la franquerie de marquis - ascendances davidiques des rois de france

8/13/2019 La Franquerie de Marquis - Ascendances Davidiques Des Rois de France

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MARQUIS DELAFRANQUERIE

ASCENDANCES DAVIDIQUESDES ROIS DE FRANCE

& LEURPARENTAVECNOTRE-SEIGNEURJESUS-CHRIST,

LATRSSAINTEVIERGEMARIE& SAINTJOSEPH

PRO MANU SCRIPTO PRIVATIM

Ouvrage non mis dans le commercerserv exclusivement aux amis de lauteur


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Ouvrage hors commerce tir

2000 exemplaires

Exemplaire N 00999


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ASCENDANCES DAVIDIQUES

DES ROIS DE FRANCE


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OUVRAGES DU MARQUIS DE LA FR ANQUERIE

La V Mdans lhistoire de Franceavec prface du Cardinal Baudrillar.Ouvrage couronn par lAcadmie Franaise 3mediion illusre.

La mission divine de la France 5mediion.

Mmoire pour la conscration de la France saint Michel prfac de . xc. Mgr de la

Villerabel, archevque dAix 3me

diion.Linaillibilit pontificale, le syllabus, la condamnation du modernisme & du sillon, la criseactuelle de lglise 2mediion.

Le caractre sacr & divin de la royaut en France.

Le sacr-cur & la France .

Saint Jillusr.

Saint R, thaumaturge & aptre des fancs.

Jeanne d Ala pucelle, sa mission royale, spirituelle & temporelle.

L XVI, roi & martyr 5mediion.Madame E F 3mediion.

Saint PX, sauveur de lglise & de la France 2mediion.

Charles M, denseur des vrits ternelles.

En souscription

La conscration du genre humain par PXIIet celle de la France par leMarchal Pau cur immacul de M. Documens e Souvenirs.

Marie-Julie Jahenny : Sa vie ses rvlations illusr.

Adressez les commandes :

Associaions des amis de M-J J,

chez le Commandan , 5 rue de Bel-Air

(85400) L C.C.P. Nanes : 359-65-B


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NOTE POUR LA PRSENTE DITION

Nous avons mis en annexe finale lAllocuion du Cardinal Jean-Marie LUSIGE, Archevquede Paris, loccasion de la remise du PrixNosra Aeae que lui a dcern, conjoinemen au Grandabbin Sira, le Cenre pour la Comprhension enre Juifs e Chriens (CCJU) de lUniversi

du Sacr-Cur, Fairfield, Connecicu (USA), le 20 ocobre 1998.Ce discours a prononc dans la plus clbre synagogue de New-York. Le lieu e loccasion

en souligne limporance qui nchappera pas au leceur.

Ce exe, disponible publiquemen sur Inerne, a reenu nore aenion car le Cardinal cieen cee occasion capiale le livre du Marquis de la Franquerie,Ascendances Davidiques des Roisde France(voir noe 5).

Il donne ce livre en exemple pour souligner la revendicaion des rois de France dredescendans de David ; ce qui amena leurs conseillers faire clbrer leurs sacres suivan lecrmonial prvu pour les rois dIsral, pour illusrer la horie de la subsiuion .

On veu faire croire que lancienne alliance na pas rompue e que ou ce que lglisea enseign avai pour bu de se subsiuer cee ancienne alliance. Jsus-Chris, rabbi e filsdIsral, oui ; Jsus-Chris, Fils de Dieu ?

Nous laissons au Cardinal Lusiger le choix de ses posiions e pensons que le livre du Marquisde La Franquerie ci un el momen e dans un el lieu, es pariculiremen dacuali.


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DCLARTION PLIMINAIE

Cete ude es le rsula de nombreuses e longues recherches qui on amenlaueur personnellemen une ceriude, mais il na nullemen la prenion devouloir limposer ses leceurs.

Le tableau gnalogique des ascendances davidiques des Rois de France et leur parent avec Notre-SeigneurJsus-Christ, la Trs Sainte Vierge Marie et saint-Joseph, stablit comme suit. Prcisons que nous avons suivijusqu Clovis et Charlemagne le pasteur Milner dans son ouvrage The Illustrious Linage of the Royal Houseof Britain, en francisant certains noms.


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LETTRE PRFACE

Le 25 ao 1983

Bien cher Ami,

En vous reournan lude iniule Ascendance Davidique des Rois de France e leurParen avec Nore Seigneur Jsus-Chris, la Trs Saine Vierge Marie e sain Joseph, jevous exprime ou dabord mes remerciemens les plus vifs e ma reconnaissance pour oue laconfiance que vous mavez ainsi moigne, e je viens vous faire par, comme vous avez bien

voulu men exprimer le dsir, de lesseniel des rflexions qui me son venues lespri en lisanles pages que vous avez cries.

De ces rflexions, en voici donc un bref aperu, rop sommaire mon gr, eu gard lanaure mme du suje e sa pore du fai mme des argumens e des considraions qui lesaccompagnen ou que suggre le exe.

A vous lire, on se rouve comme ranspor, sans effor, sur ce que jappellerai lun des sommesculminans du Plan de Dieu , de Ses desseins sur la France e don la finali suprme porenon seulemen sur la Vocaion, propremen die, de nore Parie selon les vues de Dieu, mais aussie principalemen sur la Personne de ses Chefs : les ois de France, don la filiaion remoneraiau oi David, ablissan ainsi un lien de paren enre les ois e Nore-Seigneur Jsus-Chrise, du mme coup, avec la rs Saine Vierge Marie.

Suje dune pore immense, ouchan, en quelque sore, lInfini de Dieu mme, e de naure surprendre dauan plus que lon dcouvre bien vie quen dfiniive, il sagi dun OU,parfaiemen dispos e ordonn en vue dablir le gne de Dieu sur la erre. Ni plus, nimoins.

Oser dire pareille chose en ce emps de rouble e de confusion exrme qui pse sur lEglisee ou auan sur le monde enier, appara alors comme une sore de dfi la raison. Mais lesfais simposen deux-mmes e les sources son l e le prouven sans discussion. La logique deDieu a de ces rais dune fulgurane lumire laquelle on ne saurai rsiser. Ces ici le cas, il faubien le reconnare e le souligner.

Mais depuis Vaican II, o ou se rouve ENVES, force es de saendre de vivesracions, car, en effe, la hse prsene ranime aussi le souvenir de bien des donnesdocrinales inangibles par leur naure mme, mais qui se rouven, aujourdhui, radicalemen


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cares arbirairemen, par omission ou par suppression pure e simple, e cela, au mpris de laVri, de la Jusice e de la Foi.

De ces omissions e suppressions la lise en serai longue donner, depuis le emps que durele saccage du rsor de lEglise, en voici donc les plus marquanes. Il sagi ou dabord, de ladvoion au Sacr-Cur de Jsus e du cule Lui rendre ; en mme emps sy rouve associ le

cule marial e ou ce qui sy rappore, en pariculier e surou les grandes Appariions marialesau sicle dernier, e leur suie au cours de ce sicle, en France ou dans daures pays. oueschoses, il fau le savoir, don le sens profond va dans le sens mme du suje qui nous occupe, eend vers la mme FINALI.

Ce quoi sajoue la forme liurgique, dans ous ses aspecs e ses applicaions les plusdiverses. Au premier chef, le nouvel Ordo y ien la premire place. Le nouvel Ordo subsiufrauduleusemen lancien, ces--dire la Messe elle que la insiue Nore-Seigneur, au soirdu Jeudi-Sain.

Quen es-il rsul ? Laboliion de fai, de la messe, du sacrifice propiiaoire insiu parNore-Seigneur, avec oues les consquences qui sensuiven, dans la rali des choses, comme

on le sai bien, ces un fai dexprience. Ici, il convien dinsiser sur le fai pour en comprendrela pore par rappor au suje en cause. Voici donc quelques remarques imporanes.

Dire que le nouvel Ordo a subsiu lancien nes pas un excs de langage. Ces Paul VIlui-mme qui la dclar lors du Consisoire du 24 mai 1976, ome. En voici le exe : Lenouvel Ordo a promulgu pour re subsiu lancien, aprs une mre rflexion e la suiedes insances du Concile Vaican II . E Paul VI a enu prciser : Ce nes pas auremenque nore sain prdcesseur Pie V avai rendu obligaoire le missel rform sous son auori la suie du Concile de rene.

Cee prsenaion des fais a soulev, en son emps, maines criiques de la par de cerainshologiens ou canonises. La quesion nes pas close pour auan, en ce sens que sain Pie Vna fai quenriner, en quelque sore, les dcisions du Concile de rene. En la circonsance,lauori vien du Concile... Ces lvidence mme. Mais laissons l la discussion pendane eavanons dans le cadre de lanalyse enreprise, e revenons au nouvel Ordo.

Sans enrer dans de longs exposs, il suffi de rappeler que les novaeurs ceux du Concilecomme ceux du Conciliumde liurgie en agissan comme ils lon fai, on voulu, ces manifese,assuren les commenaeurs, faire disparare de la clbraion liurgique de la messe ridenineoue noion relaive la Prsence relle de Nore-Seigneur dans lEucharisie, de faon rendrela nouvelle messe accessible, ou la fois, aux caholiques e aux proesans.

En daures ermes : lhrsie admise dans le sancuaire ! Ces--dire, en fai : suppressiondans oue clbraion de la Personne mme du Sauveur.

Mais alors, arriv ce poin des choses, commen ne pas re frapp par la similiude desobjecifs poursuivis ravers le emps e lhisoire pour druire lEglise e la France e que

voici.

Hier, le 21 janvier 1793, la voluion ranche la e du oi Louis XVI. Nai-ce pas en hainede Dieu, comme pour faire disparare, dsormais, ou jamais espraien bien les ennemis deDieu, cee Filiaion divine prsene dans la Personne du Monarque ? Filiaion divine quipermeai au Souverain dassumer lexercice du Pouvoir royal, reprsen par le Scepre, faveurclese don il es parl longuemen dans lude communique.


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MARQUISDE LA FRANQUERIE

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E aujourdhui, que voi-on ? Sinon que lon a SUPPIM, dans la clbraion liurgique de laSaine Messe, QUI DONC ?... La Personne de Nore-Seigneur. Quel rapprochemen, inaenduceres, mais combien rel e angible... Bref la rvoluion coninue...

Aussi bien, e pour conclure, fau-il dire que lude communique ne saurai reser dansloubli. Sa publicaion appara indispensable ; il rese savoir quand e commen, mais, en ou

a de cause, sa publicaion simpose pour lhonneur de Dieu e de la rs Saine Vierge, e sansdoue, pour conribuer au riomphe de son Cur Immacul.

Voil, cher ami, ce que jai cru devoir vous dire, vous en laissan le soin de lapprcier. Je nepuis en dire davanage aujourdhui, il me fau erminer. Je vous redis oue mon affecion e messenimens dvous. Bien vre, cher ami.

M. C.


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AVANTPROPOS

LAscendance Davidique des Rois de France e leur paren avec Nore-Seigneur Jsus-Chris,la Trs Saine Vierge Marie e sain Josephes un suje qui me ien rs cur depuis soixaneans.

Avan que dudier les documens, je dois vous dire commen jai amen penser que lesois de France pourraien vraisemblablemen descendre du oi David.

Je peux dire en oue vri, que ces provideniellemen quen 1924 jai udi puis cri monpremier livre :La Mission Divine de la France. Au cours de cee ude, jai frapp, puis rsmu, par le paralllisme rigoureux exisan enre les sermens fais par Dieu David en faveur dela descendance du sain oi e de sa ace e les promesses inspires par Dieu sain emy enfaveur de Clovis e de sa ace, sain emy agissan comme Lga Ponifical pour ou le royaumede France.

Cee moion inense ma ouver des horizons absolumen insouponns jusqualors e qui,ouchan ma Foi, mulipliren mon amour e ma reconnaissance envers Dieu dabord, e

aussi envers la ace de nos ois laquelle depuis oujours ma famille demeure passionnmenaache.

Ma foi me disai que l ai la Vri. Mais il fallai hisoriquemen le prouver. Do mesrecherches.


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RVLATIONS DU PADRE PIO

Jai oujours convaincu e mon exprience personnelle me la confirm quuncaholique ferven qui ne cherche qu dfendre son Dieu, son Pays, son oi e veu sabandonneravec foi au bon vouloir divin, ne sera jamais abandonn e sera provideniellemen guid e

parfois mme miraculeusemen prog.Au cours dexases de Marie-Julie Jahenny la sigmaise breonne auxquelles assisaien

des personnes jusqualors inconnues e qui pourraien en moigner, deux de mes udes queje navais jamais song crire on demandes, ou dabord ma plaquee sur sain Michel,puisLa Vierge Marie dans lHisoire de France. Ajouons quil y a une dizaine dannes, jeusloccasion de voir deux aures sigmaiss qui ne se connaissaien pas un religieux franaise une personne rangre. Lun e laure, quelques mois dinervalle, me diren que je devaisreprendre mes recherches sur lascendance Davidique des ois de France. Je me remis donc ceravail. Dans la bibliohque de mon grand-pre, qui avai lun des fondaeurs de la Socide lHisoire du Vieux Paris e de lle de France , jai rouv un ouvrage remarquable du Pre

Jacques Lelong de lOraoire :Bibliohque Hisorique de la France conenan le caalogue deous les ouvrages an imprims que manuscris qui raien de ce Royaume ou qui y on rapporavec des noes criiques e hisoriques, publi Paris en 1719, gros in-folio de 1 100 pages. Jaidonc pu faire venir de France ou de lranger soi des microfilms, soi des phoocopies afin deles udier. Nous en reparlerons ou l heure.

Sur ces enrefaies, je fis une confrence Avignon e la personne qui lavai organise invia dner avec moi un vieux chanoine. Au cours de la conversaion, il me cia le nom dune illusrefamille irlandaise don il ai issu. Je lui dis :

Mais alors, Monsieur le Chanoine, vous descendez des ois dIrlande... Commen le savez-vous me rpondi, rs surpris... e il majoua :

Nous avons mme nore gnalogie remonan jusqu Adam .

E comme je lui disais quel poin la quesion minressai, il me la confia avec auorisaionde la phoocopier. Ce Chanoine es mor e sa gnalogie es dpose dans les Archives de la

ville.

Enfin, la Providence permi que le 18 dcembre 1978 on me monr plusieurs leres de lundes confidens e secraire loccasion du Padre Pio. Ces leres remonaien 1972 e aienadresses un pieux religieux de mes amis. Jen ai les copies e vous en cie les paries les plus


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imporanes ; le ou cri par un Ialien, don je vous conserve le syle.

25 fvrier 1972

Trs cher Pre, Padre Pio me disai sans le souien du pouvoir royal de David, lEgliseombe en dcadence sous le pouvoir de lespri du serpen qui relve sa e orgueilleuse sur lechef de lEglise . Le Padre Pio disai que le pouvoir Royal es un pouvoir divin qui abaisseles serpens. Les rpubliques par conre relven de erre les espris serpens lesquels sacrifienle peuple de Dieu, lempchan de slever vers le Dieu du Ciel Ces aujourdhui le mal delEurope sous les rpubliques disai le Padre Pio...

Lere du 5 mai 1972

Un jour Padre Pio me parla dun imporanissime Tesamen cach au Vaican. Il sagi duTesamen de la Duchesse dAngoulme... Ce Tesamen aurai rvl non seulemen le mysredu Dauphin mais encore le sien... Pour le bien de la France, de lIalie e du monde, un elTesamen ne peu reser secre...

Lere du 6 novembre 1972

Padre Pio savai que la France cache un pouvoir qui se rvlera lheure ablie (ces--dire lheure de Dieu)... Dans le monde manque le pouvoir royal que Dieu a cach en ces empsde folie. Le pouvoir royal seulemen, celui que Dieu donna David, es capable de rgir legouvernemen des peuples. Sans le pouvoir royal de David, reconnu e mis sa juse place, medisai le Padre Pio, la religion chrienne na pas le souien indispensable sur lequel appuyer laVri de la parole de Dieu. La folie des hommes a de ener de uer la royau ; le mondele paye encore aujourdhui, car sans le vriable Roi promis par Dieu parmi les descendans de

David, le pouvoir de Dieu ne rside plus dans le cur des chefs das e des minisres. MaisSaan ire avanage remplacer le pouvoir royal du David vivan. Que le malheur du monde seragrand avan que les hommes puissen comprendre cee vri. La vri es aujourdhui dans le

cur de peu dhommes lus e cachs, mais, dans ces hommes, il y a ous les pouvoirs du Dieuvivan qui veu e peu druire ous les usurpaeurs des pouvoirs vriables...

Lere du 20 novembre 1972

Lamour du cur de la France royale, parie de la royau sorie de la descendance de Davidressor ressusci en ses hriiers... Le pouvoir de royau de David doi RVEILLER dans lescurs des Franais lamour de la ROYAUT DE DIEU qui a en France son berceau. LA VRAIEGRANDEUR de la France es le pouvoir royal de David qui fu en erre de France, dans le sangdu roi Louis XVI e de Marie-Anoinee.

La France fu pardonne par le grand cur du roi Louis XVI e de Marie-Anoinee, morsVICTIMES pour le Chris par la bruali de la be (la rvoluion diabolique) .

Le pardon du Roi Louis XVI a mainenu la France le droi la grandeur de la royau deDavid, qui es AMOUR e HUMILIT, celui de reconnare, dans le monarque, le pouvoir delamour divin...

Dans le silence e la prire, Dieu choisira ses lus pour le bien de la France e du monde, ...pouvoir divin e humain du grand monarque du sang royal de France .

Inuile de dire lmoion inense que jai ressenie la lecure de ces documens relaan lapense inspire du Padre Pio !


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LE SAINT SUAIE

Fau-il ajouer que, le 19 ao 1983, jai reu une lere dun ami, Monsieur M. O., ancienlve de Polyechnique, me faisan par de la remarque quil avai faie dans quare reproducions

dun livre quil menvoyai pour avoir mon avis. Ce livre es celui de deux savans amricains,Sevenson e HabermasLa Vri sur le Suaire de Turin. Ce ami croi avoir remarqu sur cesreproducions que la ache de sang qui ses coule de la plaie faie par la lance qui a ouver le Curde Nore-Seigneur reproduisai leffigie de profil du oi Louis XVI en buse. Jai immdiaemencompar avec un mdaillon que jai oujours dans mon bureau reprsenan de profil les esdu oi e de la eine Maryrs e celle du jeune Dauphin Louis XVII e qui conien galemendes cheveux de la eine e des parcelles des grands Cordons du oi e du jeune Prince. Je doisreconnare que la ressemblance es frappane. Jai donc aussi cri un ami, qui joui deceraines communicaions dEn-Hau e auquel Pie XII avai confi ceraines missions dlicaes,pour lui demander sil pourrai me donner des lumires ce suje.

Es-ce une dlicaesse de la Providence ? Je le pense. Le mme soir, e alors que ma lere lui adresse nai pas encore parie, ce ami ma lphon. Je lui ai alors expos la quesione, immdiaemen, il ma di : Ces vrai ! provoquan chez moi lune des plus grandesmoions de ma vie, car son affirmaion consiuai la plus bouleversane e la plus ranscendaneconfirmaion de oues mes recherches, de mon amour passionn de Dieu, de la France e du oi,cee rilogie incarne dans un mme Idal e une mme Foi !

Ce sang de la plaie du Sacr-Cur, qui reprodui ainsi 1760 ans auparavan le profil du oiLouis XVI, naurai-il pas pour bu dannoncer prophiquemen que le Grand riomphe duChris, Fils de Dieu, Dieu Lui-mme, se produira par le Grand Monarque qui sera ou la foisSon Image e Sa eprsenaion comme aussi celles du oi Maryr qui fu le premier Souverain consacrer son oyaume e sa Personne au Sacr-Cur e fu lui aussi limage e le reprsenan duChris dans lordre emporel e aussi dans le maryre pour le salu de son peuple, OI-MAYdon le Grand Monarque descendra...

Voici la rponse de mon ami, en dae du 1er sepembre 1983 :

Bien cher Ami,

Je viens enfin rpondre vore lere du 19 ao en vous prian de bien vouloir mexcuser dureard vous donner saisfacion. Dans cee lere, relaive louvrage iniul :La Vri sur leSuaire de Turin, vous meez laccen sur le fai que parmi les reproducions du Linge sacr quecompore ldiion, sur quare denre elles il exise, sur la plaie du Cur du Chris, une ache desang qui es bouleversane an elle ressemble au porrai de Louis XVI. E vous me demandez

de vous donner mon senimen ce suje. Ces bien voloniers que jacquiesce vore dsir, necroyan pas faire ainsi uvre mraire.

ou bien pes, je puis vous dire que je crois fermemen, raisonnablemen, que vous ne vousrompez pas. ou es di clairemen, chacun es mme de le comprendre, e el que le fai esprsen il appara indiscuable, e ds lors on laccepe ou bien on le refuse. E rien daure !

Dcouvere inaendue, ceres, mais qui na rien dinvraisemblable e que lon peu expliquerquand on conna la dvoion au Sacr-Cur e les horizons quelle dvoile ses fidles. Edemble, un argumen en faveur de lauhenici du fai, simpose lespri.


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Je mexplique. En effe, si lon se rfre aux paroles du Sauveur dans ce que lon appelle :Les Douze grandes Promesses lesquelles fon parie ingrane des Grandes Rvlaions,on y rouve, la onzime promesse, celle-ci :

Les personnes qui propageron cee dvoion auron leur NOM inscri dans Mon Cur eil nen sera jamais effac.

Dans le cas qui nous occupe, nous avons bien plus quun nom, nous avons un visage, e lequel ?Celui du oi Louis XVI. Mais ceci an, pourquoi ne pas admere que la promesse formuledans la forme rappore, pourrai oujours, selon le bon plaisir de Son Aueur, prendre une aureforme dexpression plus excellene e plus approprie Ses vues, selon les emps e les momens ?

Aussi, quand on se rouve en prsence dune ralisaion nouvelle, mais frappane, pourquoi endouerai-on ? La Foi nes-elle pas l pour nous aider e nous clairer ?

Mais encore, ds lors quil sagi, lvidence, du oi-Maryr, de celui qui, en an que monarquefu le premier consacrer son royaume, sa Personne, au Sacr-Cur de Jsus, commen ne pascroire ? E croire lauhenici du fai consa.

Ceres, on le sai bien, de cee conscraion cerains on os dire : uvre vaine, sans

lendemain, car nous y sommes ce lendemain inaendu, car, considrer les choses dansla lumire dEn-Hau, commen ne pas voir que lace accompli par linforun monarque duransa capivi au emple, pour ardif quil f, dans le emps, sinscri nanmoins dans lernelprsen de Dieu, avec oues ses consquences, e parmi celles-ci le fai indniable quen ou ade cause lace accompli rpondai pleinemen laene divine.

Do il sensui que son caracre solennel demeure enier e que, de surcro, en raison mmede sa prenni, il se rouve que son acuali subsise encore e simpose delle-mme.

Cela me para viden e surou conforme la logique divine si souven mconnue ousimplemen oublie !

Aussi bien, ne nous onnons pas de la prsence dun el signe dans le Sain Suaire de urin.

Un signe qui, dailleurs, se rvle aussi charg de sens quand on y regarde de prs e que lonconsae quil se produi, jusemen, lheure o la dvoion au Sacr-Cur es considre, mmedans lEglise acuelle, hlas, comme une chose dfiniivemen rvolue, parce que dpasse au regard des innovaions inervenues depuis Vaican II. andis que, par ailleurs e dans le mmeemps, ou ce qui serai de naure voquer la oyau, es insidieusemen combau, sous lesformes les plus diverses e les plus subiles, en prenan bien soin de ne jamais parler de lobjelui-mme : la oyau. Par conre, on exale lenvi la voluion, ses principes, ses uvres eses idoles, la dmocraie, la liber, la fraerni, les drois de lhomme, la rpublique, le progrs,les loisirs... !

E dans ce abme sans fond, cerains voudraien bien que ou y passe , ces--dire vingsicles de civilisaion chrienne, mis en pices ou jamais. E sous la frule du Pouvoir occulequi dirige e gouverne le monde, ou y conribue acivemen, la presse, la radio, la lvision,uilises souhai pour appauvrir, en aendan de les voir disparare, oues les valeurs spiriuellesles plus nobles qui on fai la grandeur de la France e conribu son rayonnemen dans lemonde enier.

Mais alors, e pour en revenir au signe sacr que nous prsene le Suaire de urin, commenne pas voir, en ou cela, que le Seigneur des Seigneurs e le oi des ois, le Chris-oi enfin,enend faire prvaloir la face dun monde omb dans limpi, lidolrie e lincrduli, le


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caracre irrcusable e irrversible de Ses desseins e de Ses dons, en Se manifesan de faonaussi singulire, mais combien loquene, comme nous venons de le voir.

Il y aurai beaucoup dire sur un el suje, mais voici qui rsume, en quelque sore, e cesde dire : Ne croirai-on pas, bien des indices, ne serai-ce quen se rfran lhisoire dela dvoion (Hamon S.J.) que le Chris ne cesse de mere au poin la Grande Quesion des

vlaions de Paray-le-Monial ? Voil qui en di long, nesce pas ? Eh bien ! Ces ou cela quvoque le langage, mysrieux

de prime abord, du Suaire de urin. elle es ma pense.

Jarrive mainenan un fai dun aure genre, diffren dans sa naure, mais idenique quanau fond, ou ce que nous venons de voir. Ce fai, le voici :

Cai il y a dix ou quinze ans, Orlans, lors des Fes clbres en lhonneur de saine JeannedArc. Parmi les nombreuses personnalis invies, se rouvaien le Cardinal Cerejeira, Pariarchede Lisbonne, e le Prince Xavier de Bourbon-Parme. E voici qu la sacrisie de la Cahdrale, lePrince Xavier, abordan le Cardinal, se rouva amen lui demander si, dans le roisime secrede Faima, il y avai quelque chose concernan la France. Le Cardinal, nullemen surpris,

sempressa de rpondre au Prince : Oui, il y a quelque chose concernan vore Parie .

Sur quoi, le Prince Xavier, respecueux du silence observ par lEglise, remercia le Prla, sanschercher savoir en quoi consisai ce quelque chose.

Un dail hisorique, parmi bien daures, mais qui monre que Nore-Seigneur ne cesseen effe, de mere au poin la grande quesion des vlaions de Paray-le-Monial.

Voil, rs cher Ami, ma rponse vore lere. Je crois que pour avoir aendu aussiconsidrablemen vous accueillerez mes dires avec grande joie, comme je le souhaie...


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LA BIBLE

Je mexcuse de ce long prambule. Il ne me para pas inuile, car il claire la quesion. Venons-en mainenan aux documens.

A D N-S

T S V M

Je vous rappelle ou dabord que lascendance davidique de Nore-Seigneur par Sa Mre esrelae dans lvangile de sain Luc. Cee ascendance ai double, car la eine du Ciel e de ouela Craion avai pour ancres deux des fils de David : le oi Salomon, don la descendance esrelae dans lvangile de sain Mahieu, e Nahan don la posri a dcrie par sain Luc.En effe, Elazar, au ving-quarime degr de la descendance de Salomon e arrire-grand-prede sain Joseph, eu une fille qui pousa Lvi, le grand pre de sain Joachim, Pre de la rs Saine

Vierge, e aussi de sain Joseph dArimahie, don je vous parlerai ou lheure.Ajouons que par sa Mre, Saine Anne, Marie descendai des Grands-Prres. oues ces

gnalogies son inscries dans la Bible.

I B

Mais ou dabord ques-ce que la Bible ? Elle es compose de lAncien esamen e duNouveau. Ouvrons le Dicionnaire praique des connaissances religieuses de lAbb Bricour(d. 1925, . 1, p. 795) : La Bible es la collecion officielle (canon) des livres que lEglisea reconnus comme INSPIS... Les raionalises, les proesans e les modernises on nilinspiraion de la Bible. Pour nous, Caholiques, la Bible a INSPIE par Dieu ; nouscroyons que Dieu en es laueur, de sore que les livres qui la composen son sacrs e divins, e,par consquen, vrais e infaillibles de la vri e de linfaillibili mme de Dieu .

De son c, lAbb Fillion, Professeur dEcriure saine lInsiu Caholique de Paris, dansson magisral ouvrage :La Saine Bible commene daprs la Vulgae e les exes originaux(. 1,p. 1, d. 1925) cri dans son Inroducion :

ymologiquemen, ces le livre par excellence, le livre des livres... Quy a-il donnan


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ce que la Bible soi le plus beau, le plus riche, le plus uile, le plus parfai e le plus sain des livres,puisquelle a Dieu Lui-mme pour aueur ? ... Qui quidem Veeris e Novi Tesameni libri, inegricum omnibus sis paribus..., Spiriu Sanco inspirane conscripi, Deum haben aucorem , a di leConcile du Vaican I (Sess. III, Cons. dogm., c. II), la suie du Concile de rene (Sess. IV).

On le voi par ces dfiniions officielles, ce qui fai de la Bible enire un livre divin e la

parole de Dieu dans le sens sric, ces linspiraion en veru de laquelle oues ses paries on composes .

LAbb Moreri, doceur en hologie, cri dans son Grand Dicionnaire Hisorique(diion 1759, . II, p. 450) : On donne communmen ce nom (Bible) la collecion deslivres cris par linspiraion du Sain-Espri .

Dom Calme, bndicin, dans son Dicionnaire Hisorique, criique, chronologique,gographique e liral de la Bible (2 diion, 1730) cri rs judicieusemen dans sonchapire prliminaire : Comme les saines Ecriures son louvrage du Sain-Espri, on nepeu les enendre sans Son secours e sans Sa lumire, quon doi Lui demander avec insisancee persvrance. Si lon nappore cee ude quun espri de curiosi e de criique, on ny

rouvera jamais ldificaion e les lumires quon doi y chercher, e que Dieu ne communiquequaux pauvres despri e aux humbles de cur. On ne doi sy prsener que dans l humili, ladocili, e la simplici des enfans de Dieu . (p. 3)

Il es inconesable que les recherches archologiques aussi bien quhisoriques e la dcouveredes manuscris de la Mer More confirmen pleinemen la vri de la saine Ecriure e desvangiles, comme aussi les recherches amricaines sur le Sain Suaire de urin.

Deux savans, Sevenson e Habermas on publi, sur ces dernires recherches qui remonen 1978 une remarquable ude qui confirme e prouve les vangiles : La Vri sur le Suaire deTurin Preuves de la mor e de la Rsurrecion du Chris. ous les Chriens devraien avoir ceouvrage.

Le suje que jai raier aujourdhui va mobliger vous cier longuemen lAncien esamen.Inconesablemen cee ude es ardue e je vous prie de men excuser.

Dans leurs recherches, rop de savans e dhisoriens se refusen consuler la Bible parorgueil e souven par hosili ou ce qui a un caracre religieux. Volonairemen ainsi, ilsse fermen la source des ceriudes e des lumires ncessaires leurs udes, car la Bible es laparole de Dieu qui, Lui, ne Se rompe pas, e elle es suscepible dclairer ou ce qui peu reuile lhomme.

L N T

Ouvrons lAncien esamen.La Bible di que No, qui ai le dixime degr de la filiaion humaine, eu rois fils e que

leur posri peupla le monde aprs le dluge (Gense, IX, 1 e 1819). Deux de ses fils furenles ascendans des races qui nous inressen : Sem, laueur des Maisons de Juda e dIsral, e

Japhe ancre des peuples europens. Cham eu lgype e lAfrique.


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L J

Juda, au ving-quarime degr depuis Adam, frre de Lvi, lancre des Grands Prres, ede Joseph qui devin le premier minisre du Pharaon dgype, Juda, dis-je, eu deux fils de la

Syrienne amar e la Bible prcise : Comme elle fu sur le poin denfaner, il paru quil yavai deux jumeaux dans son sein. E lorsque ces enfans aien prs sorir, lun des deux passasa main laquelle la sage-femme lia un ruban carlae, en disan : Celui-ci sorira le premier .Mais ce enfan ayan reir sa main, laure sori. Alors la sage-femme di : Pourquoi le murses-il divis cause de oi ? Ces pourquoi il fu nomm Pharez. Son frre qui avai le rubancarlae la main sori ensuie e on le nomma Zara . (Gense, XXXVIII, 2730).

Si la Bible donne ces prcisions, ces cerainemen pour airer nore aenion, car elle nedi rien sans raison, e un aueur amricain, H. W. Armsrong, cri rs jusemen : Pourquoila Bible nous raconerai-elle cee range hisoire, moins que la brche nai plus ardPAE enre les deux frres ? oujours es-il quelle ne le fu poin de leur vivan. Le fu-elleenre leurs descendans ?

David, Sdcias e Jsus aien de la branche de Pharez e non pas de celle de Zara.Considrons prsen ce qui sui :

Pour que la brche soi rpare le SCEPE devra passer de la ligne de Pharez celle1.de Zara.Un el ransfer neu jamais lieu avan le rgne de Sdcias, qui apparenai la ligne de2.Pharez.Il sensui que le ransfer a d avoir lieu APS la mor du roi Sdcias.3.

Afin que la ligne de David (Pharez) res PEPUI sur le rne, il fallai que, par4.un ENVESEMEN des rles, un mariage e lieu enre les HIIES de la ligne

de Pharez e ceux de la ligne de Zara. Daprs lhisoire, les descendans de Zara devinren des nomades e se dirigren au nord-es, dans le errioire des Scyhes, pour rejoindre les dix ribus.

Mais andis que la ligne PHAEZ-DAVID-SDCIAS (que la Bible appelle HAUEe LEVE) possdai encore le SCEPE, la ligne de Zara (appele BASSE e ABAISSE)aspirai oujours aux honneurs de le possder un jour(1).

Or Pharez fu laueur de la branche royale de Juda e Zara des ois royens, aueurs eux-mmes des Sicambres, don lun des chefs, Marcomir IV, ancre direc e salique des roisbranches des ois de France, avai pous Ahildis qui descendai la sixime gnraion dAnna,cousine germaine de la rs Saine Vierge e fille de sain Joseph dArimahie don lancre

commun ai le oi David, par Salomon e aussi par Nahan.Le SCEPE passa donc saliquemen de la branche de Pharez celle de Zara e aussi ladescendance de David assure dans la branche de Zara par plusieurs mariages, noammenpar Anna e Ahildis, ci-dessus menionnes e, anrieuremen, par ea-ephi, la propre filledu dernier roi de Juda par les ois dIrlande e dEcosse, ancres de la plupar des MaisonsSouveraines europennes, ainsi que nous allons le consaer.

1 - Herber W. Armsrong : Les Anglo-Saxons selon la prophie, p. 20. (Ambassador College 1961 e 1965, Pasadena en Californie aux as-Unis) Ce aueur, au lieu de Zara e Pharez, les nomme Pres e Zrach. LesProesans appellen Chroniques les Paralipomnes.


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ouvrons lAncien esamen.

Lernel di Abram : Va--en de on pays, de a parie, e de la maison de on pre, dans lepays que Je e monrerai. Je ferai de oi UNE GRNDE NAION e oues les familles de laerre seron bnies en oi . (Gense XII, 13)

rs jusemen, le mme aueur amricain, Herber Armsrong, ajoue : emarquez donc laDOUBLE naure de cee promesse, lune PHYSIQUE, e laure SPIIUELLE :

La promesse physique se rappore la RCE les descendans dAbraham doiven former1.une GRNDE NAION ;La promesse spiriuelle a rai la GCE : oues les familles de la erre seron2.BNIES en a posri . Voil donc la promesse de la GCE, par le Chris une seuleposri, elle quelle es dcrie dans Galaes (III, 8, 16), Jsus de Nazareh ai en effelun des descendans dAbraham .

Je vous cie la Lere de sain Paul aux Galaes, ce suje : Aussi lEcriure, prvoyan queces par la Foi que Dieu jusifierai les naions, la annonc davance Abraham : oues lesnaions seron bnies en oi (III, 8). Or les promesses on faies Abraham e sa posri.Il ne di pas : E ses posris, comme sil sagissai de plusieurs ; mais il di, comme parlandun seul : E a Posri, qui es le Chris . (III, 16)

eprenons le exe dHerber Armsrong (op. ci., p. 4) : La promesse de faire une GRNDENAION des descendans dAbraham non pas de la SEULE POSI (le Chris), maisde oues les posris physiques dAbraham se rpe clairemen dans le XVII chapire de laGense : LorsquAbram fu g de quare ving-dix neuf ans, lernel apparu Abram e luidi : Je suis le Dieu ou-Puissan. Marche devan Ma face e sois parfai. Jablirai Mon alliance

enre Moi e oi e Je e muliplierai linfini u deviendras pre dune MULIUDE DENAIONS. On ne appellera plus Abram ; mais on nom sera Abraham, car Je e rends predune muliude de Naions.

Je ferai crore a race linfini ; Je e rendrai chef de Naions e des ois soriron de oi.

Jablirai Mon alliance enre Moi e oi, e es descendans aprs oi, selon leurs gnraions... (Gense XVII, 16)

rs jusemen, remarquons quil es bien parl dUNE MULIUDE DE NAIONS. Or,non moins jusemen, on doi remarquer que les Juifs ne formen quUNE SEULE NAION.Isaac reu aussi les mmes promesses de Dieu : Pour accomplir le sermen que Jai fai

Abraham vore pre, Je muliplierai vos enfans comme les oiles du Ciel... e oues les Naions

de la erre seron bnies dans Celui qui sorira de vous, parce que Abraham a obi Ma voix, quila gard Mes prcepes e Mes commandemens (Gense XXVI, 35).

L & B

udions mainenan ce que signifie dans la Bible dune par LE SCEPE e daure par LEDOI DANESSE. Pour plus de prcision, rappelons que Jacob fu appel ISRL : Jacob


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appela ses enfans e leur di : Assemblez-vous ous, afin que je vous annonce ce qui doi vousarriver dans les derniers emps. Venez ous ensemble e couez, enfans de Jacob, couez Isral

vore pre : Juda, es frres e loueron, a main sera sur le cou de es ennemis ; les enfans deon pre se proserneron devan oi... Le scepre ne sera poin de Juda, ni le Prince de saposri, jusqu ce que soi venu Celui qui doi re envoy ; e ces Lui qui sera laene des

Naions. (Le Chris)(2)

. Joseph (ces lui qui devin le premier minisre dgype) crora e se mulipliera de plusen plus ; mais ceux qui ai arms de dards lon exaspr, lon querell e lui on por envie. Ila mis son arc e sa confiance dans le rs For, e les chanes de ses mains e de ses bras on rompues par la main du ou-Puissan de Jacob. De l es sori le paseur e le rocher dIsral. LeDieu de on pre sera on proeceur, e le ou-Puissan e comblera des bndicions du haudu ciel... Les bndicions que e donne on pre surpassen celles quil a reues de ses pres ; eelles dureron jusqu ce que le dsir des collines ernelles soi accompli. Que ces bndicionssur la e de Joseph, e sur le hau de la e de celui qui es un nazaren enre ses frres... Ce sonl les chefs des douze ribus dIsral... (Gense XLIX, 128).

Mais il es cri dans le Livre I au chapire V des Paralipomnes, verse 2 : Or Juda ai leplus vaillan de ous ses frres, e des princes son soris de sa race ; mais le droi danesse fuconserv Joseph .

Or Joseph ai le dernier des fils de Jacob-Isral. Il ai n lan du monde 2259, soi en1741 avan J. C. Dieu manifesai ainsi une fois de plus Sa volon quan Son choix venuelconcernan la dsignaion du oi. E dans la suie, Jacob-Isral allai son our, sous linspiraiondivine, confirmer le choix divin de celui qui jouirai du droi danesse lenconre de celui quiai rellemen lan.

Le pharaon fi pouser Joseph, Aseneh, fille de Puiphar, prre dHliopolis, e de Zoleika,qui ai fille du pharaon, don il eu deux fils : Manass e Ephram(3).

Joseph, ayan appris que son pre ai malade, vin le voir. Jacob di Joseph : Le Dieuou-Puissan ma apparu Luza, qui es au pays de Chanaan, e, mayan bni, Il me di : Jeferai crore e muliplier vore race ; Je vous rendrai le chef dune muliude de peuples...

Avan de mourir, Jacob-Isral bni ses deux peis-fils e di Joseph : Que le Dieu enla prsence de qui on march mes pres Abraham e Isaac, le Dieu qui me nourri depuis majeunesse... Que lange qui ma dlivr de ous maux, bnisse ces enfans, quils poren mon nome les noms de mes pres Abraham e Isaac, e quils se muliplien de plus en plus sur la erre...

Jacob les bni e di : Isral sera bni en vous, e on dira que Dieu vous bnisse comme Ephrame Manass . Ainsi, il mi Ephram avan Manass. E il prcisa pourquoi il faisai passer le cadeavan lan : Je le sais, mon fils, je le sais ; lui aussi (Manass) sera chef de peuples e sa racese mulipliera ; mais son frre, qui es le plus jeune, sera plus grand que lui e sa posri se

mulipliera dans les naions . (Gense XLVIII, 3, 1520) (4).Le DOI DANESSE es un droi qui apparien, sa vie duran, ou an mle

2 - De fai, aprs la mor du Chris, la branche direce mle de David sera care du rne de Juda, puisquellelai en fai depuis la capivi e la mor du roi Mahanias auquel Nabuchodonosor donna le nom de Sedecias enlinsiuan roi de Juda. Avec lui avai fini poliiquemen le royaume de Juda lan du monde 3.416. E les drois duSCEPE e aussi le DOI DANESSE passren une aure branche qui fu la branche ane salique, celle desois royens ancres direcs par les Sicambres des ois de France, ainsi que nous allons le monrer.3 - Dom Augusin Calme,Dicionnaire de la Bible , . II, p. 806 814, 2 d., 1730.4 - En effe, Jroboam, de la ribu dEphram, fils de Naba, devin le premier roi dIsral en 3029 du monde (DomCalme, ibid., p. 685-686).


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concernan le DOI LA COUONNE, pour les Familles Souveraines, ou au ire pour lesfamilles nobles, e qui sapplique plus spcialemen lhriage mariel e poliique, mais quicomprend galemen lhriage spiriuel aach par radiion lhriage poliique e mariel.Le SCEPE es linsigne e dans la Bible reprsene la promesse divine garanissan unesuccession ininerrompue de ois, don le personnage culminan, Nore-Seigneur Jsus-Chris,

viendra rgner en an que OI DES OIS. Le SCEPE conien donc la promesse du saluernel PA JSUS-CHIS ou Ses reprsenans. Il relve donc du domaine de la GCE.Mais cee promesse spiriuelle sapplique oues les naions, oue craure humaine qui peure rachee par le Chris. Le SCEPE es all Juda, alors que le DOI dANESSE a aribu Joseph, donc deux ribus diffrenes dISRL. Ces la raison pour laquelle Nore-Seigneur a di : Le SALU vien des Juifs nous di sain Jean dans son vangile (IV, 22),parce que le Chris es n de la race juive de Juda, simple peie parie dIsral, mais lApre sainPaul comple dans sa Lere aux omains :

...Lvangile ...es une force de Dieu, pour le salu de ou croyan, premiremen du Juif,puis du Grec comme des aures naions. Je me dois aux Grecs e aux Barbares, aux savans e auxignorans. (...) Car la jusice de Dieu y es rvle par la Foi E pour la Foi, ainsi quil es cri :

Le Juse vivra par la Foi .

H D

appelons que Joseph fi venir son pre e ses frres en gype avec ous les leurs. Le pharaonleur donna une conre quils peuplren si rapidemen que cela excia la jalousie, la mfiance,enfin la perscuion de ce peuple. Alors naqui Mose qui, sur lordre de Dieu ramena le peupledIsral vers la erre Promise ; ces au cours de ce reour queu lieu le passage de la Mer ouge e

la desrucion de larme gypienne, puis la manne lors de la raverse du dser e le passage aumon Sina o Mose reu le Dcalogue. Ce dernier ayan alors seni sa fin prochaine, demanda Dieu de nommer celui qui devai conduire le peuple dIsral e Dieu dsigna Josu, qui, dansla guerre conre les Amalcies, avai mis lennemi en droue. A larrive du peuple au borddu Jourdain, Dieu renouvela le miracle qui sai produi lors du passage de la Mer ouge e

Josu se rendi mare de ou le Pays de Chanaan, ces--dire de la Palesine. Le pays fu alorsparag enre les douze ribus dIsral o elles furen gouvernes par les Juges jusquau jouro elles demandren un oi. Mais leur premier oi, Sal, ayan voulu socroyer les pouvoirsecclsiasiques, a reje dans sa descendance, car il devai ainsi servir dexemple de ce quunoi ne devai jamais faire(5). Alors le choix de Dieu se pora sur David qui reu de lernel lesermen de prenni pour sa race, sermen que Dieu in oujours respecer, mme quand la

descendance de David fu infidle.Sermen que Dieu renouvela Salomon.

Alors que David voulai lever le emple en lhonneur de Dieu, Dieu lui di que ce ne serai paslui mais son fils qui lverai la maison du Seigneur e Salomon le reconna (II Paralipomnes, VI,10 e suivans) : Ainsi le Seigneur a accompli la parole quIl avai die. Ces moi qui ai succd David, mon pre. Je suis assis sur le rne dIsral comme le Seigneur lavai di e jai bi une

5 - Ce que, dans la suie des sicles, on fai les ois dAngleerre e la plupar des dynasies proesanes.


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maison au nom du Seigneur Dieu dIsral. E il di : Seigneur Dieu dIsral, il ny a poin deDieu semblable Vous au ciel ni sur la erre ; Vous qui conservez lalliance e la misricordeavec ceux de Vos servieurs qui marchen devan Vous de ou leur cur... Accomplissez doncmainenan, Seigneur Dieu dIsral, en faveur de David mon pre, Vore servieur ou ce que

Vous lui avez promis, en disan : Vous ne manquerez poin dhriiers, qui soien assis devan

Moi sur le rne dIsral ; pourvu ouefois que vos fils veillen sur leurs voies, e quils marchendans lobservance de Ma loi, comme vous avez march en Ma prsence ...

E au chapire VII, verses 11-20 : Salomon acheva donc la maison du Seigneur e le palaisdu roi, e il russi dans ou ce quil sai propos de faire, an dans la maison du Seigneur quedans son palais.

E le Seigneur lui apparu la nui e lui di : Jai exauc vore prire e Jai choisi pour Moice lieu comme maison de sacrifice...

E vous-mme, si vous marchez en Ma prsence, ainsi que David vore pre y a march, sivous agissez en ou selon ce que Je vous ai prescri, e que vous gardiez Mes prcepes e Mesordonnances, Je conserverai le rne de vore rgne, ainsi que Je lai promis David vore pre, en

disan : Vous aurez oujours des successeurs de vore race, qui seron princes dIsral. Mais si vous vous dournez de Moi, si vous abandonnez les lois e les ordonnances queJe vous ai proposes, si vous allez servir des dieux rangers e que vous les adoriez, Je vousarracherai de Ma erre que Je vous ai donne, e Je rejeerai loin de Moi ce emple que Jaiconsacr Mon nom, e Jen ferai une fable e un exemple ous les peuples...

C S

Salomon, ayan dsobi au Seigneur e ayan ador Asharhe, desse des Sidoniens, Chamos,dieu de Moab e Moloch dieu des enfans dAmmon, Dieu lui di : Parce que vous avez agi

ainsi e que vous navez pas gard Mon alliance, ni les commandemens que Je vous avais fais, Jedchirerai e diviserai vore royaume e Je le donnerai lun de vos servieurs. Nanmoins Je nele ferai pas pendan vore vie, cause de David Mon servieur e de Jrusalem que Jai choisie (III ois XI, 1113), e Il di Jroboam, linendan de oues les ribus de JOSEPH don ildescendai : Je vous donnerai dix ribus... e vous serez roi sur Isral (idem XI, 3137).

Ces donc ce momen quIsral ses divis en deux naions : les juifs sous le rgne desdescendans de Juda, conservan deux ribus, e les Isralies comprenan les dix aures ribus.

La premire fois que la Bible emploie le erme de Juif, ce fu lorsque le royaume de Juda fu enguerre avec le royaume dIsral e il ne fu employ quavec le royaume de Juda.

L I

Mais Jroboam, le roi dIsral, qui ai de la ribu dEphram, ayan invi ses peuples adorerdeux veaux dor e profaner le sabba, le chimen devai sensuivre : Le Seigneur conu doncune grande indignaion conre Isral e le rejea de devan Sa face, e il ne demeura plus que laribu de Juda. Alors le Seigneur abandonna oue la race dIsral e ce fu la dporaion


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Babylone (IV ois, XVII,18-20).

E la Bible au Livre IV des ois (XVII, 6) ajoue : La neuvime anne dOse, le roi desAssyriens pri Samarie e ransfra les Isralies au pays des Assyriens... e dans les villes desMdes .

Les dix ribus dIsral, dpores loin de leur pays, ne renrren pas en Palesine mais perdiren

leur ideni naionale. Lhisorien juif prcise : Les dix ribus dIsral forman une immensemuliude se rouven jusqu ce jour au-del du fleuve de lEuphrae (Aniquis Judaques,. I, ch. 5).

Elles se dispersren dans le monde parmi les genils, plus pariculiremen vers lOcciden.

Parmi les populaions israliennes ransplanes par Nabuchodonosor en Assyrie, cerainessenfuiren avan lcroulemen de lempire assyrien, vers 609 avan Jsus-Chris, e ellessinsallren le long de la Mer Caspienne e de la Mer Noire. Lors de ce croulemen, les auresribus reses jusqualors sous le joug furen rejees plus loues, vers lEurope occidenale edevinren nomades.

Didier Aparian cri : Alors que les Assyriens nommaien Bikhumeryle gros des ribus

isralies, les Grecs les connaissaien sous le nom de Cymryou Kimmeroi, do proviennen lesermesCimbrese Cimmriens. Les Cimbrese les Cimmriensvenaien de la Mer More .

On les rouve ensuie au nord du Pon-euxin. Aux environs du sepime sicle, ils furenchasss par des ribus venan du nord de lAsie e qui sappelaien les Scyhes, ce qui expliquequon les ai confondus avec ces derniers, cependan cerains hisoriens appellen ceux que lesScyhes envahiren les Sacae(6), qui en rali naien que les Cimmriensdorigine isralieparmi eux.

Or, lApocalypse de sain Jean (III, 9) prcise : Voici, Je e donnerai de ceux qui son dela synagogue de Saan, qui se disen Juifs e ne le son poin, mais qui menen ; voici, Je feraiquils viennen e quils se prosernen es pieds, e ils sauron que Je aime , (Ecce dabo

de synagoga Saan, qui dicun se Jud esse, e non sun; sed meniunur...) (La Saine Biblecommene daprs la Vulgaepar lAbb Fillion, . VIII, p. 809).

Ces ribus aien les Khazars, dorigine mongole(7), qui vers le Vsicle envahiren les deuxrives de la Volga jusquau Don, loues de la Mer Caspienne appele un momenMer des Khazarse le nord-es du Pon-euxin ou Mer Noire, auour du Palus Mois, qui nes aure que lacuelleMer dAzov. Leurs Chefs au VIIIsicle se converiren au judasme e les firen circoncire.

Ceux qui envahiren la Germanie, la Scandinavie e les les Brianniques sappelren alors dunom gnral de Saxons, ou Isaacsons, les fils dIsaac.

Augusin ierry donne une indicaion inressane : Deux moignages hisoriques quiremonen au emps dAlexandre le Grand aesen lexisence dun peuple appel Kimmeri

ou KIMRI sur les bords de locan Sepenrional dans la presqule qui pora plus ard ladnominaion de JULAND

La plupar des hisoriens srieux affirmen que les Cimbres avaien habi anrieuremen la

6 - Voir : E. Coramber, Pei Alas de Gographie du Moyen-ge, planche 1 3 e 5, chez Hachee au milieu duXIX sicle. E aussi M. de Blignires, Pei Alas de Gographie ancienne, publi en 1833 la mme librairie. Cedernier place les Sac rs les de la Mer Caspienne, au nord du fleuve Jakares qui se jee les, au milieu decee mer.7 - Ce que confirmen les rois ouvrages suivans : Arhur Koesler,La reizime ribu, chez Calmann Lvy, Paris,1976 ; Mossad Kialik, Khazaeia, Hisoire dun Royaume Juif en Europe, el Aviv, 1951 ; Vernadsky,Ancien Russia,Yale Universiy Press, 1943.


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valle du Danube. Or lhisoire monre quune fille de Priam, oi de royes, pousa Memnondo la 22gnraion Odin qui pousa Frea, peie fille de Lucius frre dAhildis, lpouse deMarcomir IV. Odin qui es lorigine des diffrenes maisons saxonnes (voir Koch. . II, able 2Il arrivai de Scyhie, environ 120 ans avan J.C.). Odin don la myhologie scandinave a fai undieu.

gine Pernoud, dans sonHisoire des Gaulois, cri : A lpoque de la ne (vers lan500 avan Jsus-Chris) les Celes non pas encore dhisoire propre-men die, ils ne formenpas un empire, mais une sore dagrga de peuples qui semblen avoir assez mouvans (LesGaulois, p. 3132) ;

e ierry les assimile aux Cimbres : Ces le dernier de ces jalons qui raache les Kimmeroidu Pon-euxin aux Cimbres du Juland, aux Belges de la Gaule, aux Breons dAlbion, e nousamne reconnare que dans ce grand peuple rsidai le noyau de la seconde des races gauloises,e que son nom si ancien, sire nomm, si endu, nai que le nom mme de cee race .(Hisoire des Gaulois, inrod., p. 70)

Plusieurs ribus dIsral aien ablies dans le pays de GALAAD e, au emps du Chris cee

rgion sappelai aussi GAULONIIS. Il convien de rapprocher ce nom de rgion de Galaes eGalli ou Gaulois qui fini par re donn aux habians de la Gaule une fois que ses habians syfuren insalls.

Daure par, Funck Brenano cri : Ce nom CELE, ils (les Celes) SE LAIENDONN A EUX-MMES. On les nommai aussi Galaes. Les omains les appellen Galli .(Les Origines).

Ainsi les appellaions Celes, Galaes, Galli e Gaulois sappliquen au mme peupledon lorigine ai Isral. E il y a lieu de remarquer que ces appellaions son lorigineymologiquemen de Valaques, Walah, Wales, Welsch, Galles e aussi Gael. Or le mo hbreuGLH, qui se prononai GAULAU signifiai EXIL e il napparu dans la Bible au deuximelivre des ois (XV, 19), quau momen o les habians de Galaad e de la Galile furen emmenscapifs en Assyrie.

rs jusemen, le Come de Place, dans ses Problmes Hraldiques(p. 11), cri : Lesribus se son succd, pousses les unes les aures jusquau momen o la Providence a vouluque les ribus dIsral se rpandissen avec leurs chefs ravers lEurope e que les descendansde la Maison de Juda vinssen en Gaule qui, dans les dcres ernels devai re le nouveaupeuple choisi, Isral ayan reje lArche dAlliance .

Ajouons que lAbb Boude, Cur de ennes-les-Bains, dans lAude, a publi en 1886 uneude,La vraie langue celique e le Cromleck de Rennes-les-Bains, dans laquelle il cri : LaGaule a le poin cenral de lablissemen dfiniif de la famille celique dans les conresoccidenales de lEurope (p. 1), e il ajoue : Les Gals, descendans de Gomer, fils de Japhe,

pariren de lAsie Mineure une poque que lon ne peu prciser, se rpandiren dans la Gaule,en refoulan les Ibres vers le sud, les Ligures vers les... Les Kimris formaien la seconde branchede la famille gauloise. Les Grecs les nommaien Kimmerioi e les omains les appelaien Cimbri.En lan 631 avan Jsus-Chris, les peuples scyhiques, au rappor dHrodoe, fondiren surles bords du Palus Moide e poussren devan eux les Kimris qui se dirigren vers le soleilcouchan sous la conduie de Hu-ar-Bras, remonren le cours du Danube e envahiren la Gaulepar le hin. Suivan les radiions kimriques, Hu-ar-Bras ne sabli poin dans la Gaule, mais ilraversa lOcan brumeux e conqui sur les Gals lle dAlbion (p. 2 e 3).


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E il fai une ude remarquable sur les rappors exisan enre la langue hbraque e la languecelique.

Daure par, Sir William Jones, fondaeur de laSoci Asiaiquede Calcua, avai consa lesrapprochemens qui simposaien enre le sanscri, le grec e le lain e il pensai que le celique ele gohique avaien la mme origine que le sanscri e dans son ouvrageEasern Origin of Celic

Naions, le philologue Prichard prouve irrfuablemen que la langue celique es la LIAISONINEMDIAIE enre lhbreu e les langues INDOEUOPNNES.

Un aure aueur, Didier Aparian dansLes Pays de langue franaise selon la prophie, comparebien des mos de ces diffrenes langues e monre leur ymologie commune.

Enfin le Pre Hilaire de Barenon, un savan capucin qui fu en mme emps un sain religieux,a publi oue une srie douvrages ous plus remarquables les uns que les aures e qui sonindispensables : La Bible e les origines de lHumani, LOrigine des langues, des religionse des peuples(1932), LOrigine des grammaires, Le Mysre des Pyramides e la chronologiegypienne, sans oublierAbraham en gype e ChanaaneJoseph en gype e la dynasie desHyksos.

En effe, ou fai lorigine les anciens habians de nore Pays aien les Ibres quidescendaien de Japhe mais ne laissren que peu de races e franchiren les Pyrnes. Javan,fils de Japhe, eu plusieurs fils : odanim, ancre des habians de hodes e des populaionsqui sinsallren lembouchure du hne ; Elie, ancre des Grecs e des Lains ; enfinarsisa sinsalla ou dabord en Asie Mineure o il aurai fond le por de arsis avan que sesdescendans se soien insalls dans la Ligurie, en Ialie.

Les Gaulois, par conre, consiuaien le fond de la populaion avan les Francs e aiende race celique. Je vous renvoie pour ces quesions aux ouvrages de Jubainville, Les Premiershabians de lEurope, de Doin,Les Anciens peuples de lEurope, de Brenano,Les Origines, epour les Gaulois dAugusin ierry, LHisoire des Gaulois, sans omere les aueurs anciens :Diodore de Sicile e Srabon.

L J

La ribu de Juda, elle, ne subi la dporaion que cen rene ans aprs Isral e renra ensuieen Palesine, soixane-dix ans plus ard. Mais les derniers rois de Juda rompiren les liens de

vassali que les rois de Babylone leur avaien imposs. Les consquences furen ragiquespuisquelles abouiren la desrucion du oyaume de Juda, permis par Dieu en puniion delimpi des derniers rois Joakim e Sedecias.

L J

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Alors le prophe Ezechiel annonce lpe du chimen de Dieu qui va frapper : Que lpesoi double, e que lpe meurrire soi riple. Ces l lpe du grand carnage, qui les faispouvaner, qui fai scher les curs e qui muliplie les ruines. A oues leurs pores Je placerai


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la erreur de cee pe perane, polie pour inceler e effile pour uer.

Car le oi de Babylone... a inerrog les idoles, il a consul les enrailles. A sa droie, le sores omb sur Jrusalem, o il dressera des bliers, commandera le carnage. Ces pourquoi ainsiparle le Seigneur Dieu : Parce que vous avez rappel le souvenir de vore iniqui e rvl

vos prvaricaions, e que les pchs on paru dans oues vos penses... vous serez pris par sa

main. Mais oi, profanaeur, chef impie dIsral, oi don vien le jour marqu pour la puniion de

on iniqui, ainsi parle le Seigneur Dieu : ez la iare, enlevez la couronne... Ainsi parlele Seigneur Dieu aux fils dAmnon, ouchan leur opprobre u leur diras : pe, pe sors dufourreau pour uer, sois polie pour massacrer e pour briller (Ezchiel XXI, 928).

Ces pourquoi, ainsi parle le Seigneur : Par ma vie, Je ferai reomber sur sa e le sermenquil a mpris e lalliance quil a rompue ; ...Je lemmnerai Babylone, e l Je le jugerai, cause de la perfidie avec laquelle il Ma mpris. E ous ses fuyards, avec oues ses roupesomberon par lpe ; ceux qui chapperon seron disperss ous les vens, e vous saurez queces Moi, le Seigneur, qui ai parl .

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Passons Jrmie don la mission a une imporance beaucoup plus grande quon le pense.Dieu la lui confia sous les rgnes des derniers ois de Juda, Joakim e Sdcias. Que di-il cesuje : La parole du Seigneur me fu adresse en ces ermes : Avan que Je eusse form dansles enrailles de a mre, Je ai connu ; avan que u fusses sori de son sein, Je ai sancifi, e Jeai abli prophe parmi les naions .

Du fai de cee bndicion anrieure sa naissance, si nous en croyons la communisdocorum senenia, cerains disen que Jrmie aurai purifi de la ache originelle ds le sein

de sa mre, comme le Prcurseur, cri lAbb Fillion, professeur dEcriure saine lInsiuCaholique de Paris, dans son ouvrageLa saine Bible commene daprs la Vulgae (. V, p. 52,10d, 1930). eprenons le rci de Jrmie : Alors le Seigneur endi sa main e ouchama bouche, e le Seigneur me di : Voici que Je ablis aujourdhui sur les naions e sur lesroyaumes, pour que u arraches e que u druises, e pour que u perdes, e pour que u dissipes,e pour que u bisses e que u planes (I, 910). E Dieu lui ordonne dannoncer : Cesde laquilon que le malheur fondra sur ous les habians du pays ; car voici que Je vais appelerous les peuples des royaumes de laquilon, di le Seigneur ; e ils viendron cause de oue lamalice de ceux qui Mon abandonn, qui on offer des libaions aux dieux rangers, e qui onador luvre de leurs mains (1416). Parlan des crimes des derniers rois de Juda, le Seigneurannonce leur chimen : Lpe es aiguise, elle es polie... Crie e pousse des hurlemens, filsde lhomme, car elle es ire conre Mon peuple, conre ous les Princes dIsral qui fuien car

Je lai approuve, lors mme quelle brisera le scepre e que celui-ci ne subsisera plus (Ezch.,XXI, 913).

E de fai, pendan la onzime anne du rgne du dernier roi de Juda, Sdcias, en 585avan Jsus-Chris, les Chaldens, sous le rgne de Nabuchodonosor, aprs deux ans de sige,druisiren la ville de Jrusalem e le oi de Babylone pronona son arr : il ua les fils deSdcias devan lui e lui creva les yeux, le chargea de chanes e lemmena Babylone (IV ois,


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XXV, 7 e suivans).

Jrmie relae la mme chose e ajoue : Il fi gorger ous les princes de Juda (LII, 1011).Mais il prcise que les filles du oi furen sauves en mme emps que lui (XLI, 10 e XLIII, 6).

Lune des filles de ce roi Sdcias, ea-ephi, sera en effe lancre de la plupar des Maisonssouveraines de lEurope. Nous en reparlerons ou lheure.

Isae avai annonc le salu de la race de David : E ce qui aura sauv de la maison deJuda e de ce qui sera res poussera des racines en bas, e produira des fruis en hau ; car deJrusalem il sorira un rese, e des sauvs du mon Sion ; le zle du Seigneur des armes fera cela...Je progerai cee ville pour la sauver, cause de Moi, e cause de David Mon servieur. E, defai : Lange du Seigneur sori e frappa cen quare ving cinq mille hommes dans le camp des

Assyriens. E quand on se leva le main, caien ous des cadavres sans vie . (XXXVII, 3132,3536)

E Jrmie cie les proecions que Dieu lui avai promises : Le Seigneur di : Je e jureque a fin sera bonne, e que Je assiserai au emps de lafflicion, e au emps de la ribulaion,conre lennemi. E Je e rendrai pour ce peuple comme un mur dairain, inbranlable ; ils e

feron la guerre, e ils ne e vaincron pas, car Je suis avec oi pour e sauver e pour e dlivrer ,di le Seigneur. E Je e dlivrerai de la main des mchans, e Je e prserverai de la main desfors (XV, 11, 2021)

Jrmie es considr en Irlande comme le grand lgislaeur sous le nom dOllam Fodhla. Ilaurai emmen ea-ephi, fille du dernier oi de Juda, dans ce pays o elle aurai pous unprince irlandais, Heremon. Ils seraien les aueurs des Maisons royales dIrlande e dEcosse. Ilnes pas sans inr de consaer que le blason de lIrlande reprsene la harpe de David e de saMaison e que celui de lcosse es un lion qui rappelle la ribu de Juda (The Naional Message,p. 37).

Fau-il ajouer que cinq sicles e demi plus ard, sain Joseph dArimahie oncle de la rs

Saine Vierge serai venu en Irlande e serai mor Glasonberry le 27 juille 82 e que sa peiefille, Bennardim, fille dAnna, aurai pous le oi Lear... (The Naional Message, p. 49).

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Ose : Pendan des jours nombreux les enfans dIsral demeureron sans roi, sans prince,sans sacrifice e sans auel, sans Ephod e sans eraphim. E aprs cela les enfans dIsralreviendron e ils chercheron le Seigneur leur Dieu e David leur oi ; e ils sapprocheron aveccraine du Seigneur e de Ses biens aux derniers jours . (III, 45)

Isae, parlan des mmes vnemens : Ceux-l viennen de loin, e ceux-ci du sepenrion

e du couchan . (XLIX, 12)E Jrmie prcise (XXXI, 614) : Car il viendra un jour o les gardes crieron sur la

monagne dEphram : Levez-vous e monons Sion vers le Seigneur nore Dieu. Car ainsiparle le Seigneur : ressaillez de joie, Jacob, e poussez des cris dallgresse la e des naions; faies du brui, chanez e dies : Sauvez, Seigneur, Vore peuple, les reses dIsral. Voici, Je lesamnerai de la erre daquilon, e Je les rassemblerai des exrmis du monde... car Je suis devenule Pre dIsral, e Ephram es mon premier-n. Naions, couez la parole du Seigneur... Celuiqui a dispers Isral le rassemblera, e Il le gardera comme un paseur garde son roupeau. Car


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le Seigneur a rache Jacob... e ils accourron vers les biens du Seigneur, vers le bl, le vin, lhuilee le frui des brebis e des bufs ; leur me sera comme un jardin... jenivrerai e engraisserailme des prres, e Mon peuple sera rempli de Mes biens, di le Seigneur .

Ainsi, la fin des emps, Isral reviendra Dieu e au oi e reconnara donc le Dieu desChriens e le oi descendan de David. Le devoir es donc de prier ardemmen pour que

saccomplisse OUE la volon de Dieu e ce avec oue la chari chrienne oujoursobligaoire.

Ainsi fini donc poliiquemen le oyaume de Juda lan du monde 3416, soi585 ans avanJsus-Chris e les drois du SCEPE e aussi le DOI DANESSE passren une aurebranche qui devin la branche ane, celle des ois royens, ancres direcs e saliques par lesSicambres des ois de France e qui, par ea-ephi, descendaien galemen de David, ainsi quenous allons le monrer.

Dieu va sauver lavenir qui assurera le respec de Son sermen irrvocable. A David, Ezchielajoue : Ainsi parle le Seigneur Dieu : Alors Je prendrai de la moelle du grand cdre e Je laplacerai ; du somme de ses branches Jarracherai un endre rameau, e Je le planerai sur une

monagne haue e leve. Je le planerai sur la haue monagne dIsral ; il poussera desrejeons, il porera des fruis e deviendra un grand cdre, e ous les oiseaux habieron souslui, e ou ce qui vole fera son nid sous lombre de ses branches. E ous les arbres du payssauron que ces Moi, le Seigneur, qui ai humili le grand arbre e lev larbre faible, qui adessch larbre ver e fai reverdir larbre sec, Moi, le Seigneur, Jai parl e agi (Ezchiel,

XVII, 1824).

L D

J-I, J & D

ou au long de lAncien esamen, avec les chefs de Son peuple privilgi, Dieu veuSengager, e oujours par sermen, e souven dans les mmes ermes. Ce fai es CAPIAL edoi re rs spcialemen soulign.

Avec No : Jablirai Mon alliance avec vous e avec vore posri (Gense, IX, 89).

Avec Abraham : Jablirai Mon alliance avec vous e Je muliplierai vore race linfinivous serez pre dune muliude de naions... Je vous rendrai fcond linfini. Je ferai sorir devous des naions e des ois. Jablirai Mon alliance enre Moi e vous e vos descendans aprsvous dans la suie de leurs gnraions par un PACE ENEL en veru duquel Je serai voreDieu e celui de vore posri aprs vous (Gense XVII, 17, 1519 e XVIII, 1819).

Avec Jacob : couez, Jacob, Mon servieur, e vous ISRL QUE JAI CHOISI POU

E MON PEUPLE BIENAIM... Ne craignez poin, Jacob, Mon servieur, vous qui marchezdans la droiure du cur, e que Jai choisi pour Mon hriage pariculier, car Je rpandrai Monespri sur vore posri e Mes bndicions sur vore race (Isae XLIV, 13 e Exode VI, 28).

E encore : Juda es un jeune lion. Le scepre ne sera pas de Juda, ni le Prince de saposri, jusqu ce que soi venu Celui qui doi re envoy ; e ces Lui qui sera laene desnaions (Gense XLIX, 910).

Avec David : Car ainsi parle le Seigneur : David ne manquera jamais dun successeur assis


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sur le rne de la Maison dIsral De mme quon ne peu comper les oiles, ni mesurer lesable de la mer, de mme Je muliplierai la race de David Mon servieur (Jrmie XXXIII,1417, 22).

Dieu ordonne au prophe Nahan : Vous direz donc ceci Mon servieur David : Voici ceque di le Seigneur des Armes : Je vous ai choisi lorsque vous meniez pare les roupeaux, afin que

vous fussiez le chef de Mon peuple dIsral. Parou o vous avez , Jai exermin vos ennemisdevan vous... de plus le Seigneur vous prome quIl fera vore maison puissane... Je meraisur vore rne, aprs vous, vore fils e Je rendrai le rne de son royaume INBRNLABLE

JAMAIS. SIL COMME QUELQUES FAUES, JE LE PUNIRI, MAIS JE NE EIERIPOIN MA MISICODE, comme Je lai reire Sal que Jai car de devan Ma face. Voremaison sera sable ; VOUS VEEZ VOE OYAUME SUBSISE ENELLEMENE VOE NE SAFFEMIR POU JAMAIS (II ois VII, 829).

emarquez-le bien, ces par avance la proclamaion de la LOI SALIQUE, cee Loi quipermera la ralisaion des promesses de Dieu concernan la prenni de la race de Davidjusqu la consommaion des sicles. E le verse 19 confirme e renforce encore ce sermen divin,car il prcise : Ces la loi des enfans dAdam .

E pour bien marquer son INBRNLABLE VOLON, Dieu in confirmer Son sermen plusieurs reprises : Le Seigneur a fai David un sermen vriable e Il ne le rompera poin.

Jablirai sur vore rne le frui de vore venre .

Le psaume LXXXVIII es lumineux : ...Jai rouv David, Mon servieur ; Je lai oin de Monhuile saine. Car Ma main lassisera, e Mon bras le forifiera. Lennemi naura jamais lavanagesur lui, e le fils diniqui ne pourra lui nuire. E Je aillerai ses ennemis en pices devan lui, e

Je merai en fuie ceux qui le hassen. Ma vri e Ma misricorde seron avec lui, e par Monnom slvera sa puissance... Il Minvoquera : Vous es mon Pre, mon Dieu, e laueur de monsalu. E moi, Je ferai de lui le premier-n, le plus lev des rois de la erre (2128).

JE CONSEVERI DAVID ENELLEMEN MA MISICODE E JE FERISUBSISE SA RCE DANS OUS LES SICLES E SON NE AUAN QUE LESCIEUX. Si ses enfans abandonnen Ma loi e sils ne marchen pas dans Mes prcepes, sils

violen la jusice de Mes ordonnances e sils ne garden pas Mes commandemens, JE VISIERIAVEC LA VEGE LEUS INIQUIS E JE PUNIRI LEUS PCHS, MAIS JE NEEIERI POIN DE DESSUS LUI MA MISICODE E JE NE MANQUERI POIN

LA VI DES POMESSES QUE JE LUI AI FAIES. JE NE VIOLERI POIN MONALLIANCE, e Je ne rendrai poin inuiles les paroles qui son sories de Mes lvres. JAI FAI DAVID UN SEMEN IVOCABLE PA MON SAIN NOME JE NE LUI MENIRIPOIN : JE LUI AI POMIS QUE SA RCE DEMEUER ENELLEMEN E QUESON NE SER ENEL EN MA PSENCE COMME LE SOLEIL... (2938).

Ainsi, Dieu a fai David le sermen IVOCABLE que ses descendans rgneraien jusqula fin des emps(8), e les ermes de ce sermen ENOUVEL son els quils ne sappliquenpas seulemen au double sens mysique e rel en la Personne du Chris, Fils de Dieu, Dieu Lui-mme, qui rgnera en effe ernellemen, mais LA RCE ELLE-MME.

Que son-ils devenus ? Quel rne occupen-ils donc les descendans de David e de ces roisqui rgnaien sur le peuple lu de lAncien esamen ?

8 - Sermen renouvel galemen Salomon, e que nous avons dj ci.


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L R R F

Sain emy, le grand haumaurge e lApre des Francs, le lga du successeur de Pierre, vaclaircir le mysre. Je vous rappelle que le pape sain Horsmidas, en insiuan sain emy son

Lga pour ou le royaume de France, lui avai cri : Nous vous donnons ous nos pouvoirspour ou le royaume de nore cher fils spiriuel, Clovis, que par la grce de Dieu, vous avezconveri avec oue sa naion par un aposola e des miracles dignes du emps des Apres .

Lors du bapme e du sacre de Clovis, sain emy, inspir, adressa au roi lallocuionprophique suivane : Apprenez que le royaume de France es prdesin par Dieu la dfensede lglise romaine qui es la seule vriable Eglise du Chris... Ce royaume sera un jour grandenre ous les royaumes, il embrassera les limies de lempire romain e il soumera ous lespeuples son scepre... Il durera jusque la fin des emps ! Il sera vicorieux e prospre an quilsera fidle la Foi omaine, mais il sera rudemen chi oues les fois o il sera infidle sa

vocaion .

emarquez encore que, ou comme Dieu le Pre se fi enendre lors du bapme du Chris,Nore-Seigneur, au jour mme anniversaire de Son bapme, in faire enendre Sa voix : Nayez poin peur, ces Moi, persvrez dans Ma dilecion .

E le Sain-Espri voulu apparare sous la forme de la Colombe en apporan sain emyle baume de la saine Ampoule, afin que les rois de France soien sacrs avec une huile clesepour les marquer rs spcialemen de ses sep dons e leur accorder la gurison miraculeuse descrouelles parir de leur sacre, mais seulemen aprs avoir reu la saine communion...

E sain emy, inspir une fois de plus, in confirmer dans son esamen les promesses,quau nom de Dieu, il avai faies Clovis e ses successeurs, les rois de France, jusqu la findes emps.

Je vous rappelle que sain Pie X lui aussi inspir avai dclar, lors de la lecure du dcre debaificaion de Jeanne dArc : Vous direz aux Franais quils fassen leur rsor des esamensde sain emy, de Charlemagne e de sain Louis, qui se rsumen dans ces mos si souvenrps par lhrone dOrlans : Vive le Chris qui es oi de France ! .

Voici les paries essenielles du esamen de sain emy : ...Par gard seulemen pour ceerace royale quavec ous mes frres e covques de la Germanie, de la Gaule e de la Neusrie,jai choisi dlibrmen pour rgner jusqu la fin des emps au somme de la majes royale pourlhonneur de la saine Eglise e la dfense des humbles... Jai arr ce qui sui :

Maldicions : Si un jour CETE RCE OYALE QUE JAI AN DE FOIS1.CONSACE AU SEIGNEU rendai le mal pour le bien, Lui devenai hosile... Que

le coupable soi averi... Ec. Si la sepime moniion, il persise dans son crime, rve lindulgence ! Place la menace ! ...Bndicions : Si Nore-Seigneur Jsus-Chris daigne couer les prires que je rpands2.ous les jours en Sa prsence spcialemen pour la persvrance de cee race royale, suivanmes recommandaions, dans le gouvernemen de son royaume e le respec de la hirarchiede la Saine Eglise de Dieu, quaux bndicions de lEspri-Sain dj rpandues sur lae royale, sajoue la plniude des bndicions divines ! Que de cee race soren desrois e des empereurs qui, confirms dans la vri e la jusice pour le prsen e lavenir


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suivan la volon du Seigneur pour lexension de la saine Eglise, puissen rgner eaugmener ous les jours leur puissance e mrien ainsi de sasseoir sur le rne de Daviddans la clese Jrusalem o ils rgneron ernellemen avec le Seigneur. Ainsi soi-il .Sain emy, vous le remarquerez, ien cier le rne de David, e ce nes cerainemenpas sans raison. Ces la rpiion du sermen fai par Dieu David comme aussi celle des

maldicions e des bndicions.Cerains qui se disen hisoriens il en es mme droie qui refusen de reconnare lesurnaurel dans lhisoire, ou daures dans leur haine saanique de ce mme surnaurel,prenden nier lauhenici du esamen de sain emy, e ce malgr la recommandaionde sain Pie X. Prcisons donc que labb Desailly, membre de lAcadmie de eims, a prouv,au sicle dernier, lindiscuable auhenici de ce documen fondamenal pour lhisoire e lamission providenielle de la France. Il prouve, noammen, que pour dfendre les drois de leurEglise de eims, les archevques, au cours des sicles, se son oujours appuys sur le esamende sain emy e, daure par, que les rois de France alors mme que cela allai lenconre deleurs inrs se son oujours inclins(9).

Comme les rois de France on fidles ! Le nombre des couronnes que leur race a poresle prouve ! E Baronius, le savan Cardinal hisorien de lEglise, aprs onze sicles dexprience,consae : Le royaume de France na jamais pass sous une dominaion rangre e le peuplefranais na jamais rdui servir daures peuples .

E lminen Cardinal rapproche lhisoire de France de celle du peuple lu de lAncienesamen : Ces cela qui a accord par une permission divine aux prires de sain emysuivan la parole de David (Psaume 88) : Si Mes fils abandonnen Ma loi, sils ne marchenpoin dans les voies de Mes jugemens ; sils profanen Mes jusices e ne garden poin Mescommandemens, je visierai leurs iniquis avec la verge e leurs pchs avec le foue, MAIS JENLOIGNERIJAMAIS DE CE PEUPLE MA MISICODE (10).

Ces avec raison que Monsieur le Come de Chambord rappelai, le 2 dcembre 1858 : Je

ne suis pas un prendan, mais un principe .

L t

Ceci di, parlons mainenan des documens qui ablissen les fais hisoriques. Pour udierce suje qui fai lobje de cee confrence, il convien de se reporer, selon les poques que lonudie, aux ouvrages suivans :

EN FRNCE : La radiion gnrale de lAncien gime ai que les rois de Francedescendaien dun fils de Priam don la posri, aprs la desrucion de roye, sai rfugiedabord en Pannonie, puis en Flandre, du c de ournai. Nombreux son les hisoriens anciensqui parlen de cee origine. appelons que daprs Scipion Dupleix, lhisoriographe de France,Ppin le Bref assurai descendre dHecor, di Degembard, qui ai issu des anciens rois deroye.

La prface du Recueil des Hisoriens des Gaules e de la France par Dom Bouque (d. deLopold Delisle, 1869) prcise page XXI : Lhisorien Joseph di que les Gaulois viennen de

9 - Abb Dessailly :Auhenici du Grand Tesamen de sain Remy, d. Sain-mi.10 - Csar Baronius :Annales Ecclesiasici, . VI, p. 635636, diion 1601.


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Gomar, fils an de Japhe. Gomar, di-il, a le pre e fondaeur des Gomaries, que les Grecsappellen Galaes ou Gaulois. Eusache dAnioche, sain Jrme, Isidore, la Chronique Pascale,

Joseph, fils de Gorion, donnen la mme origine aux Gaulois. Joseph na poin forg cee opinionde son chef ; il es plus vraisemblable quil la puise dans quelques anciens monumens. Il nefau donc pas la rejeer lgremen... (I, p. 22)

Grgoire de ours cri : Quelques-uns raconen que les Francs son venus de la Pannonie,e que dabord ils on habi les rivages du hin .

La prface du ome II duRecueil des Hisoriens des Gaules e de la France, p. XXIV cri cesuje : Laueur des Geses du oi de France, Paul Diacre dans son livre des vques de Mez,le moine oricon, Aimoin moine de Fleury, Sigeber de Gemblours, e ous ceux qui les onsuivis, on regard cee origine comme vriable .

Frdgaire, qui vivai sous Dagober 1erleur donne comme origine la ville de roye, puis laPannonie e les bords du Danube.

Le Recueil des Hisoriens des Gaules e de la France cie les Gesa Regum Francorum (II,p. 542544),Ex veeri Chronico Moissiacensis seu MusciacensisCoenobii (II, p. 648), la Chronica

Regum Francorum brevier digesapar un aueur inconnu (II, p. 663), qui fon remoner les roisde France aux rois royens.

E aussi les documens suivans qui, sans parler de lorigine royenne les fon remoner deschefs francs menionns dans les documens qui parlen de leur ascendance royenne : Hisoricaqudam exerpa ex veeri semmae genealogico Regum Franci(II, p. 665), la ChroniquedAdon, Archevque de Vienne (II, p. 666), lesAnnales Francorum Fuldenses (II, p. 673), ainsique oue une srie de gnalogies des rois de France qui se raachen la mme origine (II,p. 695 e suivanes).

La Chronique de Tongresdonne la lise des princes des Francs en Pannonie pendan les 528ans o ils y demeurren.

Barhlemy de Mesme, dans sa chronique crie au XIV

sicle e qui se rouve la Bibliohquede Berne, en Suisse.

Csar Nosradamus, le fils de Michel, dans ses Chroniques de Provencefai remoner loriginedes rois de France la plus haue aniqui.

Jacques de Charron, en 1630, a publi une Hisoire gnalogique des Rois de France depuisAdam jusqu Louis XIII.

Franois-Eudes de Mezeray, le frre de sain Jean-Eudes, sans affirmer cee origine, cricependan dans son Hisoire de France: Il y en a aussi qui, remonan jusqu la guerre deroye, les fon descendre dune colonie de royens, conduis aprs la desrucion de cee villepar Scamandre, di FRNCUS, fils dHecor, sur les bords de ces mmes Palus (Moides),

opinion qui nes pas ou fai sans dfense... LAbb Honor Bouche, doceur en hologie, dans sa Chronique de Provencepublie en 1664

indique lascendance royenne.

Menionnons galemen consuler propos de la Guerre de roie, louvrage du Baron deBehr, Recherches sur lHisoire des Temps hroques de la Grce, publie en 1856 Paris.

Simon Pellouier, en 1741 a publi Paris : Hisoire des Celes e pariculiremen des Gauloise des Germains.


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Monsieur de Limiers, dans lesAnnales de la Monarchie Franaise, publies en 1724, donnede nombreux ableaux gnalogiques des ascendances royales e noammen, la page 200, ciequarane e un degrs des rois e princes des Francs au-dessus de Clovis e monre galemenluni de race des rois branches royales. Le premier degr es en lan 3.509 du monde Marcomir,fils dAnenor, oy des Cimbres prs la Mer Noire, descendu des royens .

Chaso de Nanigny, noammen dans le ome 1er

des Gnalogies Hisoriques des Rois,Empereurs, ec. e de oues les Maisons Souveraines qui on subsis jusqu prsen, publi en1736 donne, p. 110, les gnalogies des rois royens de 2.489 2.524 du monde e celles desrois des diverses paries du Proche-Orien e dOrien avan Nore-Seigneur e les rois volumessuivans von jusquau XVIIIsicle. Dans le ome III, p. 2 e 6, il fai descendre nos rois de Priam,duc des Francs.

Koch, dans les ables Gnalogiques des Maisons Souveraines de lEurope, en deux volumespublis en 1782 e 1818, dans le ome II donne les origines des maisons descendan dOdin, donles ancres venaien de la rgion de la Mer Noire.

Jacques Saillo doi re consul dans sa Chronologie Universelle des Souverains e Chefs

das e dans son Clovis, Roi des Francs e ses ancres paernels e maernels. ouefois,nous ne pensons pas que les ois de France soien de la race dOdin, comme il le croi. Ils endescenden seulemen, mais par les femmes.

Ajouons que les ouvrages e aueurs suivans affirmen luni de race des rois branchesroyales.

Le carulaire de Hugues Cape, manuscri N 7329 du fonds franais de la BibliohqueNaionale abli luni de race des rois branches royales de France.

Le Pre Dominique de Jsus, compl par le Pre Modese de Sain-Amable, dans saMonarchie Saine, Hisorique, Chronologique e Gnalogique, publie en 1677, donne desableaux gnalogiques rs imporans.

LAr de vrifier les daes, des Bndicins, cie Dom Merle, lhisoriographe de Bourgogne, eabli irrfuablemen lascendance commune des Carolingiens e des Capiens.

Drudes de Campagnolles a publi deux plaquees, en 1817 : Coup dil sur luni doriginedes rois branches mrovingienne, carolingienne e capienne.

Piganiol de la Force dans sa Nouvelle descripion de la Franceau ome premier, cri : Leroyaume de France a commenc lan de lre vulgaire 420 e depuis ce emps-l a oujours successif de mle en mle e gouvern par soixane cinq rois ous issus de la mme Maison...

Cions encore le Grand Dicionnaire Hisoriquede Morri, sans oublier les Bollandises qui,dans la Vie des Sains donnen de rs nombreuses indicaions qui complen rs heureusemenles grands ravaux gnalogiques.

Le colonel Longin-Splinder a donn une inressane ude sur La Bible, sa valeur au poinde vue hisorique, gographique e documenaire, Paris 1952.

Bouille, dans son Dicionnaire Universel dHisoire e de Gographie , menionne ceeascendance (p. 1184, chez Hachee, en 1914. La premire diion an de 1860).

Enfin, dans un ou aure domaine, rappelons louvrage de lAbb Boude, ci anrieuremen,La vraie langue celique, qui a monr les rapprochemens qui simposaien enre les langues despeuples japhiques du midi de la France comme aussi ceux faire enre la langue hbraque e


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la langue celique, noammen dans les ymologies... ien de surprenan puisque Gomer, le filsde Japhe, es la souche de la grande famille celique. Ec.

EN SUISSE, la Bibliohque de Berne possde un manuscri iniul Gnalogie des rois deFrance depuis Annor, fils de Priam (le Troyen) jusqu Charles VI. E aussi la Chronique deBarhlemy de Mesme, du XIVsicle, don nous avons dj parl.,EN ALLEMAGNE Lhisorienrihme, Spanheim au XVIsicle, es menionner.

Une ude serai faire en AUICHE e en IALIE quan aux origines des maisons deHabsbourg e de Savoie. Prcisons, sans prendre pari, que selon Sabius, aque Manlius,Synhemius, rihme, Lazis, Piespodius e Chifle, la maison de Habsbourg descendraisaliquemen de Cloaire Ier roi de France, ainsi que Chaso de Nanigny le menionne avecdaures sysmes dans le ome IV de son ouvrage, page 229.

EN ANGLEEE, la plupar des grandes publicaions gnalogiques, plus ou moinsofficielles concernan la maison oyale anglaise ablissen son ascendance davidique. Cions ders anciens manuscris prcieusemen conservs : Les Chroniques dIrlande, leLang feldgaal.

Le Herald Collge de Londres possde une Gnalogie des Rois Saxonsqui indique quOdinai de la race de David, ec. Il serai facile de menionner de nombreux documens, mais ceserai fasidieux. Je menionnerai seulemen les aueurs suivans :

James Anderson e ses Royal Gnalogies of Adam o he imes en 1712. Ouvrage capial surla quesion e qui abli que oues les maisons souveraines dEurope descenden de David.

oger OConnor, en 1822, relae la migraion dune ribu dIsral en Irlande e radui unmanuscri du dialece phnicien e du langage scihe qui monre que les rois noms donns lIrlande son hbreux.

Bernard Burke, en 1851, publie The Royal Families of England, Scoland, Walls wih heirDescendans.

Le Paseur F..A. Glover :Israls Wanderings(Les Migraions dIsral), puis en 1860 e en1881England remnan of Judah and he Isral of Ephram.

Le doceur Wilhem omsen, professeur de philologie comparaive lUniversi deCopenhague au Danemark : The relaions beween Ancien Russia and Scandinavia, and heRussian Sae.

Le paseur W.M. Milner publie The Royal House of Briain an enduring Dynasy(La maisonroyale de Grande Breagne, une dynasie qui dure). Ce ouvrage enre 1902 e 1975 a eu quaorzediions e conien un immense ableau gnalogique sous le ire The Illusrious Lineage ofhe Royal House of Briainqui par de Juda e va sans inerrupion jusqu la reine lisabeh II.Ce ableau abli, comme James Anderson, que oues les maisons souveraines europennes

descenden de David.Ajouons que le paseur W.. Morgan a publi Sain Paul en Breagne ou les origines du

Chrisianisme briannique.

Sain Paul, dans sa Lere aux omains (XV, 24, 28) parle de voyages en Espagne. Ces de cepays quil serai pass dans les les Brianniques. Le Naional Message cie rene quare aueurse ires douvrages sur les ascendances isralies de la Grande-Breagne (p. 2 e 6163).

Un aure paseur proesan, Ihel, a di les Annales Cambrialqui donnen la gnalogie


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dOwen ; e que deux aures aueurs, le Colonel Gawler e H.H. Pains on udi la posri deDan. Enfin, Sharon urner, dans son Hisoire des Anglo-Saxonsfai descendre Odin de Jupier,qui ne serai aure que Juda.

Jean Moncreiffe e Don Poinger on publiBlood Royalqui a eu plusieurs diions depuis1956.

Enfin ou le puissan mouvemen duNaional Messageravaille depuis longemps convaincrele peuple anglais quil es lhriier dIsral, en publian revues, brochures, ec.

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Je crois uile de vous cier le chapire IX de louvrage du paseur Milner, exrai deLa MaisonRoyale de Grande Breagne, une dynasie qui dure, chapire iniul,Eglise e a sous la mmeauori, descendan la fois de David e dAaron: La consquence immdiae de ce qui viendre di dans le chapire prcden es dablir la chose suivane aussi onnan que cela puisseparare, nore oi es lOin du Seigneur la fois comme prre e comme roi, dans les deux caspar droi de succession, e pour accomplir la promesse de minisre perpuel faie de manireidenique aux lignes de David e dAaron.

Le mariage de Mahias II avec la fille de Simon le Juse inrodui la ligne sacerdoale dansla gnalogie ; si bien que Hli, le pre de Marie, e Joseph, le pre dAnne, descendaien ous lesdeux de la mme faon du roi David, le Psalmise, e dAaron, le Grand-Prre. Le roi douard

VII es cen roisime dans la descendance dAaron.

E lon peu remarquer, concidence ou fai involonaire, que les rois udors quiamenren sur le rne dAngleerre cee ligne hbraque sacerdoale e royale, on inrodui laHerse comme cusson, qui semble re ni plus ni moins que le plasron du grand-prre.

LArmilla, don on a revu le roi lors du couronnemen, es exacemen la mme chose sousune aure forme le nom an hbreu peine ransform aprs an danne pour lesLumiresdeDieu. Ce vemen fu inrodui par les udors.

Ces peis dails son en harmonie oale avec la descendance dHenri VII, lancre royalde nore famille royale acuelle (comme le revendiquen les vieilles gnalogies galloises) de laPrincesse Anne des lignes de David e dAaron.

En se rfran aux arbres gnalogiques abulaires e en remonan Aaron par Anne e lesdiverses alliances qui suiviren jusqu la famille des udors, on verra que la ligne sacerdoaleremone au Prince David ravers cinquane sep lignes diffrenes ! En prenan la ligne moy

la franquerie de marquis - ascendances davidiques des rois de france

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