le p' tit littré

LE JOURNAL DES ÉLÈVES DE CE2A NUMÉRO 1 ANNÉE SCOLAIRE 2020-2021

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Le P'tit LittréRugby: l'histoire d'une ville

Le temps duplastique, ce n'estplus fantastique

De Pac-Man àFortnite,l'histoire du jeuvidéo

Interview d'unejournaliste: ValérieRohart

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Éditorial

Chères lectrices, chers lecteursPourquoi est-ce important de s’informer ? D’oùvient l’information ? Pour réfléchir à cesquestions, les élèves de CE2a de l’école Littréont accueilli en classe le 10 novembre 2020 lajournaliste Valérie Rohart dans le cadre duprojet « Globe reporters juniors ». A l’issue decette rencontre très enrichissante, les élèvesont choisi 3 thèmes portant sur le sport,l’environnement et la société. Se mettre dans lapeau d’un journaliste, créer des comités derédaction, trier l’information pour écrire unjournal, est un bon moyen pour mieuxcomprendre l’information.Chaque groupe a réfléchi à une dizaine dequestions sur le thème choisi. Les questions ontété communiquées à notre reporter. ValérieRohart s’est chargée de trouver les bonnespersonnes capables de répondre à nosquestions. En attendant les précieuses sourcesde notre envoyée spéciale, la classe a étudiédes articles de presse, comparé des Unes etréfléchi à des titres accrocheurs… Une fois lesinterviews mises en ligne, nous les avonsécoutées. Les élèves ont trié les informationspour ensuite écrire leur article. Nous avonsmaintenant le plaisir de vous donner à lire le1er numéro d’un journal conçu et réalisé par dejeunes journalistes en herbe.D’où vient l’info ? En lisant notre journal, vousavez la réponse à cette question. N’attendezplus ! Bonne lecture !Mme Garreau

Le P'tit Littré

Rugby: l'histoire d'uneville

Le temps duplastique, ce n'estplus fantastique!

De Pac-Man àFortnite, l'histoiredu jeu vidéo

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Interview d'unejournaliste Page 7

Notre classe d'eau Page 11

La ruée vers l'or Page 13

Classe à PAC Page 14

Contes et légendes Page 15


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Le rugby est né en Angleterre au XIX siècledans la ville de Rugby. C’est William Webb Ellisqui l’a inventé. La légende raconte que lorsd’un match de foot, William Webb Ellis a pris leballon à la main et il a commencé à courir versle but en 1823 dans un collège de la ville deRugby.Le rugby fémininLe rugby féminin est apparu aux Etats Unis aumilieu du XX siècle. C’est un sport universitaire.En France, en 1865 des lycéennes commencentà jouer au rugby. En 1970, se crée l’associationfrançaise de rugby féminin et elle intègre lafédération française de rugby en 1989.Le rugby et ses règlesLe rugby a été codifié en 1846 pour la premièrefois dans la ville de Rugby. Il se développeavec le foot sur les territoires britanniques en1863.En 1871, près d’Edimbourg en Ecosse, il y avaitenviron près de 4000 personnes pour assisterau premier match de rugby qui opposait lesanglais aux écossais. Il y avait 2 arbitres à cematch, un anglais et un écossais.Le bouclier de Brennus En 1892, a lieu la première finale duchampionnat de France. L’arbitre est le BaronPierre de Coubertin. Il demande à son amiCharles Brennus, orfèvre parisien de créer untrophée pour le vainqueur. Charles Brennuscrée le bouclier de Brennus. Ce bouclier deBrennus est remis en jeu tous les ans pour levainqueur du championnat de France.

Rugby, l'histoire d'une ville qui donneson nom à un sport.

Sport

Maquette réalisée par Benoit

Maquette réalisée par Paul

Le rugby est un sport masculin et aussi féminin. Il a fallu environ 20 ans pour que les fillesintègrent la fédération française de rugby. Le centre national de rugby à Marcoussis est lesiège de la fédération française de rugby. Notre reporter Valérie Rohart a interviewé HervéDidelot, l'ancien intendant de l'équipe de France de rugby. Savez où, quand, comment est néle rugby?


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Il y a beaucoup de plastiques dans laSeine depuis les années 60, 70.L’utilisation du plastique se développeaprès la seconde guerre mondiale.Aujourd’hui chaque habitant consommeenviron 60 à 70 kg de plastique par an.

200 Tonnes de déchets plastiques sontramassées sur les berges et dansl’estuaire de la Seine chaque année.Souvent le plastique est flottant ou ils’échoue sur les berges. On retrouve desmacro-déchets comme les emballages,des jardinières, des bouteilles, desarrosoirs, des canettes, des compotes àboire, des masques, des touillettes, dessacs... Les barrages flottants servent àbloquer les macro-déchets qui flottent surl’eau. Des bateaux récupèrent les déchetsflottants. Sur les berges, des associationsramassent à la main les déchets.

Les micro-déchets en revanche ne sontpas visibles à l’œil nu et ne peuvent pasêtre récupérés dans la Seine. Les granulésplastiques fabriqués par les industries etles biomédias présents dans les stationsd’épuration se retrouvent par accidentdans la Seine. Ce sont des micro-déchets.Malgré tous ces déchets plastiques, lesscientifiques disent que la chimie de l’eaude la Seine reste bonne !

Il faut réduire l’utilisation du plastique.Pour ne plus avoir de déchets plastiquesdans la Seine, il faudrait changer noscomportements et nos façons deconsommer. Comment ? En privilégiant lescircuits courts pour éviter les emballagespar exemple, en fabriquant des objetsdurables et réparables…

Le temps du plastique, ce n'est plusfantastique!

Environnement


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Les premiers jeux vidéo apparaissent avec l’invention desordinateurs après la seconde guerre mondiale. Le premier jeuvidéo est un jeu de morpion OXO créé en Angleterre. Le jeuvidéo « Tennis for two » est une simulation de tennis, crééaux Etats-Unis en 1962. En France, en 1960 Paul Bradfortinvente le jeu de « Gomaco » (version simplifiée du jeu deGo). Il joue avec un ordinateur et une imprimante et n’utilisepas d’écran. Les écrans sont encore rares et les ordinateursimmenses.La commercialisation des jeuxLe premier jeu commercialisé en masse est « Spacewar ». Il aété inventé au début des années 60 aux États-Unis et atellement de succès que des olympiades sont organiséesdans les années 70. Nutting Associates est la premièresociété qui a commercialisé ce jeu vidéo avec ComputerSpace en 1971. La première console a été commercialisée en1972 par un fabriquant de télévision. En France, les premiersjeux vidéo sont commercialisés en 1973. Dès lacommercialisation des jeux, il y a de la musique. « Pac-Man »et « Space Invaders » sont des jeux joués au début sur Atari,maintenant on y joue sur des tablettes. Le solitaire est undes jeux les plus joués au monde. Fortnite est aussi trèsapprécié par les joueurs.

De Pac-Man à Fortnite, l'histoire du jeuvidéo

Société

Les jeux vidéo en 3DDans les années 70, un centre de recherche de l’armée enFrance crée une simulation aérienne. C’est la premièresimulation en 3D. Avec l’invention de la playstation en 1995,les jeux en 3D se développent et se démocratisent. Il a fallubeaucoup de temps pour que les jeux deviennent réalistes.Aujourd’hui FIFA, NBA2k sont des jeux très réalistes. En 1975,un cowboy n’était qu’un petit sprite ou lutin (élémentgraphique qui peut se déplacer sur l’écran).

Dans la classe de CE2a de l’école Littré 24 élèves sur 28 jouent régulièrement au jeu vidéole mercredi après-midi et le week-end. Notre reporter Valérie Rohart a interviewé unpassionné de jeux vidéo, Guillaume Montagnon auteur d’un livre sur l’histoire du jeuvidéo en France.


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Guillaume Montagnon. Son livre commencé il y a 10 ans, n'estpas terminé.

Si les jeux vidéo continuent à plaire àun très grand nombre de personnes,attention ce n’est pas recommandé depasser trop de temps devant les écranscar cela ralentit le bon développementet fonctionnement du cerveau.

Société

Les jeux vidéo en ligneAvant les années 90, il n’y a pasd’internet. Le premier jeu en ligne sur« ARPANet » (ancêtre d’internet/réseauaux Etats-Unis qui permettait deconnecter différents centres derecherche) « Mase » est un jeu delabyrinthe en 3D. On y joue à 2 joueurs à

distance. Le développement d’internetdans les années 90 a permis ledéveloppement des jeux en ligne. Audébut, ce sont des jeux de stratégies enréseau, plusieurs ordinateurs sont reliésentre eux.


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Nous avons rencontré la journaliste ValérieRohart en classe le 10 novembre 2020.Notre projet "Globe reporters juniors"commence avec cette rencontre. Nous nousposions déjà beaucoup de questions sur lemétier de journaliste.Faites-vous de la presse écrite, télévisuelleou radiophonique ?Comme tous les journalistes nous touchonstoujours un peu à tout mais ma spécialitéc’est la radio. J’ai passé 24 ans à RFI, RadioFrance Internationale. J’ai aussi fait un peude télé pour une petite télévision belge etun peu de presse écrite au début de macarrière. Attention même en radio ou entélé, la plupart des choses sont écrites. Unprésentateur de télévision a devant lui unprompteur. C’est à dire que lorsqu’ilregarde la caméra, il y a son texte quidéfile. Si vous regardez bien, vous verrezses yeux aller de gauche à droite… il lit. Letalent c’est de savoir lire les choses commesi on ne les lisait pas !

En quoi consiste votre métier ?Il s’agit de chercher des informations, deles vérifier et de les rendre facilementcompréhensible pour les lecteurs,auditeurs, téléspectateurs et aussi, ne lesoubliez pas : pour les internautes car onconsulte de plus en plus la presse surinternet et sur les réseaux sociaux.

Pouvez-vous nous expliquer votre journéede travail ?Une journée de journaliste commencetoujours de la même façon : en écoutant laradio et en lisant la presse. On regardemoins la télévision car, le plus souvent, elle

reprend les informations des autres médiasdonc elle ne nous apprend pas grand chosesauf les chaînes spécialisées comme France24 qui parle du monde entier ou leschaînes de sport.

Avec qui travaillez-vous ?Le journalisme est un travail d’équipe. Onne fait pas un journal, une radio ou unetélévision tout seul. Donc il y a la rédaction,toute la partie technique que ce soit enpresse écrite, radio, télé ou internet. Et puisil y a les gens que l’on va interviewer. Et il yen a beaucoup, des célèbres, des pascélèbres, des gens intéressants, pasintéressants (ceux la, on les évite !)

Dans combien d’écoles êtes-vous déjàintervenue ?Je ne peux pas compter, il y en a beaucoupbeaucoup trop !!!!

Comment faites-vous pour savoir toutes lesinformations dans toute la France et dansle monde ?On ne peut jamais connaître toutes lesinformations de la France et du monde. Letravail du journaliste c’est d’en connaître lemaximum possible pour essayer de ne pasdire de bêtises… L’important est de bienconnaître un domaine. Un journalistesportif doit bien connaître le sport et s’iltravaille pour un journal sportif commel’Équipe, il ne va pas travailler sur tous lessports, il sera spécialiste du football ou dutennis ou du patinage artistique mais pastout à la fois. Chacun son domaine. A RFI jem’étais spécialisée sur l’Asie.

RencontreInterview d'une journaliste


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Comment recueillez-vous les informations ?Il y a deux méthodes principales pourrecueillir les informations : d’abord lesagences de presse. En France, nous avons lachance d’avoir l’une des plus grandesagences au monde : l’Agence France Presse=AFP. Les deux autres grandes agencesmondiales sont Associated Press etReuters. Elles ont des journalistes partoutdans le monde et pour l’AFP beaucoup dejournaliste en France et en Europe. Prenonsun exemple : s’il y a un bébé panda qui naitdans un zoo, on va en parler car c’est assezrare. Le journaliste de l’AFP va aller surplace, prendre des renseignements et il vaécrire une dépêche. Les journaux, lesradios, les télés sont abonnés à l’AFP, ilsvont donc recevoir cette dépêche. Soit ilsvont écrire un article à partir de cettedépêche, soit ils vont aller faire unreportage sur place.La deuxième façon d’avoir desinformations, c’est d’aller chercherdirectement les informations auprès desgens que l’on connaît et dont on sait qu’ilsvont nous donner des informationsnouvelles et vraies. A nous de vérifier quel’information est bien réelle.

Quelles qualités faut-il avoir pour êtrejournaliste ?La toute première qualité est d’être curieux.L’information ne commence pas à l’autrebout du monde : elle commence en ouvrantsa porte, en se demandant pourquoi notrerue ou notre école porte le nom qu’elleporte, quelle est l’histoire du commerçantqui tient la boutique au coin de ma ruedepuis si longtemps, quel est le travail despompiers de mon quartier etc….

Ensuite il vaut mieux être en bonne santécar le travail de journaliste demandebeaucoup de disponibilité et d’adaptationà des horaires parfois difficiles. La radionotamment exige de se lever très tôt 2h ou3h du matin… Mais le handicap n’empêchepas d’être journaliste : il y a desjournalistes sourds ou aveugles.

Quelles études faut-il faire pour devenirjournaliste ?Toutes les études peuvent mener aujournalisme : médecine si on veut êtrejournaliste spécialisé en médecine, biologiesi on veut être journaliste spécialisé enbiologie, technologie ou informatique si onveut être spécialisé dans les revuestechnologiques. Pour rester journalistegénéraliste, il faut un master (Bac +3 ou 4)et une école de journalisme. On y entre surconcours : il y a beaucoup de candidats etpeu d’élèves reçus…

Quelles sont les règles que doit respecterun journaliste ?Nous devons respecter la loi sur la Libertéd’expression qui permet de dire beaucoupde choses mais qui impose desrestrictions : on ne peut ni insulter niinjurier (vous non plus), ne pas faire dediscriminations (racisme par exemple, etvous non plus) et surtout ne pas diffamerc’est à dire des choses fausses (vous nonplus).Les journalistes ont aussi des règlesdéontologiques : on ne doit pas faire deschoses immorales comme payer pour avoirdes informations.

Rencontre


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Est-ce que ces règles sont différentesselon les pays ?Oui la liberté d’expression dépend des loisde chaque pays. Aux États-Unis la loi sur laLiberté d’expression est plus tolérantequ’en France. Le problème c’est qu’unechaîne comme Fox News a pu dire desmensonges pendant toute la présidence deDonald Trump. Il y a aussi des pays qui nerespectent pas du tout la libertéd’expression comme la Chine ou la Russieet toute personne qui critique le présidentou le gouvernement part en prison.

Est-ce qu’il y a de la presse écrite dans tousles pays ?Oui tous les pays ont des journaux papiersmais tous les pays n’ont pas une presselibre. En Corée du nord vous ne pourrez liredans la presse que des nouvelles quiparlent des mérites du président etcachent toutes les mauvaises nouvelles.

Pourquoi êtes-vous devenue journaliste ?C’est une excellente question : c’est unequestion que je pose très souvent auxpersonnes que j’interviewe. Il y a presquetoujours des jolies histoires derrière cettequestion. Je suis devenue journalisted’abord parce que je suis curieuse de toutet surement aussi parce que lorsque j’avaisvotre âge je voyais ma mère aller à desréunions qui me semblaient très secrètes.Je me demandais toujours ce que c’était :c’était des réunions de soutien à despersonnes emprisonnées en Grèce quand ily avait une dictature, c’est à dire des

militaires qui décidaient de tout dans lepays et qui interdisaient à toute personnede les critiquer.

Est-ce que dans votre métier, il y a eu unmoment qui vous a particulièrementtouché ?Il y en a eu beaucoup. Le plus difficile c’esttoujours quand les enfants sont touchéspar la faim, le froid ou la guerre. C’estdifficile de faire son métier et se dire qu’onva partir et laisser des gens dans la misère.Je me souviens en particulier enAfghanistan d’une jeune fille qui a réponduà mes questions en claquant des dentstellement elle avait froid : je ne pensais pasà l’interview mais juste à ce que je pouvaisfaire pour elle. J’aurais bien voulu enleverun pull et lui donner mais il y avait pleined’autres jeunes filles autour qui avaientaussi très froid. J’ai eu peur de provoquerdes disputes si je donnais à l’une et pasaux autres…

Est-ce que le métier de journaliste estdangereux ?Reporter de guerre est un métierdangereux, enquêteur sur les trafics dedrogue au Mexique est dangereux (c’est lepays où il y a le plus de journalistesassassinés chaque année), mais êtrejournaliste spécialisé dans les jeux vidéosn’est pas trop dangereux (sauf pour lecerveau !!!).

Rencontre


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Comment se passe une interview ?On essaie d’abord de trouver la bonnepersonne pour répondre à des questions.On se renseigne, on appelle les servicesde presse qui existent dans toutes lesentreprises, dans tous les ministères etqui sont là précisément pour aider lesjournalistes dans leurs recherches. Onappelle on prend rendez-vous, parfois ilfaut insister un peu, et puis on vient enayant préparé le sujet. On pose nosquestions. Si la personne ne répond pas,on repose la question différemment, sielle se fâche parce que la question ne luiplaît pas, on lui explique pourquoi c’estimportant qu’elle y réponde…

Avez-vous déjà interviewé une personnecélèbre ?Ça c’est LA question que TOUS les élèvesme posent dans TOUTES les classes !!!! Ilfaudrait définir ce que c’est qu’unepersonne célèbre. Peut-être que pour vousc’est une personne qui passe à latélévision, dans un jeu de télé-réalité.Pour moi une personne importante c’estquelqu’un qui a fait quelque chose de savie, qui a apporté quelque chose à lasociété, quelque chose d’important , quirestera peut-être dans l’Histoire. J’aiinterviewé des présidents de laRépublique, des ministres, des chanteurs,des sportifs et pourtant c’est unepersonne que je n’ai pas interviewée quim’a le plus impressionnée : c’estl’empereur du Japon (le père de l’actuelempereur). Il n’a pas le droit de répondreà une interview mais l’ancien président dela République Jacques Chirac est allé àTokyo le rencontrer et moi je suivais cette

rencontre alors j’ai pu entrer dans lepalais impérial et rencontrer l’empereur etl’impératrice du Japon. Les japonais à quije l’ai raconté étaient très impressionnéscar c’est quelqu’un qu’on ne voit jamais.

Comment s’organise un journal télévisé ?Il s’organise comme un autre média : il y ad’abord une conférence de rédaction lematin où l’on fait la liste de tous les sujetsqu’il faut mettre dans le journal. Après ondistribue le travail aux différentsjournalistes qui vont aller faire les sujets.Une nouvelle conférence l’après-midi pourvérifier que les sujets seront bien là àl’heure et éventuellement des nouveauxen fonction de l’actualité. Ensuite leprésentateur écrit son journal. En régie leréalisateur décide la position descaméras. Le rédacteur en chef vérifie queles sujets sont là, il y a aussi quelqu’unpour mettre les noms des gens à l’écranainsi que les sous-titres quand il y en a.

Combien y a-t-il de journalistes enFrance ?Il y en a entre 34 et 35.000 en France maisle chiffre a tendance à baisser car c’estune profession de moins en moins bienpayée, dans laquelle le travail devient deplus en plus répétitif, et surtout la presseest en grandes difficultés car elle a laconcurrence d’internet. Un certain nombrede moteurs de recherche reprennent desinformations dans les médias et lesdiffuse mais sans payer les médias.Google actualités par exemple ne veut paspayer les informations qu’il diffuse. Orproduire de l’information coute cher. Ilfaut donc payer les médias qui récoltentl’information pour vous.

Rencontre


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L’importance de l’eau à ParisPour voir l’eau à Paris, il n’y a pas la mermais il y a la Seine. C’est le fleuve quitraverse la ville pour aller se jeter dansla Manche.Paris est né au bord de la Seine.Autrefois, Paris était une toute petiteîle, l’île de la Cité. Paris s’appelaitLutèce. Les gaulois se sont installés audébut sur l’île de la Cité. Quand on lesattaquait, ils étaient protégés par lefleuve. Paris et ses habitations ontbeaucoup changé et grossi. Autrefois,Paris était une forêt. Les quartiers sesont construits petit à petit en formed’escargot. Les marchandstransportaient des marchandises sur lesbateaux sur la Seine. Ils les déposaientsur la grève. De nos jours, le transportde marchandises continue sur ce fleuve.

L’eau de la SeineIl y a 2000 ans, l’eau utilisée provenaitde la Seine. Au XIX siècle, des porteursd’eau vendaient dans les rues de Parisde l’eau potable aux riches personnes.Les gens buvaient aux fontainespubliques. Autrefois, on utilisait l’eaude la Seine pour boire, se laver. Il yavait sur la Seine des bateaux lavoirspour laver les vêtements. L’eau servaitaussi à évacuer les excréments. Il y alongtemps, il n’y avait pas d’égouts.L’eau sale était jetée au Moyen-âge parles fenêtres et elle s’écoulait dans lesrues. Il n’y avait pas d’égout ni detrottoir!

Peut-on boire l’eau de la Seine ?Aujourd’hui, l’eau de la Seine peut êtrepotable si on l’envoie dans une usine detraitement d’eau potable. L’eau qu’on boit àParis est de bonne qualité. En plus, d’êtrepotable, elle permet de prendre desdouches sans risque d’attraper desmaladies. On ne peut pas boire l’eau de laSeine mais on peut boire l’eau du robinet.C’est de l’eau traitée qui vient de la Seine etdevient potable. On y a mis un peu de chlorepour tuer les microbes. On peut alors laboire à la maison ou à la cantine de l’école.L’eau courante arrive directement dans leshabitations pour boire, se laver, tirer lachasse d’eau, cuisiner… Les stationsd’épurations permettent de recycler l’eau. Sion boit de l’eau non potable on peut avoirde graves maladies.

Où trouve-t-on de l’eau potable à Paris ?On trouve de l’eau potable dans ladouche, les bouches d’incendie, le robinetet les fontaines Wallace. Les pompiersutilisent de l’eau potable car l’eau nonpotable a des microbes. Si des microbestouchent les blessures des victimes, lesblessures seront infectées.L’eau c’est la vie pour l’homme, les planteset les animaux. L’eau de Paris permet dese laver, de boire, de nettoyer, d’arroser.S’il n’y avait pas d’eau à Paris, nous neserions pas là.

Notre classe d'eau a eu lieu la première semaine de novembre. Nous ne pouvions pasnous rendre au musée d'Orsay ni à la maison de la pêche et de la nature à cause duprotocole sanitaire. Nos activités se sont déroulées en classe.

Notre classe d'eau Environnement


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Le cycle de l’eau naturel

Tout autour de nous, il y a de l’eau. Quand onne la voit pas, l’eau est dans l’air sous formegazeuse. Le cycle de l’eau dans la nature nes’arrête jamais. D’abord, l’eau s’évapore puiselle se condense et cela donne les nuages. Lesnuages se transforment en pluie, en grêle, enneige. Ce sont les précipitations. L’eau ruisselledans les fleuves, les rivières, les cascades, lesmers. Elle s’infiltre dans la roche perméable etle sol. Et le cycle recommence. Nous buvonsl’eau que buvaient les dinosaures.Pour comprendre l’évaporation, lacondensation, le ruissellement et l’infiltration,nous avons fait des expériences.1er défi : savez-vous fabriquer des nuages etde la pluie ?

Le cycle domestique de l’eau

Comment l’eau arrive-t-elle jusque dans nosmaisons ?D’abord, l’eau est prise dans la nature (fleuve,nappe phréatique...), puis on la rend potableen passant par des usines de traitement deseaux. L’eau potable est stockée dans leschâteaux d’eau puis distribuée aux maisons enpassant par des canalisations. Quand l’eau estusée, l’eau va dans les égouts et dans lesstations d’épuration. L’eau est nettoyée avantd’être rejetée dans les rivières.Nous avons fait une expérience pour nettoyerl’eau sale.

Il faut payer l’eau du robinet car c’est trèscompliqué de rendre l’eau potable et denettoyer les eaux usées.Pourquoi faut-il préserver l’eau ? Commentpeut-on faire ?Nous avons appris qu’il existait un septièmecontinent fait de déchets. Ce continent fait 5fois la France !


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J’ai ri quand au début du film, Charlot est suivi parun ours sur le sentier de la falaise et quand il prendune carte pour se repérer parce qu’il s’est perdudans la montagne. Je choisis Charlot car il fait descascades. Il a un chapeau melon, une chemise, unpantalon large et de grandes chaussures. Il marchecomme un manchot. Emma

Je choisis la scène où Big Jim e et Charlot sont dans la cabane. Charlot faisait bouillir sachaussure et il mangeait les lacets comme s’il était en train de manger des pâtes mais BigJim ne s’est pas régalé. Le personnage que je choisis est Charlie Chaplin. Charlot est unpersonnage avec un chapeau melon, une canne, une veste noire, une chemise blanche etune moustache. Il est drôle, c’est un bon acteur. Il marche comme un manchot. Marguerite

J’ai ri quand le personnage principal a mangé sachaussure en la prenant pour un poulet. Il a fait demême pour les lacets qu’il a pris pour desspaghettis. Il a dû la partager avec son ami Big Jimqui a hésité avant de goûter. Ils étaient affamés. Jevois Charlot charmant avec son chapeau melon, sadémarche de pingouin, sa canne, sa moustache, sessourcils épais. Il porte une redingote trop courte etun pantalon trop large. Hedi

Moi j’ai choisi Charlie Chaplin. Il a une faussemoustache, une canne des chaussures noires, unpantalon noir, une cravate noire et marche commeun pingouin. Le moment qui m’a fait rire est lorsqueCharlot a bousculé Jack sur un meuble. Une horlogeest tombée sur la tête de Jack et l’a assommé.Charlot faisait comme s’il était le plus fort. Winona

Dans « La ruée vers l’or », ce qui m’a fait le plus rire,c’est quand Charlot a pris la laisse d’un chien pourfaire la ceinture car son pantalon était en train detomber. J’ai choisi Georgia parce qu’elle est belle etjoue bien son rôle de danseuse. Elle a aidé Charlotà s’enfuir. Alia

La ruée vers l'or Cinéma


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Classe à PAC avec la MGIThéâtre et cinéma burlesque

En bref

Le fond vert servira à mettredes images lors dumontage.Le son était fort et le casquelourd.La caméra était grande,noire et il y avait un boutonoff/on.LieuOn a tourné dans le dojo.Nous travaillons avec unartiste Mario.Lily

Ce que j'ai aimé, c'est d'êtrefilmé et tourné une scène.Ce que je n'ai pas aimé c'estde recommencer à chaquefois. A la fin, j'étais KO!Marcos

Ce qui était le plus difficile,c'était la concentration dupersonnel caméraman,l'opérateur son et le tracdes acteurs. Benoît

Sur ces photos, on tourneune scène burlesque. Nousl'avons imaginée et écriteen classe. Un groupe detouriste rentre dans un café.Le serveur ne comprend pasce qu'ils demandent. Unefile d'attente se forme. Lestouristes parlent deslangues étrangères mais secomprennent entre eux.Julia


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L’arbre coloré

Il était une fois un arbre, un loup et un garçonnommé Soussai. Un jour, Soussai se promenaitdans la forêt quand tout à coup un bruitétrange résonna. Ce n’était que le croassementd’un corbeau. Soussai continua sa promenadequand il vit un loup. Soussai eut très peur, ilcourut et s’enfuit. Le loup le suivit jusqu’à samaison. Le lendemain, Soussai prit son fusil etpartit à la chasse. A nouveau, il vit le loup.Cette fois ci, Soussai n’eut pas peur car il avaitson fusil. Il tua le loup sans hésiter. Il ramenale loup mort à la maison et se réjouit de l’avoirtué. Les jours suivants, Soussai allait à lachasse. Il ramena beaucoup d’animaux tués.Un bruit étrange résonnait dans la forêt, c’étaitles sanglots des arbres. Soussai ne supportaitpas les pleurs des arbres. Il se mit à les couperpour ne plus les entendre. Il ne restait plusque l’arbre coloré. Il était tellement beauqu’aucun bucheron pas même Soussai pouvaitl’abattre. Fatigué et essoufflé, Soussais’endormit au pied de l’arbre coloré. A sonréveil, les arbres avaient poussé autour del’arbre coloré. Soussai voulut rentrer chez luimais la forêt était tellement dense que Soussaine retrouva pas son chemin. On raconte queles arbres l’avaient capturé et que les loupsl’avaient dévoré. Depuis ce jour, les arbres, lesloups et tous les habitants de la forêt vécurentheureux et en paix.Hedi

L’arbre magique

Il était une fois un arbre magique. Un jour,un méchant nommé Mercure voulutdétruire la Terre. L’arbre intervint et dit àMercure :- Non tu n’as pas le pouvoir de ladétruire !- Comment peux-tu m’en empêcher, tues si petit ! rétorqua MercureL’arbre se transforma alors en robot ce quichoqua tout le monde. Il sauta si hautqu’il donna des coups de pieds à Mercure.Énervé Mercure voulut renverser l’arbrerobot mais l’arbre sortit son revolver ettua Mercure.Gabriel

L’arbre différent

Il était une fois un arbre très différentdes arbres de la forêt. Tous les autresarbres se moquaient de lui. Il était sitriste des moqueries des autres et il sesentait si seul qu’un jour il décida des’en aller. Il avait envie d’avoir des amiset il partit pour l’Amérique. Mais lesarbres d’Amérique continuaient à semoquer de lui. Il partit alors en Alaskamais le même sort le poursuivait. Enfin,il voyagea au Japon. Cette fois-ci, aucunarbre ne se moquait de lui. Il décidaalors de s’installer dans ce pays et futtrès heureux d’avoir beaucoup d’amis.Maël

L'arbre de vie de Klimt a inspiré noshistoires

Contes et légendes


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L’arbre infini

Au beau milieu de la forêt, vivait une petitefille qui venait voir son grand-père chaqueannée. Chaque année, son grand-père luiracontait des histoires d’arbre. Un jour, legrand-père dit à sa petite fille :- Je vais te raconter l’histoire de l’arbreinfini. Il existait déjà quand ma grand-mèreétait née.- Ah bon ! dit la petite fille. Mais il est trèsvieux !- Tu as raison, dit le grand-père. Il a plus de16000 ans. Cet arbre a de la chance d’être aussivieux ! Si tu veux, je peux te le montrer mais ilest très loin, de l’autre côté de la mer.Le grand-père emmena sa petite fille de l’autrecôté de la mer. Quand ils arrivèrent, ils virentl’arbre infini.- Comme il est grand ! s’exclama la petitefille.- Il est immense ! ça me fait plaisir de lerevoir après tant d’années ! Tu comprendsmaintenant pourquoi on l’appelle ainsi.La petite fille monta dans l’arbre et là surgirentdes diamants, des colliers, des perlesscintillantes et des pièces toutes dorées.- Grand-père vient voir !- Non d’un chien ! s’exclama le grand-pèreémerveillé.Ils ramassèrent l’or qui pendait des brancheset retournèrent chez eux. La petite fille montraà ses parents leur trésor. Les parents étaientstupéfaits. Ils vendirent l’or et décidèrentd’aller vivre dans l’arbre infini car l’or de cetarbre était infini et ils ne pouvaient pas toutvendre. La petite fille fut très heureuse de vivreavec ses parents et son grand-père dansl’arbre. Elle habita dans l’arbre toute sa vie.Augustine

L’arbre aux mille visages

Il était une fois un arbre quis’appelait l’arbre aux mille visages.Tous les habitants trouvaient qu’ilétait très laid et voulaient ledéraciner. Un jour, un peintre eutenvie de peindre l’arbre aux millevisages. En l’observant, il vit unegrotte dans l’arbre et dit : « ouah ! jen’ai jamais vu une grotte aussibelle. » Dans la grotte, il y avait despièces d’or et d’argent, des colliers,des saphirs. Le peintre sortit del’arbre très vite et alla le dire auxhabitants du village.- Bonjour, jeunes gens ! j’ai vu quel’arbre avait une entrée secrète etune grotte. Dans la grotte…Il s’apprêtait à dire des pièces d’ormais se produisit un gros fracas. Tousles habitants du village se figèrent depeur. Quand le peintre s’approcha, ilvit que l’arbre avait craché de sontronc tout le trésor. En voyant cela,les habitants du village s’emparèrentdu trésor. C’est ainsi que lesvillageois vécurent tranquillementsans soucis d’argent. Ils furentheureux auprès de l’arbre aux millevisages qu’ils adoraient etprotégeaient.Yaël

Nous avons lu nos histoires aux élèvesde grande section de la classe de Lidy.


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L’arbre aux mille visages

Il était une fois, une sorcière qui vivait dans laforêt. Un jour, une jeune fille qui aimaitbeaucoup la nature décida d’aller se promenerdans la forêt.- C’est tellement beau ici que je voudrais yvivre ! s’exclama la jeune fillePuis elle alla se reposer au pied d’un arbre ets’endormit. Mais la sorcière n’était vraimentpas contente car c’était sa forêt et personne nepouvait s’y promener sans son autorisation.Elle se mit alors dans une colère terrible. Cequi fit trembler toute la région de telle sorteque la fillette se réveilla. Elle enlaça son arbreet dit : « Je ne bougerai pas d’ici ! ». Alors lasorcière décida de se venger de cette petitenommée Clémence qui osait la défier. Lasorcière transforma l’arbre à cet instant précis.L’arbre disparaissait sous une multituded’yeux. La sorcière se changea en un oiseautout noir avec des yeux rouges et se percha surl’arbre mais Clémence continuait à enlacer sonarbre. Son cœur battait tellement fort que lasorcière se transforma en poudre. Dans le ciel,éclata alors un éclair doré à la forme d’unoiseau. Clémence avait vaincu la sorcière. Ellerentra chez elle et l’annonça à ses parents.Depuis ce jour, on aimait se promener dans laforêt et admirer l’arbre aux mille visages.Pauline

L’arbre étrange

Il était une fois, un arbre étrange. Toutle monde avait peur de lui à cause deses grandes branches. Un jour, le mairede la ville demanda à un bucheron dele couper pour que plus personne ne levoie ! Quelques jours plus tard, lebucheron alla couper l’arbre. Il mit satronçonneuse en route et s’apprêta à lecouper quand tout à coup l’arbre dit :- Bonjour monsieur le bucheron !- Quoi ? demanda le bucheron enétant bien surpris qu’un arbre lui parle.Le bucheron alla voir le maire et lui dittout ce qu’il avait vu et entendu. Lemaire et les policiers allèrent voir sitout ceci était vrai. Ainsi, l’arbre étranges’adressa au maire :- Bonjour monsieur le maire, ça va ?- Il parle ! s’exclama le mairestupéfait- C’est incroyable ! dit le bucheronLe maire l’annonça à tous les villageoisqui comprirent que l’arbre étaitmagique et surtout gentil. Ils pensaientque l’arbre tuaient les gens quand ons’approchait de lui. Petit à petit, lesgens apprécièrent l’arbre. Tous lesenfants du village jouèrent avec lui carils s’étaient habitués à cet arbreétrange. C’est ainsi que les villageois etl’arbre étrange devinrent amis. Baptiste


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L’arbre hypnotiseur Il était une fois un jeune reporter nommé David. Il vivait en Belgique mais il était depassage en Ecosse. Au large de l’Ecosse, assez loin en mer, il y avait une île. Sur cette îleil y avait un arbre. Sur cet arbre, il y avait des spirales que des astronomes avaientobservé avec leur télescope. On appela cet arbre, l’arbre hypnotiseur car les spiralesn’arrêtaient pas de tourner. David voulait faire un article sur cet arbre qui se trouvaitsur l’île Belleforme.David alla voir un homme qui connaissait toute la liste de ceux qui avaient eu l’audaced’explorer l’île. David lui demanda :- Croyez-vous que ce serait sage d’aller à l’île Belleforme ?- Jeune homme, n’y allez pas, tous ceux qui s’y sont aventurés ne sont jamaisrevenus. Il y a là-bas une force étrangère. Personne n’a vécu assez longtemps poursavoir ce qui se passe là-bas. La liste de ceux qui y sont allés est bien trop longue pourque je vous le dise. David s’en alla et rêvait de faire un article sur cette île mystérieuse.Alors il alla voir des pêcheurs pour l’emmener sur l’île mais il eut toujours ce genre deréponse :« A l’île Belleforme, non, je tiens à la vie jeune homme ! A l’île Belleforme, sans vouloirmourir, jeune homme ! »Alors David alla voir un loueur de bateau et lui demanda :- Pourriez-vous me louer votre bateau ?- Oui mais où voulez-vous aller ?- A l’île Belleforme- Ah non ! En plus mon bateau sera perdu !- Alors je vous l’achète.C’est ainsi que David s’en alla à l’île Belleforme. Arrivé, il vit plusieurs personnes à côtéd’un arbre. Cet arbre avait des spirales qui hypnotisaient tous ceux qui débarquaientsur l’île. L’arbre était si beau qu’il décida de vivre dans le château qui se trouvait à côtéde l’arbre. David vécut en paix et n’éprouva pas le besoin d’écrire son article sur l’arbrehypnotiseur du château de l’île Belleforme. Benjamin


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L’arbre de vie

Il était une fois un phénix qui sepromenait tranquillement. Tout à coup, ilse mit à neiger. Le phénix se faisaitpousser par le vent. Mais avec ses yeuxperçants, il voyait à travers le brouillard,l’arbre de vie. Le phénix se dit : « je vaisaller me réfugier dans l’arbre. » Sur lechemin, il croisa beaucoup d’animaux quieux aussi allaient se réfugier dans l’arbre.L’oiseau demanda à une biche :- Pourquoi allez-vous à l’arbre de vie ?- Nous y allons parce qu’il fait chaudet qu’il y a des fleurs et des graines,répondit la biche.Le phénix était content et rejoignit l’arbrede vie à toute vitesse. Le vent étaittoujours aussi fort. Quand tous lesanimaux furent arrivés, l’arbre de vie lesréchauffa. Le phénix et les autres animauxse jetèrent sur les graines. Ils nequittèrent plus l’arbre de vie et vécurentheureux à jamais.Nina

L’arbre aux branches bouclées

Il était une fois un vieil arbre qui étaitplanté au cœur de la forêt. Il s’appelaitl’arbre aux branches bouclées. Un jour, unbucheron passait vers le vieil arbre etvoulut le couper pour faire des maisons. Ils’apprêta à le couper au moment où unhomme surgit de nulle part et dit : « vousn’avez pas le droit de couper cet arbre, enplus c’est l’arbre aux branchesbouclées ! » Le lendemain, le bucheronrevenait vers l’arbre avec sa troupe. Satroupe était armée de tronçonneuses, dehaches et de scies. L’homme était face aubucheron et à sa troupe. Le bucheronordonna à sa troupe de couper l’arbre. Lesbucherons coupèrent l’arbre. L’hommeétait très triste mais soudain l’arbrerepoussa. Les bucherons étaient trèssurpris mais recoupèrent l’arbre. L’arbretenait bon quand soudain une voixs’adressa au bucheron et à sa troupe : « sivous vous en prenez encore à moi, vosvies seront maudites ! » Les bucheronseffrayés s’enfuirent. La nouvelle serépandit dans toutes les contrées. Depuisce jour, l’homme qui surgissait de nullepart et l’arbre aux branches boucléesvécurent heureux.Paul

L’arbre bouclé Il était une fois un arbre qui s’appelaitl’arbre bouclé. C’était le plus grandarbre de la forêt. Un jour, un homme sepromenant dans la forêt passa devantl’arbre bouclé. L’homme s’arrêta etobserva sur l’arbre un corbeau, deschampignons, des oiseaux, des plumeset autres animaux. L’homme le trouvaittrès beau. A chaque fois, lorsqu’il venaitdans la forêt, il admirait cet arbre. Unjour, l’homme ne vit plus l’arbre. Unbucheron était venu couper l’arbrebouclé. L’homme en replanta un autre.Depuis ce jour, on appelle cette forêt laforêt aux mille arbres bouclés.Lily


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L’arbre magique Dans la forêt il y avait un arbre magique.Un jour, un enfant jeta un cerf-volant dansl’arbre. L’arbre le lui rendit car il étaitmagique. Cet arbre avait aussi descouleurs magnifiques comme si un peintrel’avait peint. L’enfant aimait beaucoupjouer sous cet arbre. Un jour, l’arbres’adressa à l’enfant et lui dit « bonjour,jeune enfant ! ». L’enfant tremblait de peurmais l’arbre le rassura et lui dit : « n’aie

pas peur, je vais te rendre ton cerf-volant ». Pour l’arbre, le cerf-volant étaitcomme une petite fourmi. Il ne le voyaitpas. L’enfant lui dit « c’est par là, il est làmon cerf-volant ». Mais l’arbre ne le voyaittoujours pas. Alors, l’enfant décida degrimper sur l’arbre. Il grimpa et grimpaencore mais ne trouva pas son cerf-volant.Comme l’arbre était magique, l’arbre remità l’enfant son cerf-volant et l’aida àdescendre.Marius

L’arbre des vœux

Il était une fois, un jeune garçon nomméGuillaume. Il habitait dans une petitemaison à plusieurs étages. Devant lamaison se trouvait un grand arbre. Il y avaitune légende sur l’arbre. On racontait qu’ilexauçait les vœux. Un jour, Guillaumedemanda à sa maman :- Tu crois à la légende, toi ? La mamanréfléchit.- Oui mon chéri ! s’exclama la mamanGuillaume réfléchit et décida d’aller aupied de l’arbre et lui demanda.- Oh toi, l’arbre des vœux réalise monvœu ! Mon arbre, s’il te plait, réponds-moi !Après plusieurs heures, le garçonabandonna. Sa maman comprit quequelque chose n’allait pas et elle luidemanda :

- Ça va mon chéri ?- Non ! répondit Guillaume- Que t’arrive-t-il ?- Mina, mon ami avait raison la légenden’existe pas.La maman triste de voir Guillaume aussitriste décida de réaliser son vœu à samanière. Elle demanda au voisin del’aider ! Il prit son micro pour faire la voixde l’arbre et prit de l’argent pour exaucerles vœux de Guillaume. C’est ainsi qu’oncontinuait à raconter la légende sur l’arbredes vœux.Thalya


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Semaine de la presse du 22 mars au 26marsS'informer pour mieux comprendre le monde

DevinettesIl parait tous les jours.Il paraît une fois par semaine.Il paraît deux fois par mois.Il paraît tous les deux mois.

Qui fait quoi dans un journal? RelieCelui qui décide des sujets sur lesquels il fautécrire des articlesCelui qui écrit les articlesCelui qui prend les photosCelui qui fait des dessinsCelui qui décide des couleurs, de l'aspect dujournalCelui qui réalise les graphiques, les schémasCelui qui doit notamment faire attention àl'orthographe

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