «Scind e im u!tell Wulli s~, D ~ , ' ge i s't l'~i che R efer e nt wa r in rlcr Sehnl ­geseh ichtc d cs \Vallis wo hl bescMagen, We il Wil' ho Hen, d ass tli eser gedi ege nc VOl'tI'a g in ab"ehl wr er Zei t \'erüHentl icht \\'t'nl e, '!iehcll \l' i,' an di eser Stelle "on ei ner Ilüh cl'Jl I nha ltsan gab c a h , W iih relld w il' Uli S ail t' ill cr l'o l'ûiglj(;hc n Wal, li seq l lall e giitli ch tatcII, san gcn N ati ser­k nabcn untel' d er kllnd igell Lcitung l'on H elTn Leh l't~r Eggel Leu eini ge l'ussige Li ed!' r. IIt' rr Prii ii itl~llt M, MkhJ.i g "idllc tc 'Vo rle llel' A llerkenllulI g an d ie L ehrel' lI es Obc l'\vullis und offeri e,rt e im Nalll en (k ..

- 334 -

Gelll e Îno e Na tcl's di t: 'l'ranksall.l t:. Z UIIl Zv ieri , Herr O ircktor Dr. L o re tan for del'lC di e An­wCSl!n dc n au f, auch in Znkunfl tlt'I' « Schwci­zer S cillIl e ~ di e Tre uc zu b cwtlhrèn, Hcrr P ,'ü sident S tu el")' t1allkte H er m S taa ts­rat Cl'OSS, H c rrn Chasto llay A" d er Ge­JlI cin ri c Na te rs, H errn Eggcl und !ie in em Cho!' IIl1d SI~hl oss 111 11 18,00 Uhr di e IUlr7. .. abcl' arh ei ts reieh c Tagun g,

JlIlhasJy

1 BIBLI OGRA PH IE !) BÜCH ER

Pages d'histoire suisse

Henri Jea nrenRud. E d , D clacha ux c t N ies t lé,

Nelll'hâ te i - Fr, 2,85, Ce pe ti t , 'u lume d e

55 pages conli en t un e séri e d e tex tes d 'au­

leurs t;ui Sl;CS Sc l'Upl'0rtunt <lU X principal es

phases d e 'lO tre passé, Il Jl; I'OllpC, CO UlIll C dil

J'awHlt-propos, «: de s an ccdotes, d es réci ts

dl'lslin bs li .-enclrc vivant ... et fliltol''' S <IU t'. ~ d es

fait,; de 1I0ire hi s toire nati o uRl e », Ccux qui

trou vcnt les Hl ll llU CI.s d ' hi s toirc trop «: ~ecs»

II C Illll nqu el'o nt pas d e pro fit e.' de cct ou­

l'l'age pour « étoffer » Ictll's cours,

Collection de matérie l didactique r Editions Pro Schola, La usanne,

Api ll'endre les r ègles d e ,la grammaü-e fra n­çaise es t 'li n pr,cmi cr pA S rela ti vem ent facile i. fairc, les applique l' en est un d eux iè m e qui dem ande un e ntraînem ent intensH, D e lIl t-me, l'a cquisitio n d 'ull abondant ct 5 (11'

\'ocabnlai,'e ne sc fail pas san s d es exerciees de d éfinition , d e ,l él'ivali o n, t'l e composilion el (le décompositi o n des 1II0ts, d e syno nymie ct d' «" mploi du lerm e J}récis d ans l es ph r ases, POH I' tout ce tl'u \'a il abso lumeu t indi !>pcll sa­hie, nous n 'avons pas il notre di sposition un ma tér iel suffi sant , N os gramlllaires et ecJ­les q ue nou s offrent les édilem-s franç,lIi s de lU anu els sco laires n e co nti enne nt qu' ul! nom h re limité d 'exen :k es le plus sou vent trop fucil es po ur d es élèves capahI r,s d'un séri eux eHol'! d ' intelli gence, A ussi so mmes­nous hcure ux d e pou voir présenter à nos col­lègues la collecti o n d e matér iel dida ctiqu e P l'O S ... hol a qui nous apporte lcs outil s dont nous avons beso in. aplJl'éeiés déjà par de nOml ll'eliSes cl asses d e chez nOu S e t de J' é­trlln ge!' , E lle comporte à ce jour 24 hro ­chur cs dont les 19 (lui con cern ent l'e n He igll e­mCI,t d u fnm ç,il is forlll ent la lis te ~ ui va nte:

l , Gucl'I'e aux germ a ni sm cs 1 par J «, all H Ulllh el't,

2, Lex ic;olo gie "ivRllle A (Dt'iri valion Il .. & m ots ), pa r J ean HlHllherl,

3, J. ',' xico logîc ,' iVllll tC B (C omposi tion des m ots ), l'B I' J ea n H um!. ert.

4, Lex ico logie vi"an te C ( Famill es de m o ts), fi a I' J ean Hu:n!te" t,

i, L'o rthographe Cl l zigzag A, pa l' J ea n Lhlmbor l.

a, L 'orthogra phe Cil zhag n (OrtllO grllph e d ' usage), pal' J ean HUlIIlle l't.

9, A la l'eche l' r lu~ (lu verhe pro pre, p :II' J ean Humhcl'l.

I D, M UI1 !; Îeu r Subjon ctif, pnr Rnlll l,~o i s Las-se rre ,

11, Fra nçais plus p réd !:i A (Homonym es, Pll­ron yme~. antoll Ylll cS) pnr Pi erre Dore l.

12, Fru nçuis plus ri che B (Sy IlOIl)'Ii~~S ) . par PielTe HO!'t'I ,

13, Français l,lus élégant C (Styli s tique), pal' P ie n -c B o rel.

17, Le secre t d es ternps A (Temps simples), pal' Fl'a ncÎ s H el-set,

18, Le 'Scae t d es temps fi (T t'mps compo­sés), l'ur F nlll l: is Be .. s~!.

19, L~ i'i eae t d es temps C (Co ll cOI'dalll:e et stylis tiq ue), par F ra ncis Herse!.

20 , E'i t-cc le ou la 't pal' Martiu e 1. Bénédi c. t,

21. L' i\' l'Ui e ou le hon gra ÎII ? (lCI' d egr é), pal' Camille Duda n,

22, L' Î\" 'R ie OH le hun grain ? (2c d egr é), Jla r Camilll~ Dudnn ,

23 , L'i vra ie ou le hon grRin '? (3e d egr é), pal' Camill e J)u ~lun ,

24, P ARTI CIPons! par Jean lIumbcl'l ,

Cahit'l' d e l ' élève : F.', 1.25_

T outes cOlllpo ~ ées, COlllm e on p cut le I~ons­tater, pal' d' é min ents lingui stes p raticien !; de l' e nseignem e nt, elles offr enl une absolue sé­cllt'ité d ' informa ti on; les e xen :ices qn'clles proposent dispc nsent l'élève Il e la fastidi c use co pie, d e tout le tex te, pu isqu' il n' a <IU'à l- c.mJllir les es paces 1'6sel'\'és au x tenues à a joutel' , A insi il l'c ut mi eux co ncentre r son atten t iOn SUI' tout e la phrasc pOUl' e n ,;ompremlre plus facilem e nt le scns, A cause Il e la " .. ri étê ct d e l' in géni os ité. d es exel' ciccs, chaqu e ph rase d ellum ùe r éfl cx ion , De plus, ces I:a hiers rtenne llent un tra"tlil ind i"iduu' li sé q ui e.st la form e la plu8 effi cace d e l'nc­ti "i té scol aire IH,i ll{IU'cJ! e donn e à chacun l'o ccasion d ' cxe n.:el' les aC(lui sitiol1s dont il es t l e moins -sfl r. Aj outo ns, pour tranl)uilli ser chacun , qu' il exi.s te 19 brochures du m ai tre qui co nti en­nent les solut ions d c to us les exercict:s pro­posés; on peut les o hten ir il la 1Ht! Ill C

adresse pour le pri x d e 3 f I', 50 J'exem-plaire.. A, Chz,

- 335-

Page 19: L'Ecole valaisanne, avril 1958

Journaux d'cnfant,;, (Nullléros sll écitlu x dl' PIÎ (III ~S)

«L'Ecolier I<o11l lflul ~ (32 pages). Des id ,~('s

d e d écol'alioll c l d e çnd l'aux !l OUr P illJ u cs :

lapins Cil pommes d c tCITC et cos)' à œuf ('l' fClltrc ; un lo Ul' d e lll'estidi gilliti o n à pr é­

"t'lI lel- aux amis p endtllli II:s VUCIIllces; Il'

r éci l passiolll Hlnl - t' t vl'lli - Il ' un e cxp édi­

ti on ch'ez Ii'S cannibales; TAm-ta m lélé­g.-a Ill IlH~ t' t lél égrl1pll!:-cll~ scrol t' ; des j t' lIX, des ch lll'ad e.s, d es dcvin f' ltes; Hile hi sto ir!:

gai e ~ t , hi t' I, t' II 1f!1H1u, ,le fClIill t'to ll Cil im ag(',~

et le gral le! fcu ill e ton po l ieiet·, P rix de ce

Ilumér o : 50 etH,

4:: Cadet Rml,s,wJl» (8 pagcii). Des œufr; po u·

les Bt d es œu fs lnp ill .'l : lm n1\' i S~an t In'ico­

Inge po nr lu tah le de Pâques; d eu x pages d e

« ClénH'u li lu! lo ; lin !Jean CO lite d e P âques.

a vec Flop, le dap in ; l' alph abe t 1':11 d essin ;

ull e poé~ i (' . P ri x d e ce Illllll éro : 30 c ls.

C.C.P. II, 666 - T eléphoue 222821.

Die Reife jahre VLl Il Ou o T UlllIi rz, 275 S" H lw. DM 9.60. V<>l'Iag Julius Klinkhanlt, B iHI TTcillmll1n/Obb.

D el' Vcrfasscr hal V Ol' 34 J ahrt' n unt el' dic. sem Tite l cin zwe itciliges \Verk veroffcllt­

li cht (1. T eil : Di ~ secJ iseh en E rschc inuJl gen

d er Heifcjahn, U . Teil: D ie B ildnng und Er7. i ~hll llg d t' r rt'i fe nclc ll .luge n ll ) . Inzw isch t' Il

h uben ~ i ch di e fOl'ult'nd cll E infliisse uuf

(li e13c Jn gclld d er art \'e rülHl ert, das$ nIlSCl'C

Ju gt' nd au eh pill e II lld erc ist. Det· leb cll snllhe Piidago ge IUU SS d eIU R echnung Ira gen. D aA

hat T mnlir7, mit d er s ltll'k abgewll ll d t'ltcn, c inlli"illdigcn Ncutlusgu iJ c Ru ch getan . El' he· rücksi chli gt mit gcdi cgener SRchke rmtn is d ie ncuestcn E l'gel missc d er sog, R eife-Ps}'('h o lo.

gie, mit d ell ell e l' s t' in persiin l ich cs E r­

rahnmgswisscn glücklirll ve,rc in!. St' inc A r­

" eil IJ ch' ifrt lIi "ht e ine h cso ml er c, sond cl'll die Jugend im A lI gcm c in en lIml :r.wa r " 0 1'­

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~ t, t' li s c" en Erwll chcns und gcisfigcn Uc i fen~

des K indcs kennen ; e l' m uss psycholog isch hr' ohachle l1 Hml denkell kü nn cil. H icf ii l' i ~ 1

d iese klcÎ ne K.imlerl'sycl lOl og ie ein lielu'

elUpfehl el1swcr lcs Ililfsmi ttel, d us clarüh cl'

hi na ll ~ HIII'Pgt' ll und an leitcll wi ll ZUlU selh_

s tfÎl ldi gC II Enll'b ci ll'n "0 11 ps)'th n lng isd len

Fragen. Nehen d en Gl'lllulhegriffell d er 1I1l­

gl ~lll t' i l l t'11 P sycho lo g ie sind a 1lch l'I'IIkl ische

Auwcnc1 un gen \'o n J\'lelh od ell wiiJ.re lld der

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Id ull el CI' in ti l'fl:iehiir(end el' We ise eÎll c

reiehhalti ge K ultlll'geschi chtc. Wir tschuft, T t' c1l1lik, Gcscllschafl und K Ull Sl d !'!' ver,

schi ed ell t' ll Zeitepocll ell WC l'fl e l1 h ea· i:i c.ksich·

ti gt . I mmel' wieclcr werde n hi erbc i Br i.ik­

ken zm Gegcn wflrt gc.sehl ll ge n. Gebl'iiucllli­

clIC Bcze iehlllln gt'II , Wü rtt't' IIlld Eill l'ichlUII­

gen fi mIen ihren gcschi ehtli chcll U rSIIl'lm g,

D ie " ielfae h ell H inweise nu f .: did lle l'.Îsch

geformtc Gesd li chte », auf GcnÜildc. lll usi­

k il l isch e Werk e, Baud cnkmiil cr, Filme, Brief­In a l'kclI u. a ., d enen d er jewe ilige Geschichts·

\llltcrri eht z ugnllld i~ li pg t, mach Cil das Dueh

ni cht Illir f Lil ' di e lIl m ischc Ge.s taltull g d C!i

bi'lrgc'l'kundli ch ell U ilte l'l'i c' il t!<, sond en t il li ch

- 336"-

ml' j~ ~d (> u ErwlI(' hscueu wl' r t\'ull unt! h e­gf' hn' II ,:MI' L'1. K lan'. h CW ll ss t c infaeh g(·h ll l­

Irll C K lIrl p. ll . SkizzCl1 und B ilile r di t! ll t'1 1 7.111'

Vertlllsc haulil' llIlIlg. Obcr.;; i ehtl ich c Zei l- mul

Vel'gle iehstarcln \'er ti eft'Il ,l en 1.;J. ell ,l ig gl'l '

hll fl' lJt' u S to rr. Oi e Spnt ehe is t ausdl'ucks-

\'0 11 un d \'c i's t:imlli l' h . Diest's \'orziig l i"' l

~t':stalt et(' I-tilfslll il!cl l'iiL' d lm (; f" s t·hi c hlSUII­

tt'.-..id lt ~t:l l i; r te tlul ler e igl'Iltli ch in r1i (~

Hn nd ci n:!s jcden lll odCl'ncJI l\'I cnschen, d f' r

d ie G'.!gt!Il \\'IU·t aIs e lwa5 Gewonl t'n c~ a llSI'h e ll

IIIUSS .

r eD I TE AUX L...ETTRES 0 eRIEFK AS T EN

DrUl l la mesure du possible, nOLIS l'é pondrons SOII S cette l'ubrilJ llC allx qltestion,~ qll e le per­

S{Jfmel enseignant v oudra bi.en IIOUS po ,wr. Celi q uestions doivent, êl!l'e ctwQyées avec le nom el l'(ldn~sse d e leur auteur. D'autre pari., elles doivent évidemm etl l se ra pport_cr n d es ]J/'O blèmes

cntraru dans le cadre d e la revue. ln diesel' Uubrik, die wi,. liir rtTlSere Leser beifiigen, wcrdeu wir im Ral11l~en d es Müglichen r'l'Ugert beunlworten, clie aus dem Le .~crkreis geslel:t weT(len . Diese Fragcl1 miisscl1 aber u ntel'

Newwllg des Name/lS lllld der A d resse cingere ich t werden. A nollymes wil'd untel' /ceimm Urn. Hiinclen berück sichtigt,. Fem er dü rlcn d iesc fi'ragel1 1lW' p iidagogiscll(!. Belllllge betrel/erl.

JVic k,OIl 'ICltrvh' beobaellt-e,,, le" IIell?

\Vic ich i n d e.1' l e lz t~ 1l N umlll er he re it.;; all­

Uiml igle. ('doIgt d iesm al di e Ï'ol'tse tzun g

lllf'i llel' A n lwor-t él UC Ih re Fmge, wÎe lll all

dos gille BcolJU ch tell Hill bcs len /c"nm ko nll ~, \Veil \l'il' E r wach :;encn .-;dbf:r UliS

Îmm cl' w Ïf ~" er da hci el' ta pp Cil, dass wil' dic­

l!!5 odCl' j e ll t' S 'Schl echt ode r ohcr fliichli eh IH~oha chtct haben , Ill oehle icI. JlI.!ute li ehel'

7.U zt'.igen ,-er such cn, wje wil' das ;.; utc B co­

I", ch len am b es ten lel'ltell k ün llcll; d enn

ni cm an cl kann gl"hen , war cr !wll wl' ni f:ht

h al.

Es gibt Mt' n ~chcll , di e sch Oll vo n N atlil' ans

heso ndcl's bcfiihigt -s ind, g nl Zll heohachtell . Aml t' r t' s ind es viel w .. ni gel' und llliisseJl

cs d all e r lerllc ll . GO tl lSe.i D allk is t d as gllte

Bt'obachten ed en lhal', wil' mi.i!;iicn cs !lUl'

in redll cr We-ise i.ihl'!n. hi !; cs UIl S :r. UI' gulcn

Ge,wo hnheit gc.wo rd ell i s l. Doel, dü l'fclI \Vi l'

un s mit dem "el't~ its E n 'e ichtclI nic zuf rj e­

den gcbclI , sOl\ rlen, trachlen, un Sel' K Otlll ell

~ystc lllllt-iseh und mit F remie wcÎ tcl' zubild cll .

Wi l' mii sSt' 1l uns Ill Cl'ke n, da ss cs viel sch wil"

r igl;!l' iSl, unSerc Ul'ohach lllu g!;fiilri glœ it ail

nltgl'lw ollllte.n Dingeu 7,L1 t!!'J)\'obe fl ais an

gnnz. Heuen Tii indrii ekcll , di e Bnser Inte r!!!;5e

rasel l gefn ii gellndllll ell. \V il' l H~slüli gell das

gleich , \l'Clin wil' Uli S sellie r e twa frngcn :

4: Wns fiir c ine Fal'be hab cn d ie AugclI

Ill cinC r E ltern und Gcseh wis tt' I', d ieses

odel' jcncs Schulkindes ?» Die m cis tell von

Uli S k Oll ll tcn es ktlu lll mi t Sit'h e: z-I1 d t sagclI ,

obwoh l s ic (li ese n Mf'IlSchen liigli ch iu tli e.

A li gen !i t!hen o der gt's t'_ltl!n lmhen. J-T in gcgen

kon nlcn d ie Ill citi lCn F mue n Bncl! eî lllna liger , nlsell er Hegeg llllll g mit einer aml cm F rau

llIil t' I'li hlllnlidl er Gt!ll ulli gke it Silgen, w ie

H u t, K lcid und Schuhe di esel' a ntl ern aus­

gC5l'h cll hêl ben . WnJ'ul1l ? Sae h c d es In­

ten~sses ! Mun w ill ja, in fli ese11l Fall nus

b c.s tillllUte ll GI'ündclI, /l aeh Neucm, A IIHiilli­

gem s lIch e.n, und m an (i nde t und s i ~ht es lIlit

n litzessehn ell e, \V ir müssen a lso tl'él t'htClI,

MellSt hc H und Di ngc lI , die wil' gut heoJJach­

tcn wo llcn, mit ein cm bestim ml f!1t Inlt're.-;st'

zu begegne n ,

SlHlunll h eiss l es das A uge ·sdmlcn, das ja h cim MCll5chc/I wiclltigslt!S Sillnesorgan )5t,

iill nli eh 'l'il' Iw i d en Vügc1 n. E in gallZ \' 0 1',

ziiglidles M ittd cJaz li ist d as Zciclmell . dns

ja j cd er L chrpcrso n cinige rllll1.SSen geJü ufi g

sein soli , und d as hcsondcrs hill'ti elt auf fias E rk ellnen t1t' ~ Chul'akteri l:l ti .scll cn ulld Wese nùi chclI . « Das ZcidlllCIl :$, l:lagt Goeth e eÎnmal, 4:: cntw ickclt und noti gt zur Anf·

m el'lui\llllcpit, .. lUI dus ist jn cloch fIn s

TIüf· ils l!! alle r Fcrti gke it ell untl T ugt' nd cll .. . ~

U nd cin an der m a l sngt cr : « Meine c.igenen

Vcnn ch e im Zeidlll ell hahcll <lOdl 41e n

gros.s en Vnrteil geln'ne!.t, dic N atll rgcgclI­

s tond e !ichii rfcl' tlu fz ufa f>se ll ; idl kHlln mir ilue vcr sehicd ens ten For m cll j ed er7.e it mit

B cs tinnnth eil 7,urii clu'ufcn . .. . ~ D l'ulII soU­

ten nu eh wir "cl\~ ucll en , uns auf jcdcll Fall

- 337 -

Page 20: L'Ecole valaisanne, avril 1958

c ill c gCll' issc Skizzienuelhodc zur SrhululI J; illl B eohuchl'CII 7.' '''Cc hl7. 1I1 egcn wolwi \l' il'

uns cl'lnube ll t1i.irfen, Ruch ganz e igcnwillig

vorzugeh cn , Lollll cnd winl es i llune r sei n ;

d eun \l'ir wcrd f> 1l nnc h JUhl'CIl Lundschafle n oder S itualio ll c lI nodl im Gedüdllili s halJ(,Il,

di e wi r' vO l'hcr skiz7. icl'l hallen, ZlI'eckvcl'wHlldl mil dt"m Zc ichnc n ist fiir

1lll SCI' Anli el!,:ell aUl'h dus Pholngl'Hphiercn, dcm sich lieule besondc rs di e ji.ingcre Garde tlnl el' den Lchl'cl'll und Lehl'crinncn mÜ Vol'liebe widllle!. \Ver gedi egene Photos

IlIUCh ell w ill, muss ni chl 1Illl' die It!chni schcn FCI,ti gkt' ile n 1(t' llIlCII, '6onderll 8111:h MotÎ\'e find ell , GCI'ail e t1i cse 5 uche Ilach neue n,

l'uCk cntl cll Motivt'Il zwingt den Phologra­(}hen, lII ügli chst schur-f zn heobachlell,

Eine vOfllreffli che Lehnncis lt!l"i n im Deo­hachlen ist fUr uns Menschcli die ulul' sel bel', ln Slüdtell oder 8nd t!l'Il "erkehrsl'ei ­chen OrlsdmflC:1l \Vcrù en d ie Menseh ell "ici zu scLH' durch luuscnd vtrscllietl ellsle Ein­Jrückc abgelcnkl, sodnss sie t> ich kaulIl lII ehr rcchl a ur e lWH S Bestimmtes und Ge­nUll es lWI1 7.entri el'eu konn clI , Begcgnen wil'

aber z, B, Jiigern, Fors tel'n, Hirtell Buucl'll oder MCllsehell, di e sich illlll1el' wicdcl' irgelltlwie mit d CI· Nu llll' Husc inallde l'Sel7.CIl

IUÜS Ht' II, sc: lr en wiL', \l' ie sie !loch das ge­spannlC Spiihell rlell rl'iih ern MClIfiChcll ken­

!len, d ei' in ulles. WO li ihn 111ll:;:lb, gleichsall1

lrincindl1inge n, hineildlluschcll :.llIss te, um lIicht VOn Gerllhrtm oller Art ii!: :! ; r UIlIIJ c lt

Zli \Verclen, Von ilm t' J] këÎnn e n wir Icrnc ll,

wi e durcit langcs, dUliemdes Ohcll die Fiih ig­kc it des Deobuchtcns 7, 11 c ine r An lllstinkl, ich müc'hh: fast sagen, 7.l1 t illeUl «15echsten Sinll :' e ntfolt et \Verden kUIIIl ,

Mit di ellc n (Joar ninwelllt:t1 \l'oll en wir es fUr

di cs lllul III' Wc ndf'lI lUSSt' II , Sie wollc n ZlI'

g lc.ich l't u f cli c crrl'eulit'hc Tatsache himvei, ,~ t'I1. duss wi .. zu jetl er Sluud f' und überoll

Gelt:genheil haben, lins in dcl' Schürfe llIlcI

F'cl'ti glte il t1 t's Beobachtcns weitccz llhihl cll,

Abel' di ese Beuhu chlllll gssc.hule kan Il lIUC'"

7. 11 e inClll kÔSlli c'hell Zt-'Î1vertl'eih we rd en, hesolHlel's aur S()(lziel'giill gen, di e wi r nllein

1I111e rllclllll p,n, UlI7.iihli gc, rei7.voll c Mogli d ,_ kc ilcn hcgeg neJl uns da und lasscil lins imlll Cl' mehl' prkc]lI!t']1 untl ('rl ebel], wi e hUllt

und l'cidl I1nd 1I1ltcrhoii elid cl er liche COti di e Wcll cl'schuHtl l1 hat, w icvJe l Neucli und

Sc hônes CI' illllne l' wiell er '\'0 1' unsenn !reo, ha chtelHlt'1l Au gc ClltSlellf'1l 1üss t, UIll Uns Fl'euti tl 7. 11 IIIUCh t' Il , Ermil Schmiclt.

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