journal paroisse st sauveur avril 2011

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Paroisse Saint-Sauveur - 38 rue de la Fosse Marine - 37100 Tours - 02 47 54 46 19 - [email protected] 2011 avril E n ces premiers jours d’avril, nous voici à mi- parcours du chemin du Ca- rême. Dans l’évangile du mercredi des cendres, Jésus a placé sous le regard de son Père notre parcours : « Ton Père voit ce tu fais en se- cret : il te le revaudra. ». Nos pas s’orientent mainte- nant vers le rendez-vous des jours saints. Là, Jésus nous attend pour le dernier re- pas, pour la célébration du Jeudi-Saint : « J’ai ardem- ment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir… » Luc 22, 15. Il y a dans le repas de la Cène un levain qui continue de fermenter à travers les siècles jusqu’à nous, en tant de lieux de la terre. On peut dire avec le psaume 18 : « Sur toute la terre en paraît le message. » Voici une quinzaine d’an- nées, je me trouvais pour le Jeudi Saint dans la ville de Bangalore en Inde. Une ren- contre de ruraux de plu- sieurs pays asiatiques venait d’avoir lieu dans un centre des Jésuites. Sans autre prê- tre disponible, un frère de la communauté m’a demandé de célébrer la Cène du Sei- gneur. Une quinzaine de personnes dans cette cha- pelle. Selon la coutume, nous étions tous assis sur de profonds coussins…, dé- paysement total. Diversité extrême en même temps que communion profonde au mystère du don du Christ. Jamais je n’ai autant perçu le poids des mots : « pour vous », petit groupe de disciples… et « pour la multitude » ; multitude presque palpable de Banga- lore : immense cité du sud de cet immense pays- continent. Nous étions, ils étaient eux surtout, le mail- lon minuscule et indispensa- ble de la transmission du levain de l’Évangile apporté en cette terre par l’apôtre Thomas. Ce Jeudi Saint tout proche, nous serons nous aussi un maillon de la tradition du don du Christ en Touraine depuis un premier Jeudi Saint célébré par nos fonda- teurs Gatien et Martin, com- me eux là-bas le furent ce soir-là avec leur fondateur l’apôtre Thomas. Chaque année, en cette soi- rée, nous revenons à la source du don. Jésus a voulu que le geste du service fasse corps avec celui du partage. Par l’invitation à « manger ce pain et boire à cette cou- pe », par le lavement de pieds, par le don de lui- même, Jésus sauve ce qu’il y a de plus élémentaire et de plus nécessaire dans la vie de l’humanité. C’est le geste fondamental de la fraternité, c’est le sens profond de l’Eucharistie. www.saint-sauveur.doyenne-tours-nord.fr J e t'adore , mon Seigneur et mon Créateur, caché dans le Saint- Sacrement. Je t'adore pour toutes les œuvres de tes mains, qui me révèlent toute ta sagesse, ta bonté et ta miséricorde, ô Seigneur. Tu as répandu tant de bonté sur la terre, et elle me parle de ta beauté, quand bien même toutes ces beautés ne sont qu'un pâle reflet de toi, ô Beauté ineffable. Et même si tu t'es caché et as voilé ta beauté, mon œil, à la lumière de la foi, sait te trouver et je reconnais mon Créateur, le Dieu très haut, et mon cœur se retrouve complètement plon- gé dans une prière d'adoration. Sainte Faustine Kawalska MÉDITATION : ÉDITO DU PÈRE GEORGES HUGUET LE LEVAIN DE L’EUCHARISTIE

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journal paroisse Saint-Sauveur avril 2011

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Page 1: Journal paroisse St Sauveur avril 2011

Paroisse Saint-Sauveur - 38 rue de la Fosse Marine - 37100 Tours - 02 47 54 46 19 - [email protected]

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a v r i l

E n ces premiers jours d’avril, nous voici à mi-

parcours du chemin du Ca-rême. Dans l’évangile du mercredi des cendres, Jésus a placé sous le regard de son Père notre parcours : « Ton Père voit ce tu fais en se-cret : il te le revaudra. ».

Nos pas s’orientent mainte-nant vers le rendez-vous des jours saints. Là, Jésus nous attend pour le dernier re-pas, pour la célébration du Jeudi-Saint : « J’ai ardem-

ment désiré manger cette Pâque avec vous avant de souffrir… » Luc 22, 15. Il y a dans le repas de la Cène un levain qui continue de fermenter à travers les siècles jusqu’à nous, en tant de lieux de la terre.

On peut dire avec le psaume 18 : « Sur toute la terre en paraît le message. »

Voici une quinzaine d’an-nées, je me trouvais pour le Jeudi Saint dans la ville de Bangalore en Inde. Une ren-contre de ruraux de plu-sieurs pays asiatiques venait d’avoir lieu dans un centre des Jésuites. Sans autre prê-tre disponible, un frère de la communauté m’a demandé de célébrer la Cène du Sei-gneur. Une quinzaine de

personnes dans cette cha-pelle. Selon la coutume, nous étions tous assis sur de profonds coussins…, dé-paysement total. Diversité extrême en même temps que communion profonde au mystère du don du Christ. Jamais je n’ai autant perçu le poids des mots : « pour vous », petit groupe de disciples… et « pour la multitude » ; multitude presque palpable de Banga-lore : immense cité du sud de cet immense pays-continent. Nous étions, ils étaient eux surtout, le mail-lon minuscule et indispensa-ble de la transmission du levain de l’Évangile apporté en cette terre par l’apôtre Thomas.

Ce Jeudi Saint tout proche, nous serons nous aussi un

maillon de la tradition du don du Christ en Touraine depuis un premier Jeudi Saint célébré par nos fonda-teurs Gatien et Martin, com-me eux là-bas le furent ce soir-là avec leur fondateur l’apôtre Thomas. Chaque année, en cette soi-rée, nous revenons à la source du don. Jésus a voulu que le geste du service fasse corps avec celui du partage. Par l’invitation à « manger ce pain et boire à cette cou-pe », par le lavement de pieds, par le don de lui-même, Jésus sauve ce qu’il y a de plus élémentaire et de plus nécessaire dans la vie de l’humanité.

C’est le geste fondamental de la fraternité, c’est le sens profond de l’Eucharistie.

www.saint-sauveur.doyenne-tours-nord.fr

J e t'adore , mon Seigneur et mon Créateur, caché dans le Saint-Sacrement.

Je t'adore pour toutes les œuvres de tes mains, qui me révèlent toute ta sagesse, ta bonté et ta miséricorde, ô Seigneur.

Tu as répandu tant de bonté sur la terre, et elle me parle de ta beauté, quand bien même toutes ces beautés

ne sont qu'un pâle reflet de toi, ô Beauté ineffable.

Et même si tu t'es caché et as voilé ta beauté, mon œil, à la lumière de la foi, sait te trouver et je reconnais mon Créateur, le Dieu très haut, et mon cœur se retrouve complètement plon-gé dans une prière d'adoration.

Sainte Faustine Kawalska

MÉDITATION :

ÉDITO DU PÈRE GEORGES HUGUET

LE LEVAIN DE L’EUCHARISTIE

Page 2: Journal paroisse St Sauveur avril 2011

LE SACREMENT DE L’EUCHARISTIE

« L’Eucharistie est sour-ce et sommet de tou-

te la vie chrétienne... La sainte Eucharistie contient tout le trésor spirituel de l’Église, c’est-à-dire le Christ lui-même, notre Pâque.

La communion de vie avec Dieu et l’unité du peuple de Dieu, par lesquelles l’Église est elle-même, l’Eucharistie les signifie et les réalise...

Enfin, par la célébration eu-charistique nous nous unis-sons déjà à la liturgie du ciel et nous anticipons la vie éternelle quand Dieu sera tout en tous (cf. 1 Co 15, 28). »

Extrait du Catéchisme de l’Église Catholique

Amener les enfants à perce-voir toute la saveur de ce sacrement : les amener à percevoir que Jésus qu’on ne voit pas est réellement présent dans l’hostie, qu’ils vont pouvoir l’approcher au plus près dans le silence et le recueillement, les amener à percevoir que Jésus de-vient « le coach »dans leur vie quotidienne, pour se laisser conduire par lui et vivre la fraternité, le parta-ge, Il se donne en nourriture pour être notre force. L’Eu-charistie est un mouvement d’Amour : Il se donne, on le

reçoit et nous pouvons naî-tre à chaque fois à la vie que Dieu veut pour nous. Quelle belle aventure de vivre cela avec les enfants que nous préparons à la première des communions, c’est beau et difficile à la fois : venir chaque dimanche à l’église où Jésus nous at-tend, faire partie d’une fa-mille-église ; l’intériorité, la fidélité ne font peut-être pas toujours partie d’un paysage familier mais nous voulons leur en parler et croire que nous pouvons les y amener. Les enfants qui se préparent à la première communion ont rédigé une lettre, en voici quelques-unes :

« Je souhaite faire ma pre-mière communion pour continuer de me rapprocher de Jésus. Le connaître da-vantage et continuer de lui faire confiance. L’aimer comme un ami, et qu’il puis-se me soutenir et me guider toute ma vie. Et me donner son amour. » « Je fais ma première com-munion car j’ai envie de mieux connaître Jésus, l’en-tendre au plus profond de

mon cœur. Je veux goûter à l’hostie, en mangeant l’hos-tie pouvoir sentir ta présen-ce, et ne plus jamais me sen-tir seule. S’il te plaît, exauce mes prières. Merci. » « Je veux faire ma première communion pour agrandir ma foi. C’est une autre éta-pe après le baptême, un mo-ment fort avec Jésus. Pour mieux connaître Dieu, j’ai hâte de ce moment très fort. Amen. » « Je désire faire ma premiè-re communion car j’ai envie d’avoir le pain du corps de Jésus. Parce qu’être en com-munion avec les autres est très important. Je veux com-munier pour être en paix et donner la paix autour de moi avec Jésus. »

« Je tiens à faire ma premiè-re communion pour être da-vantage avec Jésus et pour qu’il m’aime un peu plus chaque jour. Je pense que m’être fait baptiser est gé-nial, mais si je m’approchais encore plus de Jésus ce se-rait encore mieux. Jésus m’aide quand j’ai des pro-blèmes ou quand je suis tris-te et moi en échange je vou-drais l’aider à ma façon en le suivant comme si j’étais un de ses disciples. Voilà

pourquoi je veux faire pre-mière communion. » « Je voudrais faire ma pre-mière communion pour être plus près de Jésus. J’ai confiance en Dieu et je me sens bien avec lui. J’accepte de ne pas pouvoir voir Dieu mais je crois quand même en lui. » « Je veux faire ma première communion parce que je crois en Dieu. Dieu vit pour nous. J’ai confiance en lui. Il nous aime. Dieu nous réunit tous ensemble. Je parle sou-vent à Dieu. Je sais qu’il m’é-coute. Voici la réaction de leurs parents recueillie lors de la réunion de préparation. : « Les enfants ont envie de faire comme les adultes et peuvent faire entièrement partie de la communauté des chrétiens, joie de com-munier ensemble. » « C’est une autre étape sur le chemin de la foi pour s’ap-procher de Dieu. » « C’est important d’avoir assez de connaissances sur la vie de Jésus pour avoir une relation intime avec lui. » « Dans cette démarche, il y a une notion d’engagement, il faut nourrir cette relation pour développer la foi et vivre comme le Christ. »

Marie-Claire Dulché et Agnès Roy

Catéchistes

& Articles

TÉM

OIG

NA

GES

Page 3: Journal paroisse St Sauveur avril 2011

C e samedi 19 mars, nous sommes une trentaine de

pèlerins à nous diriger vers Paris où, en premier lieu, nous rencontrons, au 140 rue du Bac, les Filles de la Charité qui nous présentent leur congré-gation et l’humble vie de Ca-therine Labouré, et l’influence de St Vincent de Paul. Puis le Père Bruno célèbre la messe dans la chapelle de la Médaille Miraculeuse où nous répon-dons à cet appel : « Venez au pied de cet autel, là les grâces seront répandues sur tous ». L’après-midi, rendez-vous aux Missions Etrangères de Paris co-fondées par un touran-geau, Mgr François Pallu en 1658. Eric, laïc marié avec une Japonaise assure la présenta-tion et la visite de la salle des martyrs et de la chapelle. Ac-tuellement, un prêtre de Tou-raine est en Corée et un autre à Madagascar. Nos pas nous mènent ensuite à la chapelle des Lazaristes, rue de Sèvres où nous est contée l’histoire de St Vincent de Paul. Puis détente des jam-bes et de l’esprit au Champ de Mars avant de rejoindre le centre d’accueil où nous pas-serons la nuit. Après le dîner nous rencontrons le père Oli-vier Ribadeau-Dumas, délégué épiscopal à la solidarité sur le diocèse de Paris qui nous fait un topo très intéressant sur la Charité qui se vit à Paris : « la charité, c’est une affaire de regard » . Il nous a développé plusieurs formes de pauvre-tés : la solitude, les migrants, le logement. La pauvreté émergente : désagrégation de la cellule familiale, pauvreté psychique, la progression du 4ème et du 5ème âge. Quant à leur « pastorale de la Charité », plusieurs cibles : la détection, l’accueil, l’accom-pagnement, le partage. Les priorités et les choix stratégi-ques : être présent là où per-

sonne ne va, le bénévolat, la synergie (les associations ont du mal à travailler ensemble). En bref, « on ne fait pas la cha-rité, on la vit », ce qui est pre-mier dans la relation, c’est la fidélité, la gratuité et l’aban-don du résultat. Puis le Père Olivier a abordé le thème de Diaconia 2013 : en 2011 « charité et témoigna-ge ». A Paris ils organisent un pèlerinage à Lourdes avec les plus démunis. L’année 2012 sera l’année de la « charité et liturgie ». Nous entendons qu’il ne faut pas oublier l’as-pect spirituel dans nos actions de charité. Après une nuit reposante au centre Kellermann, nous re-prenons notre bus pour nous rendre à Notre-Dame. Les Lau-des nous préparent à la célé-bration eucharistique, chants et psaumes magnifiquement interprétés par des solistes qui nous font participer à cette prière. A 10h, messe grégo-rienne présidée par le chanoi-ne Chatillon, avec la maîtrise de Notre-Dame de Paris sous la direction de Sylvain Dieu-donné. Après la messe, nous nous dirigeons vers le restau-rant « A l'ombre de Notre-Dame » où nous partageons le repas avant de reprendre le car vers 13h30 pour rentrer à Tours. Nous garderons un très bon souvenir de ce week-end placé sous le signe de la rencontre, de la prière et de l'amitié par-tagée. Merci au Père Bruno pour son accompagnement, sa disponibilité envers tous. Il faudra recommencer !!!

M.-C. Ponsard & Marylène Galland

PÈLERINAGE À PARIS DES 19 & 20 MARS

MARDI 19 Messe chrismale - 18h30 à la Cathédrale

JEUDI 21 Office de la Cène avec sacrement des malades 15h : Notre-Dame de l’Europe Office de la Cène - 19h15 : Christ-Roi VENDREDI 22 Chemins de Croix - 15h : Saint-Symphorien, Notre-Dame d’Oë, Notre-Dame-de-l’Europe et Christ-Roi, suivis de permanences pour les confessions Office de la Passion - 19h15 : Christ-Roi SAMEDI 23 Office des ténèbres - 12h : Christ-Roi Veillée pascale - 21h : Christ-Roi DIMANCHE 24 Heures habituelles des messes Louange-adoration - 17h30 : Centre Pastoral

HORAIRES DES CÉLÉBRATIONS DE LA SEMAINE SAINTE

LES PHOTOS DU PÉLÉ

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HISTOIRE ET HISTOIRES

LA VIE CHRÉTIENNE TOUT PRÈS DE CHEZ NOUS

L a ville de Tours et ses environs restent fascinés par la figure de

Saint Martin. Aujourd’hui comme hier, des pèlerins et des touristes viennent évoquer et invoquer ce per-sonnage tout-à-fait remarquable de notre histoire locale et même natio-nale, et s’interroger sur son apport.

Il passe près de trente ans en Tourai-ne (370 - 397) et a donc le temps d’y déployer des talents et des charismes qui nous étonnent encore, et ne peu-vent que nous stimuler dans notre propre vie chrétienne.

Saint Martin - thaumaturge

C’est-à-dire « faiseur de miracles ». Martin, tout au long de sa vie ra-contée par son biographe Sulpice Sé-vère, semble disposer de la même puissance que le Christ en face des fléaux qui accablent la société des pauvres.

Sommes-nous prêts nous-mêmes à remercier Dieu pour ces miracles de la technique qui sont entrés, à notre époque, dans notre vie quotidienne, comme le téléphone portable, les moyens de communication universel-le, les progrès de la médecine et de la chirurgie ?

Saint Martin - homme de prière

Le moine de Ligugé, devenu succes-seur des Apôtres, contre son désir en 397, n’adopte pas le style de vie atta-ché normalement à sa fonction dans la cité gallo-romaine des « Turones ».

Il continue sa vie de prière à Marmou-

tier où il est rejoint par de nombreux disciples adeptes comme lui de la soli-tude et de la prière.

Dans notre vie urbaine, si souvent hâtive et bruyante, sommes-nous prêts à rechercher des temps et des lieux où nous pourrons nous tenir en face du Seigneur et lui ouvrir notre cœur ?

Saint Martin - évangélisateur

L’évêque de Tours se met souvent en route avec quelques disciples pour aller annoncer l’Évangile à des popu-

lations prisonnières du paganisme. On en fait même l’inventeur des « paroisses rurales » de son époque, où le christianisme était surtout ré-pandu dans les villes de Gaulle.

A tous les échelons de l’Église, les chrétiens sont conscients des exigen-ces d’une « nouvelle évangélisation » et cherchent comment faire connaître le Christ à nos nombreux contempo-rains qui ignorent son amour pour tous les hommes.

Aidons-nous les uns les autres à trans-mettre la Parole de Dieu et la doctrine sociale de l’Église afin d’être, dans la Touraine d’aujourd’hui, les messagers de la Bonne Nouvelle !

Saint Martin et la charité

Saint Martin est universellement connu pour le partage de son man-teau d’officier romain avec le pauvre d’Amiens. Ce geste, qui précède sa conversion, est devenu l’un des sym-boles de l’engagement efficace envers les pauvres.

L’abondance et la riches-se de notre société mo-derne laissent subsister de multiples formes de pauvreté.

Les paroles du Christ nous rappellent pour-tant que nous serons jugés sur notre générosi-té (Mt 25, 31-46).

A une époque où la cha-rité se fait universelle en

ignorant les frontières, cherchons en-semble comment faire reculer la mi-sère là où elle accable encore notre prochain, en France et dans le vaste monde !

L’admiration que continue de susciter Saint Martin nous engage tous à le prendre pour exemple, là même où il a vécu, afin d’être de meilleurs disci-ples du Christ, en marchant sur ses pas dans la Touraine d’aujourd’hui.

Père Jean-Paul Antoine

Aujourd’hui : SAINT MARTIN ET NOUS

HISTOIRE ET HISTOIRES

LA VIE CHRÉTIENNE TOUT PRÈS DE CHEZ NOUS

Il y a des trésors du passé et du présent tout près de chez nous ; des curiosités à partager, à faire connaître, qui témoignent d’une vie chrétienne dans nos quartiers.

N’hésitez pas à nous envoyer vos témoignages !

Un appel aux dons a été adressé aux donateurs habituels pour le Centre Pastoral. Je les remercie de leur générosité. Maintenant, à travers ces quelques lignes, je voudrais sensibiliser tous les paroissiens. La paroisse doit faire face au remboursement du prêt chaque année (10.726,48 €) ainsi qu’au règlement de diverses factures (env. 10.000 €). Ce centre est un outil pastoral magnifique. Veillons à sa pérennité. Chèque à l’ordre de « Association diocésaine - Centre Pastoral » si vous désirez un reçu fiscal, sinon à « Paroisse St-Sauveur - Centre Pastoral ». Adresser à Centre Pastoral -

38 rue de la Fosse Marine. Merci. Père Bruno Guicheteau