la route

l’âne

l’homme

une île

un panier

un poisson

pousse

monte

tape

se couche

se lève

marche

danse

saute

Mariza

Une route

Un homme

Une île

Un panier

Un âne

Un poisson

… danse

… marche

… monte

… saute

… tape

… pousse

Productions des élèves :

II y a une île.

Il y a une route sur l’île. La route monte. Tout en haut il y a des maisons blanches.

Il y a un homme. Il a une moustache et un chapeau bleu. Il prend un panier. Dans le panier

il y a beaucoup de poisson. Il met le panier sur le dos de l’âne. L’âne porte 2 paniers.

L’homme et l’âne marchent sur la route. L’âne a mal au dos et il est fatigué.

L’âne regarde la route et il a peur parce que la route monte beaucoup. Alors, il ne veut pas

marcher.

L’homme regarde l’âne et l’âne regarde l’homme. L’âne ne marche pas.

L’homme demande : « Pourquoi tu ne marches pas ? »

L’âne dit à l’homme : « Je suis fatigué. Je ne veux pas monter. »

L’homme est fâché, il pousse l’âne mais l’âne ne marche pas.

L’homme crie et il tape l’âne mais l’âne ne marche pas. L’âne a mal aux fesses. L’homme a

peur parce que l’âne est fâché.

L’âne se couche sur la route et il dort.

Il fait chaud. L’homme se réveille à côté de la route. Il se lève. Il a une radio. Il allume la

radio.

L’âne se réveille parce qu’il entend la musique. L’âne regarde la radio. Il se lève sur la route.

L’âne marche sur la route parce qu’il aime la musique. Il danse avec l’homme et il monte

sur la route. Il est content. Il n’est pas fatigué.

L’âne danse et saute sur la route avec l’homme mais les poissons tombent sur la route.

L’homme regarde dans les paniers. Il ne voit pas de poisson. Il voit un poisson par terre. Il

regarde la route et il voit tous les poissons par terre. Il est fâché parce que tous les poissons

tombent sur la route.

L’âne regarde l’homme. Il est triste parce que l’homme est triste. L’âne aime bien l’homme.

Alors l’âne donne la radio à l’homme.

Hypothèses pour la suite de l’histoire : L’homme et l’âne ramassent tous les poissons avec

la musique

L’homme et l’âne dansent