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Le texte argumentatif

Le texte descriptif

L’histoire

La fin d’un récit en arbre

La suite d’un récit

La farce

La biographie

La bande dessinée

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Consigne : Veux-tu grandir ou rester petit ? Donne ton avis et argumente.

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C’est fabuleux d’être petite car je peux sauter dans le lit de mes parents, jouer sous la table, regarder les dessins animés et faire plein de bêtises. Mais d’un autre côté je ne peux pas voyager seule, conduire une voiture et avoir de l’argent.

Ghazi Aya

…………………………………………………………………………. J’aime être petit parce que je peux jouer, voir les dessins animés et jouer sous la table. Mais d’un autre côté, je ne peux pas conduire une voiture, me marier, avoir des enfants, acheter une maison, avoir un métier et devenir joueur professionnel de foot.

Bouzbiba Sami

…………………………………………………………………………. Je rêve d’être grande car je pourrai partir au supermarché seule, voyager seule, me marier et avoir un bébé. Je pourrai aussi préparer des repas, conduire une voiture et voir des films. Mais d’un autre côté, étant grande, je ne pourrai pas sauter dans le lit de mes parents, dormir à l’heure que je veux, mettre ma chambre en désordre, faire des bêtises et casser des choses.

Benchrif Yousra

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J’aime bien être petit parce que je suis libre de faire tout ce que je veux comme : regarder les dessins animés, jouer sous la table et sauter sur mon lit comme si c’était une trampoline. Mais d’un autre côté, je ne peux pas partir tout seul au marché, conduire une voiture et acheter une maison.

Badarine Zakaria

…………………………………………………………………………. C’est fabuleux d’être petite parce que je peux jouer, ne pas ranger ma chambre, dormir à côté de mes parents, sauter dans le lit comme une trampoline et me cacher sous la table. Mais d’un autre côté, je déteste être petite parce que je ne peux pas me marier, avoir des enfants, faire des courses toute seule, acheter une maison et exercer un métier.

Berradia Wissal

…………………………………………………………………………. Je rêve d’être grand parce que je veux être un joueur de foot professionnel, conduire une voiture et acheter une maison. Mais d’un autre côté, quand je serai grand je ne pourrai pas sauter dans le lit de mes parents et m’asseoir sous la table pour jouer.

Boussaid Bilal

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Consigne : Fais la description de ton jouet préféré.

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J’ai un coque en peluche, il s’appelle Scoiqui, c’est mon jouet préféré. Sa couleur est jaune et rouge. Il tient un téléphone à la main et j’ai un autre téléphone pour que je puisse parler avec lui en anglais. Il me pose des questions et je lui réponds.

Ghazi Aya

………………………………………………………………………… Mon jouet préféré c’est une poupée Barbie Fassionnista. Elle est belle, ses cheveux sont châtains avec des mèches marron et dorées. Sa peau est blanche. Elle porte une robe de soirée et un sac à main rose. Elle peut marcher toute seule.

Fathi Zaineb ………………………………………………………………………… Mon jeu préféré est un site Internet sur lequel j’accède à différents jeux comme : Hello Katy, Zambie et beaucoup d’autres jeux. Je trouve du plaisir à prendre les mannequins, les habiller et les déshabiller à mon goût, les maquiller et leur changer de look. Je trouve également du plaisir à tenir des tissus et dessiner dessus des formes et des dessins et les coudre à l’aide de fils de couleurs différentes.

Benchrif Yousra

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Mon jouet préféré c’est une poupée qui est rose. Elle parle et dit : papa, maman, dodo, didi. La couleur de ses cheveux est blanche comme la neige. Si on la touche, elle commence à pleurer et moi je n’aime pas ça c’est pourquoi je déteste la toucher mais ça ne veut pas dire que je ne l’aime pas.

Rouijel Aya

…………………………………………………………………………. J’ai une DS Nintendo c’est mon jouet préféré. Elle est grise et noire, elle est grande XXL. Il y a la caméra et je joue beaucoup de jeux comme : Kim possible, Astérix et Obélix, Mario VS sonic aux jeux olympiques, Cooking mama, Mario Brosse … Ce sont des jeux très amusants et il y en a qui sont intéressants.

Berradia Wissal

…………………………………………………………………………. Mon jouet préféré c’est la WII. C’est un jeu électronique et une console de jeux qui se branche à la télévision. La WII est blanche et a la forme rectangle. C’est mon papa qui me l’a achetée. Les CD que je préfère sont : WII sport, WII party et Scoobido.

Bounoual Kenza

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Mon jouet préféré c’est ma poupée en porcelaine. On me l’a offerte à mes six ans. C’est mon grand-père qui me l’a offerte. Elle a presque ma taille. Sa chevelure est noire, ses yeux sont bleus, ses joues sont rouges. Elle porte sur sa tête un chapeau rouge. Elle porte une robe rouge et blanche et des souliers à talons blancs. Je tiens beaucoup à cette poupée parce que mon grand-père qui me l’a offerte est mort.

Boutayeb Aya

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La poupée de Cosette Dans une boutique de bimbeloterie et au premier rang, en avant, le marchand avait placé, sur un fond de serviettes blanches, une immense poupée haute de près de deux pieds qui était vêtue d’une robe de crêpe rose avec des épis d’or sur la tête. Elle avait de vrais cheveux beaux et lisses et des yeux en émail. Pour Cosette, cette poupée c’était une vision, c’était la joie, la splendeur, la richesse et le bonheur.

Hounka Doaa

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Consigne : Ecris une histoire drôle ou étonnante à la manière des deux textes : Les déménageurs et Les souris tête en l’air.

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La bagarre

Il était une fois deux dragons qui étaient très amis. Un jour, une souris malicieuse a dit à l’un des dragons : « Dragon, ton ami veut manger tout le feu pour que tu ne puisses pas manger. » Alors le dragon furieux est parti chez son ami et ils ont commencé la bagarre. L’un des dragons a craché son feu sur l’autre et hop ! Dans coup de feu puissant son ami est tombé et il est mort tout de suite.

Abou harya Nisrine ………………………………………………………………………….

Le fantôme Il était une fois un petit garçon qui se nommait Amine. Il était très intelligent. Il passait ses vacances chez ses grands-parents dans une grande maison. Un jour, un homme est venu pour prendre leur maison et il a dit qu’il a cherché pour eux une petite maison de deux pièces et que la grande maison était trop moche et les chauves-souris y entraient. Amine lui a dit : « Et même des fantômes ! » en entendant cela, l’homme s’enfuit de la maison. Amine savait que le monsieur avait peur des fantômes. Un beau matin, Amine cherchait dans les vieux livres illustrés par les anciens et il trouva un dessin qui représentait un homme avec un déguisement de fantôme. Le soir même, la grand-mère avait invité ses amies et leurs maris pour un dîner et même le monsieur qui voulait prendre la maison était invité. Un moment, il voulut partir aux toilettes mais dans les escaliers il vit un fantôme qui l’attendait alors il s’enfuit de la maison et ne revint jamais. Finalement, Amine a bien su comment faire fuir le voleur de maisons.

Benchrif Yousra

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Les 2oo mensonges

Il était une fois deux enfants qui revenaient de l’école. Ils ont vu une vieille dame qui portait un chapeau étrange. La petite fille a dit : « Madame vous avez un chapeau très laid. » Alors la vieille dame l’a prise par son tricot et l’a jetée par terre. La fillette a commencé à pleurer. Le lendemain, la petite fille a eu des champignons sur son visage. Son frère est parti chez la vieille dame et il a découvert que c’était une sorcière et qu’elle avait jeté un mauvais sort à sa sœur. La sorcière lui a dit : « Si tu veux que ta sœur redevienne comme elle était, tu dois raconter 200 mensonges. » Après beaucoup d’efforts, le garçon a réussi à raconter 198 mensonges car deux mensonges la sorcière les a transformés en vérité. Quand il est revenu chez la sorcière, elle lui a dit : « Tu n’as raconté que 198 mensonges ! » En entendant cela, le garçon a vite inventé deux autres mensonges et il les a racontés à la sorcière qui l’a cru. Quand il est revenu à la maison, il a trouvé sa sœur sans aucun champignon sur son visage. Enfin, les deux enfants ont vécu heureux avec leurs parents.

Aggour Nada

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Un monstre dans le quartier Un beau matin, dans mon quartier, quand je suis revenu de l’école, j’ai vu un monstre à côté de l’épicerie. Il avait de grandes dents et des yeux énormes comme des ballons. J’ai eu très peur pendant un moment. Mais enfin, je me suis rendu compte que c’était une image fixée près de l’épicerie !

Habchane Zaid

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Drôle de robot

Il était une fois un robot qui était trop drôle. Il habitait avec une famille de deux enfants et leurs parents dans leur maison. Un jour, les enfants ont décidé de faire tomber le robot. Alors Sébastien est monté chercher le robot et lui a demandé de descendre pour jouer avec eux. Pendant ce temps, Lucie a mis du beurre et de l’huile dans les marches de l’escalier. Quand le robot est descendu, il a glissé. Alors les enfants ont beaucoup rigolé. Quand ils ont emmené le robot à l’hôpital, le docteur a dit qu’ils ne pouvaient pas le ramener à la maison. Les deux enfants ont supplié le docteur qui heureusement n’a pas osé le garder. Enfin, les enfants ont vécu heureux avec leur ami le robot et sans faire de bêtises.

Berradia Wissal

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Le vampire Un jour, je suis parti chez mon ami César pour réviser nos leçons de Français. Mais, dans la maison de César, j’ai entendu quelqu’un frapper à la porte. J’ai ouvert la porte mais c’était seulement une branche d’arbre poussée par le vent. J’ai essayé de couper la branche. Malheureusement un vampire est entré à la maison. J’ai entendu un cri « Ah ! » J’ai couru pour voir César dans sa chambre. Il hurlait : « Ah ! Un vampire m’a mordu ! » A ce moment là, je me suis réveillé. Heureusement ce n’était qu’un cauchemar.

Chadli Tarik

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L’enfant venu du ciel

Il était une fois un bûcheron qui vivait avec sa femme dans un village lointain appelé Forfor. Il vivait dans une masure. Tous les jours, il priait Dieu pour avoir un enfant. Un jour, le bûcheron est allé travailler. Au retour, il a entendu une voix puis il a vu un bébé. Après des années, l’enfant est devenu grand et fort. Un jour, il a entendu parler d’une princesse perdue dans la forêt. Il a décidé d’aller à sa recherche. Ses parents lui ont donné un flacon magique. Puis il est parti à la forêt. Il a trouvé la princesse qui était terrifiée. Il l’a ramené au village. Il a demandé sa main et elle a dit oui. Enfin, ils ont vécu une vie douce et paisible.

Boutayeb Aya …………………………………………………………………………

Voyage au fond de la Terre

Il était une fois le célèbre écrivain Jules Verne qui a décidé de descendre au fond de la Terre avec ses amis Jacques Charpentreau et Guy de Maupassant pour voir la vie des insectes et des dinosaures. Le mercredi 20 octobre 1989, Jules Verne et ses deux amis sont descendus au fon de la Terre. Guy de Maupassant leur a dit : « Attendez, j’entends un vacarme effroyable. » Jules Verne a répondu : « Je sais, c’est un dinosaure, il faut remonter sinon ce dinosaure va nous écraser ! » Ils ont essayé de monter mais la surface de la Terre était trop loin. Après un certain temps, le dinosaure s’est arrêté de courir et il a dit : « Qu’est-ce que vous voulez ? » Jules Verne a essayé de le tuer mais Jacques Charpentreau lui a dit : « Arrête, il peut nous aider. » Enfin, le dinosaure leur a prêté de l’aide et ils sont remontés à la surface.

Benrradi Farouk

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Une petite fée

Il était une fois, une fille âgée de dix ans qui s’appelait Juliette. Elle était une fée et vous savez comment elle est devenue une fée ? Je vais vous raconter son histoire. Quand Juliette était petite, elle était gourmande et aimait manger toutes sortes de bonnes choses : des fruits, des tomates, des gâteaux, des pommes de terre … Un jour, à la télévision des fées, ils ont dit qu’il y avait une jolie fraise qu’il fallait apporter à la chaîne pour gagner un prix intéressant. Juliette a trouvé la fraise mais au lieu de l’apporter à la chaîne, elle s’est dit : « cette fraise je l’ai trouvée alors je vais la manger. » Alors, elle a mangé la fraise et tout à coup elle est devenue une jolie petite fée. Et c’est comme ça que Juliette s’est transformée en fée.

Chemlal Nisrine …………………………………………………………………………

Les pompiers Il était une fois un homme qui se nommait Max. il menait une vie calme et sereine. Un jour, sa voisine l’invita à son mariage. En arrivant là-bas, il salua tous les gens. Quand ils servirent le dîner, il se régala bien. Il mangeait et rigolait, son ventre fut plein et le bouton de son pantalon s’arracha. Dans sa demeure, quand il voulut dormir, son estomac lui faisait mal. Alors il alla à la pharmacie mais elle était fermée. Il retourna à la maison, il ressentait une grande douleur. Il ouvrit le tiroir des médicaments mais il n’y avait qu’une toile d’araignée. Enfin, Max prit sa décision. Il appela les pompiers pour éteindre le feu dans son pauvre estomac. Les pompiers arrivèrent vite. Ils entrèrent par la bouche du malade en passant par l’œsophage puis arrivèrent à l’estomac. Les pompiers commencèrent à éteindre le feu dans son estomac, ça lui faisait un gargouillement effroyable. Enfin, ils sortirent et Max se sentit mieux.

Kassbi Mouad

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Les arbres de monsieur Omar Il était une fois un homme qui s’appelait Omar. Il était très riche et possédait un château avec un grand jardin plein d’orangers. Un jour, un voleur a réussi à dépasser les chiens de garde et a glissé dans le jardin de monsieur Omar. Tout à coup, il a entendu une voix bizarre qui lui disait : « Sors de notre jardin ou tu vas mourir ! » Terrifié, le voleur s’est caché derrière un arbre. En fait, c’était cet arbre même qui lui parlait. A ce moment là, un autre arbre a prolongé ses branches pour toucher son dos. Le voleur, horrifié, a fait un bond en arrière et s’est collé contre un autre arbre. Ce dernier l’a frappé sur sa tête avec une orange. Alors, le voleur est parti en hurlant : « Au secours, à l’aide !» En entendant son cri, les chiens de garde se sont lancés à sa poursuite et ont réussi à l’attraper. Les arbres regardaient la scène, applaudissaient avec leurs branches et sifflaient avec leurs feuilles. Ils étaient heureux d’avoir réussi à protéger le jardin de monsieur Omar.

Oubari Mehdi ………………………………………………………………………….

Carla et le chevalier Un beau matin, alors que Carla lisait une histoire, elle a dit un mot à la place d’un autre. Alors un petit chevalier est apparu. Il lui a dit : « Où suis-je ? » Carla a répondu : « N’aie pas peur, tu es avec moi. » Alors le petit chevalier a dit : « Donc, donne-moi à manger. » Carla est parti lui ramener à manger puis elle est revenue dans sa chambre. Sa maman lui a demandé : « qu’est-ce qui se passe Carla ? » « Rien, maman ! » a répondu Carla. Après avoir mangé, le chevalier a voulu revenir aux événements de l’histoire mais il n’a pas pu. Il a demandé à Carla de le faire revenir dans l’histoire. Finalement, Carla a inversé les mots une autre fois et le chevalier est revenu dans l’histoire auprès d’une belle princesse.

Mehdi Ghita

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L’expérience du professeur

Un jour, un professeur de sciences naturelles a voulu faire une expérience pour montrer à ses élèves que les lapins mangeaient l’herbe et ne mangeaient pas la viande. Il a laissé un lapin sans manger pendant deux jours dans une cage. Le troisième jour, il a donné au lapin de la viande devant ses élèves. A la surprise de tout le monde, le lapin a mangé la viande. Tous les élèves ont éclaté de rire et le professeur n’a rien compris à ce phénomène bizarre.

Srhir Zineb

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Docteur éléphant

Quand le monde était encore jeune et que les choses étaient autres, l’éléphant était docteur de la jungle. Un jour, un loup frappa à la porte pour soigner son fils qui avait le ventre qui gargouillait. Une fois la porte ouverte, le loup cria :

- Urgence, mon fils souffre de douleur ! Le docteur éléphant lui demanda ce que son fils avait mangé.

- Juste deux lapins, répondit le loup. Alors, le docteur décida de l’opérer. C’st ainsi qu’il trouva que les deux lapins étaient toujours en vie. Et c’est comme ça que l’éléphant arriva à sauver les deux lapins et le louveteau.

Zaoui Nour

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La gentille sorcière Il était une fois, tout au fond de la forêt blanche, un village magique nommé Magic City. Toutes créatures hideuses, monstres, loups, ogres … y habitaient. Dans cette vallée, il y avait surtout des sorcières et il y en avait une pas comme les autres. Elle s’appelait Babayaga. Elle était d’une beauté à couper le souffle. Elle avait des yeux bleus, de longs cheveux blonds, un regard tendre et un merveilleux sourire. Mais elle était aussi la plus gentille de tous. Hélas, tout le monde la craignait car dans ce village, la beauté était un défaut puisqu’il n’y habitait que des gens moches. Alors, pour tout le monde, Babayaga était une menace. Un jour, alors qu’elle était au bord de la mer, elle aperçut un joli papillon survoler au dessus de la mer. « Oh, quel joli papillon ! » s’écria-t-elle. Le papillon la guida vers un grand chêne où il y avait un portail vers les humains. Elle entra dans le village ébahie et croisa le regard doux d’un grand jeune homme beau et vêtu royalement. Il l’invita à dîner. « Quel est votre nom ? » lui demanda-t-elle. Babayaga découvrit que le jeune homme était un prince. Ils se marièrent et Babayaga fut une merveilleuse reine.

Haskouri Habiba

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Consigne : Imagine un autre épilogue à l’histoire de La plus grande carotte du monde.

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Le texte La plus grande carotte du monde 1er épilogue Après, ils découvrent qu’il n’y a pas une énorme carotte, mais c’est une queue d’écureuil tué par les chasseurs. Alors les gens se fâchent et partent en courant et laissent Auguste avec sa famille. Enfin, le jardinier déçu rentre chez lui avec sa famille.

Un jour, un jardinier sema des carottes. Il les cultiva comme d’habitude et, à l’époque prévue, il commença à les arracher. Tout à coup, il en trouva une bien plus grosse que les autres. Il tirait, tirait, mais ne pouvait pas la déterrer. Il essaya de différentes façons : rien à faire… alors il se décida à appeler sa femme. « Joséphine !

- Qu’y a-t-il, Auguste ? - Viens voir, il y a une drôle de carotte que je ne peux pas arracher. Tiens,

regarde ! - Elle a l’air vraiment énorme ! - On va faire ainsi : moi, je tire la carotte et toi, tu m’aides, en me tirant par la

veste. Allez, vas-y… Tu es prête ? Tire ! allez, ensemble… - Il vaut mieux que je te tire par le bras. Sinon je vais déchirer ta veste. - Tire don par le bras. Courage ! Rien à faire ! Appelle le petit… Je suis à bout

de souffle ! - Paul, Paul ! cria la femme du jardinier. - Qu’est-ce qu’il y a, maman ? - Viens un peu ici. Et dépêche-toi. - J’ai mes devoirs à faire … - Tu les finiras après. Pour l’instant, viens nous aider… On n’arrive pas à

déterrer cette carotte. Moi, je vais tirer Papa par un bras, toi par l’autre. Papa tirera la carotte. On y arrivera bien… »

Le jardinier cracha dans ses mains. « Vous êtes prêts ? Allez ! Tirez ! Oh ! hisse ! Oh ! hisse ! Elle ne bouge pas d’un pouce ! » On appelle à la rescousse le grand-père, puis le voisin, sa femme et son fils… Sans succès. Les badauds se rassemblent dans le jardin d’Auguste pour le regarder tirer… Et les bavardages allaient bon train. Et on tirait, on tirait… Et le soleil était sur le point de se coucher …

Gianni Rodari, Histoires à la courte paille

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2ème épilogue On ne réussit pas à arracher la carotte. On tire, on tire, on tire … mais toujours rien. La carotte ne bouge pas d’un pouce. Le lendemain, on trouve la carotte arrachée et jetée par terre. Comme par magie ! …………………………………………………………………………. 3ème épilogue Enfin, on finit par déterrer la carotte. On l’emmène au marché, elle très grande qu’elle prend toute la place du marché. Tous les passants veulent l’acheter mais malheureusement ils n’ont pas assez d’argent pour le faire. …………………………………………………………………………. 4ème épilogue Ils tiraient mais rien à faire. Soudain, une petite fée sortit d’une fleur. La petite fée leur dit : « C’est quoi ce vacarme ? J’essaye de dormir ! » Auguste lui dit : « Pardon petite fée, nous ne voulons pas te déranger c’est qu’il y a une grande carotte qu’on essaye de déterrer. » La petite fée leur dit à son tour : « Boudin, badin, lève-toi grande carotte ! » Le jardinier, bouche bée, voit la carotte sortir de la terre. Il a remercié la petite fée.

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5ème épilogue Et la nuit tomba, les villageois tiraient encore et encore mais la carotte ne voulait pas se déterrer. Le soleil se leva et la carotte ne bougeait pas d’un pouce. Le jardinier laissa la carotte et partit se reposer un peu. Quand il revint, il ne trouva pas la carotte parce que un deuxième jardinier a réussi à la déterrer et l’a vendue à 3500 DH. …………………………………………………………………………. 6ème épilogue Enfin, on a déterré un potiron, à l’intérieur se trouvait une famille de fées. Tout à coup, les fées se transforment en chacals. Tout le monde était effrayé. Les gens se sont dispersés en courant. Le jardinier est resté immobile puis les chacals ont disparu. Le potiron s’est transformé en une grande carotte. La carotte était ensorcelée. Enfin, le jardinier a emporté la carotte au musée. Il est devenu célèbre avec son énorme carotte. …………………………………………………………………………. 7ème épilogue Enfin, on réussit à arracher la carotte. On dirait que cette carotte est plus grande qu’un ogre. Elle est belle et orange. Elle est très grande pour qu’on l’emmène au marché. Le grand-père dit à Auguste : « Il vaut mieux qu’on se régale avec cette carotte, n’est-ce pas ? »

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8ème épilogue Des génies sortent de la terre et demandent à Auguste le mot magique. Auguste et ses amis ne connaissaient pas le mot magique. Après cinq jours, un génie est descendu du ciel et a dit le mot magique et la carotte est sortie toute seule de la terre devant les regards étonnés d’Auguste et ses amis. …………………………………………………………………………. 9ème épilogue Le lendemain, le jardinier appelle toute sa famille et tous les jardiniers du village. Ils ont pu arracher la carotte mais ce n’était pas une carotte c’était une grande pomme de terre et dedans il y avait des vers de terre blancs. Tous les jardiniers étaient surpris. Ils ont enlevé les vers de terre blancs et après ils ont emporté la pomme de terre au marché. …………………………………………………………………………. 10ème épilogue Mais pour l’instant, personne ne savait que cette carotte en réalité était une soucoupe volante et dedans il y avait des extraterrestres. A force d’être tirés, les extraterrestres sortirent de leur cachette et avalèrent tout le monde et même Auguste.

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Consigne : Imagine une suite à l’histoire Le petit bandit de grands chemins.

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Le texte Le petit bandit de grands chemins

Dans le soir tombant, au bord d’un chemin creux, un petit bandit était embusqué derrière un gros arbre. C’était en Angleterre, en octobre 1730. Il pleuvait, il ventait et le petit bandit frissonnait. Il frissonnait de froid, dans sa vieille chemise râpée, mais d’excitation aussi. C’était la première fois de sa vie qu’il détroussait un passant, ou, plus exactement, qu’il allait essayer. Soudain, il tendit l’oreille. Là-bas, sur le chemin, ce bruit de pas… une victime, enfin ! Il risqua un coup d’œil hors de sa cachette. Au bout du chemin, clopin-clopant, une petite vieille avançait sans hâte, courbée sur son bâton et sous le poids des ans. Flic ! Floc ! faisaient ses sabots dans la boue. Alors, le cœur battant, l’apprenti bandit se planta au milieu du chemin et lança de sa plus grosse voix : « La bourse ou la vie ! » A peine avait-il prononcé « La bourse ou la vie ! » que Tod se souvint : son père était contre ce genre de discours. Mais peu importait. Car la petite vieille allait son chemin comme si elle n’avait même pas entendu. Tod la rattrapa d’un bond, il se campa devant elle et lui corna aux oreilles :

- La bourse ou la vie, je vous dis ! Cette fois, la vieille s’arrêta, en appui sur son bâton, une main en cornet à l’oreille.

- Pour ça oui, chevrota-t-elle. Tu l’as dit. Toujours la pluie. Quel temps pourri ! Tod lui brandit son couteau sous le nez. Ce n’était pas un vrai coutelas. Tod l’avait taillé dans une écorce grise, et frotté de betterave au bout, pour faire rouge et redoutable. Il le trouvait très réussi.

- Avez-vous compris ? Je suis un bandit ! - Grandi ? Sûrement, que tu as grandi, répondit la vieille. La mauvaise herbe ça pousse toujours.

Mais si tu veux mon avis, tu peux grandir encore ! Alors Tod vit rouge :

- Mais puisque je vous dis que je suis un voleur ! - L’heure ? Je n’en sais rien, mon pauvre garçon. Tout ce que je peux dire, c’est qu’il est tard. Et

qu’à cette heure-ci un gamin de ton âge devrait être chez lui, au lieu de jouer à faire peur aux vieilles gens !

Et l’écartant de son bâton comme elle l’eut fait d’une brebis rétive, elle passa son chemin sans plus de façon. Tod recula d’un bond. Mais la boue était traîtresse : il dérapa, perdit l’équilibre et s’en alla choir au faussé. Alors un grand rire s’éleva du pré voisin.

- Hi-han ! faisait le témoin. Hi-han, hi-han ! Tod se releva, trempé, crotté, les mains vides. Là, entre les aubépines, une ânesse pointait le mufle et deux longues oreilles mitées.

- Et tu te dis bandit ? pouffa la bête, riant de toutes ses dents jaunes. Si j’étais toi, je me ferai plutôt…

- Tu te ferai plutôt quoi ? bougonna Tod. - Amuseur dans les foires. Pour faire rire les bonnes gens. - Ecoute, dit-il à l’ânesse, je n’aime pas beaucoup qu’on me traite de nigaud, mais si je t’ai fait rire,

j’en suis bien content… Malheureusement, c’est la seule bonne chose que j’ai faite de la journée. - Ah ? fit l’ânesse. - Oui, puisque je rentre bredouille. Ma mère va être bien déçue de me voir revenir les mains vides. - Il n’st pas trop tard encore, dit l’ânesse.

Et l’ânesse, que son maître rend malheureuse, propose à Tod de la voler. - Ecoute, reprit l’ânesse, c’est simple : tu cherches que voler, je cherche qui me volera. Nous

sommes faits l’un pour l’autre.

Dick King-Smith, Le petit bandit de grands chemins

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1ère suite Tod est revenu à la maison avec l’ânesse. La mère : Qu’est-ce que tu as volé ? Tod : Une ânesse. Le père : Comment l’as-tu volée ? Tod : J’étais en train de marcher et soudain j’ai vu une ferme et un fermier qui faisait son travail alors j’ai couru et j’ai volé son ânesse. Le père : Je te félicite. La mère : On va tuer l’ânesse pour vendre sa viande. L’ânesse, qui les écoutait, a eu peur alors elle a bondi de la fenêtre et elle est revenue dans sa ferme. Le père : Ah, mon fils, ce que tu as volé n’a servi à rien ! ………………………………………………………………………….

2ème suite Après, ils sont rentrés à la maison. Alors Tod est parti voir sa maman, il lui a dit : « Maman, j’ai trouvé une victime, je l’ai tuée et j’ai volé son ânesse. » Sa maman lui a répondu : « « Bien, où est l’ânesse ? Tod a dit : « Elle est dans le jardin. » Puis ils sont allés dans le jardin pour la voir. Le lendemain, Tod est reparti à la forêt pour chercher une autre victime. ………………………………………………………………………… 3ème suite Quand le petit bandit est arrivé chez sa mère, il lui a montré l’ânesse. La mère était très contente de son enfant et pour cela elle lui a offert un cadeau et ce cadeau était un vrai couteau et des habits neufs pour faire bien peur aux gens. Pendant ce temps, le maître de l’ânesse la cherchait dans tous les coins sans la trouver. Enfin, l’ânesse a vécu heureuse avec le petit bandit et sa famille.

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4ème suite Tod rentra à la maison avec l’ânesse. Sa maman lui dit : « Mon petit bandit, qu’as-tu volé ? » Tod répondit : « J’ai volé une ânesse. » La maman reprit : « Bien Tod, c’est un bon début. » Et le papa lui dit : « Bravo mon fils, tu as bien travaillé aujourd’hui. » Mais le maître de l’ânesse la cherchait partout. Tout à coup il rencontra la vieille dame et lui demanda : « Est-ce que tu as vu une ânesse à côté du pré voisin ? » « Quoi ? Je n’entends rien ! » dit la vieille. Alors le maître cria dans ses oreilles : « Est-ce que tu as vu une ânesse ? » La vieille dame répondit : « Une ânesse ? Ah ! Je l’ai vue avec un enfant dans la forêt. » Alors, il chercha dans toute la forêt mais en vain. Enfin, il rentra chez lui bien déçu. …………………………………………………………………………. 5ème suite Quand Tod est rentré à la maison, en apportant avec lui l’ânesse, ses parents étaient déçus parce qu’ils voulaient de l’argent et non un animal. Ils lui ont demandé de la vendre à 5000 DH. Le lendemain, Tod a pu vendre l’ânesse à un étranger. Quand il a ramené l’argent à ses parents ils étaient très contents. Finalement, la famille de Tod Prentiss est devenue riche.

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6ème suite Tod est rentré à la maison accompagné de l’ânesse, il était très joyeux. Tod a annoncé la nouvelle à sa famille. Ils étaient très heureux. Alors, la famille a décidé quoi faire de l’ânesse. Enfin, ils ont décidé de la vendre. L’ânesse, qui a tout entendu, a eu très peur alors elle s’est enfuit dans les bois. La famille a voulu voir l’ânesse mais ils ne l’ont pas trouvée. Tod a juré qu’il avait volé une ânesse mais ses parents ne l’ont pas cru. Tod n’avait qu’une seule chose à faire c’est de vendre la mèche. Alors, il a tout avoué à ses parents. La famille a cherché l’ânesse dans tous les endroits. Enfin, ils ont trouvé l’ânesse perdue dans la forêt toute seule dans le noir et l’obscurité à l’aide d’une lueur. L’ânesse elle-même a avoué et elle a conduit la famille de Tod chez son maître. Le père de Tod a eu une longue conversation avec le maître de l’ânesse. Depuis ce jour là, Tod n’est plus un bandit. …………………………………………………………………………. 7ème suite Quand Tod est rentré chez lui avec l’ânesse, ses parents n’ont pas voulu l’ânesse. Ils voulaient de l’argent. Ils lui ont dit : « Rends l’ânesse à son maître, nous on veut de l’argent et pas une bête à nourrir. » L’ânesse s’est mise à pleurer. Alors, Tod a dit la vérité à ses parents : « Je ne veux pas être un voleur ! Je veux être un dentiste ! » Depuis ce temps là, Tod a commencé ses études pour devenir un dentiste.

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8ème suite Alors Tod et l’ânesse se mettent d’accord. Tod va se vanter devant ses parents qu’il est un bon bandit et qu’il a réussi à voler cette ânesse. Une fois arrivé à la maison, Tod rentre avec l’ânesse. Ses parents le félicitent mais sa mère lui demande de la vendre. Le lendemain, il l’a vendue au marché à un très grand prix. La famille est devenue riche et n’a plus besoin de détrousser les gens. …………………………………………………………………………. 9ème suite Quand Tod revient à la maison, sa mère pousse un cri de surprise et elle appelle son mari :

- Chéri, ton petit fils est devenu un vrai voleur ! Alors, le père sort de sa chambre en disant :

- Qu’est-ce qu’il a volé ? En voyant l’ânesse il dit :

- Waouh ! Quelle belle ânesse ! Tu es un bon voleur mon enfant ! Enfin, Tod vit heureux sans que sa mère et son père sachent son secret.

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10ème suite Alors Tod et l’ânesse se mettent d’accord. Il la prend et se dirige vers la maison. Après quelques heures, il rentre à la maison. Sa mère lui demande :

- As-tu volé quelque chose ? - Bien sûre maman. - Alors, qu’est-ce que tu as volé ? - J’ai volé une ânesse ! - Félicitation mon chouchou, tu as réussi à devenir un bandit.

Alors Mathieu, le père de Tod, dit : - Tout de suite, on va égorger cette ânesse et la manger.

Mais Tod lui répond : - Pourquoi va-t-on égorger cette ânesse ?

Mathieu répond : - Pour la manger mon fils, on a trop faim.

Tod dit : - J’ai une idée géniale. Demain matin, on ira au marché et on

vendra l’ânesse. Avec l’argent on achètera quoi manger. Tod et son père se mettent d’accord. Alors le mardi matin à 8h30 mn, Tod et son père sont allés au marché et après une heure, ils ont vendu l’ânesse à 1000 DH. Enfin, Tod décide d’aller à l’école comme les autres enfants et sa famille a décidé de changer de métier.

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11ème suite

- En fait, dit Tod, je ne t’ai pas demandé ton nom ? - Mon nom est Anna, et toi petit bandit, quel est ton nom ? - Mon nom est Tod, Tod Prentisse.

En chemin, ils eurent droit à une petite surprise, le maître de l’ânesse ! - Anna ! dit le maître, je t’ai cherchée partout misérable créature ! - Zut ! Mon maître, pensa l’ânesse. - Viens ! espèce de chien faute de nom !

Tod regardait la scène émerveillé. Mais là, impossible de laisser filer sa proie. Donc il voulut protéger Anna pour l’emmener chez lui. Alors, il se dit :

- Je suis un voleur après tout ! Et cette ânesse m’appartient. Je dois faire quelque chose.

- Eh ! Gamin ! Dit le maître, file moi cette ânesse pour qu’on en finisse.

Tod répondit : - Moi, je ne suis pas un gamin ! Je suis Tod Prentisse !

Le maître devint tout pâle : - Prentisse ! Tu appartiens à la famille Prentisse ?

Et le maître s’en alla en courant.

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Consigne : Tu as fait une farce à quelqu’un ou tu as été victime d’une farce, raconte comment ça s’est passé.

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J’ai un oncle qui est très gourmand, chaque fois que mes parents m’achètent des jus et que je les laisse au réfrigérateur, il passe et boit tous mes jus sans ma permission. Alors, j’ai décidé de me venger de lui. J’ai rempli une bouteille de jus avec de l’eau salée et piquante et je l’ai mise au réfrigérateur. Lorsque mon oncle est passé pour boire le jus, il a découvert qu’il était victime d’une farce.

Ghazi Aya …………………………………………………………………………. L’été passé, j’ai invité mon voisin à mon anniversaire. Quand il est venu, on a commencé à jouer, danser et chanter. Et voilà, l’heure du gâteau est arrivée. Mon voisin était pressé de manger sa part du gâteau mais, le pauvre, il a juste commencé à manger qu’il a eu la bouche toute rouge et brûlée par le piment fort que j’ai mis dans son gâteau.

Bourjij Ryad ………………………………………………………………………….

Un jour des vacances de pack, on était dans un hôtel et j’étais en train de me baigner dans la piscine. Maman travaillait sur son ordinateur portable et me surveillait en même temps. A ce moment, j’ai eu l’idée de lui jouer un tour. J’ai alors plongé au fond de la piscine et quand maman s’est retournée pour me voir, elle ne m’a pas trouvée. Alors, elle a sursauté de son fauteuil et a commencé à me chercher tout autour de la piscine. A ce moment, je suis remontée à la surface de l’eau. Maman s’est mise à crier : « Tu m’a fait peur ! Ne recommence plus à faire ça ! »

Abou harya Nisrine

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Un jour, je me suis réveillé avant tout le monde à la maison. Tout doucement je me suis dirigé vers la chambre de ma tante qui dormait tranquillement comme un bébé. Je marchais sur la pointe des pieds pour ne pas faire de bruit. Ensuite, j’ai versé de l’eau glacée sur le pantalon de ma tante et j’ai filé pour qu’on ne me voit pas. Ma tante a poussé un cri terrible et mes parents se sont réveillés effrayés. On cherchait à comprendre ce qui s’est passé mais personne n’a rien compris.

Koucham Mouad ………………………………………………………………………….

Un jour, j’étais assise, je lisais une histoire, quand tout à coup l’interphone a sonné. J’ai répondu, c’était mon frère. Je suis descendue pour ouvrir la porte de l’immeuble. Mon frère portait un masque effrayant. Quand je l’ai vu, j’ai hurlé et sauté de peur. J’avais la chaire de poule. C’était comme si j’avalais ma langue. Enfin, toute la famille rigolait sauf moi, je pleurais. Le lendemain, quand je me suis rappelée de ce qui s’est passé c’est moi qui rigolais. Ce masque ne me ferait jamais peur.

Asfouri Marwa ………………………………………………………………………….

Un jour, j’ai décidé de rendre la monnaie à mon amie qui m’a fait une farce. Alors, je l’ai invitée à mon anniversaire et quand on a coupé le gâteau, j’ai mis du sel dans son morceau de gâteau. Quand elle a goûté, elle l’a trouvé trop salé et elle commencé à crier. Comme ça, tout le monde a éclaté de rire.

Bouhmid Marwa

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Un jour, maman m’a donnée une pizza. Ma petite sœur, qui est tellement malicieuse, a mis une cigale en plastique dans ma pizza. Quand j’ai su que c’était une farce et comme la colère était mon talon d’Achille, je me suis bagarré avec elle. Avec un coup de poing, je lui ai fait un bleu dans les yeux. Pour se consoler, ma sœur s’est mise à me singer chaque fois que je la regardais.

Kheir Meryem

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C’était le jour de mon anniversaire. Le soir, quand je suis revenue de l’école, je n’ai trouvé personne à la maison. Alors, je suis montée dans ma chambre et j’ai commencé à pleurer. Après un moment, maman est venue me chercher en me disant que c’était une farce et elle a voulu que je l’accompagne chez ma tante. Une fois arrivée chez elle, je découvre la surprise. Toute ma famille et mes amies étaient là pour mon anniversaire.

Skoukni Salma

…………………………………………………………………………. Cet événement s’est produit le 1er avril 2013. J’ai fait une farce à ma mère. J’ai acheté une B.D qui s’appelle Picsou et on m’a donné avec elle un cafard en plastique. Puisque ma mère déteste les cafards, je lui ai offert mon cafard comme cadeau avec un joli emballage. Elle a poussé un très grand cri. Puis, elle me l’a jeté à la figure.

Zaoui Nour

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L’autre jour, j’ai été victime d’une farce qui a mal tourné. La femme de ménage qui venait assez tôt m’a tendu un paquet de chewing-gum qui ne contenait qu’un seul. J’ai tiré et un cafard a surgi à la place. J’ai crié et en entendant mon cri, mon père s’est empressé de venir. J’ai lancé le cafard qui a atterri sur la nouvelle paire de lunettes de mon père et les a cassées. Je me suis faite gronder pour rien. Est-ce de ma faute si notre bonne est du genre farceur ?

Haskouri Habiba Malak

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Pendant les grandes vacances, nous sommes partis chez ma tante qui habite à Salé. Une nuit, mes cousins ont mis du dentifrice sur mes lèvres qui ont commencé à me faire mal. La nuit suivante, c’était mon tour de me venger d’eux. J’ai pris la trousse de maquillage de maman et je les ai maquillés. Le lendemain, tout le monde a éclaté de rire car mes cousins ressemblaient à des femmes.

Kassbi Mouad ………………………………………………………………………….

Quand j’étais petit, mon cousin Ayoub m’a offert un cadeau. J’étais très heureux de le recevoir mais en l’ouvrant j’étais surpris par une souris. J’ai poussé un cri terrible et j’ai grimpé sur la table. J’ai eu tellement peur que mon corps tremblait. Me voyant ainsi, mon cousin s’est approché de moi pour me consoler et me dire que ce n’était pas une vraie souris.

Oubari Mehdi

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Papa m’a acheté un petit lapin gris. La première fois que je l’ai vu, il m’a fait peur. Un jour, ma tante est venue chez nous. Je voulais lui faire une surprise. J’ai pris le lapin de sa cage pour le lui montrer. Quand elle l’a vu, elle a poussé un grand cri car elle a cru que c’était un rat. Elle n’a pas pu le toucher. Je lui ai dit : « N’aie pas peur c’est seulement un petit lapin. » Elle ne m’a pas cru, maman lui a dit : « Calme toi, c’est vrai que c’est un petit lapin. »

Srhir Zineb ………………………………………………………………………….

Un jour, j’étais avec maman et la femme de ménage. Tout à coup, j’ai pris un serpent en bois. Je l’ai posé sous le canapé du salon. Quand la femme de ménage est passée près du canapé pour nettoyer, elle a baissé sa tête puis elle a poussé un cri terrible. Elle a eu très peur. Et moi, je me suis bien moqué d’elle.

Zizi Ali ………………………………………………………………………….

Un jour, j’ai acheté un cafard en plastique de couleur marron. On dirait un vrai cafard. Je l’ai mis dans le lit de ma sœur. A l’heure du coucher, on a entendu le cri terrible de ma sœur. Maman est venue à son secours et elle a découvert le cafard en plastique puis elle a éclaté de rire.

Haddou Mohammed

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Pendant les vacances, je suis parti au cyber avec mes deux cousins Hakim et Samir pour faire une recherche. Pendant que mes cousins jouaient, et sans qu’ils me voient, j’ai débranché les souris de leur poste et je les ai branchées de manière inverse. Quand Hakim a commencé à écrire sur son clavier, rien n’apparaissait sur l’écran de son poste mais apparaissait sur l’écran du poste de son frère Samir. Hakim était furieux et il a commencé à se disputer avec son frère. Et moi, je mourais de rire. Ils ont compris par la suite que je leur ai fait une farce.

Bouattaoun Hamza

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Un jour, en mangeant le couscous avec ma famille, je regardais la télé bouche bée. Alors, mon père m’a mis du piquant dans mon assiette. Alors, j’ai senti ma langue qui brûlait. Toute la famille a rigolé et mon père m’a dit qu’il m’a mis du piquant.

El Bouzidi Lina

…………………………………………………………………………. Une fois, j’ai voulu faire peur à ma cousine. Alors, je me suis caché derrière la porte de la cuisine. Quand elle est entrée, j’ai jeté un serpent jouet par terre. Effrayée, ma cousine a crié puis j’ai dit à ma cousine que ce n’était pas un vrai serpent.

El kadiri Youssef

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Pendant les vacances, j’étais à Oujda. J’ai découvert une dinde qui couvait ses œufs pour les faire éclore. Voulant faire une farce à maman, j’ai pris la place de la dinde et j’ai fait semblant de couver les œufs. J’ai appelé maman qui est arrivée en courant. Elle a découvert des petits poussins qui sautillaient à mes côtés. Elle a éclaté de rire.

Khai Selma ………………………………………………………………………….

Un jour, ma nounou m’a demandé de faire la sieste. Je n’ai pas voulu et j’ai décidé de lui faire une farce. J’ai pris du ketchup et je l’ai mis sur un couteau et sur mon ventre. J’ai placé le couteau dans la main de ma nounou qui dormait. Quand elle s’est réveillée, elle a trouvé le couteau dans sa main et moi allongée par terre sur le tapis. Alors, elle a poussé un cri terrible croyant qu’elle m’avait tuée. Sur le coup je suis levée.

Boutayeb Aya ………………………………………………………………………….

Un jour, ma sœur était en train de préparer un gâteau. Alors elle m’a demandé de lui passer la crème fraîche et moi à la place de lui donner la crème fraîche je lui ai donné de la farine. Ma sœur mélangeait puis elle m’a demandé de mettre le gâteau au four pendant un quart d’heure et moi j’ai mis cinq minutes. J’ai demandé à ma sœur de me laisser ramener le gâteau à table. Papa était le premier à goûter. Il a trouvé un mauvais goût. Ma sœur était fâchée. Après j’ai avoué que c’était moi le responsable de ces bêtises.

Benrradi Farouk

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Lundi matin pour moi c’est un matin très particulier. Après toute une semaine d’école, je me demande bien pourquoi le dimanche existe, ça rend les jours de la semaine pires encore. Je me suis dit : « Je dois trouver une idée pour ne pas aller à l’école. » J’ai fait semblant d’être malade, comme si j’allais mourir. Ma sœur a eu peur alors elle a appelé maman et elle a voulu appeler le médecin. J’ai dit : « non, pas de docteur, je ne veux pas. » Alors maman a compris que je me moquais d’elle et m’a dit : « Espèce de paranormal, tu nous a joué la comédie ! »

Ftouhi Yassine

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Consigne : Fais une recherche pour écrire la biographie d’un écrivain ou d’un poète de ton choix.

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Marilyn Sachs

Marilyn Sachs est une américaine née à New York le 18 décembre 1927. Elle a vécu son enfance dans le quartier du Bronx, un quartier pauvre de New York. Petite, elle s’évadait pour lire à la bibliothèque. En 1947, après avoir été au collège, elle s’est mariée avec un sculpteur et a eu deux enfants. Ensuite, elle a travaillé à la bibliothèque de Brooklyn puis à celle de San Francisco. Outre cela, Marilyn Sachs a obtenu un diplôme à l’université dans les sciences bibliothéconomiques. Cinq fois grand-mère, elle vit maintenant avec son mari à San Francisco. Elle se consacre uniquement à son métier d’écrivain et ses ouvrages remportent beaucoup de récompenses et surtout un grand succès auprès des jeunes. Ses romans décrivent souvent sa jeunesse passée à New York. Voici les titres de quelques romans écrit par elle et traduit en Français :

� La grosse � La maison en danger � Du soleil sur la joue

Hsini Douaa

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Jean Rousselot Jean Rousselot est né à Poitiers le 27 octobre 1913 et mot dans les Yvelines le 24 mai 2004. c’est un poète et un écrivain Français. Orphelin issu d’une famille ouvrière, il doit se satisfaire de brèves études et gagner sa vie dès l’âge de 15 ans. Fonctionnaire, il démissionne en 1942 pour se consacrer exclusivement à l’écriture. Entre temps : la guerre, la résistance, la rencontre des Amis de Rochefort. Ses maîtres en poésie se nomment : Paul Eluard, Max Jacob, Pierre Riverdy … Chargé de missions de conférences par les affaires étrangères et l’Alliance française, il a beaucoup voyagé. Il a présidé la Société des gens de lettres et il a été membre de l’Académie Mallarmé. Il inaugure la bibliothèque Jean Rousselot à Gugancourt, dans les Yvelines, le 14 février 2002. Voici quelques titres de ses poèmes :

� Pour ne pas mourir, 1934 � Emploi du temps, 1934 � Journal, 1937 � Le goût du pain, 1937 � L’homme est au milieu du monde, 1940 � Refaire la nuit, 1943 � Le pain se fait la nuit, 1954 � Je n’y puis rien changer, 1955 � …

Benrradi Farouk

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Gianni Rodari

Gianni Rodari, écrivain, journaliste et poète, est né le 23 octobre à Omegna, une petite ville en Italie. Son père, boulanger, meurt alors qu’il n’a que neuf ans. Lui et ses deux frères, Cesare et Mario, sont élevés par leur mère dans leur village natal Gavirate, province de Varèse. Après un séminaire de trois ans à Soveso, il reçoit en 1937 son diplôme d’enseignant à l’âge de dix sept ans. Il enseigne alors dans des classes élémentaires du district de Varèse. Il s’intéresse à la musique et suit des cours de violon pendant trois ans. Il s’intéresse également à la littérature et découvre ainsi les ouvrages de Schopenhauer, Marx, Engels, Irotsky et Saline qui développent son sens critique. En 1939, pendant une courte période, il fréquente l’université de Milan. Durant la seconde guerre mondiale, Rodari est exempté de l’armée pour raison de santé. En 1948, en tant que journaliste du périodique communiste L’Unita, il commence l’écriture de livres pour enfants. Il se rend pour la première fois en URSS en 1952. il se marie l’année suivante avec Maria Teresa Feretti avec qui il a, quatre ans plus tard, une fille nommée Paola. En 1957, Rodari passe l’examen de journaliste professionnel. En 1970 lui est décerné le Prix Hans Christian Andersen récompensant les auteurs de littérature enfantine. Cette décoration lui permet d’obtenir une réputation internationale. Ses ouvrages ont depuis été traduits dans bon nombre de langues. En 1979, après un voyage en URSS, sa santé décline et l’empêche de travailler comme avant. Il meurt lors d’une opération chirurgicale le 14 avril 1980 à Rome.

Bounoual Kenza

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Consigne : Réalise une B.D.

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