le coran ouvre la voie a la science

8/14/2019 LE CORAN OUVRE LA VOIE A LA SCIENCE

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Janvier 2007

www.harunyahya.com/fr

e-mail : [email protected]

Au nom de Dieu, le Tout Misricordieux,

le Trs Misricordieux


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A PROPOS DE L'AUTEUR

L'auteur, qui crit sous le pseudonyme HARUN YAHYA, est n Ankara en

1956. Il a effectu des tudes artistiques l'Universit Mimar Sinan d'Istanbul, et a

tudi la philosophie l'Universit d'Istanbul . Depuis les annes 80, il a publi de

nombreux ouvrages sur des sujets politiques et scientifiques. Harun Yahya est deve-

nu clbre pour avoir remis en cause la thorie de l'volution et dnonc l'imposture

des volutionnistes. Il a galement mis en vidence les liens occultes qui existent

entre le darwinisme et les idologies sanglantes du 20me sicle.

Les ouvrages de Harun Yahya, traduits en 41 langues, constituent une collec-

tion de plus de 45.000 pages et 30.000 illustrations.Son pseudonyme est constitu des noms "Harun" (Aaron) et "Yahya" (Jean), en

mmoire ces deux prophtes estims qui ont tous deux lutt contre le manque de

foi de leurs peuples. Le sceau du Prophte (paix et bndiction sur lui) qui figure sur

la couverture des livres de l'auteur, revt un caractre symbolique li leur contenu.

Ce sceau signifie que le Coran est le dernier Livre de Dieu, Son ultime parole, et que

notre Prophte (paix et bndiction sur lui)) est le dernier maillon, et donc le seau, de

la chane prophtique. En se rfrant au Coran et la Sounna, l'auteur s'est fix

comme objectif d'anantir les arguments des tenants des idologies athes en vue de

rduire au silence les objections souleves contre la religion. Le Prophte (paix et

bndiction sur lui) a atteint les plus hauts niveaux de la sagesse et de la perfection

morale ; c'est pourquoi son sceau est utilis avec l'intention de rapporter le dernier

mot.

Tous les travaux de l'auteur sont centrs sur un seul objectif : transmettre aux

gens le message du Coran, en les incitant rflchir aux questions lies la foi, telles

que l'existence de Dieu, Son unicit, l'au-del, et en exposant les fondements pr-caires et les idologies perverses des systmes athes.

L'uvre de Harun Yahya est connue travers de nombreux pays, de l'Inde aux

tats-Unis, du Royaume-Uni l'Indonsie, de la Pologne la Bosnie, de l'Espagne au

Brsil.

Certains de ses livres sont disponibles dans les langues suivantes : l'anglais, le

franais, l'allemand, l'espagnol, l'italien, le portugais, l'urdu, l'arabe, l'albanais, le chi-

nois, le swahili, le hausa, le divehi (parl l'le Maurice), le russe, le serbo-croate (bos-

niaque), le polonais, le malais, l'ougour, l'indonsien, le bengali, le danois et le su-dois. Cest dire que de nombreux lecteurs du monde entier les apprcient.

Ces ouvrages ont permis de nombreuses personnes d'attester de leur croyan-

ce en Dieu, et d'autres d'approfondir leur foi. La sagesse et le style sincre et fluide


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de ces livres leur confrent une caractristique bien particulire qui ne manque pas

de frapper ceux qui les lisent ou qui sont amens les consulter. Ceux qui mditent

srieusement ces livres ne peuvent plus soutenir l'athisme ou toute autre idologieet philosophie matrialistes, tant il est vrai que ces ouvrages sont caractriss par une

efficacit toutes preuves, des rsultats certains et l'irrfutabilit. Mme s'il y a tou-

jours des personnes qui continuent le faire, il ne sagit que dun attachement sen-

timentale puisque ces livres rfutent les fondements mmes de telles idologies. Tous

les mouvements ngativistes contemporains sont maintenant vaincus du point de

vue idologique, grce aux livres de Harun Yahya. L'auteur ne tire pas de fiert per-

sonnelle de son travail ; il espre seulement apporter un son soutien ceux qui cher-

chent la voie de Dieu. Aucun bnfice matriel n'est recherch travers la publica-tion de ces livres.

Ceux qui encouragent les autres lire ces livres, ouvrir les yeux du cur et

devenir de meilleurs serviteurs de Dieu rendent un service inestimable en seront

rcompenss par Dieu.

Par ailleurs, encourager des livres qui crent la confusion dans l'esprit des gens,

qui mnent au chaos idologique et qui, manifestement, ne servent pas dissiper le

doute qui habite le cur des gens, nest que perte de temps et d'nergie. Il est impos-

sible pour des ouvrages crits dans le seul but de mettre en valeur laptitude littrai-

re de leur auteur, plutt que de servir le noble objectif de ramener les gens dans le

droit chemin , d'avoir un impact si important. Ceux qui en doutent se rendront ais-

ment compte que Harun Yahya ne cherche travers ses livres qu' vaincre l'incrdu-

lit et diffuser les valeurs morales du Coran. Le succs et l'impact cet engagement

sont vidents dans la conviction des lecteurs.

Il convient de garder l'esprit un point essentiel : la raison des cruauts inces-

santes, des conflits et des souffrances dont la majorit des gens sont les perptuellesvictimes, est la prdominance idologique de l'incroyance sur cette terre. On ne pour-

ra mettre fin cette triste ralit que par la dfaite de l'incrdulit et en sensibilisant

le plus grand nombre aux merveilles de la cration ainsi qu' la morale coranique,

pour que chacun puisse vivre en accord avec elle. En observant l'tat actuel du monde

qui ne cesse d'aspirer les gens dans la spirale de la violence, de la corruption et des

conflits, il apparat vital que ce service rendu l'humanit le soit encore plus rapide-

ment et efficacement. Sinon, il se pourrait bien que les dgts causs soient irrver-

sibles.

Les livres de Harun Yahya, qui assument le rle principal dans cet effort, consti-

tueront par la volont de Dieu un moyen par lequel les gens parviendront la paix

en ce 21me sicle, la justice et au bonheur promis dans le Coran.


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A LATTENTION DU LECTUR

Dans tous les livres de l'auteur, les questions lies la foi sont

expliques la lumire des versets coraniques et les gens sont

invits connatre la parole de Dieu et vivre selon Ses prceptes.

Tous les sujets qui concernent les versets de Dieu sont expliqus

de telle faon ne laisser planer ni doute, ni questionnement dans

l'esprit du lecteur. Par ailleurs, le style sincre, simple et fluide

employ permet chacun, quel que soit son ge ou son apparte-

nance sociale, d'en comprendre facilement la lecture. Ces critsefficaces et lucides permettent galement leur lecture d'une seule

traite. Mme ceux qui rejettent vigoureusement la spiritualit res-

teront sensibles aux faits rapports dans ces livres et ne peuvent

rfuter la vracit de leur contenu.

Ce livre et tous les autres travaux de l'auteur peuvent tre lus

individuellement ou tre abords lors de conversations en grou-

pes. Les lecteurs qui dsirent tirer le plus grand profit des livrestrouveront le dbat trs utile dans le sens o ils seront en mesure

de comparer leurs propres rflexions et expriences celles des

autres.

Par ailleurs, ce sera un grand service rendu la religion que

de contribuer faire connatre et faire lire ces livres, qui ne sont

crits que dans le seul but de plaire Dieu. Tous les livres de l'au-

teur sont extrmement convaincants. De ce fait, pour ceux quisouhaitent faire connatre la religion d'autres personnes, une des

mthodes les plus efficaces est de les encourager les lire.

Dans ces livres, vous ne trouverez pas, comme dans d'autres

livres, les ides personnelles de l'auteur ou des explications fon-

des sur des sources douteuses. Vous ne trouverez pas non plus

des propos qui sont irrespectueux ou irrvrencieux du fait des

sujets sacrs qui sont abords. Enfin, vous n'aurez pas trouvergalement de comptes-rendus dsesprs, pessimistes ou susci-

tant le doute qui peut affecter et troubler le cur.


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INTRODUCTION 8

LA RELIGION ENCOURAGE LA SCIENCE... 12

LA RELIGION DIRIGE LA SCIENCE DANS LA

BONNE DIRECTION... 20

LA RELIGION ET LA SCIENCE SONT TOUJOURS

EN ACCORD... 68

LES MIRACLES SCIENTIFIQUES DU CORAN... 84

LES SAVANTS DE FOI... 126

CONCLUSION... 195


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INTRODUCTION

Dieu appelle l'humanit tudier et rflchir sur les cieux, la terre, les

montagnes, les toiles, les plantes, les animaux, la succession de la nuit et

du jour, la cration de l'homme, la pluie ainsi que sur beaucoup d'autres

crations. En examinant cela, l'homme arrive voir lart de Dieu dans lemonde qui l'entoure et finalement arrive connatre le Crateur Suprme,

crateur de l'univers entier et de tout son contenu partir du nant.

La science offre une mthode qui permet dexaminer toutes les com-

posantes de l'univers afin de dcouvrir la beaut dans la cration divine,

la communiquant ainsi l'humanit. La religion encourage donc la

science, en l'adoptant comme un instrument qui permet d'tudier la

cration.LIslam est une religion qui non seulement encourage la recherche

scientifique mais lui permet aussi, sur la base des faits rvls, d'tre

concluante et efficace. Cela est d au fait que la religion fournit des

rponses prcises et dfinitives des sujets comme la cration de la vie et

de l'univers. Ainsi, lorsqu'elle est fonde sur de bonnes bases, la recherche

rvle-t-elle des vrits concernant l'origine de l'univers et l'organisation

de la vie, et ce dans les plus courts dlais et avec un minimum d'effort etd'nergie. Comme la dit Albert Einstein, lun des plus grands savants du

20me sicle, la science sans la religion est boiteuse, autrement dit, si la

science n'est pas guide par la religion, elle ne peut avancer correctement,

perd ainsi du temps obtenir certains rsultats et, ce qui est pire encore,

dans ce cas elle est souvent peu concluante.

Les tudes scientifiques menes par les savants matrialistes ne per-

mettent pas de voir la ralit ; cela a t le cas en particulier au cours desdeux derniers sicles. Cela a caus un gaspillage norme de temps, beau-

coup de recherches ont t poursuivies en vain et les millions de dollars

investis nont produit gure de rsultats significatifs.

L E C O R A N O U V R E L A V O I E A L A S C I E N C E

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Il existe une vrit dvidence que lon peut reconnatre sans ambages :

la science ne permet d'obtenir des rsultats fiables que si elle adopte

comme seul objectif la recherche des signes de la cration dans l'univers

et quelle nadopte que cela comme unique fin.La science ne peut atteindre son ultime objectif dans les dlais les plus

courts que si son objet de recherche est bien choisi, ce qui implique quel-

le soit correctement dirige.


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LA RELIGION ENCOURAGE

LA SCIENCE

L'Islam est la religion de la raison et de la conscience. L'tre humain

reconnat la vrit proclame par Dieu en utilisant sa sagesse, cependant,

il tire des conclusions de la vrit observe en suivant sa conscience. Une

personne qui suit sa raison ainsi que sa conscience, lorsquelle examine les

caractristiques de n'importe quel objet de l'univers, mme si elle nest

pas experte dans ce domaine, est en mesure de comprendre que cela a t

cr par le Dtenteur de la sagesse, de la connaissance et du pouvoir infi-

nis. Et mme si cette personne ne dcouvre que quelques-uns des milliers

de facteurs qui ont rendu possible la vie sur terre, il lui sera facile de com-prendre que le monde a t cr de sorte que la vie puisse exister en son

sein. Par consquent, toute personne utilisant sa raison ainsi que sa

conscience comprend rapidement labsurdit de laffirmation que le

monde a t cr par hasard. En bref, une telle personne ne peut que

reconnatre les signes de Dieu de faon trs claire. Un verset fait rfren-

ce ce type de personne de la manire suivante :

qui, debout, assis, couchs sur leurs cts, invoquent Dieu et

mditent sur la cration des cieux et de la terre (disant) : "Notre

Seigneur ! Tu n'as pas cr cela en vain. Gloire Toi ! Garde-nous du

chtiment du feu." (Coran, 3 : 191)

Dans le Coran, Dieu appelle les gens rflchir et examiner les signes

de la cration. Le Prophte Mohammed (pbsl), a galement incit les gens

acqurir le savoir. Il a galement soulign notre obligation chercher ce

savoir, dans son fameux hadith authentique :La recherche de la connaissance incombe tout musulman.1

Acquiers la connaissance et transmets-la aux autres.2

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Les signes de l'existence de Dieu, le Crateur exalt,dans l'univers, sont clairement apparents quiconquepense, utilise sa sagesse et suit sa conscience.

Toute personne qui enqute sur les mcanismes internes de l'univers,

que ce soit pour les tres vivants ou inertes, et qui fait des recherches sur

ce qu'il observe autour de lui, arrivera reconnatre la supriorit de la

sagesse de Dieu, de Sa connaissance et de Son ternelle puissance.Les versets suivants du Coran dsignent les sujets sur lesquels Dieu

invite l'homme rflchir :

N'ont-ils donc pas observ le ciel au-dessus d'eux, comment Nous

l'avons bti et embelli ; et comment il est sans fissures ? Et la terre,

Nous l'avons tendue et Nous y avons enfonc fermement des mon-

tagnes et y avons fait pousser toutes sortes de magnifiques couples

de [vgtaux], titre d'appel la clairvoyance et un rappel pour tout

serviteur repentant. Et Nous avons fait descendre du ciel une eau

bnie, avec laquelle Nous avons fait pousser des jardins et le grain

qu'on moissonne, ainsi que les hauts palmiers aux rgimes superpo-

ss. (Coran, 50 : 6-10)


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Celui qui a cr sept cieux superposs sans que tu voies de dispro-

portion en la cration du Tout Misricordieux. Ramne [sur elle] le

regard. Y vois-tu une brche quelconque ? (Coran, 67: 3)

Que l'homme considre donc de quoi il a t cr. (Coran, 86 : 5)Ne considrent-ils donc pas les chameaux, comment ils ont t crs,

et le ciel comment il est lev, et les montagnes comment elles sont

dresses, et la terre comment elle est nivele ? (Coran, 88 : 17-20)

Comme le dmontrent clairement les versets ci-dessus, Dieu incite l'hu-

manit tudier et examiner diffrents aspects du monde comme le ciel,

la pluie, les animaux, la naissance ainsi que les repres gographiques.

Une des faons dexplorer ces sujets est, comme prcis prcdemment, travers la science. L'observation scientifique permet l'homme de s'initier

aux mystres de la cration et partant, la connaissance ternelle de Dieu,

Sa sagesse et Sa puissance. La science est une faon de faire une juste

valuation de Dieu. Pour cette raison, travers l'histoire, un grand

nombre de savants qui ont rendu de grands services l'humanit taient

des croyants dvous.

La foi en Dieu motive les savants et incite la recherche

Comme prcis plus haut, la religion encourage la science. Ceux qui

suivent leur raison et leur conscience dans la poursuite de la recherche

scientifique acquirent une foi relle parce qu'ils apprhendent les signes

de Dieu. Ils sont confronts un systme sans dfauts et des dtails par-

faits crs par Dieu dans chaque dcouverte quils font quel que soit le

domaine de la recherche. Comme le Prophte Mohammed, le Messager de

Dieu, (pbsl) l'a dit, ils agissent en sachant que "Celui qui part la

recherche du savoir est (dvou) la cause de Dieu jusqu' son retour."3

Un scientifique conduisant des recherches sur l'il, par exemple,

dcouvre, en reconnaissant son systme complexe, qu'il n'aurait jamais pu

apparatre via un processus graduel de concidences. Des tudes plus

approfondies le mneront raliser que chaque dtail de la structure de

l'il est une cration miraculeuse. Il s'apercevra que l'il est constitu dedizaines de composants travaillant les uns avec les autres en harmonie, ce

qui augmentera son merveillement sur les choses que Dieu a cres.

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Ceux dont les connaissances des recherches scientifiques proviennentsurtout de leurs rsultats pratiques dveloppent facilement une notioncompltement fausse de la mentalit des hommes qui, entours par un

monde sceptique, ont montr la voie des esprits apparents traversle monde et les sicles. Seuls ceux qui ont dvou leur vie des butssimilaires peuvent comprendre ce qui a inspir ces hommes et ce quileur a donn la force de suivre leur but en dpit d'checs innombrables.C'est le sentiment religieux cosmique qui donne l'homme une telle

force. Un contemporain a dit, assez justement, qu' notre poque mat-rialiste les seuls vritables travailleurs sont les gens profondment reli-gieux.4

Johannes Kepler raconta qu'il s'engagea dans la science afin d'exami-ner les uvres du Crateur, tandis qu'Isaac Newton, un autre grand

scientifique, nona que la meilleure motivation derrire son intrt pour

la science tait son dsir d'avoir une meilleure sensation et une meilleu-

re connaissance de Dieu.

Ce ne sont les remarques que de quelques-uns des plus minents

savants de l'histoire. Ceux-l, ainsi que des centaines d'autres savants que

nous allons prendre en considration dans les pages venir, en sontvenus croire en l'existence de Dieu en explorant l'univers, et, impres-

sionns par les lois et les phnomnes que Dieu a magnifiquement crs,

ont voulu en connatre plus.

Comme nous le verrons, le dsir d'apprendre la manire avec laquelle

Dieu a cr l'univers a servi de facteur de motivation pour de nombreux

savants. C'est essentiellement d au fait que celui qui peroit que l'uni-

vers et tous les tres vivants sont crs peroit galement que la crationa un but. Ce but mne ensuite la signification. C'est l'aspiration com-

prendre cette signification, dcouvrir ses signes et ses dtails, qui peut

grandement acclrer les tudes scientifiques.

Mais si l'on dnie le fait que l'univers et les tres vivants aient t crs,

cette signification s'chappe. Un scientifique croyant en la philosophie mat-

rialiste et au darwinisme supposera que l'univers est sans but, et que toutes

les choses sont l'uvre du hasard aveugle. Par consquent, les recherchessur lunivers et les tres vivants se feront alors sans qute de sens. En par-

lant de ce fait, Einstein nona : "Je n'ai pas trouv de meilleure expression

que 'religieuse' pour la confiance dans la nature rationnelle de la ralit,


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dans la mesure o elle est accessible la raison humaine. Quand ce senti-

ment est absent, la science dgnre en un empirisme non inspir."5

Dans un tel cas, le seul but d'un scientifique sera de devenir clbre

grce une dcouverte rvolutionnaire, ou d'tre inscrit dans l'histoire, oude devenir riche. De tels buts peuvent facilement le dtourner de son int-grit scientifique et de sa sincrit. Par exemple, dans le cas o uneconclusion laquelle il a abouti via des recherches scientifiques est encontradiction avec le point de vue conventionnel de la communautscientifique, il peut tre forc de la passer sous silence, afin de ne pasperdre sa renomme, ou d'tre dnigr ou dgrad.

L'acceptation de la thorie de l'volution dans le monde scientifique est

un exemple de ce type de manque de sincrit. Au fond, de nombreuxsavants, face au fait scientifique, ont conscience que la thorie volution-niste est bien loin d'expliquer l'origine de la vie, mais ils ne peuvent pasl'noncer ouvertement, car ils ont peur d'affronter une raction ngative.Dans cette ligne de pense, le physicien britannique H.S. Lipson fait laconfession suivante :

Nous connaissons aujourd'hui beaucoup plus de choses sur la matire

vivante que Darwin son poque. Nous savons comment les nerfsfonctionnent et je considre chaque nerf comme un chef-d'uvre d'in-gnierie lectrique. Et nous possdons des milliers de millions de cesnerfs dans notre corps "Conception" est le mot qui vient l'esprit,sur ce sujet. Mes collgues biologistes ne l'aiment pas.6

Le mot "conception" est mis l'cart dans la littrature scientifique sim-

plement parce qu'on ne l'aime pas, de nombreux savants succombant un

tel dogmatisme. En parlant de ce problme, Lipson dit :En fait, l'volution est devenue en un sens une religion scientifique ;pratiquement tous les savants l'ont accepte et beaucoup d'entre euxsont prpars "tordre" leurs observations pour s'accorder avec elle.7

Cette situation indsirable est le rsultat de la tromperie de la "sciencesans Dieu" qui domine la communaut scientifique depuis le milieu du19me sicle. Pourtant, comme disait Einstein, "la science sans religion estboiteuse"8. L'illusion n'a pas seulement dirig la communaut scienti-fique vers des buts errons, mais a galement cr des savants qui, bienque reconnaissant l'erreur, lui restent indiffrents.

Nous allons traiter du premier sujet en dtail dans les pages suivantes.

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Chaque tre vivant dansl'univers possde uneconception parfaite. Par

exemple, comme le mettaiten avant le physicienLipson, un nerf minusculeest un chef-d'uvre degnie lectrique.

Dendrite

Axone

Myline

Corps dela cellule

Noyau de lacellule

Croire au "dsir de servir" des savants

Puisque les savants qui croient en lunicit et en lomnipotence de Dieu

nont aucun dsir pour les profits de ce monde, comme le statut, le rang,

la rputation ou largent, leurs efforts dans les recherches scientifiquessont sincres. Ils savent que chaque mystre de lunivers quils claircis-

sent aide lhumanit mieux comprendre Dieu, rvler la connaissance

et la puissance infinie de Dieu. Confirmer lhumanit lexistence de

Dieu, lui dmontrer la ralit de la cration, est un acte dadoration

important pour un croyant.

Conduits par des intrts aussi sincres, les savants croyants conduisent

des recherches considrables avec un grand enthousiasme, pour dcouvrirles lois de lunivers, les systmes miraculeux dans la nature, et les mca-

nismes parfaits et les comportements intelligents des tres vivants. Ils

accomplissent de grands rsultats et font des progrs immenses. Ils ne

vacillent jamais en face des problmes quils rencontrent, ils ne perdent pas

courage quand ils chouent tre apprcis des autres. Ils ne cherchent

qu gagner lapprobation de Dieu pour le travail quils accomplissent.

Ils sefforcent dtre utiles aux autres croyants simplement pour lagr-ment de Dieu. Et ils ne reconnaissent aucune limite leurs efforts. Ils font

de leur mieux pour tre le plus utile aux gens, et pour les servir de la

meilleure manire quil soit. De plus, leurs efforts sincres les rendent trs

productifs, et leurs tudes aboutissent des rsultats positifs.


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Ceux qui supposent que la science doit tre spare de la religion font

une trs grande erreur. Tout dabord, ceux qui ne croient pas en Dieu ne

peuvent exprimenter llvation spirituelle de la foi. Les projets scienti-

fiques quils initient avec un grand zle deviennent rapidement mono-tones et peu passionnants. Leur motivation, avec un tel tat desprit, nest

que de rcolter des profits de ce monde. En cherchant satisfaire ces

dsirs, comme la richesse, le rang social, la rputation ou le prestige, ils ne

sengagent que dans des recherches qui contribueront directement de tels

bnfices personnels. Par exemple, un scientifique ayant un tel tat des-

prit et motiv par des intrts carriristes ne mnera des recherches que

dans les domaines qui aboutiront une promotion. Il ne sera pas intresspar des recherches sur un sujet utile lhumanit moins que cela ne serve

ses propres intrts. Ou bien, sil est en position de faire un choix entre

deux sujets de recherche, il choisira celui qui lui rapportera le plus de gains

matriels, de prestige ou de rang social, et abandonnera celui qui pourrait

tre plus bnfique pour lhumanit. En bref, ce genre de savants est rare-

ment utile lhumanit, chouant servir le plus grand bien moins quil

y ait quelque gratification en retour. Quand lopportunit de gains person-nels sefface, il en va de mme de leur dsir de servir lhumanit.

Le Prophte Mohammed, le Messager de Dieu, (pbsl), a galement

mentionn les torts causs par cette mentalit. Il a dit :

Ne cherchez pas la connaissance pour polmiquer avec dautressavants et pour prouver votre supriorit, ou pour vous disputer aveclignorant ou pour attirer lattention des gens.9

Dun autre ct, le Prophte Mohammed (pbsl) a lou la propagationde la connaissance. Un de ses hadiths indique :

Dieu envoie des bndictions sur ceux qui instruisent les gens pour

lacquisition dun savoir bnfique.10

Ayant conscience des bndictions quelle recevra, lenthousiasme et la

motivation sincre vcue par une personne qui croit en Dieu lui ouvre de

nouvelles perspectives, pas seulement dans le domaine de la science, mais

aussi dans bien dautres sphres de la vie, comme lart, la culture etc. Unepersonne dune telle noblesse ne saffaiblit jamais, au contraire, sa moti-

vation ne fait que sintensifier.

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LA RELIGION DIRIGE LA

SCIENCE DANS LA BONNE

DIRECTION

La science est linvestigation du monde matriel dans lequel nousvivons. Elle utilise lobservation et lexprience comme moyens de

recherche. Avec ces deux moyens, la science mne diffrentes conclu-

sions bases sur linformation collecte. Cependant, chaque domaine de la

science possde certaines normes qui sont admises demble, ou accep-

tes sans vrification. Dans la littrature scientifique, cet ensemble de

normes est appel un "paradigme".

Ce point de vue initial porte sur "l'volution" de toutes les investiga-tions scientifiques apparentes. Comme on le sait, la premire tape dans

une investigation scientifique est la formulation d'une "hypothse". Puis,

cette hypothse est teste la lumire des expriences scientifiques. Si les

observations et les expriences vrifient l'hypothse, celle-ci devient un

"principe tabli ou une loi". Si l'hypothse est rfute, alors de nouvelles

hypothses sont testes, et le processus continue.

La formulation de l'hypothse est souvent sujette aux ides person-nelles des savants. Par exemple, si leur faon de voir est errone, ils peu-

vent baser leur travail sur l'hypothse que "la matire a une tendance

s'organiser par elle-mme sans l'implication d'un agent conscient". Puis,

ils entreprennent des recherches pendant des annes pour vrifier cette

hypothse. Pourtant, puisque que la matire ne possde pas cette facult,

tous ces efforts sont vous l'chec. De plus, si comme il arrive souvent

les savants sont trop obstins sur leur hypothse, les recherches peuventdurer de trs nombreuses annes, voire des gnrations. Pourtant, le

rsultat final sera un gchis norme de temps et de ressources.


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Par contre, si l'hypothse initiale est qu'"il est impossible pour la mati-

re de s'organiser par elle-mme sans une planification consciente", cette

recherche scientifique poursuit un cours plus productif et rapide.

En fait, ltablissement dune hypothse plausible ncessite une sourceentirement diffrente de celle des simples donnes scientifiques.

L'identification correcte de cette source est critique, car, comme nous

l'avons expliqu dans l'exemple prcdent, une erreur dans l'identifica-

tion d'une source peut normment coter la science en temps et en res-

sources.

La source recherche est la rvlation de Dieu l'humanit. Dieu est

le Crateur de l'univers, du monde et des tres vivants, et par consquent,

les connaissances les plus exactes et les plus incontestables sur ces sujets

proviennent de Lui. Ainsi, Dieu nous a rvl des informations impor-

tantes dans le Coran ce sujet. Les plus importantes sont les suivantes :

1) Dieu a cr l'univers partir du nant. Tout est cr dans un but par-

ticulier. Il s'ensuit qu'il n'y a pas un chaos d'vnements alatoires dans la

nature ou dans l'univers, mais un ordre parfait cr avec intelligence.

2) L'univers matriel, et en particulier la Terre sur laquelle nous vivons,

est conu spcialement pour accommoder la vie humaine. Il y a un certain

but dans les mouvements des toiles et des plantes, dans les points de

repre gographique, et dans les proprits de l'eau ou de l'atmosphre,

qui rendent la vie humaine possible.

3) Dieu a cr tous les tres vivants. Ceux-ci agissent sous l'inspiration

de Dieu, comme l'nonce le Coran dans l'exemple des abeilles, avec le ver-

set qui commence par "Voil ce que votre Seigneur a rvl aux

abeilles" (Coran, 16 : 68)Ce sont l des vrits absolues que Dieu nous a communiques dans le

Coran. Une approche de la science base sur ces faits mnera invitablement

des progrs remarquables et servira l'humanit de la manire la plus bn-

fique qu'il soit. On trouve d'innombrables exemples de cela dans l'histoire.

Cela na t possible que lorsque les musulmans ont tabli la science sur des

fondements, aidant en ce faisant forger les plus grandes civilisations du

monde, contribuant des accomplissements majeurs aux 9me et 10mesicles. En Occident, les pionniers de tous les domaines de la science, de la

physique la chimie, de l'astronomie la biologie et la palontologie,

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taient de grands hommes de science qui croyaient en Dieu, et qui menaient

des recherches pour explorer ce qu'Il a cr.

Einstein affirmait aussi que les savants devaient se fonder sur des

sources religieuses dans le travail de ltablissement des objectifs :Bien que la religion soit ce qui dtermine le but, elle a nanmoins apprisde la science, dans le sens le plus large, les moyens qui contribuent laralisation des buts qu'elle a fixs. Mais la science ne peut tre cre quepar ceux qui sont pleinement enclins la recherche de la vrit et la com-prhension. Pourtant, un tel penchant nat dans la sphre religieuse Onne peut concevoir un vritable savant sans une foi profonde.11

Mais depuis le milieu du 19me sicle, la communaut scientifique s'est

spare davec cette source divine, pour passer sous l'influence de la phi-

losophie matrialiste.

Le matrialisme, ide qui remonte la Grce antique, affir-

me l'existence absolue de la matire et nie lexistence de

Dieu. Cette approche matrialiste a fait son chemin

progressivement dans la communaut scienti-

fique, et une partie consid-

rable de la recherche scientifique a t mobilise pour la soutenir. Ainsi,plusieurs thories ont t formules. Il y existe entre autres, la thorie du

"modle d'univers infini" qui suggre que l'univers existe depuis des

temps infinis ; la thorie volutionniste de Darwin qui affirme que la vie

est l'uvre du hasard ; ou les ides de Freud qui maintiennent que l'esprit

humain n'est compos que du cerveau.

Aujourd'hui, rtrospectivement, on voit que les affirmations mises en

avant par le matrialisme n'ont t qu'une perte de temps pour la scien-ce. Depuis des dcennies, un grand nombre de savants ont dploy d'im-

menses efforts pour prouver chacune de ces affirmations, mais les rsul-

22


25/206

tats se sont toujours avrs faux. Dun autre ct, dautres dcouvertes

ultrieures ont confirm les proclamations du Coran, savoir que l'uni-

vers a t cr partir du nant, qu'il a t faonn pour convenir la vie

humaine, et qu'il est impossible que la vie ait pu apparatre et volu parle fait du hasard.

Examinons maintenant ces faits un par un.

Les pertes causes la science par l'obsession des mat-

rialistes avec un "univers infini"

Jusqu'au dbut du 20me sicle, l'opinion conventionnelle de la commu-

naut scientifique, alors sous l'influence des matrialistes, tait que l'uni-

vers possde des dimensions infinies, qu'il existait depuis un temps infi-

ni et qu'il existerait indfiniment. En vertu de cette thorie du "modle

d'univers statique", l'univers n'avait ni commencement ni fin, et n'tait

qu'un conglomrat illimit de matire. Niant que l'univers fut cr, cette

ide a jet les bases de la philosophie matrialiste.

De nombreux savants ayant pous le matrialis-

me comme fondement philosophique, ou quiavaient un penchant pour cette philoso-

phie, ont pris le modle de "l'uni-

vers infini" comme base pour

leurs recherches scienti-

fiques. Par consquent,

toutes les recherchesen astronomie et en phy-

sique se sont fondes sur l'hy-

pothse que la matire a exist

depuis un temps infini. De nom-

breux chercheurs ont travaill inlassa-

blement avant de voir le fruit de leur tra-

vail rfut par des travaux plus rcents.Le scientifique belge Georges Lematre, a

t le premier reconnatre l'inexactitude du

H a r u n Y a h y a

23

Les scientifiquesqui ont poursuivide faux buts ontgch une quantitimportante d'ef-forts.


26/206


modle de "l'univers infini", et a propos une alternative. Se basant sur

certains calculs effectus par le russe Alexandre Friedmann, Lematre adclar que l'univers a eu en ralit un commencement, et qu'il est en

expansion depuis le mouvement initial. Il a affirm galement qu'il

devrait tre possible de dtecter des restes de radiation provenant de ce

mouvement initial.

Il convient ici de signaler que Georges Lematre tait galement prtre.

Lematre croyait fermement que "l'univers fut cr par Dieu partir du

nant". Par consquent, son approche scientifique diffrait grandement decelle des matrialistes.

Les annes venir allaient confirmer l'exactitude de l'hypothse mise en

avant par Lematre. Tout d'abord, l'astronome amricain Edwin Hubble a

24

Avec son tlescopegant, Hubbledcouvrit que lestoiles s'loi-gnaient, pas seule-ment de nous, maisaussi les unes desautres.


27/206

dcouvert avec son immense tlescope que les toiles s'loignaient les unes

des autres et de nous. Cela signifie que l'univers est en expansion, et donc

qu'il nest pas statique comme les matrialistes le supposaient.

En fait, un peu plus tt dj, Albert Einstein avait dj calcul thori-quement que l'univers ne pouvait pas tre statique. Cependant, il a mis

cette thorie de ct, simplement parce que ses calculs ne concordaient

pas avec le modle largement reconnu l'poque d'univers statique.

Mme un scientifique considr comme le plus grand gnie de son sicle

pouvait tre intimid par le dogmatisme des matrialistes, et a ainsi choi-

si de ne pas rvler cette conclusion importante. Pourtant, il dira plus tard

que ce choix tait "la plus grande erreur de sa carrire".L'expansion de l'univers nous rvle une autre vidence : si l'univers

sagrandit au fur et mesure que le temps passe , alors, en remontant

dans le temps, il doit se contracter pour finalement converger vers un seul

point. Des calculs ont montr que cet unique point devrait avoir un volu-

me nul. Notre univers est donc apparu suite l'explosion de ce point, une

explosion que l'on a appel le "Big Bang".

En fait, la rfrence ce point qui explose et qui a un volume nul n'estqu'une expression thorique. L'expression "volume nul" suggre simple-

ment le "nant". L'univers entier a t cr partir de "rien".

La thorie du Big Bang dmontre clairement que l'univers a t cr

partir de rien. Nanmoins, d'autres preuves scientifiques taient requises

pour que la thorie soit largement accepte. En 1948, George Gamov a

avanc que si l'univers s'tait form la suite dune explosion soudaine et

cataclysmique, comme Lematre l'avait suggr, il devrait y avoir desrestes mesurs de radiation laisse par l'explosion, et cette radiation

devait tre uniforme dans tout l'univers.

Le postulat de Gamov allait tre vrifi scientifiquement. En 1965, deux

chercheurs du nom de Arno Penzias et Robert Wilson ont dcouvert les

restes de cette radiation. Appele "fond diffus cosmologique" (ou

"rayonnement fossile"), elle n'est pas localise mais distribue uniform-

ment partout dans l'univers. On ralisa rapidement que cette radiation

tait l'cho du Big Bang, rsonnant toujours depuis les premiers moments

de cette grande explosion. Penzias et Wilson ont reu le prix Nobel pour

cette dcouverte.

H a r u n Y a h y a

25


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En 1989, la NASA a lanc dans l'espace le

satellite COBE, dans le but d'tudier le

fond diffus cosmologique. En quelques

minutes, les scanners du satellite ontconfirm les mesures de Penzias et Wilson.

La dcouverte de la preuve confirmant

la cration de l'univers partir du nant au

cours du "Big Bang" a boulevers les

savants matrialistes. Ils furent les tmoins

de l'effondrement de leurs vastes

recherches, de leurs hypothses et de leurs

thories non prouves, les unes aprs les

autres. Le clbre philosophe athe Antony

Flew fit les commentaires suivants sur cette

situation :

Il est reconnu que la confession est bonnepour l'me. Je commencerai donc par confesser que l'athe stratonicienest embarrass par le consensus cosmologique contemporain. Car il

semble que les cosmologistes sont en train de fournir une preuve scien-tifique de ce que St Thomas ne pouvait prouver philosophiquement ; savoir que l'univers a eu un commencement. Aussi longtemps que lonpuisse penser l'univers comme existant sans fin mais aussi sans com-mencement, il est facile de mettre en avant que son existence brute,ainsi que toutes ses caractristiques fondamentales, doivent tre accep-tes comme les explications ultimes. Bien que je croie que cela reste tou-

jours correct, il n'est certainement ni plus facile ni confortable de main-tenir cette position face l'histoire du Big Bang.12

Comme l'exemple ci-dessus l'explique clairement, si quelqu'un est

dvou aveuglment au matrialisme, il devient peu dispos admettre

la moindre preuve du contraire. Mme s'il doit confesser le fait, il ne com-

promet pas son engagement envers le matrialisme.

D'un autre ct, de nombreux savants qui ne s'taient pas engags dans

la ngation doctrinaire de l'existence de Dieu, acceptent aujourd'hui le fait

que c'est Dieu, le Tout-Puissant, qui a cr l'univers. Le scientifique am-

ricain William Lane Craig, connu pour ses recherches sur le Big Bang, en

est un exemple :

26

En trs peu detemps le satellite

Cobe trouva lessignes prouvantl'hypothse duBig Bang.


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En ralit, tant donn la vrit de la maxime ex nihilo fit (rien ne vient

du nant), le Big Bang ncessite une cause surnaturelle. Puisque la sin-

gularit cosmologique initiale reprsente le dpart de toutes les trajec-

toires de l'espace-temps, il ne peut y avoir la moindre cause physique

au Big Bang. La cause doit plutt transcender l'espace physique et le

temps : elle doit tre indpendante de l'univers, et incroyablement puis-

sante. De plus, cette cause doit tre un Etre, dot de libre arbitre La

cause de l'origine de l'univers doit tre donc un Crateur qui, avant

lexistence, a initi la Cration par son action libre.13

La thorie du Big Bang nous offre une autre conclusion importante :

cest que, comme on l'a mentionn prcdemment, une approche scienti-

fique fonde sur les Ecritures divines russira beaucoup mieux dansl'claircissement des mystres de l'univers. Les savants qui ont pris pour

fondement philosophique le matrialisme et ont mis en avant le modle

"d'univers infini" ont t incapables de prouver leur thorie, malgr des

dcennies defforts inlassables. Cependant, la thorie du Big Bang, dve-

loppe par Georges Lematre, et qui se basait sur des sources divines, a

certainement contribu au progrs scientifique et a aid rvler la vri-

table origine de l'univers.Quand on regarde l'histoire de la science du 20me sicle, on s'aperoit

que des vnements similaires ont eu lieu dans d'autres domaines.

H a r u n Y a h y a

27

L'univers est apparu suite l'explosion d'un seul point qui avaitun volume nul. Cette explosion, appele le Big Bang, dmontrade manire irrfutable que l'univers avait t cr partir de rien,et elle dmolit dfinitivement les affirmations des matrialistesd'un univers infini.


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Les pertes occasionnes la science par l'affirmation

qu'"il n'y a pas de dessein dans la nature"

Les matrialistes n'ont pas seulement propos que l'univers existe

depuis un temps infini, ils ont aussi affirm qu'il n'y a aucun dessein oubut dans l'univers. Ils ont avanc que l'quilibre entier, l'harmonie et

l'ordre dans l'univers taient l'uvre du hasard. Cette affirmation, qui a

domin le monde scientifique partir de la deuxime moiti du 19me

sicle, a trac le cours de la recherche.

Par exemple, certains savants ont mis en avant une hypothse appele

la "thorie du chaos" pour montrer qu'il n'y a aucune conception dans

l'univers. Selon cette thorie, l'ordre peut surgir spontanment du chaos,et un certain nombre d'tudes scientifiques furent menes pour soutenir

cette affirmation. Des calculs mathmatiques, des tudes en physique

thorique, des essais physiques et des expriences chimiques furent

mens pour trouver une rponse la question : "comment pouvons-nous

dmontrer que l'univers est le produit du chaos ?".

Chaque nouvelle dcouverte, pourtant, rfute un peu plus les thories

du hasard et du chaos, rvlant qu'il existe une conception extraordinairedans l'univers. Des recherches conduites depuis les annes 1960 dmon-

28

Quand nous voyons une conception com-plexe nous comprenons immdiatementqu'elle est l'uvre d'un agent intelligent.


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La nouvelle image qui est apparue dans l'astronomie du 20me sicleprsente un dfi dramatique pou la prsomption qui a domin lescercles scientifiques au cours des quatre derniers sicles : que la vie estun phnomne priphrique et purement conditionnel dans le systmecosmique Les preuves fournies par la cosmologie et la physiquemodernes sont exactement le type de preuves que les thologiens

naturels recherchaient au 17me sicle mais narrivaient trouver dans

la science de leur poque.14

Les "thologiens naturels" dont il est fait rfrence ci-dessus sont les

savants religieux des 17me et 18me sicles qui s'efforaient d'invalider

l'athisme sur des bases scientifiques, et donc essayaient de prouver

l'existence de Dieu. Cependant, comme il est dit dans la citation, le degr

infrieur de connaissances scientifiques de cette poque ne leur permet-

tait pas de justifier les vrits qu'ils percevaient, et le matrialisme, soute-

nu par les thories embryonnaires de la science dalors, a acquis de l'au-

torit dans le monde scientifique. La science du 20me sicle, cependant, a

invers ce cours et fourni des preuves dcisives pour prouver que l'uni-

vers a t cr par Dieu.

30

Tout comme l'idologie raciste qui a apport undsastre l'humanit en menant la SecondeGuerre Mondiale, l'idologie matrialiste a attirinutilement le monde de la science dans l'obscurit.


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Ici, le vritable point considrer est le temps prcieux norme dpens

dans des recherches pour prouver le fantasme matrialiste. Toutes les tho-

ries des matrialistes, leurs formules, tudes en physique thorique, qua-

tions mathmatiques et autres lucubrations se sont finalement avres trede vaines tentatives. Tout comme l'idologie raciste a amen l'humanit au

dsastre en aboutissant la seconde Guerre Mondiale, l'idologie matria-

liste a, par pur athisme militant, forc le monde de la science sengager

dans les tnbres dune orientation pseudo-scientifique.

Pourtant, si la communaut scientifique avait bas ses efforts non pas

sur la fausse ide du matrialisme, mais sur la ralit que l'univers a t

cr par Dieu, les recherches scientifiques auraient suivi un cours plusappropri.

Les pertes causes la science par les efforts dsesprs

pour prouver la thorie de l'volution

L'exemple le plus instructif d'une orientation incorrecte de la science

fut l'adoption de la thorie de l'volution de Darwin. Ayant t plac l'ordre du jour des tudes scientifiques il y a 140 ans, cette thorie est en

ralit la plus grande erreur perptre dans l'histoire de la science.

La thorie de l'volution soutient que la vie est apparue la suite de

l'agencement par hasard de matires inertes. Cette mme thorie affirme

de plus que les organismes qui se sont forms par hasard ont volu en

d'autres cratures une nouvelle fois par le fait du hasard. Depuis un sicle

et demi, de grands efforts sont faits pour trouver une justification scienti-fique ce scnario dont les rsultats n'ont prouv, ironiquement, que le

contraire. Des preuves scientifiques ont dmontr que l'volution n'a

jamais eu lieu, que la possibilit d'une transmutation graduelle d'une

espce en une autre est hors de question, et que toutes les espces

vivantes ont t cres distinctement et sous leur forme actuelle.

Nanmoins, en dpit de preuves videntes, les volutionnistes ont

men d'innombrables tudes et expriences, crit des volumes entiers

bourrs de faux raisonnements et d'erreurs, tabli des institutions, anim

des confrences et des programmes tlviss tout cela pour prouver la

thorie de l'volution de Darwin. L'exploitation de milliers de savants,

H a r u n Y a h y a

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34/206


ainsi que de quantits illimites d'argent et de ressources, pour une affir-

mation improuvable, a caus un gchis norme et un srieux prjudice

l'humanit. Si ces ressources avaient t utilises correctement, de telles

pertes n'auraient pas t occasionnes, de louables progrs scientifiquesauraient t accomplis, et des rsultats dfinitifs auraient t atteints dans

les domaines les plus pertinents des tudes scientifiques.

D'un autre ct, un certain nombre de savants ou de penseurs se sont

rendu compte quel point la thorie de l'volution est fausse. Le philo-

sophe britannique Malcolm Muggeridge, par exemple, a fait le commen-

taire suivant :

Je suis moi-mme convaincu que la thorie de l'volution, et particuli-rement l'tendue de ce quoi elle a t applique, sera considre dansles livres d'histoire du futur comme l'une des plus grandes plaisanteriesde tous les temps. La postrit s'tonnera de ce qu'une hypothse aussifragile et douteuse ait pu tre accepte avec autant de crdulit.15

Le scientifique scandinave Sren Lvtrup fait la remarque suivante

dans son livre Darwinism: The Refutation of a Myth (Le darwinisme : la

rfutation d'un mythe) :Je suppose que personne ne niera que c'est un grand malheur si unebranche entire de la science s'abandonne une fausse thorie. Maisc'est ce qui s'est pass en biologie : depuis longtemps maintenant lesgens discutent de problmes volutionnistes avec un vocabulaire "dar-winien" particulier "l'adaptation", "la pression slective", "la slectionnaturelle" etc. croyant ainsi qu'ils contribuent l'explication d'vne-ments naturels. Ils ne le font pas Je crois qu'un jour le mythe darwi-

nien sera class comme tant la plus grande tromperie de l'histoire dela science.16

Mme un certain nombre de savants volutionnistes ont reconnu que la

thorie qu'ils dfendent nest pas confirme par les faits et ils sont mal

l'aise sur ce sujet. "La perptuation de la thorie (de l'volution) d'au-

jourd'hui comme dogme n'encouragera pas le progrs vers des explica-

tions plus satisfaisantes des phnomnes observs"17, a dit lvolution-

niste Paul R. Ehrlich dans une interview publie dans Science. Il y admet,bien qu'indirectement, le mal qu'un dvouement aveugle envers la tho-

rie de l'volution cause la science.

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Maintenant, examinons les efforts futiles mens pour soutenir les affir-

mations non scientifiques de la thorie de l'volution, ce qui fait perdre

la science normment de temps et de ressources.

Les pertes causes la science par l'affirmation que

"la matire inanime peut former la vie"

Quelle est l'origine de la vie ? Qu'est-ce qui distingue un oiseau, ou une

girafe, d'une pierre, de l'eau, de la terre, c'est--dire de la matire inanime ?

La rponse cette question a fait lobjet de la curiosit humaine depuis

l'antiquit. Les points de vue prdominants sont au nombre de deux. La

premire ide est qu'il existe une ligne trs fine entre la matire anime etinanime, qui peut facilement tre franchie, et que la vie peut surgir spon-

tanment partir de la matire inanime. Ce point de vue est appel

"abiogense" dans la littrature scientifique.

La seconde ide affirme qu'il existe une frontire insurmontable entre la

matire vivante et la matire inerte. Selon ce point de vue, il est impossible

que des organismes vivants puissent se dvelopper partir de matriaux

inertes, et une forme de vie ne peut surgir que si elle provient d'une autreforme de vie. Ce point de vue, rsum par "la vie ne provient que de la

vie", est appel "biogense".

Il est intressant de noter que l'ide d'"abiogense" est connecte la

philosophie matrialiste, tandis que l'ide de "biogense" provient des

sources religieuses. La philosophie matrialiste a toujours argument que

les matriaux non vivants pouvaient donner naissance des organismes

vivants. Les philosophes grecs croyaient que les formes simples de la viesurgissaient continuellement de la matire inerte.

Au contraire, les sources divines noncent que la seule puissance pou-

vant donner vie la matire inanime est la puissance cratrice de Dieu.

Les versets du Coran indiquent :

C'est Dieu qui fend la graine et le noyau : du mort Il fait sortir le

vivant, et du vivant, Il fait sortir le mort. Tel est Dieu. Comment donc

vous laissez-vous dtourner ? (Coran, 6 : 95)A Lui appartient la souverainet des cieux et de la terre. Il fait vivre

et Il fait mourir, et Il est omnipotent. (Coran, 57 : 2)

H a r u n Y a h y a

33


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Dans les sicles reculs, quand les gens

n'avaient qu'une connaissance trs limite

de la nature, le point de vue de l'"abioge-

nse" prvalait cause de certaines obser-vations errones. Ceux qui voyaient des

asticots se dvelopper sur de la viande

l'air libre pensaient que cela survenait

"spontanment". Ils supposaient aussi que

les souris apparaissaient spontanment

dans les grains de bl entreposs. Cette

croyance, galement appele "gnrationspontane", a t largement accepte jus-

qu'au 17me sicle.

Mais des expriences conduites par deux

savants importants ont creus la tombe de la

gnration spontane. Le premier tait

Francisco Redi. Redi a men

des expriences en 1668 qui ont

montr que les asticots qui

apparaissaient sur la viande ne

se formaient pas spontanment,

mais venaient de mouches qui

y avaient dpos leurs ufs.

Aprs cette dcouverte, les

dfenseurs de l'abiogense ont

battu en retraite, affirmant que,non pas des gros organismes

comme des asticots ou des gre-

nouilles, mais des microbes invisibles

taient produits partir de matire inerte.

Le dbat a dur pendant les deux sicles sui-

vants. Le biologiste franais Louis Pasteur

dmontra finalement, travers une sried'expriences, que les microbes ne pou-

vaient pas non plus se dvelopper partir

34

Avec la comprhension scienti-fique du Moyen Age, les gens sup-posaient que les organismesvivants pouvaient apparatre par-tir de matriaux inertes. Parexemple, on pensait que les versqui se dveloppaient sur la viandereste l'air libre surgissaientspontanment. Cependant, cetteide fut d'abord rejete par F. Redi,puis par les dcouvertes de L.Pasteur.


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H a r u n Y a h y a

35

de matriaux inertes. Pasteur rsuma sa conclusion avec

les paroles suivantes :

Est-ce que la matire peut s'organiser d'elle-mme ? En

d'autres termes, est-ce que les organismes peuventvenir au monde sans parents, sans anctres ? C'estla question qui doit tre rsolue Il n'y a aucunecirconstance connue aujourd'hui par laquelle onpeut affirmer que des tres microscopiques sont

ns sans germes.18

Redi et Pasteur avaient une chose en commun : ces

deux savants croyaient en l'existence de Dieu, et que

la vie avait t cre par Lui. Leur croyance a jou un rle important dans

la reconnaissance de l'absurdit de l'abiogense. Effectivement, tandis

qu'un certain nombre de savants sous l'influence du matrialisme

(Darwin, Haeckel etc.) avaient souscrit au point de vue de l'abiogense,

d'autres, qui approchaient la science dun angle diffrent, se sont rendu

compte de lexactitude de la biogense.

Les savants volutionnistes ont rsist cette ralit vidente par

pure obsession dathisme. Leur dvotion aveugle la philosophie mat-rialiste les a mens dans un combat futile qui allait durer un sicle. Deux

savants matrialistes, Alexander Oparin et J. B. Haldane, ont alors pr-

sent la notion d'"volution chimique". Selon Oparin et Haldane, l'abio-

gense ne se droulait pas en un court intervalle de temps, mais sur une

longue priode. Etant en conflit avec certaines lois scientifiques, dont la

premire est la seconde loi de la thermodynamique, cette affirmation a

men le monde scientifique dans une impasse, occasionnant ainsi uneperte prjudiciable de temps et de ressources.

Au cours de ce sicle-l, certains savants ont men des expriences

pour prouver l'hypothse de l'volution chimique, et se sont donn beau-

coup de mal pour soutenir l'affirmation avec de nouvelles thories.

D'immenses laboratoires, de grandes institutions et des dpartements

d'universit y ont t mobiliss. Mais tous ces efforts se sont termins par

des checs. Le clbre volutionniste Prof. Klause Dose, le directeur del'Institut de Biochimie de l'Universit de Johannes-Gutenberg, a finale-

ment confess que toutes les tentatives menes pour apporter des preuves

Louis Pasteur


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l'affirmation que les matriaux inertes peuvent pro-

duire de la matire vivante avaient t infructueuses:

Plus de 30 ans d'exprimentation sur l'origine de la vie

dans les domaines de l'volution chimique et molcu-laire ont abouti une meilleure perception de l'im-mense complexit du problme de l'origine de la viesur Terre plutt qu' sa solution. Maintenant toutes lesdiscussions sur les expriences et les thories princi-pales dans ce domaine se terminent soit dans uneimpasse soit sur une confession d'ignorance.19

Si le monde scientifique n'tait pas devenu obsd

avec l'ide d'abiogense, faux raisonnement matria-

liste, tous ces efforts, conduits au nom de "l'volution

chimique", auraient pu tre canaliss vers des

domaines plus productifs. Si la communaut scienti-

fique commence par reconnatre que la vie est cre

36

Aujourd'hui la communaut scientifiquea dmontr que les substances inertesne peuvent s'organiser d'elles-mmespar des vnements alatoires, puiss'assembler avec d'autres substancespour former un tre vivant parfait et trscomplexe. Dieu, le Seigneur de tous lesmondes, a cr toutes les choses, etLui seul a le pouvoir de donner la vie.


39/206

par Dieu, et que Seul le Seigneur des mondes a le pouvoir de donner la

vie, tout ce temps perdu, ainsi que cet argent et ces ressources

humaines, pourra tre vit lavenir. La science pourra se concentrer

sur de nouvelles dcouvertes et recherches utiles l'humanit, plutt quede chercher prouver les mythes de la Grce Antique.

Aujourd'hui, la communaut scientifique a dmontr que les matriaux

inertes ne peuvent pas s'organiser par eux-mmes suite des vnements

alatoires, puis se regrouper avec d'autres matriaux inertes pour former

des cellules parfaites et trs complexes. Il est galement devenu vident

que les millions de formes de la vie que nous voyons autour de nous n'ont

pas pu se former, comme l'affirment les volutionnistes, partir de cel-lules qui se seraient assembles par accident. A coup sr, une rose, un

paon, un tigre, une fourmi, en d'autres mots, toutes les cratures vivantes,

n'ont pu apparatre par la volont de cellules inconscientes constitues

d'un assemblage d'atomes inconscients.

Un scientifique qui accomplit des tudes approfondies dans ces

domaines n'est en aucun cas un produit de la dcision commune prise par

des atomes inconscients. Il est tout fait impossible que des atomes

inconscients puissent dvelopper un tre humain pleinement conscient.

A cet gard, il fut rapport dans le Coran il y a 1.400 ans que la vie a t

cre par Dieu partir du "nant", que Dieu seul donne la vie, et qu'au-

cun autre tre part Lui n'a le pouvoir de "donner la vie". Si la science

avait constat les implications des faits transmis par Dieu l'humanit,

elle ne se serait pas "amuse" faire des recherches peu concluantes pen-

dant une aussi longue priode.

Les pertes causes la science par les efforts pour prouver l'affirmation

de "l'volution des espces". Il y a des millions d'espces vivantes sur

terre, et ces espces diffrent les unes des autres d'innombrables manires.

Considrez, par exemple, les chevaux, les oiseaux, les serpents, les

papillons, les poissons, les chats, les chauve-souris, les vers de terre, les

fourmis, les lphants, les moustiques, les abeilles, les dauphins, les

toiles de mer, les mduses, les chameaux Toutes ces formes de vie sont

extrmement diffrentes les unes des autres par leurs caractristiquesphysiques, leur habitat, leurs techniques de chasse, leurs tactiques de

dfense, leurs habitudes alimentaires, leur mode de reproduction

H a r u n Y a h y a

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Dieu a cr tous les tres vivants partir d'eau : certains

d'entre eux rampent sur leurs ventres ; certains marchent sur

deux pattes, et d'autres sur quatre. Dieu cre ce qu'Il veut,

Dieu est puissant sur toute chose. (Coran, 24 : 45)


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Il y a certes dans les cieux et la terre des preuves pour les

croyants. Et dans votre propre cration, et dans ce qu'Il dis-

smine comme animaux, il y a des signes pour des gens qui

croient avec certitude. (Coran, 45 : 3-4)


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Comment sont donc apparues ces cratures ?

Quiconque rflchissant la question, en utilisant sa raison, verra que

tous les tres vivants sont conus, c'est--dire crs. Chaque conception

prouve l'existence d'un architecte intelligent l'ayant produite. Les tresvivants, tout comme tous les autres exemples de conception dans la natu-

re, prouvent l'existence de Dieu.

Cette vrit nous a t rvle par l'Islam. Dans le Coran, nous appre-

nons comment les tres vivants sont apparus : toutes les espces vivantes

ont t cres distinctivement par Dieu. Dieu, avec Sa puissance cratrice

unique et son savoir infini, a dot Ses cratures de caractristiques

diverses, et a ainsi donn lhumanit de Son pouvoir infini, de Sa sages-se et de Son savoir. Voici certains des versets faisant rfrence la cration

des tres vivants :

Parmi Ses preuves est la cration des cieux et de la terre et des tres

vivants qu'Il y a dissmins. Il a en outre le pouvoir de les runir

quand Il voudra. (Coran, 42 : 29)

Et Dieu a cr d'eau tout animal. Il y en a qui marchent sur le ventre,

d'autres qui marchent sur deux pattes, et d'autres encore qui mar-

chent sur quatre. Dieu cre ce qu'Il veut et Dieu est Omnipotent.

(Coran, 24 : 45)

Il a cr les cieux sans piliers que vous puissiez voir ; et Il a enfonc

des montagnes fermes dans la terre pour l'empcher de basculer avec

vous ; et Il y a propag des animaux de toute espce. Et du ciel, Nous

avons fait descendre une eau, avec laquelle Nous avons fait pousser

des plantes productives par couples de toute espce. Voil la cration

de Dieu. Montrez-moi donc ce qu'ont cr, ceux qui sont en dehors deLui ? Mais les injustes sont dans un garement vident. (Coran,

31 : 10-11)

Il y a certes dans les cieux et la terre des preuves pour les croyants. Et

dans votre propre cration, et dans ce qu'Il dissmine comme ani-

maux, il y a des signes pour des gens qui croient avec certitude.

(Coran, 45 : 3-4)

Ayant reconnu la ralit de la cration, les savants ont tabli diffrentesdisciplines, comme la biologie, l'anatomie et la palontologie. Des savants

de renom, comme Carl Linnaeus, qui a rigoureusement classifi le monde

vivant, et qui est connu comme le "fondateur de la taxonomie" ; Georges

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Cuvier, le fondateur de la science des fossiles et de

l'anatomie comparative ; Gregor Mendel, le fonda-

teur de la gntique qui dcouvrit les lois de l'hr-

dit ; ou Louis Agassiz, qui est considr comme leplus grand biologiste amricain du 19me sicle,

tous pratiquaient la science en ayant conscience

que toutes les espces vivantes ont t cres

par Dieu.

Puis, avec l'introduction de la thorie de

l'volution de Charles Darwin, le monde de la science a plong dans

une entreprise visant prouver que les "espces voluent les unes par-

tir des autres". Cette tentative fora les savants s'engager dans un certain

nombre de recherches infructueuses. Dans les fouilles de fossiles menes

dans le monde entier, les savants se sont evertus trouver des fossiles de

formes intermdiaires qui n'avaient jamais exist dans lhistoire. De plus,

des scnarios imaginaires ont t mis au point pour expliquer comment

certaines espces avaient pu voluer. Les journaux scientifiques ont

publi ces scnarios qui ont t par la suite enseigns dans les coles et les

universits.

Carl Linnaeus, qui croyait que Dieua cr tous les tres vivants, cat-

gorisa les formes de vie en diff-rentes classes pour la premirefois, et il fut le fondateur de lataxonomie.

Carl Linnaeus


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Il est utile de citer certains de ces sc-

narios, pour dmontrer la manire dont

les volutionnistes soumettent la science

leurs ides extravagantes. L'histoiresuivante fut imprime dans un article

volutionniste, propos de la transition

des reptiles en mammifres :

Certains des reptiles des rgions les plusfroides commencrent dvelopper unemthode leur permettant de garder le

corps chaud. Leur mission de chaleuraugmentait quand il faisait froid et leurperte de chaleur fut rduite quand leurscailles devinrent plus petites et pluspointues, et volurent en fourrure. Latranspiration fut aussi une adaptationpermettant de rguler la tempraturecorporelle, un dispositif refroidissant le

corps par l'vaporation de l'eau quand ilest ncessaire. Mais alors les petits deces reptiles commencrent lcher lasueur de leur mre pour se nourrir.Certaines glandes sudoripares com-mencrent librer une scrtion deplus en plus riche, qui devint en fin de

compte du lait. Ainsi, les petits de cesmammifres primitifs avaient unmeilleur dpart dans la vie.20

Afin de justifier cette hypothse volu-

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L'affirmation que les reptiles ontvolu en mammifres est en totaldsaccord avec les dcouvertes de

la science. Les preuves de celaincluent les diffrentes importantesentre les cailles de reptile et lafourrure des mammifres.


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Les plumes d'oiseaux sont compltement diffrentes des caillesde reptile, et possdent des proprits extrmement complexesqui permettent aux oiseaux de voler.

tionniste, il a t ncessaire de prouver scientifiquement des vnements

impossibles, comme la transmutation de la sueur en lait et des cailles en

fourrure, faisant perdre leur temps des milliers de savants qui ont tent

de vrifier cette affirmation. En ralit, aucune de ces transformationsn'est possible. Il est surtout impossible que le lait de la mre, qui contient

tout ce dont a besoin un bb, ait volu partir de la "sueur", comme

affirme ci-dessus. Le lait de la mre est une substance qui correspond

tout particulirement aux besoins d'un bb, et il est modr en fonction

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de chaque phase suivant un plan prcis. Tout ce dont a besoin un bb se

trouve dans le lait de la mre juste quand il en a besoin. Par exemple, la

priode o le bb a besoin de potassium est la mme que la priode o le

lait de la mre est riche en potassium. Cette spcialisation sapplique tousles autres lments ncessaires au dveloppement du bb. Il est videm-

ment impossible qu'une telle nourriture ait pu se former par des conci-

dences inconscientes.

De la mme manire, l'autre composant de l'affirmation prcdente,

l'histoire de "l'volution des cailles de reptile en fourrure de mammif-

re", est tout aussi ahurissant car en dsaccord avec les faits scientifiques.

Les cailles et la fourrure ont des structures compltement diffrentes :1. La fourrure est folliculaire, c'est--dire qu'elle se dveloppe partir

d'un sac. Quant aux cailles, elles sont des structures en forme de plaques

dans la peau. En outre, les cailles se dveloppent, grandissent et tombent

d'une manire compltement diffrente des poils de fourrure. Elles n'ont

absolument rien en commun.

2. Il n'y a aucune preuve scientifique suggrant que la fourrure ait vo-

lu partir des cailles. Les volutionnistes n'ont aucune preuve de fossi-le pour prouver cette affirmation, tout comme ils ne peuvent mettre en

avant aucun mcanisme logique pour expliquer cette transformation.

Ce n'est pas le seul "conte" pseudo-scientifique mis en avant pour expli-

quer la transformation imaginaire des reptiles en mammifres. Chaque

volutionniste possde sa propre "histoire". De la mme manire, plu-

sieurs scnarios imaginaires ont t produits pour expliquer comment les

dinosaures ont volu en oiseaux. Un de ces scnarios affirme que cer-tains dinosaures ont commenc voler alors qu'ils chassaient des

mouches. Un autre affirme que les dinosaures ont dvelopp des ailes

alors qu'ils sautaient d'arbre en arbre. Finalement, la science a pris l'habi-

tude de "prouver" ces scnarios produits par l'imagination des volution-

nistes. Jusqu'ici, un grand nombre de savants ont men des recherches sur

la manire dont les dinosaures auraient commenc voler alors qu'ils

courraient ou sautaient de branche en branche. Ces savants, par navetou pur enttement athe, ont pass des annes montrer comment les

cailles se sont transformes en plumes d'oiseaux. Le clbre volution-

niste et ornithologiste Alan Feduccia est un de ces savants qui a travaill

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sur le sujet sa vie durant. Aprs avoir pass 25 ans

chercher un lien entre les dinosaures et les

oiseaux, Feduccia fit cette confession :

Eh bien, j'tudie les crnes d'oiseaux depuis 25ans et je ne vois aucune ressemblance en quoi

que ce soit. Je n'en vois juste pasL'origine thropode des oiseaux, monavis, sera la plus grande gne de lapalontologie du 20me sicle.21

Les scnarios volutionnistes ne se limi-

tent pas ceux-l. Tout comme le palontologiste volutionniste Dr. Colin

Patterson l'admit, "il y a eu une quantit abominable d'histoires, certaines

plus imaginatives que d'autres, sur la vritable nature de cette histoire [de

la vie]".22 Les volutionnistes ont galement mis lide fantastique que les

mammifres marins, comme les baleines et les dauphins, avaient volu

partir de l'ours qui aimait nager. De plus, afin de fournir une base "scienti-

fique" ce scnario, ils ont produit des thories concernant des cratures

mi-ours/mi-baleines, et mme fabriqu des histoires de "baleines mar-

chantes".

Les volutionnistes affirment que les pattes antrieures de certainsdinosaures se sont transformes en ailes alors qu'ils chassaient desmouches. Les volutionnistes n'hsitent pas produire des thoriesaussi imaginaires et, pour l'essentiel, absurdes.

Alan Feduccia


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Les volutionnistes sont libres de rver et de croire au scnario qu'ils

veulent. Le vrai problme est qu'ils font perdre les ressources et le temps

du monde scientifique dans l'espoir de prouver ces scnarios. Comme l'a

dit un autre volutionniste renomm, Pierre Paul Grass, concernant cesscnarios volutionnistes, "il n'y a pas de loi interdisant les rvasseries,

mais la science ne doit pas s'y adonner".23

La science continuera de poursuivre dsesprment de tels mythes aussi

longtemps que les savants baseront leurs recherches sur des hypothses

incorrectes comme le darwinisme. La reconnaissance de la ralit de la

cration, d'un autre ct, mettra fin toutes ces vaines tentatives qui entra-

vent la progression de la science. Comme on l'a mentionn prcdemment,tous les tres vivants ont t crs individuellement par Dieu. Leurs

caractristiques physiques, leurs habitudes alimentaires, leurs techniques

de chasse, leurs tactiques de dfense, la manire dont ils lvent leurs petits

etc., tout est le reflet d'harmonies parfaites. Cela ne sert rien d'affirmer et

d'essayer de prouver que toutes ces harmonies ont pu survenir par hasard.

Cette perfection n'a pas pu survenir par hasard ; elle n'a pu apparatre que

grce au pouvoir et au contrle de notre Seigneur, le Crateur suprme. Parconsquent, il serait bien plus valable d'tudier des ralits vrifiables et

leurs dtails, plutt que de produire des scnarios compltement imagi-

naires. Mieux encore, des recherches menes dans le cadre des ralits vri-

fiables nous aideraient mieux comprendre Dieu, le Tout-Puissant, qui a

cr les tres humains et l'univers tout entier partir du nant.

L'impasse des mutations

Une autre lucubration de la thorie volutionniste qui a fait perdre son

temps la science fut la poursuite illusoire de "mutations avantageuses".

Les mutations sont des changements qui ont lieu dans le code gntique

d'un organisme sous l'effet de radiations ou de produits chimiques. Bien

que les volutionnistes affirment que les tres vivants ont volu par des

mutations, la majorit des savants saccordent aujourdhui pour dire que

les mutations sont en ralit presque toujours nuisibles nayant d'autreeffet que de causer des dsordres dans les organismes. La fuite radioacti-

ve Tchernobyl est une indication des effets nuisibles des mutations.

Suite ce dsastre, de nombreuses personnes ont souffert de maladies

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comme la leucmie et de troubles importants comme les difformits la

naissance.

En dpit des effets ngatifs des mutations, le no-darwinisme a mis en

avant deux concepts comme "mcanismes volutionnistes", dont l'un estla mutation. Par consquent, les savants ont voulu tout prix prouver que

les mutations pouvaient avoir des effets bnfiques sur les tres vivants

puisque la thorie de l'volution le dit. Mais, comme on l'a expliqu ci-

dessus, les mutations sont toujours nuisibles, et personne n'a jamais

observ le moindre effet volutionniste.

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normalailes

vestigiales

ailes

dformesabdomen tordu sans ailes

Les expriences de mutations menes sur les mouches fruits

depuis des dcennies n'ont pas produites la moindre mutationbnfique. C'est seulement l'une des tentatives dsespres desvolutionnistes dans leur recherche de mutations bnfiques.


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Les volutionnistes inventent avec tnacit des

modles de mutation artificielle et travaillent

depuis des dcennies observer une mutation

avantageuse. Par exemple, on a provoqu des

mutations chez des mouches fruit un grand

nombre de fois, dans l'espoir qu'elles puissent donner naissance "unemutation amliorant le code gntique". Le rsultat a t un fiasco total.

L'volutionniste Michael Pitman a fait la remarque suivante propos de

ces expriences importantes, quoique non concluantes :

Morgan, Goldschmidt, Muller et d'autres gnticiens ont soumis desgnrations de mouches fruit des conditions extrmes de chaleur, defroid, de lumire, d'obscurit, et des traitements chimiques et des

radiations. Toutes sortes de mutations, pratiquement toutes insigni-fiantes ou positivement dltres, ont t produites. L'volution fabri-que par l'homme ? Pas vraiment : seuls quelques-uns des monstres desgnticiens purent survivre en dehors des bouteilles o ils taientengendrs. En pratique les mutants meurent, sont striles, ou tendent retourner au type sauvage.24

Le clbre volutionniste Gordon Taylor a galement indiqu que 50

ans ont t perdus dans des expriences de mutations :

Parmi les milliers d'expriences de reproduction de mouches menes par-tout dans le monde depuis plus de cinquante ans, aucune nouvelle esp-ce distincte n'est jamais apparue Ni mme une nouvelle enzyme.25

Les arguments volutionnistes dans les autres domaines scientifiques

n'ont pas t diffrents. Nanmoins, les volutionnistes plaident en faveur

du darwinisme malgr toutes les preuves scientifiques, et ils prsentent

ensuite leur obstination comme de la "persvrance scientifique". Ce

qu'ils mettent en uvre, cependant, n'est pas de la persvrance scienti-

fique, mais de la rsistance la science qui ne cadre pas avec leur propre

imagination.

50

Ce trouble physique est un exemple deseffets dltres des mutations. Lesmutations alatoires nuisent simplementaux structures parfaites.


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Des fouilles menes pour trouver des preuves pour l'volu-tion" dans les dserts africains sous un soleil brlant, aux

budgets de plusieurs millions de dollar, se sont toutes av-res peu concluante et essentiellement inutile. Les volution-nistes qui ne voulaient pas voir leurs efforts gchs, endsespoir de cause, recoururent des "impostures".

Si quelqu'un se donne la peine de runir dans une mme pice tous les

restes fossiles de nos anctres (et de leurs parents biologiques) dcou-

verts jusqu'ici, qui vivaient il y a disons entre un et cinq millions d'an-

nes, il n'aurait besoin que d'une paire de trteaux pour les poser toussur une table. Et si ce n'tait pas suffisant, une boite chaussures pas

exceptionnellement spacieuse serait plus que suffisante pour recevoir

les dcouvertes de fossiles d'hominids d'il y a six quinze millions

d'annes !26

Tout ceci n'a t qu'une perte de temps, de connaissances, de travail,

d'argent et dautres ressources, mene soi-disant au nom de la "science".

A travers le monde entier, des milliers d'universits, d'institutions scienti-

fiques et d'organisations, des millions de savants, de professeurs et d'tu-

diants, de techniciens de laboratoires, des quipements technologiques et

d'innombrables ressources ont t mis au service d'une fausse allgation

et lhypothse avance na pas t prouve. Cest ici quon doit parler de

crime contre lhumanit dautant plus que de nouvelles dcouvertes

continuent d'exposer la fausse route de l'hypothse volutionniste. Le

scientifique volutionniste S.J. Jones explique dans un article publi dans

le magazine Nature, la situation difficile de la paloanthropologie dans la

recherche de l'origine de l'homme par l'tude des fossiles :


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Les paloanthropologues semblent dresser la liste des fossiles manquantsavec un excs d'acharnement, et cela doit tre aujourd'hui la seule sciencedans laquelle il est possible de devenir clbre en ayant juste une opinion.

Comme quelqu'un de cynique l'a dit, dans la palontologie humaine leconsensus dpend de celui qui crie le plus fort.27

Les pertes causes la science par ceux qui nient

"la conception parfaite dans la nature"

Nier le fait de la cration, c'est--dire la "conception dans la nature",

signifie en ralit gner la recherche scientifique. Un savant qui a

conscience de l'existence d'une conception dans la nature s'embarque

dans ses tudes avec comme but de recherche cette conception et cette

intention. Par contre, un volutionniste n'aura pas cet objectif puisqu'il

considre la nature comme tant un assemblage inutile de matire.

Le physicien et philosophe amricain William Dembski est un autre

scientifique qui affirme qu'il y a une "conception" dans la nature. Dembski

montre que le point de vue volutionniste, en niant l'existence d'une

intention dans la nature, freine les progrs scientifiques. Il cite le terme

des volutionnistes d'"ADN poubelle" comme exemple (selon une hypo-

thse des savants volutionnistes, l'ADN poubelle correspond des com-

posants de l'ADN qui n'incluent aucune information gntique et donc

n'ont aucune fonction gntique apparente). Dembski remarque :

La conception n'est pas une entrave pour la science. En fait, la concep-tion peut encourager les recherches l o les approches volutionnistestraditionnelles la gnent. Rflchissez au terme "ADN poubelle". Ce qui

est implicite dans ce terme est l'ide que puisque le gnome d'un orga-nisme a t faonn via un long processus d'volution non dirig, il estconstitu d'un assemblage htroclite dont seules quelques portionssont essentielles lorganisme. Ainsi, suivant un point de vue volu-tionniste, on s'attend une grande quantit d'ADN inutile. Si, d'un autrect, les organismes sont conus, on s'attend ce que l'ADN fasse preu-ve autant que possible de fonctions. Et en ralit, les dcouvertes les

plus rcentes suggrent que dsigner l'ADN comme "poubelle" masquesimplement notre manque actuel de connaissances sur ses fonctions. Parexemple, dans un numro rcent du Journal of Theoretical Biology, JohnBodnar dcrit comment "l'ADN non codant dans les gnomes euca-

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ryotes encode un langage qui programme lacroissance et le dveloppement de l'organisme".La conception encourage les savants rechercher

une fonction l o l'volution la dcourageAdmettre la conception dans la science ne peutqu'enrichir l'entreprise scientifique. Tous lesoutils de la science demeureront intacts. Mais laconception ajoute un nouvel instrument la bote outils des explications des savants. De plus, laconception amne tout un ensemble de questionsauxquelles la recherche doit rpondre. Une fois

que l'on sait qu'une chose a t conue, on voudrasavoir comment elle a t produite, quel point laconception est optimale, et quel est son but.28

Il est vident qu'avoir la conscience du fait que les

tres vivants sont crs par Dieu ouvre de nouvelles

voies la science, et contribue galement une

meilleure comprhension de la nature.

Mais les savants matrialistes, en niant la puis-sance cratrice de Dieu, affirment que toutes les

formes de vie dans la nature sont le rsultat d'v-

nements fortuits. Selon eux, l'existence de "concep-

tions aberrantes" ou de "produits inutiles" est assez

naturelle dans un univers qui est l'uvre des con-

cidences. Au fil des annes, ce point de vue erron

a men une mauvaise interprtation des donnesscientifiques, empchant ainsi la dcouverte d'un

grand nombre de vrits. Par exemple, un scienti-

fique matrialiste examinant une plume d'oi-

seau qu'il a dcouverte dans la nature dcide,

en tudiant la structure asymtrique de la

plume, qu'elle est dforme car elle est apparue

par hasard. Ainsi, il ne ressent pas le besoind'tudier la structure asymtrique de la plume.

Mais pour un scientifique qui croit que Dieu a

cr toutes les formes de vie avec une intention

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La constitutioncomplexe del'ADN, dont chacu-ne de ses propri-

ts ont un but sp-cifique, dmontreque l'ADN a tcr.


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spcifique, et selon une conception parfaite, le schma asymtrique d'une

plume d'oiseau est un trait important qui mrite un examen attentif. Un

savant tel ce dernier verra rapidement que la forme asymtrique des

plumes d'oiseaux est ncessaire pour le vol, et que les oiseaux avec des

formes de plumes symtriques sont incapables de voler.Des exemples de ce type sont communs dans le monde de la science. Les

savants qui tudiaient les abeilles eurent une exprience similaire. Certains

dentre eux, aprs avoir calcul les angles forms par les abeilles pour

assembler les nids d'abeilles, ont trouv que deux angles ne diffraient de

l'angle optimal que de 0,020 (les mesures montrrent que les angles forms

par les abeilles sont de 109,28 et 70,32 degrs, alors que par des calculs trs

compliqus, le mathmaticien Konig a trouv que les angles optimums

taient dans ce cas de 109,26 et 70,34). Les savants travaillant sur le sujet

ont conclu que les abeilles faisaient une erreur par cette fraction minuscu-

le. Le mathmaticien cossais Colin Maclaurin (1698-1746), insatisfait de

cette explication, a dcid dtudier la question de zro et avec minutie. Il

a montr qu' la suite d'une petite faute d'impression dans les tables loga-

rithmiques, le rsultat obtenu prcdemment avait t dcal d'exactement

deux minutes de degrs.29 Donc, il a t rvl que ce sont les abeilles qui

avaient calcul l'angle optimal correctement, et non les savants !Une personne qui a conscience que Dieu a cr tous les tres vivants

selon une forme parfaite, ne suppose jamais qu'il puisse y avoir une aber-

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Les modles comportementaux des abeilles sont si complexes queles scientifiques n'ont dcouvert leur utilit que rcemment.


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ration dans la conception d'un objet de la nature. Il sait que chaque dtail

est cr par Dieu dans un but spcifique.

Une autre fausse ide, adopte par les savants qui ne croient pas en la

cration parfaite de Dieu, est encore lie aux abeilles. Le New Scientist (12octobre 1996) a publi une nouvelle de Ben Crystall, o il affirme que les

abeilles battent des ailes excessivement et donc que leur vol est inefficace.

Selon cet article, les abeilles battent des ailes parfois rapidement et parfois

lentement, mais leur vol s'effectue la mme vitesse, et donc elles perdent

de l'nergie quand elles battent des ailes rapidement. Selon l'auteur, c'est

une erreur de conception.

Une quipe mene par Jon Harrison, de l'Universit de l'Etat del'Arizona, a publi des dcouvertes dans Science (vol. 274, 1996, p. 88) qui

suggrent qu'il y a de bonnes raisons

le coran ouvre la voie a la science

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