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L’Agence télégraphique juive (JTA, Jewish Telegraphic Agency) rapporte, dans une dépêche datée du 3 décembre 2013, que la communauté juive installée au Maroc s’inquiète de l’afflux de criminels issus de la diaspora. Des dizaines de membres de la puissance mafia juive se sont installés ces dernières années dans le pays, d’où ils dirigent leurs trafics internationaux, avec le soutien tacite d’une partie du pouvoir. Les mafieux vivaient paisiblement au Maroc, en se faisant relativement discrets jusqu’à ces derniers mois. C’est l’arrivée du rabbin orthodoxe Eliezer Berland, en fuite lui aussi, qui a révélé la présence de ces nombreux criminels. Poursuivi pour plusieurs agressions sexuelles contre des jeunes femmes et soupçonné d’actes pédocriminels, il s’est réfugié dans le royaume chérifien au début de l’année. Il a agi de façon aussi provocatrice que les membres des réseaux criminels adoptaient un profil bas. Le rabbin Berland, chef d’une petite secte extrémiste, regroupée autrefois dans la ville de Jérusalem occupée autour de l’école shouvou banim a séjourné durant plusieurs mois dans le pays où il avait recréé autour de lui une petite cour, dont le nombre de fidèles variait entre quelques dizaines et plusieurs centaines. Parmi ses adeptes se trouvait son petitfils, qui a tenu à célébrer son mariage à Marrakech, sous l’autorité du rabbin violeur. Le professeur Zvi Mark, spécialiste des mouvements hassidiques à l’université de BarIlan, a rappelé que la secte est connue, antérieurement aux accusations de viols et d’agressions pédophiles de son chef, pour avoir servi de refuge à ses débuts à de nombreuses personnes, condamnées pour des crimes violents. « L’émergence d’un Maroc perçu comme la place où aller pour la mafia juive est très mauvaise pour les relations islamojudaïques ici, et de nombreux juifs marocains le savent. La dernière chose dont nous avons besoin est d’un criminel sexuel » a déclaré le président de la Fédération mondiale des Juifs du Maroc Sam ben Chetrit. Si le délinquant sexuel vit désormais au Zimbabwe 1 – les autorités marocaines n’ont pas renouvelé son visa –, les autres criminels qui ont trouvé refuge au Maroc, et qui vivaient jusqu’ici discrètement, se retrouvent sous le feu des projecteurs. Ces dizaines de mafieux ne passent pas inaperçus au sein de la petite communauté juive du Maroc, qui ne compte que 4 000 membres.

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L’Agence télégraphique juive (JTA, Jewish Telegraphic Agency) rapporte, dans une dépêche datéedu 3 décembre 2013, que la communauté juive installée au Maroc s’inquiète de l’afflux de criminelsissus de la diaspora. Des dizaines de membres de la puissance mafia juive se sont installés cesdernières années dans le pays, d’où ils dirigent leurs trafics internationaux, avec le soutien tacited’une partie du pouvoir.Les mafieux vivaient paisiblement au Maroc, en se faisant relativement discrets jusqu’à cesderniers mois. C’est l’arrivée du rabbin orthodoxe Eliezer Berland, en fuite lui aussi, qui a révélé laprésence de ces nombreux criminels. Poursuivi pour plusieurs agressions sexuelles contre desjeunes femmes et soupçonné d’actes pédocriminels, il s’est réfugié dans le royaume chérifien audébut de l’année. Il a agi de façon aussi provocatrice que les membres des réseaux criminelsadoptaient un profil bas.

Le rabbin Berland, chef d’une petite secte extrémiste,regroupée autrefois dans la ville de Jérusalem occupéeautour de l’école shouvou banim a séjourné durantplusieurs mois dans le pays où il avait recréé autour delui une petite cour, dont le nombre de fidèles variaitentre quelques dizaines et plusieurs centaines. Parmises adeptes se trouvait son petit­fils, qui a tenu àcélébrer son mariage à Marrakech, sous l’autorité durabbin violeur.Le professeur Zvi Mark, spécialiste des mouvementshassidiques à l’université de Bar­Ilan, a rappelé que lasecte est connue, antérieurement aux accusations de

viols et d’agressions pédophiles de son chef, pour avoir servi de refuge à ses débuts à denombreuses personnes, condamnées pour des crimes violents.

« L’émergence d’un Maroc perçu comme la place où aller pour la mafia juive est très mauvaisepour les relations islamo­judaïques ici, et de nombreux juifs marocains le savent. La dernièrechose dont nous avons besoin est d’un criminel sexuel »

a déclaré le président de la Fédération mondiale des Juifs du Maroc Sam ben Chetrit.

Si le délinquant sexuel vit désormais au Zimbabwe1 – les autorités marocaines n’ont pas renouveléson visa –, les autres criminels qui ont trouvé refuge au Maroc, et qui vivaient jusqu’icidiscrètement, se retrouvent sous le feu des projecteurs. Ces dizaines de mafieux ne passent pasinaperçus au sein de la petite communauté juive du Maroc, qui ne compte que 4 000 membres.

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Discrets, ils n’en sont pas moins très actifs dans leurs commerces respectifs : drogue, prostitution,etc. Selon la police, la mafia juive a largement investi au Maroc, plus de 15 millions d’euros, via lesréseaux de Meir Abergil, Moshe Elgrably et Shalom Domrani, trois des principaux chefs de famillesde la mafia juive, tous trois réfugiés dans le pays.

« Les Juifs n’ont jamais été soupçonnés d’assassinat ou de viol ici2. Nous sommes bienrespectés. Je ne vais pas les laisser détruire cela ».

a prévenu Maguy Kakon, qui dirige un petit parti politique.La présence de la mafia juive avait été révélée par plusieurs enquêtes journalistiques ces derniersmois, via Ya Biladi un important médiat marocain, mais également la chaîne israélienne Channel 2,ou le magazine francophone Les Temps.Si la communauté juive locale a fini par trouver la présence de ces criminels encombrante, c’estaussi que le Maroc se trouve confronté à une montée de l’islamisme qui a vu le Parti de la justiceet du développement devenir en 2011 le premier parti du pays. La présence voyante de pédophilesou de trafiquants de drogues internationaux donne des motifs supplémentaires aux Marocains pourvouloir sévir contre la communauté juive locale, sur fond de rejet de l’État d’Israël.Jusqu’ici, Mohammed VI, est apparu comme le protecteur libéral des Juifs ; il a été jusqu’à affirmeril y a quelques mois l’importance des « influences hébraïques » sur la culture marocaine,participant à la rénovation de plus de cent synagogues etc. Mais il pourrait lui aussi vouloir sedébarrasser de bien gênants alliés. __________________1 Il est à noter que le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, qui accueille à bras ouvert un pédocriminel juif, a organisél’élimination physique des Blancs, notamment les fermiers qui ont été la cible d’un véritable génocide, qui, de près de300 000 en 1975 ne sont plus aujourd’hui que quelques milliers.2 Souligné par nous.