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l’état de l’opinionpublié par TNS SOFRES

une fois l’anaux Éditions du Seuil

Directeurs

oliv ier duh a mel Publiciste, directeur de la revue Pouvoirs

éd oua rd lecerf Directeur général de tns sofres

l’état de l’opinion2014

Seuil

aux éd it ions g a ll im a rd

sofres Opinion publique 1984



aux éd it ions du seuil

sofres L’état de l’opinion 1987

















tns sofres L’état de l’opinion 2004










© éditions du seuil, 2014

ISBN : 978-2-02-115614-0

Avec la participation de :

SYLVAIN BROUARD Chargé de recherche à la fnsp

GÉRARD COURTOIS Journaliste, éditorialiste au Monde

FANNY DURAND Département Stratégies d’opinion de tns sofres

MELAINE DURAND Département Stratégies d’opinion de tns sofres

FRANÇOIS FILLON Ancien Premier ministre, député de Paris

GUÉNAËLLE GAULT Département Stratégies d’opinion de tns sofres

JÜRGEN HOFRICHTER Directeur des études électorales et d’opinion, tns infratest

ÉRIC KERROUCHE Directeur de recherche au cnrs

CARINE MARCÉ Département Stratégies d’opinion de tns sofres

NONNA MAYER Directrice de recherche au cnrs

CARL MEEUS Rédacteur en chef au Figaro Magazine

ROMAN PTASZYNSKI Département Stratégies d’opinion de tns sofres

ELAINE RAPINEL Département Stratégies d’opinion de tns sofres

ZEIN SAWAYA Département Stratégies d’opinion de tns sofres

VINCENT TIBERJ Chercheur au cee, Sciences Po Paris

EDDY VAUTRIN-DUMAINE Département Stratégies d’opinion de tns sofres

LUDOVIC VIGOGNE Journaliste, éditorialiste à L’Opinion

BEATRIZ VILCHEZ-SILVA Directrice du développement, GiacomettiPeron & Associés

Nous remercions les journaux, médias, associations, institutions et entreprises grâce auxquels les enquêtes présentées dans ce livre ont été réalisées :

ANACT, ANIA, AOS STUDLEY, ARBORETUMS DE FRANCE, LA CHAÎNE ALLEMANDE ARD,

AULAB (AGENCE D’URGANISME DE L’ARRONDISSEMENT DE BÉTHUNE), AUSTRALIE,

BANQUE DE FRANCE, BURSON-MARSTELLER I&E, CAMPUS FRANCE, CENTRE DE

RECHERCHES SOCIOLOGIQUES (ESPAGNE), CFDT, COMMISSION EUROPÉENNE /

PARLEMENT EUROPÉEN, COMMISSION NATIONALE CONSULTATIVE DES DROITS DE

L’HOMME, COMPAGNIA DI SAN PAOLO, ENTREPRISE BRUNEAU, EREMA, FÉDÉRATION

HOSPITALIÈRE DE FRANCE, FÉDÉRATION DES ENTREPRISES SOCIALES POUR

L’HABITAT, FONCIÈRE DES RÉGIONS, FRANCE VOLONTAIRES, G5 SANTÉ, GÉNÉRALE

DE SANTÉ, GERMAN MARSHALL FUND, LA POSTE, LE FIGARO MAGAZINE, LE MONDE,

MARCHÉ INTERNATIONAL DE RUNGIS, MEETIC, PMU, PSYCHOLOGIES MAGAZINE,

RÉGION ÎLE-DE-FRANCE, SCIENCES PO BORDEAUX, SÉCURITÉ ROUTIÈRE, SFR,

SYNDICAT DES INTERNES DES HÔPITAUX DE PARIS.

Nous remercions également Guy Michelat et Michel Simon (in memoriam) pour nous avoir permis d’utiliser les données de leurs enquêtes dans l’article d’Olivier Duhamel.

Chapitre 1 30 ans de L’État de l’opinion : pour lever quelques mythes par Olivier Duhamel 11

Chapitre 2 L’opinion publique n’existe pas… comme avant par Édouard Lecerf et Guénaëlle Gault 23

Chapitre 3 L’Europe face à son destin par François Fillon 31

Chapitre 4 « Années Hollande », miroir inversé des « années Jospin » par Gérard Courtois 39

Chapitre 5 François Hollande : les raisons de la disgrâce par Ludovic Vigogne 57

Chapitre 6 L’étrange paradoxe de l’UMP par Carl Meeus 69

Chapitre 7 Un an après l’élection présidentielle : probabilités de vote et image des leaders par Sylvain Brouard et Éric Kerrouche 85

Chapitre 8 Les élections législatives en Allemagne : le triomphe d’Angela Merkel par Jürgen Hofrichter 107

Chapitre 9 Espagne, 2008-2013 : un pays déçu face à la crise par Beatriz Vilchez-Silva 131

Chapitre 10 Anciennes et nouvelles formes de racisme : 1990-2013 par Nonna Mayer et Vincent Tiberj 151

Chapitre 11 Le vote socialiste dans les duels UMP/FN par Carine Marcé 173

Chapitre 12 Abécédaire de l’opinion par Fanny Durand, Melaine Durand, Roman Ptaszynski, Elaine Rapinel, Zein Sawaya et Eddy Vautrin-Dumaine 181

11

130 ans de L’État de l’opinion : pour lever quelques mythes

par Olivier Duhamel

t rente ans, un âge assez considérable pour une série annuelle consa-crée à l’opinion publique. Une autocélébration serait peut-être légitime, mais nous avons préféré ici saisir l’occasion pour nous

concentrer sur quelques évolutions des opinions, ce qui nous paraît autrement intéressant.

Il faudrait une thèse, donc plusieurs années de travail, pour dresser un bilan exhaustif des continuités et des changements intervenus en trois décennies. À défaut d’écrire une thèse, nous avons décidé d’en choisir une : celle de la démystification. Autrement dit, nous avons recherché dans les multiples enquêtes d’opinion faites par la sofres, devenue tns sofres, les évolutions ou les continuités à l’opposé des idées reçues.

Même en nous limitant à cet angle de vue, il nous est impossible d’être exhaustif, mais les quelques résultats présentés ci-dessous devraient surprendre parfois, intéresser souvent, plus d’un lecteur – du moins espérons-le. Prenons deux exemples, avant de développer plus avant notre thèse sur un sujet particulièrement important.

30 ANS DE L’ÉTAT DE L’OPINION : POUR LEVER QUELQUES MYTHES

12

LE MYTHE D’UN PESSIMISME ACCRU

« Quand vous regardez la manière dont évoluent la France et les Français, avez-vous l’ impression que les choses vont en s’améliorant ? »

• Septembre 1983 : 12 %• Septembre 2013 : 11 %

Rien de nouveau sous le soleil. Les Trente Glorieuses (plutôt vingt en vérité) étaient déjà passées de longue date il y a trente ans. Pour les Français, à de rares parenthèses près, tout va de mal en pis1.

LE MYTHE DU REJET DES MÉDIAS

En octobre 1987, 62 % des Français suivaient les nouvelles données par les moyens d’information avec un grand intérêt. Ils sont 70 % en janvier 2013.

L’opinion sur la restitution de l’information par les médias est éga-lement très stable :

« En général, à propos des nouvelles qu’on lit / entend, les gens se disent que les choses se sont passées vraiment comme (le média) les raconte » :

• Les journaux : 46 % en 1987 ; 49 % en 2013.• La radio : 56 % en 1987 ; 54 % en 2013.• La télévision : 59 % en 1987 ; 48 % en 2013.

La critique, voire le rejet des médias, sont supposés dominer dans l’esprit des Français, et le phénomène n’avoir fait que s’aggraver. Rien de tel en vérité. Les Français suivent autant sinon plus les médias pour s’informer. La crédibilité de la presse écrite ou de la radio ne s’est pas altérée, seule celle de la télévision s’est affaiblie avec la multiplication des chaînes2.

1. Baromètre mensuel tns sofres / Le Figaro Magazine, 1983-2013.2. Baromètre tns sofres / La Croix : confiance dans les médias, 1987-2013.


13

LE MYTHE DE LA DROITISATION DE L’OPINION

Après ces mises en bouche, venons-en à la thèse principale. Tous ou presque s’accordent pour considérer que nous vivons en France comme en Europe une période de droitisation politique. Ce point de vue ne manque pas d’arguments pertinents lorsqu’il est appliqué dans le domaine électoral, avec l’affaiblissement considérable ou la dispa-rition des partis communistes et avec la montée de partis d’extrême droite ou populistes (qu’importent ici les appellations). La droitisation se constate aussi, en tout cas en France, dans les prises de position des partis politiques. Le Parti socialiste a gardé son nom, tout en devenant pour part social-démocrate, pour part social-libéral. L’UMP remet en cause le droit du sol ou des droits sociaux jadis acceptés, et une moitié de ses sympathisants ne répugne plus à des alliances au moins occa-sionnelles avec le Front national. À la tête de ce dernier, Marine Le Pen a su conquérir une popularité sans commune mesure avec celle de son père. Bref, les éléments de droitisation ne manquent pas dans le monde politique.

Quittons maintenant la sphère électorale ou partisane pour nous aventurer dans le maquis que ne cesse d’explorer L’État de l’opinion depuis trente ans, c’est-à-dire la multiplicité des opinions sur moult questions idéologiques, politiques, économiques, sociales, sociétales.

Notre tableau, répétons-le, n’est certes pas exhaustif, mais il résulte d’une investigation aussi large que possible, et n’a écarté aucune des don-nées retrouvées. La comparaison remonte trente ans en arrière chaque fois que des questions identiques ont été alors posées – dans quelques cas, la remontée dans le temps est moins profonde mais néanmoins significative.

Les données présentées nous semblent suffisamment parlantes pour qu’il n’y ait pas besoin d’alourdir le propos avec des commen-taires risquant la redondance. Plus précisément, elles relèvent toutes d’un commentaire unique : non, les opinions des Français ne se sont pas droitisées.

L’autopositionnement des Français sur une échelle gauche/droite n’a que peu varié :

• En septembre 1983 : à gauche 34 %, au centre 29 %, à droite 31 %.• En septembre 2013 : à gauche 35 %, au centre 22 %, à droite 32 %.

Source : tns sofres.


14

Sur la popularité de l’homme politique de gauche le moins à gauche

Cotes d’avenir des personnalités politiques :

• En septembre 1983 : Jacques Delors 45 %, à droite : 38 %.• En septembre 2013 : Manuel Valls 43 %, à droite : 39 %.

Sur le Front national

« Le Front national représente un danger pour la démocratie en France »

• Octobre 1983 : 38 %• Janvier 2013 : 47 %

« Le Front national ne représente pas un danger pour la démocratie en France »

• Octobre 1983 : 43 %• Janvier 2013 : 47 %

Tout à fait ou assez d’accord avec les idées du Front national :

• Novembre 1984 : 26 %• Janvier 2013 : 32 %

Plutôt pas ou pas du tout d’accord avec les idées du Front national :


Sur les immigrés

« On doit donner priorité à un Français sur un immigré en situation régulière » / « Il n’y a pas de raison de faire de différence… »

• Septembre 1991 : 45 % / 51 %• Janvier 2013 : 24 % / 73 %

Source : Baromètre mensuel tns sofres / Le Figaro Magazine, 1983-2013.


15

« Il y a trop d’immigrés en France. »

• Mai 1988 : 65 %• Janvier 2013 : 54 %

« On ne se sent plus vraiment chez soi en France. »

• Mai 2000 : 47 %• Janvier 2013 : 43 %

Sur les valeurs traditionnelles

« On ne défend pas assez les valeurs traditionnelles en France. »

• Mai 2000 : 73 %• Janvier 2013 : 72 %

Sur la peine de mort

Favorables à la peine de mort :

• 1984 : 65 %• 2013 : 32 %

Sur la justice

« La justice n’est pas assez sévère avec les petits délinquants. »


Sur l’insécurité

« On ne se sent plus en sécurité nulle part. »

• Décembre 1994 : 69 %• Juin 2010 : 49 %

Source : Baromètre tns sofres / Le Monde « Image du Front national », 1984-2013.


16

Sur la police

« Il faut donner beaucoup plus de pouvoirs à la police. »

• Mai 2000 : 47 %• Janvier 2013 : 43 %

Sur l’homosexualité

« L’homosexualité est une manière acceptable de vivre sa sexualité. »

• Mai 1995 : 58 %• Mars 2012 : 84 %

Sur le socialisme

« Le mot “socialisme” évoque quelque chose de positif. »

• Mai 1988 : 58 %• Juin 2010 : 56 %

Sur le libéralisme

« Le mot “ libéralisme” évoque quelque chose de positif. »

• Décembre 1994 : 60 %• Juin 2010 : 55 %

Sur le profit

« Le mot “profit” évoque quelque chose de positif. »

• Mai 1988 : 54 %• Juin 2010 : 44 %

Sources : Enquête tns sofres / cevipof, mai 1988 et mai 1995, enquête tns sofres / Fondation Gabriel-Péri, mai 2010.


17

Sur les privatisations

« Le mot “privatisation” évoque quelque chose de positif. »

• Mai 1988 : 44 %• Juin 2010 : 34 %

Sur le capitalisme

« Le mot “capitalisme” évoque quelque chose de positif. »

• Janvier 1993 : 35 %• Juin 2010 : 33 %

« Le mot “capitalisme” évoque quelque chose de négatif. »

• Janvier 1993 : 50 %• Juin 2010 : 64 %

Sur la Bourse

« Le mot “Bourse” évoque quelque chose de positif. »

• Mai 1988 : 40 %• Juin 2010 : 34 %

Sur le sentiment de classe

« Avez-vous le sentiment d’appartenir à une classe sociale ? »

• Décembre 1994 : 61 %• Novembre 2001 : 54 %• Juin 2010 : 65 %

Sources : Enquête tns sofres / cevipof, mai 1988 et mai 1995, enquête tns sofres / Fondation Gabriel-Péri, mai 2010.


18

Et, pour finir, deux données pour lesquelles nous n’avons pas de réfé-rences anciennes mais qui attestent la prégnance de l’égalitarisme dans la culture politique des Français :

Sur l’égalité

« Tout bien considéré, l’égalité entre les personnes est plus impor-tante que la liberté. »

• Mars 2012 : 57 % d’accord contre 39 % pas d’accord.

« Pour établir la justice sociale, il faudrait prendre aux riches pour donner aux pauvres. »

• Mars 2012 : 61 % d’accord contre 38 % pas d’accord.

En 2014, les Français vont très probablement voter nettement plus à droite qu’ils ne l’ont fait depuis plusieurs années. Cependant, le vote est une chose, les idées en sont une autre. En 2014, les Français ne sont pas plus mais moins à droite qu’ils ne l’étaient il y a trente ans.

OLIVIER DUHAMEL

Source : Enquête tns sofres / Sciences Po - TriÉlec, mars 2012.

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58-60 ; 64 ; 66 ; 69 ; 75-76 ; 81-82 ; 93 ; 97-105 ; 108 ; 113 ; 118 ; 122-124 ; 126 ; 152 ; 156-157 ; 163-164 ; 168 ; 170-171 ; 177-179

HHollande (François), 19 ; 41-55 ; 57-68 ;

69 ; 73-74 ; 80-83 ; 85-91 ; 93 ; 95-97 ; 99-101 ; 103 ; 105

Hommes politiques, 144 ; 146 ; 188Hôpital, 193

IImmigration, 60 ; 79 ; 131 ; 134-135 ; 160 ;

162-164 ; 166-169 ; 171-172Innovation, 28 ; 36-37 ; 182 ; 191 ; 197-198Inquiétude, 34 ; 86 ; 89 ; 93 ; 132 ; 134 ;

164 ; 168 ; 171 ; 184 ; 193 ; 203-204Insécurité, 15 ; 135 ; 157 ; 164 ; 184Institutions, 26-28 ; 32 ; 45 ; 62-63 ; 131 ;

144-145 ; 147 ; 149 ; 165 ; 203Internet, 20 ; 23-2 4 ; 28-29 ; 168 ; 182 ;

185 ; 188 ; 198 ; 202Italie, 166-167 ; 169 ; 184-186

JJeune, 49 ; 121 ; 132 ; 143 ; 152 ; 160 ; 162 ;

166 ; 191Jospin, 19 ; 41-55 ; 64 ; 80 ; 160Journalistes, 61Justice sociale, 18 ; 111-112 ; 114-115 ;

118-120

LLe Pen (Marine), 13 ; 48 ; 63 ; 75-77 ; 88-105Logement, 103 ; 131 ; 134 ; 135 ; 138 ; 139 ;

189 ; 192

MMariage pour tous, 61 ; 105 ; 151Marque, 23-24 ; 200-203Média, 12 ; 20 ; 27-28 ; 46 ; 60 ; 82 ; 144 ;

160 ; 176Mélenchon (Jean-Luc), 48 ; 58 ; 60 ; 64 ;

88-93 ; 95-97 ; 99-101Merkel (Angela), 107-129Mitterrand (François), 19 ; 26 ; 42 ; 53 ;

57-58 ; 60 ; 62 ; 67-69 ; 76

Mobilité, 143 ; 202MoDem, 58 ; 97-100 ; 178Mondialisation, 31 ; 34 ; 38 ; 54 ; 148Montebourg (Arnaud), 47 ; 82

NNucléaire, 63 ; 119-120 ; 128Numérique, 25 ; 37 ; 202

OOpinion, 11-18 ; 23-29 ; 74 ; 146 ; 151-172 ;

181-205Optimisme, 19 ; 50 ; 134 ; 148 ; 183-184 ;

187

PPeine de mort, 15Pessimisme, 12 ; 19 ; 134 ; 148 ; 166 ; 184 ;

188Police, 16 ; 144 ; 162Pouvoir d’achat, 24 ; 34 ; 187-188 ; 200Premier ministre, 41-43 ; 46-47 ; 53 ; 64 ;

69 ; 73 ; 75 ; 78 ; 86 ; 89 ; 144Préoccupation, 26 ; 33 ; 110 ; 134-135 ; 182-

183 ; 193 ; 199Primaires, 81 ; 158Priorité, 14 ; 37 ; 134 ; 139 ; 197 ; 202Publicité, 200-201

RRacisme, 151-172République,— Ve, 26 ; 45 ; 57 ; 62-63 ; 70 ; 81— Président de la République, 41-42 ; 45 ;

48 ; 50 ; 53-54 ; 69 ; 71 ; 76 ; 78 ; 80 ; 85-86 ; 89-90 ; 93 ; 95 ; 101-102 ; 105

Réseaux sociaux, 61 ; 63 ; 168 ; 186Retraites, 47 ; 79 ; 116 ; 132 ; 135 ; 138-140 ;

184Royal (Ségolène), 45 ; 80-81Royaume-Uni, 33 ; 39 ; 166-167 ; 169

SSalariés, 128 ; 186-187 ; 201 ; 203Santé, 112 ; 116 ; 135 ; 137-138 ; 139-142 ;

145 ; 182 ; 184 ; 190 ; 193 ; 196-199 ; 204-205

Sarkozy (Nicolas), 19 ; 41 ; 43 ; 46 ; 48-49 ;

57-58 ; 61 ; 63-65 ; 67 ; 70-74 ; 76-81 ; 84-85 ; 99 ; 103 ; 163

— antisarkozysme, 85 ; 89 ; 105Sécurité, 15 ; 37— sécurité alimentaire, 183 ; 198-199— sécurité sociale, 52 ; 135 ; 138 ; 197Smartphone, 202-203Socialiste, — parti socialiste, 13 ; 42 ; 44-45 ; 48-49 ;

64 ; 68 ; 74 ; 80 ; 98 ; 100 ; 145 ; 173 ; 175-176

— PS, 41-42 ; 44-46 ; 48-49 ; 58 ; 60 ; 66 ; 69 ; 73 ; 74 ; 75 ; 81-82 ; 84 ; 97-105 ; 174 ; 178-179

— vote socialiste, 173-177

TTechnologie, 24 ; 26 ; 36-37Travail, 47 ; 53 ; 110 ; 118 ; 132 ; 137 ; 141-142— travailler, 40 ; 143

UUMP, 13 ; 44 ; 49 ; 58 ; 69-84 ; 97-104 ;

163 ; 173-179

VValeurs, 15 ; 38 ; 95 ; 119 ; 141-142 ; 148 ;

151-152 ; 162 ; 199 ; 205Valls (Manuel), 14 ; 47-48 ; 59-60 ; 63 ;

73 ; 82

Réalisation : Cursives à ParisImpression : Normandie Roto Impression S.A.S. à LonraiDépôt légal : février 2014. N° 103551 (000000)

Imprimé en France

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