la conception objet

LA CONCEPTION LA CONCEPTION OBJETOBJET

EVIDENCE OU EVIDENCE OU FATALITE ?FATALITE ?

PLAN DU COURS PLAN DU COURS INTRODUCTIONINTRODUCTION

PARTIE A : GENERALITESPARTIE A : GENERALITES– CHAPITRE 1 : INTRODUCTION A L’ANALYSE CHAPITRE 1 : INTRODUCTION A L’ANALYSE

ET A LA CONCEPTION DES SIET A LA CONCEPTION DES SI– CHAPITRE 2 : LES CONCEPTS OBJETSCHAPITRE 2 : LES CONCEPTS OBJETS– CHAPITRE 3 : PRINCIPALES DIFFERENCES CHAPITRE 3 : PRINCIPALES DIFFERENCES

CONCEPTION CLASSIQUE/CONCEPTION CONCEPTION CLASSIQUE/CONCEPTION OBJETOBJET

PLAN DU COURSPLAN DU COURS

PARTIE B : LES MODELES ET LES PARTIE B : LES MODELES ET LES METHODESMETHODES– CHAPITRE 4 : LE MODELE STATIQUECHAPITRE 4 : LE MODELE STATIQUE– CHAPITRE 5 : LE MODELE FONCTIONNELCHAPITRE 5 : LE MODELE FONCTIONNEL– CHAPITRE 6: LE MODELE DYNAMIQUECHAPITRE 6: LE MODELE DYNAMIQUE– CHAPITRE 7 : LES METHODESCHAPITRE 7 : LES METHODES– CHAPITRE 8 : ETUDE DE CASCHAPITRE 8 : ETUDE DE CAS

CONCLUSIONCONCLUSION

CHAPITRE 1 CHAPITRE 1 INTRODUCTIONINTRODUCTION

INTRODUCTIONINTRODUCTION

SI L’INDUSTRIE AUTOMOBILE AVAIT SI L’INDUSTRIE AUTOMOBILE AVAIT PROGRESSE DE LA MEME FAÇON QUE PROGRESSE DE LA MEME FAÇON QUE L’INDUSTRIE INFORMATIQUE, UNE L’INDUSTRIE INFORMATIQUE, UNE VOITURE COUTERAIT AUJOURD’HUI VOITURE COUTERAIT AUJOURD’HUI 20 EUROS. (BILL GATES)20 EUROS. (BILL GATES)

QUELQUES DEFINITIONS PRISES QUELQUES DEFINITIONS PRISES DANS UML (DANS UML (UUNIFIEDNIFIED M MODELLINGODELLING LLANGUAGE)ANGUAGE)


– LES TACHES LES TACHES CORRESPONDENT A CORRESPONDENT A DES DES COMPOSANTSCOMPOSANTS QUI POSSEDENT LEUR QUI POSSEDENT LEUR PROPRE PROPRE FLOT DE CONTROLEFLOT DE CONTROLE

– LES TACHES PEUVENT LES TACHES PEUVENT ETRE CONTENUES ETRE CONTENUES PARPAR D’AUTRES COMPOSANTS COMME D’AUTRES COMPOSANTS COMME LES LES UNITES DE COMPILATIONUNITES DE COMPILATION DU LANGAGE DU LANGAGE ADAADA. .

– COMME POUR TOUS LES ELEMENTS DE COMME POUR TOUS LES ELEMENTS DE MODELISATION, L’AJOUT DE MODELISATION, L’AJOUT DE STEREOTYPESSTEREOTYPES PERMET DE PRECISER PERMET DE PRECISER LA SEMANTIQUE LA SEMANTIQUE D’UN COMPOSANT DYNAMIQUED’UN COMPOSANT DYNAMIQUE. .


– LES STEREOTYPES « PROCESSUS » ET LES STEREOTYPES « PROCESSUS » ET « FLOT » SONT « FLOT » SONT PREDEFINISPREDEFINIS PAR UML. PAR UML. PLUSIEURS PLUSIEURS FLOTSFLOTS PEUVENT PEUVENT PARTAGER PARTAGER LE MEME ESPACELE MEME ESPACE D’ADRESSAGED’ADRESSAGE AU SEIN D’UN AU SEIN D’UN PROCESSUSPROCESSUS. .


L’UNIONL’UNION DE CES DEUX CITATIONS DE CES DEUX CITATIONS MONTRE CLAIREMENT QUE :MONTRE CLAIREMENT QUE :

SI L’INDUSTRIE AUTOMOBILE AVAIT SI L’INDUSTRIE AUTOMOBILE AVAIT PROGRESSE DE LA MEME FAÇON PROGRESSE DE LA MEME FAÇON QUE L’INDUSTRIE INFORMATIQUE, QUE L’INDUSTRIE INFORMATIQUE, LES VOITURES A 20 EUROS LES VOITURES A 20 EUROS SERAIENT SERAIENT TOTALEMENT TOTALEMENT INCONDUISIBLESINCONDUISIBLES AUJOURD’HUI. AUJOURD’HUI.

QUELQUES QUESTIONS GENANTES :QUELQUES QUESTIONS GENANTES :

– LES LES BONNESBONNES MÉTHODES OBJET (OMT, UML) MÉTHODES OBJET (OMT, UML) PERMETTENT DE DÉCRIRE TRÈS PERMETTENT DE DÉCRIRE TRÈS PRECISEMENT LES CLASSES ET PRECISEMENT LES CLASSES ET DONCDONC DE LES DE LES TROUVER ?TROUVER ?

– LA NORMALISATION DES DONNEES, LA NORMALISATION DES DONNEES, PRECONISEE DEPUIS PLUS DE VINGT ANS EN PRECONISEE DEPUIS PLUS DE VINGT ANS EN CONCEPTION CLASSIQUE, EST CONCEPTION CLASSIQUE, EST INUTILEINUTILE EN EN OBJET ?OBJET ?


INTRODUCTIONINTRODUCTION– LES METHODES OBJET QUI UTILISENT LES METHODES OBJET QUI UTILISENT

GENERALEMENT GENERALEMENT TROISTROIS MODÈLES (STATIQUE, MODÈLES (STATIQUE, FONCTIONNEL, DYNAMIQUE) PERMETTENT UNE FONCTIONNEL, DYNAMIQUE) PERMETTENT UNE CONCEPTION PLUS COMPLETE QUE LES MÉTHODES CONCEPTION PLUS COMPLETE QUE LES MÉTHODES CLASSIQUES QUI N’EN NECESSITENT QUE CLASSIQUES QUI N’EN NECESSITENT QUE DEUX DEUX (DONNEES, TRAITEMENTS) ?(DONNEES, TRAITEMENTS) ?

– POUR TROUVER LES CLASSES D’UN PROBLEME POUR TROUVER LES CLASSES D’UN PROBLEME DONNE IL DONNE IL SUFFITSUFFIT D’APPLIQUER LA D’APPLIQUER LA METHODE DE METHODE DE CHENCHEN QUI A FAIT SES PREUVES DANS MERISE ET QUI QUI A FAIT SES PREUVES DANS MERISE ET QUI A ÉTÉ REPRISE PAR OMT PUIS UML. A ÉTÉ REPRISE PAR OMT PUIS UML.

– LA CONCEPTION OBJET PERMET UNE MODELISATION LA CONCEPTION OBJET PERMET UNE MODELISATION SIMPLE ET NATURELLE DU MONDE REEL. ELLE N’A SIMPLE ET NATURELLE DU MONDE REEL. ELLE N’A PAS ETE INVENTEE PAS ETE INVENTEE SEULEMENTSEULEMENT POUR FACILITER POUR FACILITER L’IMPLEMENTATION.L’IMPLEMENTATION.

– ETC…ETC…


CE COURS A CE COURS A TROIS OBJECTIFSTROIS OBJECTIFS : :

RECENSER DE FAÇON PRECISE ET RECENSER DE FAÇON PRECISE ET EXHAUSTIVE LES DIFFERENCES EXISTANT EXHAUSTIVE LES DIFFERENCES EXISTANT ENTRE LA CONCEPTION CLASSIQUE ET LA ENTRE LA CONCEPTION CLASSIQUE ET LA CONCEPTION OBJET. CONCEPTION OBJET.

BEAUCOUP D’ETUDIANTS SONT INCAPABLES BEAUCOUP D’ETUDIANTS SONT INCAPABLES D’ETABLIR UN LIEN ENTRE UN COURS DE CONCEPTION D’ETABLIR UN LIEN ENTRE UN COURS DE CONCEPTION CLASSIQUE ET UN COURS DE CONCEPTION OBJET. CLASSIQUE ET UN COURS DE CONCEPTION OBJET.


PRESENTER LES DIFFERENTS PRESENTER LES DIFFERENTS MODELES UTILISES EN CONCEPTION MODELES UTILISES EN CONCEPTION OBJET D’UNE MANIERE OBJET D’UNE MANIERE SYNTHETIQUE. SYNTHETIQUE.

APPRENDRE ET COMPRENDRE LES MODELES APPRENDRE ET COMPRENDRE LES MODELES ET LES METHODES UTILISES EN CONCEPTION ET LES METHODES UTILISES EN CONCEPTION OBJET, INDEPENDAMMENT DE TOUTE OBJET, INDEPENDAMMENT DE TOUTE METHODE COMMERCIALISEEMETHODE COMMERCIALISEE..


SIMPLIFIER SIMPLIFIER LE DISCOURS POUR DEMYSTIFIER LA LE DISCOURS POUR DEMYSTIFIER LA PHILOSOPHIE OBJET, (TROP SOUVENT PRESENTEE PHILOSOPHIE OBJET, (TROP SOUVENT PRESENTEE COMME LA SOLUTION INCONTOURNABLE AUX COMME LA SOLUTION INCONTOURNABLE AUX PROBLEMES INFORMATIQUES D’AUJOURD’HUI).PROBLEMES INFORMATIQUES D’AUJOURD’HUI).

En résumé : En résumé :

IL FAUT FAIRE SIMPLEIL FAUT FAIRE SIMPLE IL N’EST PAS RAISONNABLE D’ENSEIGNER DES IL N’EST PAS RAISONNABLE D’ENSEIGNER DES

MODELES AVEC DES DIZAINES DE CONCEPTS. MODELES AVEC DES DIZAINES DE CONCEPTS.

IL N’EST PAS REALISTE DE PENSER POUVOIR LES IL N’EST PAS REALISTE DE PENSER POUVOIR LES UTILISER EFFICACEMENT.UTILISER EFFICACEMENT.

IL FAUT AIDER A COMPRENDREIL FAUT AIDER A COMPRENDRE

PARTIE APARTIE A

CHAPITRE 1 CHAPITRE 1

ACSI SIGNIFIE ANALYSE ET CONCEPTION DES SYSTEMES D’INFORMATION.

IL EXISTE DEUX ETAPES INCONTOURNABLES QUI DOIVENT IMPERATIVEMENT ETRE EFFECTUEES AVANT L’IMPLEMENTATION ET QUI S’APPELLENT L’ANALYSE ET LA CONCEPTION.

L’ANALYSE CORRESPOND A LA PHASE DE CONSTRUCTION DU CAHIER DES CHARGES (DEFINITION DES BESOINS) EN ACCORD AVEC L’UTILISATEUR.

vocabulaire

LA CONCEPTIONLA CONCEPTION CORRESPOND A LA CORRESPOND A LA PHASE DE CONSTRUCTION DE LA PHASE DE CONSTRUCTION DE LA SOLUTION INFORMATIQUE, GRACE A SOLUTION INFORMATIQUE, GRACE A DES MODELES ET A DES METHODESDES MODELES ET A DES METHODES

ANALYSEANALYSEETAPE TRES DIFFICILE CAR IL N’EXISTE AUCUNE METHODE ETAPE TRES DIFFICILE CAR IL N’EXISTE AUCUNE METHODE RIGOUREUSE PERMETTANT DE GARANTIR UNE ANALYSE PROPRE RIGOUREUSE PERMETTANT DE GARANTIR UNE ANALYSE PROPRE ET COMPLETE. ET COMPLETE.

ENJEU CAPITAL PUISQU’ELLE CONDITIONNE TOUTE ENJEU CAPITAL PUISQU’ELLE CONDITIONNE TOUTE LA SUITE.LA SUITE.

CONCEPTIONCONCEPTIONELLE EST SYMBOLISEE PAR LA QUESTION COMMENT ? (COMMENT ELLE EST SYMBOLISEE PAR LA QUESTION COMMENT ? (COMMENT RESOUDRE LE PROBLEME POSE ?).RESOUDRE LE PROBLEME POSE ?).

CHAPITRE 1CHAPITRE 1vocabulaire

LA FRONTIERE ANALYSE / CONCEPTIONLA FRONTIERE ANALYSE / CONCEPTION

LA FIN DE L’ANALYSE EST CARACTERISEE PAR:LA FIN DE L’ANALYSE EST CARACTERISEE PAR:

LE FAIT QU’ON N’A PLUS BESOIN DE LE FAIT QU’ON N’A PLUS BESOIN DE L’UTILISATEUR.L’UTILISATEUR.

LA PRODUCTION DE RESULTATS QUI VONT LA PRODUCTION DE RESULTATS QUI VONT PERMETTRE LE DEMARRAGE EFFECTIF DE LA PERMETTRE LE DEMARRAGE EFFECTIF DE LA CONCEPTION.CONCEPTION.

CHAPITRE 1 CHAPITRE 1 vocabulaire

L’IMPLEMENTATIONL’IMPLEMENTATION CORRESPOND CORRESPOND A LA PHASE DE PROGRAMMATION. A LA PHASE DE PROGRAMMATION.

CE DERNIER TERME EST A L’EVIDENCE TROP CE DERNIER TERME EST A L’EVIDENCE TROP RESTRICTIF QUAND IL S’AGIT DE CONSTRUIRE RESTRICTIF QUAND IL S’AGIT DE CONSTRUIRE DES LOGICIELS COMPLEXES. IL NE SUFFIT PLUS DES LOGICIELS COMPLEXES. IL NE SUFFIT PLUS ALORS DE PROGRAMMER, IL FAUT AUSSI ALORS DE PROGRAMMER, IL FAUT AUSSI MODULARISER, PARAMETRER, GERER LES MODULARISER, PARAMETRER, GERER LES INTERACTIONS ENTRE LE (OU LES) LANGAGE(S) INTERACTIONS ENTRE LE (OU LES) LANGAGE(S) ET LE (OU LES) SYSTEME(S) D’EXPLOITATION. ET LE (OU LES) SYSTEME(S) D’EXPLOITATION.

CHAPITRE 1 CHAPITRE 1 vocabulaire

CHAPITRECHAPITRE 11

DIFFERENCE DE VOCABULAIRE ENTRE DIFFERENCE DE VOCABULAIRE ENTRE FRANCE ET USAFRANCE ET USA

analyse conception programmation

analyse conception programmation

France

USA

MAIS CE N'EST PAS QU'UN PROBLEME DE VOCABULAIRE :

L'ANALYSE C'EST UNIQUEMENT LE QUOI !

1er confusion

vocabulaire

CHAPITRE 1CHAPITRE 1

2ième confusion

CONFUSION SUR LE TERME MODELE.

ENSEMBLE DE CONCEPTS

UN MODELE EST UN ENSEMBLE DE CONCEPTS PERMETTANT DE REPRESENTER (DE MODELISER) UNE PARTIE D’UN PROBLEME DANS LE BUT DE L’IMPLEMENTER AU MIEUX.

CONCRETEMENT, LE RESULTAT DE LA MODELISATION D'UN PROBLEME SE TRADUIT

PAR UN ENSEMBLE DE SCHEMAS ET/OU DE DIAGRAMMES.

Modèle

CERTAINS AUTEURS APPELLENT EGALEMENT MODELE, CES SCHEMAS ET CES DIAGRAMMES.

AINSI EN UTILISANT UN MODELE X POUR MODELISER UN PROBLEME Y ON OBTIENT LE MODELE Z DU PROBLEME Y MODELISE GRACE AU MODELE X.

vocabulaire


3ième confusion

CONFUSION ENTRE LES TERMES MODELE ET METHODE.

ORDRE D’UTILISATION DES MODELES Méthode

LA METHODE PEUT DONC VARIER SELON LE PROBLEME A RESOUDRE, LES COMPETENCES DU CONCEPTEUR, LE TYPE DE SOLUTION INFORMATIQUE ENVISAGEE, ETC.

UNE METHODE PERMET DE TROUVER CE QUE LE MODELE PERMETTRA DE

DECRIRE.

vocabulaire


NOUS SOMMES AUJOURD’HUI TRES RICHES EN MODELES ET TRES PAUVRES EN METHODES, D’AUTANT QUE LA PLUPART DES METHODES CONNUES NE SONT QUE DES MODELES.

ON PEUT CLASSER LES MODELES DE CONCEPTION EN DEUX CATEGORIES : 1°) LES MODELES COMPLEXES ET PUISSANTS (RICHES EN CONCEPTS) QUI PERMETTENT DE RESOUDRE LES PROBLEMES DIFFICILES. 2°) LES MODELES SIMPLES, MOINS UTILISES, MAIS QUI CONVIENNENT MALGRE TOUT

DANS 90% DES CAS.

vocabulaire

ANALYSE MODÈLE UNIQUE

CONCEPTIONCLASSIQUE

CONCEPTION OBJET

CHAPITRE 1CHAPITRE 1 vocabulaire

LES ENSEIGNANTS DE CONCEPTION LES ENSEIGNANTS DE CONCEPTION DOIVENT ENSEIGNER LES MODELES DOIVENT ENSEIGNER LES MODELES COMME OMT OU UML PUISQU’ILS SONT COMME OMT OU UML PUISQU’ILS SONT UTILISES DANS LES ENTREPRISES. UTILISES DANS LES ENTREPRISES.

MAIS ILS NE PEUVENT LES ILLUSTRER MAIS ILS NE PEUVENT LES ILLUSTRER QU’A PARTIR DE CAS SIMPLES (VOIRE QU’A PARTIR DE CAS SIMPLES (VOIRE TRIVIAUX) PAR MANQUE DE TEMPS. TRIVIAUX) PAR MANQUE DE TEMPS.

POUR ATTENUER CE PARADOXE, LA POUR ATTENUER CE PARADOXE, LA SEULE SOLUTION EST D’ENSEIGNER CES SEULE SOLUTION EST D’ENSEIGNER CES MODELES D’UNE MANIERE MODELES D’UNE MANIERE PLUS PLUS SIMPLESIMPLE. .

CHAPITRE 1 CHAPITRE 1 Paradoxe

vocabulaire


– LES OBJETSLES OBJETS ONT D’ABORD ETE INTRODUITS ONT D’ABORD ETE INTRODUITS EN EN GENIE LOGICIELGENIE LOGICIEL, A LA FOIS SUR UN , A LA FOIS SUR UN PLAN THEORIQUE ET PRATIQUE PAR LES PLAN THEORIQUE ET PRATIQUE PAR LES CREATEURS DES LANGAGES ORIENTES OBJET CREATEURS DES LANGAGES ORIENTES OBJET (LOO). (LOO).

– LES METHODES DE CONCEPTION ORIENTEE LES METHODES DE CONCEPTION ORIENTEE OBJET (COO) SONT APPARUES ENSUITE. OBJET (COO) SONT APPARUES ENSUITE.

– DEPUIS TOUJOURS LE DEPUIS TOUJOURS LE GENIE LOGICIELGENIE LOGICIEL A A DONNE A LA COMMUNAUTE INFORMATIQUE DONNE A LA COMMUNAUTE INFORMATIQUE LES DIRECTIVES A SUIVRE.LES DIRECTIVES A SUIVRE.

historique


DE 1965 A 1975, DE 1965 A 1975, L’ERE DES LANGAGES L’ERE DES LANGAGES CLASSIQUESCLASSIQUES, LANGAGES QUI GERENT DES , LANGAGES QUI GERENT DES FICHIERS : LE CONCEPTEUR DOIT IMAGINER DES FICHIERS : LE CONCEPTEUR DOIT IMAGINER DES METHODES POUR TROUVER LES METHODES POUR TROUVER LES BONSBONS FICHIERS. FICHIERS. A PARTIR DE 1972,A PARTIR DE 1972, L’ERE DES BASES DE L’ERE DES BASES DE DONNEESDONNEES (HIERARCHIQUES D’ABORD, PUIS (HIERARCHIQUES D’ABORD, PUIS RESEAUX, PUIS RELATIONNELLES) : LE CONCEPTEUR RESEAUX, PUIS RELATIONNELLES) : LE CONCEPTEUR DOIT DEFINIR DES METHODES POUR TROUVER LES DOIT DEFINIR DES METHODES POUR TROUVER LES BONS SEGMENTS, LES BONS ARTICLES ET LES BONS BONS SEGMENTS, LES BONS ARTICLES ET LES BONS LIENS, PUIS LES BONNES RELATIONS.LIENS, PUIS LES BONNES RELATIONS. DEPUIS 1985, L’ERE DES LANGAGES OBJET : LE DEPUIS 1985, L’ERE DES LANGAGES OBJET : LE CONCEPTEUR DOIT DEFINIR DES METHODES POUR CONCEPTEUR DOIT DEFINIR DES METHODES POUR TROUVER LES BONNES CLASSESTROUVER LES BONNES CLASSES

historique


POUR RESUMERPOUR RESUMER : :

LES SPECIALISTES DU GENIE LOGICIEL LES SPECIALISTES DU GENIE LOGICIEL PROPOSENT AUX CONCEPTEURS, DEPUIS PROPOSENT AUX CONCEPTEURS, DEPUIS PLUS DE TRENTE ANS, DES STRUCTURES PLUS DE TRENTE ANS, DES STRUCTURES DE DONNEES DIFFERENTES, EN LEUR DE DONNEES DIFFERENTES, EN LEUR ASSURANT A CHAQUE FOIS QUE CE SONT ASSURANT A CHAQUE FOIS QUE CE SONT LES LES MEILLEURESMEILLEURES ET EN LEUR ET EN LEUR FOURNISSANT (HEUREUSEMENT) DES FOURNISSANT (HEUREUSEMENT) DES LANGAGES POUR LES GERER AU MIEUX.LANGAGES POUR LES GERER AU MIEUX.

historique


LES CONCEPTEURS DOIVENT A CHAQUE FOISLES CONCEPTEURS DOIVENT A CHAQUE FOIS S’ADAPTERS’ADAPTER ET CHERCHER LES ET CHERCHER LES METHODES QUI PERMETTENT, A PARTIR METHODES QUI PERMETTENT, A PARTIR D’UN MONDE REEL DONNE, DE TROUVER D’UN MONDE REEL DONNE, DE TROUVER LES INSTANCES PARTICULIERES DE CES LES INSTANCES PARTICULIERES DE CES STRUCTURES. STRUCTURES.

historique


LALA PREMIERE IDEEPREMIERE IDEE : :

CONCEVOIR DES MODELES PERMETTANT DE DECRIRE CONCEVOIR DES MODELES PERMETTANT DE DECRIRE D’UNE MANIERE TRES RIGOUREUSE, TRES RICHE, TRES D’UNE MANIERE TRES RIGOUREUSE, TRES RICHE, TRES PRECISE, L’ENSEMBLE DES STRUCTURES A METTRE EN PRECISE, L’ENSEMBLE DES STRUCTURES A METTRE EN PLACE. PLACE.

MALHEUREUSEMENT DECRIRE N’EST PAS TROUVER MALHEUREUSEMENT DECRIRE N’EST PAS TROUVER ET POUR DECRIRE IL FAUT D’ABORD TROUVERET POUR DECRIRE IL FAUT D’ABORD TROUVER. .

NOUS POSSEDONS AUJOURD’HUI BEAUCOUP DE (BONS) NOUS POSSEDONS AUJOURD’HUI BEAUCOUP DE (BONS) MODELES MAIS TRES PEU DE (BONNES) METHODES.MODELES MAIS TRES PEU DE (BONNES) METHODES.

historique


LA DEUXIEME IDEELA DEUXIEME IDEE : : DEPLACER LE PROBLEME.DEPLACER LE PROBLEME.

C’EST CE QUI A ETE PROPOSE EN PARTICULIER PAR MERISE AVEC C’EST CE QUI A ETE PROPOSE EN PARTICULIER PAR MERISE AVEC LE MODELE RELATIONNEL : PUISQU’ON NE SAIT PAS TROUVER LE MODELE RELATIONNEL : PUISQU’ON NE SAIT PAS TROUVER DIRECTEMENT LES BONNES RELATIONS, ON IMAGINE UN AUTRE DIRECTEMENT LES BONNES RELATIONS, ON IMAGINE UN AUTRE CONCEPT (CELUI D’ENTITE), QUI PERMETTRA UNE FOIS LES CONCEPT (CELUI D’ENTITE), QUI PERMETTRA UNE FOIS LES INSTANCES RECENSEES DE TROUVER LES BONNES RELATIONS. INSTANCES RECENSEES DE TROUVER LES BONNES RELATIONS.

MALHEUREUSEMENT, ON NE SAIT TOUJOURS PAS TROUVER LES MALHEUREUSEMENT, ON NE SAIT TOUJOURS PAS TROUVER LES BONNES ENTITES D’UNE MANIERE RIGOUREUSE ET FIABLE BONNES ENTITES D’UNE MANIERE RIGOUREUSE ET FIABLE

(SAUF DANS LES CAS SIMPLES).(SAUF DANS LES CAS SIMPLES).

historique


LA TROISIEME IDEELA TROISIEME IDEE : : FAIRE PREUVE D’OPTIMISME FAIRE PREUVE D’OPTIMISME SI LES STRUCTURES PROPOSEES SONT PLUS PROCHES DU SI LES STRUCTURES PROPOSEES SONT PLUS PROCHES DU

MONDE REEL, PLUS REPRESENTATIVES, PLUS MONDE REEL, PLUS REPRESENTATIVES, PLUS COMPLETES, PLUS RICHES, ALORS IL SERA PLUS FACILE COMPLETES, PLUS RICHES, ALORS IL SERA PLUS FACILE D’EXHIBER UNE METHODE POUR LES TROUVER. D’EXHIBER UNE METHODE POUR LES TROUVER.

HELAS, LA ENCORE, CETTE IDEE N’A DEBOUCHE SUR HELAS, LA ENCORE, CETTE IDEE N’A DEBOUCHE SUR AUCUN RESULTAT CONCRET : AUCUN RESULTAT CONCRET :

BON NOMBRE DE METHODES OBJET PROPOSENT ENCORE BON NOMBRE DE METHODES OBJET PROPOSENT ENCORE DE CHERCHER LES ENTITES POUR TROUVER LES DE CHERCHER LES ENTITES POUR TROUVER LES CLASSES (CE QUI EST UNE CLASSES (CE QUI EST UNE FAUSSE BONNE IDEEFAUSSE BONNE IDEE ET ET MEME UNE MEME UNE VRAIE MAUVAISEVRAIE MAUVAISE).).

historique


POUR CE QUI EST DE L’APPROCHE POUR CE QUI EST DE L’APPROCHE OBJET, LE PROBLEME A RESOUDRE EST OBJET, LE PROBLEME A RESOUDRE EST ENCORE ENCORE PLUS DIFFICILE PLUS DIFFICILE CAR :CAR :

LA FRONTIERE LA FRONTIERE ENTRE LA CONCEPTION ENTRE LA CONCEPTION ET L’IMPLEMENTATION EST LOIN ET L’IMPLEMENTATION EST LOIN D’ETRE AUSSI NETTE QU’AVANT.D’ETRE AUSSI NETTE QU’AVANT.

EN CONCEPTION CLASSIQUE IL EST AISE DE EN CONCEPTION CLASSIQUE IL EST AISE DE DETERMINER PRECISEMENT LE MOMENT OU LES DETERMINER PRECISEMENT LE MOMENT OU LES CONTRAINTES DU LANGAGE DOIVENT ETRE PRISES CONTRAINTES DU LANGAGE DOIVENT ETRE PRISES EN COMPTE. EN COMPTE.

historique


TOUTES LES METHODES DE CONCEPTION TOUTES LES METHODES DE CONCEPTION CLASSIQUE PROPOSENT CLAIREMENT TROIS CLASSIQUE PROPOSENT CLAIREMENT TROIS NIVEAUX : NIVEAUX : – LE NIVEAU LE NIVEAU CONCEPTUELCONCEPTUEL : PERMET DE CONSTRUIRE : PERMET DE CONSTRUIRE

UN SCHEMA CONCEPTUEL. UN SCHEMA CONCEPTUEL.

– LE NIVEAU LE NIVEAU LOGIQUELOGIQUE : PERMET DE VALIDER CE SCHEMA : PERMET DE VALIDER CE SCHEMA EN CONFRONTANT LES DONNEES ET LES TRAITEMENTS. EN CONFRONTANT LES DONNEES ET LES TRAITEMENTS.

– LE NIVEAU LE NIVEAU PHYSIQUEPHYSIQUE : CONSISTE A TRANSFORMER LE : CONSISTE A TRANSFORMER LE SCHEMA LOGIQUE EN L’ADAPTANT AU LANGAGE SCHEMA LOGIQUE EN L’ADAPTANT AU LANGAGE RETENU (REGLES TRES PRECISES QUI VARIENT SELON RETENU (REGLES TRES PRECISES QUI VARIENT SELON LE TYPE DE LANGAGE). LE TYPE DE LANGAGE).

historique


LE PREMIER SCHEMA (CONCEPTUEL) REPRESENTE LA LE PREMIER SCHEMA (CONCEPTUEL) REPRESENTE LA STRUCTURATION DES DONNEES INDEPENDAMMENT DES STRUCTURATION DES DONNEES INDEPENDAMMENT DES TRAITEMENTS. TRAITEMENTS.

historique

CLIENT

PRODUIT

COMMANDECIF

Qte commandée


LE DEUXIEME SCHEMA (LOGIQUE) CORRESPOND A L’ADAPTATION DU LE DEUXIEME SCHEMA (LOGIQUE) CORRESPOND A L’ADAPTATION DU SCHEMA CONCEPTUEL LORSQU’ON TIENT COMPTE DES BESOINS EXPRIMES SCHEMA CONCEPTUEL LORSQU’ON TIENT COMPTE DES BESOINS EXPRIMES PAR LES TRAITEMENTS (PAR EXEMPLE, APPARITION D’UNE NOUVELLE PAR LES TRAITEMENTS (PAR EXEMPLE, APPARITION D’UNE NOUVELLE ENTITE FOURNISSEUR).ENTITE FOURNISSEUR).

historique

CLIENT

PRODUIT

COMMANDECIF

Qte commandée

1,N 1,1

1,N

1,N

FOURNISSEUR

CIF

1,1

1,N


LE TROISIEME SCHEMA (PHYSIQUE) DECRIT LES TABLES LE TROISIEME SCHEMA (PHYSIQUE) DECRIT LES TABLES RELATIONNELLES QUI SERONT IMPLEMENTEES DANS RELATIONNELLES QUI SERONT IMPLEMENTEES DANS L’HYPOTHESE D’UN SGBDR.L’HYPOTHESE D’UN SGBDR.

historique

CLIENT

NoClient

COMMANDE

NoCde

PRODUIT

NoProd

FOURNISSEUR

NoFour

LIGNECOMMANDE

NoProd, NoCde


IL EST DONC TRES FACILE DANS UNE APPROCHE IL EST DONC TRES FACILE DANS UNE APPROCHE CLASSIQUE DE SAVOIR OU S’ARRETE LA CONCEPTION CLASSIQUE DE SAVOIR OU S’ARRETE LA CONCEPTION PUISQU’IL S’AGIT D’UNE PHASE TOTALEMENT PUISQU’IL S’AGIT D’UNE PHASE TOTALEMENT INDEPENDANTE DES CONTRAINTES IMPOSEES PAR LE TYPE INDEPENDANTE DES CONTRAINTES IMPOSEES PAR LE TYPE DE LANGAGE UTILISE EN AVAL. DE LANGAGE UTILISE EN AVAL.

NOTRE EXPERIENCE D’ENSEIGNANT EN FAIT FOI : NOTRE EXPERIENCE D’ENSEIGNANT EN FAIT FOI : AU AU COURS DE LA CONCEPTION, VOUS NE DEVEZ JAMAIS VOUS COURS DE LA CONCEPTION, VOUS NE DEVEZ JAMAIS VOUS PREOCCUPER DES CONCEPTS INDUITS PAR LE TYPE DE PREOCCUPER DES CONCEPTS INDUITS PAR LE TYPE DE LANGAGE QUE VOUS UTILISEREZ LORS DE LANGAGE QUE VOUS UTILISEREZ LORS DE L’IMPLEMENTATION.L’IMPLEMENTATION.

CETTE REGLE N’EST PLUS VALABLE EN CONCEPTION CETTE REGLE N’EST PLUS VALABLE EN CONCEPTION OBJETOBJET ET NOUS ALLONS L’ILLUSTRER PAR UN EXEMPLE ET NOUS ALLONS L’ILLUSTRER PAR UN EXEMPLE TRES SIMPLE.TRES SIMPLE.

historique


DANS UN SYSTEME D’INFORMATION BANCAIRE, ON DECIDE DANS UN SYSTEME D’INFORMATION BANCAIRE, ON DECIDE D’ACCORDER UN PRET A UN CLIENT, SI SON SALAIRE ANNUEL D’ACCORDER UN PRET A UN CLIENT, SI SON SALAIRE ANNUEL EST SUPERIEUR A UN SEUIL PREDEFINI. LE CONCEPTEUR EST SUPERIEUR A UN SEUIL PREDEFINI. LE CONCEPTEUR CLASSIQUE IMAGINERA POUR TRAITER CE PROBLEME UNE CLASSIQUE IMAGINERA POUR TRAITER CE PROBLEME UNE OPERATION OPERATION ENREGISTRER PRETENREGISTRER PRET QUI FONCTIONNERA SELON QUI FONCTIONNERA SELON L’ALGORITHME SUIVANT :L’ALGORITHME SUIVANT :– 1°) SAISIE DES INFOS CLIENTS1°) SAISIE DES INFOS CLIENTS– 2°) COMPARAISON SALAIRE ANNUEL / SEUIL2°) COMPARAISON SALAIRE ANNUEL / SEUIL– 3°) SI INFERIEUR DEMANDE REJETEE3°) SI INFERIEUR DEMANDE REJETEE– 4°) SI SUPERIEUR OU EGAL DEMANDE ACCORDEE4°) SI SUPERIEUR OU EGAL DEMANDE ACCORDEE

ON CONÇOIT ET ON DECRIT LA LOGIQUE DES ON CONÇOIT ET ON DECRIT LA LOGIQUE DES TRAITEMENTS INDEPENDAMMENT DE L’ENDROIT OU TRAITEMENTS INDEPENDAMMENT DE L’ENDROIT OU ILS SERONT IMPLEMENTES.ILS SERONT IMPLEMENTES.

historique


EN CONCEPTION OBJET, L’OPERATION EN CONCEPTION OBJET, L’OPERATION ENREGISTRER PRETENREGISTRER PRET NE PEUT PAS ETRE DECRITE NE PEUT PAS ETRE DECRITE COMME UNE METHODE DE LA CLASSE PRET.COMME UNE METHODE DE LA CLASSE PRET.

EN EFFET, DU FAIT DE L’ENCAPSULATION, CETTE EN EFFET, DU FAIT DE L’ENCAPSULATION, CETTE METHODE NE PEUT PAS ETRE DECLENCHEE SI UNE METHODE NE PEUT PAS ETRE DECLENCHEE SI UNE INSTANCE DE PRET N’A PAS ETE CREEE.INSTANCE DE PRET N’A PAS ETE CREEE.

LA CONCEPTION OBJET DOIT DONC PRENDRE EN LA CONCEPTION OBJET DOIT DONC PRENDRE EN COMPTE LES CONTRAINTES DE L’IMPLEMENTATION COMPTE LES CONTRAINTES DE L’IMPLEMENTATION PUISQUE L’OPERATIONNALITE DES TRAITEMENTS PUISQUE L’OPERATIONNALITE DES TRAITEMENTS EST FONCTION DE L’ENDROIT OU ILS SONT EST FONCTION DE L’ENDROIT OU ILS SONT IMPLEMENTES.IMPLEMENTES.

historique


IL EST PAR CONTRE EVIDENT QUE SI L’ON IL EST PAR CONTRE EVIDENT QUE SI L’ON INTRODUIT AU COURS DE LA CONCEPTION INTRODUIT AU COURS DE LA CONCEPTION CERTAINES CONTRAINTES LIEES A CERTAINES CONTRAINTES LIEES A L’IMPLEMENTATION, ON DOIT ARRIVER (EN PRINCIPE) L’IMPLEMENTATION, ON DOIT ARRIVER (EN PRINCIPE) A FACILITER CELLE-CI, PUISQU’ON DEPLACE LES A FACILITER CELLE-CI, PUISQU’ON DEPLACE LES PROBLEMES EN AMONT. PROBLEMES EN AMONT.

L’AFFIRMATION L’AFFIRMATION IL EST PLUS FACILE IL EST PLUS FACILE D’IMPLEMENTER EN OBJETD’IMPLEMENTER EN OBJET EST DONC UNEEST DONC UNE AUTO-VERITEAUTO-VERITE PUISQUE TOUT EST FAIT POUR QUE PUISQUE TOUT EST FAIT POUR QUE

CE SOIT LE CAS, EN TRANSFERANT UNE PARTIE DESCE SOIT LE CAS, EN TRANSFERANT UNE PARTIE DES PROBLEMES VERS LA CONCEPTION.PROBLEMES VERS LA CONCEPTION.

historique


DEFINIR PRECISEMENT LA NOTION D’UTILISATEUR DEFINIR PRECISEMENT LA NOTION D’UTILISATEUR N’EST PAS EVIDENT. N’EST PAS EVIDENT.

NOUS PREFERONS PARTIR D’UNE NOUS PREFERONS PARTIR D’UNE NON DEFINITIONNON DEFINITION : :

UN UTILISATEUR : TOUT LE MONDE SAIT CE QUE UN UTILISATEUR : TOUT LE MONDE SAIT CE QUE C’EST.C’EST.

IL EXISTE DEUX CATEGORIES D’UTILISATEURS : IL EXISTE DEUX CATEGORIES D’UTILISATEURS :

CEUX QUI NE VEULENT PAS ENTENDRE PARLER CEUX QUI NE VEULENT PAS ENTENDRE PARLER

D’INFORMATIQUED’INFORMATIQUE (LES PLUS NOMBREUX).(LES PLUS NOMBREUX). CEUX QUE L’INFORMATIQUE PASSIONNE ET QUI CEUX QUE L’INFORMATIQUE PASSIONNE ET QUI

SONT PRETS A RESOUDRE EUX-MEMES LEURS SONT PRETS A RESOUDRE EUX-MEMES LEURS PROBLEMES (LES PLUS DANGEREUX). PROBLEMES (LES PLUS DANGEREUX).

L’utilisateur


LES SYSTEMES D’INFORMATION SONT CONÇUS LES SYSTEMES D’INFORMATION SONT CONÇUS POURPOUR L’UTILISATEUR, ILS NE PEUVENT DONC PAS L’UTILISATEUR, ILS NE PEUVENT DONC PAS ETRE CONÇUS ETRE CONÇUS SANSSANS LUI. LUI.

– UN DIALOGUE IMPERATIF DOIT EXISTER UN DIALOGUE IMPERATIF DOIT EXISTER PENDANT LA PHASE D’ANALYSE/CONCEPTION. PENDANT LA PHASE D’ANALYSE/CONCEPTION.

– LES MODELES UTILISES DOIVENT ETRE LES MODELES UTILISES DOIVENT ETRE SUFFISAMMENT SIMPLESSUFFISAMMENT SIMPLES POUR ETRE POUR ETRE COMPRIS PAR L’UTILISATEUR, SANS ETRE DANS COMPRIS PAR L’UTILISATEUR, SANS ETRE DANS L’OBLIGATION D’ENVISAGER UNE FORMATION L’OBLIGATION D’ENVISAGER UNE FORMATION DE SIX MOIS.DE SIX MOIS.

L’utilisateur


A CET EGARD, LE VOCABULAIRE UML A CET EGARD, LE VOCABULAIRE UML EST ASSEZ EDIFIANT : IL EXISTE EST ASSEZ EDIFIANT : IL EXISTE TREIZE TYPES DE DIAGRAMME ET TREIZE TYPES DE DIAGRAMME ET CINQ TYPES DE VUE QUI PAR CINQ TYPES DE VUE QUI PAR COMBINAISON DONNENT EN THEORIE COMBINAISON DONNENT EN THEORIE 65 CAS, MAIS HEUREUSEMENT 20 65 CAS, MAIS HEUREUSEMENT 20 SEULEMENT SONT POSSIBLES ! SEULEMENT SONT POSSIBLES !

L’utilisateur

CHAPITRE 1CHAPITRE 1L’utilisateur


DANS LES ANNEES 75, AVEC L’APPARITION DU TEMPS DANS LES ANNEES 75, AVEC L’APPARITION DU TEMPS REEL, DES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES ET REEL, DES BASES DE DONNEES RELATIONNELLES ET DES ORDINATEURS INDIVIDUELS, ON PENSAIT ETRE EN DES ORDINATEURS INDIVIDUELS, ON PENSAIT ETRE EN MESURE DE MESURE DE RELEVER LE DEFIRELEVER LE DEFI CONSISTANT A CONSISTANT A PERMETTRE A UN UTILISATEUR, NON SEULEMENT PERMETTRE A UN UTILISATEUR, NON SEULEMENT D’ANALYSER ET DE CONCEVOIR SON APPLICATION, D’ANALYSER ET DE CONCEVOIR SON APPLICATION, MAIS AUSSI DANS CERTAINS CAS DE LA PROGRAMMER MAIS AUSSI DANS CERTAINS CAS DE LA PROGRAMMER DE MANIERE SIMPLE.DE MANIERE SIMPLE.

AUJOURD’HUI, NON SEULEMENT CET OBJECTIF N’EST AUJOURD’HUI, NON SEULEMENT CET OBJECTIF N’EST PAS ATTEINT,PAS ATTEINT, MAIS ON S’EN ELOIGNE DE JOUR EN MAIS ON S’EN ELOIGNE DE JOUR EN JOUR.JOUR.

(4/5 DES UTILISATEURS NON SATISFAITS , 2/3 DES (4/5 DES UTILISATEURS NON SATISFAITS , 2/3 DES INFORMATICIENS FONT DE LA MAINTENANCE).INFORMATICIENS FONT DE LA MAINTENANCE).

L’utilisateur


LA COO EST APPARUE IL Y A UNE LA COO EST APPARUE IL Y A UNE DIZAINE D’ANNEES.DIZAINE D’ANNEES.

IL EST TEMPS AUJOURD’HUI DE :IL EST TEMPS AUJOURD’HUI DE :

SIMPLIFIER LES MODELES SIMPLIFIER LES MODELES

S’INTERRESSER ENFIN AUX S’INTERRESSER ENFIN AUX METHODESMETHODES

CEUX QUI N’EN SONT PAS CONVAINCUS CEUX QUI N’EN SONT PAS CONVAINCUS

PEUVENT CONTINUER A UTILISER UML.PEUVENT CONTINUER A UTILISER UML.

Conclusion

la conception objet

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