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Année scolaire 2016-2017

Courriel : ce.0080047h@ac-reims.fr

Site Web: w ww.jbclement.fr

N°8

11 rue J. Jaurès - Du 24 avril au 7 juillet 2017

08200 SEDAN Tél : 03 24 27 41 16

Fax : 03 24 27 47 69

Équipe de rédaction :

Directeur de publication : P. DECOBERT, Proviseur Comité de rédaction : BIDARD Loïc, BONEF Aurélie, GOMES Jules, HENRIET Cameron, MAQUIN Léo, MARCHAL Mike, PARISOT Adrien, SALOMEZ Céline, TATON Gabriel, TEK Osman, THOMAS Guilian et Mmes DAUTON, GAINVORS. Maquettistes et mise en place : M. MATHU, Élèves et professeurs.

Nous remercions tous ceux qui ont contribué à l’élaboration de ce journal.

Editorial :

Voici le dernier numéro de cette année scolaire. Un magazine présentant quelques-uns des nombreux projets qui ont accompagnés ce trimestre dans des domaines les plus divers. En présentant mes félicitations aux lauréats et aux équipes engagées dans des compétitions qu’elles soient sportives ou intellectuelles, en ajoutant mes remerciements à tous les acteurs qui les ont mis en place, je retiendrai particulièrement l’action de solidarité avec la collecte de lunettes pour les habitants de Bohicon au Bénin. Si pour nous lire ce numéro ne pose pas de difficultés, l’état sanitaire dans ce pays est bien différent et de nombreux écoliers se voient contraints d’abandonner leurs études, incapables de voir ce qui se passe au tableau ou de lire les livres dont ils disposent. Sachez que le Président de l’association Solidarité Aiglemont Bohicon et le Maire de Bohicon remettront toutes ces lunettes à l’hôpital central dans les prochains jours. Merci encore pour ce bel élan de générosité.

Philippe DECOBERT, Proviseur.

Sommaire : Ca s’est passé au lycée Collecte de lunettes p.2-3 Le lycée dans la course p.4-5 Kangourou des maths p.6 Coups de cœur

Le chef cuisinier p.7-8 La battle du rap p.9-11 Le cross bitume p.12 Retour sur l’actu

Automobiliste malchanceux p.13 Erreur de garage p.14 Jeux

Jeux sport p.15-16 Jeux mécanique p.17 Jeu carrosserie p.18 Jeu rap p.19

Le Petit Clémentais

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« SAUVE UNE VUE,

DONNE TES LUNETTES » en quelques mots.

L’Historique Tout a commencé avec une proposition plutôt étrange de la part de Cécile qui nous a demandé si nous souhaitions participer à un projet visant à collecter des lunettes pour le Bénin. (Thomas) Nous avons accepté en nous demandant tout d’abord comment diffuser cette information sur la collecte à venir. (Quentin) Tout d’abord on devait informer les élèves et les professeurs de notre projet via une affiche, un slogan et tout cela durant une heure par semaine jusqu’aux portes ouvertes du lycée les 10 et 11 mars dernier. (Enzo) Plusieurs groupes se sont formés dans notre classe pour y travailler. Nous avons crée des flyers ainsi que des lunettes pour attirer l’œil. (Adrien) Deux élèves sont allés poser des questions au proviseur et les autres ont fait des recherches sur le pays et également sur toutes les maladies de l’œil. (Maxence) La classe a fabriqué avec des chutes de tôle deux grandes paires de lunettes et avec l’aide des peintres les a mises en peinture. (Thomas)

Plusieurs boites en plastique ont été mises à disposition sur les deux sites du lycée pour y déposer les paires de lunettes et leurs boîtiers. (Enzo)

Ce que ça nous à apporter : Ce projet nous a appris où se situait Bohicon et le Bénin, c’est un pays où les hôpitaux, les médicaments et les frais d’optique sont payants. (Gaylord) Le projet de récolte des lunettes nous a inculqué les valeurs du travail en groupe ainsi que la confiance des uns par rapport aux autres, la solidarité. (Valentin) Ca nous a renforcés dans la vitesse et l’efficacité de conception, Travailler pour un projet humanitaire nous a aussi apporté la satisfaction d’avoir réalisé une bonne action et d’avoir aidé des personnes dans le besoin. (Guillian) Les moments drôles Dans ce projet il y a eu beaucoup de moments drôles tels que le fait de se mettre d’accord sur les plans de la paire de lunette de base, se mettre également d’accord sur le rôle de chacun dans l’atelier, surtout pour installer le stand pour les portes ouvertes. (Léa) Il a fallu aussi se mettre d’accord sur le processus de fabrication en atelier en restant vigilant face au danger. Le fait de voir ces lunettes se mettre en forme, les découvrir soudées et peintes en vert pomme et en jaune nous a émus car c’était notre première œuvre commune. (Nolan) Les regrets Mais pour finir nous avons plusieurs regrets tel que le manque de temps,

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souvent du à des discussions trop longues et à quelques désaccords sur certains points comme par exemple le style de la lunette de base.. c’est pour cette raison qu’il y en a deux !! (Lou Anne) Nous regrettons également de ne pas avoir eu dès le début du projet un contact

avec des personnes de l’association ou des Béninois. Notre grande satisfaction c’est qu’il y a à ce jour 200 lunettes et 95 boîtiers que nous sommes heureux de vous remettre. (Mumu)

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LES PROFESSIONNELS DANS LA COURSE

Pour sa première participation à la

compétition nationale « les lycées dans la course », l’équipe du lycée est arrivée 2ème au Mans face à 16 autres

lycées français.

Le lycée Jean-Baptiste Clément de Sedan a participé, sur le circuit mythique Bugatti du Mans, du 24 au 26

avril 2017 à l’opération « Les lycées dans la course » avec une monoplace

formule campus mise à la disposition du lycée par la FFSA (Fédération Française des Sports Automobiles).

Parmi les participants apprentis, élèves et étudiants, il y avait quatre

mécaniciens (Mamadou Fofana , Léo Maquin, Arnaud Kail et Melvin Cocu), deux pilotes (Maxence PATE et

Auguste JOBLOT ). Ils étaient encadrés par trois professeurs de

mécanique et de carrosserie (MM. TURQUIN, PLANCQ et CHATELARD). Pour parvenir à cette place, l’équipe a

dû, en 2015, aller chercher la voiture à Auto Sport Academy au Mans, faire un

travail de restauration en carrosserie, en peinture et en mécanique. En septembre 2016, le projet concrétisé, il

a fallu former une équipe et rechercher des sponsors pour la mise

aux normes du véhicule, la sécurité des pilotes et la logistique… Des essais sur le circuit de Chambley, en

Meurthe et Moselle, ont été effectués pour tester le véhicule.

D’ailleurs, c’est sur ce circuit, que les élèves et leurs professeurs ont participé, avec la formule Campus,

dimanche 18 mai au 6ème slalom régional. Ils ont brillé encore une fois

en terminant sur le podium (2ème et 3ème) face à 37 participants engagés dans leur catégorie.

« Les lycées dans la course »,

une sensibilisation à la sécurité.

Depuis 12 ans, la Fédération

Française du Sport Automobile regroupe des lycées français à l’occasion de l’opération les lycées

dans la course. C’est un projet collectif dont le but est de sensibiliser les

élèves à l’action de prévention, à la sécurité. Il leur permet de découvrir les infrastructures fédérales avec un sport

automobile de haut niveau. Du 24 au 26 avril 2017, les jeunes ont été

encadrés par des moniteurs experts au centre de formation fédéral situé au Mans.

L’objectif est que les élèves acquièrent de bonnes bases de pilotage. Ils devront aussi être capables de gérer la

préparation et l’entretien de la voiture avant, pendant et après la compétition.

Au Mans, il existe 3 circuits dont celui de Maison Blanche Sarthe (2,9 km) sur lequel les élèves du lycée Jean-

Baptiste Clément ont couru. Il y a aussi le circuit Bugatti (4,185 km) qui

bien qu'il accueille des courses de voitures et de camions, est surtout connu pour ses épreuves motocyclistes. Le circuit le plus ancien

est le circuit des 24 Heures (6,544km).

Voici comment se sont déroulées ces trois journées au Mans :

Le premier jour, les jeunes font le contrôle de la voiture et de ses

équipements. Ces vérifications techniques portent notamment sur la sécurité.

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Le deuxième jour, il y a eu la prise en main de la voiture avec un concours

pour les mécaniciens. Le troisième jour, ont lieu, avant les

épreuves de régularité, des chronos. Puis, les jeunes attendent les résultats..

Ils devront aussi être capables de gérer la préparation et l’entretien de la

voiture avant, pendant et après la compétition.

Le stand avec la monoplace.

Juste avant le départ pour la prise en

main de la voiture.

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LE KANGOUROU,

C’EST DANS LA POCHE !

eudi 18 mai, 43 élèves du lycée ont été récompensés de leur participation au concours

« kangourou des mathématiques ». Jeu-concours préféré des élèves (et des professeurs) français dans les lycées, les collèges et les écoles, le « kangourou des mathématiques » a réuni, jeudi 16 mars,

pour sa 27ème édition, 26 élèves de CAP et 17 élèves de 2nde BAC PRO de notre établissement. Ce jeu de mathématiques créé en 1991 sur le modèle du concours

national australien (d'où son nom) propose à plus de 6 millions d’élèves de France et d’Europe de se mesurer et de se comparer avec tous les autres. Sur une journée et pendant 50 minutes, sans calculatrice, 24 questions à choix multiple de difficulté

croissante ont été posées aux élèves. Pour chaque question, cinq réponses sont proposées ; il n’y a qu’une seule bonne réponse par question. Les participants

codent leurs réponses, leur classe et leur nom sur une feuille spéciale, la feuille-réponses ; ces feuilles étant lues par l’ordinateur, leur bon remplissage fait partie de l’épreuve.

Comme à l’école des fans, tout le monde a un prix soit un tee-shirt. Les meilleur(e)s sont récompensés par de vraies médailles (or, argent, bronze), des lots spéciaux et

des voyages en Europe (pour les collégiens et lycéens). Alors, comme le dit l’affiche, faites des maths pour vous amuser et rester intelligent…

J

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Un chef aux

petits oignons

Portrait de Monsieur LAHAYE

Le chef cuisinier (photo ci-dessous) a fait 3 ans d’études après la 3

ème, il a passé un CAP.

Ses parents l’ont poussé à faire ce métier. Cela fait 7 ans qu’il travaille au lycée Jean-Baptiste Clément. Il préfère exercer son art dans les lycées que dans les entreprises car il a plus de liberté le week-end et les jours fériés.

Il fait l’élaboration des repas, des menus, des commandes. Il veille au respect de bonnes règles d’hygiène et participe aussi aux appel d’offres au cours desquels

il s’engage à commander à certains fournisseurs en échange d’un prix fixe pendant 2 ans. Une fois l’élaboration des repas effectuée, il passe les commandes. Le jour de livraison est bien déterminé, les différentes sociétés ont chacune le leur. La journée de Monsieur LAHAYE commence à 6 heures. On peut le trouver souvent derrière les fourneaux entre 11h00 et 11h30, quelques fois pendant les services, tout dépend des plats.

Des produits frais

Les produits frais sont préparés par deux de ses collègues qui sont aux pluches le matin ce qui veut dire qu’ils épluchent les légumes. Après ce sont les cuisiniers qui reprennent la cuisson et font les pâtisseries et toutes les préparations chaudes.

Service des plats

La préparation des plats est faite par une commission composée notamment d’élèves en respectant les règles du EGCM (Equilibre Alimentaire des Cuisines Collectives). En même

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temps il s’occupe du site de Vivier-au-Court.

Des fruits à la récré

L’opération des fruits à la récréation est un programme, existant depuis dix ans, subventionné par l’Union Européenne. L’année dernière, la personne qui livre les fruits et légumes a proposé de faire un contrat pour distribuer des fruits à la récréation du matin. Les subventions européennes permettent la gratuité. En fait, ce n’est pas le lycée qui choisit les fruits, c’est élaboré par une pré-commission.

Le respect des règles Le chef cuisinier doit respecter la traçabilité, la température de chaque produit, les dates de péremption, il ne peut pas servir une viande en dessous de 65 degrés, les entrés en dessous de 10 degrés. Quant aux légumes, ils sont compostés dans un composteur à l’extérieur du lycée.

La spécialité du chef de Jean-Baptiste Clément est tout ce qui est salé (charcuterie, viandes) et un peu la pâtisserie, mais ce n’est pas vraiment sa tasse de thé.

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LA BATTLE DU RAP

Pour ce 8ème numéro du Petit Clémentais, Gabriel et Osman ont voulu vous

présenter deux rappeurs du 93 de leur choix, Kaaris et Lacrim. Qui sont-ils vraiment ? Nous allons vous en dire plus !

Ils se mettent au rap violent dès leur plus jeune âge. Ils ont tous les deux des producteurs (beatmaker) tels que Thérapy Music pour Kaaris et Dejam recordings France pour Lacrim.

RAP GANG

Kaaris Son HISTOIRE :Kaaris, anciennement Fresh, de son vrai nom Okou Gnakouri est né

en Côte d’Ivoire en 1980. Elevé par sa mère, il quitte son pays natal pour la France pour vivre toute son enfance à SEVRAN (93). Enfant turbulent, il a malgré tout son

baccalauréat. Après s’être essayé à plusieurs métiers, il se lance dans le rap notamment le rap gangsta, hardcore. Il commence des « mixtape » (compilation de chansons), des freestyle sous le nom de Fresh. Puis il perce dans le rap, sous le

nom de Kaaris grâce à Thérapy Music, producteur (beatmaker) officiel de Booba qui l’a rendu célèbre grâce au rajout du jungle « Back to the future » dans ses intrus.

SA PROGRESSION : Kaaris perce vraiment dans le rap en 2013 grâce à son album OR NOIR. Mais malgré cela beaucoup de personnes ne savent pas qu’il il est. Il se

fait connaître au fur et à mesure par des clashs avec le rappeur du 9.2i (Booba) et plus récemment par le scandale lié à son clip « tchoin » pour lequel il a eu un disque

de diamant.

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RAP GANG

Lacrim

Lacrim de son vrai nom (Karim ZENOUD) né dans le 20ème arrondissement de Paris en 1975, a grandi dans le Val de Marne. Il aime le Rap depuis qu’il est tout petit.

J’ai choisi cette personne car j’aime les paroles de ses chansons et aussi ses instrus, (boîtes à rythme). Il est tout aussi connu via les réseaux sociaux et Youtube, pour sa

musique que pour son histoire mouvementée. C’est d’ailleurs, lors de son incarcération à Paris en 2013 pour trafic d’armes et de drogue qu’il a composé la plupart de ses chansons dont « J’suis qu’un thug ».

Il n’a pas grandi tout seul pour devenir comme cela. Sa jeunesse difficile l’a amené à côtoyer la « mafia » ce qui

lui a valu plusieurs gardes à vue. Après avoir quitté l’école à 11 ans, il traîne

dehors, quitte sa famille, dort chez des amis ou à

l’hôtel. A 14 ans, il commet son premier braquage… Ce passé l’a sans doute rendu

plus fort. Depuis qu’il est sorti de

prison tous ceux qui l’apprécient le respectent. Cette personne est très

présente dans les médias (Skyrock, Huffington Post,

Médias-People…). Il a sorti un dernier album « Force et Honneur » le 31 Mars

2017. La plupart des gens aime ce rappeur car il fait

du rap sale (tout ce qui est violent, hardcore).

Désormais, il semble avoir une vie plus calme car il a une famille.

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La battle * en paroles

Kaaris titre ZOO Lacrim titre SABLIER

Je n'ai aucune peine, j'te nique ta r***

Si tu ne veux pas que je t'arrache la tête

Tous mes djinns faut que je les enferme

Les singes viennent de sortir du zoo

Ton cadavre derrière quelques plots

L'goudron, je les ba*** donc arrêtez

J'te met en location t'es maqué, j'vais devoir te ni*** T'es en rotation, t'es claqué, faudra

m'expliquer

J'tourne en ville, deux bouteilles, j'ai plus peur Fils de p***, fais l'homme viens m'ôter la

vie

Y'a que les ficelles de tes strings qui t'soutiennent J'te bai** et les draps s'en souviennent

Tu sais qu'on parle pas, des pu*** y'en a pas J'te ni*** ta mère, conseil de mon Papa

Ta mère la sale p***, il est trop tard pour chahed C'est pas parce que tu ne joues plus que

le jeu s'arrête

Des larmes j'ai le mort, des larmes j'ai le mort Le biff' ou les porcs, face à ces bât**** je

n'ai aucun remord

NDLR : Un ou une battle (« bataille » en anglais) est un terme de la culture hip-hop

désignant une compétition entre rappeurs, échangeant leurs meilleurs raps spontanés, dont l'issue se juge à l'applaudimètre.

Les mots vulgaires et grossiers ont été censurés.

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LE CROSS BITUME

Qui a déjà entendu parler de cross bitume, ce « sport » qui nous vient des Etats-Unis ? Beaucoup d’élèves sans doute. Mais pour les moins jeunes, c’est difficile à dire. C’est pourquoi, Adrien et Guillian ont voulu nous en dire plus sur ce sport pas comme les autres.

Cette discipline illégale, apparue pour la première fois à Brooklyn aux Etats-Unis, se pratique avec une moto ou un quad non homologué sur la route. Cela consiste à faire des rassemblements entre crossmen dans un endroit a l’abri des regards.Dès que tous les pilotes sont arrivés, ils montent sur leur machine et vont sur une route peu fréquentée. En ligne droite ou, pour les plus fors d’entre eux, en centre ville, ils chauffent les moteurs, puis c’est parti pour faire des acrobaties : des wellings c’est-à-dire des roues arrières. Le but est de faire les acrobaties les plus folles comme lâcher la ou les mains du guidon lorsqu’on est sur la roue arrière. Les conducteurs font aussi des courses sans aucune limite. Ces acrobates font ça pour avoir une sensation de liberté. C’est le phénomène de la « bicklife ». Cela veut dire que l’on vit pour la moto car c’est une véritable passion.

Mais cette passion est illégale car elle est dangereuse. Il y a de nombreux accidents Presque tous les pilotes sont déjà tombés de leur machine. En effet, ils n’ont aucune protection malgré les très grands risques de chute. Il y a malheureusement beaucoup de blessés voire des morts tous les ans. Par ailleurs, quelques personnes ont des motos volées ou qui ne sont pas immatriculées. Les pilotes encourent des risques avec la justice notamment les récidivistes qui peuvent aller en prison. Si les jeunes se font surprendre par la police, leurs motos peuvent partir soit à la fourrière soit elles sont confisquées puis revendues aux enchères.

Vous serez donc prévenu : réfléchissez bien avant de pratiquer du cross bitume !

Photo montage réalisé par le groupe Deter ( team qui vent des affaires pour le cross bitume). La tête d’un grand crossman français (acrobate) a été remplacée par celles des candidats à la présidentielle 2017.

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Un automobiliste malchanceux.

Vendredi 26 mai 2017, entre

Sedan et Monthermé, un jeune automobiliste manque

de peu un train.

Ce vendredi dans les alentours de 7H57 alors qu’il se rendait sur son lieu de travail, un Sedanais âgé de 33ans, Thomas BASSIN, est rentré en collision avec un train. Comme tous les matins, ce jeune carrossier est en retard pour se rendre au garage Ravoly à Monthermé, où il travaille depuis 5 ans. Afin d’éviter d’arriver pour la énième fois en retard, cet automobiliste décide donc de prendre le chemin de fer de Sedan jusque Monthermé… en voiture. Entre Joigny et Bogny Sur Meuse, Thomas se fait rattraper par des cyclistes qui circulent sur la voie verte juste à côté. Occupé à regarder ces derniers chanter en russe et parcourir leur chemin, celui-ci n’a pas remarqué le train de 8h02 à destination de Charleville-Mézières qui arrivait droit sur lui à pleine allure. Il manque de peu ce train et arrête sa course sur le bas côté. Blessé superficiellement mais saignant beaucoup, il décide de continuer son chemin à pied. Sa voiture

n’est plus utilisable ; un pneu a éclaté dans l’accident. C’est à quelques kilomètres de là, qu’il rencontre une famille de Maoris qui mange tranquillement sur les rails du train. Le jeune homme ne sachant pas qu’elle ne parlait pas français, essaie de lui expliquer en vain qu’elle ne mangeait pas au bon endroit. Malheureusement pour Thomas, incompris, il se fait assaillir de cailloux. Apeuré, il fuit en courant le long des rails en se protégeant la tête. Thomas décide malgré tout de continuer sa route jusqu’au garage. Il arrive avec 1h30 de retard, la tête en sang et déclare : « Quelle aventure ! J’aurai mieux fait de prendre un jour de congé. »

La voiture de Thomas dans un piteux

état. Photo : SALOMEZ Céline

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CE JEUNE HOMME S’EST

TROMPE DE GARAGE

PENDANT UN AN !

Ce jeune homme était un mécanicien comme un autre, employé dans un garage comme un autre. C’est du moins ce qu’il croyait… jusqu'à ce qu’un beau jour il se rende compte qu’il travaillait depuis des mois dans un autre garage que celui qui l’avait embauché. Comment peut-on se tromper de garage ? Cette histoire est à peine croyable «Tout est dû à un enchaînement de confusions », avoue Martin MICHEL à qui cela est arrivé. Il raconte au Petit Clémentais son histoire.

« J’avais pris rendez-vous par téléphone

pour un entretien d’embauche avec le chef du garage Dupond, espérant être embauché », raconte Martin MICHEL. Ce jour là, ne connaissant pas le chemin pour aller dans ce garage, il demande sa route à un piéton. Celui-ci lui indique le trajet pour se rendre au garage “Dupont“ non loin de là. Il faut souligner qu’à Reims deux garages ont le même nom à une lettre près. Martin MICHEL, ne sachant pas cela, s’est rendu tranquillement dans la mauvaise entreprise. Ce jour, drôle de coïncidence, le garage Dupont avait aussi donné un rendez-vous à un dénommé Michel MARTIN. Devant l’urgence des réparations à effectuer au garage, le chef d’atelier a voulu immédiatement tester les compétences de Martin MICHEL. Celui-ci ayant fait ses preuves a été embauché aussitôt. Mais le plus étonnant reste à venir …

« Tenez-vous bien : j’ai occupé mes fonctions dans cette société pendant un an. Je travaillais souvent avec les mêmes collègues et mes résultats étaient tellement satisfaisants que j’ai pu obtenir une promotion ! Et puis j’étais content : j’ai fais mon travail, tous les mois je touchais mon salaire … », explique le jeune homme. « C’est un jour, au cours d’une réunion, que j’ai commencé à avoir un gros doute. Le garage a présenté une nouvelle campagne publicitaire, et j’ai lancé tout de go “ Mais attendez, je ne comprends pas ! Pourquoi il y a un T à Dupond alors que c’est un D? “ Tout le monde s’est retourné vers moi et, au bout de quelques secondes d’hésitation, s’est mis à rire. Moi aussi je riais, mais avec angoisse… », se rappelle Martin MICHEL. « Les jours suivants, je me suis rendu compte de petits détails qui ne m’avaient jamais frapper jusque-là : mes collègues avaient l’étrange habitude de m’appeler M.MARTIN et non M.MICHEL depuis mon arrivée. Je ne leur en tenais pas rigueur car j’avais l’habitude de la confusion entre mon prénom et mon nom de famille. En me renseignant, j’ai trouvé la feuille de mon rendez-vous et j’ai directement vu que je n’avais pas été embauché au bon garage. », précise le mécanicien. Muni de sa fiche de rendez-vous, il a voulu s’expliquer avec son chef d’entreprise. Celui-ci surpris, lui a proposé, au vu de son excellent travail, de rester dans son garage et s’est excusé du malentendu, précisant que tout rentrerait dans l’ordre rapidement. Qu’en est il de Michel MARTIN au garage DUPONT ? Nul ne le sait mais ce qui est sûr c’est que Martin MICHEL restera un mécanicien du garage Dupond !

Le garage Dupont à Reims (photo : C. Henriet)

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C O U R B A T U R E S D P G V

J K P R O F E S S E U R H P I

S H K M X V N E A T U O Y D C

P L W C P N B V C X W Q S D T

O H J K B A S K E T G L I E O

R W Q A C H Y A L L E P Q O I

T J Y B L E S S U R E G U I R

I L M N O P Q S I F B Y E Q E

F G R D E F A I T E M N Q D G

J U R A Z B A L L O N I O P M

N V Q F T C O U R I R Q S C W

V B B O N H E U R H B E Q F H

K Y D H A N D B A L L T A Z T

H J K N C S R T Y A E R T G Q

T R A N S P I R A T I O N O P

°Sport

°Professeur °Physique °Handball

°Sportif °Transpiration

°Courir °Salle °Courbature

°Blessure °Ballon °Victoire

°Défaite °Basket

°Bonheur

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P T S A L T O T P D V G L T Y

I R P N A T A T I O N E G Y L

N A O B L E S S U R E U N E J

G C R F A Z E R T Y U Q I A G

P T T R E F O O T B B N N C D

O I I S Q S B Q S C V A N X T

N O F B U P S X T F S T U I R

G N J G I O P E M B T E R E I

G Y H J P R J R U S G P C R A

Z C M N E T O U S R S A E U T

N R R N G S I G C E Q S J H H

G E R B A R E B U A A S V U L

J R F B S S J Y R W J I F S O

G D C G M T Y F T S S O C G N

H A N D B A L L F D C N V R G

MUSCU PING PONG TRACTION

SPORTIF SALTOT

FEMMES EQUIPE SPORT

PROFESSEUR HANDBALL GYMNASE

ESPRIT TRIATHLON

PETANQUE NATATION RUNNING

BLESSURE JOIE

RUGBY

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JEU LES LYCEES DANS LA COURSE

M O T E U R U I R

E E F E D U N B G

C Z R S F N E R J

A C A D E M I E H

N H N Y J I J N K

I E C T H E J A Y

Q F A E V C A U O

U T I Y V U U L M

E G S P O R T T C

J K E K I I O L I

S D F G T E G H R

P Q C O U R S E C

Y U I O R O U E U

L Y C E E E R T I

P I L O T E A Z T

MECANIQUE MOTEUR

FRANCAISE ACADEMIE RENAULT

COURSE VOITURE

LYCEE ECURIE SPORT

AUTO ROUE

CIRCUIT CHEF PILOTE

18

B R G B T Y A R T C A R R O S S E R I E

P R I U N F Q V M L G E R B N E R M L S

G T E X T E A T E R A F V J S K U N T U

J H D V U G R N H J R L I E H C E P E D

D S T N E V J O Z U T E O T I P T U S P

S O R A U T O M O B I L E S L G U D H O

Q U I C O F U E U C C T D R A F A J E X

I S F I L J R L Y R L A I Z I B M U D V

R T H N C E N P S C E B T W T Q P I T E

E I L F E S A O E D S U O C R C F F G O

R T E O B N L J G L M A R A A S I A C L

U R O R G G S N A I S O I M P E R I A L

T E I M U R T B T D C D A N D I P T T A

A Z U A K E F D R M T F L E T T R E E R

C J L T L I G T O J D E N U E L E J G U

I O N I P O I F P A I T Y T I M J S O O

R A F O N D A M E N T A L R O N U B R J

A U M N E L R Y R E B L D E L A G T I V

C L I N O I T C U D O R T N I R E M E A

I N T E R V I E W Y U E E U Q I T I R C

AUTOMOBILE PREJUGE BREVE JOURNAL IMPERIAL REPORTAGE S

LETTRE OBJETS FILET AUTEUR ARTICLES INTERVIEW INFORMATION FAIT PARTIAL

NEUTRE TEXTE CRITIQUE FONDAMENTAL CATEGORIE CARICATURE

DENUE DEPECHE TIRAGE SOUS TITRE INTRODUCTION CARROSSERIE EDITORIAL REFLET

19

A D P M U R D S Z K F V P Q D G J I R A

S B A S V H J U C A C E B R D K J H F S

A E N C G J T E U A L S U C V V N K Y S

S L A C R I M I T R W C R V F T S J A L

D V M A D U X D F I F X E A S F C H K P

F X E D E R Z K V S E S T E E F L V S G

H S D D E N E H B M D Q R X F I R F R F

P D A F B O R V H M A O G F E C D G F K

H F R L H K T F E P C S N R C D S T U G

F J T B T E U E Z D D C P S F E V O O V

Y O H H G Y N A R S X S W B H K P A R D

R A EJ F B T G A A Q V C M S C A U T L E

C S S X C R H X S R T B L E R R K R J S

D R E E X E D E Z A E V K S F U U E N L

A F V A I A Q W B N J K L M N P O I U Y

R O W J V D C Z H F V N V E A S H L S F

I U L F Z N C E I S E J E Z R O T M S M

E C P T G O V R L E P K T R V U R N E F

O T E S A E O T P I M L H G E H E J R R

T R G E Z T E T U V M D J H S A L C F E

KAARIS LACRIM

HARDCORE SABLIER ZOO

CLASH SEVRAN

PANAME RAP

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