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TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ GÉOMATIQUE CANADIENNE

Développement du secteur de la géomatique au Canada grâce à la communauté

STRATÉGIE PANCANADIENNE DE GÉOMATIQUE ET PLAN D’ACTION ET DE MISE EN ŒUVRE

Comité directeur de la Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique

Version 2.1 Juillet 2014

Stratégie pancanadienne de géomatique et plan d’action et de mise en œuvre

Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique 2

HISTORIQUE DES RÉVISIONS

VERSION AUTEURS DATE DE MODIFICATION COMMENTAIRES

1.0 Ed Kennedy Le 27 juin 2014 Transmission d’une première ébauche à Evert et à Jon pour examen et observations

2.0 Ed Kennedy Evert Kenk, Jonathan Murphy

Le 27 juin 2014 Transmission de la deuxième ébauche au Comité directeur de la TRCCG pour examen et observations

2.1 Corinna Vester Le 24 juillet 2014 Modifications et le reformatage de conformer au modèle de TRCCG



TABLE DES MATIÈRES

1 INTRODUCTION ................................................................................................................................................................. 5 2 CADRE DE PLANIFICATION ............................................................................................................................................ 6

2.1 Élaboration de la Stratégie .................................................................................................................................. 6 2.2 Choix des mesures ................................................................................................................................................. 7 2.3 Leadership et affectation des ressources ......................................................................................................... 7 2.4 Plan de mise en œuvre et échéancier ............................................................................................................... 7 2.5 Mesure du rendement ............................................................................................................................................ 8 2.6 Secrets de la réussite de la mise en œuvre de la Stratégie ......................................................................... 9

3 PLANS D’ACTION PRÉLIMINAIRES ............................................................................................................................. 10 3.1 La dimension « Identité » .................................................................................................................................. 12 3.2 La dimension « Marché » .................................................................................................................................. 14 3.3 La dimension « Modèle d’affaires » .............................................................................................................. 16 3.4 Dimension « Leadership et gouvernance » .................................................................................................. 20 3.5 Dimension « Éducation et renforcement des capacités » ........................................................................ 23 3.6 La dimension « Sources de données » ........................................................................................................... 27 3.7 Interopérabilité du cadre juridique et stratégique....................................................................................... 31

4 PROCHAINES ÉTAPES ..................................................................................................................................................... 34 A. PLAN D’ORIENTATION DU PLAN D’ACTION ET DE MISE EN ŒUVRE .......................................................................... 35

Identité ................................................................................................................................................................................... 36 Marché ................................................................................................................................................................................... 37 Modèle d’affaires ................................................................................................................................................................ 39 Leadership et gouvernance .............................................................................................................................................. 41 Éducation et renforcement des capacités .................................................................................................................... 43 Sources de données ............................................................................................................................................................ 46 Interopérabilité du cadre juridique et stratégique ..................................................................................................... 48

B. MODÈLE DE PLANIFICATION ........................................................................................................................................... 51



LISTE DES FIGURES Figure 1 : Cadre d’élaboration du plan d’action et de mise en œuvre de la Stratégie pancanadienne de géomatique. ........................................................................................................... Error! Bookmark not defined. Figure 2 : Le cercle de la planification stratégique et de la mesure du rendement .. Error! Bookmark not defined. LISTE DES ACRONYMES CP Cartographie participative IDS Infrastructure de données spatiales RNCan Ressources naturelles Canada SFL Services fondés sur la localisation TRCCG Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique



1 INTRODUCTION

Le présent document décrit le cadre d’action lié à la Stratégie pancanadienne de géomatique et le plan d’action préliminaire fondé sur les résultats de l’atelier de planification de la Stratégie de géomatique et du plan d’action et de mise en œuvre « Équipe Canada » tenu les 9 et 10 juin 2014. Le cadre est destiné à être utilisé par l’organisme responsable de la mise en œuvre de la Stratégie (lequel, aux fins du présent document, est la Table ronde de la communauté canadienne de géomatique [TRCCG]) pour qu’il puisse orienter et suivre les progrès des initiatives convenues dans les plans d’action et de mise en œuvre qui doivent être exécutés pour chacune des dimensions de la Stratégie. Il importe de souligner que la mise en œuvre de la Stratégie reposera sur les efforts de la communauté, les mesures réalisées l’étant sur une base strictement volontaire.

La deuxième section du présent rapport expose les éléments du cadre de planification du plan d’action et de mise en œuvre et fournit certaines lignes directrices sur la façon de contribuer au succès de la mise en œuvre de la Stratégie. La troisième section documente les décisions prises lors de l’atelier au sujet de l’ordre de priorité des objectifs stratégiques et les mesures suggérées pour chacun d’eux, jetant ainsi les bases des plans d’action et de mise en œuvre propres à chaque dimension de la Stratégie. La dernière section offre des suggestions pour les prochaines étapes du processus de planification du plan d’action et de mise en œuvre, en commençant par l’officialisation des groupes de travail (GT), dont les membres se sont portés volontaires pour chacune des dimensions dans le cadre de l’atelier « Équipe Canada », ainsi que de leurs rapports hiérarchiques avec le CD TRCCG.

L’annexe A présente le plan d’orientation du plan d’action et de mise en œuvre, qui a été fourni à des fins de discussions lors de l’atelier et qui contient des exemples de mesures potentielles qui pourraient être implantées pour contribuer à l’atteinte des objectifs stratégiques de la Stratégie, ainsi que des extrants, des résultats et des critères de mesure du rendement. Il vise à fournir des idées initiales aux fins de critiques et de remise en question. Un certain nombre des mesures potentielles du plan d’« orientation » ont été discutées avant l’atelier avec les organismes susceptibles d’être intéressés à diriger leur mise en œuvre ou à y collaborer. À l’annexe B figure un modèle conçu pour servir à la documentation des plans d’action et de mise en œuvre précis.



2 CADRE DE PLANIFICATION

Le cadre décrit dans les prochaines sections vise à orienter le processus de planification de la Stratégie pancanadienne de géomatique et du plan d’action et de mise en œuvre.

2.1 Élaboration de la Stratégie

La première étape du processus de planification, comme l’illustre la figure 1, est d’élaborer la Stratégie pancanadienne de géomatique. La première ébauche de la Stratégie a été terminée en novembre 2013 par de nombreux groupes de travail travaillant sous la direction du CD TRCCG. La deuxième ébauche de la Stratégie, qui a été achevée en mai 2014, incorpore les commentaires issus de la campagne de sensibilisation lancée pour amorcer un dialogue avec les membres de la communauté de la géomatique à propos de la Stratégie par le biais de divers médias sociaux (c.-à-d. la page Web du blogue de la TRCCG, le groupe LinkedIn de la Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique, le compte Twitter de la Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique et de GoGeomatics). Au cours de l’atelier « Équipe Canada », une succession de présentations et de discussions animées ont été utilisées pour établir un consensus sur le contenu de la version finale de la Stratégie.

Figure 1 : Cadre d’élaboration du plan d’action et de mise en œuvre de la Stratégie pancanadienne de géomatique.

http://cgcrt.ca/draft-strategy-3/

http://cgcrt.ca/communications-events/blog-latest-news/

http://www.linkedin.com/groups?home=&gid=4824554&trk=anet_ug_hm

https://twitter.com/CanGeoRT

http://www.gogeomatics.ca/



Les principales composantes de la Stratégie sont les suivantes :

Contexte – Contexte relatif à l’élaboration de la Stratégie et à la prise de mesures.

À propos de la présente Stratégie – Présentation du scénario « Équipe Canada » utilisé pour orienter l’élaboration de la Stratégie et résumé du cadre de la Stratégie.

Vision, mission et principes directeurs – Documentation des énoncés relatifs à la vision, à la mission et aux principes directeurs de la formulation et de la réalisation de la Stratégie.

Objectifs stratégiques et recommandations – Documentation des objectifs stratégiques proposés et des mesures recommandées pour réaliser la vision, et des résultats à atteindre, pour chacune des dimensions suivantes de la Stratégie : Identité, Marché, Modèle d’affaires, Leadership et gouvernance, Éducation et renforcement des capacités, Sources de données, Interopérabilité du cadre juridique et stratégique.

Mise en œuvre – Mise en évidence de l’approche à adopter pour passer de la Stratégie à la planification du plan d’action et de mise en œuvre.

Les prochaines étapes du processus de planification sont liées directement aux objectifs stratégiques établis dans la Stratégie.

2.2 Choix des mesures

La réussite de la Stratégie repose sur l’engagement des membres de la communauté à relever et à prendre des mesures pour atteindre les objectifs stratégiques qui nous rapprocheront de la vision « Équipe Canada 2020 ». Certaines mesures préliminaires proposées, qui ont été sélectionnées parmi les recommandations contenues dans le document de la Stratégie (version 2.0) et les exemples d’initiatives exposés dans le Livre blanc (janvier 2013) de la TRCCG, ont été incluses dans le plan d’« orientation » – à titre d’exemple seulement – et ont servi à susciter la discussion au cours de l’atelier « Équipe Canada ». Les participants de l’atelier sont parvenus à un consensus sur de nombreuses mesures pouvant être mises en œuvre pour réaliser les objectifs stratégiques de chacune des dimensions de la Stratégie comme l’illustre la section 3.

2.3 Leadership et affectation des ressources

Pour chaque mesure sélectionnée, les GT devront déterminer les types de ressources (humaines, financières, etc.) nécessaires à sa mise en œuvre et à l’atteinte du résultat ciblé. Les GT confirmeront également les personnes ou les groupes qui sont prêts à assumer un rôle de direction afin de veiller à l’exécution des mesures convenues.

2.4 Plan de mise en œuvre et échéancier

Pour les mesures convenues, les GT devront élaborer des plans de mise en œuvre, y compris des échéanciers, des extrants et des résultats. Les échéanciers seront touchés par des considérations telles



que la nature et la complexité des mesures, la quantité de ressources nécessaires, le niveau d’engagement requis des exécutants potentiels et le nombre de partenaires participants. L’échéancier d’exécution des travaux relatifs à chaque mesure fera partie des négociations avec les organismes, les individus ou les groupes de mise en œuvre candidats.

2.5 Mesure du rendement

La planification stratégique et la mesure du rendement vont de pair; la planification stratégique permet d’anticiper les objectifs souhaités, alors que la mesure du rendement propose un retour sur les réalisations. Ensemble, la planification stratégique et la mesure du rendement forment un cercle – un processus continu de gestion axée sur les résultats, comme l’illustre la figure 2. Le lien renforce les deux processus :

La mesure du rendement repose sur les résultats visés – non seulement les mesures, mais également les résultats de ces mesures. Les objectifs du plan stratégique permettent d’axer la mesure du rendement sur les résultats et d’aider à définir des indicateurs de rendement appropriés.

Pour être efficace, le plan stratégique doit permettre de revoir et de vérifier régulièrement sur le « terrain » les objectifs et les indicateurs des résultats. À mesure que la situation évolue, les rapports périodiques sur les indicateurs de rendement fournissent les renseignements nécessaires pour guider les ajustements dans le plan stratégique. Cette information permet au plan stratégique d’atteindre ses objectifs et de s’adapter aux changements environnementaux1.

Il est possible d’atteindre un maximum de résultats dans les initiatives de planification stratégique, d’une part en fixant de façon claire des extrants cibles et des résultats cibles en fonction desquels les progrès peuvent être mesurés. Bien que les visions et les objectifs stratégiques puissent être difficiles à communiquer et à comprendre, le fait de les répartir en objectifs concrets donnera aux exécutants des mesures quelque chose de précis à atteindre. D’autre part, il est essentiel de déterminer les mesures ou indicateurs appropriés en fonction desquels les progrès dans la mise en œuvre du plan stratégique et dans l’atteinte des résultats attendus seront évalués. Les questions importantes à prendre en considération lors de l’élaboration des indicateurs de résultats sont les suivantes2 :

L’indicateur de résultat est-il pertinent (c.-à-d. est-il lié de façon logique et directe à la mesure)? L’indicateur de résultat est-il fiable (c.-à-d. procure-t-il des renseignements précis et vérifiables dans

la période impartie pour la mesure)? 1 Dusenbury, Pat. 2013. HAL 1 Dusenbury, Pat. 2013 Strategic Planning and Performance Measurement, site Web du Urban Institute, http://www.urban.org/publications/310259.html. 2 2 Idaho Division of Financial Management. 2011. A Guide To Strategic Planning And Performance Measurement Reporting, site Web de l’Idaho Division of Financial Management, http://dfm.idaho.gov/st_agency_guide/StratPlanPerfRpt/StratPlan_Manual_Updated%202011.pdf.

Figure 1 : Le cercle de la planification stratégique et de la mesure du rendement



L’indicateur de résultat est-il valide (c.-à-d. fournit-il des renseignements sur ce que l’organisme vise à mesurer)?

Le niveau d’effort requis pour mesurer le résultat est-il raisonnable? L’indicateur de résultat permettra-t-il une prise de décision ou conduira-t-il à une conclusion valable

concernant la mesure?

Le tableau 1 indique le format choisi pour présenter le cadre de mesure du rendement et les composantes particulières du plan de mise en œuvre.

Tableau 1 : Composantes du plan de mise en œuvre

Objectif stratégique Objectif de la stratégie Mesure Énoncé d’action en vue de contribuer à l’atteinte de l’objectif stratégique. Avantages Justification de la mesure ou avantages qui en résulteront Leadership Organismes qui prendront en main la réalisation de la mesure Ressources Ressources humaines, financières et autres qui sont nécessaires pour réaliser la mesure Échéancier Échéancier de réalisation de la mesure Extrants cibles Prévision de produits ou de services découlant de la réalisation de la mesure

Résultats cibles Effets directement attribuables aux résultats

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence Mesure qualitative ou quantitative du résultat

Méthode de mesure de l’indicateur

Fréquence de mesure de l’indicateur

2.6 Secrets de la réussite de la mise en œuvre de la Stratégie

La mise en œuvre consiste à atteindre les objectifs énoncés dans le plan stratégique tout en restant attentif aux changements dans l’environnement et suffisamment souple pour tirer profit de nouveaux débouchés au fur et à mesure qu’ils se présentent. C’est la partie la plus difficile du processus de planification stratégique. Voici des façons de contribuer à la réussite de la mise en œuvre3 :

Clarté de la terminologie et du langage. Exprimez les objectifs et les mesures clairement, de manière à ce que les intervenants comprennent ce à quoi ils s’engagent et ce qu’on attend d’eux.

Acceptation. Incitez les intervenants à accepter le plan stratégique et dissuadez la prise de mesures contrevenant aux objectifs stratégiques convenus.

Communication. Assurez-vous que la stratégie et le plan d’action et de mise en œuvre font l’objet d’une communication efficace et régulière afin que les membres de la communauté puissent travailler ensemble.

3 Irwin, Terry. 2011. United Kingdom: United Kingdom: Implementing A Strategic Plan Successfully, sur le site Web de Mondaq, http://www.mondaq.com/x/140370/Operational+Performance+Management/Implementing+A+Strategic+Plan+Successfully.



Évitement du syndrome de l’« activité en option » – Travaillez de façon à éviter que le plan stratégique soit considéré comme une entité distincte et éloignée des activités quotidiennes dans le secteur et que les intervenants continuent à agir comme auparavant.

Maintien du cap. Maintenez le cap, de façon à ce que les intervenants ne rechignent pas à faire les choix difficiles que peut exiger le plan stratégique.

Désignation des chefs de file. Identifiez les individus qui dirigeront des initiatives de mise en œuvre particulières et en communiqueront les progrès à l’organisme de gouvernance.

Établissement d’échéanciers. Établissez des échéanciers pour les mesures et suivez les progrès de façon régulière pour renforcer le message concernant le respect de la stratégie.

Choix des indicateurs appropriés. Choisissez des indicateurs de progrès réalistes. Mesurez ce qui est important, et non pas ce qui est facile.

Récompense du succès. Trouvez des façons créatives de motiver les gens et de les récompenser pour la priorité qu’ils accordent à la stratégie et à la vision.

Capacité à apporter des modifications. Le plan stratégique devrait être « réactif de manière proactive ». Allez de l’avant avec le plan stratégique tel qu’il a été conçu, mais soyez disposé à modifier les stratégies selon les circonstances.

Le fait de s’approprier la stratégie constitue un élément essentiel de la réussite de sa mise en œuvre. Il s’agissait d’un des principaux sujets de discussion à l’atelier « Équipe Canada », et il a été convenu qu’une des mesures prioritaires était de mettre en place une structure globale de gouvernance et de leadership partagé pour prendre en charge la Stratégie au nom du Secteur et assurer la réalisation de la vision « Équipe Canada ». Même si l’on présume, aux fins du présent document de planification, que la TRCCG poursuivra ses activités en tant qu’organe de direction viable, cette décision sera prise au cours des six prochains mois.

3 PLANS D’ACTION PRÉLIMINAIRES

Les sections qui suivent documentent, sous la forme de tableaux, les décisions prises dans le cadre de l’atelier de planification de la Stratégie et du plan d’action et de mise en œuvre « Équipe Canada » concernant les mesures qui pourraient être prises pour atteindre les objectifs énoncés dans la Stratégie pancanadienne de géomatique. Pour chaque dimension, les tableaux offrent la base aux fins de l’élaboration des plans d’action et de mise en œuvre propres à chaque dimension de la Stratégie. Chaque tableau comprend :

la formulation définitive des objectifs stratégiques de la Stratégie pancanadienne de géomatique approuvés dans le cadre de l’atelier (les principales priorités convenues lors de l’atelier sont indiquées en caractères gras);

les suggestions de mesures mentionnées au cours de l’atelier, suivies des mesures recommandées dans la deuxième ébauche du document de la Stratégie;

les dates de début de mise en œuvre proposées pour les mesures qui devraient être entreprises dans les deux prochaines années, ainsi que les responsables proposés pour les mesures élaborées à l’atelier;



les commentaires à propos des futures étapes, dont certaines se rapportent à des mesures en particulier.



3.1 La dimension « Identité »

Objectifs stratégiques Mesures découlant de l’atelier Début Responsable proposé

Commentaires

1. Création d’une identité pour le secteur de la géomatique qui soit claire et bien comprise par les principaux dirigeants et décideurs, et perçue de manière positive par le grand public.

2. Un secteur de la géomatique canadien qui fait consensus sur une stratégie pancanadienne et qui bénéficie du soutien des principaux dirigeants du secteur de tous les ordres de gouvernement, de l’industrie, des associations et du milieu universitaire.

3. Un secteur de la géomatique canadien qui s’engage dans une stratégie pancanadienne afin de positionner le Canada comme un chef de file dans le domaine géospatial mondial et qui peut servir de référence internationale pour faire connaître l’identité renouvelée du Canada sur le marché.

4. Reconnaissance et formulation des aspects communs pour unifier le secteur de la géomatique, pour contrer la tendance actuelle vers les factions diffuses, ajoutant un poids aux messages du secteur et au sujet de celui-ci.

Trancher le débat sur le secteur géospatial/géomatique.

2014 TRCCG ou organe de gouvernance

L’image est façonnée par nos actions; on ne choisit pas la façon dont les gens nous perçoivent. Nous ne sommes pas des spécialistes du marketing. Élaborer un exposé simple qui répond aux questions « Où? », « Pourquoi là? » et « Pour qui est-ce important? ». Établir un lien entre les aspects techniques de nos activités et des éléments que le grand public comprend (c.-à-d. les cartes de Google/Bing, les GPS, l’utilisation de la géomatique pour la sécurité publique, etc.). On pourrait les regrouper en niveaux, des professionnels de la géomatique aux utilisateurs finaux et au Web en général. Promouvoir une identité nationale (qui ne se limite pas à une partie ou à une région

Embaucher un conseiller en marketing pour la stratégie de marque, le marketing et les communications.

2014 Comité directeur de la TRCCG

Utiliser les résultats de l’Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique pour aider à définir/valider/renforcer notre identité et la mettre en valeur auprès des principaux dirigeants par l’entremise des chefs de file de notre secteur.

2015 GéoConnexions

Désigner et former des chefs de file du secteur qui feront valoir l’importance et la valeur de ce que nous faisons en utilisant un langage que tous peuvent comprendre.

2015 TRCCG ou organe de gouvernance

Élaborer un plan pour que le terme « géomatique » soit défini dans les dictionnaires courants.

2016+

Exprimer clairement qui sont les principaux intervenants du secteur de la géomatique canadien par communauté (géographes, bibliothécaires, cartographes, science des données, gouvernement, secteur privé et analyse).

2015 Association canadienne des géographes

Utiliser les suggestions formulées comme idées de base pour exprimer qui nous sommes au grand public.

2016+

Dans le cadre des travaux de la campagne de marketing et d’image de marque, prendre en considération les campagnes fructueuses utilisées par d’autres secteurs.

2016+

Élaborer une proposition de valeur pour le secteur de la 2016+




Commentaires

géomatique. géographique distincte du secteur). Nous devons étoffer davantage notre image/identité pour la soutenir : n’ayez pas peur de déranger (p. ex., le Service d’imagerie national dans l’ensemble du Canada – comment y parvenir? Nos ressources en matière d’imagerie sont supérieures à celles qui sont couramment utilisées, mais elles ne sont pas disponibles. L’amélioration de l’accès à la meilleure imagerie nous aidera à établir notre identité à titre d’experts à consulter.).

Déterminer des exemples significatifs qui démontrent pourquoi l’« EMPLACEMENT » est important.

2016+

Élaborer l’analyse de rentabilisation pour démontrer pourquoi le secteur de la géomatique est d’une grande valeur.

2016+

Mettre sur pied un organisme national d’accréditation en géomatique (qui rassemble les membres du réseau actuel fragmenté) pour créer une identité pour les travailleurs des divers paliers/niveaux du secteur.

2016+

Mesures découlant de l’ébauche du plan stratégique

Parvenir à un consensus sur une stratégie pancanadienne qui comprend un plan d’action bien défini pour soutenir les nouveaux buts et objectifs.

Mobiliser d’autres organismes représentant des intervenants du secteur directement dans l’élaboration de la Stratégie et du plan d’action et de mise en œuvre.

Trouver de nouvelles occasions de montrer la précieuse contribution de l’information géospatiale aux priorités stratégiques nationales.

Utiliser les résultats de l’Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique pour redéfinir l’identité du secteur.

Élaborer des plans de marketing et de communication, tant à l’intention des auditoires interne (secteur de la géomatique) qu’externe (entreprises, gouvernement et citoyens), en utilisant un langage approprié dans chaque cas.

Prendre en considération les pratiques exemplaires d’autres secteurs (comme l’exploitation minière et le mouvement écologiste) pour trouver des idées sur la façon d’orienter et d’élaborer la stratégie de




Commentaires

communication et de marketing à l’appui de l’identité du secteur de la géomatique.

Concevoir et mener une campagne de sensibilisation (c.-à-d. un plan de marketing) pour communiquer le rôle et la valeur du secteur de la géomatique.

Élaborer des études de cas sur les applications de l’information géospatiale qui ont donné de bons résultats dans différents secteurs de l’économie, y compris les économies qu’elles ont générées et le temps qu’elles ont permis de gagner.

3.2 La dimension « Marché »


Commentaires

1. Compréhension des caractéristiques actuelles et à venir du marché géospatial et préparation aux effets des technologies de rupture en examinant les résultats de l’Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique et en relevant les tendances commerciales d’une façon suivie.

2. Amélioration de la cohésion dans le secteur de la géomatique par une plus grande collaboration entre tous les ordres de gouvernement, les entreprises du secteur privé, et les institutions universitaires, pour augmenter la

Déterminer les idées de grands projets qui démontrent l’utilité de l’intégration à une gamme de sources de données et assurent l’utilisation à des techniques de visualisation avancées et d’autres capacités.

2014 RNCan et autres associations nationales/ provinciales.

Orientation et engagement pancanadiens (p. ex., cartographie du Nord (côtes, zone littorale, etc.); IDS de l’Arctique; cartographie des services publics souterrains; service d’imagerie national; accès national aux données cadastrales). Établir possiblement un lien avec les efforts de promotion.

Mobiliser les participants du secteur qui sont bien renseignés et qui comprennent les divers marchés fondés sur le lieu et ceux pour lesquels le lieu est d’une importance secondaire.

2014 TRCCG

Éplucher le rapport intitulé Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique pour relever les utilisateurs non conventionnels de données géospatiales et déterminer les besoins et les possibilités pour les diverses parties du secteur de la géomatique auxquels il est possible de donner suite.

2015 La TRCCG a formé un comité qui se chargera précisément de cette tâche (multidisciplinaire).




Commentaires

capacité à concevoir des applications, des produits et des services à valeur ajoutée dans le domaine géospatial, ce qui établirait les bases d’un cercle vertueux d’investissements, d’innovation, et de capacité de répondre aux nouveaux besoins des entreprises à l’échelle nationale et mondiale.

3. Investissements stratégiques dans des projets qui agiront comme catalyseurs à l’innovation et au développement, ce qui permettra aux fournisseurs de solutions canadiens d’améliorer leurs services de données, leurs applications, leurs produits et leurs services de consultation dans les environnements grandissants d’IDS et de services fondés sur la localisation (SFL).

4. Solutions géospatiales multisectorielles à grande échelle qui contribuent de manière considérable à l’économie canadienne et qui sont accessibles sur le Web et peuvent être utilisées comme instruments de marketing pour tous les participants, favorisant ainsi le renouvellement de la présence et de la reconnaissance à titre de chef de file sur le marché géospatial mondial.

5. Coordination améliorée des nombreux environnements orientés

Organiser une conférence nationale conjointe du domaine géospatial et de la géomatique.

2016 TRCCG, CFGOT Tenir une conférence tous les 2 ou 3 ans; collaborer avec un groupe international (p. ex., le Forum géospatial mondial ou l’Institut des données ouvertes); assurer la coordination avec d’autres conférences nationales/provinciales.

Créer une présentation promotionnelle nationale de l’expertise et des applications en géomatique, c.-à-d. l’infrastructure souterraine – Calgary et Edmonton

2016+

Utiliser l’analyse de la conjoncture pour établir le profil du marché à l’heure actuelle et pour l’avenir.

2016+

Utiliser le profil du marché à l’appui du plan de communication pour l’ensemble des dimensions

2016+

Créer des modèles de propositions d’affaires ou de valeur par secteur (c.-à-d. la santé, l’immobilier, etc.). Utiliser des exemples d’autres endroits qui ont réussi à accéder aux marchés.

2016+

Faciliter les communications et l’accès aux outils de données et aux outils analytiques importants pour permettre à chaque organisme d’étudier les tendances actuelles sur le marché dans le but de cerner les nouveaux marchés.

2016+

Créer une stratégie de développement des marchés internationaux pour exporter les services et les technologies du Canada en géomatique.

2016+


Élaborer des stratégies et des plans opérationnels pour la promotion de trois grands projets visant à renforcer la nation et la collectivité, aussi intéressants pour le gouvernement que pour l’industrie, qui serviront de catalyseurs à l’unification de la communauté canadienne de géomatique et qui renforceront la capacité de cette dernière de répondre aux besoins du marché géospatial en constante évolution.

Concevoir un plan visant à assurer la participation des secteurs public et privé à l’élaboration de projets de




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Web d’IDS et de SFL à l’échelle nationale et internationale en harmonisant la façon dont l’information géospatiale est acquise, stockée, traitée, modélisée, analysée, visualisée et transmise grâce à une sensibilisation accrue et à la mise en œuvre de politiques et de normes opérationnelles communes.

6. Favoriser stratégiquement les services spécialisés d’information géospatiale interexploitable à valeur ajoutée pour les secteurs public et privé dans les environnements orientés Web d’IDS et de services fondés sur la localisation, tout en misant sur les services de cartographie offerts par Google, Microsoft et d’autres entreprises, ainsi que sur les services de données offerts par les fournisseurs de données canadiens.

renforcement de la nation et de la collectivité, avec des mesures incitatives pour encourager le coinvestissement dans l’élaboration et la réalisation des projets.

Effectuer des analyses régulières de la conjoncture pour suivre les tendances commerciales ayant une incidence importante sur le secteur de la géomatique et sa réponse à ces tendances.

Créer un organisme au sein de l’industrie qui est proactif, solide et uni et dont le mandat consiste à s’assurer que les gouvernements prennent davantage des mesures et des décisions qui favorisent la croissance de l’industrie canadienne de la géomatique, et à concentrer les efforts collectifs sur le renforcement de la capacité de l’industrie de concevoir et de commercialiser des solutions positionnées stratégiquement dans le domaine géospatial, à l’échelle nationale et internationale.

Faire du Canada la destination de choix pour en apprendre davantage sur les dernières solutions dans le domaine géospatial en développant la plus importante vitrine mondiale pour les technologies de localisation.

3.3 La dimension « Modèle d’affaires »


Commentaires

1. Reconnaissance du statut de « bien public » pour la prestation d’information géospatiale faisant autorité par le gouvernement. On reconnaît que cette activité exige un investissement permanent et fait partie intégrante des initiatives sur les données

Élargir la conversation sur les données ouvertes. 2014 TRCCG/COCG Il y a toujours un grand nombre de différences problématiques. Comparer avec la recommandation no 3 de la

Examiner les recommandations découlant de la deuxième version de la Stratégie.

2014 TRCCG

Passer à des contrats de plus grande envergure et à plus long terme.

2014 COCG

Nécessité de choisir un modèle d’affaires préférentiel 2015 RNCan




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ouvertes, et qu’elle permet au secteur privé de créer des produits et services innovateurs à valeur ajoutée.

2. Définir et optimaliser un nouveau modèle d’affaires du secteur de la géomatique en collaboration avec les secteurs public et privé, qui repose sur des définitions clairement définies des rôles et des responsabilités de chacun (c.-à-d., le rôle du secteur public est de permettre la fourniture d’information géospatiale publique faisant autorité, tandis que le rôle du secteur privé est de mettre au point et de fournir des produits et des services géospatiaux à valeur ajoutée qui répondent aux besoins prioritaires en matière d’économie, d’environnement et de société).

3. Conception de politiques et de plans gouvernementaux clairs qui contribuent à façonner le marché et à procurer la certitude, la prévisibilité et la stabilité nécessaires pour encourager l’investissement du secteur privé.

4. Meilleure compréhension de l’importance de l’information géospatiale parmi les décideurs de l’industrie et du gouvernement.

5. Élaboration de mécanismes qui

pour les projets visant à renforcer la nation. deuxième version de la Stratégie. Examiner les modèles d’affaires fructueux existants. Le gouvernement devrait créer des processus et des normes de certification pour permettre au secteur privé de répondre aux attentes. Le modèle d’affaires devrait comprendre une approche Équipe Canada – dans l’esprit du programme À nous le podium.

Exporter la technologie géospatiale (au Canada et à l’étranger).

2016+

Créer une charte gouvernementale aux fins des modifications des modèles d’affaires.

2016+

Définir la chaîne de valeurs du secteur. Évaluer les capacités et le mandat des participants du secteur en fonction des besoins sectoriels (c.-à-d. collecte et gérance des données, recherche, éducation et commercialisation des technologies). Structurer nos activités pour aborder les écarts relevés.

2016+

Évaluer les facteurs de réussite des entreprises de géomatique canadiennes.

2016+

Créer des occasions pour que les PME puissent fournir une orientation en matière d’entrepreneuriat dans le cadre du processus d’élaboration des politiques.

2016+


Créer des mécanismes pour examiner et comprendre les responsabilités et les rôles des secteurs public et privé dans le cadre d’un modèle d’affaires qui tient compte des exigences du futur marché géospatial et, plus particulièrement, répondre aux questions suivantes : • Le secteur public devrait-il se consacrer

exclusivement au financement des activités liées au « bien public » – des activités souvent non rentables pour le secteur privé – et laisser ainsi toutes les activités donnant lieu à un « profit privé » au secteur privé?

• Les organismes gouvernementaux devraient-ils concevoir et fournir des services géospatiaux ou gérer la prestation des services géospatiaux mis au point par le secteur privé?




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permettent aux utilisateurs de l’information géospatiale d’influer sur les décisions du gouvernement concernant les données à offrir, les normes à utiliser, les niveaux de qualité et la facilité d’emploi des données (y compris les licences et les restrictions d’utilisation, afin de garantir que les données offertes sont entièrement exploitables, et d'influer sur les décisions relatives aux lois ou les politiques requises à mesure que le secteur de la géomatique évolue.

6. Adoption d’une approche stratégique de la collecte et de la diffusion de l’information du secteur public (IPS) dans un cadre national d’information contemporain, qui englobe tous les principaux ensembles de données (y compris les données géospatiales) pour répondre aux besoins actuels et anticipés du gouvernement et d’autres secteurs clés de l’économie canadienne.

7. Capacité du secteur de la géomatique à être compétitif à l’échelle internationale et à s’adapter aux conditions économiques, sociales et environnementales complexes et changeantes, y compris à relever les défis auxquels les établissements d’enseignement font face pour fournir la formation et les compétences requises dans des

Élaborer l’analyse de rentabilisation pour le réinvestissement dans l’IG de base faisant autorité afin de répondre aux besoins reconnus et de s’assurer d’obtenir les avantages prévus de l’ouverture de l’accès à cette information conformément aux politiques en matière de données ouvertes.

Mesures découlant de l’ébauche du plan stratégique (suite)

Élaborer l’analyse de rentabilisation pour le changement des politiques et des pratiques du gouvernement en matière d’approvisionnement – soit délaisser le recours aux spécialistes extérieurs pour la conception des applications et systèmes géospatiaux internes, au profit de l’impartition du développement de toutes les solutions dans le domaine géospatial, et délaisser les petits marchés à court terme au profit des marchés importants à plus long terme. L’objectif est de renforcer la capacité de l’industrie de la géomatique d’acquérir des connaissances et des solutions exportables dans le domaine géospatial.

Recenser et adapter les pratiques exemplaires internationales dans les modèles d’affaires du domaine géospatial qui tiennent compte de la prédominance des petites et moyennes entreprises dans l’industrie canadienne de la géomatique.

Étudier les possibilités de réaliser des initiatives nationales en géomatique comprenant des données faisant autorité dans le cadre de partenariats entre les secteurs public et privé.

Établir un RCE axé sur les affaires pour favoriser la collaboration entre l’industrie, le secteur public et les organismes de recherche pour aborder les principaux problèmes liés à la recherche auxquels la communauté géospatiale est confrontée.




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milieux de travail de plus en plus complexes où les attentes à l’égard des nouveaux employés sont de plus en plus grandes.

8. Reconnaissance que, pour ce qui est du soutien stratégique du gouvernement envers le secteur de la géomatique, les petites entreprises peuvent être plus vigoureuses et plus dynamiques et faire preuve davantage d’initiative, tout en reconnaissant les avantages des grandes entreprises pour saisir les débouchés internationaux.

9. Élaboration d’une proposition de valeur globale qui incorpore la collecte stratégique des données gouvernementales et facilite les recherches fondamentales qui peuvent appuyer la politique publique et également être exploitées par l’industrie en vue d’une application nationale et permettre à l’industrie de tirer parti des débouchés internationaux.

10. Le Canada est un exportateur de services et d’applications technologiques géospatiales qui ont pour avantage d’avoir été entièrement mis à l’essai en milieu canadien.

11. Mise sur pied d’un réseau de spécialistes de la géomatique, dont certains ont une expérience longue et approfondie dans le domaine, et d’autres, des compétences ciblées, de jeunes professionnels et des




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chercheurs établis, une industrie robuste et de solides organismes gouvernementaux assurant la mise en place des fondements nécessaires à l’innovation continue.

12. Offre d’un appui solide à la croissance économique des entreprises locales, nationales et internationales pour contribuer à l’édification d’entreprises profitables et viables.

13. Un investissement du gouvernement dans les données faisant autorité, exactes et accessibles détenues par le secteur privé, et la détermination d’une méthode pour répondre aux futurs besoins en collaboration avec l’industrie.

3.4 Dimension « Leadership et gouvernance »


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1. Mise sur pied d’une structure de gouvernance qui améliore les communications entre tous les paliers et les dimensions du secteur et fournit des moyens d’interaction plus régulière.

2. Élaboration d’une stratégie et d’un processus destinés à faire participer et à conseiller les dirigeants de la prochaine génération du secteur afin que la

Déterminer les divers groupes et organismes qui existent au sein du secteur.


Les principaux groupes ou organismes comprendront des organes législatifs, les institutions universitaires, le gouvernement, des organismes de recherche, des organes internationaux, des ONG ou des entités sans but lucratif. Il faut s’assurer qu’il s’agit

Continuer de communiquer avec les groupes désignés par l’entremise du Comité directeur dans le but de créer un organisme-cadre qui agira comme porte-parole de la communauté.


Élaborer une matrice comparative qui illustre les activités de chaque organisme et les

2014 Comité directeur de la




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structure de gouvernance soit durable et solide à long terme.

3. Création d’une nouvelle structure de gouvernance harmonisée avec une vision commune et une identité qui est représentative des contributions réelles du secteur au Canada et bénéficie d’une contribution de l’ensemble des grands groupes de la communauté géospatiale.

4. Établissement d’un leadership au sein du secteur de la géomatique qui favorise les idées de collaboration pour influencer les décisions à tous les niveaux et dans toutes les dimensions du secteur.

5. Création d’une structure de gouvernance qui met l’accent sur l’information géomatique et géospatiale en tant qu’infrastructure – identique aux réseaux d’alimentation en eau et aux réseaux d’égouts.

6. Établissement d’un leadership qui bénéficie du soutien de tous les principaux groupes du secteur de la géomatique.

chevauchements existants. TRCCG d’une approche de leadership partagé. La TRCCG participerait aux associations. Voir la recommandation no 8, Programme de reconnaissance, de la deuxième version de la Stratégie. Il faut être inclusif… il faut de tout pour faire un monde. Créer un milieu de gouvernance qui reconnaît l’existence des divers groupes du secteur, mais qui les fait participer en fonction de leur engagement mutuel à l’égard d’objectifs communs; et non pas une structure

Créer une « alliance des associations canadiennes » qui serait chargée : • d’élaborer une proposition de valeur pour les

participants du gouvernement et du secteur qui permettra de gagner en crédibilité;

• de déterminer d’autres gains de crédibilité précoces dans le cas de la gouvernance et des organismes;

• de créer certains critères pour nos méthodes de travail;

• de créer un programme de mentorat pour les jeunes dirigeants.


Trouver un défi social que l’information géomatique permettrait de mieux comprendre pour contribuer à l’élaboration de politiques stratégiques.


Établir une stratégie et une méthodologie de communication.


Approcher l’ACSG pour assumer le rôle d’organisme-cadre.

2016+

Mettre au point un processus pour la mobilisation et le mentorat des dirigeants de la prochaine génération.

2016+

Organiser une réunion avec les associations pour déterminer les 50 % à consolider ou à éliminer.

2016+

Voir la recommandation no 2 de la deuxième version de la Stratégie – Utiliser les résultats de l’Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique pour établir les orientations en matière de leadership.

2016+





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Au début de 2014, tenir une réunion des dirigeants du secteur afin de créer un organisme de gouvernance fondé sur la collaboration, capable de mettre en œuvre le plan d’action.

autoritaire. Créer un organisme voué aux communications.

Utiliser les résultats de l’Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique pour faciliter la création d’un message de leadership qui appuie une approche sectorielle unifiée.

Élaborer un modèle de gouvernance pour un organisme-cadre du secteur de la géomatique réunissant les organismes actuels du secteur qui souhaitent participer de façon volontaire aux principales initiatives de collaboration qui présentent un intérêt et un avantage mutuels.

Concevoir une stratégie de communication qui servira à orienter l’intégration du secteur à l’industrie, au gouvernement et au milieu universitaire, ainsi qu’un plan de communication qui exprime la nature actuelle et future de notre secteur, en utilisant les plateformes des médias pour expliquer la valeur ajoutée que nous apportons aux Canadiens.

Soutenir une nouvelle structure de gouvernance dans laquelle la littératie spatiale est un élément clé de toute possibilité d’éducation et qui reconnaît le besoin de rendre l’information géographique accessible à tous les citoyens.

Élaboration d’une stratégie et d’un processus destinés à faire participer et à conseiller les dirigeants de la prochaine génération du secteur afin que la structure de gouvernance soit durable et solide à long terme.

Examiner la faisabilité d’un syndicat canadien des étudiants dans le domaine géospatial – un organisme qui sert de tribune et fournit des ressources aux étudiants




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des programmes d’éducation postsecondaire en géomatique et aux nouveaux diplômés qui accèdent au marché du travail pour exercer et perfectionner leurs compétences en matière de leadership.


Créer un programme de reconnaissance annuelle pour reconnaître les chefs de file de premier plan du domaine géospatial qui contribuent au secteur dans son ensemble. Le programme comprendrait des prix dans les catégories suivantes : étudiants, entreprises, ONG, ministères gouvernementaux, personnes.

3.5 Dimension « Éducation et renforcement des capacités »


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1. Un système d’éducation cohérent en matière de géomatique, de la maternelle aux études supérieures, comprenant un programme d’études proactif et possible à adapter qui : répond à la demande de professionnels et de spécialistes de la géomatique pour appuyer le réseau canadien des infrastructures de données géospatiales; crée des spécialistes de données géospatiales qui possèdent les compétences nécessaires à la réalisation de recherches liées aux données géospatiales; et fournit à l’éventail d’apprentis praticiens de la communauté géospatiale les

Accroître les partenariats entre les employés, les associations et les étudiants du secteur de la géomatique pour élargir les programmes de bourses d’études, les programmes de subventions de recherche, les programmes coopératifs, les internats d’enseignement et les stages de travail aux niveaux universitaire et collégial.

2014 Exemple de l’Alberta (Brad) et région du Niagara (Chris). Comme le groupe de la déclaration de St. John's. Voir la recommandation no 3, Étude de la faisabilité, de la deuxième version de la Stratégie. Besoin de créer une nouvelle entité qui réunit les organismes actuels dont les

Créer un solide réseau d’organismes locaux pour promouvoir la « géo-alphabétisation » et les carrières dans le domaine de la géographie partout au Canada.

2014

Établir un lien et créer une synergie avec les initiatives nationales et provinciales existantes qui se penchent sur l’éducation en géographie.

2014 CGE et James Boxall

Examiner la faisabilité de créer un modèle national de gouvernance et des processus d’établissement

2015




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compétences dont ils ont besoin pour utiliser l’information géospatiale dans leur travail quotidien.

2. Un secteur universitaire canadien robuste dont le programme de recherche et de formation s’harmonise aux besoins de la communauté géospatiale, appuie l’ensemble du secteur de la géomatique et contribue de manière significative aux principaux dossiers.

3. Un secteur de la géomatique qui est soutenu par des ressources fiables et durables en matière de recherche (subventions, bourses d’études et participation du gouvernement) à l’appui du développement d’un personnel hautement qualifié et de la viabilité du secteur.

4. Accroître la connaissance et l’utilisation des données spatiales et de l’information de localisation chez les cadres supérieurs afin d’améliorer l’élaboration de politiques et la prise de décisions au sein de l’industrie et des gouvernements.

5. Renforcer la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage dans le domaine de la géomatique et l’apprentissage dans le spectrum de l’apprentissage à partir de la

des priorités nationales en recherche géospatiale et de coordination des programmes et des initiatives de recherche.

activités se chevauchent et qui ont des intérêts communs. Autres jours également : rendez-vous de la science, etc. La dimension « Éducation et renforcement des capacités » repose sur la réalisation de la dimension « Identité » (c.-à-d. si nous ne savons pas qui nous sommes, comment pouvons-nous l’enseigner?) Travailler en collaboration avec les conseillers en matière de vie personnelle et professionnelle et les conseillers en orientation des systèmes scolaires provinciaux. [Commentaire : il pourrait également être plus utile de cibler des groupes de spécialité dans le domaine de l’éducation – c.-à-d les associations d’enseignants en géographie, etc.] Établir un lien avec les efforts internationaux portant sur le programme d’études.

Créer une association nationale d’étudiants en géomatique.

2015

Créer un NOUVEAU réseau technique en géomatique pour rassembler les experts confirmés afin d’en faire des mentors et développer les capacités.

2015

Créer une « Journée de la géomatique » dans le cadre de la Semaine nationale du génie.

2015 ACSG

Créer une fondation à l’appui de la déclaration sur l’éducation de St. John's.

2015 James Boxall

Élaborer un programme d’études de base qui détermine les compétences géographiques fondamentales qui devraient être enseignées de la maternelle à la 12e année et jusqu’à l’université, ainsi que les résultats en matière d’éducation (compétences normalisées et transférables) liés directement au programme d’études à chacun des niveaux, soit pendant les études primaires, secondaires et universitaires.

2016+ CGE et James Boxall

Encourager les conseils scolaires et les organismes de perfectionnement professionnel et d’accréditation à récompenser les enseignants de la maternelle à la 12e année qui suivent des cours avancés portant sur l’information et les compétences géospatiales ou à leur offrir des incitatifs.

2016+ CGE

Simplifier les diverses accréditations aux niveaux collégial et universitaire (p. ex., programmes de deux ans vs trois ans vs quatre ans) pour clarifier la façon dont les structures de programme sont liées au type de professionnel en formation.

2016+

La géomatique en boîte. 2016+




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maternelle et tout au long de la vie. 6. Une société qui encourage le

domaine géospatial dans laquelle tous les intervenants du domaine ont contribué à la conception et à la mise en œuvre des programmes de renforcement des capacités, y compris des systèmes améliorés d’éducation primaire et secondaire qui favorisent une meilleure connaissance de la géographie, de l’information géospatiale et des outils.

7. Des programmes d’accréditation/de certification harmonisés en géomatique dans l’ensemble du secteur.

8. Un secteur canadien de la géomatique de niveau international comportant une part dominante des marchés national et international et appuyé par des citoyens « géo-alphabétisés ».

9. Apport de modifications aux programmes d’éducation primaire et secondaire et aux programmes d’enseignement interdisciplinaire dans les collèges et les universités qui améliorent les compétences de la population canadienne en matière de données géospatiales et développent des capacités en géomatique.

10. Fournir des outils d’apprentissage au grand public afin de lui permettre de tirer le meilleur parti des

Élaborer des événements communautaires sur le domaine géospatial qui permettent de joindre un large éventail de participants (p. ex., un jour de la famille portant sur le domaine géospatial).

2016+

Établir une « source » de perfectionnement professionnel qui fournit des renseignements sur le PP offert en géomatique (p. ex., le site Web GeoEd).

2016+

Établir un organisme de délivrance de licences pour normaliser certaines des exigences (vers une orientation juridique et stratégique?)

2016+

Examiner le cas du Project Management Institute pour déterminer la façon dont il a acquis sa crédibilité.

2016+

Améliorer les initiatives permanentes en matière d’éducation pour mieux soutenir les professionnels de la géomatique.

2018


Élaborer une stratégie et des documents visant à faciliter la modification des programmes d’éducation primaire, secondaire et postsecondaire afin d’améliorer les compétences liées à l’utilisation de l’information géospatiale et des services géospatiaux.


Encourager les gouvernements et l’industrie à collaborer avec les établissements d’enseignement primaire et secondaire pour faire participer les élèves d’une manière concrète à la cartographie participative ou à des projets parrainés d’externalisation ouverte.

Examiner la faisabilité de créer un modèle national de gouvernance et des processus d’établissement des priorités nationales en recherche géospatiale et de coordination des programmes et des initiatives de




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ressources et des services de localisation mis à leur disposition.

recherche.

Élaborer une approche plus cohérente à l’égard de l’éducation et de la formation en matière de géomatique grâce à la collaboration et à l’établissement de liens entre les écoles secondaires, les collèges et les universités, afin d’améliorer la qualité de l’enseignement de la géomatique et de mieux préparer les étudiants en vue d’une carrière dans les domaines de la géomatique et les disciplines liées au domaine géospatial.

Continuer de collaborer avec les employeurs des étudiants en géomatique afin d’élargir et d’améliorer les programmes de bourses d’études, les programmes coopératifs, les internats d’enseignement et les stages de travail aux niveaux universitaire et collégial.

Encourager la collaboration entre les organismes et les établissements existants afin d’accroître la reconnaissance professionnelle au moyen d’approches partagées et de messages communs.

Élaborer une approche de collaboration qui réunit l’industrie, le gouvernement et le milieu universitaire pour créer un programme de recyclage professionnel axé sur les compétences qui vise les diplômés en SIG intéressés au domaine de l’arpentage.

Effectuer une analyse des programmes d’éducation tous les quatre ans et une analyse des tendances sur le marché du travail pour confirmer l’uniformité.



3.6 La dimension « Sources de données »


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1. Offre d’un accès constant et transparent par les IDS canadiennes aux ensembles de données géospatiales de base (terrestres, marines, aériennes, statistiques, environnementales, socioéconomiques, etc.) ouverts, faisant autorité et facilement accessibles partout au Canada qui répondent aux besoins d’aide à la décision des gouvernements et des entreprises, des politiques sociales et environnementales, de la planification et de la gestion et qui permettent la prestation des services géospatiaux.

2. Un large éventail de sources de données innovatrices et documentées, y compris des données de détecteurs aériens et spatiaux en temps réels établis au sol, des appareils portatifs et la cartographie participative, et la conception du cadre canadien des IDS, qui permettra d’intégrer facilement les nouveaux types de données et services en matière de données à l’avenir.

3. Mise en œuvre de normes pour l’acquisition, la conservation et l’interopérabilité futures des données.

4. Faire en sorte que les Canadiens

Créer des communautés de praticiens pour élaborer une stratégie en matière de données.

2014 Avons-nous l’ensemble approprié de données pour satisfaire aux exigences de nos politiques? Dans quelle mesure sont-elles interexploitables? Quelles normes appliquent-elles? Quelle est l’ampleur de la situation? Il faudrait inclure une liste des données qui sont disponibles. Il ne faudrait pas se limiter aux portails gouvernementaux, mais inclure notamment le Scholar's GeoPortal. Il y a quelques IDS autochtones également qui ne font pas partie du cadre du gouvernement. Parallèlement à l’analyse des IDS, documenter ce qui se trouve dans chaque IDS (au moins dans une certaine mesure). Les produits de données actuels répondent-ils aux besoins des utilisateurs? Avons-nous besoin de produits de données nouveaux ou différents? Faudrait-il mettre à jour

Établir le profil de toutes les IDS au pays (c.-à-d. GeoNova, DataBC, secteur de l’éducation, 45 portails municipaux sur les données ouvertes...).

2014 TRCCG

Initiative nationale pour évaluer (sondage) les besoins des utilisateurs de l’ensemble de la communauté géospatiale.

2015 TRCCG

Créer un bureau central canadien qui indique tous les portails d’information qui comprennent des outils pour aider les utilisateurs à trouver les meilleures données disponibles.

2015

Créer une base de données des enquêtes actuelles qui permettent l’acquisition de données.

2015

Définir et mettre en œuvre des normes nationales en matière de conservation qui permettront d’accéder aux données à long terme.

2015(?)

Examiner les projets pilotes possibles. 2015

Définir un cadre juridique et stratégique pour l’accès aux données, leur gestion, leur conservation et leur réutilisation.

Rendre les métadonnées ouvertes partout au pays : les organismes rendent les métadonnées standard ouvertes en ligne, notamment la façon d’y accéder. Reconnaître que nous pourrions avoir accompli davantage de progrès – établir les priorités pour combler cette lacune.

Demander aux organismes qui fournissent des données de rendre leurs données accessibles en ligne dans l’ensemble du Canada – en les rendant ouvertes ou




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soient plus au courant de la nature des données géospatiales de base, ou autres, qui sont accessibles dans le réseau des IDS canadiennes et comprennent les avantages de l’investissement des gouvernements et du secteur privé dans les IDS.

5. Les IDS canadiennes interopèrent avec les IDS internationales et régionales au sens large (p. ex., la région circumpolaire arctique) pour comprendre et modéliser les questions transfrontalières, et le Canada contribue de manière considérable aux initiatives mondiales en matière d’IDS, notamment l’initiative des Nations Unies sur la gestion mondiale de l’information géographique.

6. Créer des modèles d’affaires fondés sur la collaboration pour aider à assurer la durabilité à long terme du réseau des IDS canadiennes.

privées. Il faut satisfaire aux deux options. certains produits de données? Se rendre dans les associations régionales pour distribuer l’enquête préparée par la TRCCG ou s’éloigner du modèle de l’enquête et mener des consultations plus approfondies. Mobiliser la communauté géospatiale pour déterminer les ensembles de données importants. Accessibilité des données : créer un emplacement pour vérifier ce que les gens possèdent dans un domaine donné. OBJECTIF FINAL : un endroit en ligne où l’utilisateur peut épingler un élément ou dessiner un polygone et obtenir les métadonnées sur tous les ensembles de données existants, y compris l’emplacement pour y accéder et la licence. Qui procède à l’acquisition des données? Connaître la personne qui a effectué l’achat de certaines données pour un domaine d’intérêt particulier.

Faciliter les conversations sur l’accès et la traçabilité, la conservation et la qualité des données.

Tirer parti des initiatives actuelles en matière de données et les harmoniser aux niveaux FPT, privé et universitaire.

Rassembler les éléments pour établir un service d’imagerie national.


Mener une vaste consultation par étapes auprès de la collectivité au sujet des besoins en données de base et, en fonction des résultats obtenus, réexaminer les priorités et le contenu relatif aux données de base au Canada.

Lancer une campagne de sensibilisation dans le but de communiquer la nature des données géospatiales de base, ou autres, qui sont accessibles dans le réseau des IDS canadiennes, et de promouvoir les avantages de l’investissement dans les IDS et les données faisant autorité. Inclure les lacunes des données qui ne font pas autorité pour établir le bien-fondé des raisons pour lesquelles les données faisant autorité sont essentielles.

Publiciser et renforcer le rôle des gouvernements en tant que sources faisant autorité des besoins en matière de données de base en confirmant que le réseau des IDS canadiennes est le fournisseur de confiance de données de base faisant autorité.

Étudier sous tous leurs aspects de nouveaux modèles d’affaires (p. ex., les partenariats entre les secteurs public et privé) pour la tenue à jour des données de base faisant autorité.

Élaborer, adopter, adapter et mettre en œuvre des




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politiques et/ou des lois nationales pour rendre les données de base ouvertement accessibles en s’assurant que toutes les données géospatiales (terrestres, marines et aériennes) requises pour traiter les priorités des gouvernements et des citoyens du Canada sont facilement accessibles en tant que principal élément des initiatives sur les données ouvertes.

Comme un projet national sur l’identité qui regroupe des données municipales (p. ex., les frontières électorales). Accès à 3 types de données : ouvertes, privées et des « partenaires de confiance ». Il faut pouvoir accéder à tous ces types de données – le système le plus efficace fournira un accès aux trois. Préconiser une licence ouverte et un accès équitable (accès efficace, abordable, durable et rapide aux données). Il faut délaisser les études et passer à l’ACTION – réaliser quelque chose au profit de la communauté. Les données ouvertes devraient être téléchargeables. Appliquer des normes en matière d’accès (p. ex., données élémentaires, projections, OGC, ISO, métadonnées de données et services Web) qui faciliteront l’intégration des données de toutes les sources (c.à-d. données de base, cartographie participative, métadonnées).

Le Canada doit saisir l’occasion en harmonie avec la Charte du G8 sur les données ouvertes, qui reconnaît que les données géospatiales ouvertes sont le catalyseur de l’innovation dans le secteur privé, parce qu’elles soutiennent la création de nouveaux marchés, de nouvelles entreprises et de nouveaux emplois.

Créer un guichet et un conduit uniques faisant autorité et permettant d’accéder à des ressources d’information, peu importe l’endroit où celles-ci sont stockées physiquement, et permettre la prestation de ce service au moyen de définitions uniformes de données ou de métadonnées ayant fait l’objet d’une entente dans la communauté internationale et avalisées par le Canada.

Appuyer le plan d’action des gouvernements en matière de données ouvertes en permettant d’accéder aux données faisant autorité au moyen de la licence du gouvernement ouvert.


Procéder à l’analyse de rentabilisation relative au fait de faire passer les IDS canadiennes de leur accent initial, qui consistait à permettre d’accéder à des données géospatiales faisant autorité d’origine surtout terrestre, au rôle d’intégrateur de multiples sources de données et, en outre, de données obtenues des internautes et de données recueillies par des capteurs terrestres, aériens ou satellitaires et des appareils portatifs. Il faudrait aussi examiner la fourniture




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d’outils et de méthodologies qui seraient faciles d’accès et permettraient d’intégrer et d’analyser une vaste gamme de données.

Cela peut aider à comprendre la traçabilité des données au fil du temps, allant des données brutes aux produits à valeur ajoutée.

Élaborer, adopter, adapter et mettre en œuvre des normes et des politiques nationales relatives aux données, qui assureront la qualité, l’intégrité et l’interopérabilité de celles-ci, y compris la cartographie participative dans les ensembles de données de base. Adopter et mettre en œuvre la stratégie générale définie dans le rapport intitulé Cadre stratégique relatif aux normes géospatiales4 : • sensibilisation et compréhension accrues à l’égard

des avantages liés à l’utilisation ou à la création de normes fondées sur l’information et les outils géospatiaux pour atteindre les objectifs relatifs aux priorités sociales, sanitaires, de sécurité publique, économiques et environnementales;

• coordination de l’élaboration de normes nationales et soutien de leur adoption et de leur mise en œuvre pour assurer la tenue à jour et la mise à jour des données géospatiales et leur compatibilité avec les normes mondiales;

• renforcement de la capacité du Canada à influencer, à exploiter et à profiter de sa participation à l’élaboration de normes géospatiales au moyen de processus de consensus ou industriels.

4 Strategic Framework for Geospatial Standards Report, préparé pour : GéoConnexions, Ressources naturelles Canada, Stratford Managers Corporation, Ottawa, 26 juin 2013, 42 pages.



3.7 Interopérabilité du cadre juridique et stratégique


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1. Création d’un cadre juridique uniformisé5, cohérent et transparent évoluant au rythme des changements technologiques, qui favorise l’habilitation de la société à l’égard du domaine géospatial grâce à une gouvernance efficace et inclusive fondée sur la collaboration, où les rôles et les responsabilités bien définis des gouvernements, de l’industrie, du milieu universitaire et des autres intervenants canadiens sont harmonisés en vue d’une action qui s’articule autour de buts et d’objectifs communs.

2. Mise à profit par tous les ordres de gouvernement d’un cadre national de classification des politiques et d’un centre d’archivage national des politiques communs concernant les domaines suivants : confidentialité, sécurité nationale, responsabilité, attributions et obligations, protection du public, acquisition, gestion, diffusion et conservation des données et accès à celles-ci et interopérabilité des données, et propriété

Établir un engagement dans l’accord de géomatique renouvelé à l’égard d’un cadre juridique et stratégique national.

2014 COCG Annexe sur les données ouvertes. Besoin d’une structure. Voir la dimension « Modèle d’affaires ». Accord plus global comprenant plus que les gouvernements FPT. Communiquer le contenu de l’accord de géomatique, veiller à actualiser et à élargir l’accord de géomatique pour inclure le secteur de la géomatique, y compris le niveau municipal. Besoin d’un accord de géomatique d’une plus grande portée comprenant des signataires fédéraux et provinciaux, ainsi que de

En consultation avec les autres ordres de gouvernement, s’appuyer sur le cadre de classification et le centre d’archivage des politiques géospatiales établis par GéoConnexions pour créer un cadre et un centre d’archivage nationaux.

2015 GéoConnexions

Harmonisation des licences d’utilisation des données ouvertes et gouvernance pour veiller à l’encourager/l’appliquer.

2015 TRCCG / COCG?

Examiner le cadre juridique et stratégique de rétention et d’archivage des données et son efficacité.

2015 Communauté bibliothécaire et archivistique?

Créer un nouvel accord amélioré pour le secteur de la géomatique comme instrument de collaboration entre les administrations.

2015 TRCCG

Mobiliser la communauté géomatique pour définir les rôles et les responsabilités du gouvernement canadien, de l’industrie, du milieu universitaire et d’autres intervenants.

2016+

Clarifier les questions relatives à la confidentialité entourant les données.

2016+

Évaluer de nouveau les contraintes juridiques associées aux cartes. Pouvons-nous passer de cartes hydrographiques dans l’Arctique à des cartes/données

2016+

5 Dans ce contexte, les « politiques » comprennent les lois, les règlements, les politiques, les directives, les normes, les lignes directrices, les pratiques exemplaires et les outils qui facilitent le partage et l’interopérabilité de l'information géospatiale.




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intellectuelle. 3. Interopérabilité6 de la législation

et des politiques applicables à la gérance et à la conservation, ainsi qu’à la gestion du cycle de vie des données géospatiales et des services connexes.

4. Favoriser au sein du secteur de la géomatique la mise en œuvre des principes d’un gouvernement transparent à tous les niveaux – des communautés autochtones, aux municipalités, jusqu’aux gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, et aux régions – en appliquant des mesures appropriées visant à intégrer des données géospatiales hétérogènes.

5. Exécuter avec succès les initiatives canadiennes sur les infrastructures de données spatiales (IDS) conformément à un modèle de coopération.

topographiques sur les ressources sous-marines? l’industrie et du milieu universitaire (la communauté géospatiale). Communiquer l’objectif de l’accord de géomatique. La politique sur les données publiques devrait être « ouverte par défaut ».


Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux doivent travailler ensemble – de concert avec le milieu universitaire, le secteur privé et les partenaires internationaux – pour harmoniser la législation et les politiques liées aux données et à l’information géospatiales et aux services connexes afin d’assurer l’interopérabilité nationale et d’améliorer la rapidité des changements législatifs et politiques pour le traitement des données géospatiales, la qualité et la fiabilité des données, et l’accès aux données.


Établir un engagement dans l’accord ministériel de géomatique renouvelé entre les gouvernements fédéral, provinciaux, autochtones et territoriaux à l’égard d’un cadre juridique et stratégique national pour les données et l’information géospatiales, y compris les politiques de gestion, les procédures, les licences, les pratiques exemplaires et les lignes directrices. Ce cadre doit également décrire les normes nationales en matière de données pour la gestion des données, l’archivage et l’accès, qui seront soutenues par un système de certification visant à faciliter l’interopérabilité et l’intégration des données entre les différentes administrations.

Établir une entité nationale, qui sera représentée de

6 Dans ce contexte, l’interopérabilité peut être définie comme l’harmonisation de la législation et des politiques canadiennes applicables aux données et à l’information géospatiales et aux services connexes offerts par les gouvernements fédéral, provinciaux, autochtones et territoriaux. Parmi les exemples d’harmonisation des politiques, citons : l’Accord ministériel de géomatique, la norme sur les données géospatiales du SCT, l’établissement de GeoBase et la création des Infrastructures canadiennes des données spatiales (y compris l’ICDG) qui favorisent la découverte de données et d’information géospatiales et de services connexes, les rendent disponibles et en permettent la diffusion.




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façon appropriée dans les comités nationaux et internationaux, et dont le mandat sera le suivant : analyser et répertorier les tendances dans la législation et les politiques, et exploiter les innovations; tester les capacités et analyser les normes; adopter et adapter les politiques, les procédures et les directives en matière d’innovation, grâce à des mécanismes d’action directe efficaces.

Créer et mettre en œuvre un modèle et des processus nationaux de gouvernance pour élaborer, adopter et mettre en œuvre un ensemble national de politiques harmonisées à l’appui des données géospatiales et de l’interopérabilité des systèmes.



Examiner la faisabilité d’élaborer une approche nationale en matière d’accès à une base commune de cartographie cadastrale dans l’ensemble du Canada.



4 PROCHAINES ÉTAPES

Les étapes suivantes sont proposées pour permettre au CD TRCCG de faire avancer le processus de planification du plan d’action et de mise en œuvre :

1. Terminer, traduire et publier la Stratégie pancanadienne de géomatique et le plan d’action et de mise en œuvre.

2. Officialiser les groupes de travail (GT) de volontaires qui ont déterminé l’importance de prendre des mesures afin d’atteindre les objectifs définis pour chacune des dimensions de la Stratégie en :

a. Élaborant un cadre de référence préliminaire pour chaque GT à l’aide d’un modèle normalisé où sont décrits le rôle du GT, les membres, la gouvernance, les réunions, le processus de rapport, etc.

b. Créant une tribune pour permettre aux GT d’interagir entre eux (p. ex., un camp de base ou une autre forme d’environnement de travail partagé).

c. Nommant un membre du CD à titre de coprésident de chaque GT.

d. Communiquant avec les personnes qui ont exprimé à la fin de l’atelier le 10 juin l’intérêt de joindre un des différents GT pour confirmer leur participation et déterminer leur intérêt potentiel à coprésider le GT.

e. Envisageant la possibilité d’accepter d’autres membres intéressés de la communauté comme membres des GT.

f. Prévoyant la première réunion de chaque GT pour élire un deuxième coprésident, approuver son cadre de référence, discuter des plans d’action préliminaire et de commencer l’élaboration d’une feuille de route pour l’avenir.

g. Établissant le processus pour que le GT fasse rapport des progrès accomplis au CD TRCCG et, d’une manière plus générale, à la communauté.

3. Décidant de l’objectif, du calendrier et des participants pour le prochain événement de la TRCCG (p. ex., axé sur le leadership et la gouvernance) et en amorçant sa planification.

4. Étudiant, dans le contexte des travaux du GT sur le leadership et la gouvernance, les options relatives à la structure globale et les modes de financement pour exécuter le plan d’action et de mise en œuvre de la Stratégie et assurer la durabilité à long terme de la structure globale.



A. PLAN D’ORIENTATION DU PLAN D’ACTION ET DE MISE EN ŒUVRE

Le plan d’orientation présenté dans les sections suivantes a été déposé pour servir de point de départ à la discussion et à la prise de décisions sur la planification du plan d’action et de mise en œuvre lors de la deuxième journée de l’atelier de planification de la Stratégie de géomatique et du plan d’action et de mise en œuvre « Équipe Canada » tenu les 9 et 10 juin 2014. Il repose sur les recommandations contenues dans la deuxième ébauche de la Stratégie et sur les exemples d’initiatives qui figurent dans le Livre blanc. La numérotation des objectifs stratégiques correspond à celle des objectifs de la deuxième ébauche de la Stratégie, et les numéros des mesures correspondent aux numéros des recommandations de cette même version.



Identité

Le tableau 2 présente des exemples de mesures nécessaires pour atteindre les principaux objectifs stratégiques visant à assurer le respect de la perspective globale souhaitée pour la dimension « Identité ».

Tableau 2 : Mesure proposée concernant la dimension « Identité » de la Stratégie

Identité – Objectif stratégique 4

Reconnaissance et formulation des aspects communs pour unifier le secteur de la géomatique, pour contrer la tendance actuelle vers les factions diffuses, ajoutant un poids aux messages du secteur et au sujet de celui-ci.

Identité – Mesure 2

Mobiliser d’autres organismes représentant des intervenants du secteur directement dans l’élaboration de la Stratégie et du plan d’action et de mise en œuvre.

Avantages Partage de la responsabilité des activités d’intérêt mutuel. Réduction du recoupement et du dédoublement des efforts. Accroissement de l’efficacité de l’utilisation de ressources limitées.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique (TRCCG). Ressources Comité directeur de la TRCCG.

Entrepreneur chargé de la planification du plan d’action et de mise en œuvre. Échéancier Un an.

Extrants cibles Stratégie pancanadienne de géomatique. Stratégie et plan d’action et de mise en œuvre.

Résultats cibles a) Approbation de la Stratégie et du plan d’action et de mise en œuvre par les organismes intéressés. b) Mobilisation des organismes intéressés dans des activités particulières.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Nombre d’appuis

b) Nombre d’organismes directement impliqués

a) Nombre de signatures dans la Stratégie et le plan d’action et de mise en œuvre

b) Examen de la documentation sur les mesures

a) Une fois

b) Une fois par an Identité – Objectif stratégique 3

Création d’une identité pour le secteur de la géomatique qui soit claire et bien comprise par les principaux dirigeants et décideurs, et par le grand public.

Identité – Mesure 7

Concevoir et réaliser une campagne de sensibilisation nationale pour faire connaître le rôle et la valeur des produits et services du secteur de la géomatique, en tenant compte des pratiques exemplaires dans d’autres secteurs.

Avantages Connaissance et compréhension élargies de l’identité propre et du profil du secteur. Augmentation de l’attraction des ressources humaines et financières envers le secteur.



Leadership Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique (TRCCG). Ressources Groupe de travail de la TRCCG.

Entrepreneur en communications ($??). Rapport de Ressources naturelles Canada : Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique.

Échéancier Un an.

Extrants cibles Stratégie de sensibilisation et de communication et plan de mise en œuvre – Énoncé de travail pour la conception professionnelle des documents et des produits livrables définies dans le plan.

Résultats cibles a) Accroissement de la reconnaissance de la valeur et de la contribution du secteur. b) Augmentation de l’inscription des étudiants les plus talentueux dans les programmes d’études en géomatique. c) Augmentation des ressources du secteur public pour les activités d’information géospatiale.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Changement de la perception du grand public face au

secteur Changement dans la consultation de pages Web et les téléchargements de contenu

b) Changement dans la quantité et la qualité des participants au programme

c) Changement dans les ressources du secteur public pour l’IG

a) Sondages auprès du grand public Analyse du trafic sur le Web

b) Sondages auprès des établissements d’enseignement postsecondaire

c) Examen des budgets gouvernementaux

a) Une fois par an Quatre fois par an

b) Une fois par an

c) Une fois par an

Marché

Le tableau 3 présente des exemples de mesures nécessaires pour atteindre les principaux objectifs stratégiques visant à assurer le respect de la perspective globale souhaitée pour la dimension « Marché ».

Tableau 3 : Mesure proposée concernant la dimension « Marché » de la Stratégie

Marché – Objectif stratégique 2

Investissements stratégiques dans des projets qui agiront comme catalyseurs à l’innovation et au développement, ce qui permettra aux fournisseurs de solutions canadiens d’améliorer leurs services de données, leurs applications, leurs produits et leurs services de consultation dans les environnements grandissants d’IDS et de services fondés sur la localisation (SFL).

Marché – Élaborer des stratégies et des plans opérationnels pour la promotion de trois grands projets visant à la renforcer la nation et



Mesure 1 la collectivité, aussi intéressants pour le gouvernement que pour l’industrie, qui serviront de catalyseurs à l’unification de la communauté canadienne de la géomatique et qui renforceront la capacité de cette dernière de répondre aux besoins du marché géospatial en constante évolution.

Avantages Nouveaux débouchés importants. Contributions importantes aux priorités économiques et politiques canadiennes. Amélioration des résultats des exportations.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique (TRCCG).

Ressources Groupe de travail de la TRCCG.

Échéancier Un an.

Extrants cibles Trois plans opérationnels. Trois stratégies de promotion.

Résultats cibles a) Obtention des fonds nécessaires aux projets, versés conjointement par les secteurs public et privé. b) Fourniture de solutions en matière d’information géospatiale de calibre mondial et exportables. c) Nouveaux débouchés au Canada et à l’étranger.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence

a) Niveau de financement des secteurs public et privé b) Niveau de réussite des projets c) Niveau de création de nouvelles entreprises

a) Examen des budgets alloués pour les projets b) Entrevues avec les clients des projets c) Entrevues avec ceux qui exécutent les projets

a) Une fois b) Une fois c) Une fois par an


Compréhension des caractéristiques actuelles et à venir du marché géospatial et préparation aux effets des technologies de rupture en examinant les résultats de l’Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique et en relevant les tendances commerciales d’une façon suivie.

Marché – Mesure 3

Effectuer des analyses régulières de la conjoncture pour suivre les tendances commerciales ayant une incidence importante sur le secteur de la géomatique et sa réponse à ces tendances.

Avantages Amélioration de la réponse aux principales tendances. Accroissement de la capacité de tirer profit de nouveaux débouchés.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique (TRCCG).


Échéancier Tous les deux ans.

Extrants cibles Rapports d’évaluation semestriels sur le marché géospatial.



Résultats cibles a) Amélioration de la compréhension de secteur à l’égard des tendances commerciales et du marché. b) Amélioration de la réponse du secteur aux tendances et aux forces perturbatrices du marché.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Évolution de la compréhension b) Évolution de la réponse

a) Sondages auprès des fournisseurs d’IG b) Sondages auprès des fournisseurs d’IG

a) Deux fois par an b) Deux fois par an


Amélioration de la cohésion dans le secteur de la géomatique par une plus grande collaboration entre tous les ordres de gouvernement, les entreprises du secteur privé, et les institutions universitaires, pour augmenter la capacité à concevoir des applications, des produits et des services à valeur ajoutée dans le domaine géospatial, ce qui établirait les bases d’un cercle vertueux d’investissements, d’innovation, et de capacité de répondre aux nouveaux besoins des entreprises à l’échelle nationale et mondiale.

Marché – Mesure 5

Faire du Canada la destination de choix pour en apprendre davantage sur les dernières solutions dans le domaine géospatial en développant la plus importante vitrine mondiale pour les technologies de localisation.

Avantages Promotion du Canada à titre de chef de file et de lanceur de tendances dans le domaine de la technologie spatiale. Sensibilisation du public au secteur de la géomatique pour qu’il reconnaisse et comprenne les contributions de ce dernier à la technologie de localisation. Création d’une identité canadienne forte dans le secteur de la géomatique par la mise en lumière du Canada.

Leadership TRCCG, intervenants et partenaires mondiaux. Ressources Entreprise de gestion d’événements. Échéancier Quatre ans.

Extrants cibles Événement qui attire entre 10 000 et 20 000 participants.

Résultats cibles a) Accroissement de la reconnaissance de la valeur et des contributions du secteur de la géomatique. b) Accroissement de la reconnaissance de Canada à titre de chef de file mondial dans le domaine de la géomatique. c) Création d’un événement pour la mise en vitrine de la technologie et de l’expertise canadiennes dans le domaine de la géomatique.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Accroissement de la part de marché pour les

technologies et les services canadiens b) Accroissement de la reconnaissance du Canada à titre

de chef de file mondial dans le domaine géospatial

a) Sondage auprès des organismes a) Après chaque événement

Modèle d’affaires

Le tableau 4 présente des exemples de mesures nécessaires pour atteindre les principaux objectifs stratégiques visant à assurer le respect de la perspective globale souhaitée pour la dimension « Modèle d’affaires ».



Tableau 4 : Mesure proposée concernant la dimension « Modèle d’affaires » de la Stratégie

Modèle d’affaires – Objectif stratégique 2

Reconnaissance du statut de « bien public » pour la prestation d’information géospatiale faisant autorité par le gouvernement. On reconnaît que cette activité exige un investissement permanent et fait partie intégrante des initiatives sur les données ouvertes, et qu’elle permet au secteur privé de créer des produits et services innovants à valeur ajoutée.

Modèle d’affaires – Mesure 2

Élaborer l’analyse de rentabilisation pour le réinvestissement dans l’information géospatiale de base faisant autorité afin de répondre aux besoins reconnus et de s’assurer d’obtenir les avantages prévus de l’ouverture de l’accès à cette information conformément aux politiques en matière de données ouvertes.

Avantages Accroissement de la capacité de répondre à la demande de données faisant autorité, exactes et accessibles. Nouveaux débouchés. Reprise du rôle de chef de file mondial du Canada dans le domaine de la géomatique.

Leadership Conseil canadien de géomatique (COCG), en partenariat avec des représentants de l’industrie.

Ressources Comité du COCG et représentants de l’industrie. Entrepreneur ($??). Rapport de Ressources naturelles Canada : Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique.

Échéancier Un an.

Extrants cibles Analyse de rentabilisation pour le réinvestissement dans l’information géospatiale.

Résultats cibles a) Budgets suffisants pour le maintien de l’information à un niveau nécessaire pour répondre aux besoins des utilisateurs. b) Accroissement de la création de produits et services à valeur ajoutée.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Modification des budgets des fournisseurs d’IG b) Modification de la quantité et de la diversité des

produits et services à valeur ajoutée

a) Examen des documents budgétaires b) Sondages auprès des fournisseurs d’IG

a) Une fois par an b) Deux fois par an

Modèle d’affaires – Objectif stratégique 5

Conception de politiques et de plans gouvernementaux clairs qui contribuent à façonner le marché et à procurer la certitude, la prévisibilité et la stabilité nécessaires pour encourager l’investissement du secteur privé.

Modèle d’affaires – Mesure 3

Élaborer l’analyse de rentabilisation pour le changement des politiques et des pratiques du gouvernement en matière d’approvisionnement – soit délaisser le recours aux spécialistes extérieurs pour la conception des applications et systèmes géospatiaux en interne, au profit de l’impartition du développement de toutes les solutions dans le domaine géospatial, et délaisser les petits marchés à court terme au profit des marchés importants à plus long terme. L’objectif est de renforcer la capacité de l’industrie de la géomatique d’acquérir des connaissances et des solutions exportables dans le domaine géospatial.



Avantages Assainissement de l’environnement d’affaires du secteur privé. Amélioration des résultats des exportations. Reprise du rôle de chef de file mondial du Canada dans le domaine de la géomatique.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique (TRCCG), représentants du secteur privé.


Échéancier Un an.

Extrants cibles Analyse de rentabilisation pour l’impartition du développement de toutes les solutions dans le domaine géospatial.

Résultats cibles a) Accroissement de l’accent sur l’impartition concernant la politique du gouvernement en matière d’approvisionnement. b) Accroissement de la capacité de l’industrie d’exporter toutes les solutions dans le domaine géospatial.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Changement des politiques en matière

d’approvisionnement b) Évolution concernant la réussite des exportations

a) Examen des politiques en matière d’approvisionnement

b) Sondages auprès des fournisseurs d’IG

a) Une fois par an b) Une fois par an

Leadership et gouvernance

Le tableau 5 présente des exemples de mesures nécessaires pour atteindre les principaux objectifs stratégiques visant à assurer le respect de la perspective globale souhaitée pour la dimension « Leadership et gouvernance ».

Tableau 5 : Mesure proposée concernant la dimension « Leadership et gouvernance » de la Stratégie

Leadership et gouvernance – Objectif stratégique 3

Mise sur pied d’une structure de gouvernance qui améliore les communications entre tous les paliers et les dimensions du secteur, qui fournit des moyens d’interaction plus régulière et qui est acceptée comme représentant le point de vue collectif du secteur.

Leadership et gouvernance – Mesure 3

Élaborer un modèle de gouvernance pour un organisme-cadre du secteur de la géomatique réunissant les organismes actuels du secteur qui souhaitent participer de façon volontaire aux principales initiatives de collaboration qui présentent un intérêt et un avantage mutuels.

Avantages Nouvelle structure pour l’élimination des obstacles et la facilitation d’une action concertée. Mise en place d’une tribune commune pour la collaboration des secteurs public et privé et la prise de décisions conjointe. Amélioration de la capacité d’apporter des contributions importantes et reconnaissables à l’économie et la société.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique (TRCCG), en consultation avec des partenaires intéressés.





Mise sur pied d’une structure de gouvernance qui améliore les communications entre tous les paliers et les dimensions du secteur, qui fournit des moyens d’interaction plus régulière et qui est acceptée comme représentant le point de vue collectif du secteur.

Échéancier Un an.

Extrants cibles Modèle et structure de gouvernance pour un organisme-cadre. Cadre de référence pour l’organisme de gouvernance.

Résultats cibles a) Reconnaissance du rôle de chef de file de l’organisme-cadre fonctionnel. b) Prise de mesures concernant des initiatives de collaboration.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Niveau de participation des organismes partenaires b) Nombre des activités de collaboration

a) Examen des procès-verbaux des réunions b) Examen de la documentation sur les mesures

a) Une fois par an a) Une fois par an


Élaboration d’une stratégie et d’un processus destinés à faire participer et à conseiller les dirigeants de la prochaine génération du secteur afin que la structure de gouvernance soit durable et solide à long terme.

Leadership et gouvernance – Mesure 7

Examiner la faisabilité d’un syndicat canadien des étudiants dans le domaine géospatial – un organisme qui sert de tribune et fournit des ressources aux étudiants des programmes d’éducation postsecondaire en géomatique et aux nouveaux diplômés qui accèdent au marché du travail pour exercer et perfectionner leurs compétences en matière de leadership.

Avantages Possibilité de contribuer au développement de nouveaux chefs de file dans le secteur. Possibilité d’introduire de nouvelles façons de penser dans les stratégies et les activités du secteur.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de la géomatique (TRCCG), en consultation avec des partenaires intéressés.


Échéancier Un an.

Extrants cibles Modèle et structure de gouvernance pour un syndicat des étudiants. Cadre de référence pour le syndicat des étudiants.

Résultats cibles a) Lancement du syndicat des étudiants fonctionnel et adhésion d’un grand nombre d’étudiants à celui-ci. b) Participation de jeunes chefs de file dans l’organisme-cadre national.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Fonction et portée des activités de l’organisme

Nombre d’étudiants membres b) Participation dans des fonctions de leadership

a) Examen des activités de l’organisme Examen des dossiers des membres

b) Examen des activités et des procès-verbaux des réunions de l’organisme-cadre

a) Une fois par an

b) Une fois par an



Éducation et renforcement des capacités

Le tableau 6 présente des exemples de mesures nécessaires pour atteindre les principaux objectifs stratégiques visant à assurer le respect de la perspective globale souhaitée pour la dimension « Éducation et renforcement des capacités ».

Tableau 6 : Mesure proposée concernant la dimension « Éducation et renforcement des capacités » de la Stratégie

Éducation et renforcement des capacités – Objectif stratégique 7

Apport de modifications aux programmes d’éducation primaire et secondaire et aux programmes d’enseignement interdisciplinaire dans les collèges et les universités qui améliorent les compétences de la population canadienne en matière de données géospatiales et développent des capacités en géomatique.

Éducation et renforcement des capacités – Mesure 1

Élaborer une stratégie et des documents visant à faciliter la modification des programmes d’éducation primaire, secondaire et postsecondaire afin d’améliorer les compétences liées à l’utilisation de l’information géospatiale et des services géospatiaux.

Avantages Accroissement du choix de la géomatique en tant que carrière. Amélioration de la compréhension du rôle et de la valeur de l’information et des technologies géospatiales dans les autres disciplines. Hausse de la demande de compétences dans le domaine géospatial.

Leadership CG Éducation (Canadian Geographic), avec les partenaires intéressés.

Ressources Groupe de travail composé de représentants du Conseil d’administration de CG Éducation et d’organismes partenaires. Entrepreneur en communications/création de contenu ($??). Plans de travail et documents actuels disponibles auprès de CG Éducation et d’organismes partenaires.

Échéancier Un an.

Extrants cibles Stratégie et plan d’action et de mise en œuvre. Résolution (ou déclaration de St. John’s améliorée), appuyée par les principaux intervenants et ciblant les ministères de l’Éducation (p. ex., similaire à la résolution de l’AAG à l’appui de l’enseignement de la géographie de la maternelle à la 12e année). Rapports et documents d’information visant à influencer la décision d’apporter des modifications au programme d’études de la maternelle à la 12e année afin d’améliorer les compétences en géographie et la culture géographique. Rapports et documents d’information visant à influencer la décision d’offrir un enseignement interdisciplinaire dans les collèges et les universités afin d’améliorer la culture géographique dans les programmes non relatifs à la géomatique.

Résultats cibles a) Accroissement de la « géo-alphabétisation » des étudiants des niveaux primaire et secondaire. b) Plus grand choix de carrières dans les domaines de la géographie et de la géomatique. c) Amélioration de la culture géographique des diplômés d’autres programmes des collèges et universités.



Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Modification du programme d’études de la

maternelle à la 12e année Accroissement des inscriptions aux cours de géographie

b) Changement du nombre d’entrants dans les programmes

c) Changement dans les programmes d’éducation non relatifs à la géomatique

a) Examen des programmes d’études Sondages auprès des enseignants en géographie

b) Sondages auprès des établissements d’enseignement postsecondaire

c) Examen des programmes d’éducation

a) Une fois par an

b) Une fois par an

c) Une fois par an


Un milieu universitaire canadien solide assorti d’un programme de recherches et de formation cadrant avec les exigences de l’industrie qui soutient le secteur global de la géomatique et qui contribue de manière appréciable à ses aspects importants, notamment l’analyse spatiale des données volumineuses, la modélisation spatiale et l’analyse des systèmes complexes (systèmes environnementaux, sociaux et économiques) et l’élaboration d’une société habilitée à l’égard du domaine géospatial.


Examiner la faisabilité de créer un modèle national de gouvernance et des processus d’établissement des priorités nationales en recherche géospatiale et de coordination des programmes et des initiatives de recherche.

Avantages Harmonisation optimale des efforts de recherche avec les besoins futurs de la société. Meilleure assurance de possibilités de commercialisation à long terme.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de géomatique (TRCCG), en consultation avec des partenaires intéressés.

Ressources Groupe de travail de la TRCCG. Entrepreneur ($??).

Échéancier Deux ans.

Extrants cibles Modèle national de gouvernance de la recherche géospatiale. Processus d’établissement des priorités nationales en recherche géospatiale. Processus nationaux de coordination des programmes et des initiatives de recherche géospatiale.

Résultats cibles a) Hiérarchisation continue des initiatives de recherche. b) Production continue de résultats de recherche offrant de grandes possibilités commerciales.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Niveau de hiérarchisation atteint

a) Examen des processus et des résultats de la

hiérarchisation de la recherche a) Une fois par an



b) Degré de réussite de la commercialisation b) Examen des résultats sur le plan de la commercialisation des établissements

b) Une fois par an


Système d’enseignement postsecondaire évolué et de calibre mondial dans lequel divers professionnels en exercice qui utilisent de l’information géospatiale dans leurs activités quotidiennes au travail (planificateurs, fournisseurs de soins de santé, etc.) possèdent les compétences nécessaires pour accéder directement à l’information géospatiale et aux outils connexes, et les utiliser, et qui répond également à l’accroissement consécutif de la demande de spécialistes de la géomatique pour appuyer les infrastructures sous-jacentes de données spatiales.


Élaborer une approche de collaboration qui réunit l’industrie, le gouvernement et le milieu universitaire pour créer un programme de recyclage professionnel axé sur les compétences qui vise les diplômés en SIG intéressés au domaine de l’arpentage.

Avantages Satisfaction des besoins actuels en ressources humaines et anticipation des besoins de l’industrie de l’arpentage et de la géomatique. Création d’emplois pour les diplômés en SIG sans emploi ou sous-employés.

Leadership Industrie, établissements d’enseignement postsecondaire et gouvernement. Ressources Groupe de travail de la TRCCG. Échéancier Deux ans.

Extrants cibles Plan du programme de formation. Rapport de faisabilité.

Résultats cibles a) Harmonisation des ressources humaines pour répondre aux besoins du secteur. b) Programme national de formation pour l’entrée dans une carrière en arpentage.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Nombre accru de ressources qui s’engagent dans le

domaine de l’arpentage b) Nombre réduit de diplômés en SIG sans emploi et

sous-employés

a) Nombre de participants au programme de formation

b) Nombre de diplômés du programme de formation

a) Une fois par an



Sources de données

Le tableau 7 présente des exemples de mesures nécessaires pour atteindre les principaux objectifs stratégiques visant à assurer le respect de la perspective globale souhaitée pour la dimension « Source de données ».

Tableau 7 : Mesure proposée concernant la dimension « Source de données » de la Stratégie

Source de données – Objectif stratégique 1

Offre d’un accès constant et transparent par les IDS canadiennes aux ensembles de données géospatiales de base (terrestres, marines, aériennes, statistiques, environnementales, socioéconomiques, etc.) ouverts, faisant autorité et facilement accessibles partout au Canada qui répondent aux besoins d’aide à la décision des gouvernements et des entreprises, des politiques sociales et environnementales, de la planification et de la gestion et qui permettent la prestation des services géospatiaux.

Sources de données – Mesure 1

Mener une vaste consultation par étapes auprès de la collectivité au sujet des besoins en données de base et, en fonction des résultats obtenus, réexaminer les priorités et le contenu relatif aux données de base au Canada.

Avantages Amélioration de l’équilibre entre l’offre et la demande de données géospatiales de base. Amélioration de l’affectation des ressources aux besoins prioritaires en données.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de géomatique (TRCCG), en consultation avec des partenaires intéressés.

Ressources Groupe de travail de la TRCCG. Entrepreneur ($??).

Échéancier Six mois.

Extrants cibles Rapport sur les besoins en données géospatiales de base. Liste des thèmes concernant les données géospatiales de base classés par ordre de priorité.

Résultats cibles a) Amélioration de la compréhension des besoins courants. b) Harmonisation des ressources en fonction des priorités.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Entente sur les priorités b) Apport de modifications à l’affectation des

ressources

a) Examen du rapport sur les besoins b) Examen des budgets pour la fourniture de

données géospatiales de base

a) Une fois b) Une fois par an



Source de données – Objectif stratégique 2

Faire en sorte que les Canadiens soient plus au courant de la nature des données géospatiales de base, ou autres, qui sont accessibles dans le réseau des IDS canadiennes et comprennent les avantages de l’investissement des gouvernements et du secteur privé dans les IDS.

Sources de données – Mesure 2

Lancer une campagne de sensibilisation dans le but de communiquer la nature des données géospatiales de base, ou autres, qui sont accessibles dans le réseau des IDS canadiennes, et de promouvoir les avantages de l’investissement dans les IDS.

Avantages Accroissement de la sensibilisation aux IDS et à leurs rôles importants. Accroissement de l’aide aux investissements dans les opérations actuelles des IDS et la fourniture de données faisant autorité. Amélioration de la capacité de partager et d’intégrer l’information géospatiale.

Leadership Table ronde de la communauté canadienne de géomatique (TRCCG), en consultation avec des partenaires intéressés tels que le Conseil canadien de géomatique (COCG).

Ressources Groupe de travail de la TRCCG. Entrepreneur en communications ($??). Rapport de Ressources naturelles Canada : Analyse de la conjoncture du secteur canadien de la géomatique et étude sur la valeur économique.

Échéancier Un an.

Extrants cibles Plan de sensibilisation et de communication – Énoncé de travail pour la conception professionnelle des documents. Feuilles de renseignements – Description claire, concise et factuelle des avantages des IDS et des données faisant autorité. Présentations – Exposés conçus pour les communications avec les principaux décideurs. Contenu médiatique – Documents à distribuer sur les médias d’information et sociaux, destinés au grand public.

Résultats cibles a) Accroissement de la reconnaissance de la valeur et de la contribution des IDS et des données faisant autorité au sein des décideurs du gouvernement.

b) Ressources durables du secteur public pour les opérations des IDS et la fourniture de données faisant autorité.

Mesures Indicateurs Indicateurs Indicateurs a) Évolution de la reconnaissance de la population à

l’égard de la valeur des IDS et des données faisant autorité

b) Modification des ressources du secteur public pour les IDS et les données faisant autorité

a) Sondages auprès du grand public

b) Examen des budgets gouvernementaux

a) Une fois par an

b) Une fois par an



Interopérabilité du cadre juridique et stratégique

Le tableau 8 présente des exemples de mesures nécessaires pour atteindre les principaux objectifs stratégiques visant à assurer le respect de la perspective globale souhaitée pour la dimension « Interopérabilité du cadre juridique et stratégique ».

Tableau 8 : Mesure proposée concernant la dimension « Interopérabilité du cadre juridique et stratégique » de la Stratégie

Interopérabilité du cadre juridique et stratégique – Objectif stratégique 1

Création d’un cadre juridique uniformisé, cohérent et transparent évoluant au rythme des changements technologiques, qui favorise l’habilitation de la société à l’égard du domaine géospatial grâce à une gouvernance efficace et inclusive fondée sur la collaboration, où les rôles et les responsabilités bien définis des gouvernements, de l’industrie, du milieu universitaire et des autres intervenants canadiens sont harmonisés en vue d’une action qui s’articule autour de buts et d’objectifs communs.

Interopérabilité du cadre juridique et stratégique – Mesure 4

Créer et mettre en œuvre un modèle et des processus nationaux de gouvernance pour élaborer, adopter et mettre en œuvre un ensemble national de politiques harmonisées7 à l’appui des données géospatiales et de l’interopérabilité des systèmes.

Avantages Élaboration, adoption et mise en œuvre accrues de politiques et amélioration de leur efficacité. Amélioration de la capacité de partager et d’intégrer l’information géospatiale.

Leadership Ressources naturelles Canada et Conseil canadien de géomatique, en consultation avec des partenaires intéressés.

Ressources Groupe de travail. Entrepreneur ($??). Rapport de GéoConnexions : document de discussion : Mechanisms to Forward Geospatial Policy Adoption in Canadian Provinces and Territories.

Échéancier Deux ans.

Extrants cibles Modèle national de gouvernance des politiques géospatiales. Processus nationaux d’élaboration, d’adoption et de mise en œuvre des politiques géospatiales.

Résultats cibles a) Entente générale sur les politiques à adopter à l’échelle nationale. b) Mise en œuvre générale des politiques adoptées. c) Accroissement de l’interopérabilité des données et des systèmes.

7 Dans ce contexte, les « politiques » comprennent les lois, les règlements, les politiques, les directives, les normes, les lignes directrices, les pratiques exemplaires et les outils qui facilitent le partage et l’interopérabilité de l'IG.



Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Changement du nombre de politiques adoptées b) Changement du nombre de politiques mises en œuvre c) Changement du degré de satisfaction à l’égard de

l’utilisation des données

a) Examen de la liste des politiques adoptées b) Enquêtes auprès des administrations c) Sondages auprès des utilisateurs

a) Une fois par an b) Une fois par an c) Une fois par an


Mise à profit par tous les ordres de gouvernement d’un cadre national de classification des politiques et d’un centre d’archivage national des politiques communs concernant les domaines suivants : confidentialité, sécurité nationale, responsabilité, attributions et obligations, protection du public, accès aux données et diffusion, interopérabilité des données, et propriété intellectuelle.



Avantages Accroissement de la sensibilisation et de l’accès aux politiques pertinentes. Réduction du coût total des activités d’élaboration de politiques.

Leadership Ressources naturelles Canada, en consultation avec des partenaires intéressés.

Ressources Groupe de travail. Entrepreneur ($??). Rapports de GéoConnexions : Geospatial Data Policy Inventory and Classification, RNCan Policy Inventory File et User’s Guide on the Classification of Geospatial Information Policy Instruments.

Échéancier Un an.

Extrants cibles Cadre national de classification des politiques géospatiales. Centre d’archivage national des politiques géospatiales.

Résultats cibles a) Interopérabilité améliorée des données et des systèmes facilitée par des politiques géospatiales harmonisées. b) Responsabilité partagée concernant un centre d’archivage complet.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Changement des obstacles à l’interopérabilité des

données et des systèmes b) Changement du nombre de partenaires répertoriés

a) Enquêtes auprès des administrations

b) Examen de la liste des organismes participants

a) Une fois par an

b) Une fois par an




Interopérabilité8 de la législation et des politiques applicables à la conservation et à la gestion du cycle de vie des données géospatiales et des services connexes. (OS3)


Examiner la faisabilité d’élaborer une approche nationale en matière d’accès à une base commune de cartographie cadastrale dans l’ensemble du Canada.

Avantages Amélioration de la déclaration nationale au cadastre canadien. Facilitation de l’accès et de l’utilisation pour les organismes qui s’occupent de propriétés aux échelons national ou régional.

Leadership Comité du cadastre du Conseil canadien de géomatique. Ressources Groupe de travail.

Entrepreneur ($??). Échéancier Deux ans.

Extrants cibles Représentation et modèle communs des données cadastrales.

Résultats cibles a) Couverture nationale uniforme pour le cadastre au Canada.

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence a) Adoption d’une représentation et d’un modèle

communs a) Enquête auprès des administrations a) Une fois par an

8 Dans ce contexte, l’interopérabilité peut être définie comme l’harmonisation de la législation et des politiques canadiennes applicables aux données et à l’information géospatiales et aux services connexes offerts par les gouvernements fédéral, provinciaux, autochtones et territoriaux. Parmi les exemples d’harmonisation des politiques, citons : l’Accord ministériel de géomatique, la norme sur les données géospatiales du SCT, l’établissement de GeoBase et la création des Infrastructures canadiennes de données spatiales (y compris l’ICDG) qui favorisent la découverte de données et d’information géospatiales et de services connexes, les rendent disponibles et en permettent la diffusion.



B. MODÈLE DE PLANIFICATION Dimension de la Stratégie : __________________________________________________________________________________________

Objectif stratégique

Mesure

Avantages

Leadership

Ressources

Échéancier

Extrants cibles

Résultats cibles

Mesures Indicateurs Moyens Fréquence