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La GÉOBIOLOGIE Les sciences se rattachent les unes aux autres, comme les maillons d'une même chaîne, elles font partie
d'un même système, allant de l'infini du monde cosmique, à l'infini du monde atomique...
La Géobiologie au regard de la science
Dans cette approche globale, l'étude de l'influence des rayonnements d'origine tellurique (du latin
tellus : terre) et cosmiques, permet d’entrevoir comment l'être humain peut recevoir, capter, moduler,
s'adapter et surtout s'orienter à travers la relation microcosme / macrocosme, exprimée ici en terme de
"rayonnements".
Notre planète est une véritable comète magnétique qui tourne sur elle-même,
tout en se déplaçant dans l'univers, ces mouvements s'accompagnent de
phénomènes magnétiques et électriques d'induction, autant dans le sol et dans
les océans, que dans l'atmosphère et les couches plus élevées, ces phénomènes
entretenant un système complexe de charges et de particules en mouvement,
toutes en étroite corrélation.
Par cette interdépendance, notre espace vital baigne dans des champs de rayonnements comprenant
principalement les rayonnements cosmiques, d'origine extragalactique, dont une partie est absorbée ou
déviée par la terre, les vents solaires et lunaires, et aussi les rayonnements d'origine tellurique.
Au cours du temps, la vie s'est créée dans ces champs à l'origine même de cet
équilibre biologique complexe qui nous régit.
Nos sens habituels nous permettent de percevoir consciemment l'influence du
temps et du climat, mais nous sommes moins directement sensibilisés à l'action
du sol, aux forces et aux impulsions atmosphériques, ou à celles originaires du
cosmos, des travaux ayant démontré que nous recevions continuellement du
centre de notre galaxie des ondes gravitationnelles qui ont pu être mises en évidence par des
détecteurs très sensibles, ces ondes gravitationnelles étant dues au mouvement des astres et aux
forces par lesquelles ceux-ci s'attirent en fonction de leur masse, de leur vitesse de rotation et de
la distance qui les sépare, ces ondes influençant le champ magnétique terrestre et sont à l'origine
de vibrations ou ondes électromagnétiques composées.
La molécule d'eau, un Internet biologique...
C'est principalement la molécule d'eau qui est le résonateur essentiel des radiations d'origine cosmique
ainsi que l'ont démontré notamment les travaux réalisés par le professeur Piccardi de l'Université de
Florence, ce savant inspiré ayant observé qu’avec les mêmes expériences exécutées dans des conditions
rigoureusement semblables, il obtenait des résultats variables selon la date à laquelle il les réalisait, ce qui
est scientifiquement inadmissible (?!)...
Recoupant régulièrement ces différences aberrantes, Piccardi formula cette
hypothèse de travail : "Puisque seule la date varie, c'est qu'à chacune il se produit
"quelque chose", et qu’une force intervient, qui n'est pas la même en mars qu'en
septembre, et vient modifier le processus et le résultat de ces expériences...".
Il en déduisit que cette force était l'incidence du champ électromagnétique de la
voie lactée, que notre terre traverse forcément sous différents angles dans son
mouvement hélicoïdal à travers l'espace, ici intervint le physicien Antonio Giao, qui, réunissant les
résultats expérimentaux de Piccardi et les équations d'Einstein, prouva l'existence des champs de ces
forces galactiques, l'hypothèse de Piccardi devenait cette fois scientifiquement admissible, et en tous cas,
l'explication possible des variations du résultat de ses expériences.
À la question suivante : "Mais comment ces forces interviennent-elles dans les réactions chimiques qui se
déroulent sur terre ?...", il en conclut que c’était par l'intermédiaire de la molécule d'eau...
L’eau, constituée d'hydrogène et d'oxygène, étant à l'origine d'une molécule bipolaire, donc non
neutralisée, ce qui favorise le groupement moléculaire, on observe alors que sa structure équilibrée et
pentaèdrique forme une pyramide à base quadrangulaire, étrange analogie avec nos cinq doigts, la symétrie
d'ordre cinq des fleurs ou encore les cinq branches de l'étoile de mer...la construction moléculaire de
l'eau, une pyramide à cinq points, se déformant sous l'effet des forces galactiques et produisant dans les
réactions chimiques observées, les "effets Piccardi".
Ces travaux ont ainsi fait apparaître la notion de cosmo-couplage, à laquelle n'échappe aucun être vivant,
car l'eau est présente partout : dans notre sang, dans la moindre de nos cellules, jusque dans les
profondeurs du sol terrestre... la modification de la structure moléculaire de l'eau en fonction des
périodes de l'année expliquant un grand nombre de nos phénomènes biologiques.
Le rayonnement cosmique
Dès 1903, Rutherford (prix Nobel de physique nucléaire), Mc Clennan, Goeckel, Millikan et Bowen
(astrophysiciens américains), ont découvert les radiations électromagnétiques naturelles ultra-
pénétrantes, cette découverte ayant été confirmée par les astrophysiciens Goeckel et Kohlôrster, qui les
ont appelées ondes cosmiques.
À l'aide de ballons sondes, Goeckel démontra, lui, que ces radiations sont beaucoup plus intenses à 4.000
mètres d'altitude qu'au niveau de la mer, de nouvelles expériences montrèrent qu'à 9.000 mètres
d'altitude, elles étaient plus actives qu'au niveau du sol, et en 1922, lors de mesures effectuées aux USA,
Millikan et Bowen reprirent ces mesures jusqu'à 15.000 mètres d'altitude, puis à 3.500 mètres de
profondeur, au fond du lac Muir, et ils démontrèrent que les ondes cosmiques traversaient plus de 37
mètres d'eau, épaisseur équivalente à 1,80 mètre de plomb, ces rayons se révélant cent fois plus
pénétrants que les rayons-X les plus durs, et la longueur des ondes les plus courtes serait de l'ordre du
1/200 milliardième de millimètre.
Ces astrophysiciens ont également constaté que le minimum d'intensité des rayons cosmiques apparaît vers
midi et le maximum vers 23 heures, ce qui tendrait à démontrer que les rayonnements lumineux du jour ont
une action considérable sur les ondes cosmiques.
Le rayonnement cosmique ne comprenant cependant pas uniquement les rayonnements solaires et leurs
manifestations connues : chaleur, lumière,... en jeux d'absorption et de réflexion par la terre et
l'atmosphère, il existe également un rayonnement de micro-ondes qui a son origine hors de notre système
galactique, ce rayonnement électromagnétique de très petite longueur d'onde, agirait comme un
rayonnement de fond de très haute fréquence, très supérieure au Gigahertz (1 milliard de cycles/
seconde), des observations astrophysiques plus poussées ont révélé également une émission à haute
fréquence originaire de la Voie lactée, d'une longueur d'onde de 18 cm.
Ces quelques observations très résumées permettent d'entrevoir que le rayonnement cosmique couvre une
multiplicité de radiations présentant un apport d'énergie permanent, dont le maximum est atteint dans la
bande de fréquences des 70 Ghz, il suffit de se rappeler à quel point cette énergie paraît essentielle à la
stimulation de nos fonctions vitales pour comprendre l'importance de telles études.
Ainsi, les investigations des astrophysiciens démontrent que tous les astres, dont la terre, loin d'être
isolés dans le vide interplanétaire, sont au contraire baignés par des champs de radiations qui leur apporte
énergie et vie, ce qui nous permet d'imaginer que le champ interastral est d'origine électromagnétique,
dont les supports seraient les rayons cosmiques.
La physique moderne nous apprend également que les particules élémentaires constituant la matière ne
doivent pas être vues comme des objets, mais par leur champ gravitationnel, électromagnétique ou
nucléaire, et coextensif à tout l'univers.
Hormis le rayonnement cosmique, il existe des rayonnements d'origine terrestre, les rayonnements
telluriques, dont la science est en mesure de montrer l'existence à l'aide d'appareils de physique ultra-
sensibles, tels que le compteur Geiger, ou encore le compteur à hélium,...
Les influences de surface
En dehors des anomalies, tels les failles et les cours d'eau souterrains, il existe à la
surface du sol des zones de "turbulences", créées par une plus ou moins forte
réflexion ou absorption de ces ondes cosmiques, et plus particulièrement dans les
couches superficielles concernant surtout le rayonnement d'ondes courtes, ce que
confirma dans ses travaux sur l'oscillation cellulaire, le savant physicien génial
Georges Lakhovsky.
Constatant que ces rayonnements dépendent de la structure
géologique du sol, celui-ci entreprit des recherches afin de démontrer cette relation entre
la structure géologique et l'état pathologique des personnes vivant sur un lieu, et il aboutit
aux observations suivantes :
Là où le terrain est constitué par du sable, du calcaire, du gypse, du grès, certaines
roches cristallines primitives ou diverses alluvions récentes, ceux-ci ne provoquent pas
de réactions notables sur le champ cosmique.
La pénétration du rayonnement étant d'autant plus profonde que le terrain est moins
conducteur : ainsi, en mer, les réceptions radioélectriques sont excellentes, la nappe
d'eau, très conductrice, se comporte comme une surface métallique, favorisant la
réflexion et la propagation de ces ondes. Alors que là où les terrains sont constitués
par des argiles plastiques, des marnes à gypse, des marnes jurassiques, de la craie
phosphatée, de la pyrite de fer, des terrains carbonifères et des schistes, ou
encore des terrains riches en minerai de fer (à l'origine de courants intenses
consécutifs aux réflexions existants à la surface du sol et générant un champ de
radiations interférentes qui perturbent notre équilibre oscillatoire cellulaire), la densité de pathologies
lourdes y est plus élevée...
Le rayonnement cosmique "court" n'étant dans ce cas absorbé que sur une faible profondeur, et
provoquant des courants induits suffisamment intenses pour influencer, ou modifier, le champ de
rayonnement naturel de la surface du sol.
D'autres causes qui contribuèrent à la (re)naissance de la Géobiologie, ont également
été mises en évidence, notamment par les travaux du docteur Hartmann, qui
constata, lui, que les radiations cosmiques sont en grande partie réfléchies
(réfractées, diffusées), et en se combinant au rayonnement initial, produisent un
champ induit d'ondes stationnaires et renforcent fortement l'effet pathogène du
"réseau H", ainsi :
Il est fréquent de constater des troubles et des maladies chroniques sur le
passage du quadrillage "H" aux emplacements des lits, lorsqu'il s'agit de
terrains conducteurs, en particulier d'argile plastique.
Á l'inverse, il existe des zones à la surface du sol où l'absorption et la pénétration du rayonnement
cosmique est telle que la réception radioélectrique est rendue très difficile, c'est le cas des
terrains diélectriques constitués de sables, grès, gypses, calcaires, roches cristallines ou alluvions
riches en sables et graviers.Cette pénétration des ondes cosmiques s'effectuant alors en
profondeur sans donner de réaction sur le champ superficiel, l'activité de ce quadrillage étant dans
ce cas nettement moins intense que dans le cas des terrains conducteurs.
À intensité égale, une onde courte étant plus vite absorbée dans le sol qu'une onde longue, et donnant
naissance à des courants d'induction plus intenses, ces différences d'absorption s'accentuant selon la
conductibilité des sols, un phénomène d'ailleurs bien connu des radioélectriciens.
Ainsi, résultant de longs siècles d'observation, et ne se résumant pas à des petites recettes, ou des
superstitions, la Géobiologie, science de la vie, s'intègre dans une démarche de recherche du bien-être et
de l'harmonie au sein de nos lieux de vie...
Avec l’eau, nous entrons au cœur de la mêlée... on peut affirmer ici que toute nouvelle recherche, toute
découverte, toute nouvelle théorie en la matière "met le feu au lac", et que dans cette arène qu'est la
recherche sur les propriétés de l'eau, s'affrontent des scientifiques de haut niveau, des ésotéristes, des
idéologues du scientisme et du rationalisme, et des lobbies....Les recherches menées sur les propriétés de
l'eau et de ses molécules confirmant et corroborant en tous points le discours de ceux que dans les milieux
scientifiques médicaux et industriels on appelle (souvent) "les charlatans", à savoir les radiesthésistes, les
homéopathes, les tenants des médecines naturelles... et les géobiologues, bien entendu !...
H2O, mon amour...
Comme chacun sait, H2O, la molécule d’eau, est formée d'un atome
d'oxygène, oxygène = celui qui engendre les acides, relié à deux atomes
d'hydrogène, hydrogène = celui qui engendre l’eau, elle est généralement
modélisée par deux boules bleues reliées à une boule rouge, l'écart entre les
deux boules bleues étant de 104,7°, souvent ces boules sont reliées par des
traits qui représentent les liaisons électroniques qu’on appelle les liaisons
covalentes, une liaison covalente étant une liaison chimique dans laquelle
chacun des atomes liés met en commun un électron d'une de ses couches
externes afin de former un doublet d'électrons liant ces deux atomes, c'est
une des forces qui produit l'attraction mutuelle entre ces atomes.
L’hydrogène est l’atome le plus simple qui soit, il est composé d’un proton associé à un électron,
c’est aussi l’atome le plus présent dans l’univers, dont il représente environ 92% de ses atomes
et 70% de sa masse...
L’oxygène, lui, est issu d’un processus beaucoup plus complexe, il est constitué de huit protons et
de huit neutrons, et il appartient au groupe des éléments lourds dans la table de Mendeleïev.
Le modèle classique de la molécule d’eau veut que cette angle de 104,7° soit fixe, et que par ailleurs, dans
toutes les molécules connues à ce jour, un atome d’hydrogène forme une seule liaison, et un atome
d’oxygène deux liaisons, cette liaison étant cependant sujette à discussion, selon certains chercheurs,
cette molécule pourrait se déformer, et seules les molécules d’eau sous forme de glace auraient un angle
fixe. Cette particularité conférant à la molécule H20 un caractère dipôle, et en fait le plus petit aimant
même si l'atome reste électriquement neutre vers l'extérieur.
Polarisation et structuration...
Naturellement, les charges négatives et positives s'attirent (l'atome d'hydrogène voisin se rapproche de
l'atome d'oxygène par des liaisons hydrogène) et forment des chaînes de molécules ou macromolécules
appelés encore clusters pouvant être constitués de 300 à 400 atomes.
L’étude systémique de la matière nous montre que celle-ci est constituée de particules
reliées par des forces et organisées en éléments chimiques, les atomes qui se combinent
pour former des molécules d’architecture plus ou moins complexe.
On notera que les clusters d'eau ou macromolécules pouvant être influencés et altérés par
une pompe, un moteur, un champ électromagnétique, une haute pression dans les
canalisations ou encore des polluants chimiques, la biorésonancemettant en évidence ce fait
et en mesure l'impact sur les systèmes vivants.
La molécule d’eau est une molécule polaire, ce qui signifie que chaque molécule est orientée selon ses
charges :
Négative pour l’oxygène, donc orientée vers le pôle Sud positif,
Positive pour l’hydrogène, soit orientée vers le pôle Nord négatif.
La méthode de mesure des fréquences de vibration des électrons par le spectromètre Raman n'étant pas
elle scientifiquement contestée, elle fut toutefois admise, puis rejetée, puis à nouveau acceptée,
Chandrasheskhara Venkata Râman, un physicien indien, reçut d’ailleurs le prix Nobel de physique en 1930
pour la découverte de "l'effet Raman", l'instrument de mesure appelé "spectromètre Raman laser"
existant depuis les années 1960.
Cette méthode permet également de procéder au comptage des molécules dans un échantillon d’eau, on a
ainsi pu constater que les liquides biologiques contiennent 30 % d’eau trimères, alors que l’eau provenant de
la fonte des neiges contient essentiellement des molécules pentamères.
Les expériences menées à partir des différents types d’eau ont également montré que plus une eau est
riches en molécules de type trimère, plus son action biologique est favorable à la vie... il a été aussi
constaté que cette polymérisation de l’eau pouvait varier avec le temps et les conditions physiques, ainsi
une eau conservée quelques jours dans une bouteille voit sa composition moléculaire modifiée, elle
s’appauvrit en molécules trimères et s’enrichit en pentamères...
Eau vivante et eau morte...
En fonction de toutes ces données, il a été traduit un concept d’une façon simple, rejoignant en tous points
les données des radiesthésistes et des géobiologues :
Les eaux vivantes... sont celles qui sont riches en molécules trimères, soit les eaux de source, les
eaux d’orage, les eaux ayant subi un ensoleillement prolongé (eau solarisée), ou encore l’eau de mer
fraîche...
Et les eaux mortes... l’eau en bouteille (au bout de deux jours), l’eau du robinet, les eaux
provenant directement de la fonte de glace, l’eau chauffée aux micro-ondes, les eaux distillées ou
osmosées (bien qu’à l’analyse on constate que cette eau soit cependant chimiquement pure)...
La polymérisation de l’eau varierait donc spontanément sous des influences physiques ou chimiques, ainsi,
bien avant la découverte de l’effet Raman, certains chercheurs avaient découvert sans pouvoir autant
l’expliquer, que des traitements purement physiques modifiaient les qualités biologiques de l’eau, ces
découvertes, que la science de l’époque ne pouvait en aucun cas expliquer, furent cependant peu
contestées, les savants se divisant en deux camps :
Ceux qui acceptaient les résultats d’expérience,
Ceux qui les niaient parce qu’ils ne correspondaient pas à leur vision du monde...
Il faut bien avouer que la situation a peu évolué malgré les progrès de la physique, bien qu’elle permette de
constater l’effet sur l’eau des traitements physiques à un niveau aussi fin que l’architecture des molécules,
la science moderne en reste en ce domaine à de pures constatations, certes, des théories sont élaborées,
mais...
De fait, la polymérisation de l’eau ne gênait personne tant que le phénomène restait cantonné dans le
monde de la physique, il était donc toléré, en revanche, dès que certains chercheurs mirent en relation la
polymérisation de l’eau avec ses qualités biologiques, le phénomène fut rejeté, la gente scientifique jetant
des cris d’orfraie !... la forme géométrique des molécules d’eau étant en relation directe avec son action
sur le vivant !... les résultats en la matière venant confirmer ceux des radiesthésistes...
La mémoire de l'eau...
Et voilà que sur ces entrefaites, Masaru Emoto a mis au point avec son équipe une
méthode d’observation par la photographie des cristaux d’eau gelés, puis le
Professeur Luc Montagnier, qui n'est pas n'importe qui, est venu jouer les trouble-
fêtes et ose prouver et réhabiliter Jacques Benveniste qui fut si décrié pour la
fameuse mémoire de l'eau !...
Écoutons également le professeur Marc Henry, l’eau et l’électromagnétisme : l’eau
aurait-elle une mémoire ?
Le Pr Montagner en remet encore une couche, il prouve maintenant que l'ADN
émet des ondes électromagnétiques...
Toutes ces avancées prouvant notamment la réalité de l'action de l'homéopathie, ou encore des effets des
rayonnements électromagnétiques (sans oublier les antennes-relais qui sont installées sur les châteaux
d'eau)...
Ouh !... les vilains canards, c'en est trop !...
L'eau dans tous ses états...
L’eau est un élément essentiel à la vie, près de 60 % du corps humain est constitué d’eau, ce qui correspond
à peu près à 42 litres chez une personne de 70 kg, ce pourcentage atteignant même environ 78 % à la
naissance...
Cette eau n’est cependant pas répartie uniformément dans le corps, certains organes en contiennent plus
que d’autres, par exemple :
Dans les poumons : 90 %,
Le sang : 83 %,
Le cerveau : 70 %,
Le muscle lisse : 75 %,
Les os : 22 %,
Les tissus adipeux : 10 %.
Ainsi, l'eau n'en finit pas de nous étonner... chacune de nos cellules baignant dans l'eau, d'où l'importance
de sa qualité...
Intéressons-nous à l’eau sous son aspect géobiologique...
Sans eau, il n'y a pas de vie, énoncer cette vérité peut paraître simpliste, et pourtant c'est la base de
tout, l'eau est chargée de toute la mémoire du monde... sans eau, il n'y a pas d'énergie, par ses propriétés
électromagnétiques particulières, l'eau intervient dans le processus d'échange et de transfert des
énergies... c'est elle qui relie dans la nature vivante toutes les particules entre elles, et l'on sait
aujourd'hui qu'elle est capable de conserver ses propriétés ou d'en acquérir de nouvelles, selon la manière
dont elle circule.
C'est la molécule d'eau qui met en résonance la terre et le cosmos...
Sans eau, il n'y a pas d'informations, tout évènement, tout atome, toute planète, tout être vivant étant
inter relié à l'ensemble du Cosmos et de l'Univers, et l'eau dont nous sommes constitués n'échappe pas à
ce phénomène de résonance...
Ainsi, les composants biomagnétiques de la pierre ou de l’eau d’une source entrent en résonance, en
syntonie harmonique avec l’eau de nos cellules, la molécule d’eau est en permanence en échange avec nous,
c’est bien la molécule d’eau qui met l’humain en relation avec le cosmos...
N'oublions pas non plus son aspect symbolique...
Fontaines et sources guérisseuses...
Les eaux souterraines proviennent des eaux de pluie qui s’infiltrent dans le sol par
gravité dans les pores, les microfissures et les fissures des roches, humidifiant des
couches de plus en plus profondes jusqu’à rencontrer une couche imperméable, où elles
vont s’accumuler, remplissant le moindre vide, saturant d’humidité le sous-sol, et
former ainsi un réservoir appelé aquifère.
La nappe cheminant en sous-sol sur la couche imperméable en suivant les pentes,
parfois pendant des dizaines, voire des centaines de kilomètres avant de ressortir à
l’air libre, pour venir alimenter une fontaine, une source ou un cours d’eau.
Les eaux de sources sont celles qui se rapprochent le plus de la définition de l'eau parfaite selon les
critères de la Bioélectronique de L-C Vincent, dans tous les cas dans leurs versions naturelles à la source,
car une fois mises en bouteilles, les choses se compliquent...
L'eau vivante...
Actuellement, le seul critère légal admis par les autorités sanitaires pour qualifier une eau destinée à la
consommation humaine dont l'eau alimentaire, est celui de la potabilité, cette qualité d'eau reposant sur
des paramètres physico-chimiques, microbiologiques et organoleptiques, ceux-ci étant variables d'un pays à
l'autre et évolutifs (renforcement des normes par l'application de Directives Cadres Européennes), ces
critères de potabilité de l’eau se limitent à des critères physiques, certes importants, mais c’est oublier la
qualité “vitale” de l’eau, qui peut se mesurer...
Nous sommes tellement habitués à utiliser de l'eau, à savoir qu'elle est indispensable à la vie, que la
question de sa qualité nous semble aller de soi.
Nous ne voulons pas d'une eau contaminée par des micro-organismes générateurs de maladies ou polluée
par des pesticides ou des nitrates, mais cette eau dite potable peut être de qualité très variable, des
mesures, des images peuvent en effet révéler des différences quantitatives et qualitatives en rapport
avec la vitalité de l'eau et son effet sur la santé.
L'eau structurée...
Aujourd'hui, un nombre croissant de personnes prend conscience à des degrés
variables du lien entre la qualité de l'eau consommée et la santé, de ce constat
naît une double interrogation : quels critères retenir pour définir une eau
alimentaire, et partant, quelle eau boire au quotidien ?...
À la notion de potabilité, certains scientifiques et médecins en ajoutent deux
autres : la pureté et la structuration de l'eau... ces trois facteurs constituant
le fondement du concept sanitaire plus global de bio-compatibilité de l'eau.
Selon par exemple la Bioélectronique de Louis-Claude Vincent, les
caractéristiques d'une eau bonne à boire sont les suivantes :
PH légèrement acide (entre 5 et 7),
RH2 entre 24 et 28,
Résistivité entre 6.000 et 100.000 Ohms (minéralité inférieure à 120 mg/litre).
Le dernier facteur, objet de débats encore confidentiels, porte le qualificatif de “structuration”,
“dynamisation”, “revitalisation” de l'eau.
Pour le mettre en œuvre, de nouvelles technologies du traitement de l'eau sont apparues depuis 15 ans,
notamment aux Etats-Unis, l'eau issue de ces techniques étant dénommée indifféremment eau altérée, eau
modifiée ou eau structurée, dénommée ci-après “PSE” (Procédé de Structuration de l’Eau)...
L'eau et la santé...
Globalement, les eaux de sources en bouteille sont bien mieux notées que les eaux
minérales du fait de la conjonction de plusieurs facteurs :
Le pH est moins élevé et tend vers l'acidité plutôt que l'alcalinité,
L'eau est légèrement réductrice (rH2 inférieur à 28),
Elle doit selon la législation être conforme aux critères de potabilité (ce qui
n'est pas le cas des eaux minérales),
Elle est nettement moins chargée en minéraux, avec un taux de résidus à sec
inférieur à 150 mg / litre.
C'est une eau au goût "nature" qui provient de sources de surface (et non souterraine), idéalement d'un
terrain granitique ou volcanique.
Elle peut généralement se boire au quotidien, mais n'est pas forcément exempte de pollution car elle reste
sujette à la problématique des bouteilles en plastiques, et dans l'idéal, elle devrait être redynamisée et
revitalisée avant de la consommer.
En soi, toute eau pourrait être considérée comme "thérapeutique", dans la mesure où "notre corps réclame
de l'eau" (pour reprendre l'ouvrage du Dr. Fereydoon Batmanghelidj) et il en a besoin pour assurer son
homéostasie et son métabolisme.
Dans les faits, la plupart des eaux sont cependant "mortes" et une bonne proportion est également polluée,
soit par des minéraux non-assimilables par l'organisme, soit par divers polluants.
Selon les normes en vigueur, une eau est donc dite "thérapeutique" ou "médicinale" lorsqu'elle possède des
propriétés reconnues et documentées, liées à sa composition spécifique en sels minéraux et en oligo-
éléments et qu'elle a obtenue l'aval de l'Académie de Médecine, elle doit en outre surgir du sol à une
température supérieure à 20°C.
Il est ainsi possible de distinguer plusieurs catégories d'eaux thérapeutiques :
Les eaux sulfurées : du fait d'un taux élevé de soufre et d’acide sulfhydrique, ces eaux sont
indiquées pour le traitement des infections chroniques aux muqueuses et les affections
respiratoires (rhinites, otites, asthme, bronchites).
Les eaux sulfatées : fortement chargées en soufre, qui conviennent pour les affections de reins.
Lorsqu'elles renferment également du calcium et du magnésium, elles pourront également
intervenir dans le traitement des eczémas et des séquelles de brûlures.
Les eaux chlorurées : chargées en chlorure de sodium, elles ont un effet stimulant sur la
croissance et sont donc préconisées dans le traitement des troubles du développement.
Les eaux bicarbonatées contiennent du... bicarbonate... en y ajoutant du sodium, s'adressera
aux troubles de la digestion (affections gastro-intestinales et hépatobiliaires). Avec du calcium,
on obtiendra un effet anti-inflammatoire pour traiter les maladies de la peau, l'acné ou les
brûlures.
Les eaux oligo-métalliques faiblement minéralisées : riches en cuivre, elles sont indiquées en
dermatologie. Riches en fer, elles sont utilisées pour le traitement de l’anémie. Riches en arsenic,
elles interviennent dans le traitement des allergies.
Qui dit "thérapeutique" dit thérapie et surveillance médicale, dans le cadre d'un traitement lambda, il
pourra être conseillé (par un médecin) de consommer telle ou telle eau sur une durée déterminée,
typiquement de 21 jours au maximum.
Avec une précision essentielle de Roger Castell dans son livre sur la Bioélectronique Vincent : "Utiles à la
source et sous surveillance médicale, elles perdent le principal bénéfice pour la santé: la propriété
réductrice, dès la sortie du griffon"...
Du point de vue de la santé... l'eau est le seul liquide vraiment idéal pour notre corps,
constituant environ 70 % de notre masse corporelle et 85 % des tissus de notre cerveau, elle
correspond aux nécessités profondes de notre organisme, son rôle est donc fondamental pour
préserver la santé puisqu'elle intervient dans toutes les fonctions de l'organisme : la
digestion, la circulation, la régulation de la température, l’élimination, les échanges
cellulaires…
Par la respiration, par la transpiration, par les urines… chaque jour notre corps perd beaucoup
d'eau, ces pertes pouvant atteindre 4 à 5 litres en cas de forte sudation, quand la
concentration en eau de notre organisme diminue, le sang devient plus visqueux et la
sensation de soif apparaît, des cellules spécialisées du cerveau réagissant alors en stimulant
la sécrétion de diverses hormones incitant les reins à retenir l'eau, la soif signalant un début
de déshydratation…
La question se pose donc de savoir si toutes les eaux sont valables pour préserver notre
santé, et la réponse sera différente selon le point de vue envisagé...
L'eau potable selon les normes officielles… actuellement, l’eau potable n’existe pratiquement
plus à l’état naturel en France, le terme eau potable étant maintenant remplacé par le sigle
EDCH (eau destinée à la consommation humaine) qui concerne toutes les eaux, à l’exception
des eaux minérales naturelles, selon le CNRS (le Centre National de la Recherche
Scientifique), cette eau doit être "une eau propre à la consommation humaine que l’on peut
boire sans risques pour la santé...".
Afin de définir précisément cette notion, des normes ont été établies fixant les teneurs
limites à ne pas dépasser pour un certain nombre de substances nocives, le fait qu’une eau
soit conforme aux normes ne signifiant toutefois pas qu’elle soit exempte de matières
polluantes, mais que leur concentration a été jugée suffisamment faible pour ne pas mettre
en danger la santé du consommateur.
Un récent rapport de l’IFEN (l’Institut Français de l’Environnement) indique que 96 % de nos
rivières et 61 % des nappes phréatiques sont contaminées par les pesticides, les nouvelles
molécules utilisées agissant à très faibles doses et sont quasiment indétectables, elles
conservent néanmoins toute leur toxicité…
D’après le Pr Belpomme, célèbre cancérologue "ce n’est pas la dose qui fait le poison, mais la
répétition d’une dose même infiniment petite tout au long de la vie...", pour lui, il est
scientifiquement prouvé que certaines molécules perturbent le système endocrinien, non
biodégradables, elles s’accumulent dans la graisse humaine et se transmettent notamment de
la mère à l’enfant...
L'eau biocompatible… en biologie, il existe deux grandes qualifications des êtres vivants :
Les autotrophes (les plantes, les végétaux et les micro-organismes), qui ont seuls la
possibilité d’assimiler directement les minéraux,...
Les hétérotrophes (dont nous sommes ainsi que les animaux), sont incapables
d'assimiler directement les minéraux s'ils ne sont pas transformés au préalable par les
plantes et les végétaux, les légumes, les fruits, les céréales,...
On évitera de boire régulièrement des eaux fortement minéralisées, l’idéal serait de choisir
des eaux dont le poids de résidus secs à 180° est inférieur à 150 mg/l, (la consommation
d'une eau totalement dépourvue de sels minéraux, pouvant néanmoins nuire à la santé, on
pourra donc admettre, avec une bonne marge de sécurité, qu'une eau contenant environ 10
mg/l de sels minéraux est déjà bien structurée tout en étant bio-assimilable), avec une
exception, la prise au griffon directement à la source, dans le cadre d’une cure médicale
ponctuelle.
Le Pr Schroeder a ainsi démontré que nous n’assimilons qu’1% au plus des minéraux contenus
dans l’eau, et que ces minéraux non assimilables encrassent notre organisme, faits qui ont été
confirmés par le Pr Degrez, selon lequel le calcium de l’eau ne peut être absorbé par
l’intestin… le Dr Damoor avait lui, dès 1917, démontré que les sels minéraux absorbés avec
l'eau de boisson prennent le chemin des urines dans la demi-heure qui suit leur absorption, si
on perfuse un rein avec de l'eau chargée en minéraux celui-ci gonfle, la membrane rénale
permettant l'élimination des toxines se ferme et l'organisme s'encrasse…
Pour obtenir de l'eau pure, qui n’est en fait jamais pure à 100% car elle contient toujours
divers corps en solution ou en suspension, il existe 3 techniques principales :
L'osmose inverse... qui est, de toutes les méthodes de purification actuelles, le procédé
le plus avancé et le plus efficace. Dans la nature, c'est par osmose que les racines
d'une plante puisent l'eau et les matières nutritives dans le sol, de même pour la
nutrition de nos cellules par un échange continu avec le milieu extérieur, c'est aussi par
ce procédé que nos reins filtrent et purifient le sang, la purification de l'eau par
l'osmoseur utilise le procédé inverse.
L'eau d'adduction est filtrée par la pression au robinet à travers une membrane semi-
perméable, c'est l'osmose inverse, d'une extrême finesse (0,0001 micron), cette
membrane ne laissant passer que les molécules d'eau et quelques minéraux et rejette
tous les éléments indésirables: chlore, nitrates, dioxine, amiante, calcaire, métaux
lourds, bactéries, parasites et même virus dont la taille est d'environ 0,1 à 0,2 microns,
l'eau à la sortie d’un osmoseur est d'une grande pureté, d’une qualité proche de celles
des eaux de source de montagne...
Selon les données de la Bio-Électronique, elle a un pH inférieur à 7, un rH2 compris
entre 23 et 28, une résistivité d'environ 45.000 ohms/cm, une minéralisation minimum
de 10 mg/l et elle dissipe une énergie comprise entre 3 et 30 μWatts ce qui permet un
fonctionnement optimal des reins.
Les filtres à charbon actif et les carafes avec résine... qui permettent de retenir de
nombreux polluants, généralement, ils éliminent tout le chlore, 80% des nitrates et des
métaux lourds, 50% du calcium, malheureusement l'efficacité de ces filtres diminue
très rapidement et peut devenir un nid à bactéries.
L'eau distillée (ou bidistillée)... qui est obtenue par condensation de la vapeur grâce à
un distillateur (ou un bidistillateur), cette eau ultra purifiée présente une résistivité
de 1 million d'ohm/cm, elle possède un pouvoir happant extraordinaire permettant de
dissoudre les cristaux et d'arracher les toxines pour les entraîner vers les reins, elle
permet donc de réaliser une épuration du sang, un rinçage des vaisseaux sanguins et un
nettoyage complet des cellules de l'organisme, il conviendra toutefois de ne pas
effectuer une utilisation abusive d'une telle boisson en raison d’un risque de forte
déminéralisation.
Dynamisation, vitalisation, information...
On parle de vibrer, vitaliser, dynamiser, magnétiser, informer l’eau... qu’en
est-il ?, nous allons essayer de débroussailler le terrain...
Citons tout d’abord le moyen naturel et gratuit, le soleil et la lune... les maraîchers
ont l’habitude de laisser l'eau destinée à l'arrosage se chauffer au soleil, car ils
savent par expérience qu'ainsi, elle sera beaucoup plus "bio-active"...
C'est ainsi qu'on voulut expliquer cette amélioration de l'eau d'arrosage par son
élévation de température, Marcel Violet, grand expert en la matière, s'empressa cependant de faire
remarquer que l'eau d'arrosage chauffée artificiellement n'avait pas à température équivalente manifesté
les propriétés de celle réchauffée au soleil, évidemment, comme l'eau restait dans le bassin durant la nuit,
elle recevait également les rayonnements lunaires.
L’importance de l'environnement sur la qualité de vie
Selon le lieu sur lequel est implantée une habitation, différents rayonnements ambiants difficilement
détectables par nos sens, peuvent générer un stress géopathogène susceptible d'exercer une influence sur
l’équilibre et le bien-être de ses occupants.
C’est ainsi que selon chaque sensibilité particulière... pourront se manifester une fatigue,
une irritabilité, des maux de tête, des nausées, un sommeil perturbé, un sentiment d'inconfort, des
difficultés de concentration, une perte de mémoire, des perturbations visuelles ou auditives... ou encore
des vertiges... jusqu'à des pathologies plus lourdes...
Quelle peut être l'origine des nuisances ?
Provenant du sous-sol (géopathogènes)...
Une veine d'eau souterraine, qui en circulant créent des zones d'influence néfastes, ou
encore une nappe phréatique.
Une faille géologique, un des phénomènes géologiques le plus perturbant.
Une présence de minerais.
Un croisement de réseau géomagnétique, auxquels nous pouvons un jour ou l'autre nous
trouver confrontés.
Et aussi, du radon, un gaz radioactif qui pourra être présent selon la région.
Ou encore une galerie souterraine, une ancienne cave, une cavité, une ancienne carrière ou une
champignonnière désaffectées.
On pourra également trouver des ossements (à l'emplacement d’un ancien cimetière, par exemple,...)
On notera que lorsque plusieurs perturbations se superposeront, elles génèreront un effet cumulatif
qui pourra s’avérer particulièrement préjudiciable.
Des origines artificielles générées par l'activité humaine...
Les différents rayonnements électromagnétiques qui deviennent chaque jour de plus en plus
importants et qui augmentent en fréquence.
La nature des matériaux employés, l’installation intérieure, sans oublier ce qu’il est convenu
d’appeler la pollution intérieure.
Un (ou des) volumes bouché(s), ou l’air est confiné et vicié : comme par exemple, un placard, un
réduit ou une cheminée bouchés.
Des masses métalliques et ferromagnétiques situées dans le sous-sol, dans la cave, le vide
sanitaire ou bien le grenier, ou encore la voiture stationnée dans le garage à l'aplomb du lit
dans la chambre, par exemple.
Ou une fosse d’aisance, une citerne de fuel, une (ou des) canalisations (eau, gaz,...).
Amiante, plomb, composés organiques volatils, formaldéhyde, émissions de champs électromagnétiques... au
cours des dernières décennies, nous avons sous-estimé les conséquences des nouvelles techniques de
construction, des différents matériaux et produits utilisés, et aussi des évolutions technologiques
employées, qui ont fortement transformé nos habitations et lieux professionnels...
Passant 80 à 90 % en moyenne de notre temps à l'intérieur d'espaces clos (lieux de vie privés,
professionnels, commerces, école...), nous prenons aujourd’hui conscience des différents composants qui
constituent nos lieux de vie, devant l'émergence de nouvelles pathologies dites "maladies de civilisation" :
stress, fatigue chronique, mal-être, insomnies...
Comment obtenir un Habitat sain ?
Un habitat générant confort, bien-être et santé tout en préservant la planète ?...
Réduire et limiter l'impact des émissions de champs électromagnétiques ?..(1)
Préserver votre santé en employant des matériaux qui ne rejettent pas de produits
toxiques et favorisent un lieu de vie plus sain ?...
Reconnaître et traiter une éventuelle présence de radon ?..(2) Quels gestes simples appliquer pour contribuer au quotidien à "dépolluer" votre intérieur
?...
(1) L’électricité fait partie intégrante de notre environnement... elle a pris dans notre vie quotidienne une
place considérable, les sources de rayonnements électromagnétiques artificiels se multiplient
constamment, tant en fréquence qu'en intensité, nous pouvons parler de véritable brouillard
électromagnétique, ou "électrosmog"...
Le constat
Nous baignons quotidiennement dans un véritable cocktail de
fréquences...
Invisibles (?...), silencieux, inodores, ces rayonnements sont
omniprésents tout autour de nous...Sont-ils réellement neutres ?...
Des ondes préoccupantes...
Tout est ondes... la vie est de nature vibratoire... les ondes sont les messagères de la communication entre
l'Univers et le Vivant...
Nous sommes traversés en permanence par des ondes
qualifiées de naturelles, qui nous sont-elles, bénéfiques et
indispensables, et des rayonnements d'origines artificielles
créés par notre monde moderne et que notre société produit
de plus en plus...
Les fréquences utilisées qui se multiplient aujourd’hui étaient absentes du champ magnétique terrestre, on
peut donc dire que l’augmentation de ces fréquences est venue perturber notre environnement
électromagnétique naturel...
Rien d'étonnant à ce qu’elles perturbent également les réactions de nos organismes et leurs rythmes
biologiques qui avaient eu des millénaires pour s’adapter à leur environnement naturel, et se sont retrouvés
brusquement confrontés à ces rayonnements...
Le développement exponentiel de ces technologies nous plonge de fait dans un immense four à micro-ondes
sans que nous ayons le choix de nous en extraire, et qui pourrait bien voir leur innocuité remise en question
dans les temps à venir, concernant notamment les électro-hyper-sensibles ou EHS (désignant les personnes
dont l'intolérance aux ondes électromagnétiques devient pathologique)...
Tel un ballet d'électrons, un jeu incessant se danse ainsi à chaque instant autour et à travers nous, avec
des "collisions" invisibles qui déposent leurs empreintes sur nos corps d'énergie.
Comment ne pas être perturbé par ce treillis invisible ?...
La Géobiologie permet de mettre en lumière ces réseaux d'ondes qui exercent une influence sur nos
habitations, notre environnement, et bien sûr, sur nous-mêmes... dans une démarche d’assainissement de
l’habitat, en corrigeant ces informations perturbantes qui créent un désordre (ou entropie), elle permet de
ramener l'ordre (ou néguentropie), et de favoriser un retour à l’équilibre...
Ainsi, la Géobiologie prend en compte certaines pathologies, qu'elle ne prétend pas soigner ou guérir, ce qui
est le rôle du médecin, mais qu'elle peut réduire en agissant notamment sur l'aspect informationnel, il
s'agit d'une action complémentaire qui permet d'apporter une aide significative, tant dans la prévention,
que dans l'accompagnement vers le retour à l'équilibre et à l'harmonie.
Ondes et information...
S'appuyant sur la compréhension de phénomènes physiques d'avant-garde, la physique quantique et sub-
quantique ainsi que la connaissance des ondes scalaires, des avancées ont été réalisées depuis le début du
siècle dernier, notamment par Nikola Tesla, Schrödinger, Georges Lakhowsky, Karl Pribram, Étienne Guillé,
ou encore Régis Dutheil, Pinel, Fritz Popp...
On parle alors d’ondes scalaires ou de champs de torsion...
C'est Nikola Tesla qui a découvert les ondes scalaires vers 1890, il parlait lui, d'ondes ou de champs de
torsion, et c'est un éminent scientifique russe, le Dr Kozyrev (1908-1983), qui a ensuite prouvé l’existence
de cette énergie dite de torsion, puisqu’elle est produite par rotation, ces champs de torsion ou ondes
scalaires accompagnant tous champs électromagnétiques :
naturels, générés par exemple, par une faille géologique, ou une veine d'eau souterraine,
mais aussi les champs artificiels basses et hautes fréquences.
Et il semblerait que ces "informations" viennent se surajouter aux influences physiques (effets thermiques
et athermiques), et nous perturbent au niveau physiologique par le fait que ces champs sont lévogyres, soit
qu'ils girent dans le sens contraire des aiguilles d’une montre, et donc de sens contraire à l’ADN de nos
cellules...
À gauche : lorsque deux ondes de même fréquence sont émises sans
être décalées, on dit qu'elles sont en phase, qu’elles s'additionnent et
qu’elles s'amplifient...
À droite : lorsque deux ondes parallèles de même fréquence sont
décalées de 180°, elles s'annulent l'une l'autre, ce qui est le cas des
ondes scalaires, ou champs de torsion, qui, par paires de vagues
identiques, sont en phase dans l'espace, mais déphasées
temporellement de 180°.
Les assureurs observent le principe de précaution...
Conscients des risques, les assureurs ont pris les devants et ils ont modifiés leurs contrats en excluant des
conditions générales et particulières les dommages de toute nature causés par l'amiante, le plomb, les
champs et les ondes électromagnétiques, le formaldéhyde, ainsi que les dommages résultants de
l'utilisation ou de la dissémination d'organes génétiquement modifiés (OGM).
Ainsi, sous la pression des compagnies de réassurance, les assurances professionnelles et industrielles en
responsabilité civile (R.C.) ont assortis leurs polices de certaines clauses d’exclusions particulières :
Les dommages causés par tout fait ou succession de faits de même origine, dès lors que ce fait ou
ces faits ou certains dommages causés proviennent ou résultent de toutes sortes de radiations
ionisantes, des propriétés radioactives, toxiques, explosives ou autres propriétés dangereuses des
combustibles nucléaires, produits ou déchets radioactifs.
Les dommages immatériels non consécutifs.
Tous les dommages, pertes, frais ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou
indirectement par, résultant de, ou lié de quelque manière que ce soit aux champs
électromagnétiques (EMF).
Tous les dommages, pertes ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou
indirectement par, résultant de, ou lié, de quelque manière que ce soit à l’encéphalopathie
spongiforme transmissible (TSE) en ce compris dans sa manifestation chez l’homme.
(2)
Ce qu'on observe
Le radon, principalement produit par la désintégration du radium présent dans
la croûte terrestre, est un gaz radioactif qui appartient à la famille des gaz
rares comme l’hélium, le
néon ou le krypton, il en possède les propriétés chimiques : inodore, incolore,
sans saveur, ne réagissant pas chimiquement avec les autres éléments, en se
décomposant, ce gaz, provoquant une radioactivité vingt fois plus dangereuse
que les rayons gamma, pourra être présent selon la région...
Ces radiations émanées ne sont pas pénétrantes, mais elles se déposent néanmoins sur les matériaux
qu'elles rencontrent, ses particules radioactives se fixent sur les murs, les planchers, les plafonds, mais
également sur les poussières en suspension dans l'air respiré, ces poussières pouvant devenir prisonnières
de nos alvéoles pulmonaires, on comprend qu'une exposition prolongée à de telles émanations puisse
présenter un risque non négligeable.
Pour pénétrer dans un habitat... le radon s’accumule dans tous les espaces qui sont peu ou mal aérés,
comme les cavités naturelles, mais aussi, ce qui nous préoccupe, dans les habitations, il provient
principalement du sous-sol, s’infiltrant par les roches, les failles ou encore les eaux souterraines, plus le
sol est fracturé, plus le radon peut accéder à la surface du sol car il traverse difficilement l'argile, il
s'infiltre alors via le sol (par exemple une cave en terre battue), les fissures, les murs, les joints, les
canalisations, toutefois, sa densité plus lourde que l'air ne lui permet pas d'accéder aux niveaux
supérieurs.
Comment savoir si votre habitat est exposé au radon ?
Dans les régions à risques, les mairies sont susceptibles de fournir les renseignements sur la démarche
d'un dépistage, au cas contraire, il conviendra de se renseigner en préfecture ou auprès de la DDASS.
Une présence de rayonnements Alpha indiquera souvent une présence de radon.
Pour savoir plus précisément si vous êtes exposé dans votre habitation, il sera nécessaire de mesurer la
concentration moyenne du radon dans l’air à l’aide d’un dosimètre passif qui est un film sensible
enregistrant les désintégrations radioactives des atomes de radon, les mesures seront préférentiellement
réalisées entre le 1er Octobre et le 1er Avril, période où les pièces du logement sont généralement moins
aérées.
Pour ce faire, de préférence plusieurs dosimètres devront être exposés pendant une période d’environ
deux mois en évitant les longues périodes d’inoccupation, très faciles d’emploi, ils seront disposés dans les
pièces où vous séjournez le plus longtemps et situées au rez-de-chaussée (les chambres, la salle de séjour,
la concentration de radon étant d’autant plus élevée que la pièce est proche du sol).
Des phénomènes particuliers...
Une "mémoire des murs", qui conservent imprégnées les informations de leur passé...
Des énergies "rémanentes", des phénomènes paranormaux ou des sensations de "présences"...
Ou bien un (ou des) miroir(s), certains tableaux, certains objets, ou certaines statuettes
"chargés",...
Aborder un sujet aussi "particulier" pourra paraître surprenant et pourra choquer certain(e)s... et
pourtant...
Les cartésiens "purs et durs" (je ne crois que ce que je vois, ce que la science n'explique pas n'existe pas
?!...), ainsi qu'une grande partie des professionnels de la santé, vont simplement rire et hausser les épaules
avec dédain et une certaine compassion, ce que je déplore sincèrement, des réflexions, des échanges
s'avérant toujours intéressants et bénéfiques, nous ignorons, nous refusons, et nous occultons, (souvent),
ce "monde subtil", il n'en fut cependant pas toujours de même...
Quand on aborde ce sujet, les réactions sont très variées et souvent fort différentes, pour beaucoup
c'est le rejet immédiat, presque apeuré, c'est un sujet tabou qu'il est interdit d'aborder, c'est "jouer
avec le Diable"... on n'en parle pas !... d'autres se posent en "initiés" possédant les secrets divins, parlant
de "complot mondial occulte" et mélangeant allègrement extra-terrestres envahisseurs, "bas-astral",... la
grande majorité vous regarde d'un air ahuri... de quoi il parle ?... il délire ?!...
Il y a quelques années, tout en étant conscient de l'existence de ces phénomènes, j'aurais certainement
moi-même haussé les épaules, car je ne me sentais pas vraiment concerné, et cela me paraissait très
"abstrait", mais au fil du temps... de mes recherches... des témoignages et certaines circonstances
"bizarres" ?... m'ont amené à modifier mes points de vue...
Je tiens à souligner que je ne désire faire entrer ici aucune considération métaphysique "pratique" ou
religieuse, je souhaite simplement rester le plus strictement "technique" possible, loin de l'ésotérisme
facile, et dans le respect de chaque croyance...
Grosso-modo, on pourrait classer ainsi ces énergies subtiles, que l’on appelle aussi l’irrationnel ou encore
phénomènes paranormaux :
Une mémoire des murs et des lieux
Tout ce qui se déroule dans un bâtiment crée des ondulations, à la manière d’une pierre que l’on jette dans
une mare, et qui imprègnent au fil du temps les lieux de vie d’énergies négatives (ou positives), tout
évènement accompagné d’émotions fortes, positives ou négatives s’y impriment avec plus ou moins
d’intensité.
Ainsi, dans un habitat perturbé, on remarque des endroits où l'on se sent bien, et d'autres, au contraire,
que l’on n’aime pas fréquenter, les animaux sont eux très sensibles à de tels phénomènes, ce qui peut les
conduire à ne pas vouloir pénétrer dans certaines pièces, ainsi, après "correction" appropriée, on observe
la plupart du temps que ces derniers les "réintègre" sans crainte, qui sait réellement ce qui s’est passé là
où il(elle) vit ?...
Ces formes de nocivités étant plus subtiles et donc moins faciles à mettre en évidence, il pourra par
exemple s’agir d’un lieu historiquement chargé, qui pourra émettre des énergies perturbatrices... ou des
émotions ressenties par les personnes qui ont construit l'habitation..., qui l'ont rénovée..., par les habitant
précédents..., par les occupants actuels, ainsi que leurs invités..., qui laissent ainsi des résidus émotionnels
et imprègnent l'énergie du lieu...
Ce pourra aussi le cas de maisons dites "maudites" ou "hantées", ou les résidents successifs rencontrent
des soucis dans leur vécu...
C’est ainsi qu’on pourra retrouver des pièces malsaines, là où par exemple des grands malades ont passé de
longues heures de souffrances, et dont les murs en ont absorbé la douleur, voire la maladie, ces
imprégnations, certes invisibles... impalpables... marqueront cependant de leur empreinte le lieu, et la pièce
rayonnera cette souffrance emmagasinée... pour la restituer longtemps après... les occupants qui
succéderont pourront être fortement perturbés par ces rayonnements ambiants...
Le contraire sera heureusement également vrai, des lieux où se sont déroulés des évènements heureux,
rayonneront une ambiance vibratoire positive... ainsi, les maisons où des familles ont vécu dans la joie et le
bonheur, irradieront bénéfiquement les occupants suivants, qui s'y trouveront également heureux.
Des "présences"...
Parfois, à leur décès, ne pouvant quitter leurs biens matériels qui représentait tout pour eux, certains
esprits que l'on appelle encore "âmes errantes" ou bien "entités", errent dans leur maison occupée par "des
étrangers", et où ils ne reconnaissent plus rien, cherchant alors à chasser ces usurpateurs de "chez eux"
par tous les moyens qui leur sont possible pouvant "parasiter" certains des nouveaux occupants.
Il pourra s’agir de personnes de l'entourage proche récemment décédées qui veulent juste que l'on soit en
paix, que l'on comprenne qu’ils vivent toujours, mais "sur un autre plan", que tout va bien pour eux et qu’il
ne faut pas que l'on soit triste et malheureux, que la mort n’est pas une séparation définitive, mais juste
un éloignement temporaire...
Il arrive aussi que "ces personnes" viennent pour nous soutenir, pour nous donner de la force, face à nos
épreuves ou un désespoir, ou tout simplement pour nous rendre une "visite", ou encore pour que nous
délivrions à leur place un message, ou que nous fassions une chose qu’ils n’ont pas eu le temps de finir et qui
est importante à leurs yeux, ouvrons ici une parenthèse pour dire aussi que le fait d’être déchiré lors de
l’épreuve d’un deuil (qui est légitime bien évidemment), empêche involontairement (ou volontairement) ces
êtres cher de partir vers l’au-delà et de continuer leur chemin, car nous les retenons dans notre monde par
la pensée, ce qui n’est pas bon pour eux et qui les rend "prisonniers" de ce monde qui ne leur convient plus.
Il pourra arriver encore que ce soit simplement un esprit ayant besoin de notre aide pour "partir" vers la
lumière, ou encore parce que nous habitons la même maison que lui, il pourra arriver aussi que ce soit un
mauvais esprit qui ne veut pas de nous dans "sa" maison.
Pour de multiples raisons, ces "entités" sont en général des esprits "désincarnés" malheureux, "des âmes
errantes" qu'il ne faut pas craindre, mais aider en les respectant, car ils sont obligés de "s'accrocher" sur
des points particuliers ainsi qu'aux vivants pour pouvoir subsister dans cette attraction terrestre, et pour
ce faire ils "pompent" l'énergie des lieux ou des personnes, jusqu'au jour, où pour favoriser leur libération,
on leur apporte une aide et un regain de cette énergie qui va leur permettre de "s'arracher"
définitivement à cette attraction magnétique.
Les cheminées cosmo-telluriques
(Re)découvertes par Guy Tison de Bourges dans les années 1950, les cheminées cosmo-telluriques
constituent un phénomène particulier de la géobiologie.
Appelées autrefois "ronds de sorcières", elles étaient utilisées lors de cérémonies magiques, l’abbé
Mermet célèbre radiesthésiste, avait remarqué lui, la présence de colonnes verticales dépassant la hauteur
humaine et émettant une radiation particulière.
Sous le pseudonyme de Matgioi, Albert de Pouvourville, gouverneur colonial au Tonkin, parlait alors
d’influences "errantes" dans sa traduction des écrits de Lao-Tseu qui vivait en Chine ancienne 570/490
avant notre ère...
Et aussi les objets "chargés"
Il nous faut parler aussi des objets "chargés", qui sont imprégnés de l’énergie dégagée par les évènements
qui les entourent, un objet acheté d’occasion, par exemple, conservera longtemps les traces de l’énergie de
son ancien propriétaire, ou de son concepteur...
C'est ainsi qu'après avoir effectué "un nettoyage" et "une correction" des lieux..., on constate
généralement que ces phénomènes perturbateurs disparaissent, et que l'on observe couramment des
améliorations de l'état physique ou psychologique, et aussi de la qualité du sommeil des personnes qui y
vivent...
D'autres facteurs auront eux aussi leur importance...
Les formes
Les émissions dues à certaines formes...
Les émissions d’ondes de forme occupent une place à part parmi les différentes manières d’aborder la
Géobiologie.
Toutes les formes émettent des ondes, leur action et leur puissance dépendant de la
forme elle-même, notre quotidien est peuplé de formes qui rayonnent chacune une
énergie spécifique et influent constamment notre quotidien, nous retrouvons ces
formes géométriques dans la nature : le cercle, le carré, la spirale, le triangle, l’étoile...
certaines formes ayant été nourries au sein de traditions ancestrales jouissant d’une
grande force : citons le yin-yang taoïste, la croix ansée égyptienne, ou encore le sceau
de Salomon, pour les plus connues...
Prenez une feuille de carton et construisez un modèle réduit de la
pyramide de Chéops, en respectant bien les mesures et les
proportions... Orientez votre structure sur le nord magnétique, ou
plus précisément, sur son nord de forme...
Disposez au centre une simple boîte d'allumettes vide, elle-même orientée dans la même direction.
Sur ce petit socle, vous exposez un rasoir jetable usagé, et entre 48 et 72 heures plus tard, sa lame aura
retrouvé son meilleur fil… elle coupera comme une neuve, et lorsqu'elle se sera de nouveau émoussée à
l'usage, vous pourrez recommencer l'opération, jusqu'à quatre ou cinq fois...
Quelle mystérieuse énergie générée par cette structure pyramidale agit sur les molécules de l'acier avec
lequel a été fabriqué votre rasoir ?... malgré les recherches réalisées, nul n'a encore pu apporter une
réponse satisfaisante...
Avec ses étranges possibilités, la pyramide est la structure la plus connue, il en existe évidemment bien
d'autres, comportant des associations plus ou moins complexes d'angles, de sphères, de parallélépipèdes,
des cônes, ou de spires,...
Les émissions dues aux formes, pour employer le terme consacré, demeurent une énigme pour la science, et
on est bien forcé d'admettre qu'elles appartiennent sans doute à une physique encore inconnue (bien que la
physique quantique nous entrouvre la porte ?..., elle qui nous apprend que l’énergie est un support de
l’information, et qu’ainsi, chaque objet rayonne ses propres informations spécifiques...).
Ainsi, tous volumes, toutes formes, ou toutes structures, génèrent des champs d'influence qui se font
ressentir aussi bien autour d'un objet inanimé, que d'un être vivant, ces énergies étant liées à la forme et,
au premier abord, indépendantes de la nature et de la couleur de la chose qui les émet... toutes produisant
à des degrés divers des émanations énergétiques, sinon mesurables, du moins effectives.
Des simples dessins à deux dimensions, à condition d'obéir à des règles d'exécution et de mise en œuvre
bien précises, sont susceptibles de générer des émissions de force identiques... ce qui permet de supposer
qu'une certaine géométrie conserve encore bien des secrets...
Largement utilisées par nos ancêtres, des Égyptiens aux Mayas, sans oublier les Chinois ou les Africains,
ces forces étaient (et sont encore) notamment employées pour mettre en vibration les mégalithes, ainsi
que tous les lieux de culte, qui utilisent pour ce faire les énergies primordiales du ciel et de la terre.
Toutes les formes qui nous entourent émettent... des lignes du paysage et de nos habitations, au moindre
objet qui nous fait face..., nous vivons ainsi à notre insu dans un bain d'ondes inconnues, c'est d’ailleurs à
l'équilibre infiniment subtil de cet environnement vibratoire que le Feng Shui consacre l'essentiel de sa
démarche...
Lors d’une étude, ses spécialistes prenant en considération tout d'abord globalement, puis, dans les
moindres détails, le tracé d'une montagne ou d'un simple coteau, les sinuosités d'un cours d'eau, le dessin
d'un feuillage contre le ciel, la pente d'un toit... ils examinent précisément tous les paramètres
formologiques du futur décor d'une maison, ou d'un immeuble.
La construction elle-même fera également l'objet de la même attention soutenue, et enfin l'intérieur, ses
angles, ses meubles, ses bibelots..., rien ne sera laissé au hasard...
Ce souci des émissions dues aux formes dans le cadre de vie expliquerait peut-être pourquoi les Asiatiques
ont beaucoup moins de mal que nous à vivre heureux et efficaces dans un environnement ultramoderne ?...
«... Il est toujours possible de corriger dans un sens bénéfique le plus mauvais Feng Shui qui soit, déclare
un maître de Hong Kong, tout comme le simple trait d'un grand artiste fait du pire paysage une œuvre
digne des dieux... il suffit de tracer ce trait... »
Quelle peut-être leur influence ?
Ainsi, une émission de forme pourra être positive, neutre, ou négative, en Géobiologie, nous utilisons
notamment les émissions positives pour rééquilibrer un lieu...
Parallèlement, nous traquons les émissions négatives rencontrées, qui peuvent être générées par exemple,
par un angle bizarre dans une pièce, ou d’un meuble, des objets tarabiscotés, des réduits clos... ou encore :
Des tableaux à fils dont chaque pointe rayonne,
Des masques africains, ou certains objets Égyptiens dont il conviendra de se méfier (comme toutes
productions d’art primitif), très esthétiques, ces objets correspondant souvent à une fonction
magique précise, et pouvant se retourner contre les habitants du lieu...
Le bâti
C’est ainsi que certaines influences plus particulièrement liées aux paramètres architecturaux, aux
couleurs, à la lumière, aux proportions, à la façon de circuler entre l’extérieur et l’intérieur et dans
l’espace, auront également leur importance.
La qualité du champ magnétique terrestre
Parmi ces éléments, la qualité de l'homogénéité du champ magnétique naturel de la terre, qui est en fait
une résultante de ces différentes influences, est un facteur fondamental dans la régulation de nos
processus biologiques, toutes perturbations (anomalies, ou variations de son intensité), entrant en
résonance favorable ou défavorable et pouvant induire des effets bénéfiques ou néfastes...
De tous temps, l'être humain a recherché comment capter, puis canaliser pour en tirer profit, les
différentes forces et rayonnements ambiants qui nous entourent, pour corriger et se protéger du flux de
certaines de "ces émanations", nos lointains ancêtres utilisaient des mégalithes, des pyramides, ou encore
des sculptures...
Grâce à la Géobiologie, nous redécouvrons les notions de rééquilibrage et de neutralisation de ces forces
qui font appel à des connaissances pluridisciplinaires...
Ainsi, c'est une véritable médecine de l'habitat qui se dégage, médecine qui a pris naissance
après la dernière guerre avec la réalisation des assainissements de première nécessité, puis
qui s'est étendue à la notion de confort thermique, acoustique, visuel, par l'éclairage
électrique et des grandes baies, et qui s'est ensuite ouverte plus largement encore à la
notion d'espace, avec la maîtrise des volumes mieux adaptés à nos activités quotidiennes...
Sur la base de ces notions, l'habitat a cependant surtout été considéré comme un élément statique
confronté à des problèmes d'ordre mécanique compensés par la résistance des matériaux, ainsi, on le
considère encore trop souvent comme une matière inerte, sans mémoire, sans histoire, et sans effets... en
d'autres termes, dans cette approche, la qualité d'un logement se résume à ne prendre en considération
que la peau et les éléments qui le constitue : les sols, les murs, les plafonds, les vitrages, ce qui est certes
une première étape, mais s'est-on suffisamment penché sur la notion de confort vibratoire ?...
La qualité du contenant invisible, du "semblant vide", que cette enveloppe renferme, étant très peu remise
en cause, et pourtant... c'est à travers ce "vide apparent" que nous évoluons et vivons en permanence...
Ce "vide apparent" se perçoit par de multiples sensations peu conscientes, mais qui selon les circonstances
nous procurent agrément ou désagrément, combien de femmes vivant en permanence dans leur foyer
ressentent des impressions d'étouffement, de lourdeurs au niveau de la tête et des épaules ou encore de
tension ou de malaises...
Comment se préserver ?...
De nombreuses expériences ont démontré qu'il est possible d'atténuer ou de compenser certains flux
potentionnellement néfastes lorsqu'ils deviennent difficilement supportables...
Sans pour autant rejeter les acquis de notre "modernisme", le but recherché sera de réduire l'impact et
les effets de ces différentes influences, ce qui est un des objectifs de la Géobiologie... ainsi, après avoir
effectué les transformations nécessaires, l’habitat et l'habitant retrouveront un bien-être et un équilibre
dans la majorité des cas.
Chaque cas étant particulier, un exemple de solutions qui permettront de réduire, voire
supprimer ces nuisances potentielles...
L'objectif visé n'étant pas de renoncer à l'utilisation des technologies qui facilitent la vie et permettent
de communiquer, mais de réduire ou supprimer certains de leurs effets ce qui est tout à fait possible et
réalisable...
Concernant les rayonnements électromagnétiques Afin d'obtenir des résultats probants, dans l'idéal il conviendra d'agir sur
plusieurs paramètres...
On s'attachera en premier lieu à supprimer, ou tout du moins à réduire les impacts de ces
rayonnements, ce qui permettra notamment d'obtenir une ambiance moins "électrique", plus
apaisée...
On modifiera les caractéristiques des champs de torsion qui les accompagnent, afin qu’ils
redeviennent biocompatibles et bénéfiques pour le vivant...
Et en complément, on agira sur le plan biologique et bioénergétique...
Les hautes fréquences
Sachant que le WiFi et les téléphones DECT sans fil sont les principales sources de pollution dans
l'habitat...
Pour le WiFi...
Il conviendra de se prémunir des rayonnements hautes fréquences (des micro-ondes
pulsées) émises par la box, mais aussi du champ électrique basse fréquence non
négligeable généré par son alimentation.
Le CPL, un moindre mal ?...
En l'utilisant judicieusement, le CPL pourra être un moindre mal dans certains cas, quand il sera
difficile d'avoir une connexion filaire avec la box, par exemple.
Afin de supprimer la pollution générée par les téléphones sans fil (DECT) qui s'avèrent souvent plus
perturbants que le WiFi, et qui rayonnent des micro-ondes pulsées, et ce, 24h sur 24...
On changera d'appareil, soit en repassant par un bon vieux téléphone filaire, ou bien en choisissant
certains types d’appareils qui n'émettent plus lorsqu'on les repose sur leur base.
Linky, Gazpar, compteurs à eau, des compteurs inquiétants...
Appelés aussi compteurs communicants, ou encore smart meter outre-atlantique, les compteurs
"intelligents" s’invitent dans nos habitations et en remettent une couche sur notre quotidien en
terme d’émissions d’ondes...
Pour une exposition aux antennes-relais, on notera que la dangerosité concerne surtout les personnes qui
se trouvent dans l’axe de l’émission, mais pas que... des solutions performantes adaptées à chaque cas
particulier existent là aussi...
Comme par exemple, appliquer sur les murs extérieurs ou intérieurs des peintures et des tissus
spéciaux.
Ou encore utiliser des rideaux spéciaux ou des baldaquins, qui feront écran.
Il conviendra cependant de tenir compte du fait que ces procédés empêchent certes les ondes artificielles
de pénétrer, mais qu'ils empêchent aussi les rayonnements générés par l’installation et les différents
appareils intérieurs de s’échapper en faisant écran, et qu'ils réduisent également le passage des
rayonnements naturels provenant de l'extérieur, qui nous sont favorables et indispensables.
Les basses fréquences
L'éloignement des sources d’émission restant la meilleure solution...
D'une manière générale, des prises, des câbles et des fils blindés, allant des prises
aux lampes et aux différents appareils, permettront d'éliminer les émissions de champs
électromagnétiques consécutifs.
Dans les chambres et les zones de repos, des bio-rupteurs auront pour propriété de
couper le circuit du réseau en 220 volts, un courant de surveillance inoffensif de
seulement quelques volts subsistant alors.
Concernant l'éclairage...
Les lampes d'éclairage et l'exemple parlant des lampes de chevet, innocents symboles "des
meilleurs moments de la journée", émettent souvent autant voire plus, même éteintes, ces
rayonnements générant "un brouillard électromagnétique" qu'il est tout à fait possible de réduire
et même supprimer...
Des lampes blindées, fabriquées avec des matériaux sains et écologiques, n'émettront
pratiquement plus de champs électromagnétiques.
Si on souhaite conserver ses lampes, on pourra utiliser un blindage, et aussi des housses pour
blinder les ampoules fluocompactes, ce qui permettra de réduire d'autant les champs émis.
Quelles ampoules ?...
Selon la configuration rencontrée, on s'attachera également à obtenir une électricité "propre" en
neutralisant la pollution harmonique...
L'électricité dite "sale" désignant l’existence d’une pollution insidieuse appelée "bruit
électromagnétique", qui est transportée par le 50 Hertz des installations électriques.
Ce type de pollution se caractérisant par la présence d'harmoniques (hautes fréquences) qui sont
captées et véhiculées par les câbles du réseau électrique, et sont notamment à l'origine des
problématiques rencontrées par les personnes électrohypersensibles.
Quand ce sera possible...
L’idéal sera de réaliser une installation électrique biocompatible.
Sur le plan biologique et bioénergétique On pourra utiliser des produits spécifiques...
Des produits CMO, qui permettront de compenser les effets des
rayonnements électromagnétiques et de restaurer les rythmes biologiques
naturels du corps humain.
De la shungite, qui possède notamment la propriété de rétablir une giration
favorable des champs de torsion.
La connexion à la terre, un élément essentiel Indispensable pour la sécurité en premier lieu, la connexion à l’énergie primordiale qui émane
de la Terre-mère, permet de rétablir et de maintenir l’état électrique naturel du corps et de
préserver ainsi sa santé et son bien-être.
La qualité de la mise à la terre de l'installation électrique est primordiale, afin que les
électrons puissent s'écouler et ne pas générer des zones de congestion.
Pour réduire les effets des rayonnements électromagnétiques, une solution intéressante
pourra consister à se (re)connecter à la terre en utilisant des produits spécifiques.
Provenant d'origines géologiques Afin de favoriser le retour d'un équilibre harmonieux, plusieurs solutions s'avèreront
efficaces, parmi lesquelles...
Déplacer le lit, les fauteuils, le canapé ou le bureau où l'on séjourne le plus longtemps hors des zones
pathogènes sera une des premières solutions...
Pour se préserver des effets d'une faille, d'un courant d'eau souterrain, un croisement de réseau
géomagnétique, ou encore une nappe phréatique...
Une technique vieille comme le monde consistera à effectuer une acupuncture de la terre ou
géoacupuncture, en posant sur un (ou des) point(s) précis :
Soit une ou des tiges métalliques,
Ou bien une ou des pierres, mini-menhirs.
Ce qui permettra de corriger les nuisances rencontrées et de rétablir ainsi un juste équilibre cosmo-
tellurique, ainsi que de faire remonter le taux vibratoire.
Selon la configuration rencontrée, d'autres solutions consisteront à mettre en œuvre des
produits efficaces et qui ont fait leurs preuves, parmi ceux que j'emploie prioritairement :
L'harmonisateur Biorad, qui travaille selon le principe des ondes de forme.
Ou bien le Tellutron, un appareil qui lui fonctionne par déphasage et agit principalement sur les
courants d'eau.
Ou encore les fusettes Néovie, qui travaillent différemment, favorisant la "réinitialisation" en
permettant au lieu de recouvrir son intégrité en rejetant tout ce qui lui a été "imposé", et "en
éliminant" les "informations" qui le "parasitent"...
Notons également que selon la région, du radon pouvant être présent et qu'il conviendra de s'en
prémunir.
Les énergies rémanentes... Des phénomènes paranormaux, une mémoire des murs ou des lieux, notamment... ou encore
des sensations de "présences" qui conservent imprégnés les informations de leur passé...
Et aussi des émissions dues à certaines formes...
Ce type de travail étant particulier, il est réalisé dans le cadre d'un travail d'expertise et de
réharmonisation.
Sans oublier non plus le bâti
Un lieu de vie étant être en échange continuel avec les différents types de rayonnements naturels qui
nous sont indispensables, certaines influences plus particulièrement liées aux paramètres
architecturaux, aux formes, aux couleurs, à la lumière, aux proportions, auront ainsi également leur
importance.
L’installation intérieure, la nature des matériaux employés...
En n'oubliant pas aussi ce qu’il est convenu d’appeler la pollution intérieure, ainsi que la qualité
de l'air intérieur...
Le constat
Ce sont les veines d’eaux souterraines qui nous préoccupent ici, car en circulant, elles créent des zones
d'influence où l'on observe :
Des micro-courants électriques, soit une différence de potentiel de plusieurs dizaines de millivolts
à la verticale de chaque rive.
Selon la nature des roches traversées, le débit et la vitesse de
l’eau, ces différents rayonnements modifient également
localement l’homogénéité du champ magnétique terrestre, dont
on constate un affaiblissement de son intensité.
Ainsi qu’une modification de la qualité de l’ionisation de l'air, un
des facteurs fondamentaux dans la régulation de nos processus
biologiques, c'est ainsi qu'on note une présence de rayonnements
ionisants (qui arrachent des électrons aux atomes).
L'impact de ces cours d'eau en sera augmenté lorsqu'ils circulent
dans des failles ou des fissures souterraines, leur influence
venant alors se surajouter.
Les effets
L’influence du voltage de ces micro-courants est certes très faible, mais elle est du même
ordre que ceux qui animent nos cellules, or, il existe dans celles-ci de véritables petites
centrales électriques, les mitochondries, dont la production va être contrariée par ces
très faibles courants naturels, la production hormonale des glandes endocrines s'en
trouvant également modifiée... que l'on peut mesurer, par exemple grâce à un
géorythmogramme, un appareil qui indique variations de la résistivité cutanée du corps, et
qui permet de constater ces modifications biophysiques.
C'est ainsi qu'à la longue... après plusieurs années d'exposition... pourra se produire un état de fatigue qui
s’installera dans un premier temps... et qu'un affaiblissement progressif de l’organisme pourra s’en suivre
(comme c’est le cas du lit dans la chambre, ou encore à l’emplacement du bureau, lorsque l’exposition est
prolongée et répétitive), le système cellulaire, le système nerveux et immunitaire pourront en être
affectés, et engendrer des pathologies plus ou moins importantes...
Comment se protéger de ces influences ?
Comme pour une faille ou un (des) croisement(s) de réseaux, plusieurs solutions pourront être employées,
parmi lesquelles :
Dans la mesure où ce sera possible, on déplacera le lit hors des zones pathogènes, ainsi que les
fauteuils, le canapé, ou encore le bureau, où l'on séjourne le plus longtemps,
On pourra aussi mettre en place un appareil de correction et de réharmonisation.
Ce qu'on observe
Il existe plusieurs types de failles, ce qu'on appele "l’effet
faille" pouvant être généré :
Simplement par le contact de deux matériaux de
natures différentes,
Par deux masses rocheuses se déplaçant, créant par
friction l'une par rapport à l'autre un espace où le
matériau friable, appelé "zone de broyage", pourra
aller de quelques centimètres à plusieurs mètres pour
les plus courantes.
Certaines sont humides, du fait de leur infiltration par
l'eau,
Á côté de ces failles humides de loin les plus
fréquentes, il arrive de détecter des failles isolées
que l'on peut qualifier de sèches.
Beaucoup résultent de la juxtaposition de terrains géologiques de
natures différentes et sont génératrices de modifications de
l’homogénéité du champ magnétique terrestre, un facteur
fondamental dans la régulation de nos processus biologiques, c'est
ainsi que comme lors de la rencontre avec un courant d’eau, on
constate un affaiblissement de son intensité… la nature du sol, des
roches paramagnétiques (du basalte, du porphyre, du granit, des
roches éruptives,...), des roches diamagnétiques (du calcaire, du
grés, de l’argile,...), ou encore une terre naturellement sèche ou une
terre humide n'ayant pas la même influence et générant un
phénomène physique plus ou moins important qui définit l’amplitude
de ces variations.
À l'aplomb de chaque rive, on observe notamment une émission de
radiations néfastes s'échappant plus librement, on relève également une
différence de potentiel de plusieurs dizaines de millivolts.
Par observation, les failles s'avèrent être une des agressions les
plus perturbantes...
Les failles que nous prenons en compte en Géobiologie n'ont pas la taille de
celle de San Andreas qui s'étend du golfe de Californie au nord de San
Francisco, nous parlons plutôt de discontinuités du sous-sol.
Quels peuvent en être les effets ?
L'"information faille" s'exercera plus particulièrement au-dessus d’un lit ou d’un bureau, ou l’on séjourne
quotidiennement le plus longtemps, selon chaque disposition particulière, une personne dormant à la
verticale de ces rayonnements risquera donc de subir ces fâcheuses influences.
Dans le schéma suivant, la personne a décidé de changer de literie et elle a
modifié l'emplacement de son lit par commodité, assez rapidement, elle
souffre d’insomnie, et un état permanent de fatigue s'installe.
Après étude sur site, il s’avère qu’il existe un effet faille, alors que
l'emplacement précédent était neutre, soit sans influence tellurique.
Ici, tous les matins, les parents trouvaient leur enfant couché en boule dans la partie supérieure du lit,
dans ce schéma, la faille passe dans la partie basse du lit, et très sensible à l'influence des phénomènes
telluriques, l’enfant cherche à fuir la zone perturbée.
Si l'exposition aux nuisances précédentes n’est pas systématique, il en est une autre à laquelle nous
sommes, ou auxquels nous pouvons un jour ou l'autre nous trouver confrontés, qui sont les réseaux
géomagnétiques...
Qu'en est-il des réseaux ?...
Nous savons depuis les travaux de Georges Prat qu'ils résultent de l'émanation des
métaux présents dans le magma terrestre (la totalité de la table de Mendeleïv), ces lignes
de forces s’étendent sur la totalité du globe terrestre et peuvent interférer avec l’eau,
les failles, la radioactivité, l’électromagnétisme,... et agir alors au niveau physique,
énergétique et psychique.
Ainsi, selon les éléments rencontrés, un réseau sera porteur d’informations bonnes ou mauvaises... écoutons
Raymond Montercy : " Les réseaux terrestres sont les états particuliers de la matière qu’il faut concevoir
dans une structure dynamique et en volume. Il existe une variété infinie de réseaux donnant accès à des
informations différentes ; leurs dimensions varient en permanence, en fonction de la latitude du lieu, de
l’influence du soleil et de la lune. Comme tout système dynamique, ils peuvent se polluer, changer de forme
et de caractère d’information, et devenir inducteurs de perturbations... ".
En Géobiologie, nous appelons ces forces des réseaux, qui portent la plupart du temps le nom des
personnes qui les ont (re)découvert, les plus connus et ceux que nous prenons prioritairement en compte
sont :
Le réseau H (Hartmann), relié au nickel
C’est en déplaçant le lit de malades dans sa clinique d’Eberbach Am
Neckar en Allemagne, que le Dr Hartmann constata que leur état s’était
nettement amélioré...
Le réseau H (le docteur Hartmann n'ayant pas souhaité qu'on lui donne son nom), que l'on appelle
souvent (à tort ?) réseau global et qui est une sous-maille du Peyré, se présente sous la forme d'une
résille axée Est-Ouest et Nord-Sud, dont l’écartement entre les bandes Nord-Sud est de 2 m environ,
tandis que celui Est-Ouest est d’environ 2,50 m, les lignes de force (les bandes) ayant une largeur
d’environ 21 cm.
Ces lignes de forces ne sont cependant pas statiques, elles varient en permanence selon la nature du
sol, selon la nature des matériaux ou aussi du mobilier existant, les intersections des axes de cette
trame ou "noeuds telluriques", que l'on appelle points géopathogènes, pouvant se révéler néfastes.
Avec le 50 Hertz, qui est la fréquence de nos installations électriques, le réseau Peyré est affaiblit, le
réseau H masque alors celui-ci et s’exprime d’autant plus, on dit qu’il est induit par le 50 Hertz.
Ainsi, le réseau Hartmann s’exprimera d’autant plus lorsqu'il existe une forte pollution
électromagnétique, car il est alors exacerbé, d'où l'importance de réduire les émissions, ce
qui favorisera le retour d'une ambiance plus harmonieuse et apaisée.
On notera également que les mailles du réseau H sont inscrites (contenues), dans le réseau Peyré (à
raison de 4 mailles dans le sens Nord/Sud, et 3 dans le sens Est/Ouest), les mailles du réseau
Hartmann étant en fait des sous-mailles du Peyré.
Enfin, notons aussi que nos amies les bêtes se comportent différemment : les chats, les fourmis et les
hirondelles se positionnent sur les croisements H qui leur conviennent, par contre, les chiens, les
chevaux ou les vaches fuient ces points, sauf dans les étables où elles sont attachées, d'où les
problèmes rencontrés dans les étables... d'autres influences (veines d'eau souterraines, failles,
champs électromagnétiques, mise à la terre,...) venant se surajouter dans ce
cas...
Le Curry, relié au fer
C’est le Dr Curry, qui dans les années 1950, détecta, lui, un réseau dit diagonal,que l’on retrouve également
dans nos habitations, l'orientation de ce réseau étant en diagonale Nord-
Ouest / Sud-Est et Nord-Est / Sud-Ouest, et l'écartement de ses lignes de
force d’environ 5 m.
Le Peyré, relié à l'or
Dont nous recherchons plus particulièrement les points de réharmonisation
lors d'un travail de géoacupuncture.
Nous devons au docteur François Peyré, résidant à Bagnoles-de-l’Orne (un
précurseur), qui dès les années 1937, émis l’hypothèsed'un réseau
géomagnétique couvrant l'ensemble de la surface terrestre...
Avec le réseau Peyré, ou grand réseau global, c’est ainsi qu’on le nomme depuis,
nous sommes en présence d'un rayonnement axé Nord-Sud, et d'un rayonnement
Est-Ouest perpendiculaire au premier, dont le maillage varie de 7 à 8 m x 7 à 8 m,
les dimensions précises étant en relation avec la latitude du lieu.
Les réseaux sont vivants...
Il convient d'observer que les réseaux ne sont pas statiques et qu'ils ne se
présentent pas non plus strictement rectilignes, mais qu'ils se déplacent sous
l'influence de la lune et des planètes, notamment (c’est le cas par exemple en bord
de mer, lors d’un changement de marée).
Ils peuvent ainsi varier dans le cours d’une journée, en fonction de la latitude, et ils évoluent au fil de leur
environnement, se déplaçant également au fil des saisons, en fonction des perturbations atmosphériques,
non seulement les réseaux se déforment, mais ils ne se déroulent pas sur la terre d'une manière uniforme,
leurs mailles tournent, et peuvent même se diviser, de plus, sur le plan vertical, en altitude,
ces réseaux ne montent pas non plus d'une manière rectiligne.
On a d’ailleurs pu constater que les dimensions de leurs mailles pouvaient s'enfler jusqu'à 4
mètres, des déformations importantes ont ainsi été observées, notamment après des
explosions atomiques souterraines, lors de tremblements de terre ou encore de tsunamis...
Notons aussi qu'ils peuvent être déviés par un frigo ou des radiateurs, par exemple, d'où
l'importance de ne pas placer des masses métalliques n'importe comment et n'importe où...
Quels peuvent en être les effets ?
Les réseaux Hartmann et Curry sont généralement considérés comme possédant la plus forte intensité,
d’autant plus lorsqu’ils rencontrent un courant d’eau souterrain ou une faille, d'où leur recherche
prioritaire...
Ainsi, lorsque plusieurs facteurs se conjuguent entre eux, des influences néfastes peuvent apparaître, et il
pourra s'ensuivre un déséquilibre lorsqu'on séjourne sur ces zones : à l’emplacement d’un lit, d’un bureau ou
encore d’un canapé.
Mais ils peuvent être aussi bénéfiques...
C'est ainsi qu'il nous faut parler du réseau sacré, dont tous les bâtisseurs des grandes civilisations
antiques connaissaient l'existence, aussi bien les égyptiens, les romains, que les chinois dans l'art
millénaire du Feng Shui, et qui a également été utilisé dans les églises romanes.
Ce qu'on appelle aujourd'hui un réseau sacré n'étant en fait qu'un réseau Peyré qui a été sacralisé et qui a
reçu une information particulière à un moment donné, la qualité de ce transfert permettant notamment de
comprendre pourquoi la largeur des réseaux sacrés varie.
On notera également que ces réseaux, générés par des métaux, possèdent des propriétés thérapeutiques
qui entrent en résonance avec les oligo-éléments contenus dans notre corps, et qu'ils étaient un des
paramètres utilisés par nos lointains ancêtres pour implanter un dolmen ou un menhir, comme le nickel et le
fer, mais aussi le palladium, le titane, le lithium ou encore l'antimoine, qui étaient eux utilisés par les
bâtisseurs des temples de mithra, égyptiens, aztèques ou celtes, puis plus tard des églises romanes
notamment, d'où les sites "sacrés", chapelles, ou églises, connus pour être "guérisseurs"...
La géométrie sacrée
La Géobiologie sacrée est une des branches de la géobiologie qui étudie les sites "sacrés" : lieux de culte
anciens voire antiques, abbayes, sites mégalithiques, églises romanes et gothiques, ermitages, châteaux...
En remontant le temps...
Depuis des millénaires, l'humain a observé que là où il se "posait" sur la Terre, cela pouvait influencer son
bien-être en positif ou en négatif, cette approche n'est donc pas spécifique à notre époque, elle remonte à
la nuit des temps... depuis quand ?... nous sommes incapables de le dire, mais des recherches historiques et
ethnologiques ont montré que cette approche était très ancienne...
Pline l'Ancien, par exemple, nous dit que les Grecs avaient pour habitude d'étudier l'influence du terrain
avant de construire une maison, les Romains quant à eux, avaient recours aux sourciers et aux prêtres pour
établir les lieux de vie et organiser les cités, en Chine ou en Egypte, on effectuait toujours une étude
préalable à l'implantation d'un bâtiment quel qu'il soit...
C'est sans doute grâce à ces prédécesseurs à la fois sages, sensibles et
savants, que les paramètres favorisant la bonne énergie d'un lieu ont été
déterminés, car qui parle de lieu de vie ou de bien-être, ou encore de lieu de
méditation ou de prière, parle nécessairement de lieux où se trouvent des
énergies positives...
La trame géologique et énergétique
Parmi les différents paramètres faisant partie de la Géobiologie sacrée, on retrouve ici les phénomènes
liés au sous-sol, le passage d'un cours d'eau souterrain, d'une veine métallurgique ou encore d'une cassure
du sol font partie de ces éléments susceptibles d'influencer notre santé.
Des recherches scientifiques contemporaines ont permis de valider certains principes, d'autres sont
encore à vérifier ou à redécouvrir...
Nous savons aujourd'hui que ces différents éléments génèrent localement des modifications du
magnétisme et du champ électrique terrestre, et que selon l'intensité de ces variations, notre bien-être et
notre santé peuvent en être affectés, on admet également que certaines lignes de forces géomagnétiques
quadrillent la Terre et amplifient ou atténuent également le magnétisme local.
Ainsi, nous pourrions nous demander si de tels paramètres ont pu participer à la mise en place des temples
ou à l'organisation des villes, c'est ce que recherche à déterminer la Géobiologie sacrée : l'emplacement
d'une église, son orientation, son architecture et les énergies qui s'y expriment, caractérisant la qualité
d'un lieu sacré... et la question que nous pourrions légitimement nous poser : Est-ce que nos lointains
ancêtres (soi-disant sauvages, ou encore barbares) connaissaient et utilisaient ces lignes d'énergie, ces
lignes de force ?...
Et bien, la réponse est oui !... et il existe de nombreux témoignages, exemple : ce que nous appelons
aujourd'hui le réseau sacré, dont on trouve une des plus anciennes références dans un traité des
arpenteurs Romains : le "Corpus Agrimensorum Romanorum" écrit au 5ème siècle, et qui détaille comment
l'Architecte doit organiser la construction d'un temple, de bâtiments ou bien d'une cité, en fonction des
lignes de force qui parcourent la Terre, nous retrouvons également des témoignages dans d’autres écrits
de la Renaissance, comme dans le "Speculum Metallurgicum Politissimum" de Roessler (1700), ce traité
présentant un quadrillage orthogonal qui établit précisément le passage des veines telluriques de ces
réseaux Géobiologiques.
Les Romains, par exemple, prenaient bien sûr en compte ces phénomènes, ils exprimaient le fait qu'un lieu
énergétique particulier de forces "sacrées" devait toujours se placer sur un Médiolanum, un axe du monde,
un lieu de croisement, d'autres recherches, comme celles de Xavier Guichard, Alan Butler ou Sylvain
Tristan, ont montré que les grandes villes, ainsi que les temples et hauts lieux sacrés de l'antiquité, sont
placés sur ces lignes (qu'ils nomment lignes d'or ou lignes de sel), ces connaissances nous viendraient de
l'époque du néolithique et auraient un lien avec le savoir des Celtes et des Druides, des géobiologues,
comme Walter Künen ou Adhémar Vandroeme, ont eux aussi confirmés par leurs recherches l'existence de
ces lignes de force, ils ont notamment établi que sur le croisement d'au moins deux de ces réseaux se
trouvait toujours sur un lieu particulier, connu et utilisé des anciens.
La Géobiologie sacrée nous permet de (re)découvrir ces paramètres et de mieux appréhender les principes
utilisés par les anciens, dans ce cadre, nous utilisons des appareils de mesure électromagnétiques, des
baguettes de sourcier, des pendules de radiesthésie, ou plus simplement notre ressenti... de même, nous
n'hésitons pas à vérifier nos découvertes par l'étude des éléments historiques, archéologiques ou
symboliques...
Le paradoxe ?
Bizarrement, d’un point de vue purement énergétique, il apparaît que l’emplacement d’un menhir ou d’un
dolmen, ou encore d’un temple ou d’un sanctuaire, soit à l’origine un bien mauvais choix, si l’on s’en tient à la
structure géobiologique que l’on peut observer sur le terrain.
Il s’agit d’un lieu ou le vivant (aussi bien l’humain, que le végétal ou les
animaux) ne pourrait pas survivre bien longtemps, du moins sans danger
pour la santé, et c’est pourtant sur de tels sites que nos lointains
ancêtres ont érigés leurs mégalithes et leurs temples, plus proches de
nous, les églises romanes, et qu’ensuite, les compagnons bâtisseurs du
Moyen âge, qui connaissaient également parfaitement ces données, ont
su magistralement utiliser ces points particuliers, pour y construire les
cathédrales gothiques, qui ont toutes été édifiées sur de tels lieux, leur
(grande) connaissance et leur (fabuleux) travail ayant permis de transmuter ces énergies négatives en
énergies extrêmement positives, bénéfiques et régénératrices.
Et pour ce faire, ils ont notamment utilisé :
Les forces chtoniennes : les courants d’eau souterrains, les failles géologiques, les réseaux
géomagnétiques...
Les courants telluriques,
Les ondes émises par les formes,
Les tracés régulateurs,
La géométrie sacrée,
La pierre (la matière, sa polarité),
Les nombres,
Les orientations,...
Je tiens à préciser que dans ce cadre, je me situe en dehors de toutes connotations religieuses en respectant
les convictions de chacune et de chacun, il s’agit ici d’envisager les édifices comme les églises, les cathédrales,
les abbayes ou les chapelles et même beaucoup de châteaux, sous l’angle géobiologique et énergétique...
Le "secret" résidant pour nous, en géobiologie, dans l'énergie mise en jeu par leur position, leur orientation, leur
architecture et leur structure, l'énergie reçue dans de tels lieux étant bien entendu relative au degré
d'ouverture de chacune et de chacun, ainsi que des émotions et des sensations provenant du plus profond de
l'être...
De tout temps, les bâtisseurs ont utilisé la voie du trait, les tracés
régulateurs (ou tracés harmoniques) pour relier l’homme, l’architecture et
son environnement...
Ils ont su utiliser cette géométrie naturelle (littéralement mesure de la
Terre) qui est en matière d'architecture l'art d'allier la mesure et la
proportion avec celles du lieu, celle-ci ayant pour finalité de donner à la
construction, à la "forme", l'organisation, la cohérence la mieux adaptée
avec le développement du vivant, dans des domaines très variés et
souvent liés à la création artistique : châteaux, temples, jardins, meubles
d'art, tableaux de maîtres et aujourd'hui dans le domaine de
l'aménagement du paysage, de la publicité, ce qui est vrai pour les
temples anciens, le sera également pour les bâtiments actuels...
Employés dans le cadre architectural ou lors d'une harmonisation d'un habitat existant, les tracés
régulateurs (ou tracés harmoniques) vont permettre de construire ou de réharmoniser en parfaite osmose,
en utilisant les caractéristiques géodésiques et géophysiques du lieu, qui grâce à ses proportions et ses
orientations spécifiques, possède une empreinte solaire propre liée à sa latitude, et dont le constituant de
base va être représenté par le quadrilatère solsticial, champ dont les angles coïncident avec les levers et
les couchers solaires solsticiaux.
Cette utilisation va conférer une organisation des plans et des volumes, générant ainsi une forme
parfaitement adaptée au développement du vivant en parfaite cohérence avec le lieu, il s’agit d’une trame
géométrique sous tendant la composition architecturale, ces informations étant indispensables pour situer
un bâtiment, l'orienter, et le caler avec précision, il s'agit d'un outil opératif immédiatement applicable,
non limitatif, qui fera de chaque projet celui qui fait la différence, en utilisant les rapports géométriques
et les empreintes solaires spécifiques au lieu.
Ces techniques de données simples et naturelles sont connues et utilisées universellement depuis la plus
haute antiquité, c’est ainsi qu’on en retrouve la trace aussi bien dans les mosquées, que dans les temples
grecs, hindous, sur les mégalithes bretons, ou encore à Lepenski Vir (-8.000 ans avant J-C), cette "autre
façon de construire", plus proche de la réalité biologique et énergétique de l'homme, donc plus propice au
mieux vivre, passe par le respect des proportions harmoniques permettant de construire de manière
harmonieuse dans la forme, mais également dans le subtil, en respectant le lieu, et en induisant la vie dans
la construction...
Le lieu d’implantation de toute structure possède des caractéristiques géodésiques précises, qui
permettent d’en déduire des mesures et une proportion, en les utilisant, la structure va alors être en
harmonie avec son support, en osmose avec son environnement, l'objectif final sera d'adapter le bâtiment
au contexte naturel, afin d’établir une relation harmonieuse avec son environnement.
Une habitation intervenant sur les échanges naturels d'un lieu, après reconnaissance de ce qui existe,
il va s’agir d’intégrer les bâtiments dans le contexte naturel, le but de ce travail va être de créer une
cohérence d'ensemble, afin que le bâtiment soit le mieux adapté au site et favorise le développement de la
vie.
Le choix des mesures utilisées va également dépendre de la nature du terrain, de son dynamisme, c'est à
partir de sa latitude que vont être définies les mesures du lieu, plusieurs mesures (les coudées) qui ont
chacune leurs spécificités vont en découler, et dont vont dépendre les dimensions du module solaire.
On peut ainsi dire que les civilisations démarrent dès que les humains commencent à observer le ciel et en
tirent des conclusions utilisables pour leur vie quotidienne, bien sûr, il y a les étoiles, mais en tout premier
lieu les "grands luminaires" que sont le Soleil et la Lune, d’ailleurs nous n’habitons pas la Terre, mais le
couple Terre-Lune, en ne prenant en compte que les mouvements apparents du Soleil, il va donc s’agir
d’observer les levers et couchers du soleil aux moments importants de l’année.
Pour cela, plaçons-nous face au Sud...
Devant nous, nous avons notre horizon que nous supposons dégagé sans montagne, cet horizon est
circulaire, nous le divisons en heure, soit 15° par heure (360°/24 h) :
Dans notre dos au Nord géographique, il est minuit,
Á notre gauche, à l’Est, c’est 6 h du matin,
Au Sud, le midi solaire (180°),
Á droite et à l’Ouest, 6 h du soir.
Aux équinoxes, le 21 mars et le 21 septembre (milieu du
printemps et de l’automne), le soleil se lève à notre gauche à 90°,
plein Est (0°/360° correspondant au Nord géographique), et se
couche à notre droite à 270°, plein Ouest, à ce moment de
l’année, la durée du jour est égale à celle de la nuit.
Au solstice d’hiver le 21 décembre (milieu de l’hiver), le soleil se
lève au Sud-Est et se couche symétriquement au Sud-Ouest, c’est le jour le plus court et la nuit la
plus longue de l’année.
Et au solstice d’été le 21 juin (milieu de l’été), il se lève au Nord-Est et se couche symétriquement
au Nord-Ouest, c’est alors le jour le plus long.
Ainsi, à partir d’un point choisi, en tant qu’observateur, vont partir 4 droites vers les levers et les
couchers solsticiaux, qui compte tenu des symétries vont former 2 axes, et vont couper le cercle de
l’horizon en 4 points, qui lorsque nous les relions, vont permettre d'obtenir un rectangle possédant une
proportion spécifique propre à la latitude du lieu, que l'on appelle quadrilatère solsticial, et que l'on va
pouvoir utiliser pour réharmoniser un habitat, ou bien encore pour dimensionner un bâtiment, qui va alors
être "parfaitement calé", en parfaite harmonie, en parfaite syntonie avec le lieu...
Légendes, récits populaires, anecdotes et chroniques regorgent de faits relatifs à des rites "étranges",
des "cultes mystérieux" ou encore "païens" observés sur certains sites choisis pour se ressourcer, pour
guérir ou s'approprier "l'éternelle jeunesse", ces centres de guérison du corps de l'âme et de l'esprit, où
le Ciel et la Terre se rejoignent, ces lieux ou se pratiquent le culte des pierres et des eaux existent depuis
l'aube des temps, souvent occultés car "magiques" et "sacrés"...
Beaucoup de ces sites ont conservés tous leurs pouvoirs régénérateurs, de nombreux
témoignages attestant que leurs vertus n'ont pas sombrées dans l'oubli, souvent
transmises de bouche à oreille, la connaissance de ces hauts lieux étant seulement
restée secrète, dans notre hexagone, nous avons encore à portée de mains de
nombreux hauts lieux prêts à nous transmettre une autre approche par la découverte
des énergies qui régissent notre équilibre physique, mental et spirituel.
Nous éprouvons de plus en plus le besoin vital de retrouver nos origines, cette migration vers nos racines
exprimant en fait une réaction de compensation face aux multiples agressions subies dans notre vie
quotidienne, nous exprimons au plus profond de notre être le besoin de retrouver notre identité, notre
harmonie intérieure et un fort désir de retour aux sources : la terre, l'eau, les pierres, les arbres... nous
prenons de plus en plus conscience de l’interdépendance entre chaque particule des atomes de la Terre et
du Cosmos et celles qui composent chaque molécule de chacune des cellules de notre corps, les travaux de
certains chercheurs ont mis en évidence le fait que nous ne possédons pas seulement un corps physique
mais aussi un corps énergétique, qui réagit et entre en résonance avec les différentes énergies de notre
environnement...
Les hauts lieux
Églises, chapelles, temples, mégalithes... les hauts lieux "sacrés" sont avant tout des lieux d'énergie et de
conscience fréquentés depuis la nuit des temps, ils représentent un des moyens les plus efficaces pour
aider à la progression et à la transformation de l'Homme (ils ont d’ailleurs toujours été utilisés par les
religions)...
Leur étude géobiologique confirme que ces lieux "vibrent", cette vibration élevée qui en émane faisant
écho à notre propre vibration, et nous permet alors de ressentir des états de conscience différents qui
rendent possible une transformation, une prise de conscience, un état de bien-être et un ressourcement...
Ces lieux "sacrés" nous attirent, car nous savons dans notre for intérieur que ce "sacré" extérieur va
"réveiller" notre "sacré" intérieur, ce "sacré" étant "Vivant"... aller sur un lieu "sacré" revient à faire une
visite à un ami très cher, tout va alors être contenu dans le principe de notre démarche...
Beaucoup de mystères entourent encore ces lieux, la plupart de ces sites ayant pour vocation l'initiation, la
dévotion, ou encore la guérison.
Nos lointains ancêtres, constructeurs de mégalithes et de pyramides, les bâtisseurs de cathédrales,
avaient cette (grande) connaissance de ces énergies subtiles qu’ils ont su magnifiquement utiliser pour
accéder à des états de conscience supérieurs, la symbolique des édifices sacrés témoigne de ce savoir...
La physique holistique et la Géobiologie nous fournissent des éléments qui permettent de localiser ces
points, de les mesurer, et de constater ces anomalies d'une manière scientifique, après une étude sur le
terrain, interviennent également les connaissances de l'historien qui va confirmer l'existence de ces hauts
lieux qui correspondent souvent à d'anciens sanctuaires celtiques ou gaulois, à d’antiques centres de cure
et de guérison du corps, de l'âme et de l'esprit, le chroniqueur rapporte également des anecdotes des
anciens concernant des faits insolites vécus, ces sites étant souvent liés à des histoires ou à des légendes
extraordinaires, parfois.
Des personnes relatent spontanément leurs expériences involontaires sur ces points forts :
Des personnes emmenées sur certains lieux réagissent très positivement sans explications
précises, parce que "ça leur fait du bien...".
Après un après-midi sur un site donné, un couple constate que leur enfant ne dort pas, "qu'il fait le
cirque toute la nuit..." et n'accuse pas la moindre fatigue le lendemain.
Des lieux précis sont préférés pour la détente, la relaxation, la méditation.
Des lieux réharmonisants ou apaisants...
Certaines des données contenues dans les pages suivantes ont été extraites des ouvrages suivants :
Pierres à légendes de Bourgogne, Pierre Saint-Yves, aux éditions du Pas de l’Âne, la Vieille Maison,
71190 La Tagnière.
Des sources aux chapelles, Lucien Olivier, publié par l’Académie du Morvan.
Les eaux merveilleuses du Tonnerrois, et Les eaux merveilleuses du Nord de l’Yonne, Pierre Milliat.
Les menhirs de l’Yonne, et Les dolmens de l’Yonne, Pierre Glaizal, édités par les Amis du vieux
Villeneuve-sur-Yonne.
Pierres et légendes de Côte-d’Or, ainsi que Côte-d’Or : de menhirs en dolmens, Patrice Vachon, aux
éditions de l'Arche d'Or, 11, Bld du Maréchal Leclerc, 21240 Talant.
Tous ces renseignements sont donnés à titre indicatif et sont bien entendu non exhaustifs, tous détails,
renseignements complémentaires ou données rectificatives seront bienvenus...
(*) Déni de responsabilité.
Je tiens à préciser ici que toutes les informations contenues sur ce site sont données à titre purement indicatif,
et que n'étant ni biologiste, ni thérapeute, il ne s'agit nullement d'allégations médicales.
Les sites indiqués dans les pages suivantes ne sauraient se substituer à un traitement en cours que vous ne
devrez bien entendu en aucun cas abandonner, par contre ils pourront vous apporter un plus, un appoint pouvant
être bénéfique, en respectant toutefois leur durée d’exposition (point trop n’en faut).