ldln 118 - juin 1972

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    s 'M Y S T E R IE U X O B J E T S 'C E L E S T E S E T P R O B L E M E S C O N N E X E S '-- - - .~

    l , E S N O U R R A D O N S-"~--.,_.-Ipres de D r a .g : a i'g r i ' a n V a . r r: - ' '"

    (Voir page 25)

    "';" .. "-~,. . .JUIN 1972 - N 118 - 15" ANNEE

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    LUMIERESDANS LA NUll(GROUPEMENT INTERNATIONALDE RECHER'CHES)

    GOMITE DE REDACTIONF .. lAGARIDE, M. MONNERIER. OlLlER, R. VEILLITH:C:ONSEILLER TECHNIQUE (Problems M.O.C.)Aime MICHEL

    UNE P IERRE BLANCHE...pour marquer l'ernlsslon de television au van-

    dred'i 24 mars 1972. Le film de MM. l.acasaln et Mu-gnerot nous a donne ce que nous souhaitions tousdepuls longtemps : une iJresent''iltion objective desfaitset des hornrnes. lis l'ont fait et bien fait rnalqredes dlfficultes de taus ordres. Ou'lls en soient remer-ctes l

    Le debat represents pour beaucoup un tournant,Pour la premiere Io!s, ll ne s'aqlssalt pas de rrdlcu--llser un pauvre bouqre de soucouplste n'ayant que saseu!e certitude face aux sourires narquois des spe-cialistes > ! . .. en autre chose! Car dans ce dom atrre, Jln'y a pas d'autre speclallste que celul qui consacrequotldlennement soi} temps et ses forces a I'etudedu problerne.

    Cette fois Ie del}at fut courtols. Les partisans desc ; lHOX camps exposerent leurs idees en respectantcelles de I'adversalre. Peut-on d'ailleurs parler en-core d'adversalres ? Alrne Michel fit bien remarquerI'evolution. Les ufoloques ont fait des proqreset con.

    nalssent mieux la physique et l'astronornle ; tandisque les astronornes, de plus en plus nombreux, adrnet-tent que vilJgt ans d'observatlon recouvrent force.m erit q uelq ue chose.

    Bien sU-r ee n'est pas encore demain que I'ufologiesera enselanee dans les untversrtes l Mais no us pou-vonsetre persuadeaque nos efforts a to us n'ont pasete vains. Aujourd'hul Ie probleme commence a etreconsidere. La soucouplste honteux et agressif faitplace i) I'ufologue sur de lui et bient6t respecte. De-main rete de l'etude commencers.

    L'ufologie devient une science; mais ou tout restea Iaire. II lui faut trouver ses methodes originales derecherehe, ses hypotheses de travail qur, verrflees, de,viendront des lois, c'est-a-dlre la connaissance ...

    Si nous ne voulons pas que notre modeste sue.ces soit une victoire a la Pyrrhus, il nous faut pren-dre un deuxleme souffle et continuer.

    Michel MONNERIE " Rene OLL!P:R

    CLIN D 'CE IL ... POUR LES VAC:ANCES!Plus de T O O lettres arrtvent cheque jour 11 laredact ion.v, songez au travail quecela demande pourIe,s Iire... et repondr e.Beaucoup demandent des renseignements qu'un ,mi-

    nimum de recherches [l'lersonnelles leur aurait- donnesProfitez des vacances pour acquer ir les collectionscompletes de LDLNet Contact qu] renferrnent unefoule de renselunemerus pre'Cleux, Ie plus souvent ceuxqui sont recherches, Ie prtrlcipe que vous pensez avoirdecouver t, l'observatlon qui 'vous Tnteresse. Pensezaupet! de temps dent -nous disposens pour repondre 11tous.

    D'gutres, mal avert is de la cornplexitd de nerre ta-che, proposent mille slJggestions, mille recherches,alors Clue nous ne dernandons qu'une ehose : qu'Ilssattellent eux-rrrernes a Ia besogne et nous precSententIe result at de leurs travaux.

    Beaucoup egaiement offrent ,genereusel'rlent leursservices pour des taches dlverses, et s'-etonnent peut-etre que nous ne fassions pas plus souvent appel 11leur concours. Qu'ils 56 rassurent, ncuseschons de r e -partir au mieux les travaux, et cela ti-ent davantage aune question d'organisation a laquelle nous nouseffon;:e:ns de rem.edier.

    Qve tous se rassu rent, nous tachons que tousscient satlsfaits, et c'est bien a ce titre que divers services s ant e t e crees at que d'autres Ie seront.L'oriqlnalite de Lumieres dans la NuH _)} resideen effet dans !e souci d'offrlr a chacun r'interlocuteu'rvalable dans Ie domaine qui est Ie sien, la possibill-

    te d'oeuvrer selon ses desirs,ses facultes, et son tempslibre. Nous ne cesserons de repeter que LDLN se veutune oeuvre col lective, sur une base 10 plus large possi-ble, qui demande la participation effective de chacunde SElS lecteurs. II n'y a aCJCUnpontife dans sa. redac-tion, la redaction est celle de tous, dans les llmltssraisonnables de la blenseance et de la 'verite.

    C'est a ee titre qu'onr ete mis sur pied par noscollaborateurs:RESUFO pour les photos du del, ou tout posses-seur d'un appareil, rnerme modeste, a 1 0 1 posstbillte de

    se rendre utile, quelles que solen! ses occupations. Laaussi les possibf lites sent i'mme'Ases allant de I'appa-reillage Ie plus simple au pluscomplique. D~ I'appa-reil sur pied, ordinaire, a,LJX objectifs speciaux. auxdispositifs avec occultation, aux appereils declenchesautomatiquement au pas-sage dun objet lurnlneux.Tout cela a ete decrlt dans la revue.

    (Vas photos doivent e:~re adressees a: M. MON-NERIEi 8, Passage- des Entrepreneurs, PARIS (15e).

    FIDUFO a besoin de beaucoup de monde pour eta-blir ses fiches. II ne demande que quelques petitesheurE!$." par mols ; avec U I1 minimum de bonne vo-lorite tous nos lecteurs peuvent fl/articiper a l'elabora-Ion d'un outil devenu indispensable pour la recher-che, et qui placere LDLNa I'ega! des meilleurs grou-pes lnternarionaux.

    (Secretar lat : M. Jean-Claude VAUZELLE, 6, rueScarron, 92260, FONTENAY-AUX-ROSES - timbre f e . .ponse s.v.p.).

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    GTR: Ie groupe technique de recherches est plusspecialise et demande la participation de techniciensplus avertis. Mais que ce soit en informatique, ou enelectroriique, nous constatons en consultant nos fichesla montee irresistible de ces specialites et I'Irnmenseservice que ces techniciens pourraient rendre. 1 ) la re-cherche. A eux de se grouper, de s'organiser pour eeu-vrer dans les dlvers domaines qui s'offrent : l'Y)agne-tisme, gravite, radlo-activite, electrlcite statique, ana-lyse de la lumiere, etc. pour I'elaboration d'Instrurnentsde mesure que Ie bricoleur pourrait monter, et dese faire connaitre pour etablir les contacts.

    (Responsable: M. Rene OlLlER, 8, Passage desEntrepreneurs, pARIS (15") - timbre reponse s.v.p.).

    Les delegations regionales qui s'etoffent chaquejour en se divisant, sont creees pour assurer les contacts entre les enqueteur s, promouvoir les reu-nions, etudier les dossiers locaux, rediqer les textesqui seront publies. Chaque enqueteur a sa place au.sein de la delegation O U il peut se disting.uer par sesactivites, et etre choisi pour une sous-deleqatlon.

    Mais lisole peut aussi ceuvrer.Beaucoup se sont specialises avec bonheur dans

    les Recherches d'Archives. II n'y en a pas assez. Quine sait que Ie journal regional X , par exemple, abien souvent des editions differentes selon la regiona u il est lu. Ca sent toutes ces editions qu'il fauteplucher et c'est III encore une act lvl te qui exige untravail collectif. Cheque jour 101vaque de 1954 s'en-richit vde faits qui et aient passes inaperc;us. N'hesitezpas, la a u vous etes, a passer quelques heures aeplucher Ie journal local de lannee 1954, au moins,et a nous adresser copie de vas recherches. Sachezque chaque fait est tr ie, tape en 4 exemplaires, etservira a la publication prochaine d'un catalogue pro-visoire.Reenquetes 1954.

    Du t res bon tr evail a ete hit, mais nous consta-tons que cela ri'avance pas. Beaucoup repuqnent aletude des faits passes, pensant peut-etre qu'Ils nof-frent aucun interet. Rien n'est plus faux. Nous avonsla tres grande chance pour l'etude davoir eu en Fran-ce une vague d'observations, il faut en prof iter pouren extraire tout ce qui peut etre utile pour la con-naissance du phenomena. et cela est subordonne a lareenquete qui etablira la realite des faits et les vet irade details ignores. Quelle saine occupation de vacan-ces !

    Pour tOl:JS ceux qui ont cornpris la necessi te deces travaux nous donnons ci-dessous la liste des faitsdent les enquetes nont pas encore ete refaites.

    123 4- .1-54 Marignane136 23- 7-54 Diges142 7- 9-54 Harponville151 23- 9-54 Le Jou153 24- 9-54 B.ecar, pres Diges155 24- 9-54 pres Ussel156 26- 9-54 Chabeuil158 27- 9-54 Figeac159 27- 9-54 Perpignan161 28- 9-54 Froncles165 30- 9-54 Marcilly-sur-Vienne166 30- 9-54 Brest167 30- 9-54 Grand-Couronne170 1-10-54 Blanzy

    1711721731741751791801811 & 3 318418618718919019119219319619719819920120220320420520720821021221421521621821929329429629930n3013.06:101 '309::l10313314315321223332333336346358

    1-10-541-10-541-10-541-10-541-10-542-10-542-10-542-10-543-10-543-10-543-10-543-10-544-10-544-10-544-10-544-10-544-10-545-10-545-10-545-10-545-10-546-10-546-10-547-10-547-10-547-10-547-10-547-10-5.47-10-548,-10-549-10-549-10-549-10-549-10-549-10-5420-10-5420-10-5421-10-5421-10-5421-10-5423-10-5424-10-542510-5425-10-5426-10-5426-10-5427-10-5427-10-5431- 10-545-11-548-11-548-11-5413- 1 I-541-1.2-5429-'12-54

    BryRessons-sur-MatzJusseyLa Rouierie, pres St-Jean-d'AnqelyBranges, pres LouhansLouhansCroix-I'EpineGuebl iriqVronCherenqRonsenacBenet, pres La Valettel.ez iqnanChaleixTreqondMon tceau-Ies-MinesVi Ilers-les-Ti lieu IsLoctudyLe MansMertrudBeaumondLa FereVi Ilers-le-LacHennezisPlozevetBeruqesSa lnt-Jea nod ' AsseMonteuxBornpasCalaisMontarenDreuxSoubranBeau'vainCarcassonneSa int-Va leryTurquesteinPonsCri teui 1-la-MadeleilgePou;z:ou, en t re Serifere et Pa i lieSe i nt-H iIai re-des-LogesBiozatPlemetArraye et HanAnqoulemeHeitevinMezieuxLes Jonqueret de l.ivetCorrompuLa Roche-en-B ren i IVoussacLa TessoualeBreckBassouesBru, pres de Gardonne.

    (pour d'eutres details sur ces cas, voir I'ouvrage deJ. Vallee qui vient de paraltre Chronique des appa-ritions extraterrestres , page 28 de ce numero ) ,

    Une centaine de cas restent done encore a etudiersur place sur Ie catalogue Vallee que nous avons requ-lierement publie. Par ailleurs, plus de 950 enqueteur sant m anifes te Ie desir de se rendre utiles. II sem-blerait done quavec un minimum d'effort toutes lesresnquetes sur les observations de 1954 qui ont etepubliees pourr aient etre entreprises et realisees.

    N'attendez pas que les autres s'en chargent, fai-tes-Ies et que 72 soit une annee decisive pour enterminer avec les reenquetes du catalogue. Ne nous

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    [[ ~rn a '1 d. ei1 ; p as d e re l'} se Sg n em en ts , nous' ne pourr ions~y f< l ;ire f< lc e- et n oush'en sevens pa s 'plus que Iecatalogue DU le l iv re c I'A i,m e 'M ic h\? l A propos de sS::KJ'Coupes Volantes . Le mieuxcesOh' t les archives!o c ,a .l es CU l i'e eu 00 V"OU5, al, lez' 'e:n queter, les notsbtllteslo .::ales,etc . .. ef bonne chance,

    'En d ''l l!tres t.em ps nous V(lIe)S ferorrs c .q.nnI1 t-d e-Ma('$ an , fE ke ptio hi1 e L es. re J.e v~ s d'ar-cQ iv es" , tape les .artic le~ et l es rep .attit aux senl icesLnteresses:. FmUFO, etle Set:'v i'c :e du CC!t

    [I est wn Butf,e l ;m iQ t stJr legt1el n o u'S des.i.r0,n .saU iEer ['ilttel1tio n c rje t'Q lc JS n ; oht ornis de .s 'i,gn aler leur G Jelec .feur, ,9~S an c ien s o n t pu charilge~C /'adress2, des. nomsol"1t IO U etre a'gares . Nous dE lrn an -C l ? r . 1 S a ~GUg le s deten tel, jrs de se hire c :o n n aH r'e. ra.fJi-de,men t. Po ur les departemen ts 04 - 06 - 11 - 13 _ 20 _~O ' 2,4 -66- 83 - 84 de la c ein ture M edirerran ee, I.ereeau local s ' 0' rg ,qri i' S 'e 501 , )5 ' l'Irnpulsjon de MM. HardyI'll C hasseign e,et .Ies detehteuTs pourronr sadresser di ~rec temen t ~ . M. Cha'Ssei@ne.

    Nous . nous eH oroAs, par I" JJVblic idn en c ie n'Ooffi-lv n~ux.scM 'ma's, de rn e't'. tte le br ieeleur en t'n esurede vpouvolj construira un @ et~~Jeur de bonne, qualite.Nou$~ssayo hs de mettr'e en vent e de, nouveaux ai5-Ra:r:!'l'ils,. C~ H'es t pBS to uio lJrs fac ile pour' n o s am is,qui n 'o n t gU 'e lelo isir' que leur lai'sse leu.!" trav ail ,de, rro uv er ro ..u s leselemen ts i'n dispen sables po ur fa-i ;l ri Jwer I~bb je - t a v ern dre. IIss0n t .arretes p:at On v i-breD t', par un esirrilr;:> le bClteen ' plastique~ po ur I'len . ..G a~ uc l .aec ho se e's ,t c le faire tm prG to type, un e autreest de fairee lJt:1 'efabric atio n de serie a mille eJ(em-plai~es au Il ' lus.

    II y a pel!l t-etre, ets.O rern e.n t, parm i mo 's lec teurs,des p'{titsartisa)n s ' qUe [eH e fabric atio n in teresse-rait, '1u 'ils 5e fassen t GO mnaitl 'epo l)r G ju'ellen tuelie-men t:o n puis.se iaire appeJ a et;ix. .

    Ains i ~oncJ .;;lU c o urs de (:Je b~)ur d 'pqrizo n , Qns.'aper

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    PETIT CATALOGUE CH IL IEN (2)(suite et fin)

    (avec I'autorisation de M. Petrovitsch, fondateurde l 'ex-revue

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    ~e penser que no us nous trouvons devant une pseudo-hallucination, hallucination ou vision . Un autre te-moin, a 100 m de la, a confirrne les aires des deuxarnbulanciers.o24) 19 octobre 1'68,vers 19:30. LA. SERENA. 29

    5.4' 5, 71 16' O.Un tres orand nombre de temoins omobserve un

    objet similai~e au precedent, se dirigeant vers Ie nerd.Un objet, avec les memes caractertstlques, a eteapercu dans Ie ciel de Valparaiso Ie merne jour vers20:00.25) 5 janvier 1969, vers 4:0,0. VINA DEL MAR. 3302' S, 71 34' D.

    Les soldats de la g,arde, au palais prel;!idelltiel deCerro Castillo, ont vu rornber .a la mer un Q.i;Jjet in-candescent qui se depose sur l''eau. lmmedlaternent in-Formee, une vedette qar de-oote se dlr igea V e r s . lesl ieux de chute et y decouvr it de l'eau en ebullition,une forte odeur de soufre et. des especes vegetales pro-venant, semble-t-il, du fond. Des recherches' sous-mari-nes furent faites en vain. L'Instltut de biologie marinede Montemar, quianalysa les vegetaux decouverts surleau, declare guiil ne s'agissa'it pas @'algues marines,mais de plantes poussant dans les terrains r:ngfec.llilji:'Ux ..et qui ont du eIre eptratnee's lans la mer. L..'Ia'de.ur desoufre ser'aitQu~ ala. decornpcslfion de ces riantes,o26) 14 janvier 1969, vers 21='00. CERRO QUINE. 35051' 5, 710 36 O.

    De nornbreuses personnes ont vu evoluer a grandevitesse, en face du mont Quine, un objet de formespherique, ernettant des feux multicolores.

    ( < < La. Prensa de Parral du 1p-1-69).o27) 19 janvier 1969, ve.rs 3:00 du matin. socos.

    300 40' S, 71 30' O.Deux conducteurs de taxi, revenant d'Ovalle, onr

    apercu deux OVNI en arrivent a Socos. Les enqlns 1/0-laient a basse altitude, a vive allure, laissant derriereeux une trainee lurnineuse.

    (< < 61 Limari de Ovalle du 21-1-69).

    o2.8) 31 janVier 1969, a 9:3'0. OVALLE. j o e . 36' 5, 7112' O.Deux ouvr iers qui travaillaient ala construction

    d'un hopltal, et divers voisins, ont observe un ern;l'I1geobjet cir culaire qui descendit ~ une allure vertigineusepour remonter ensuite. II evolua durant cinq minutes,repetant plusieurs fois cette manoeuvre, jusqu'au mo-ment ou il disparut SeH)S les nuages; Ie temps etaitanormalement couvertce [our-la.

    (. ,E_]Dlaro de Ovalle du 1-2-69).o29) 2 fevrier 1969, a 4:40.GHILLAN.. 36" :3.6'S, n

    07' O.Des temoins auraient vu s'elever dansles airs une

    boule de feu apr~S' avoir ete reveilles par un .brulr et

    avoir decouvert leurs voitures deplacees et legerementcabossees. Les temoins ont dementi par la suite laversion de la boule de feu ...

    ({< La Discusion tie C:hillan du 5-2-69).. .30) 12 fevrier 1969, 17:QO. 4 milles ell mer face a

    QUINTERO. 32 47' 5, 71 40' O.L'equipaqe de la barque de peche Carol auraitapercu un Strange objet a la surface de la mer, qui

    devait par la suite partir, ou s'evenoulr brusquement,ou senfoncer dans l'eau. Au-dessus, evoluait, disaient-ils. uri avion Grumman, mais les Forces Aeriennes ontdementi la presence de tels avions dans cette zone .

    (diverses coupures de presse) . 1 T31) 6 mars 1969, a 21 :45. PUNTE ARENAS . .53 09' S,

    70 .55" O.A 5 km au Centre Mana.ntiales de Terre de Feu, la

    carnlonnet.te de M. Osvaldo Dominguez", 'chef du Centre,foncrionnaira de l'Entreprlse Nationale Petroliere, voltson eclairage faiblir. M . Osvaldo s'arrete, descend devoiture pour inspecter sa batterle, lorsqv'Il apercut.a 6 .m de la, flottanr dans l'air, un etrarrqe objet res-semblant a une soucoupe, dont il evalua Ie diamstrea 4 m.

    L'objet lui donnal! lTmpression d'Mre en alumi-niL:Jl11,il dirq plus ran d qu'il lui a paru sombre. Sou-dalh, il vit s'ouyrjr Ul'le porte dans I'objet, et deuxornbres descendalent su-r- la route. ({ Je ne peux definirsi elles etaient hurnalnes, dira-t-il, c'et,ait deux om-bres. L'une d'ellss savanca vers rna camionnette et jelui dernandait ce qu'elle deslrait, mais elle ne reponditden . Ces ombres mesuraient environ 1,60 rrr et I'uned'elle s'appuya sur Ie cote droit de Ia voiture et ylaissa une rnarque : il s'agit de .trois pet ites raies,cornrne des gtiffes de chat, de couleur blanche, ({ Apresun certain temps, ajoute ,M. Dominguez, elles retour-tierent vers I'engin, suspendu a I m de hauteur, je neles vis pas merne entrer et le disque seleva ,a unevitesse vertigineuse, sans produlre de bruit, sans autremanifestation. Peuapres, (ai observe une puissantelueur rouge. ,

    M. Dominguez conclut son recit en affirmant quecenest pas la premiere fois que lui-rneme et ses carne-rades ebserverit des S.V. Le secretalre general de I'E.N.A,P., lorsqu'on l'Inter roqea sur la perscnnallte de Do-minguez, repondit : Je Ie connais. c'est wn fonction-naire ser ieuxet correct .

    (< < EI Mercurio du ler mai 69).2) PeO avant Ie 19 mars 1969, entre OLLAGUE etSAN MART,.IN. 21 24' 5, 6So 22' O.L'archlreete du Ministere de l'Equipement, M. Ber-

    nardo Contreras Briceno, Ie topographe Hector Chaca-na et Ie conducteLir Pedro Huidobro, entre les stationsd'Ollague et San Martin, au moment ou leur carnien-nette s'embourbait. Les trois hommes se dirig.eaientvers San Martin pour demander de l'aide, lorsquel'etranqe objet' apparut au-dessus d'u);) rnont.: il ressem-blalt a un ballon de football et etait lumineux. Grandefut leur surptise de voIr I'ehgin descendreet 'se posera 3 m seulement de la voitune. II rests 10 minutes 11coteet repartit dans l'espace, se trarrsfermant avantde disparaitre en une grapp-e de lumlere de diversescouleurs.

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    [. La Estrell a del Norte ) G I'Antofagasta du 1 9-3-69 - . EI Mercurio j) de Calama et La. Estrel-Ie de Iquique du 20-3-68).33) 15 avril 1969, a 23:00, a 6 km de p(cHIDANGIJI.

    3:30 13' 5, 71 321 O.Deux representants de commerce ont apercu un

    OYNI. Un pet! avan.t Pichidangui, -circulant en camlon-nette, une lumiere eblouissanteilluminala route, toutd'abor d d'ufle, violente couleur vlolette, elle vira aublanc. La carnionnettn sarreta, les deux temorns reste-rent paralyses [usqu'a ce que la penombre revienne,deux minutes apres. lis purent alors observer un objetlurnlneux, en forme de chapeau melon, qui seleva aune vitesse prodigieuse. lis ne vsexpl lquent pas I'arretde la voiture qui demarr aau premier essai.a34) 13 at 14 avrIl, 21 :100'. CULLEN (Terre de Feu).

    M. Antonio Darnianovlc observe un objet lumineuxressemblant if la pleine lune, legeremernrose, se de-placant ver ticalernent. puis horizontalement. II monteensui te a une allure vertlgineuse et disparut.11 etaitavec sengendre et un berger etTobserve tion se repetale jour suivant a ls merne hsure, pendant 30'. L'objetne mit que 5" a dispereitre I T35) Juin 1966, vers 21 :00. VI,CUNA. 30 0.2.' S. 7044' O.

    M. Abel Aguirre Diaz, 36 ans,ag,riculteur, cireulaiten camion, eccompaqne de son beeu-frere, M. RossrnelDiaz 8allegill05, 1 8 ans, et de s.es enfants, Silvia etAbGion, 12 et 10 ens.Au detour dt! chemin l.ls virent sa.uter devant euxdeux silhouettes hrillantes., de 1,20, m environ de haut,qul se cacherent de Iii vue Q U carnlon. En merne temps,une puissante lurniere visa [ateralement Ie camion:elle paralysa la [arnbe gauche de M. Aguine, a ins i queIe bras qauche qu'illaissait pendre a ~ ['exter ieur a cemoment. La [ambe gauche de Rosamel fut eqalementparalysee. ,

    Le camion cala, ses phares s'eteiqnirent , M. Agui'rrere.gardant par Ie retroviseur recut un flux lurflineuxpuis sant qui I'aveugla momentanemenr.

    M. Aguirre, en vain, essaya de faire repar tlr lecamion. II!' descendirent pour inspecrer Ie, moteur etne trouverent rien de special, et soudaln les pharesse r ellumerent seuls. Sur un petit plateau de 2,0 m deheut, au bor d de la route, apparut une lumiere trespuissante qui illumina toute la vallee et les montsvoisins.

    Les temoins prirent peur et deciderent de seloi-gnet. lis mirent 3 heures avec Ie oarnion pour hireles 30 krn qui les separaient de chez eux (le conduc-teur, M. Aguirre, ressentant encore de fortes douleursauk yeux) au ils arrlverent vers minuit. Le lendemainmalin ils se rendirent au poste de police pour reridrecompte de leur etrOlnge aventura.

    Le colonel. commandant, Xavier Provoste de La Se-rena, fut alerte et chargea Ie ceplralne Mario HugoMolina de I'enquete. Celui-ci se rendit sur les lieuxsans les temoins, nalle pas inspecter Ie plateau etI'affairen'eu.t pas de suite.

    Un muletier, Hugo Bascur, qui se dir Igeait versHuanta la nuit de l'ebservarlon, a fqit savoir qu'favalt apercu une boule de f ~ 1 J se dirigeant vers lamer, semblant vsnir de la' Cerclillere, et qui passajuste au-dessus de sa te,te. II souffre depuis de douleu-reuses brCiluresaux yeux.

    Un employe de la Cie des Tabacs, M. HenriqueCuelar, a vu passer a Huanta, la nul; de [Tncident,vers 22:O,[), urie boule de feu 5e dirigeiilnt dela Cor-dillere vers 1 0 1 mer.

    M . Aguirre consults le rn edec in des carabiniers,M . Bascur e.galement pOUT S'8 douleur aux veux , Leuretat sarnelior-a rapidement apres l'appl icat ion, durantquelques [our s, de gouttes ophtalmiques.

    M. Aguirre retourna sur les l ieux 5 [our s ,apresI'incident et il signala lendroi t exact avec une enorrnepierre. Sur l'elJlateau il decouvr it des t races : longuesde 20 em, I,arges de 1 em, profondes de 20 em, dis-posses, en deux groupe de 3, soit 6 au total.

    l!jj [ours plus tard, M. Sergio Canut de Bon, inge-nieur des mines, rencontra M Aquirre et vlsitant les!ieux ensemble, il put verifier l'exlstence des traces.

    L'observat ion de c e phen o rn en e lumrn eux sembleavoir affecte le sante des temoins .. M. A9uirre ne 58sent plus 1 8 tete parfois et M. Rosamel D l a z , dent 1 0 1vue et ait perfaite, eproove maintenant une gt(mciefatigue lorsqu'il lit .

    De nornbr euses personnes, honorablernent connuesde la region, pe.uvent temoigner de la credibilite destemoins.

    Ce n'est pas la premiere observation de la region.Le 7 septembre 1967; Ie sergent Pedro Aroca, Ie capo-real-eli.ef Manuel Conzelez. 4 cer ebinles s cd'Huanta, virent afJPa~altre au-dessus de la montage, a 7:30 dunTatin, un OYNI de cot/leur arqentee, avant Te formed'uae assiette de 50 m de diamerre. II resta immobilequelques instants, fit quelques evolutions, puis seloi-,gna agr.ande v.itesse. Le fait a ete rendu public parIe colonel Provosts de La Sererla,

    (Communique a UFO-Chile par le Dr Darwin Ar-riagada).

    N .D .L .R . - M f;rc i ln fln lrn en t a MM . P etro v itsc h etTreutenaere qui ant perrnis xette diffusion. Ces quel-ques faits, dont quelques-uris auraient demands uneenquete plus detaill.ee, montrent une fois de plus l''uni-versalite du phenerrrerre. Sur un pays qui set ire entre18 ef 56Q de latitude sud, la carte mentre une concan-tratlon d'observations (22 sur 34) entre les par-alleles34 ef 38, ceux precrsement ensadrant BAVIC (zoor-donnees J. Vallee) (Voir LDLN 117 d'evr ll 72).

    La cMtca ere etablie d'apres l 'Atlas Universa-lis . ainsi que les indications des coordonrtees geogra-phiques, Les indications minieres : petrole, gacz, char-bon, cuivre sont tirees de Encyclopedia Universe-lis.

    l~OUVRAGE A PARAITRE: sortira sans douteau cours du second sernestre 72. Toutes indl-catlonsaeront donnees lei en temps utile.8-

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    CourrierCher Monsieur,Nous avorrs sulvi avec I'attentlon que vous ima-

    ginez l'ernlssion de television e Les Visiteurs de l'Es-pace , Perrnettez-moi de vous Ieltcrter de votre par-ticipation et de la place importante consacree a LlJrnieres dans la Nujt, '

    La positien de deux des scientifiques presentsF1( i )US a paru mains. neqattve que lars d'autres oonfron-tatlons concernant les OVNI.

    H est vrai que la presence de NIl, Aime Micheleffacalt le cote conventionnel et depasse des officie!sen general.

    Son intelligence, ses propos> perciJtants ont donnea remission, lors du debat, la qualite que Ie themetralte rneritalt,

    NOLis n'avons pas reqrette Pll[ ailleurs - abso-lument pas - l'absencs du psycholoque me service:Ie jeune reallsateur, comprehensif et, intelligent, avoulu sans doute nous eparqner cette epreuve, Mais,[e -me demande sl M. Alrne Michel lui auralf permisd'etaler ses connaissances dans :Ie dornalne des hallu-cinations collectives?

    Mme DelatourLe grand evene-ment de ces dernjers temps a, bien

    sur, ete cette exceptionnelle emissien de television quimarque, airrsi que vous Ie dites, Ie lever d'un journO'UV~GlU,Elle ri'a pas, manque d'etre la plus qraridesurpri'ss et la plus! grande satisfaction pour tous ceuxqui, depuis lonqternps, attendaient desesperen;lent quela televisien, confcrmement ~ sen devoir d"Thforma-tion, donne ~nfin ~ un publtc trop 10ngternps tenu dansI'inorance, une imag:e justa et honhete des realites quicorrs tit uerit notre problems. C'est un grand succes, danslequel l'actlon d'information incessante a laquel!e LUMIERES DANS LA NUIT sattache depuis des anneesau maximum de ses moyens, entre pour une part quin'echapr;l.era a aucun aeceux qui conneissent LDLN.Esperons maintenant que ce grand bouleversernent an-nonce p,Q)ur lavenlr urre attitude nouvelle de la part deceux qui ont [usqu'lc! entr ave Ie proqres des connais-sances sur ce plan; mais nous n'en sornrnes sans doutepas enwre I~.,..

    J.--F. DELPECH.LAB()RIE,.I'al vu l'emlssion televlsee du vendredi 24 mars

    a 21 h 30 Les Visiteurs de l'Espace ,i et j~ tlens amanifester ma deception, Cette r-ealisation n'apporteen fait rien que dudeja connu (du mains pour les gensqui s'y lnteressent vralmentl. La presentation desequlpes de recherches, de leurs travaux, reseauxdedetection et resultats acguisest norrnale et instruc-tlvs pour Ie public mals i J est regrettable que, pourrendre passionnante cette emission, on ait mis en ve-dette I~s theses pour ou contra, croire ou ne pascreire, bonne foi ou mauvalses Interpretattons des te-rnoins, existence posstble des extra-terrestres, attl-tude des selentlflques devsnt le prohleme: pourI'amour du ciel, laissons cela aux discutaillet:lrs et nepietinol1s paS. L.e public a besoin d'une information$erieuse, solide et detaillee, iI a peu de temps pourse dOCUm8'flter. II aurE!it - ete bien plus important degrouper flomljrre de details documentaires scientitiq.ueset objeqtifs, etudles a la suite de temoigna9,es:

    1') Par les constats des gendarmes (citer le faitqu'ils He sent deplaces, ont pris des mesures, effeo-tue des pr elevernents, interroqe les temoins, etc.) etles travauxeffectues Sur place par les enqueteurs,traces lalssees au sol et leurs photos, moulages d'ern-prelntes, magn:etis.rne remanent, radloaetrvlte, etc.

    2P) Sur les prodults ou resultats de decomposi-tions latsses at) sol. avec si possible I'es rapportsd'analyse de laboratoires serieux (il dolt bien y enavoir depuls vlnqt-ctrrq annees] et W}l,JS> '@Tes bienplace pour la documentation, On annonce toujours Ieprelevernent d'echsntllions mteressants (ractnes calci-neas, boues durcles, poudres mysterieuses, gelees,ctc.) et leur expedition a l'analyse, mais les resultatssent tabous dans Ia plupart des cas, pourquol ?

    3} D'lnslster sur les etudes statistiques juditieu-sernent presentees par M , Atrne Michel qui n'a paseu longtemps la parole et avait cependant apportsune doc-umentation, j'en suis sur, edlflante.

    40) Enfin citer des observations effectuees nonseulernent par des astronomes et des aviateurs, malsaussi par le personneJ de la Meted: ce sont des genstres qualifies que I'on a lalsse dans I'ombre.5;) Constater qu'il s'agit de faits lnsolltes qui va-lept 1 0 1 peine d'etre etudies m als n e pas ernettred'hypothese : il y a assez de romans, de films etd'erntsslons concernant la science-fiction, cela iserneIe doute dans les esprits. Aviser les telespectateursqu'll y a toute une dceumerrtatlon serleuse it sa pertee(adresse des revues, titre des ouvraqes, etc.) Flourceux qui ne veulent pas rester dans I'ignorance!

    Cette emission n'apporte rien de concret, rien detangible et ne peut Ql.!e eontrtbuee a rnalrlEeniT Iesceptlotsme dans Ie grand public. C'est un fiasco, oncroirait que I'on oherche a < , amuser If) malerie , onse moque de nous! Y. VERNET

    Repnnse [I 10 Iettre de M, Vernet. - Ce que1)QJJ,S tiiies estintcreS,'icl'nt. I:{elas, 'il: fecut te1,1:iTcompte des realites . 1,me sequence d'inte1v'ietvs,suio ie a 'un [lebat,. ties; - p as ' I1,1/,econierence au.GOUTS ( ~e t aq ue ii ilest possible (L'eXp7"il1teT striete-rnent et 'i'1'dcgra~ement sa pensee, Comrp arez p are;pemp,le Ie texte que .ie ,desi~'ais VOiT passe?' tOTS decetie emis sion. (se reporter a l' eclito1"ial, page 3,d,e LDLN 7 ' 1 , ' (17) , avec ce qui a 7 'eeUement e t ed.iffuse", It 'U (I. en outre um question iie tem.psUmite, qui [ou.e oeaucou/p. D'autre pert, meme(_lGtiL~ te ebebCt t I l1J.i a sU'ivi, il etait pQ"a;t;if:tue1nentim-poseitne d'exposer umquemen; Le pl-obLeme(!)VNI dans ie detaH; il tau,t ieiiir compte de ce'tjlut tes contl"ad'ictew's otierctient a aiguille1' Laconvevsaiion. S11T tel OJ , l tel point, p eu. important,a LU{1l.eZil cQ'nvient d e r ep a tu ir , d'Qt{, de muuip t e spertes de temps dans usi deliat qui a eli! tTOPCOII,rt. Sans d01Lte, cetteeWI:ission n'a pas app~'istlu tunuoetu: aux in'itU~s, mais atle a rnarqu. ttntou1"Iwnt important. Sorujez que c'est L a premiere[oi que notre pO' int de vue pe,ut s'ezprimer a taTV ; cest _un tres bon. debut, et l'impact Stl1' legrand pu,bz.L(:a etc C071,siclerable. It ta'1.tt s ' e n Te':iC'JUiret- oiler de ~'avant pourpa?'faiTe eeia. L'heu-re ' 1 1 . ' est pas au uldchement des efforts!

    En ce qui cpnCel"lte les re8ultats a'anaLyses, il7~'y a T ien de ldbolt POW' LDLN et C(; seTait. b ienu1t cOmble de n(j)Us pi'ivel d' aT[!uments aussi puis-sants t1is-a.-vis de nos detracteilTs, aloTs que nous

    (Suite page 13).-9-

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    EN ANGLE'TERREEnf)uete de notre Delegue, M. COUDROY

    Les fait se sont deroules Ie 8 decernbre 1971, Letemoinesr Mme Kathleen M. Kerr-MGrgan, habitant.3 . Otley Road Ii Menston pres de Bradford. C'estunepersonae de 60 ans, petite et energique, retr aitee deI'administration. Void son recit :

    - J'aveis ete visiter unaernie a Idle et eyant man"que lautobus pour aller a Menst0n je decridais donede rehtrer a pied en passant par Bradford Roadoujaurais pu prendre un autre autobus. II devait etF'eenviron 22;00 (toutesles heures sont en neure locals :ajouter une beure pour l'heure fr ancalse ), J'etais , aShipley a 22:05, aussi il devaitefre juste un peuavant 22:00. La rue etait tres calme, avec pe u de' cir-culation et pas de pieton. Soudalnement i] y a eu unegrande lumiere qui semblalt suivre Ie cote droit dela route, dans la merne direction O U ral'lais, elle de-vait venir par derriere rnals je l'al juste vue quandelle est arrivee a ma hauteur. file se depJa.;ait au-dessus des tolts des marsoos, mais je ne peux pas direla hauteur exacte, et pour Ja dimension il rn's sembleque si elle se possit elle couvr lr'ait la largeur de 1 0 1route (environ 9,50 m). Elle allait un peu moins vi tequ'urie etoile filante mais elle eU'Iit beaucoup plusgrosse. El!e avait la forme d'une ell ipse ou d'uii ovaJeet puis elle a traverse la route et it t semble descendresur Ie terrain de golf plus lenternent mals ma vue qete genee par les malsons qUI bor denr [a rue. II n'yavait aucun bruit audible, la nuit etalt tres claire et11 y avait beaucoup de vent: on voya l t Les paplersvoler dans la rue. Ouand elle a tourrie et qu'elle estdonc passee devant mol, elles'etait "hangee en ce,rdemais sans chanqer de couleur : cetait d'un jaune blanclumineux mais ca neclelr alt pas,si vous voyez ee queje veux dire.J'ai eu tres penr, alars je me suis Jnise dens runeencoiqnure de porte, car je croyais que la lumlere allah.s'ecr aser sur Ie terrain de golf, et apres, cornme riennese passait, j'ai cont inue rna route. j'ai peut-etre vucette lumiere environ 3 a.4 secondes .

    l.es dessins qui illustrent cette eriquete sont deM. Gaudry, accompagnantM. Coudroy.

    N.D.L.R. - Nous devons a M. Coudroy une excel-lente .enquete parue dans Contact de rnars.: trojstemoins plus un radaristea Bradford qui a suivi auradar les evolutions de deux objets qu'observalent lestrois temoins a 25 krn de La et qui avaient' prevenuIe radarisre par te,lephol1e. Nous prions les lecteurs des'y r-eporter.

    Nous ne savons pas si I'objet aper~u par Ie ternoina atterri sur Ie terrain de golf. Mme M. Kerr-Mo,rgana eu Ie sentiment qu'Il allait s'y ecraser, la ranqee

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    DANS LA REGION DE MENDOZA (Argentine)(Communique par M. BARAGIOLA - Traduction de Mme BOULVIN)

    C'etalt le 8 juillet 1968, les institut rices AmaliaAresqueta, M,ari Granada de Bariglia et Si lvi . . Grozonase dlr igealent ehClvto VNS l.ave}!e, localite distante deMendoza de. 50 krn epproxlmatlvemenr.

    A peu pres, vers 7:80, circulant sur la route-, ellesvirent un objet rouge-orange incandescent, de formeevale. Elles calculerent 20 m de diarnetre. II allaitlentement, a une vite-sse qu'elles estirnerertt' entre40 et 50 km/h, et suivait une direction SE a NO.lnterroqees sur les conditions etmospheriques, ellesrepondirent qu'elles etaient bonnes, cie! pur, malsavec du brQuillarg du cote co s'o bservait l 'o bjet, 1,1"ne se produisait aucun bruit, elles ne rernarquerentaucune interference dans la radio de la voituee, etI'obj~t n e laissa aUGlJfI sillage dans Ie c iel ,

    Cependent vevent d'apercevolr I'objet, un fait cu-rieux se produisit: on a senti une odeur sembi able adu papier humide, et cela augmentait de telle faconque eels asphyxiait. Une des personnes qui etait der-riere eut la sensation de s'endormir.

    Apres 4 au 5 rnlnutes d'o,bservation l'ol:5jet disparurvers Ie NO,

    Le me me jour; Edu,ardo Oscar Silya t o e , annee deGenie), Carlos 'Perliho (PT 3, cbservateur meHeo)etDaniel Fernandez, etudianL.etaient en train d'effec-tuer leur travail dans l'Observatoire metec du paregeneral de San Martin quand, vers 19:30, ils distin-guerent un objet qui suivait une trajectoire S,SE a NO.lis fie purent Ie voir que peu de temps mais volci leurdescr-iption :

    Forme spherique. Brlllent. Temperature 10 C, cieldecouvert. Par la tr-ajectoire, Ita lumihoalte, la vltesse,l 'heure, la fa~,0n mont 1 1 dlsparut subiternentau mo-ment o .U on allait Ie I'lhQ~ographier!la pos-sibilifE~ ,a'unsatetllte est totalernent ecartee. Celie d'un avi6n ausst :on ne voyalr pas de lumiere rouge interrrrlttente; nifixe, rouge ou verts .. L'observetlon dura 4 minutes ..On noter.a la quallte des observateurs.

    Le 21 juill.et 1968, 1 :30, Ouatre temoins, parrnleux un pilote prlve. 'ste tlennent sur un chemin condul-sant a Uspallata, passant par Villavicentia. lis se rrou-vent a une altitude de 1 000 m au-dessus de IE! mer,et la ville d e Mentloza est ex trernement eloig;nee. (Nousmesurons lOe.tte Iistal'lce sur la carte, die est de I'er-dre de 50 km, dOhG eJe,i,gnement I'e,latif). Et,11Int'donnel'al'tltude et l'heure, iI rre pouvait y avoir aucu.navlon de transit, au m:oins avec les carectertstiques decette observation. e : Nous etions en train de regarderles etoiles. Le ciel etait cornpleternent degage, ellesapperalssaient ave" nettete, quand l'une d'elles attiranotre attention: Elle semblait etr,e V~t;).us .. Restes une , ~r ....................

    N 'O U B L l E Z P A S 'D E N O U S F A I R E P A R V E N I RTOUS LES RAPcPORTS D'OBSERVATIONSDO NT VOuS POUVEZ AVOIR CONNAISSANCE. MERel!......................................

    demi-heure a observer Ie ciel , l'un de nous fixa la pla-.nete avec tine longue vue, et remarque qu'elle etait:extr-emernel'lt wrieuse. Elle ,.emettait des rayonnements.Cela lui paru si bizarre qu'Il s'ecr ia : Ce n'est pasVenus! , Alor s que nous no us dlsoosions tous ala photographler, en rnoins de 3 , secondes elle descen-dit, menta, sans neus donner Ie temps de faire laphoto, et disparut derriere un pic eloigrie. Nous essaya-mes de la sulvre, car bien qu'elle avait disparu, l'en-droit restait -Ires eclalre, mals quand nous semmesarrives assez pres on ne voyait plus rien. Les temoinsdont je peux divulguer les noms sont lignes de con-fiance.

    Lundi 22 juilJet 1968 les observations continuent.Vers 19:50,. plusieurs personnes veyagent en vel-

    ture vers Villanueva par laroute d'acces a Mendoza,lorsque leur regard est attire par un objet rouge avecIe centre de couleur blanche, de grandeur epparentea la pleine JUI'!~, ovale et br lllent. Les conditions atmos-pher iques et1l1ent bonnes et Ie ciel decouvert. II sedeplacalt tout d'abord d'est en Quest puis- il s'arreta,fit plusieurs mouvements, et 5e deplacs e n directioncontraire de [a premiere observation. La duree de J'ob-servatlon et~it de 20 minutes. Leg temoins demande-rent a d'awtres personnes 5e tro.wvan~aux environsobservant Ie ciel, et elles aHirm~ren:t que I'objet etai~la avant leur arriyee.

    (De Cronica}} du 5-9-68, Bueno-Alres ).M. Francisco Gomez, 46 ans, et son epouse Mme

    Regina Vallejo de Gomez, 41 ans, habitant 990, ave-nue San-Martin a Malargue (Mendoza) furent les pre.tagonistes d'un etr:ange episode, quelque venementfrequent.

    Nous v0),'agions dans notre auto, dlt M . Gomez,c d e Malargue vers San-Rafael. La nuit etalt claire, sansindice d'or'a,ge'. NeUE nous trouvions sur 16 1hauteur quiva de Chacay a : EI Sosneado :(iI s'aql] du troncon O Use situent Ie's sources therrnales bien connues, ajouteM. Baragiola) d'ou la vislhllite etalt parfaite. II eraitapproximativement 5: 1 0 du matin .. , lei Mme Gomezinterrompt Ie reclt : Ce fut quelque chose d'extraor-dinaire mais qui faisait peur . L'epoux reprend ,Ie fildu reclt pour indiquer que a cet instant, a cote de lavoiture, a T O Q m de. haut, a 200 Y T ' I a l 'horrzontale,apparut un objet circulaire qui langait par sa partielnferieure des lueurs lumlrreuses sernblables a l'arc-en-clel, mets Q U prederntnalt Ie rouge intense. Nous res--tions sans parler, observant comment l'objet mainte-nait une vitesse e'9ale a la notre. commes'il nousaccompagnait .

    Ensuite, apres s'etre assures que ce quils virentne pouvait etre un reflet caprlcieux au une illusiond'optique, Ie menage dit que I'objet selolqne soudaina une vitesse Impressionnante pour se perdre dans Ieciel .

    (Extrait de EI Arrdino du 15,,9-68).Un autre' etrange episode avec I'apparition d'ob-

    'jets non identifies arrivCl ~ Mallarguei'l un employequi se trouvait dans l'uslne locale d'enerqie i' I 7 kmenvi ron de Mendoza.

    (Suite page 12)11

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    O b j e t a u s o l i : J N e w - B a d e n ( 3 8 0 3 2 N 8 9 64 2 W ) ( 1 I 1 , i n o i s , U S A )Enquete de M. PHILLIPS - Traduction M .. MERY

    Les deux temoins, Mme B ... , a,gee de 51 am et safille, -dor maient Ie 27 mars 1967, lorsque Mme B ...fut revei llee par une brillante lueur claire, inhabituelle.l.'Inter leur de la piece etait bien chauffe, a I'exteriew'la temperature etait f r.aiche. Elle alia regarder par unefenetra au second et'a8 at aperc;:ut un objet lrrrmobile dans un champ a environ 300 m. Elle reve,illa s afille et toutes deux observerent l'obiet pendant )0 a1 s minutes.

    II s'agissait d'une grosse sphere lulsante, de cou-leur oranqee. compor tant une lumiere br illante .au cen-tre. Un anneau de lurnieres rouges enteur ait 1 0 1 spheredans la partie inferieure. Elles rema'rqwerent aussi desseurces de lurnleres [aunes, tout en bas pres du sol.La partie infer leure apparalssalt rnetelllque cerrrrrre q uchrome. La partie super ieure luisait comme la lune.Apres 10 a1 5 minutes Mrne B ... rele-va la vitre (sys-teme coullssant ) et a cet instant l'olsjet s'eleva rapi-dement d'environ 10 m suivant un 'certain angle, sedirigea ver s Ie sud sur 300 rn environ, puts ver sl'ouest en lorrqeant la voieferree au-dessus au c o t esud au remblai et disparut au loin derriere les ar-bres,

    Sa premiere ascension fut rapide, mais d~s qu'Ilfut en palier l'objet ralentit et conserve la meme vitesse jusqu'a sa disparition. II apparut cornrne net-tsment dessine et solids.

    PLAN des lieux

    Scott basel

    vale ferre'e

    NEW_BADEN (Illinois) ENGINRartie luisanfe orange.e

    lumiere crillanteI.umieres rouges

    eanneaux de Il.:Imit-re jaun,e'sol.

    Dessln de F. Lagarde

    Lor sque [es temoins visrterent Ie lieu d'atter-rls-sage elles trouver.ent une grande surface circuleire de

    MENDOZ,A (Suite de la page 111M. Jose Gandia ser tif de l'usine vers 2:25 ferme,r

    une barr'iere, Son attention se fixa vers l'ouest, o u ilebserva UAe lurniere intense dans les premiers contre-forts de la Cordillere. 1.1I'attribua a une fete se dreulant dans un lieu voisin, et continua sa route,rnals une plus grande lumlnos.lte lui fit tourner la tetedans la premiere direction,et il vit qu'avancait vers .lui quelque chose comme un ballon dirigeable du-quel rimerqealent 4 puissants ref iecteur s )~ qul l'ebIQui-rent e1 l'Immobillserent, tellemerrt qu'il ne put precl-SeT de details, exc;:epte que les ondes de lumiere avalentune couleur bleu ciel intense, et que les projecteursetaient situes de f'ac;:on horlzontale et parallele.

    II signa Ie ensuite que lorsque I'engin passa au-dessus de, lui il entendit un bourdonnement seurd com-me fOllt les frelens, mais tr.es am:plifie, I,ui affectantles sen's.

    II assure qu'il percevait Ie sari des moteurs delusine, mais avait perdu I'orientation. II recommencea s'occuper de son travail a 5:40, c'est-a-dire plus detrois heures apres. M. Gandia lnforma quune irrita-tion dela vue dura plusleurs jours et que son CEilg'auche n'avalt PClS retrouve son etat normal .. Un autreeffet, et qu'il a souliqne, est que la lumiere de mercure.I.e gene depuis cette nuit. En outre il assura que, quandson remplacant arriva 1 1 lui conte son aventure, et

    - 12

    tout deux constatererrt quend Ie jourse leva que lestraces laissees denotent que Gandia avait fait de nom-breux joursdans urr cercle de 1,50 m de diametre, pasplus.Complement. de Fevrie,r 1971.

    Sur interroqation, M . Gandia precise:Le fait s 'est passe Ie g juillet1968; vers 2:40 du

    matin. La barriere est distante de 50 metres de l'usine.II distingua c1airement 4 lumieres et f>rEkise que I'uneetalt bleu ciel avec certitude, les autres lui at-il sem-ble et aient bleu-jaunatreet vertes, II ne, dist inquaplus, rien ensuite et ne sair pas vers ou se diriIYeaitl'objet. II est reste p.lljS de 2 heures1/2 inconscient,et quand il repr it son travail Ie voltage des moteursavalt eai%e wnsid@rablement. A 6:.00 il remit Ie ser-vice au machinlste Jose Carr asco qui venalt le rele-ver et il avait mal aux yeux. Arrivant chez lui il souf-fr alt tel lement qu'[Lest ,aile voir Ie medecin qul lui adit qu'Il avait de la radioactivite. Oepuis son CEil qau-

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    16 m de dlametre environ au les plantes et aient com-pleternent dessechees. II y avait a.ussi plusieur s gr05trous dans Ie sol contenant un liquide nauseabond.Ces trous avaient environ 90 em de large et 25 ernde profondeu r.

    Elles appeleren t Ta base de Air Foree Scott (NewBaden sur'la route n" 141 est 'a quelques k llometresde Saint Louis, et a proximite immediate de la base)Un offlciel visita Ie site, rarnessa eJesecnantillons- dusol et du liquide ... et puis aucune nouvelle.

    L'equlpe UFO (?JeSaint Louis recut un rapport deI'observation en aout H171, a la suite d'une cer te inepubllclte sur j'aHa.ire dans la region. Ouatre ans apresles traces et aient encore totalement vislbles, et les 'en-queteurs prelevererit des echant illons du sol dans. lapartie !enudee.

    N.D ..L.R. Nous n'avons pas d'autres details en de-hors du dessin sur cette observation, et les detailsgeologiquessont trop sornmaires pour en faire etat.Nous constatons seulement que les lieux se situent enbordure NO d'une impottante zone faillee interessantIe systeme des Appalaches. La distance me!>!)ree (surune carte au 4 rnillioniemes ) il la premiere faille im-portente mentionnee est de 80 km.

    Mais ce qui attire notre attention est surtout lapolitique du secret des auter'ites. New Sa.deA est a35 km d'une agglomeration de 78 000 habitants er i Ia fallu quatre ans et Ie hasard pour quecette obser-vati-on lmportante parvienne .il La eonnalssance de nosarnis de llllinois. Ouant aux .analyses fiilites au )110-rrrent me me de J'observatlon on ri'en saura probable-ment [amais rien . Ce defaut de v com rn up icatlon n'estpas .de I'1Citure a faire progre's~er II,eproblerne des MOe.

    A PROXIMITE DE S~N FRANCISCOun samedi 28 fevr ier 1971Observation de M. Michel M. Jaffe

    Traducteur M. Cerr ada.Resume par F.L.

    Le temps etait clair et enscleille avec quelques nua-ges, la 'temperature. de 5 environ, le vent vaHait deI"ouest, souffl ant a 25/40 krn/h avec des sautes de65 km/h.

    Parti vers 11 h du matin en mota, en treversarrtFremont, reqsr dant en I'air pa,r hasard, je fus surprisde voir 2 pl~neurs que 1 '01 '1 n la-i t en altitude, malqresleli conditions du vent.

    A 2 ou 3 km elu petit aeroport d'Hayward, je. re-gardais au passage les avions pr ives qui s'y trouvaient.Je vis teut a coup a rna gaoehe un peti] bi-tneteur enpique prononce. II etalt plus petit qu'un C.25, pro-bablement du type 6 ou 8 pessaqers. et devait se trou-ver il 150 rn au-dessus de Ja route. Devant lui, ill 00 rnpeut-etre, je vis un objet tout a fait inhabituel quirestait, e J 7 I plongeant egalerrient, a une distance egalede l'avion.

    Le tr aflc intense, et Ie \:lent, 1 ' 1 8 me [Dermirent pasde garder les yeux dans cet te dlrection plus de 4 se-condes. l.'objet me paraissait et~e fait de 2 spheresbrillantes, de 30 ern chacune (evaluation subjectlve)separ ees par une distance fixe, avec une trainee-vapo-reuse partant du centre vers l'arrieFe. La spher-e dedevant etait cfun rOlJge brillant, cel.le qui suivait d'unblreu brillant. Je dois fai,re ~emarqu.er qu.e :je portaisun masque de protection de teinte jaune lui tend afaire para'jtre en bLeu la coulelJr verte.

    Je pensais aussttot a quitter la route mals il mefut impossible de m'engager sur la voie de droite, etje regardais en I'air de nouveau. L'avion et son objettoujours en avant, et a la meme distance, etaient surma gauche et dans men des, rendant l'observation tresdifficile. Ouand je fus en rnesure-de passer sur la voleae droite, je revls a lafois I'avian et son objet, tou-[ours a 1 8 rnerne distance, ils se trouvaient exacts-merit derriere rnoi, assez loin bien sur. Je pus mar-ret'er enf in sur Ie bas cote. Je l1'01i pu voir a ce mo-ment que la queue de lavion, et [e nai plus vu l'etran-ge objet, A ce moment levion se trouvait a 3 bonskm.

    Je regardais les nombreux nuages qui dMilaient aune vltesse ne depasssnt pas 65 kl1i1h alors que I'a-vlon et son objet faisaient plus de 150 krn/h. Aucuneconfusion possible avec uti nuaqe, d'aillevrs ausunnuage n'etait aussi brlllant, Les 2 boules paraissaientreliees par quelque liaison veporeuse etetaient d'uncontour irrrprecis. Je profitals de mon arret pour 1'10-ter tout ce que javais VI,J.

    De retour a mon domicile, je fis plusieurs essaispour essayer de reproduire ce que [avais vu, maissans succes. Pour qu'un reflet se produlse sur [e mas-que il aurait fallu qu'Jl y ait quelque chose de brillantsur man visage, ce qui ri'eralt pas possible.

    EI'1 dirigeant sur mon masque un faisceau lumi-neux tra"lenant I!1n filtre de couleur ver te, je voyaisla lurriiere bleue. J'ai eu I'occasion de travailler surun laser a l'helium-neon qui produit une lorniere rou-geatre qui se rapproche sensiblement decelle

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    Quasi atte-rrissage pres de Trabazos (Espag,ne)(Service Franee-Espaqne ._ Respon:sable G. CAUSSIMONT),\

    Enquete realises par Ie grouf'les8villan ADASIA/ diri-ge P'M notre ami et correspondent M. Guerrero Bonet/en la personne de MM. Dominguez et Campos que nousremerciens pour leur travail.

    Commul1'e de Trabaxcs [e 24aoOt 1971 113:30 Ie matin.Coordonness geographiques (rrrerrdien internatio-

    nail 41 45' N, 6 30' O.Enirennements.

    La route ngionale qUi va de Nuez de Aliste ' i l l Tra-hazes n'est pas qoudrennee et [a conduite est iente etdifficile. L'incidenfa eu lieu aux abords du carrefourae la route ejui va a San Martin. Cest une zone deserteet isolee 00 1'0n cultive Ie ble. II existe rquelques boisde chataignier-5, de chenes, de pins en qusnti te moin-eire. Le terrain est plat, tr everse par la r iviere Man-zancs qui sert de frentiere avec Ie Portugal, a 8. km dela, ainsique par Ie ruisseau Pornar. bans .Ies environsi,[ existe une ligne electr lque. Quelques exploitationsrrurueres peu importantes. Le vlllaqs Ie plus proche del'incitfent est Nuez de Aliste, il l 1 krn snvlron au NO.

    N.D.L.R. - A 4,500 km au NE passe une faillegeologiq"ue qui, bordant Alcanice, se dirige SE-NO ver sf'uebla de Sanaria sans I'attelndre. Le lieu de l'observa-tien est situe dans une zone sismique dindice III dentIe centre est en bordure de Zamora: indice VI.le Fecit.

    A 3:30 du matin Ie ternoln, M. Basilio Caaas Rodri-guez, 34 ans, marie, chauffeur de t'axi, demeur.ant aNuez, roulait seul dans son taxi SEAT 1500, equiped'un moteur diesel, sur la route de Nuez a Tr aeazos,endireNion de ce village. Apres avolr traverse Ie croi-sernent de la Foute condulsant alia Vallee, il apercutau loin sur sa droite une lurniere au ras du sol qu'llprit pour celie d'un tracteur au travail., URe denlvella-tion du terrain lui fit perdre de vue cettelumiere pen-dant quelques Instants, puis il put l'observer a nou-ve.a u.

    La Iurnlere en question se deplao;ait a une vitessecomparable a celie de sa voiture, se rapprochant obli-quernent de sa route. Subitemenl, elle effectua un vice-ge a 45" dans sa direction, se diriqeant alors per-pendkulaitement a I.a route suivie par M. Cazas.

    Arr ivant devantle ternoin, a quelques rnetres, surla route, M. Cazas distingua alorsl:m objet dont laforte lurrrlnoelte I'aveugla sur Ie moment, au rnementrnerne O ll Ie moteur, les 'Phares at sa montre, s'arre-taient slmultanement de fonctionner. L'objet n'ernettaitaucun S0n, aucune odeur quelconque. M. Cazas putobserver l'obiet : H et.ait circulaire, d'un diametre de1,50 m environ, et possedant outre Sa lurnlnoslte fixeaveuglante, comme un feu de position rouge a I'arriere." se situait a 1 metre environ au-dessus du sol. " diraque son apparence sortait du cornmun : cornme unvokan . La [urninosite de l'objet ne thangeaa aucunmoment, elle rest a fixe/ reguliere et d'une grande inten-site.

    L'objet setant ainsi rapproche en produisant leseffets r apportes, vira une nouvelle fois, mals a droitecette fois de sa trajedoire, sur un angle de 14{)0 etseloiqna rapidement vers Ie 5-0 en s'elevant peu a peu,

    'I'RABAZOS

    ohenes"'\ objet',r-

    \\ble

    chenes / TrabazosLe ternoin peut observer derriere l'objet comme unetrainee de pousalere. Avant de perdre I'Qbjer sl e vueM.Cazas fit demarre'F sa voi ture et parsourut 50 merrviren, pourff~reter a nouveau, cette fois volontaire-ment, pour observer comment lobjet s'elQignait deplus en plus, tout en illumlnanr la ngion jusqu'a ceqt/il Ie perdlt de vue.

    l.'observe'tion dura 10 minutes en tout.le t~moin.

    l l parut reserve e,t gene par la grande quentlte delettres et de visites qu'Il avait recues ala suite de ladiviJlgatioil de son observation, n'ayant jamais ressentid'intere.t pour Ie phenornene MOe.

    De culture moaeste,il repond tres objectivernerrt,se limitant au theme de notre conversation. Son desirde nous aider Mail evident, ainsi que celul de cohnaltred'autres details' sur des observat ions analogues,cel.lequ'i] avait vecue ayant produit comrne une cassure danssa vie de tousles [ours,Autres temoignages.

    L'agehce de presse CIPRA mentionne que d'autreshabitants de Nuez de Allste aurelent egalement observeIe lendemain un objet lumineux survolant Ie fane des. . ..

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    N 118 - 15" ANNEE-LIRE E N PAGE-A ",LE MYSTERIEUX ELEC-TRON,par Alfred H E R " ,MANN.

    D - " VARKULETS E.T REA-LITES -TER-RESTRES, parDaniel TRUC.E - C_URIEUX " BOLIDES .F - QUEL.Q'UES PRE..ISIONSSUR LE CENTRE D'ESSAIDES LANDES. .

    G - REPONSE A UNE QUES-TION CONCERNANT LEGRAND COUP ", par R.VEILLITH.H - LIVRES SELECTIONNES.

    JUIN 1972r......Le Nomero: 1 F.PAGES SUPPlEMENTAIRES DEAdresse:

    ~( LE.S PINS 43 LE CH AM BO N-

    SUR-L1GNON IFondateur:..:~:!I~..

    PROBlEMES HUMAINS, RESPECT DES lOIS DE LA VIESPIR.ITUAUTE, PROBLEMES COSMIQUES, ETUDE DE L'INSOLITE

    LUMIERES

    L'histoire de notre petite planete Terre peutetre divisee en deux grandes. epoques : la pr ..erniere{( astronomique }) et la deuxieme ~< organique .

    L'hrstolre nstronornique est, en quelque serte,I'histoire -de l''univers tout entierauquel appartiennentnotre .systeme solaire et notre petit monde. E,n voi'ciun resume succint :

    - - - -DANS L A N U I T

    -. .(( Ce q'ue nQ US sapotis est peu. de chose; C I ' ! q_ue nous umoron est immen-se i). Laplace. - Ctierch.ez et vous tTouverez . Jesus.

    LE MYSTER'IEUX ELECTRONpar Alfred HERRMANN, lngenieur' civil d'Aeronautique U.L..B.

    OrLgine (cette origine ayant elle-rneme des origineslncennues ) : probablernent l'explcsioa nucleaire apo-calyptique d'un giga-ntesqve noyau de matiere, explo-sion quj a disperse, dans routes les directions de I'es~pace, c;l'enOTme>s masses de m::Jati.ereaze,use (les ga',laxies) ; ensuite fr actlonnernent de ces lalaxies, cha-que fraction C1!evenarlt tres proqresslvement une etoileou un systeme stellajre; dans quelques cas particu-liers : formation de planetes. Toute oette evolution, ausujet de laquelle on ne connalt pas ensore-grend chose,semble pour tant avoir e.te si bien orqanisee dans sesrncindres details que certains savants, rei Albert Du-crocq, nhesltent J'l8sal'identifier a un processus ge"netlque )} qui, comme la naissance et la croissance desetres vivants ~ part ir d'uns sernence, par ait aveie etecondit'lonrre par un code mysterieux et non identi-fie [usqua present

    Ouant a I'histoire orqanique de notre planete,elLe cornrnence a I'epoque au la cr-oOte terrestre, recou-verte en grande partie par des oceans immenses, e,ta.itentouree ,,['une atmosphere etriqlJee de gaz inertes:vapeur d'eau, anhydride carbonique, ammoniaque, me-thane. Or, cet te atmosphere, ainsi que les oceans et lesterres qui

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    posantes ne perdent leurs propr ietes premieres.Exemple: 2 atomes d'hydroqene + 1 atome d'oxy-

    gene = 1 molecule d'eau.L'evolution des masses de matiere inerte [usquauxrnatieres orqaniqucs constituees par des molecules de

    plus en plus complexes a He doubles par levolutlondu mends vivant, depuis les premieres macromoleculesanirnees. les premiers virus, [usqu's l'horno sapiens.

    Cette evolution, dont la nature et les mecanismesont forme l'objet de nornbreuses controverses entre sa-vants de toutes les disc:iplines. constitue pour rant unerealite incontestable. Ce qui est tout aussi certain, c'estque cette evol ur ion s'est effectuee, une fois de plus, enpassant par d'invrersemblables combinaisons rnolecu-laires, i1 I'aide de pmgressions des myster ieux codesqua sont les semences, I.es acides desoxvr ibonucleiqueset autres puzzles de macromolecules effroyab-Iementirnbr iquees et complexes, qui conditionnent la nais-sance, Ie developpernent et la vie des unites anlrnees.Cette complexification, ce perfectionnernerrt gradue!set progressifs, ont ere ordonnes et conduits par unrnvsterieux psychisme de la nature. Une fois de plus,les cHectrons ont ete les formateurs des codes, les lec-teurs des codes et les biHisseurs, petits ouvriers d'unemerveilleuse habilete, d'une precision inimaginable, pe-tits ouvriers qui obeissent sans aucune hes itat ion auxcomrnandement s du grand psychisme cosmique.

    Grace aux electrons, la terre est devenue habitableet des creatures animees. de plus en plus complexes,l'ont peuplee. Or, ces creatures ne sont en. etat de vivreque grace aux electrons. Pour Ie demontrer , prenonsI'etre Ie plus perfect ionne: lhorno sapiens, et decri-vons, tres schematiquement, les mece nis mes qui luiperrnettent de vivre :

    Primo: L'homosapiens possede un complexe orga-nique central et principal: Ie cerveau, double d'urrernernoire aux milliards d'adresses (Iignes de garagedes images et 'figurations mnemoniques ).

    Le cerveau est capable de capter des signaux erni spar Ie monde ex ter ieur, de creer. d'inventer des ima-ges, des sensations, des representations ou des com-plexes d'elements psvchiques, repliques de signaux ve-nant du dehors au de pure imagination, d'envoyer ceselements psychiques dans la grande reserve de la me'moire de retirer des elements de cette memoire et f ina-lement de manipuler, de brasser, de cornputer (1)ces elements psychiques, de les appr ecier , d'effectuerdes calculs, d'etablir des probabilites, en un mot: depenser et de raisonner ; ensu ite de prendre, s i neces-saire, des decisions lnspirees par ce tr avall de pansee,de cornmuniquer ces declsions

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    es::Leiit par d'sutr-es pulses d"electrons qui desacJ:-~ vent les rY)acrQmGJlel!;ule$ porteuses de, Ces elements.Org,anes ,d'e~ikut.iQn.M~tabolisme, parole, mati life, etc.C!Ssent une foisde plus, les eleo'trQns qui [ouent Ier6!e pri ncipa I eniransforma nt des rnessaqes til'origine

    psychique en pulses emergetiques,Gjui cemrrrandent Iejonctlonnernent d'~0r~anes materlels c:;ap-ables de neali-set des proces sus (chirniqves. rrrecaniques ) de natureenergetique,.En r.esume.:

    La t ransforrnatien de la cfQOte fft de latmosphereterrestre pfimitive, eompesees de m:atieres J1Jiner.ales'inertes et st~r.iles, en un hablret organiguec;:apable deporter, dalirnerrter et eJe faire eveluer la vie, a ere re:a-liseegrace Ii linterventicn de'S electrons, obeissant nonseuletnent@ des lois de nature physique, chimiqueetcosrnlque, mais a!Jssi a uns proqrarnme.tion (om-m3nd~e pilr 1e psychi's,medu cesmes.

    L'evolution des especes viventes, depuis les pre-mieres macrornolecu les an imees .(virus) jusqu'a .1homosapiens, a . ete cohditiohnee par I'intervention de codes-sernences successifs .donc par des rnessaqes eonstltuespar les electrons et des processes constructlfs realisesp.arles electrons. 'La se'qlJence deG.e1:te evo.lutiQ'n preuveque les electrons sent eapables (jj'obeifaux or dres dupsychisme costrriqus.

    Toutes les Unites vivantes SO A t' en etat de perceveir ,a des degres differents, Ie monde qui les en toure. Cetteperception es t realisee g:race a des pulses d',elect:trons.

    Toutesies uni1~s vivantes 're

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    "VARKULETS" et realites T errestrespar Daniel TRUe

    A la page 398, paraqraphe les alphabets desextra-terrestres , Le livre du Mysterieux inconnu deMo R. Charroux donne Ia reproduction d'ecri tureset de dessins extra-terrestres denornmes varku-lets )} (1). Vivement interesse par toutes les manlfes-tations graphiques de lespr lt humain terrestre - eta plus forte raison extra-terrestres - l'auteur de cesI'ignes a pu se mettre en rapport avec une personneen Argentine qui avait entretenu une correspondencesuivie avec un certain M. Z. qui assure iHre en com-munioation avec des extra-terrestres, et de qui IItiendrait Ie passage pre-cite. Cest d'eux aussi qu'llauralt recu douze volumes ecr lts en caracteres ({ var-kulets comme il les appelle.

    Monsieur A. B. mon correspondant argentin -a eu l'obllqeance de m'envoyer un certain hombre depages ecr ites que lui avait transmises son interlocu-teur si bien introduit dans Ie cosmos.

    Passionne par ce rnvstere mais gardant quandmerne un fond de scepticisme a ce sujet, je, me suismis a etudier ces six au sept pages de textes encar acteres etr anqes afin de voir si! n'v avait pas 1 0 3quelque supercherie. 'Par chance, I'une des feuillescouverte de ces signes mentionnait aU bas de la pagequ'Il s'agissait h3 d'une traduction en varkulets d'un poerne de I'auteur argentin: Jose Hernandez, Martin Fierro )>, quelques strophes intitulees LaPartida , Le texte varkulets portait un titre luiaussi. En route logique, ce ne pouvait etre que Ie me-me, mais traduit. Quelle ne fut pas ma surprise encomptant Ie nombre de signes du ({varkulets de Ietrouver identique au nombre de lettres du titre espa-gnal ! De la a penser a une transliteration des lettreslatines en caracteres varkulets , il n'y avait qu'unpas. Ma suppos ltion commence d'etre' confirrnee parIe fait que Ie titre espagnol eornpor tait trois fois lalettre A . . que je retrouvai exactement a leur placedans la traduction en varkulets ,

    Muni de la valeur de sept lettres (L, A, P, R, T, I,D), je les reportai alors dans Ie texte en question etje vis bient6t apparaitre des embryons de mots es-pagnols. Apres divers essais plus ou moins fructueux,]e pus reconst ituer la valeur des signes {( varkulets et arriver a la conclusion que la plus grande partiedes ecr its varkulets n'etait autre que de l'espa-gnol trenslitere a I'aide d'un alphabet. autre que la-tin (2).

    Mon travail de decryptaqe a ete cornplique parIe fait que I'auteur de cet alphabet a use de diversprecedes pour tenir en echec un dechiffreur eventual(surtout sl celui-ci s'etait servi des methodes statis-tiques ou du systerne des sequences).1 - un meme signe peut representer des sons dif-

    ferents (ce qui est dO aussi au fait que I'es-pagnol parle en Argentine confond certains pho-nemes distincts en castjllan, comme : zle etS ).

    2 - un meme son peut etre rendu par plusieurs si-gnes totalement differents.

    3 - des lettres distinctes dans la graphie espagholese trouvent confondues dans la transliteration

    plus ou mains phonetique du varkulets e.nraison de leur homophonie (K , C, Q).

    4 - des combinaisons frequentes de lettres sont sou-vent realisees sous forme de {( ligatures (plu-sieurs signes fondus en un seul), d. DE, EN,Al ...

    On trouvera ci-joint un tableau de I'alphabet varkulets avec sescorrespondances en alphabetespagnol alnsi que Ie debut d'une des pages transmi-ses par mon correspondent argentin, sa transliterationet sa traduction.

    Voici done un nonveau my the d'extra-terrestresqui tombe. Combien, pourtant, il rnauralt ete plusagreable d'arr iver a une conclusion radica lement op-posee: qu'un homrne de la terre auralt vr airnent eteen relation avec des gens venus d'ailleurs! ...

    Les lignes qui vont suivre sont la trensltter atlonpure et simple de deux extraits recopies par transpa-rence de I'original que j'ai eu entre les mains:

    son ondas trasdiaLes ke provienen2 del espasio eksterior kosmiko de un lu3 gar denominado paraje tsailon rnartse4 para poder slntonisar kon esta esta5 sian kosmika es neseratrio kreer6 en el 010.5 uniko para todos y Ilevar mas7 pan a las oesas de los ermanos en el 01058 mie.ntras ke esto no tee n )ga lugar fljo9 sobre la tierre todas vuestras antenaslOde radio aunke tuviese mas de ciento ...

    l'espagnol se laisse facilement reconnait re et tra-duire sous cette transliteration plus ou moins phone-tique et rigoureuse .

    1 f . J J ' I b u . x J t 1 ? ~ 1 J ' ( (,~~f:JW I v 7 . ~ ~ 2 c n J1. ~ tfI 5 h '1~ t o irl~HrUt~W' . x ' i ~ f d U J c h 1..t1~ ' t t , - : c r l J ,J )1 ': ; ; ~, iAI~SJ{I~ '1 p c.tt~jc:tl U o X J pr&.,( 1 1 ~ ' 1 7 1 J : J'J w'w\l.J _ , d Ihrl S . . Y ) ~ r I ( ) J ' t1JI'IJ',iw- ~JJ~r lW'

    II I rh 'Jl1~ c t ~ J ~ J1~~:Jvr '+1 i'dlY' (i, wpJ.l1.A B C . C,H D E F C . H~~ ' " ? 1 ' c..T m l J . e J'1I 'f~ H ~I J Ie t . ( L ] M "I ~ 0 p~ " t- 1 1 ' 1, ' ! : J J J d , . 1 0 " ' O J~ 1\ 5 r u 'V X S !

    '. I:; ~ur s r ;k+~ ~ 'iAL liN U..E.N DE D.L UNd ' tl

    ~ B ch e n oj,~ souc oupe voj ent.e C J : L , { ) Dd eu.... ..-. ....

    -D-

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    CURIEUXLa Nature du 29 septembre 18~4

    Bolides et aerol ithes tombes en Grece en 1894.pendant ces derniers temps (juillet-aoOt)., wM qu.an-tite no'tClble de bolides et serolithes est tornbee en

    Le second passage, recopie aussi par transparence,sur uHe autre lettre, est plus etran!!le., en ee sens queles lign.es 1 a 6 sent une transcr lptlon tres approxi-mative de mots et phrases ahgtais. l.es Tlpnes 7 a 9'sont de l'espaqnol :1 - 'vnere love has gone its2 ih the rnornr ig ai blery my3 job in the aft er norn nes s4 ot hit the lol'l@bal andes5 the televison kameras fals6 loved him789

    voy asi a alqo i por el algoe1 ingenios orribre de oy verakon buenos 6jos ..Je propose encore aux esprits curieuJ( UA! tablede correspondancs des signes K varkulets avec lescaracteres de l'alphabet latin (plus particulihementespagnol ). . r X : l ~ 'b~p > i ~ 1 !:IJoJj Hjl '

    f t 1 ~.Jl'f\ l~Jn~ ~,~ \ 3 tij~JOf I U J x : J ~ f S ~ U - X ) . J u~i~O o ~ Jl.~j JJtJ , - u C j !\f, r;?d,S ~ ; : J J : ; : J ' b c . f l \ ~ v r J&J - h : :? ~ ' i 4 . _ b - , y~;:.o1;l( x~i'~ o o ~ p , . n q _ rf':l.xl hr..;;' e t l O c f ~ 1 ' 1 : !t t \ " \ h J ~ h ~ O r ~ ] r h d?~ r~~

    (1 j Le merne extrait a ete publie, accornpaqned'un article, a la page 30 de Phenomenes Spatiaux N 12de juin 1967.

    (2) Une page sur les sept transmises eta.it latransliteration d'un texte ang.lais! J'avais commu-nique mes resultats a mon correspondent argentin quim'a effirrne etre arrive aux memes conclusions quemoi,

    Not~. - TGH!Jtepersonne qu] eurait connafsaancede phenomenes graphiques extra-terrestres ~ vou-drait bien en' faire part a la redaction de Lumieresdans la nuit qui transmettra a I'euteur du presentarticle?

    BOLIDES'

    1

    Gnke; leur chute a ete accornpaqnee de phenome-nes curieux, dont quelques uns rares, je vais decrlreles principaux.Le 20 a,Qtlt, en descendant par Ie chemin de ferd'Atherres a Phalere, vers 8:40 dusoir, (ai vu unbolide preserrtant laspeet d'un globe blanc, assez vo-lumineux entoure d'une atmosphere ver datre. Sa vi-

    tesse ma paru tres faible.Je passe: tous les autres bolides, pour decrire 1J,spnehomenes6:bserves Ie 19juillet dernier. Ces ph~-norneries ant ere rapportes par les journaux grecs etune partie rri'en a efe ccnfirmee par des temoins OCU-laires.Le 19 [uillet, les habitants de Bclaiyont vu en pleinmidi un bolide descendant avec une grande vltesse

    dapres eux ; ce bolide s'est soudain arrete et il estreste suspendu dans l'etmosphere en laissant derriereIul une ligne brillante accompaqnee par' de la fumee,Apres cinq minutes de supension a midi' 12 minutes,W" br ult epouvClntable q eJ.e entendu, .et Ie bolide s'eatdirige vers le plus haut sornmet du Mont Crithen, encont i nuant SO l rnarche il est tornbe dans la mer avecun. nouveau ~ruit.

    Le meme jour et presque a la meme heure, a e r esignalee la chute de bolldeset aerolithes en dlfferentspoints de la Crete (Candie ).

    J

    Un nuage nair, isole,ayant fait explosion, onavu un corps lurnineux ayan] la f.orme d'un cone ren-verse qui, s.e mouvant du S-E vers Ie N,O, est tornbed'ans la met p~es. d'Heracllsn Le plus. curieux est lana-logie fr apparrte avec la chute -d u meteore de lAlqle,decrite par Siat. C'est la meme apparente provenanceCnuage noir isole ) : c'est la meme direction. Un peuplus tard, d'apres ce qu'a ecr it le Sous-prefet de Seli-!lOS (Crete), s/est produlte la chute de deux aerolltheset. dun bolide dans son dlstr lct. Taus les tnois ve-riaient de I'E, l'un d'eux est tornbe sur Ie 501 sans riende particulier; Ie deuxiems ayant la forme et la gros ..seur apparentes d'un vase etrusque, est tornbe au-dessusdu village de Sarakina-Gr06goriana, pres de la partienornrnee Sternes (reservoirs), sur un bloc de pierrequ'{l a mis en morceaux. Cet effer de l'eerolirhe debriser des blocs de pler-re a ete signa Ie aussi dans uneautre ohute ulterieure.

    5,

    Enfin Ie bolide; avant une longueur apparente de2 rn, est passe rout pres ae la matson prefectora!e ",t'est descendu jusqu'a l : J 1 ' I certain point, presque alJniveau du sol puis, ch:ang:eant de' dlreerien .et se mou"vant tres vite, parallelement au sol, a disparu versIe N-O . .La chute de ces meteores, tombant Ie rnerne jouret presque a la meme heute (midi) dans une etenduecomprenen t la Crete et la partie S"E du Pelopo-nese,prouve qu'ils ont une provenance commune.Si, dans ces descriptions, les faits n'ont pas eteexageres, if y aurait trois phenomenes obscurs: Iepremier,' c'es] la nature dw nuaqe d'ou a paru venir

    liaeroli'the d'Heraclien; I~ deuxieme, c'est I'arret brus-que du rnetore de Boiai et 1 56 suspension pendant cinqminutes; enfih Ie troisieme, de la meme cateqorie. est(SUite. page F)

    -_ E -

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    O U E L O U E S P R E C I S I O N S S U R L E C E N T R E D ' E S S A I D E S L A N D E SLe Centre d'essais des Landes a ete cree en 1962

    pour pallier la fermeture du Centre inter-armees d'es-sais d'engins spatiaux de Co lo rn b-B ec har-H am rn aqulr ,prevue par les accords d'Evian, et pour remplir lesmemes missions.

    CURIEUX BOLIDES"(Suite de la page E)

    Ie changement de direction du bolide S ... (Selinos ) etson mouvement par allele au sol.

    C. MAL TEZOS.N.D .L.R . - Ce releve fait partie des travaux de

    recherche du Groupe de Cambo-Ies-Bains, transmis parM. Riglet, que nous remerclons.

    Est-il possible que des bolides descendent '8 grandevitesse, sarretent soudainement durant cinq minutes?Nous avouons notre ignorance et sollicitons l'avis desspecialistes en la matiere. On voit mal egalement unbolide descendre presque au niveau du sol et, chan-geant de direction, s'en aller per allelement au sol pourdisparaitre 8 I'horizon. Curieux bolides en verite queceux qui ant ete observes en Grece en juillet 1894.

    Fouillez les archives des journaux locaux, des sur-prises vous y attendent.

    RELE\lE DANS LA NATURE)) DE 1884Le 1e,' aoOt 1871 8 10 h 43 mn, temps moyen de

    Marseille, M. Coggia apercut un bolide d'une couleurrouge sang, d'un volume apparent de 15 minutes vo-lume qui n e tarda pas 8 diminuer a mesure que Iecorps igne avarice dans son voyage que je resumeici d'apr es l'auteur.

    1043' pres de 0 et n Ophuchius1045' 30" 5 pres de f. L Sagittaire1046' 35" pres de Saturne1049' 50" pres de 0 Sagittaire1050' 40" pres de f Sagittaire1052" 30" pres de i et (J CapricorneSTATION ET CHANGEMENT DE DIRECTION10 57' 50" pres de '( Versea u10 59' 30"pres de p VerseauSTATION ET CHANGEMENT DE DIRECTIONEnsuite le corps igne se porte vers 6 du Verseau

    va passer entre b et '( Capricorne et disparaitr a11 3' 20" un peu au Nord du f J Poissons Austral.Dans plusieur s autres observations on trouve desduress de 5, 7, 8, 15 mn et enfin jusqu'a une heure(c'est lauteur qui souligne) et si je ne me trompeM. Guillemin lui-rnerne a observe en 1853 un bolidese mouvant avec une extreme lenteur.

    Les part icular ites siqnalees par M. Coqqia, sta-tionnement et chanqernent de direction, sont ega le-ment mentlorinees par plusieurs autres observateurs.. Quelque difficile que soit I'explication de ces phe-nomenes, et ant donnee la denslte des meteorites quel'on connalt, on ne peut revoquer en doute la realitedes faits observes et dont quelques-uris sont dus 8 desobservateurs tre.s competents. Docteur Jules ROUYER

    La igle, Ie 1 1- 1 1- 1 883(Transmis par M. Vercaigne)

    Les essais d'engins balistiques, raison d'etre duCentre, exigent la posstbilite de tirer a des distancesde plusieurs milliers de kilometres. Pour des raisonsevidentes de sauvegarde la tetalite des trajectoires doitse situer en mer. La recherche d'une bande cotiere suf-fisarnmeot inhebi teesr rapidement disponible a condulfa rerenir la region des Landes qui offre, entre l'oceanAtlantique et une ligne d'etangs une bande de terrainpr'atiquernent inhabi tee de I'ordre de 6 km de largeursur une longueur de 25 krn, de Bisearosse 11 Mimizan.Les agglomerations de Biscarrosse-Piage, Biscarrosse-Bourg, Sainte-Eulalie et Mimizan jalonnent Ie perimetred'une zone a l'Inter ieur de laquelle il etait possibled'installer Ie champ de tir en reservant des zon.es desecuriteautour des points de lancement susceptiblesde satisfalre les gabarits de sauvegarde.RATT.ACHEMENT:

    Delegation mlnisterielle pour l'Armement, Directiondes Recherches et Moyens d'Essais ,EM PLACEMENTS :

    Emprise principale: lirnitee au N 8 la route deBiscarrosse-Bourg, Biscarrosse-Plaqe, a I'E 8 la ligne deset anqs et des dever soir s. au S a un paralle!e a 2 kmau N de Mimizan-Pla9.e (150 km2, principalement foretdomaniale).

    El1lprises ext~rieures : region d'Hourtin, Pointe d'Ar-cachon, Le Trencat, L'Especier ,

    Le Camp de Captieux. a, en outre, ete rattache re-cemment au C.E.L ..

    La Station Fran .. aise de Mesure de Flores (Acores )depend du C.E.L.MISSION:(Reference: I. M., N 25.845 du 30 decernbre 1963).

    Mettre 8 Ia disposition des DirectiGns Techniques dela D.M.A. ou a celles des Arrnees ou de tout autre orqa-nisme (C.N.E.S., Constructeurs, etc ... ) les moyens ge-ner aux permanents necessaires (emorises de securi tephysique ccntrolees et de grandes dimensions, moyensde mesure, moyens de coordination, etc ... ). Le but prin-cipal ectuel (essai.s d'engins) setend sans modificationa toutes act ivites scientifiques, techniques et militairesnecessirant des ernpr ises etendues.BASES DE LANCEMENT ET RECEPTACLES

    Base Sol-Air : dune de Naouas.Base D.T.A.T.: a la limite S de la precedente.Base balistjque : region de Leoug'es (base de sur-face - sl los).Base espace (ELDO,CORA, RUBIS, etc ... ): regionde Sainte-Eulalie-Plage.Receptacle principal: Ocean Atlantique.Receptacle terrestre des tirs Air-Sol: au centre dela zone.

    MOYENS DE MESURE :- O,ptiques :

    Cinq points optiques principaux (deux cinethecdo-lites et un cinetelesco.pe),

    Deux points optiques secondaires,Implantation de cameras G. V. autour des rampes,.Laboratoire de developpernent (noir et couleur).Radioelectriques :

    F-

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    Radars:3 radars Aquit aine (Pt R, Hourtin, Flores)10 radars Cota I L. V.2 radars de guet (Pt R.).A. M. E.:Deux ensembles d'equipernent de mesura unqule ire

    (I'Especier , Hourtin)Un t rois.ierne 58 cours d ' Ins tal lat ion.Structure L :Un 'ensemble de trois stations a Hourtin, Fizeau,graphe, etc ...

    - Telemesures :Stations a Sainte-Eu lal ie~Plage (antenne Cyclope),

    Hourtin et Flores.TRANSMIS,SIONS :

    Nurner iques. t~levision, horloge et distribution autemps.POSTE DE C()MMANDEMENT:

    P.C.C.T. au N de l'ernprlse, relie par cables sourer-rains a tous moyens de mesure et aux bases de len-cement.

    Comprend une calculatrice travaillant en temps reelsur les trajectoires (parallaxage, prevision d'impact,etc ... ) et une. deuxieme en temps differe pour les de-poui Ilements.

    Les tirssoCit Giiri:ges par [a Re.gie du champ de tira partir du P.C.C.T. (Sauvegarde:air, mer, t.~rre, [nter-ception. telecomrnarrde, etc ....)., II eJ

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    chera a sauver sa vie la -perdr a : et celui qui la perdr ala retrouvera. Je vous Ie declare, en cette nuit-la, deuxhommes seront dans Ie meme lit; l'un sera pris e!I'autre sera laisse. Deux femmes moudront ensemble;l'une sera prise et I'autre laissee. Deux hommes serontaux champs; J'un sera pris et l'autre sera. laisse (Luc, 17: 29-36).Faut-il voir la une action des MOC ? ('est proba-ble si Ie ({ Grand Coup est lui-meme provoque parces iHres.Ajoutons que, dans la Bible, un certain nombre depassages font clairement et at d'objets materiels vo-lants, a des fins de deplacernents d'etres : citons parexemple 1/ Ie chapitre 1 d'Ezechiel, dans lequel estdecrit un engin et ses etres ( < < au centre, on voyaitcomme de I'airain poli, place au milieu du feu );2/ I~ chapitre 5 de Zacharie avec la description durouleau volant, de 20 coudees sur 10; 3/ l'enlevernentd'Elie dans un char de feu (II Rols, 2, 11-13);4/ I'enlevernent d'Enoch (Genese 5, verset 24, et Epitrede Saint Paul aux Hebreux, II, verset 5).

    R. VEILLITH.

    Nos Livres SelecfionnesToute commande de livres doh EHre acsompeqneede son montant, et etre adressee a la LlBRAIRIE DESARCHERS Service speclel LDLN }} (ne pas omettrecette.mention)[ 13/ rue Ga~n

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    ENQUETE EN SUISSEpar, Mile Tova BRATT

    Le fa i t se passe a Sa j n t-Jea n (Genev.e) Ie 2] sep-ternbre 1970 a 21:15 (heure loeale) 46"12 N - 609, E,Conditions I"m!teofGI0giqu,es;

    Couverture nuaqeuse legere, pas de, preclpitation,pas de brou iIIard. Defin ition en termes aeronautjques :CAVOX, Temperature + 13 c, 2 points + 11G c.Complements communiques par l'aeroporf de Coin-trin :

    A 19:50 z (GMT) vent 350: 2 neeuds ; CAVOX(visibilite 10 krn.) , _ pas de nuaqe ' en dessous de1 500 rn . Temperature + 15,2 points + 1 1 ' c . Pres'sion QNH 1022 mb QFE 972,6 mb,

    A 20:.20 z (GMT) vent .280; 2 nceuds' : CAVOX,Temps identique.

    A 21 :50 dlto ,A 23:50 dito toujours en GMT.

    Phenomene observea) Grandeur appal'ente : environ une air-a ClT

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    EnquEUe en Suisse(Suite de la page 15)

    la coloration par ticuliere de l'atrnosphere au-dessus dela ville (qui n'aurait sans doute pas ete visible sans ceteclairernent ), et ou une tres legere coloratlen rougea-tre se rnanifest ait en deux endroits. Cefte trainee as-cendante etait similaire a celie laissee par les jets, etplusieurs paliers venaient br iser: la trajectoire quiseloiqnalt selon un axe par allele a la vision de l'obser-vateur , A l'ext'rernite, on devinait une tache plus som-bre que Ie ciel, de forme plutot al lonqee, s 'eloiqnant deI'observateur relativement Ientement. Duree estlrnee dudeplacement : 5 a 6 secondes.

    L'observateur est forme I sur un point: impossibi-lite que ce soit un aeronef civil ou militaire (pas declignotants au feux de position) parce qu'a cette dis-tance (tenant compte du plafond nuageux) les feux deposition auraient tres certainement ete visibles, et d'au-tre part Ie phenornene ne se situait pas dans les che-naux ernpruntes par les avions en phase d'attente, d'ap-proche ou de decollaqe de l'aeropor t de Geneve, et au-cun bruit na ete percu.Estimant son observation termlnee, Ie temoln s'eloi-gne, perpendiculairement a l'axe de la trainee, quandune coloration intense attire a nouveau Son regardvers Ie ciel, et il volt apparaitre, dans une directiontotalernent differente des premieres observations .(coteSuisse du lac au Jura) Ie meme phenomime qu'eu de-but, se deplacant a vitesse redulte, dans une directionN-NE, Ie tout durant 4 ou 5 secondes au plus, puissecl ipsant de facon definitive.

    LU DANS LA PRESSE SU ISSEDeux boules de feu, une rouge et une blanche, ont

    ({ at taque mardi 13-4-71 un jeune couple qui se de-placal t en voiture sur une route isclee, a Perth, enAustralie. Cela a dure une dizaine de minutes, Je n',ai[amals eu aussi peur, a declare M, Geoff Ricllards,I'automobillste.

    (FAL ': Feuille d'Avis de Lausenne du 14-4-71).LAUSANNE. - II etalt 20:34, je venais de parquer

    ma voiture au centre de la Ville, au-dessous au bar Le Delice . Le coin est tres sombre, je levais la tetepour contempler les etoiles, j'aper

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    QUI,siltter'rissagep r e s d e & O U I

    e r e {i res pour eela ire.r ] O J cible, C ; 8:S 0 !D g, S, ql'un typeessez fI'ouve'a'u,sontp,rojetes dans les airs,l!;)t;lr UQ petitcar'l;o1ii H xe 5Jjr un. c har. P arV 811\J au-dessus de lacible"I'ohus e,elateer iJlumine laregi6n.Sa de~cel1te ~ s ffo~tem,ent raLen~ie f'Jarun ipafathute.Marsl,e'~;;~man-cilant rme ,ne't1;e:, ~"stajtmainiena'fil't 1J:I'I;eclep:Ji-sp'fie'te d'un J:aune tres lumi-neux, la wartle arroridi:e-e:tar1t orienfee vers I.e haut.De,ssOljs1 pmta'nt tie oh"tquee*tretulte dl;1_di.ametre: ondistirrgualt C ; O I T : l t J :l e der.t;~ barres epaisses, d " t I , n r o u q etres 'vH" -se'~'9pproGhant en pointe en directi.on dw sol.ELles fG)rmaleAt' Gomme un than!,!le dOf;lf la base eurartS e e Ie 0iarnetre d e r a . spher,e ef d'un 's Ilatifeul' sensl -hilefiienfe.gale: a ee liIi@i'fI'El'tre.Entre les barres i"gugeson p eP G 'e 1V a_it Ta~eiiltl,$Ornfj,r.e ~hJ 'ili~I, et i! ne ~em'bJlait pa s y avoir d'au-tres rnatiEjres en tre elies L'objetne naraissait pas eJcia,irer les alenteurs.

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    Pour les deux jeunes filles, il ne faisalt aucundo ute que cet objet se trouvait au-dessus du bois etqu'il descendait vers la cime des arbres. II ne cessaitde descendre et elles purent apprecier la distancemaximum au il se situait, car elles Ie voyaient enavant du bois, la ligne sombre des sapins se ferrnaitderriere. II etait tout proche, a environ 1 km, et ellesavaient la certitude qu'Il allait atterrir sur 1 8 routequ'elles sulvalent : la peur s'ernpara d'elles cette fois.Mile Girard proposa de s'arreter, mais sa compagnevoulut poursuivre son chemin. Hettospectivernerrt,elles ne comprenneht pas pourquoi elles ne se sontpas arretees du fait de la peur qui les etreiqnalt,allant, selon elles, droit sur l'objet,

    Elles avaient encore sensiblement ralenti, prisespar leur observation, et leur vitesse n'etait plus quede 30 km/h, mais elles allaient en continuant, droitsur l'objet, C'est a ce moment qu'elles aborderent lesdeux vlraqes en S qu'elles ne pouvaient voir,et quiallaient les deporter sur une direction paralfele a laroute suivie. Oe fut une chance pour les deux jeunesfilles qui, ainsi, passerent a cote de l'objet, mais toutpres neanrnoins.

    Parvenue au sommet de la cote, la vulture descen-dait dans une combe avant de reprendre son ascen-sion vers Ie bois et se trouvait au lieudit Saint-Joseph,et c'est a oe point que les deux temoins furent auplus pres de I'objet, La route a cet endroit est bordeede. quelques buissons epars plus au mains epals.l.'objet est sur leur drolte, a une trentalne de metres,et elles le volent tres netternent.

    Mais revenons en arriere : en arrlvant au sornrnetde la cote les jeunes filles eurent I'impression quel'objet descendait au sol dans une spirale de faibleamplitude. Cela a ete tres net pour Ies deux temoinsde rnerne que la lenteur de la descente, si bien queparfois elles ant cru Ie voir immobile.

    La route dans la foret

    Les temoins sont ici a 30 metres de I'objetA Saint-Joseph elles volent I'objet de pres, et

    elles ant peur. La prudence elementaireles invite acontinuer a rouler, c'est ce qu'elles font, mais cettefois I'objet remonte. Alors que ." l'atterrlsaage s'esteffectu8 en "douceur" la remonteeest rapide, del'ordre de 1 m/s ainsi que j'ai pu m'en assurer surplace.

    L'objet a toujours la merna forme avec ses deuxbarres rouges pointant en V vers Ie sol. II s'eleve[usqu'a une dizaine de metres puis reste stationnaireen altitude et ne paralt plus bouqer. La voiture pour ..suit sa route, toujours lentement a cause do verglas,l'objet s'est deplace vers la route puis- il a disparu.

    Les deux jeunes filles, soulaqees, atteignentladerniere partie de la cote, puis Ie bois sans rien voir,et c'est la descente sur Ie val d'Uslers. II y a main-tenant de la neige sur la route et elles roulent tres

    L'objet commence a s'eleverlenternent, Sur ce parcours Ia route est serree depres par les sapins sauf sur un petit point a gaucheau existe Un8 petite eclalrcie dans les bois. Surprise!Un peu sur la gauche du vehlcule, presque a la verti-cale, l'objet xie leur terreur est la t II est a presentun peu plus haut et legerement en avant de la voi-ture (voir plan).

    La forme s'est rnodiflee. C'est maintenant unesorte de rond au d'ovale, [aune toujours, mais on nevolt plus les barres rouges. Les contours sent moinsnets, et l'objet semble antoure comme d'une sorte dehalo tenu, II poursuit sa route et les [eunes filles enfont autant.

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    II leur reste ~ m!lrcQurir2 krn pour sortlr du hotset trouver une rnellleure route, et Goux-les-Uslersest tout proche. A l'oree de la foret se trouve unevierge et c'est la que les deux temoins vont s'arrster.Elles volent l'objet devant elles, continuant sa route,setnblant perdre un peu d'altltude. II passe su'rlapartie S de GoO)(, sur IH. partie N de Bians sur laroute condulsant a Evlllers.

    Marie-Octile et S u zan n e Ie voient s'eloigner etdecroitre, se sentant soulageesde la peur qu'ellesvenalent d'avnlr. Au lieu de se rendre a Levier, ellesviendront dlrectement chez moi et me demanderont sij'ai vu quelque chose dans Ie clel, Malheureusementnon, cela auralt ete possible si j'avais reqarde dubon cote.Quelques remarques,

    l.'objet a ete ,~~esent pour les deux te.mbinssurune distance de 4.2i ;J0 m sur la route, at l'ob!3ervatio.na dure dix minutes sans compter l'arret.

    Selon ce qu'll m'a ete possible de verifier sur leslieux, il apparait bien que les deux [eunes filles sesont trouvees a environ 30 m de l'objet.

    D'apres les nornbreux reperes releves sur place,j'ai pu estirner que Ie dlametre de l'objet devait sesituer aux environs de 7 a 8 m. La hauteur de lapartie hemtspherique de 3 m environ au centre. Lalongueur des figes rouges polntant vers Ie sol de5 m environ. Ce.s tiges pouvalent .eJre 'desrayons lurnlneux,

    II semble peu probable que l'objet se solt veelle-ment pose sur Ie sol. mars il est certain qu'il s'enest approche tres pres, sans doute 8 un ou deuxmetres,

    II se serait ensulte eJeve 8 molns de 20 m au-des sus du sol. et it semble bien qu'll ait maintenucette altitude sur 1(;)traje.tde la voiture '8 travers latoret, Cells-ct. dans la partie ennelqee de la routedans la foret de saplns, roulait surement a rrreins de50 km/h. L'Dbjettievait done a ce moment se d e -placer 8 peu J! l re~ acette vttesse, en tous c as moinsde 50 km/h. II a slJivi apres Ie bors ~me traiee-toire a altitude constante par rapport au.' ,s'Ol pourpasser tres bali)' au-dessus de Goux et de. Blans, sedirigeant vers Levier, passant a 4 km au SaSE du vll-lage d'Evillers ,N.D.L.R. - Nous rappelons que Ie Doubs est partt-culierement rtche en observations. Nous avons deja

    publle 52 observations, d'autres sont en attente. IIexiste de toute evidenoe une concentration auteur desS0u~ces de la loue: Arc-sous-Cican, Renedale, - Evil-lers, Goux-les-Usiers. et il faut ajouter pcur 1954:Dornplerre-les-Tilleuls. Le Vezenay au lac de Saint-Point. S'll ne fait a u c u n doute que nous devons toutesces observations a l'actlvlte d'enqueteur de notre amiTyrode, il n'ernpeche que Ie score doitavoir unesignification qui, pour l'instant, no us echappe, lesmoyens pour la determiner n'etant pas a notre portee,en partlculier [es analyses dlverses. et nous pensonsa l'alr, au- sol, etc". Par comparaison a d'autres lleuxa u 'il ne se passe den ou presque (Lozere par exern-ple).. Cocrdonnees geDgrap:hiques: 460 57' N-' ~'" 1:9' E,

    La faille geologique des Monts d'Usrers est' a 1 .5 00m etcOiJpe Ie trajet de Tobjet,

    En marge de I'observationd'un objet suspect a

    I'observafoire deHaute-Provence (LDLN n0115)

    Les recherches 5e poursuivent pour rechercher destemolqnaqes d'observation dans la region de Manosqueet M. Cohin a trouve un ternoln digne de conflanceen la personne d'un secretaire d'un commissariat depolice de la region conoernee.

    Son observation est egalement du 16 septembre1971, l'heure est sensiblement la meh;le: Ie ternolnavalt qultte en voiture Ie villClge de Nlozelles pour serendre a Mahosque, distant de 21 km, 0U lattendaitune seance de basket-ball a 21 :00.

    Le ternoin, roulant en voiture, a vu a la hauteurdu village de Villeneuve (voir plan page 18 du N 115)un phenornene lumineux. Celui-ci est apparu devant luiet a gauche derrtere les monts qui bor dent la Durance,morrts qui font partie du plateau de Valensole, la di-rect ion estirnee et ant celle de la [onction du Verdon etde la riviere Colostre.

    L'ebservetion a lure de 3 a 4 secondes : Ie remainne s'intere:~saDt pas au phenomena ne s'est pasatta,chea l'observer, plus occupe a la conduite de sa voitureet au rendez-vous qu'Il avait.Le pnenomene s'est presentea lui sous la forme

    d'un rectangle lumlneux dont les cotes avaient un rap-port de- 1 Sur 5 environ. II est sorti vertical derriereles rnonts, est monte toujours vertical en se deplacantlateralernent.

    La lu