Au Centre Médico-Chirugical Wallerstein, à Arès, près de Bordeaux, le Wi-Fi, on connaît… depuis 2008. L’ensemble de l’établissement est couvert par 18 bornes AP-41 (802.11g), reliées à un contrôleur 2400. Deux réseaux distincts ont été créés. L’un est à usage médical. Les médecins, les infirmières disposent de petits chariots sur lesquels sont installés un PC portable et une batterie (pour augmenter l’autonomie des PC), ce qui permet d’apporter le dossier patient au pied du lit du malade. L’autre réseau est de type hotspot, ouvert aux patients, aux visiteurs et aux entreprises qui travaillent sur le site.

Depuis, la technologie Wi-Fi a fait des progrès et le centre hospitalier a des projets. Ainsi, un nouveau bâtiment destiné aux urgences ouvrira dans trois mois et sera doté de bornes dernière génération, AP-105 (802.11n). Celui-ci remplacera d’ailleurs progressivement les AP-41. Au total, on comptera 25 nouvelles bornes AP-105 lorsque le bâtiment de l’IRM en sera à son tour doté. En outre, le centre hospitalier compte renforcer la puissance et la fiabilité de son réseau Wi-Fi en ajoutant un contrôleur 3400 qui sera redondé. « De plus, nous devons faire face à une demande des jeunes médecins qui veulent employer leurs propres terminaux au travail, explique Damien Hardouin Duparc le RSI. Pas question qu’ils se raccordent au réseau hotspot, car ils utiliseront leurs terminaux à des fins professionnelles. Il faut donc les inclure dans le réseau à usage médical et cela pose des problèmes de sécurité. Aussi, regardons-nous de près la solution ClearPass d’Aruba. »

Toujours dans le registre des projets, Damien Hardouin Duparc envisage de superviser depuis une console unique tant les équipements des réseaux sans fil que ceux du réseau filaire. Cela ne sera possible que grâce au logiciel AirWave. Il a donc commencé par remplacer deux commutateurs Ethernet anciens par deux S2500 avec PoE. Comme pour les bornes Wi-Fi ce type d’équipement se substituera progressivement aux commutateurs déjà en place. En outre, un S2500 supplémentaire sera installé dans le bâtiment des urgences.

LE CENTRE MÉDICO CHIRURGICAL WALLERSTEIN VOIT L’AVENIR EN WI-FI

Le Centre Médico Chirurgical Wallerstein Aruba Case Study

TECHNOLOGIES EMPLOYÉES:

• Contrôleur 2400

• Bornes AP-41 et AP-105

• Commutateurs S2500

BÉNÉFICES:

• Un réseau “médical” qui permet d’amener le dossier patient au pied du lit du malade

• Un réseau “hotspot” pour les patients, les visiteurs...

PROJETS:

• Extension du réseau “médical” (urgences, IRM) et remplacement progressif des bornes AP-41 par des AP-105

• Création d’un troisième réseau Wi-Fi pour le biomédical qui transmettra directement dans les dossiers patients les informations des équipements biomédicaux.

• Remplacement progressif des commutateurs Ethernet tiers par des S2500

• Gestion commune des équipements des réseaux Wi-Fi et des commutateurs S2500

• Gérer le phénomène BYOD avec le logiciel ClearPass

• Acquisition de 2 contrôleurs 3400 pour redondance et la création de nouveaux services

Le Centre Médico Chirurgical Wallerstein Aruba Case Study

© 2013 Aruba Networks, Inc. Aruba Networks’ trademarks include AirWave®, Aruba Networks®, Aruba Wireless Networks®, the registered Aruba the Mobile Edge Company logo, Aruba Mobility Management System®, Mobile Edge Architecture®, People Move. Networks Must Follow®, RFProtect®, and Green Island®. All rights reserved. All other trademarks are the property of their respective owners. 220213

Aruba Networks France. Tour Egée 17 Avenue de l’Arche. 92671 Courbevoie Cedex. Tel: +33 (0)1 55 70 24 50 | sante@arubanetworks.com

www.arubanetworks.com

« Je projette également de créer un troisième réseau Wi-Fi réservé au biomédical qui permettra aux équipements médicaux de transmettre directement les données des patients et de les inclure dans le dossier patient », précise Damien Hardouin Duparc. Aujourd’hui, c’est une infirmière qui saisit les informations comme celles données par les moniteurs autonomes sur un PC. Si le projet se met en place les constantes seront transmises automatiquement. Mais cela suppose le remplacement progressif des équipements biomédicaux déjà en place. Et pour éviter toute interférence, si le réseau médical continue de travailler dans la bande des 2,4 GHz, celui du biomédical utilisera celle des 5 GHz. « Nous espérons pouvoir commencer ce déploiement au printemps prochain », conclut Damien Hardouin Duparc.