2

5.96 552563

----------------------------INFORMATION----------------------------Couverture : Classique

[Roman (134x204)] NB Pages : 72 pages

- Tranche : 2 mm + (nb pages x 0,055 mm) = 5.96 ----------------------------------------------------------------------------

L’oreille est coquillage du coeur

Christian Dutasta

L’oreille est coquillage du coeur

L’oreille est coquillage du coeur

Christian Dutasta Christian Dutasta

2 2

Du même auteur :

• « La saveur et l’intense », ouvrage auto-édité en 2008

2 3

Louise Sénah, Togolaise

L’oreille est coquillage du cœur

2 4

2 5

Avant-propos

Devant les félicitations de mes amis et connaissances pour mon premier essai littéraire : « La saveur et l’intense », paru en 2008 ; me remémorant la saveur incomparable et l’intensité des moments vécus, j'ai repris la plume pour faire danser l'écriture, afin de m’offrir à nouveau des parts de rêve !…

Mes muscles du sourire ont glissé jusqu’à ceux de ma main pour une écriture joyeuse et pleine de nuages blancs ; m’emportant sous des cieux différents : des côtes Charentaises aux Caraïbes, de la côte d'Opale à l'Afrique, de Tokyo au Golden Gate, du Val de Loire à La Sambre.

Que vous soyez assis devant l'âtre de votre cheminée, allongés sur le sable, ou blottis sur la margelle d'un puits, lisez avec plaisir cette part de rêve…

Christian DUTASTA

2 6

2 7

Préface

Christian Dutasta, infatigable voyageur, inlassablement parcourt le monde, et nous invite à partager ces moments privilégiés, en première partie d’ouvrage, par des photographies prises aux Antilles, à Majorque ou à San Francisco, sans oublier les régions de France qu’il explore avec bonheur. Des haïkus et des tankas ponctuent et immortalisent ces « Fugaces instants ».

La seconde partie du recueil « Ivresse amoureuse », nous emmène dans des déclarations quasi-charnelles, dans une recherche de séduction et de relation fusionnelle du poète avec l’être aimé. Sa passion se déchaîne envers cet être sublimé, qui prend tour à tour l’apparence de l’Océan « Chère Océane » ou d’une femme rencontrée sur une plage en Martinique « Nuit Vanille ». Un amour obsessionnel, possessif, comme induit par quelque filtre magique, comme s’il eut voulu donner vie dans un souffle

2 8

d’amour à cet être désiré, déjà aimé, cet amour idéalisé ; dans un acte de création amoureuse.

L’auteur, s’inscrit ainsi dans la lignée des grands romantiques de la première moitié du XIXe siècle, par sa sublimation de la nature et de l’amour ; s’apparentant ainsi à Chateaubriand, Victor Hugo, Lamartine ou Gérard de Nerval.

« L’amour est une mer dont la femme est la rive » (Victor Hugo dans Le groupe des idylles).

Un genre littéraire qu’il fait revivre et ressuscite pour notre plus grand plaisir :

« Ecoute mon cœur Les battements de l’horloge infernale

Rythmant la cavale irrépressible du temps. Le va et vient des marées berce

Les escales amoureuses dans le chahut des vagues. Portés par l’écume et cueillant des tessons de lune Les amants s’endorment, par les baisers grisés. »

« Une missive pour vous dire », en dernière partie d’ouvrage, réhabilite un mode de communication éclipsé chaque jour par l’électronique, et restitué par ses lettres écrites à des amis ou à un prisonnier : les belles lettres de nos missives d’antan.

Un ouvrage riche et précieux par la qualité de l’écriture, la véracité et la sincérité des sentiments.

Chantal Sayegh-Dursus, Journaliste et écrivain

2 9

Fugaces instants

2 10