Le mot du président Il s’en est passé bien des choses depuis quelques mois sur notre bien chère planète. Comme s’il avaitété urgent de remettre de l’ordre, comme si les forces suprêmes nous avaient prévenus que nousétions sur un mauvais chemin. Quel orage, quel séisme! Mais quelle opportunité pour l’Homme deprouver ses capacités et sa rage à surmonter les obstacles! Jamais telle mobilisation n’avait été vécue!

Toutes et tous avons été touchés, nous avons dû remettre en question nos certitudes et nos moyens.A son très humble niveau, notre association s’en retrouve plus forte, plus persuadée que jamais que ce qui réunit nos membres réside dans la même volonté d’excellence : car elle seule est la clef denos succès.

Excellence dans le produit, dans le service à notre clientèle, dans le respect de nos employés, dans laqualité de nos démarches : ce sont les fondements de notre association et nous remercions les événe-ments récents de nous donner raison. Dans cette optique, nous sommes très heureux d’accueillirdeux nouveaux membres que nous avons le plaisir de vous présenter dans les pages suivantes. Je me joins à vous pour leur souhaiter une cordiale bienvenue.

N’oubliez pas notre grand rendez-vous de l’été sur le bateau «Lausanne», ancré dans la rade de Genève le samedi 8 août pour admirer l’époustouflant feu d’artifice qui aura comme thème les «Mille et Une Nuits».

Thierry SaeyPrésident

Eté 2009

Nos deux nouveaux membres- Vision Color- La Farandole

Zakuska Take Away

Le temps du Rosé

D’authentiques lunettes vintage

Le restaurant à la maison

Les tendances coiffure

Le mythe du mouvement perpétuel

Le confort et l’élégance de l’été

Rêves de voyages

BONPOINTVêtements pour enfants de 0 à 16 ans

CAVIAR HOUSE& PRUNIERCaviars, saumons Balik, foies gras, produits truffes

CHOCOLATS ROHRLe monde du chocolat

DAMIEN & COCoiffure, soins esthétiques

MAISON DUPINFondée en 1820Décoration, architecture d’intérieur

FLEURIOT FLEURSDécorations florales

GRANDE BOUCHERIEDU MOLARDBoucherie, charcuterie, traiteur depuis 1921

HOFSTETTER SPORTSSportswear, ski, outdoor, running, tennis, beach, gym et fitness

JAQUES OPTICIENSMaîtres opticiens depuis 1873

CHRONOMETRIEKUNZHorlogerie

LA CAVE DU PALAIS DE JUSTICEVins, spiritueux, cellier

LA FARANDOLEArts de la table

MANDARIN ORIENTALGENEVEHôtel*****, restaurants

RAFFI CIGARESHavanes d’exception

SST VOYAGESAffaires, événements, séminaires, tourisme

VISION COLORVente et installation de matériel audiovisuel

Le meilleur à Genève

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VISION COLOR

Créée en 1986, la maison VisionColor est l’une des seules à Genève à présenter le meilleur parmi lesmarques haut de gamme en audio-visuel et un éventail aussi large deprestations de qualité.

Sous la conduite de ThierryFournier, 12 collaborateurs polyva-lents assurent un service d’expertsen vente, conseil, installation, inté-gration dans l’architecture, événe-ments et réparation. Des conseilsqui, dans chaque domaine, sont toujours adaptés aux attentes desclients.

Un showroom permet de mesurer laqualité de l’image et du son d’unegamme d’écrans plats et de chaîneshaute-fidélité des plus novatrices. «Ici, précise Thierry Fournier, nousassurons un accueil personnalisé quicerne au plus près les besoins dechacun».

L’équipe de Vision Color bénéficied’une vaste expérience dans desdomaines professionnels exigeants,ce qui représente un atout déter-minant pour l’ensemble de la clientèle.

prises spécialisées dans de différentsdomaines de compétence avant deracheter, puis de développer VisionColor. «Notre maison est déposi-taire, pour la Suisse romande, deLocatel, le système de pay tv pourles hôtels. Elle est également char-gée de l’affichage des résultats desélections du canton de Genève. Elleconduit des expertises pour desassurances, vend du matériel en grosà plusieurs magasins de la place, estagent Bose professionnel pour quielle assure - entre autres - la sono-risation d’églises et de salles com-munales».

«Nous nous sommes égalementpositionnés sur le marché de la fibreoptique, ajoute Thierry Fournier,ainsi que sur celui de la distributiond’images en haute définition avec,par exemple, l’aménagement de laboutique «Montreux Jazz Café» àl’aéroport de Cointrin ou le nouveaurestaurant de la piscine des Vernets.Nous effectuons aussi des transfertsd’images et de sons, tels que VHSou super 8mm sur DVD. Unemanière de sauver des documents etsouvenirs».Toujours à la pointedans l’image et le son, tel pourraitêtre le slogan de Vision Color.

www.visioncolor.ch

A son actif - entre autres - signalonsle matériel d’affichage du MontreuxJazz Festival, la participation à degrands symposiums tels queInfoworld de Reuters ou du WorldEconomic Forum de Davos, la miseà disposition du plus puissant et dumeilleur projecteur Sony permet-tant de multiplier par quatre lahaute définition, l’installation dematériel de projection et de sonori-sation pour des salles de conférence,les écrans de salles de trading, descaméras et des moniteurs destinésaux blocs opératoires, des écrans tactiles dans des musées.

« Chez nous, précise ThierryFournier, nous ne proposons passeulement du très bon matériel dans tous les registres de prix, maisnous mettons également l’accent surle service après-vente. Par exemple,nous privilégions la réparation.Nous cherchons toujours, s’il estpossible et intéressant pour eux, deremettre en état de marche les appa-reils de nos clients. Ceux-ci appré-cient cette approche et le jour où ilsdécident d’acquérir un nouveaumatériel, ils viennent chez nous entoute confiance».Technicien de formation, ThierryFournier a acquis une vaste expé-rience en travaillant pour des entre-

A la pointe de l’image et du son

LA FARANDOLE

C’est en 1962 que Régine de Saugy fonde la Farandole. A l’origine, ils’agit d’un magasin de tissus et d’articles provençaux. Paul, son époux,biologiste, la rejoint en 1966.La maison abandonne bientôt les couleurs et senteurs du midi pour setourner vers les arts de la table et la déclinaison d’objets de décorationintérieure susceptibles de constituer des cadeaux de qualité.Les actuels propriétaires ont suivi les traces des fondateurs. Marina deSaugy est arrivée dans l’entreprise en 1977 avant d’entrer dans la familleen épousant Alexandre qui, lui, a rejoint la maison en 1980.

Sur les présentoirs, les grands noms se côtoient : Ercuis pour l’argenterie etBaccarat pour la cristallerie. Les porcelaines et faïences sont anglaises avecWedgwood, ou viennent de Limoges. Les objets design, colorés et ludi-ques, sont signés Alessi. La verrerie «soufflée bouche» porte le labelRiedel. Alexandre de Saugy précise que la maison «tient à son indépen-dance et choisit ses fournisseurs. Nous voulons offrir le meilleur dans cha-que domaine des arts de la table. Le vaste assortiment que nous proposons permet l’élaboration de listes de mariage, l’enrichissement ou le renouvel-lement du service de table après quelques années d’union et, bien sûr, cha-cun peut y trouver le cadeau qui convient le mieux à chaque circonstanceet destinataire. Et ceci, à tous les prix. Chaque client doit pouvoir trouver non seulement ce qu’il cherche, mais également des idées originales. Nous sommes là pour le conseiller face au vaste éventail de possibilités que nous offrons».Les trois boutiques de la Farandole présentent aussi de la lustrerie, descarafes, des parfums d’ambiance Esteban, des bijoux fantaisie italiens ouen argent, des bougeoirs et des vases à fleurs. Il faudrait un véritable inven-taire à la Prévert pour décrire tout ce que l’enseigne tient à la dispositionde ses clients.

«Il est difficile de sortir de chez nous sans avoir trouvé une belle idée ouune solution», ajoute dans un grand sourire Marina de Saugy. Pari tenu!

www.lafarandole.ch

La danse des cadeaux

Mettre en scène nos espaces de vie, c’est tout l’art de la Maison Dupin.

La dizaine de métiers d’art en architecture et décoration d’intérieur du groupe donne leur vraie dimension auxmeubles, papiers peints, lampes, tissus, salles de bains et cuisines. «Afin d’aider les clients dans leur choix, il estessentiel de créer des présentations grandeur nature dans des décors soigneusement réalisés» explique PascalLuthy. «Nous offrons l’un des plus vastes showroom loin à la ronde».

1'500 mètres carrés d’espaces d’exposition où les visiteurs peuvent découvrir le meilleur des meilleures marques:tissus et meubles Kenzo, cuisines Porsche ou Poggenpohl, robinetteries et accessoires de salles de bain Czech & Speake, mobiliers Presotto et Fendi. «Avant de déterminer son choix, le client peut ainsi se rendre compte de l’esthétique, de l’occupation de l’espace et des qualités de chaque élément», précise Pascal Luthy.

Tout ici n’est que qualité tant au niveau des marques représentées que des réalisations. Stéphane et Pascal Luthyet leurs 80 collaborateurs réalisent les projets d’architecture et de décoration d’intérieur avec un savoir-faire excep-tionnel. Ils peuvent exécuter, de manière entièrement personnalisée et artisanale, les projets qui leur sont confiés.Ebénisterie et marqueterie, design, domotique, architecture, tapisserie, tissus, passementerie, courtepointe, revê-tements de sols et tapis, peintures et papiers peints, sont autant de spécialités dans lesquelles la société excelle. Un exemple unique en Europe.

Une expérience de 189 ans au service des clients les plus exigeants et, de plus en plus, de jeunes couples. Show-room et ateliers constituent une structure unique qui permet de gérer un projet d’architecture ou d’architectured’intérieur de A à Z en comptant sur les compétences, rares aujourd’hui, d’artisans d’exception.

Une visite des espaces d’exposition s’impose. Les styles contemporains, glamour, old style alternent dans un espritinnovant et intègrent de plus en plus les technologies multimédias, les réglages automatiques de la températureet des lumières et les systèmes de sécurité de pointe.

La Maison Dupin, c’est tout un art de vivre.

www.maison-dupin.ch

Des «showroom» haut de gammeMAISON DUPIN

Qui n’a pas rêvé d’un voyage excep-tionnel? Pas forcément sur la luneou dans le palais d’un maharaja. Unvoyage original, hors des sentiersbattus. Ou alors, dans un contextebien organisé, mais un séjour privi-légié en plus et un service singulier.

SST Voyages s’est spécialisé dans cegenre de demandes.Pour le créateur et patron del’agence, Walter Gérard Schober, «toutes les agences proposent lesmêmes itinéraires et des prestationsrelativement voisines. Or, de plus enplus de particuliers et d’entreprisescherchent l’originalité. Nous pou-vons la leur offrir car nous sommesconstamment à l’affût de possibilitésnouvelles et notre connaissanceapprofondie de très nombreux

endroits nous permet de faire despropositions surprenantes ou derépondre à des demandes parfois far-felues! Il n’est pas rare que nousnous rendions sur place pour testerde nouvelles propositions ou pourmettre en relation des acteurs sus-ceptibles de collaborer afin d’offrirdes prestations innattendues.Nombre de personnes ou d’entrepri-ses fêtent au moins une fois dansleur vie un événement exceptionnel.De tels moments méritent des voya-ges d’exception».

Rêves de voyages SST VOYAGES

Walter Gérard Schober, en finconnaisseur, poursuit: «une agencefonctionne de plus en plus commeun service spécialisé et personnalisépour des clients individuels ou collectifs qui recherchent une notede non-conformisme. Le sur-mesureexiste en matière de voyages.Pourquoi se limiter aux programmesprêt-à-porter?».

Avec sa distinction légendaireWalter Gérard Schober tient à abor-der un autre aspect de son métier.

«Une agence offre de multiplesavantages dont on ne se rend pastoujours compte. Beaucoup de gensont pris l’habitude de préparer leuritinéraire de vacances en réservantleurs billets d’avion par Internet. Or ce système de réservation offretrès peu de souplesse. Il est souventmalaisé de modifier les dates ou l’iti-néraire, encore plus difficile d’annu-ler. Une agence est beaucoup mieuxoutillée pour gérer ce genre de situa-tion. Elle peut aussi suggérer des améliorations quant au trajet, aux

connexions, aux possibilités deséjour et de transport sur place. Aufinal, ce genre de prestation ne coûtepas plus cher».

Et Walter Gérard Schober deconclure: «Nous faisons pénétrernos clients, ceux que cela intéressebien sûr, dans des réalités uniques.Nous ne sommes pas des vendeursde rêves, nous réalisons des rêves».

www.sstvoyages.com

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L’hôtellerie n’est pas épargnée par les événements et les crises qui secouent lemonde. A chaque fois, les établissements les plus créatifs, tels le MandarinOriental Genève, répondent par de nouvelles initiatives. Une attitude culti-vée par Marco Torriani, directeur général et César Gil, directeur marketing,qui assure la vitalité et l’excellence de la maison.César Gil s’explique. «Lorsqu’une catégorie de clients se fait momentané-ment plus rare, dans un établissement 5 étoiles comme le nôtre, nous cher-chons d’autres pistes qui nous conduisent vers des clients que nous n’avonspas encore touchés. Cela veut dire donner à d’autres personnes ou entreprisesl’idée de fréquenter notre maison. Il s’agit, pour nous, d’avoir toujours unelongueur d’avance sur nos concurrents.Parallèlement, nous devons être encore meilleurs dans tous les secteurs. Alorsque certains établissements font des économies en réduisant le personnel,nous maintenons le nôtre et travaillons à améliorer ses prestations. Une pra-tique quotidienne de prise de conscience, de responsabilisation et de perfec-tionnement des services auprès de tous nos employés, encore plus intense qued’habitude».

Les milieux financiers réduisent leurs dépenses dans tous les domaines, ycompris ceux de la restauration, de l’hôtellerie et des transports. C’est lemoment, juge César Gil, d’explorer de nouveaux marchés. Un travail métho-dique qui consiste à repérer les secteurs d’activités et les pays où de nouvellesclientèles pourraient être approchées. Commence alors un travail minutieuxafin d’identifier ces nouveaux clients potentiels. Chambres de commerce,ambassades, collègues d’hôtels de même standing dans les pays concernés,concourent à établir des listes de contacts. La mise en réseau des hôtels dugroupe et des 5 étoiles dans le monde permet également de découvrir de nou-veaux marchés.«Cela marche plutôt bien», enchaîne César Gil. «Actuellement, nousaccueillons des groupes de divers pays. Genève est une étape de qualité dansle cadre de tours européens. Nous cherchons régulièrement à rendre notreville encore plus attractive. Pour cela, nous collaborons avec diverses institu-tions genevoises. Des idées nouvelles jaillissent plusieurs fois par année etcontribuent à renouveler l’intérêt pour notre cité».

Au niveau local également, le directeurmarketing du Mandarin OrientalGenève ne manque pas d’idées. C’estainsi que, tous les samedis, l’hôtel offreune nouvelle formule: la gratuité duparking aux personnes qui font leursemplettes au centre ville et, à midi, un menu gastronomique au Rasoi byVineet, le restaurant indien revisité parla nouvelle cuisine, pour le prix excep-tionnel de 50 francs. Il suffit de réserver!

Toujours une longueur d’avance MANDARIN ORIENTAL GENÈVE

www.mandarinoriental.com/geneva/

«On n’a pas toujours envie de manger au restaurant à midi ou de cuisiner enrentrant le soir à la maison». La solution, Serge Belime l’a trouvée. Apprêterdes mets de qualité restaurant à passer au four ou au micro ondes, au bureauou chez soi. «C’est l’occasion aussi d’inviter des amis en nous commandantdes recettes spéciales ou en choisissant dans l’assortiment proposé par notrecarte. Nombre de nos clients se font livrer des repas entiers qu’ils serventensuite dans leur service de table».

Deux cuisiniers et deux charcutiers, placés sous les ordres du chef MichelBourqui, préparent chaque jour trois plats à emporter, de belles salades fraîches et trois desserts.

Pour le chef, «il s’agit de concocter de bonnes recettes traditionnelles, faci-les à réchauffer. Ce qui n’empêche pas des touches de gastronomie lorsqueles noix de St Jacques se parent de thym, que le bar est habillé d’écailles decourgette ou que le carré de veau prend de subtiles saveurs de réglisse».

Les repas livrés aux entreprises ou chez les privés sont conçus pour 6 à 50personnes. Le service traiteur de la Grande Boucherie du Molard prépareaussi des assortiments de charcuterie et des repas à thème. «Pour ThanksGiving, reprend Michel Bourqui, nous préparons la soupe de courge, les noixde St Jacques à l’américaine, la dinde farcie, les pommes de terre aux fruitsconfits. Un menu qui a de plus en plus de succès».

Côté clientèle, c’est Vincent Hillaireaud, cuisinier de formation, qui officie.Responsable du secteur vente de la charcuterie et du service traiteur, ilaccueille «ses» clients avec une amabilité rare, épaulé par trois vendeuses.Son expérience lui permet de proposer des solutions originales lors des com-mandes et de mieux personnaliser les repas livrés chez les clients.Vincent Hillaireaud aime le renouvellement constant des mets et menusproposés aux clients. «Nous présentons une cuisine de saison qui intègre leterroir genevois. Et notre chef ne cesse d’accommoder des recettes nouvelles. Il est en constante recherche, attentif aux goûts de notre clientèle. Nous pro-posons aussi des piquillos, du hoummous, des boulettes de kefta ou un pithi-viers de caille au foie gras, un carré d’agneau de Sisteron en croûte d’herbes,un jambon de Virginie au miel ou un Tajine de lapin aux épices».

Les deux compères sont des enthousiastes. Après leur formation en cuisine,ils ont travaillé dans des établissements prestigieux à Genève et en France.En Australie aussi pour Michel Bourqui et, pour Vincent Hillaireaud, auCambodge, ainsi que sur des bateaux privés en mer. «Des voyages qui ontlaissé des traces», sourit Serge Belime. Au niveau de la qualité des réalisa-tions et du service et dans la diversité de la carte. Une vraie invitation au voyage.

www.boucheriemolard.ch

Des mets de restaurant à la maison ou au bureauGRANDE BOUCHERIE DU MOLARD

Dites Zakuska et la gastronomie russe apparaît. Sous forme de petits platset de hors-d’oeuvre qui se déclinent en un éventail varié de formes et de goûts. Fidèle à sa recherche constante de qualité et d’originalité, la maison CaviarHouse & Prunier a inventé la formule Zakuska Take Away: un carton élégant de 45 cm de long et de 12 cm de côté. Il contient un set en cartontrès design qui se déploie et sur lequel prennent place des raviers contenant,selon les formules, foie gras, tartare de saumon Balik, salades, cocktail decrevettes, petits pains, boîte de caviar de 10g et desserts. Le tout est accom-pagné de couverts de qualité, d’une petite salière et d’un petit poivrier etd’une serviette.

Une élégante présentation pour des mets raffinés. Une formule de qualitéfort bien pensée qui répond à un réel besoin à une époque où les repas sefont plus légers et plus inventifs, à la maison certes, mais de plus en plusaussi au travail, au bord du lac ou dans un parc durant les belles journéesd’été.

Pour échapper à la monotonie des plateaux repas sans invention, des tristessandwichs et des salades César défraîchies, un véritable défi a été lancé: comment déguster un vrai repas gastronomique, léger, facilement trans-portable pour un prix allant de 18 à 65 francs? La maison Caviar House & Prunier l’a relevé.Le lancement du concept est prévu lors du 43ème festival de jazz deMontreux du 3 au 18 juillet. Puis dans la boutique de la Place de laFusterie. Il sera dès lors possible de faire son choix dans l’assortiment deneuf propositions présentées. Une formule qui peut aussi être commandéeet livrée.

La maison Caviar House & Prunier offre également une autre nouveauté : de belles grandes boîtes métalliques rondes dont le couvercle représente lamaison Prunier à Paris dans les années 1920.Deux types de boîtes sont composées, pour l’une, de biscuits salés et sucréset, pour l’autre, de petits sandwiches variés particulièrement goûteux etdélicats. Les deux assortiments sont conçus pour 6 convives.

Zakuska Take AwayCAVIAR HOUSE & PRUNIER

Raffi Cigares est affaire de famille.Un climat dans lequel on se glisseavec délectation. Le choix d’uncigare est une question de personna-lité, de moment dans la journée etdans la vie, de saison aussi. Il exigeaussi du temps pour être choisi etpour être fumé. Il participe à laqualité de vie.«Nous recevons des clients, lanceArek, qui choisissent toujours lemême puro. D’autres préfèrentdécouvrir des sensations nouvelles. Ilest possible de rester fixé sur un goûtqui convient parfaitement ou, touten ayant ses préférences, de se lancerdans des explorations infinies».

L’accueil tout particulier desAboulian s’enrichit de nombreusesprestations. Tour à tour Diana etArek, avec la même passion teintéede fierté, énumèrent, «service de gazet de pierres pour les briquetsDupont. Soirées avec et pour degrandes sociétés. Stockage de cigaresdans les conditions optimales de lacave. Imaginez le privilège et le plaisir de venir chercher un ou plusieurs cigares dans votre réservepersonnelle!Nous conditionnons aussi sous videles cigares qui doivent voyager oun’être fumés que plus tard.

Place Longemalle, poussez la porte!Instantanément, vous vous trouvezplongé dans l’atmosphère de la mai-son. Vous êtes venu une fois, on vousreconnaît déjà. Vous avez vos habitu-des, la famille Aboulian les accom-pagne de multiples attentions.Vous n’êtes jamais entré en ceslieux? Avec d’infinies précautionsDiana, son mari Raffi et leur filsArek tentent de percevoir ce quevous cherchez, proposent un choix,ajustent leur suggestion. Ici, le plusimportant est que vous soyez satis-fait et que vous vous sentiez à l’aise.

Nous livrons à domicile et envoyonsdes boîtes par la poste. Nous propo-sons tous les accessoires du cigare etoffrons des conseils aux amateursdébutants en matière d’allumage, deconservation, d’humidification et devieillissement. Nous proposons desdégustations afin que les passionnésdécouvrent d’autres horizons aroma-tiques».

Le monde du cigare est exigeant. Lescigares doivent bénéficier du mêmetaux d’humidité, de l’instant où ilssont roulés par les torcedoresjusqu’au moment où le client lesachète et sort de la civette Aboulian.Raison pour laquelle la familleinsiste sur les conditions de gardedes puros dans les appartements etmaisons privées.Ici, le cigare est une véritable culture. Juste avant de quitter laboutique, encore une question : «quels cigares fumer en été?».Diana et Arek Aboulian n’hésitentpas : «un Trinidad Coloniales, unUpman Magnum 50, un HoyoEpicure Especial ou encore un Montecristo Sublime, ( EdicionLimitada)».L’été sera long et savoureux!

www.rafficigares.ch

Une famille au service du cigareRAFFI CIGARES

LA CAVE DU PALAIS DE JUSTICE

Avec l’été revient le temps des vins rosés. Le tempsaussi de choisir de vrais bons rosés!

«Un vin rosé s’obtient à partir de raisins rougesdont le jus de pressage, de couleur claire, est laissépeu de temps en contact avec les pulpes des grains.Moins longtemps que pour un vin rouge. D’où sacouleur rosée. Le choix du cépage, la qualité de la vendange et le savoir-faire du viticulteur aumoment de la vinification permettent d’obtenir detrès beaux vins rosés. Il est difficile de réussir de tels vins» raconte, en fin expert, Carlo Reuland,directeur de la Cave du Palais de Justice.«Produire un bon vin rosé est tout un art, préciseson collaborateur, Sébastien Zoppetti. Un mauvaiséquilibre des tanins, du sucre résiduel, une aciditétrop marquée ou trop peu présente, un goût debonbon anglais, peuvent ternir le plaisir de ladégustation».

Toujours à la recherche des meilleurs filons, nos deux compères ont sutrouver un rosé d’exception, dans les Côtes de Provence, un Saint Andréde Figuière, cuvée Magali, qui est aussi le prénom d’une des filles des propriétaires. Car au domaine, tout se réalise en famille.

Carlo Reuland décrit ce vin avec une touche de jubilation: «il s’agitd’un assemblage subtil de cépages rouges, cinsault, syrah, cabernet etgrenache. Sa robe est claire, ce qui ne signifie pas que ses arômes sontlégers. Elle est un peu saumonée. Au nez, on sent des notes d’agrumeset de petits fruits rouges. En bouche, on découvre un bel équilibre entrel’acidité et les tanins, très souple et frais avec en finale des impressionsde pamplemousse et d’abricot».

Et Sébastien Zoppetti d’enchaîner: «les raisins viennent du Massif desMaures, où ils bénéficient d’un climat maritime, et du Centre Var auclimat plus continental, où la maturité du raisin est plus tardive. La famille Combard possède ce domaine depuis une trentaine d’années.Ses vignes abritent des pieds qui ont entre 30 et 35 ans d’âge. Il fautaussi noter que les Combard produisent d’excellents vins rouges».

«Seuls les grands viticulteurs produisent de bons rosés. La «CuvéeMagali» fait partie de ces très bons vins rosés dont la qualité accompa-gne parfaitement une cuisine inventive. Ce vin peut se servir en apéri-tif, se partager à n’importe quelle heure du jour et de la nuit ou parti-ciper à la réussite d’une fête. Il s’agit vraiment d’un vin d’exception quiprocure toujours du plaisir. Nous en sommes tous les deux passionnés»ajoute encore, tout sourire, Carlo Reuland. Une passion communicative.

www.cavedupalais.ch

Pour Jean-Pierre Esmilaire, direc-teur général, « ces prestationsconviennent aussi et peut-être par-ticulièrement bien aux repas servislors de réunions d’affaires, d’anni-versaires ou de soirées entre ami.Une manière de surprendre et d’enchanter ses convives».

www.caviarhouse-prunier.com

Le temps du rosé

Le chocolat côté décor

Pour l’été 2009, la marque de luxepour enfants Bonpoint a créé des col-lections bébé, fille et garçon inspi-rées de voyages lointains.

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L’invitation au voyageBONPOINT

Depuis la Grèce antique, la rose occupe la première place dans le panthéon des fleurs.Reine parmi les plus belles, elle est, depuis les poètes antiques Sapho etAnacréon, glorifiée pour son élégance et sa pureté. Elle est devenue symbole de l’innocence, de la pudeur, de la grâce et de la beauté.

Ses parfums ont également été prisés et chantés. Pourtant, toutes les rosesn’exhalent pas de fragrances. Certaines, même si elles séduisent les yeux,ne charment pas notre odorat. Bien que la plupart des gens portent auto-matiquement la fleur à leur nez pour en sentir les secrètes odeurs, la robel’a emporté dans cette compétition des atours. Cela n’est pas dû unique-ment à la pression des amateurs et à la sélection des créateurs. La naturea doté cette séductrice d’avantage de robes chatoyantes que de parfums.

Ces dix dernières années, les clients ont favorisé l’apparence mais, «depuis quelques temps, la rose odorante revient à la mode» annonce fiè-rement José Millo, patron et âme de la maison Fleuriot. «Les créateurs deroses, les obtenteurs, tentent de plus en plus de retrouver les qualitésolfactives de certaines roses. On a recensé environ 2'000 constituants chi-miques dans la rose. Seuls 500 d’entre eux entrent dans la compositiondes subtils parfums qui la rendent si attirante».

Céline Bidault, fleuriste maison, que cette fleur passionne, précise: «Chez Fleuriot, nous cherchons à mettre en valeur plusieurs sortes deroses odorantes, elles ont l’aspect sublime des roses de jardin. Elles proviennent de nos cultures à Genève».

«Fleur mythique, la rose se retrouve en fait sur tous les continents dansles zones tempérées, poursuit José Millo. A l’origine, il s’agissait d’églan-tines. Selon les régions, les jardiniers et amateurs ont transformé ces fleursde manière empirique, puis, dès la fin du 18e siècle, par la collaborationde botanistes et de jardiniers de plus en plus qualifiés, les recherches sesont faites plus systématiques, notamment grâce à l’hybridation et larecherche génétique. Une créativité toujours vive que nous récompensonschaque année ici à Genève avec le Concours international des Roses nouvelles».

www.fleuriot.ch

Le nez de la roseFLEURIOT FLEURS

Association COMMERCE & QUALITÉ

Secrétariat : Rue du 31-Décembre 8, 1207 Genève tél. 022 7365949 – fax 022 7860096commerceetqualite@worldcom.ch – www.commerce-qualite.com

Conception et réalisation : Nicomm, Nicolas LehrCouverture : Feux d’artifice de Genève, photo Nicolas Lehr Rédaction : Frédéric MartinImpression : Imprimerie Genevoise

S’il est une tradition que la Maison Rohr n’est pas prête d’abandonner, c’estbien la décoration de ses boîtes de chocolat et de ses vitrines. Un chocolat dequalité ne se conçoit ici que thématisé par une couleur et un motif.Cette passion se transmet de génération en génération, mais également depatrons à employés. C’est ainsi qu’une chocolatière, Béatrice Costanzo, estdevenue décoratrice de la maison.

«J’ai toujours aimé proposer des créations quand je travaillais dans le labora-toire. Etre originaire de Suisse alémanique, comme Madame Rohr, a certaine-ment aussi joué un rôle dans le fait que le poste me soit proposé. Avec elle,chaque année, je me déplace dans trois expositions pour choisir les papiers, lesrubans, les petits personnages, fleurs et motifs qui constitueront les décors denos boîtes. Durant l’année, nous déclinons les thèmes rituels selon les saisonset les fêtes. Nous concevons aussi des décorations personnalisées selon les clients. Commele dit Monsieur Rohr, à Genève, on peut trouver du bon chocolat en plusieursendroits. La différence vient de la présentation. Nous avons une clientèle quiaime nos décors traditionnels».

Une tradition qui se teinte d’encore plus de créativité lorsque notre décora-trice découvre une figurine, «par exemple, une petite jeune fille qui porte unegerbe de lavande. En cherchant un peu, je trouve un ruban avec des brins delavande dessinés, puis des bouquets de lavandes en terre cuite. J’ai alors l’idéede concevoir des vitrines et des boîtes à partir de cette fleur odorante qui sentla Provence. Je m’approche ensuite des chocolatiers, au laboratoire, pour étu-dier avec eux la possibilité de créer une variété de chocolat qui fleure subtile-ment la lavande». Sylvia Rohr vient vérifier les stocks et se mêle à la conversation. La passionanime ces deux femmes qui s’entendent parfaitement. «Nous avons lesmêmes intuitions, les mêmes goûts. Les choix d’assortiments que nous faisonsse réalisent dans un même esprit», précise Sylvia Rohr, arrivée de Suisse allemande en 1963 dans la chocolatrie genevoise. Chez Rohr, des chocolats à la vitrine, de l’esthétique des boîtes à la décorationde leur emballage, tout est affaire d’harmonie.

www.chocolats-rohr.ch

Les Libertys surteints et leurs tenuesgalets piqués de couleurs aciduléesen sont un premier exemple.Pour celles et ceux qui recherchentdéjà une ligne plus artistique, despantalons larges tenus avec un grosfoulard à pois en guise de ceinture.Des couleurs bleu nuit, rouge et vertcru se mélangent à volonté.Pulls, chemises et pantalons arbo-rent des carreaux, des pois et dessemis de fleurs, à porter avec deslow-boots et des colliers de gris-gris.

Plus loin, les vêtements se parentde fines rayures qui cherchent desaccords avec les T-shirts sérigra-phiés. Des jeans immaculés rehaus-sés de gros pois et de vichys appor-tent une note plus tranchée. Lescouleurs deviennent argent, violetet turquoise.Pour les bains de mer, de longueskurtas viennent couvrir les maillotset les foulards se nouent dans les che-veux. La balade se termine avec despièces en crépon et des imprimésdélavés.

La collection Bonpoint est toujoursune invitation au voyage, unemanière élégante d’être dans l’enfance et la préadolescence, auxinstants où l’apparence vestimen-taire commence à jouer un rôleimportant.

www.bonpoint.com

CHOCOLATS ROHR

Les lunettes anciennes sont de plusen plus en vogue. Celles duMahatma Gandhi viennent de sevendre, aux enchères de New-York,au prix de 1,8 millions de dollars !«Sans aller jusqu’à de telles som-mes, révèle Alain Jaques, il est possible d’acquérir des modèlesanciens entièrement restaurés. Ondoit l’idée à Jay Owens, un pas-sionné de lunettes cerclées à mon-tures en or, fines et très légères. Cetaméricain s’est intéressé tout jeuneà ce genre de lunettes et a décidé,ses études terminées, de parcouriren camping-car les Etats-Unis etde collecter des montures de lunet-tes des années 1910 à 1970. Dansdes centaines de villes, il a ainsitrouvé des milliers de lunettes dansles stocks oubliés d’opticiens de tradition, mais aussi chez des particuliers, collectionneurs etantiquaires.Au final, il a réuni 3 mille modèlesde 15 fabricants et rassemblé prèsde cent mille montures originales.

Dans la foulée, il a créé son proprelabel, RetroSpecs & Co. AlainJaques poursuit : «chaque montureest nettoyée aux ultrasons puisdémontée et tous les éléments soigneusement examinés. Certaines

pièces doivent être refaites, àl’identique, en général les ponts et les extrémités des branches. Les autres, selon les besoins, sontsoudées, redressées, sablées, redo-rées, argentées, polies en tonneaude chêne durant plusieurs jours. Autotal, il faut 200 manipulationspour assembler une paire de lunet-tes. Chaque pièce est munie d’un numéro d’enregistrement. Leslunettes sont garanties une annéeet l’acquéreur sait qu’il pourra, à vie, obtenir le remplacementd’une pièce».

Les montures sont entièrementreconstituées. Elles ont l’aspect duneuf mais sont riches de toute unehistoire. Pilotes d’avion, écrivains,acteurs de cinéma, grands repor-ters, hommes d’affaires de WallStreet et avocats ont porté un jourl’une de ces lunettes. Derrière chacun de ces personnages les images défilent et l’imaginationpeut s’envoler.

La collection de référence de JayOwen, une pièce par modèle et partaille, est précieusement conservéedans un ancien meuble de cartesmarines dans sa boutique de LosAngeles. Les autres sont vendues

sur place ou chez les 120 opticiensagréés aux Etats-Unis, en Europe eten Asie. D’emblée ces lunettes ontrencontré un grand succès et descélébrités telles que Harrison Ford,Tom Cruise, Dustin Hoffmann etMichelle Pfeiffer les portent déjà.

A Genève, Jaques Opticiens enprésente une trentaine, de lectureou de soleil, toutes exceptionnel-les.Les découvrir, les essayer et, quisait, les acquérir vous entraîne dansune magnifique remontée dans le temps.

JAQUES OPTICIENS

Le Mythe dumouvement perpétuel

Chronométrie Kunz présente en permanence plusieurs modèles de lafameuse pendule Atmos, dont l'Atmos 561 by Marc Newson du nom du célèbre designer londonien d’origine australienne.Ce «tirage» exceptionnel de 888 exemplaires est composé d’un cabinet enforme de bulle en cristal de Baccarat qui souligne la nature aérienne dumouvement d’horlogerie qu’il renferme. C’est pour célébrer ses 175 ansd’existence que la célèbre maison de la Vallée de Joux Jaeger-LeCoultre a créé, en 2008, cette pendule de luxe aux lignes futuristes. L’événementmarquait également les 80 ans de la création d’un système qui reste unique au monde.

C’est en 1928 que l’ingénieur neuchâtelois Jean-Léon Reutter, fasciné depuissa prime jeunesse par le mythe du mouvement perpétuel, conçut cet ingé-nieux mécanisme, aujourd’hui toujours avant-gardiste. Jacques-DavidLeCoultre le développa grâce aux ressources de sa manufacture d’horlogerie.

Sophie Kunz nous en explique le principe révolutionnaire: «l’horloge puisel’énergie nécessaire à son fonctionnement dans les plus infimes variations detempérature de l’atmosphère ambiante. Ces changements provoquent lacontraction ou la dilation d’un gaz contenu dans un soufflet étanche quis’étend et se rétracte à son tour. La répétition incessante de ce phénomènel’apparente à une «respiration» dont les va-et-vient remontent un barilletqui maintient en fonctionnement un mécanisme particulièrement économeen énergie. Une variation d’un seul degré suffit en effet à assurer son fonctionnement pendant 48 heures».

Le balancier annulaire de la pendule, visible à travers le cabinet de verre, nedécrit que deux majestueuses alternances par minute. Ainsi, une Atmosconsomme 250 fois moins d’énergie qu’une montre-bracelet mécanique sim-ple (qui bat 300 fois par minute). Il faudrait 60 millions d’Atmos pouréclairer une seule ampoule de 15 watts. Le mécanisme le moins consomma-teur d’énergie jamais inventé par l’homme.

CHRONOMETRIE KUNZ

«Son secret, poursuit Sophie Kunz, réside dans la membrane située à l’arrière du mécanisme, capable de capter l’énergie thermique des variationsquotidiennes de température de notre environnement et de la transformeren énergie mécanique. Seule la lenteur de son mécanisme et son incroyable suspension du balancier sur un fil en elinvar assurent un fonctionnementsans faille à travers les siècles

La pendule Atmos est devenue l’un des cadeaux officiels que laConfédération helvétique offre à ses hôtes de marque. Des personnalités telles Sir Winston Churchill, le Président J.F. Kennedy, le Général de Gaulle ou S.M. le roi Juan Carlos Ier en ont reçu une.

www.chronokunz.ch

D’authentiques lunettes vintage

Truman Capote

Whoopi Goldberg

Harrison Ford

Sean Connery

Les tendances coiffure

La course à pied, les randonnées pédestres et autres sports qui mettent jambes et pieds à l’épreuve nécessitent un bon équipement certes, maissurtout une bonne stabilité plantaire.

Avant de se lancer dans les courses pédestres et autres marathons, les passionnés de ce genre de sports doivent pouvoir trouver conseils et équipements. Hofstetter Sports leur offre un tel encadrement qui s’adresseégalement aux amateurs, pour qui les contraintes sont les mêmes, quoiquemoins élevées.

La maison a réuni les compétences professionnelles et techniques afin derépondre aux besoins des uns et des autres. Au départ, il s’agit d’établirune analyse de la pression statique et de la pression dynamique exercées surla surface plantaire. Ceci, grâce à un programme informatisé qui met enévidence le degré d’instabilité de la surface des pieds. Ce degré est révélépar un contrôle vidéo et par une mesure de la pression sur les différenteszones plantaires.

Cet examen permet aux conseillères de vente de la maison, qui ont suiviune formation spécifique et qui possèdent une très bonne expérience,d’orienter chaque client vers la chaussure la plus appropriée. Le choix d’un support plantaire réalisé selon la morphologie de chacun est également primordial. Celui-ci doit avant tout tenir compte de la biomé-canique spécifique à chaque personne. La semelle de soutien vient assurerla neutralité recherchée. Une garantie de ne pas avoir mal aux pieds et dene pas développer des problèmes ultérieurs.

Le directeur, Stéphane Montani, souligne «qu’il est préférable, dans cesdomaines, de ne pas s’équiper sans les recommandations avisées de vraisprofessionnels qui pratiquent eux-mêmes ces sports. Nourris de leur expé-rience et de leur formation, ils sont à même de prodiguer les conseils lesplus judicieux. Ces soutiens sont essentiels pour de nombreux sports».

L’été voit aussi apparaître les maillots, les tuniques et les linges de bain. «Pour celles et ceux qui désirent des couleurs sobres, des coupes nouvelleset bien réalisées, poursuit Stéphane Montani, nous proposons la gamme de la marque Prada dont la fameuse ligne de bain Linea Rossa, le style sport chic au féminin et au masculin. Une ligne qui intègre nus-pieds, T-shirts et robes». Le confort, essentiel, dans les sports de loisirs et de compétition sait aussi trouver son élégance. Une approche quecultive depuis des années la maison Hofstetter.

www.hosfstetter-sports.ch

Le confort et l’élégance de l’étéHOFSTETTER SPORTS

Il en est de la coiffure comme dela mode. Chaque année, des ten-dances nouvelles apparaissent.Dans le monde des artistes et desartisans du cheveu, la HauteCoiffure Française joue un rôledéterminant en stimulant la création, en découvrant de nou-veaux talents et en déterminantles styles de la saison à venir.Cette association de prestige,créée en 1945, rassemble 1'800

professionnels de la branche dansune quarantaine de pays.

Les tendances de l’été 2009 sedéclinent selon la longueur descheveux. Pour les courts, les cou-pes au carré se font plus doucesou asymétriques, dégradées oudécoiffées. Pour les longs et mi-longs, les cheveux sont lissesavec frange épaisse ou ondulés eten dégradé.

Damien est très actif au sein decette organisation, sa curiosité etson envie de participer à la créa-tion dans le monde de la modecoiffure se renforcent chaqueannée. Il nous raconte: «deuxfois l’an, un salon, au Carrouseldu Louvre à Paris, donne le «la»et un site Internet assure le lienentre tous les créateurs mem-bres de la « Haute CoiffureFrançaise». Des concours, desprésentations sous forme de défi-lés coiffure, des shows de coupeet de «coiffage», des collectionset des échanges techniquesconstituent l’essentiel des activi-tés de l’association. C’est unemanière de se tenir au courant, deconfronter son art à celui desautres, de comparer son expé-rience des produits et des techni-ques, dans un esprit de camara-derie et de fairplay. Une vraie stimulation pour nous tous !C’est aussi une garantie pour lesclients. Ceux-ci peuvent être sûrsque nous sommes attentifs auxderniers développements enmatière de soins capillaires, deteintures et de techniques».L’association en Suisse est aussitrès active. En nombre de mem-bres, elle est la troisième sur le

DAMIEN & CO

plan international, juste derrièrela France et l’Italie. Sous la prési-dence de Damien, elle est aussil’une des plus actives. «Chaqueannée, deux shows de présenta-tion sont organisés durant lesquels de nouvelles créationssont présentées et des informa-tions concernant les techniqueset les produits utilisés sont com-muniquées».

Les coiffeurs tels que Damien ne se reposent jamais sur leurs lauriers. Constamment, ils parti-cipent à des sessions de présenta-tion et sont ainsi stimulés à l’excellence dans la «mode coiffure». En professionnels, ilss’adaptent à toutes les natures decheveux, à la forme de la tête, àl’apparence générale du client, àsa personnalité, à ses intentionsesthétiques. Ils savent dialogueret aider chacun à dessiner l’appa-rence qui lui convient. Membresde l’élite mondiale, ils ont pour but de créer «des modes élégantes, raffinées et profession-nelles». De quoi rassurer lesclientes et les clients, même lesplus exigeants.

www.damien-and-co.ch

© Photo: Alain Boquet