Justices et ébriétés

Bordeaux, physiognomie de la pierreL’Utopia

Ancienne église,place Camille Jullian,construite entre leXIVe et le XVIIe siè-cle, Saint-Siméon quipossédait une nef uni-que à chevet plat, aconnu de nombreusestransformations au fil

du temps. Lors de la Révolution, la paroissedisparaît et l'église est utilisée comme sal-pêtrière. En 1833, une "école navale desmousses et novices" est ouverte par les frè-res Laporte, ainsi que le "gymnase fran-çais". Le bâtiment devient un garage auXXème siècle, puis les lieux restent videspendant quelques années. De nos jours, cebâtiment accueille le cinéma "Utopia". Desvestiges de l'église sont encore visibles : lemur latéral sud, quelques fenêtres datantdu XIVème siècle et le contrefort sur le murextérieur qui présente une niche en arcbrisé trilobé. Ce cadre vraiment spécial,offrant pierres apparentes et vitraux, estagrémenté d'un jardin intérieur. Cinq sallesdiffusent principalement du cinéma d'auteurmais aussi des films récents et grandpublic.

Un appartement mitoyen à l'Utopia estdésaffecté, son propriétaire faisant lenécessaire pour le laisser inhabitable. C'està l'intérieur que se retrouve un cénacled'amis : les Utopistes de l'Evhémérisme.Ces initiés font partie d'un collège Gwydionpour la compréhension du symbolisme etdes parallèles ésotériques dans le cinéma.Ils sont spécialisés dans Cocteau, FritzLang, Kubrick, Welles ou Bergman, etdétestent la censure. Ils estiment que leshéros ne sont que des gens ordinaires pla-cés dans des circonstances extraordinaires.

Et donc que si tout le monde peut être unhéros, alors il est possible de les incarnerdans les mêmes circonstances exception-nelles que celles qui les ont formés.

Leur mécène est un adopté del'Amoureux, Jof. Ils n'ont pas de rapportavec d'autres néphilims : leurs connais-sances ésotériques sont liées au cinéma.Cependant leur ka soleil élevé leur permetde reconnaître des déchus quand ils envoient. Leur projet principal est l'identifica-tion d'archétypes symboliques à traversles films, qu'ils pourraient évoquer commedes entités physiques, ou bien dont ilspourraient endosser le rôle, et doncacquérir les capacités. C'est ainsi quel'une des actrices faisant partie du céna-cle, Catherine Dazens, est parvenue àentrer en contact avec un film de JacquesTourneur, " La Féline ". Depuis, elle perdparfois la mémoire, et pendant ce temps,elle se promène sur les toits de Bordeaux,en ronronnant ou en griffant.

JofJof est un éolim qui a suivi le Pagad

dans les enseignements du catharisme.Parti peu de temps avant le siège deMontségur, il a toujours regretté cettefaute. Il s'est par la suite incarné dans unpasteur protestant dans le Languedoc, auXVIIe siècle. Pendant une famine, ildémontra à plusieurs prêtres l'inexistencede Dieu, leurs propres capacités, puisenfin la preuve que Dieu existe. Il fut brûlépar des paysans. Incarné en 1826 dansun activiste libéral, il prit part aux trois glo-rieuses. En 1832, il força les mystes à sedécouvrir, et récupéra la tête de Goya.Son simulacre actuel s'appelle AntoineBlock. C'est un grand homme pâle aux

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cheveux gris, charismatique, fier et obstiné. Il aime les humains et n'a pas l'intentiond'engager ses amis dans quoi que ce soit de dangereux. Les autres adoptés duBateleur le lui reprochent parfois, mais il a trop souffert par le passé pour chercher laviolence. Il a entendu parler des akashas créés par les r+c au début du siècle, dont lesportes seraient contrôlées par une clef de cristal, mais il n'y croit pas trop.

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donjon (20 x 18 mètres de côtés) détruit en1835 mais bien connu par les gravures.C'était dans cette partie que se trouvaientles portes du royaume d'Etana, avant qu'ilne soit capturé par les synarques. Les tra-ces résiduelles de lune noire sont trèsimportantes ici. Etana lui-même tente deles rouvrir, afin de vider ce résidu, mais lesrécents aménagements rendent ses actestotalement impossibles. Les synarques sesouviennent de son influence et sont spé-cialement vigilants envers ses serviteurs.

La partie principale du fort est appeléeTour des Poudres puis Tour des Minimes,dont les deux niveaux d'artillerie prenaientd'enfilade les rues adjacentes. Par sa struc-ture - masse trapue couronnée d'un cheminde ronde avec tourelle en retrait - et par samission - commander exclusivement la villepour y faire taire toute velléité de révolte -,la tour est la réplique de la Tour du Roi auChâteau-Trompette et de la Tour Pannecauau Château-Neuf de Bayonne. Pour cette

Le Fort du Hâ

L'ancien Château du Hâ, dans lequelsont construits actuellement le Palais deJustice et l'École de la Magistrature, estune construction ex-nihilo du roi CharlesVII élevée immédiatement après lareprise définitive de Bordeaux aux Anglaisen 1453.

Le château, construit à la place d'uneporte urbaine, la porte du Par (du latintara, tour de guet, d'où dérive égalementle mot Hâ), était articulé sur l'enceinte deville et baigné au nord-ouest par lePeugue. Le château était cantonné detrois tours dont une à l'est, visible sur lagravure de Vinet et sur le plan de Turin,sera détruite au début du XVIIe siècle.Les deux portes, ouvertes en vis-à-visdans les longs côtés, étaient protégéespar des barbacanes. Celle tournée versla campagne, explicitement mentionnéeen 1475, constituait un véritable fortavancé entre deux ponts. Vers la ville, laporte était commandée par un énorme

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dernière seule un architecte, Mathieu deFortune, est mentionné en 1460. C'est à luiqu'il faudrait sans doute attribuer la pater-nité globale de ces trois sœurs. La tour de18 mètres de diamètres avec des murs de4,50 mètres d'épaisseur est construite surdeux niveaux de salles hexagonales voû-tées. Incluse totale-ment dans leTribunal, comme sasœur, cette tour voitparfois s'ouvrirl'akasha de l'Espritdes Lois, quidéborde. Il lui arrived'emporter des profa-nes à l'intérieur, maistrès rarement, et lecas est couvert soitpar les synarques, soit par Akhysphos.

La Tour du Peugue, toujours subsistantsdans l'emprise du Palais de Justice, estégalement une construction dans la tradi-tion du XlVe siècle avec son plan en fer-à-cheval, ses mâchicoulis, sa silhouette.Pourtant les fenêtres de son mur de gorgeet surtout les voûtes du rez-de-chaussée etdu dernier étage accusent bien une datationdans le troisième quart du XVe siècle. LaTour "des Anglais" ne mériterait donc pasce nom attribué par la mémoire collective.Elle fut aussi surnommée tour des sorciè-res, ou des sorciers, car c'étaient là qu'on yenfermait ceux soupçonnés de sorcellerie.C'est là qu'ont fini plusieurs prêtresd'Ibarolla, qui hantent toujours la tour deleurs kas résiduels.

Le tribunal et l'école de magistrature,qui font partie du complexe, ont été agen-cés par les synarques du degré Secondat,dans le but de contenir l'ancre de l'akashade l'Esprit des Lois. Cependant, seul deuxd'entre eux travaillent à l'intérieur. ThierryDuchamp est greffier au tribunal deGrandes instances. Ce poste lui permet dedisposer de ressources importantes, maisaussi d'avoir accès aux pièces à convictiondes procès. Il connaît la société des Juges,et passe son temps à les manipuler pour

les envoyer sur les cas qui l'intéressent.C'est un agent qui suit la voie du guide.Simple pion, Léopold Vermont est tech-nicien de surface dans le tribunal. Il saittout ce qu'il y a à savoir de ses rouages,et apprend le premier s'il y a eu quelquechose de surnaturel dans les parages.

La Société des JugesAmi du Juge Bétène, avec qui il a suivi

les cours de Faculté, le juge TobiasLévêque a été initié par ce dernier. Aprèsavoir pu rencontrer sa fille, dont les sou-venirs flous de son néphilim habitaientencore l'esprit, Lévêque choisit l'acti-visme. C'est un ennemi mortel des néphi-lims, mais il connaît leurs forces, autantque leurs faiblesses, ce qui le rend pru-dent avec eux. C'est un homme dur,divorcé, âgé d'une cinquantaine d'années.Il se sait victime d'un cancer, mais refused'envisager toute guérison mystique. Iln'enquête pas lui-même, et confie cettetâche à une agence de détectives par cor-respondance, qui ne l'ont jamais vu, et neconnaissent pas son nom. Lévêque acompris qu'il y a une chose étrange, voireplusieurs, qui parasitent les locaux du tri-bunal. Il garde les yeux ouverts, et setient à l'écart des synarques, surtoutdepuis qu'il a refusé d'entrer à leur ser-vice.

Deux de ses collègues, EmilieGerminal, et Géraldine Mandorlini, sontà ses côtés. Emilie est une avocate de laDéfense. Elle se charge en règle généraleplutôt d'identifier les victimes des arcanesmineurs, et de les défendre. Géraldine,avocate de l'accusation, est plus auda-cieuse. Suite à la possession de sa petitesœur par un néphilim, elle se charged'identifier les néphilims, pour ensuite lesdonner aux templiers. Mais le dernier cass'est mal passé. Le néphilim, un adoptéde l'arcane de l'Etoile, Murdock, est par-venu à éliminer ses adversaires, et à liredans leur esprit qui l'a découvert et com-ment. Mais c'est un saturnien, qui n'est

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Le Degré Secondat

pas apprécié de ses collègues, aussi doit-il se débrouiller seul. Révisionniste, il croît queles sauriens n'ont jamais existé, et que les sélénims sont des aberrations. Persuadé quel'orichalque faisait partie des woors à l'origine, il capture des néphilims pour leur infligerdes expériences douteuses, dans sa villa sur les Hauts de Lormont. D'autres personnesgravitent autour de la société des Juges, bien souvent des personnes informées sansêtre actives.

d'Hakinas.Les agents de

ce degré utilisenten particulier lesaxes du mage,de l'ouvrier et del'architecte. Ilssont 8 (avec

Thierry Duchamp) :- Hans Ravensbruck, horloger.Pseudonyme, Périclès. 36 ans, bedonnant,chauve avec des lunettes. Il passe sontemps entre l'Esprit des lois et sa boutique,et cela le rend passablement décousu,voire timbré.- Phoebe Ouliani, jeune Prof de phi-losophie d'ascendance italienne au LycéeMagendi. Pseudonyme, Iphianassa. 28 ans,cheveux auburn, yeux bleus. Elle s'occupedes liaisons avec le degré Lycurgue. Elleespionne aussi les mystes puiseurs de lavierge engloutie.- Thomas Valmondeaux, chef ducabinet comptable CI33, à Talence.Pseudonyme, Eudoxe. 33 ans, cheveuxroux, nerveux et maigre. Il est aussi uncompagnon franc maçon, SublimeChevalier Elu du grand orient de France.- Xavier Périhan, ingénieur chef à InFusio, boîte de jeux sur téléphone porta-bles. Pseudonyme, Anrad. 27 ans, cheveuxras, lunettes, petit. Il gère les communica-tions et les écoutes téléphoniques dudegré. Il a intégré à sa voiture un téléphonequi communique avec l'Akasha de l'Espritdes Lois. Fan de tuning de PC.- Charlène Bresson, conseillère juri-dique dans le cabinet LEXIA. Pseudonyme: Beatrix. 34 ans, petite et grosse, aimable.Elle contrôle l'accès à la porte qui se trouvedans le cabinet.

Le degré Secondat s'est formé en 1731,créé pour intégrer les Lumières dans leuréquation. En 1743, il est dirigé par LouisUrbain Aubert de Tourny, pour remplacerl'ancien degré Tabernacle, qui avaitgénéré trop de pions et s'était endormi.Dès cette époque, les synarques s'impo-sent chez les Franc-maçons et les philo-sophes. Leur discipline s'applique en prio-rité aux aménagements urbains. Leur butest de localiser et d'annexer l'akasha duGrand Horloger, Pendulum. En profitantde la participation de Montesquieu à leursexpériences, ils tissèrent des liens avecson œuvre. Ils parvinrent en 1762 à main-tenir proche de Bordeaux l'akasha tiré del'Esprit des Lois, malgré sa taille, et àcontrôler ses entrées. Par ailleurs, ils s'at-tachèrent les services d'Akhysphos, néphi-lim de la Justice. Incapable d'en tirer toutesa puissance, les synarques ne pouvaientrelâcher l'akasha comme prévu pour partirà la recherche de Pendulum, car il seserait lentement autodétruit. Le degréSecondat servit alors de conseiller occulteaux autres synarques de Bordeaux, secontentant de s'enrichir.

C'est en 1910 qu'ils sortirent de leur tor-peur, lors de la construction du Pontd'Hakinas. Au vu des manifestations magi-ques, ce projet aurait pu avancer leursvisions de plusieurs dizaines d'années.Cependant la Pierre Angulaire n'était pasprête, et elle refusa que soit achevé cepont. Aussi, usant de leurs pouvoirs, lessynarques interrompirent sa construction.Ils ne s'aperçurent pas que les rose+croixavaient récupéré l'artefact alchimique

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- Arnaud Gaume, informaticienconcepteur de moteurs 3D pour l'entre-prise Axyz. Pseudonyme : Khawarismi.C'est le spécialiste des mondes cyber-gnostiques. Il possède les prototypes quilui permettent de se rendre dans l'Espritdes Lois.- Hermeline Frangier, responsabled'un Centre de Réinsertion Girondin, àGradignan, à côté de la maison d'arrêt.Elle peut ainsi proposer du travail plus oumoins illégal à des ex-détenus.

En suivant les innovations technologi-ques des entreprises autour de Bordeaux,ils ont repéré l'influence des Frères duspectre de l'Etoile. Ils ont compris qu'ilsutilisent le bâton d'Hakinas, et cherchent àle récupérer.

L'Esprit des Lois (prégnant)Origine : Issu des songes de ceux qui ont

lu et réfléchi sur l'Esprit des Lois deMontesquieu, cet akasha porte en lui lesLumières, cet esprit philosophique huma-niste et rationnel. Ses apports en ka soleilsont venus de tous ceux qui ont rêvéconstruire une société égalitaire, où les loisrégiraient la citoyenneté en servant degarde fou. Les républicains qui se sont suc-cédé au fil des ans ont parachevé cette uto-pie. Son influence sur Bordeaux est deve-nue patente pendant la période de JacquesChaban Delmas, maire de 1947 à 1995, oùla stagnation a empêché la ville de semoderniser.

Décors : C'est une cité de temples grecs,et d'amphithéâtres romains, d'arcs de triom-phes, de thermes, et d'aqueducs.Cependant le niveau technologique estcelui du XVIIIe siècle. On y circule en car-rosse, tous les hommes portent des perru-ques poudrées, les livres sont imprimés, etla laine est tissée sur des métiers à tissermécaniques.

C'est une société qui a mal vieilli. Ultrabureaucratique, hiérarchisée, trop statique,elle génère autant d'inégalités qu'elle ensupprime. Le système politique est celuid'une gérontocratie, mais ses partisans l'ap-pellent République. 3 assemblées se réu-

nissent : une qui créé les lois, une qui lesfait appliquer, et une autre qui juge lescontrevenants. Les sénateurs sont élus àvie et ne vieillissent pas. Tous les nobleset les bourgeois de la cité passent leurtemps à légiférer, à créer des lois, à énon-cer des jugements ou à proférer des dis-cours. Le petit peuple tente de les nourrir,avec les champs qui entourent la cité.Chaque aspect de leur vie est régi par uneloi.

Les bâtiments les plus importants sont lePalais de la Raison, où se rassemblel'Assemblée Exécutive ; le Palais de laVérité, où se réunit l'Assemblée législative; et le Palais de la Justice, où se tientl'Assemblée Judiciaire. Ils ressemblenttous au Sénat romain.

Portes : Les synarques se sont dépê-chés de récupérer cet akasha, et de l'an-crer non loin du monde profane. En effet,à cette époque, ils n'avaient pas encoreles moyens de pénétrer par eux-mêmesdans des akashas distants. Désormais ilspossèdent la technologie des akashascybergnostiques, mais ils conservent lesportes en état.

Il en existe une dans le Tribunal du Fortdu Hâ. Il y en a une autre dans l'ancienneécole de la Magistrature, qui se trouveentre le Fort du Hâ et la Cathédrale Saint-André, derrière un restaurant. La troisièmese situe dans un cabinet d'avocats installé

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là depuis trois générations, LEXIA, rue de Belfort. La dernière se situe au Commissariatcentral, rue Abbé de l'Epée, dans une cave inutilisée.

Enjeux : La taille de l'akasha est devenu un réel problème. Il déborde régulièrement surle monde profane. Dans ces endroits, il devient difficile de penser autrement que rigide-ment, et de contrevenir aux règlements. Dernièrement, le fils d'Audrey Maculaire,Geoffrey, étudiant en droit, a disparu derrière l'Aula Magna, sur le campus de BordeauxII, avalé par l'akasha. La loge du Bâton Triangulaire est donc à sa recherche.

La compréhension de l'akasha passe par une participation active à son système. Il esttoujours possible de devenir avoué ou greffier de ce tribunal tentaculaire, pour peu quel'on soit patient et que l'on possède des connaissances minium en droit. Quiconque maî-trise les principes des Assemblées, et fait partie de ce système perçoit beaucoup mieuxles systèmes judiciaires, et peut se considérer plus doué en droit d'un niveau. Par ail-leurs, il peut prévoir la création de nouvelles lois à l'avance, selon son niveau de compré-hension de l'akasha. C'est ainsi que le degré Secondat est devenu extrêmement riche, etqu'il possède une clientèle de pions dans la justice, les affaires et les assurances trèsfidèle.

Cet akasha mènerait selon les synarques à Pendulum ou sur sa voie, bien qu'ils nesoient pas parvenus à trouver la porte. De plus, Akhysphos est persuadé qu'il existe uneporte qui mène à Méborack, dans la cité de Kallah sur l'anneau médian.

brée qui ne les gêne pas, lessynarques les laissent tran-quilles. C'est ainsiqu'Akhysphos est parvenu àun accord sur l'akasha del'Esprit des Lois, associantson arcane avec eux demanière officielle. Cependant,

en même temps, il fut obligé de pactiseravec des templiers franc-maçons pour lenettoyage de la ville. Attaqués, les bohé-miens et l'arcane du Jugement rétorquèrenten dénonçant Akhysphos auprès de laMaison Dieu. Depuis, il déteste l'arcane duJugement, et Nahulac en particulier. Il estallié à une équipe de détectives, l'AgenceAAC.

Doué en kabbale, il passe beaucoup detemps sur Méborack, dans sa quête d'unéquilibre cosmique parfait. Même s'il saitque l'akasha de l'Esprit des lois a desdéfauts, c'est pour lui un bien meilleurexemple que ce qu'on fait les humains deleur société. Il est allié aux synarques, etrencontre Phoebe Ouliani plusieurs fois parmois. Il n'est utile pour les synarques quetant qu'on ignore ses liens avec eux. Sonsimulacre actuel est celui d'un bâtonnier auConseil de l'ordre, Jean-Paul Bayle. C'estun homme svelte et athlétique, toujourshabillé avec classe. Il porte toujours avec lui

Akhysphos

Depuis sa première incarnation enEgypte, ce phœnix a considéré que seulun système d'égalité entre les néphilims etles profanes pouvait permettre l'accès àl'agartha. Cependant pour cela, il penseque les uns doivent se concentrer surl'Invisible et les autres sur le matériel. Il sesouvient avec émotion du temps où leMonarque du meilleur des mondes jugeaitles pharaons dans les champs d'Ialous.

Depuis, il fait partie de l'Arcane de laJustice, qu'il sert loyalement… Ou pres-que. Pendant plusieurs dizaines d'années,il mit en place une collaboration rappro-chée avec Algieba, un griffon qui préten-dait être le néphilim incarné dans Nogaret,celui qui avait détruit l'ordre des templiers.Il s'est avéré que ce dernier avait des liensétroits avec un degré synarque.Akhysphos prit soin de cacher la vérité àla fois à la Maison Dieu, et à son proprearcane.

Confronté à plusieurs reprises aux synar-ques par la suite, il s'aperçut qu'ilsn'étaient pas belliqueux. Tant que lesnéphilims se comportent de façon équili-

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une mallette blindée dans laquelle il a gravé un pentacle d'invocation de ceux qui frap-pent les scorpions, et où se trouve une lame démontée. Son refuge est son bureau, rueDuffour-Dubergier. Une pièce spéciale lui permet de méditer et de stocker ses offrandes.

AAC DétectivesCette agence dont le siège se trouve Cours

Alsace-Lorraine possède plusieurs antennes en Aquitaine et une à Toulouse. Elle estaussi employée par le Tribunal de Commerce. Elle effectue des recherches de rensei-gnements depuis 1938, ce qui lui a permis d'apercevoir le monde occulte derrière levoile. Finalement, au cours d'une enquête dans une loge templière d'Arcachon, ilsdécouvrirent plusieurs stases. Plusieurs nephilims intégrèrent l'agence au fil des ans.- Le directeur, Alain Rousseau, est le simulacre de Finaster, un faërim adopté dela Justice. Finaster ayant vécu sa plus longue période d'incarnation pendant les années1920-30 dans la Méditerranée, il possède une certaine nostalgie de cette époque. Ils'habille avec un blouson, une écharpe, une cagoule de cuir et de grosses lunettesd'aviateur. Il est particulièrement doué en kabbale, et possède sur sa moto une ardoiselui permettant de tracer les pentacles en conduisant.- Orikush est incarné dans un enquêteur, Julien Borel. C'est un grand blond, avecles cheveux longs, et un bronzage parfait. C'est un zéphyr de l'arcane de l'Empereur.Ronchonneur patenté, il est souvent difficile de le repérer avant qu'il ne soit trop tard.Ses deux bracelets de poignets sont gravés de symboles occultes : des foci cadeauxd'un service rendu à Eaque.- Laeticia Balrin est le simulacre de Frilen, un adopté de la Maison Dieu. C'estune femme de 35 ans, blonde, passe-partout. Elle a quitté son mari qui avait une bonnesituation de banquier à Toulouse, sans aucune explication, après une absence de 6 moispassée à visiter l'Europe dans les musées et les sites archéologiques. Les templiers tou-lousains sont persuadés que c'est une myste.

Il y a aussi 4 autres enquêteurs, qui savent que leurs collègues sont des néphilims,sans bien mesurer ce que c'est. L'Arcane de la Justice est au courant et leur a donnéune procuration. Le reste de l'entreprise n'est pas au courant. Ils passent leur temps àaffronter les pions des templiers, des mystes, et des r+c, tout en évitant les synarques,avec qui ils collaborent de temps à autre.

Le Château de la Bouscaye fut la pro-priété familiale des Bouscaye pendant plu-sieurs siècles jusqu'à la révolution. En1745, Charles-Antoine de Bouscaye,nobliau passant son temps dans les clubs,découvrit homoncule d'Ausone. Après avoircherché des renseignements dans lesmilieux occultistes, il lui fut volé par les tem-pliers de la LBT. Il décida donc de devenirun alchimiste capable d'affronter ces secta-teurs et de reprendre son dû. Organisantdes festivités mémorables dans son châ-teau, le noble cultivé y attira de nombreuxoccultistes, qui l'aidèrent sur la voie des

Les Ivrognes de la Dive

Bouteille

souf-fleurs.Librepen-seur etlibertin,

cela ne l'empêcha pas de vivre à sonaise. La Révolution y mit un terme. Sonchâteau fut récupéré par les mystes dumidi, qui ne firent que l'étudier et le viderde tout ce qui s'y trouvait d'occulte.

En 1899, les Ivrognes de la DiveBouteille, des adoptés du Jugement, déci-

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dèrent d'en prendre possession. Ils entraî-nèrent le notaire vers le coma éthylique, etle forcèrent à signer tous les papiers.Depuis, Nahulac a fait aménager l'intérieuren forme de bouteille autour de laquelletournent les escaliers. Une gigantesquesalle de bal permet d'y organiser des fêtesmémorables. Des salons particuliers ontété aménagés en petits théâtres, où lesdécors se succèdent magiquement. Lespièces qu'ils y jouent à chaque festival deBacchus représentent des épisodes del'histoire ésotérique. Le laboratoire d'alchi-mie se trouve à la cave, où sont menéesles expériences visant à modifier les pro-priétés du vin. Jusqu'ici, les amateursn'ont pas trouvé trop étranges les effetsdu vin qu'ils sont venus acquérir au châ-teau, et nombreux sont ceux qui y sontrevenus. Des labyrinthes de vigne entou-rent le château, servant à reproduire desétapes du chemin kabbalistique versPachad.

Depuis quelques années, la coupure desfonds accordés par le ministère de la cul-ture pour la rénovation du château faitqu'il se dégrade à grande vitesse. Lesacheteurs se pressent aux grilles, souventdes pions synarques. Avec Nahulac, lesIvrognes sont 4 :- Postapo, un lutin alchimiste, dontle simulacre est un clochard semblable àColuche. Déluré et perpétuellement saoul,il passe son temps à faire exploser lelaboratoire. Il a certainement vécu des his-toires trépidantes par le passé, maislorsqu'il en parle, cela ressemble toujoursà la même chose (ça commence dans unbar, et se termine par un vomi).- Oulipo, un sylphe, est incarné dansun écrivain surréaliste, qui travaille en tantque journaliste indépendant, StéphaneLhomme. Il espère faire naître des akas-has bouleversant complètement l'océanprimordial, en faisant pratiquer l'écritureinstinctive à ses amis, sous l'effet de l'al-cool et de la drogue.- Qlippo est un onirim incarné dansun juif de bonne famille, qui est devenu

jardinier. C'est lui qui s'occupe des vignes.Il espère tracer des invocations de kabbalede Pachad à l'aide de farandoles de per-sonnes saoules.Ils ont à leur service un maître de chai, desassistants, des viticulteurs, tous au courantde leur véritable nature, et ils emploient dessaisonniers.

NahulacIncarné pour la première fois en Grèce en

-495, il y rencontra Aelgamiel, avec qui ilpassa de très bons moments. Lorsqu'ilentendit dire que son ami s'était réincarné àBordeaux, il chercha à retrouver sa trace,et s'y rendit en 1720. Là, il devint le chefd'un groupe d'adoptés du Jugement, lesVagabonds d'Aelgamiel. Lorsqu'il retrouvala tombe de son ami, il fit tout pour le réin-carner, mais sa stase est sous la surveil-lance des templiers. Aussi il dut attendre demeilleurs jours. Lors de la Révolution, il sefâcha avec un autre de ses amis, Lamiane,une ondine. Celle-ci lui reprochait d'avoirlaissé Aelgamiel en stase. Elle préféra sedonner aux mystes du midi plutôt que d'af-fronter la honte de ne pouvoir sauverAelgamiel, parce qu'aucun ne voulait l'aider.Ce sacrifice eut deux conséquences : larenaissance de la Guivre du Mirail, cettefois sous bonne garde ; et la création d'unautre groupe de néphilims, les Hérauts dela Morue Noire. Les ivrognes de la Divebouteille s'opposent régulièrement à cesderniers, ainsi qu'aux mystes du midi, àEtana, et aux synarques.

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Ce degré fait partie de la branche Worlddes synarques, dans le but de conquérir lemonde. En contrôlant plusieurs leviersinfluençant le domaine du vin, les synar-ques espèrent dominer le commerce deBordeaux. De plus, les mystes du midi s'in-vestissent souvent dans le commerce duvin, à cause de leur liturgie, et les synar-ques espèrent ainsi maîtriser ce paramètre.Créé en 1203 pour joindre les sectesanglaises et françaises, ce degré fut oubliépendant le XVe et le XVIe siècle.

Il reprit toute sa vigueur suite à la Frondede l'Ormée. C'est à cette époque que cedegré découvrit une méthode de concentra-tion du ka soleil dans des vignes orientéesspécialement selon des schémas séculai-res. Le vin ainsi obtenu permet d'augmen-ter l'intellect de celui qui le boit. Trèsrecherché par les néphilims du Jugement etles mystes du midi, ces bouteilles sont pro-tégées dans des chais blindés, et souter-rains.

Plusieurs familles riches deBordeaux ont eu un rôle à jouerdans leur ascension, mais lessynarques du degré Lycurgue ontbien pris garde à ne pas les ini-tier plus qu'il n'en fallait. Seultrois personnes gèrent ce degré :- Mathias de Rothschild

Fils cadet du Baron Edmont deRothschild, ce petit homme àlunettes n'a pas l'air d'en impo-ser. Pourtant c'est lui qui dirigetoute la production de laCompagnie Vinicole d'EdmontRothschild, les Châteaux Clarke,Malmaison et Peyre-Lebade. C'est aussi luiqui a créé le salon Vinexpo.

Créé en 1981, par la Chambre deCommerce et d'Industrie de Bordeaux, lesalon Vinexpo s'est affirmé au fil des édi-tions comme le grand rendez-vous desopérateurs mondiaux du secteur des vins etdes spiritueux. Il a lieu à Bordeaux toutes

les années impaires. En 13 éditions,Vinexpo a enregistré une formidable crois-sance, comme en témoignent les chiffresde participation. Le Salon permet à sesexposants de faire goûter leurs crus àtous les visiteurs.

Mathias a pu courber les ley lines autourde ses vignobles, sauf en ce qui concer-nait une propriété, celle du Château de laDive Bouteille…- David Sichel

Cette famille installée à Bordeaux ainvesti dans le vin depuis 1883. Le fonda-teur de la dynastie, Hermann Sichel,Allemand d'origine, avait trois fils qui ontfondé leur propre maison, l'un en France,l'autre en Angleterre et le troisième enAllemagne. Allan Sichel (1900-1967) distri-buait les vins de Bordeaux en Angleterreet a fondé la Maison Sichel à Bordeaux.En 1938, il acquiert avec ses associésChâteau Palmer - un pari fou par amourdes vins de Bordeaux à une époque diffi-cile pour les plus grands châteaux. Un deses petits fils, David, gère la productiondes vignes de la Maison Sichel. Mais ildécida d'investir dans l'immobilier, rache-

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Le Degré Lycurgue

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- 12 salles de sous-commission- 1 espace de réception panoramique dominant la Garonne avec 300 m² de terrasses- un hôtel *** haut de gamme- un restaurant-bar à vin- un parking sous-terrain public de 850 places

C'est dans cet hôtel que se retrouvent la plupart des synarques en voyage à Bordeaux.L'architecture du lieu a bénéficié d'une réelle attention pour augmenter les échangesentre les visiteurs.- Félicia Miailhe

Cette charmante jeune femme est la troisième adjointe du Maire, Alain Juppé, et sondomaine recouvre l'urbanisme, les espaces publics, l'habitat, les transports, et la démo-cratie locale. Elle a donc la main mise sur les bâtiments historiques et les aménage-ments urbains. Elle a énormément de travail avec les autres conseillers de Juppé,marionnettes des templiers de la LRRT. Elle sort actuellement avec Daniel Sanblanc, unmyste qui se fait passer pour un jeune requin aux dents longues. Elle subodore uneentourloupe, sans parvenir à deviner quoi.

Ces trois-là emploient toutes sortes de pions, des détectives aux occultistes amateurs,et même parfois des néphilims, pour s'assurer de rester les meilleurs dans leur domaine,et pour lutter contre les mystes. Jean-Baptiste Rigaudy, directeur général adjoint àl'agence d'urbanisme de l'agglomération bordelaise, est au service de Félicia Miailhe.Fabrice Werber, responsable de la sécurité du Mercure, est au service du conseil d'ad-

ministration de la Cité Mondiale, elle-même sous les ordres de David Sichel.

À la mort de Lamiane, une ondine adop-tée du Jugement, qui se suicida en s'of-frant aux mystes du midi, une grave crised'identité se fit jour chez les Vagabonsd'Aelgamiel. Après une décennie d'en-gueulades, une partie d'entre eux sescinda en un autre groupe. Celui-ci, baséà Bègles, se baptisa la Hérauts de laMorue Noire, à cause des pêcheries demorue qui s'y trouvaient. L'apport en immi-grés espagnols et portugais dans cettecommunauté leur permit de passer inaper-çus, jusque dans les années 60, où troisd'entre eux sont morts, capturés par desmystes. Aujourd'hui Bègles est toujourscosmopolite et populaire, et plus toléranteque Bordeaux. Aussi les deux survivantsont décidé de s'afficher au grand jour, enattirant des artistes profanes autour d'eux.Ces derniers n'ont pas réellementconscience de leur différence, ou s'enfichent.

Les Hérauts de la Morue noire

Ancien bâtiment du XIXè ayant servi desécherie, la Morue noire se trouve à 5minutes de la Mairie. Suite à une réfectionen 90, il abrite actuellement des atelierscontemporains d'art. Chacun y est libre ettravaille sur ses thèmes. Des événements yont lieu, soirées, expositions, soutien auxpersonnes handicapées, rien n'arrête cesartistes.

Michel Lecoeur, ou Klaryon, est la têtepensante du duo. C'est un ange à la coif-fure digne d'un manga avec des supersguerriers. Il aime à s'entraîner avec sonsabre dans des endroits sauvages enmarge de la cité. Il est devenu fou de dou-leur à la mort de son aimée Lamiane, et iltira de la honte de ne pas l'avoir écoutée

une haine intense envers tous les néphilims. Il pense que les néphilims sont mauvais parnature, et que seul l'homme peut les aider à évoluer moralement. Son collègue EricSanchez, ou Vardym, est un follet. Habillé d'un survêtement et d'un bonnet, il se pro-mène avec sa bombe de peinture et tague des révélations ou des runes de kabbale surles murs. Ses dédicaces énervent au plus haut point les synarques. En effet, il parvienten défigurant un monument à amoindrir ou dévier ses effets magiques. Depuis plusieursmois, une nouvelle peintre s'est rajoutée au groupe. Elle prétend tout ignorer de la réalitéésotérique, mais c'est loin d'être le cas. Eglantine Bouvier n'est plus humaine, ni mêmenéphilim. Onirim incarnée depuis quelques années, Jakalya a décidé de mettre fin aucalvaire que lui cause le khaïba, et s'est rendue à Etana, le sélénim. Pour le prix de satransformation réussie, il l'a forcée à espionner les Hérauts de la Morue noire.

Ils capturent des néphilims en stase, qu'ils sèment dans les akashas, en espérant queles rêves des mortels les rendront meilleurs. Ils font la chasse aux néphilims de la Justiceet aux alliés de Nahulac, et dénigrent les autres. Le khaïba et la lune noire les rongentpetit à petit. S'ils n'étaient pas accompagnés d'une quinzaine de jeunes en manque derepaires, ils ne seraient pas dangereux.

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La Colonne des

Girondins

accueille une fête foraine. À l'intérieur decelle-ci est abritée une dizaine de gitans,qui font le tour de la France, pour récupé-rer des stases volées à droite et à gau-che, avec le dessein de les réincarner lorsdes nexus qui bourgeonnent autour de lacolonne. Leur chef, Oprea Tchaïko, estun gros bonhomme débonnaire à mousta-che. Les synarques savent que la Fêteforaine cache des agissements bohé-miens, mais ne parviennent pas à l'inter-dire.

Au fond de la place, aumilieu de l'hémicycle, onéleva en 1902 le monu-ment aux Girondins quiest, en fait, une colonnede 43 mètres avec aupied des statues -triom-phe de la Concorde, dela Fraternité, del'Abondance et duBonheur, du Travail, dela Sécurité, de la Forceet de la République alors que sont jetés àbas les Mensonges, le Vice et l'Ignorance-mêlées à des chevaux marins crachant desjets d'eau. Ces chevaux furent enlevés enaoût 1943 par les Allemands et retrouvés àAngers en juillet 1945. Depuis 1983 ceschevaux ont repris leur place au pied de lacolonne, où, finalement les Girondins sontabsents !

Cette colonne sert d'ancre à l'akasha del'Esprit des Lois. Malheureusement, les leylines amènent toutes vers elle, et doncquantité de néphilims, mais aussi de sim-ples occultistes se doutent de quelquechose. De temps à autre, la place desQuinconces, qui se situe juste en face,

Réalisé par Hubert Terrieux(Ouroboros)