journal j'aî la bougeotte de mars 2011

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BABILLARD … 2 MOT DU MAIRE INFOS MUNICIPALES ...3 BRUNCH FERMIÈRES AGENDA 3 MOIS … 4 MÉMOIRE ...5, 6 POÈME DU BONHEUR ...6 POUVOIR DE LA FOURCHETTE CANARDS ILLIMITÉS … 11 FADOQ CALENDRIER … 12 FERMIÈRES ... 13 RÉSOLUTION CONSEIL PRÉVENTION INCENDIE ...14 Dans ce numéro : Saint-Albert, Vol. 4 Mars 2011 Journal Communautaire sans but lucratif Programme Nouveaux Horizons pour les ainés. http://labougeotte.sytes.net/ MARS LE MOIS DE LA NUTRITION Quel Dommage…. Le Festival Sportif déménage. Le groupe Grenier- Ducharme ferme les portes de sa suc- cursale de St- Albert. Journée de la femme 8 mars

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Journal J'aî la Bougeotte

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BABILLARD … 2

MOT DU MAIRE INFOS MUNICIPALES ...3

BRUNCH FERMIÈRES AGENDA 3 MOIS … 4

MÉMOIRE ...5, 6

POÈME DU BONHEUR ...6

POUVOIR DE LA FOURCHETTE CANARDS ILLIMITÉS … 11

FADOQ CALENDRIER … 12

FERMIÈRES ... 13

RÉSOLUTION CONSEIL PRÉVENTION INCENDIE ...14

Dans ce numéro :

Saint-Albert, Vol. 4 Mars 2011 Journal Communautaire sans but lucratif

Programme Nouveaux Horizons pour les ainés.

http://labougeotte.sytes.net/

MARS LE MOIS DE LA NUTRITION

Quel Dommage….

Le Festival Sportif déménage.

Le groupe Grenier-Ducharme ferme les portes de sa suc-cursale de St-Albert.

Journée de la femme 8 mars

Journal Communautaire J’Aî la Bougeotte 25, rue des Loisirs, St-Albert, Qué. J0A 1E0 Courriel : [email protected] http://labougeotte.sytes.net/

Tirage : 650 exemplaires, 10 parutions / an Distribution : St-Albert (gratuit) Abonnement: 20$/an

B A B I L L A R D Brunch au profit du Cercle de

Fermières de St-Albert

Dimanche le 6 mars 2011 De 10h00 à midi.

À la salle Général-Maurice-Baril Prix: 7,00$

Enfants de 0 à 7 ans: Gratuit

PS: Notre exposition artisanale se tiendra le 1er mai 2011 à la Salle Général-Maurice-Baril de 10h00 à 17h00.

Page où l’on achète, on annonce, on vend, on collectionne, etc.

PROCHAIN NUMERO : fin mars Vos articles avant le 15 mars S.V.P.

Publicité Carte d’affaires 10,00$ / parution ¼ page 30,00$ / parution ½ page 60,00$ / parution 1 page 125,00$/ parution Veuillez joindre la publicité que vous désirez, le nombre de paru-tions et votre chèque au nom de Journal Communautaire à l’adres-se ci-haut mentionnée. Contactez : Huguette Routhier (358-2088) Sylvie G.Boisvert: (353—2992)

POLITIQUE D’INFORMATION Le journal « J’AÎ la Bougeotte » appartient à la population de St-Albert et chacun peut s’y exprimer librement par des opinions, chroniques, compte rendu, nouvelles, etc. La rédaction se réserve le droit de corriger le français, pour une meilleu-re lecture ou compréhension, et de refuser ou de faire modifier tout article qui ne respecte pas les objectifs du journal. L’Équipe du journal : C.A. de la Fadoq de St-Albert et Ste-Séraphine Huguette Routhier, chargée de projet Sylvie G. Boisvert, secrétariat. Sous-comités de bénévoles Le genre masculin est utilisé afin de faciliter la lecture.

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REÇUS D’IMPÔT POUR LA CGA Pour ceux et celles qui désirent recevoir leur reçu d'impôt concernant la CGA vous pouvez contacter le marguiller de votre paroisse ou vous présenter au bureau à Kingsey Falls tous les jours de 13h30 à 17 h00. Marguillers: St-Albert: Laurier Pepin 819-353-1737 Ste-Élisabeth : Pierre-Paul Leblanc 819-358-2760 Ste-Clotilde : Diane Désilets 819-336-2474 Émile Désilets 819-336-5580 Kingsey Falls : Normand Richard 819-363-2447 Ste-Séraphine : Michel Allard 819-336-3053 MERCI!

ENTENDU ICI ET LÀ…. Au dépanneur «Vous pouvez m’embrasser, plusieurs personnes m’ont déjà dit que j’embrassais très bien.» Aux cartes «J’ai failli avoir un jumeau… il n’en manquait qu’un.»

DÎNER DES BÉNÉVOLES DU JOURNAL Le 27 janvier dernier, les bénévoles s’occupant de toutes les étapes du journal communautaire se sont réunis pour un dîner amical. Une belle tradition annuelle pour remer-cier tous nos fidèles bénévoles qui sont actifs avec nous depuis trois ans maintenant. Merci à vous tous! Huguette R. Bergeron et Sylvie G. Boisvert.

RECHERCHE Étant des collectionneurs, nous sommes toujours à la recherche des choses suivantes: • Jouets (année 1980 et avant); • Enseignes de tôle ou en carton représentant des marques de bière, cigaret-

te, boisson, gaz, etc… - • Trains électriques; • Bouteilles Avon (représentant divers objets); • Vieux documents; • Vieux calendriers; • Cartons d’allumettes (avec annonces publicitaires); • Briquets avec annonces publicitaires; • GI Joe et Johnny West (figurines de 12 pouces des années ‘70). Merci de l’attention que vous porterez à la présente demande. INFO: Sylvie ou Richard Boisvert: (819-353-2992)

CAMPAGNE DU PAIN PARTAGÉ La vente du pain partagé aura lieu le Jeudi Saint 21 avril 2011 à compter de 9h00. Cette vente de pain sera organisée par la Fadoq de St-Albert et Ste-Séraphine. Plus d’informations seront disponibles dans le jour-nal d’avril.

Aide aux activités de la vie quotidienne. Ex: soins d’hygiène, habil-lement, etc… Aide aux activités de la vie domestique. Ex: Entre-tien ménager, commissions, etc…, soins palliatifs, RCR.

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MOT DU MAIRE

B onjour à tous !

Vous aurez appris avec regret que le Festival sportif de Saint-Albert déménage à Warwick. En effet, il s’agit d’une décision d’affaires afin d’assurer la survie de ce beau festi-val grâce à la possibilité d’obtenir des infrastructures mieux adaptées à la tenue de cet évènement. Nous leur souhaitons la plus grande des chances afin que l’évènement se déroule pour le mieux! Les citoyens de Saint-Albert sont fiers des an-nées pour lesquelles le Festival a fait vibrer la Municipalité! Un grand merci s’impose à vous, citoyens, car le succès du festival est dû, en grande partie, à votre implication comme bénévoles, à vous tous, commanditaires, et à votre partici-pation en grand nombre aux festivi-tés. Bien sûr, ce départ nous cau-se, à tous, un pincement au cœur, c’est comme regarder son bébé partir. Par contre, soyez assurés que la Ville de Warwick sera une belle terre d’adoption! En mars, les citoyens, qui ont don-né leurs noms pour faire partie du comité de vigiles, seront convoqués. La date de cette rencontre sera fixée sous peu et permettra d’infor-mer les gens sur leur mandat dans ce comité. Merci infiniment à tous ceux et celles qui ont manifesté leur intérêt à faire partie de ce groupe; ensemble, nous pouvons faire de la prévention et assurer la sécurité de notre milieu! En février, un concours a été lancé pour le logo de notre future politi-que familiale. Encore une fois, merci aux gens qui ont répondu à l’invitation. Tous ces beaux chefs-d’œuvre seront mis en valeur dans le document de la politique familia-le.

Présentement, la Municipalité tra-vaille à l’élaboration de la prochaine Fête des bénévoles. Dans le but de renouveler et d’enrichir l’évène-ment, nous avons fait parvenir à chaque organisme un sondage. Nous désirons par ce questionne-ment recueillir les commentaires sur les améliorations à apporter à cette fête et les éléments à abolir. Sous peu, nous vous ferons un compte-rendu des opinions reçues et sur la tournure 2011 de cette belle fête afin qu’elle soit à l’image des per-sonnes fêtées! Récemment, le Cercle de Fermières, à l’occasion de leur rencontre men-suelle, m’a invité à faire une courte présentation, au nom du conseil municipal, afin d’expliquer le projet MADA (Municipalité Amie des Aî-nés). MADA est un programme de subventions du gouvernement pro-vincial encourageant les municipali-tés à développer des infrastructures permettant la pratique d’activités physiques pour les personnes âgées. La Municipalité de Saint-Albert, en décembre dernier, a déposé un projet dans ce program-me. Nous sommes encore en at-tente de la confirmation du gouver-nement sur l’obtention ou non des subventions nécessaires à la mise en branle de ce projet…nous vous tiendrons au courant des résultats. Merci aux fermières pour votre chaleureux accueil et pour l’intérêt porté à cette démarche! C’est avec regret que notre ami et collègue, M. Jean Boisonneault, nous a avisés en fin d’année 2010, que sa propriété est mise en vente. M. Boissonneault quitte donc la Municipalité de Saint-Albert pour s’établir à Victoriaville. Puisque M. Boissonneault ne sera plus résident de la Municipalité, en vertu de la loi, il ne pourra plus exercer son rôle de conseiller municipal. Par consé-

quent, son siège sera à combler. D’ailleurs, une mise en candidature sera bientôt ouverte. Alors, si une implication dans le monde de la politique municipale vous interpelle, saisissez l’occasion! La Municipalité de Saint-Albert désire remercier M. Boissonneault pour son implication. Il est toujours attristant de perdre un collègue en cours de mandat et encore plus, quand ce dernier effec-tue un bon travail. Merci Jean! Et bonne chance dans tes nouveaux projets! En janvier dernier, les citoyens ont reçu leur compte de taxes pour la nouvelle année 2011. Il est tou-jours plaisant pour les élus de se faire dire bravo pour le travail ac-compli. En effet, des citoyens nous ont faire part de leur appréciation au niveau de la transparence et de la compréhension des informations contenues sur la taxation grâce aux explications divulguées, au fil des ans, par la Municipalité sur le pro-cessus budgétaire. Bonne nouvelle! Afin de soutenir et encourager les efforts des citoyens de Saint-Albert à la collecte sélecti-ve des ordures, une belle récom-pense vous sera remise en 2012! Vous recevrez sous peu les détails de cette initiative. Déjà, je peux vous dire que la Municipalité est fière des résidents qui s’acharnent à bien utiliser les différents bacs à ordures. La récupération et le com-postage permettent la réduction des déchets enfouis et contribuent à protéger la santé de notre planète. Vous savez que depuis 2007, la Municipalité de Saint-Albert est l’une des propriétaires de la compa-gnie Gesterra, pionnière de la ges-tion intégrée des matières résiduel-les. Nous sommes heureux de vous informer que cette alliance porte ses fruits pour l’environnement, mais aussi pour vous, citoyens,

puisque de belles retombées finan-cières vous seront retournées l’an prochain. Vous remarquerez ce mois-ci que le procès verbal de la dernière séance du conseil municipal n’est pas dans cette édition du journal. En effet, les lois municipales nous obligent à adopter le procès-verbal avant sa publication. Par conséquent, le procès-verbal de la séance de fé-vrier ne sera adopté et approuvé par les élus qu’à la prochaine ré-union en mars. À ce moment, le journal La Bougeotte aura déjà mis dans vos boîtes postales le journal de mars. Donc, par souci de res-pect des lois, la publication des procès-verbaux sera plus tardive dorénavant. Cependant, soyez assurés que vous continuerez tout de même à recevoir les compte-rendus des séances du conseil puis-que de plus en plus de citoyens désirent être au courant des déci-sions et orientations de leur munici-palité. Respectueusement, Alain St-Pierre, maire

INFOS MUNICIPALES Bonne nouvelle: Nouveau règlement: Dans le budget 2011 de la Municipalité, un nouveau règlement a été mis en vigueur, soit 2011-01 qui prévoit le remboursement d’une partie des frais encourus pour l’achat de cou-ches de coton lavables et réutilisables pour un nouveau-né. Si vous connaissez une jeune famille habitant St-Albert pouvant profiter de cette contribution, faites-lui en part. Ce projet s’inscrit dans un souci de réduction des déchets voués à l’enfouis-sement.

Activités— baisse des frais pour les non-résidents. La Municipalité est fière de vous annoncer que le montant payé pour la participation à des activités à Warwick et Victoriaville a été grandement bonifié. Ce qui signifie que les frais pour l’obtention du formulaire de non-résident sont moins onéreux pour les citoyens de St-Albert. Pour plus de détails, contactez le bureau municipal.

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MARS 2011 6 Brunch des Fermières 7 Séance du conseil 8 Journée internationale

de la Femme

AVRIL 2011 4 Séance du conseil 21 Pain partagé 24 Pâques Vie active tous les mardis et jeudis

AGENDA TROIS MOIS

BRUNCH AU PROFIT DU CERCLE DE FERMIÈRES DE ST-ALBERT

Venez vous régaler

Dimanche le 6 mars 2011, de 10h à Midi

À la salle Général-Maurice-Baril Prix: 7,00$

Enfants de 0 à 7 ans Gratuit Amenez vos parents, amis, voisins… tous sont bienvenus!

MAI 2011 1 Exposition des Fermiè-

res 2 Séance du conseil 8 Fête des mères.

6 MARS 2011

Notre exposition artisanale se tiendra le 1 mai 2011 à la Salle Général Maurice-Baril

De 10h00 à 17h00

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MÉMOIRE DE NOS A ÎNÉS

I l me fait plaisir de vous présenter la belle histoire

d’amour de ma sœur Fernande Bourgeois et de son mari Ar-mand Lampron. Fernande est née le 5 septem-bre 1936 à Ste-Séraphine. Elle est la fille de Alice Béliveau, native de St-Célestin et de Raoul Bourgeois, natif de St-Albert, ce qui explique son atta-chement pour St-Albert. Fer-nande est la 3ième d’une famille de 12 enfants, dont 6 garçons et 6 filles. Elle est la plus âgée des filles. Elle a appris très jeune à se débrouiller, son père Raoul étant décédé très jeune, à l’âge de 44 ans. Il a fallu aider notre maman, ce n’était pas rose à tous les jours. Fernande allait travailler dans les maisons privées et au pres-bytère de la paroisse comme ménagère pour 15,00$ par se-maine. Elle aidait maman à confectionner des vêtements à mes sœurs et à moi-même. Avec l’habileté qu’on lui connaît, elle utilisait une forme à cha-peaux et faisait de beaux cha-peaux garnis de fleurs et de

rubans. Si nos souliers étaient défraîchis, qu’à cela ne tienne, Fernan-de leur donnait un coup de pinceau, les couleurs étaient variées et par-fois nos souliers bril-laient beaucoup. Maman et Fernande faisaient beaucoup de réparations dans les vêtements que les tan-tes donnaient, nous on aimait cela. Elle est devenue barbier, mais pas pour longtemps. Les frères n’ont pas du tout apprécié les nou-velles coupes de che-veux et la carrière s’est terminée assez rapide-ment.

Elle a fréquenté l’école du village à Ste-Séraphine.

Armand, quant à lui, est né le 5 février 1932 à Ste-Séraphine. Il est le fils de Henri Lampron, et de Annette Proulx, natifs tous les deux de Ste-Perpétue. Il est le 13ième d’une famille de 17 enfants. Il a fréquenté l’école du village ; en hiver, il attelait son gros chien à son traîneau pour se rendre à l’école. Son père Henri, semait des champs de patates et l’automne il fallait les arracher, cela durait 1 mois. Il vendait les patates à Danville et Asbestos. Armand partait de bonne heure avec le tracteur et la voiture chargée de poches de patates. Les jour-nées étaient très longues pour un jeune garçon. Quand le mois de novembre arrivait, il partait pour le chantier avec des «chums» d’où ils revenaient tous au printemps. Armand était un gros travaillant. Pendant le mois de Marie (mois de mai), Armand se présentait aux cérémonies car Fernande y était, elle faisait partie de la chorale, il la trouvait bien à son goût, il la taquinait. Quelques années plus tard, les amours

ont commencé. Ils veillaient à la maison à faire du salon, ma mère allait passer du sucre à la crème afin de vérifier si Armand ne se tenait pas trop proche de la jolie Fernande. Ils allaient veiller au village et dans les maisons privées également car il y a avait des soirées de dan-ses où tous les jeunes se ré-unissaient et s’amusaient. Avec tout le travail qu’il faisait, Armand avait réussi à économi-ser suffisamment pour s’acheter une automobile Chevrolet 1937 et il faisait du taxi pour les gens de la paroisse. Il avait acheté une terre également dans le 7ième rang de Ste-Séraphine où il n’y avait pas de maison. Il acheta donc l’école en face de Viateur Lupien. Il la déména-gea et pendant l’hiver, ils y ont fait les réparations nécessaires pour la rendre habitable, car le grand jour s’en venait. Et ce grand jour arriva le 7 mai 1955, à 10 heures le matin, la fête dura toute la journée. Ils partirent en voyage de noces au Manoir Drummondville pen-dant trois jours. Il fallait reve-nir pour les semences. En ce temps-là, les frères tra-vaillaient ensemble et ils en ont joué des tours, c’était moins stressant qu’aujourd’hui. La machinerie était pour tous les enfants. Les gens s’entrai-daient beaucoup, des corvées étaient organisées entre voisins. Quand il y avait de la construc-tion ou de la réparation de bâ-tisse à faire, les voisins ne se faisaient pas prier et ils ve-naient aider, ça faisait beau-coup de monde à nourrir. Fer-nande avait des petites sœurs qui venaient lui donner un coup de main. À la naissance de leur premier enfant, cela a été une surprise, c’étaient des jumeaux. À cette époque, on allait voir le méde-cin au début de la grossesse et à la fin. C’était un garçon et une fille, les parents en étaient

très fiers, mais ce fut de courte durée car, quelques jours plus tard, ils sont décédés tous les deux de la jaunisse. Ce furent des moments très difficiles après tant de joie de voir le berceau vide, mais qu’à cela ne tienne, ils n’ont pas baissé les bras et, avec la foi, on traverse bien des épreuves. Au bout de 2 ans, la famille a commencé. De cette union, sont nés 10 enfants dont 8 vivants : 3 gar-çons et 5 filles. Maintenant la famille s’agrandit toujours, ils ont 15 petits-enfants et 13 ar-rière petits-enfants. C’est une grande joie de voir ce beau petit monde. Armand a été très actif dans sa paroisse : marguiller, conseil-ler, organisateur des activités pour la paroisse. Fernande aussi aimait organiser des fêtes de paroisse. Elle fait partie de la chorale. Elle est membre du Cercle de Fermiè-res. Elle occupe le poste de présidente de la Fadoq de St-Albert et Ste-Séraphine. En un mot le bénévolat: ELLE CONNAÎT CELA. Claude son garçon a pris la relève de la ferme paternelle et Fernande en est très fière. Depuis 25 ans, elle demeure dans la maison qu’ils ont cons-truite sur une ferme qu’ils pos-sédaient dans le rang 7 de St-Albert. Plus tard, ils ont vendu à un autre de leur fils, Serge, il garde des animaux à bœuf et est sur-tout renommé pour ses bons produits. Fernande aime bien mettre la main à la pâte. Armand a connu la maladie durant 5 ans; ce fut très pénible physiquement et moralement. Il est décédé le 18 novembre 2004. Fernande n’a pas baissé les bras, elle a su supporter son mari et le réconforter jusqu’à la fin de sa vie. Fernande aime à être entourée

Armand et Fernande le 7 mai 1955

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MÉMOIRE DE NOS AÎNÉS de gens dynamiques, comme elle le dit souvent : «faut que ça bouge». Son passe-temps préféré est de faire des courtepointes pour sa famille, elle a beaucoup de commandes. Nous te souhaitons une santé excellente pour terminer des beaux jours et une forme exceptionnelle pour réaliser tous les rêves que tu peux convoiter et les vivre un jour à la fois. Solange Raîche Ta sœur qui t’aime xxx PS : Je connais Fernande depuis quelques années ayant eu à travailler avec elle à la fête des jubilaires et maintenant en colla-boration avec le conseil d’administration de la Fadoq pour le jour-nal. Je peux vous assurer que cette femme-là est la joie de vivre en personne. Elle a toujours un bon mot pour tout le monde et elle a de l’énergie à revendre. Quand elle entend de la musique, elle chantonne et nous entraîne dans sa bonne humeur. Malgré les épreuves qu’elle a dû traverser et sa nombreuse famille, elle trouve toujours du temps et de l’énergie pour les autres. Merci

Fernande d’être celle que tu es. Sylvie G. Boisvert

POÈME DU BONHEUR On se persuade souvent soi-

même que la vie sera meilleure après s’être marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après avoir

eu un autre….

Plus tard, on se sent frustré, par-ce que nos enfants ne sont pas

encore assez grands et on pense que l’on sera mieux quand ils le seront. On est alors convaincu

que l’on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.

On dit que notre vie sera complè-te quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on

possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison,

quand on pourra aller en vacan-ces, quand on sera à la retraite…

La vérité est qu’il n’y a pas de meilleur moment pour être heu-

reux que le moment présent.

Si ce n’est pas maintenant, quand serait-ce ? La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de

projets à terminer.

Il est préférable de l’admettre et de décider d’être heureux mainte-

nant qu’il est encore temps.

Alors, il faut arrêter d’attendre de ter-miner ses études, d’augmenter son salaire, de se marier, d’avoir des en-fants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi

soir, le dimanche matin, le printemps, l’été, l’automne ou l’hiver, pour décider qu’il n’y a pas de meilleur moment que

maintenant pour être heureux.

Et alors la vie allait commencer !!!

Jusqu’à ce que je me rende comp-te que ces obstacles étaient juste-

ment ma vie.

Cette perspective m’a aidé à com-prendre qu’il n’y a pas un chemin

qui mène au bonheur.

Le bonheur est le chemin.

Pendant longtemps, j’ai pensé que ma vie allait enfin commencer, «La Vraie Vie !» Mais il y avait toujours un obstacle sur le che-min, un problème qu’il fallait ré-

soudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une

dette à payer.

Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment avec quel-

qu’un de spécial, suffisamment spé-cial pour partager notre temps et, que l’on se rappelle que le temps

n’attend pas.

LE BONHEUR EST UNE TRAJEC-TOIRE ET NON PAS UNE DESTI-

NATION !

Il n’en faut pas beaucoup pour être heureux.

Il suffit juste d’apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l’un des meilleurs moments de sa vie

C a h i e r d e s e r v i c e s

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À votre service! Yvon Vallières Député de Richmond Président de l’Assemblée nationale

50, rue Daniel-Johnson, C.P. 160 Danville (Québec) J0A 1A0

Tél. : (819) 839-3326

Sans frais : 1-800-567-3596

C a h i e r d e s e r v i c e s

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Nouveau salon de coiffure Situé au 86, Route 161, St-Valère.

♥Prix compétitifs; ♥Carte de fidélité disponible; ♥Salle d’attente confortable et paisible comme à la

maison; ♥Possibilité de pose d’ongles en gel sur rendez-vous

seulement. Horaire: Mercredi au vendredi: de 9h00 à 20h00 Samedi: de 8h00 à 13h00

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Le Pouvoir de la Fourchette (Association Manger Santé Bio)

L e début du printemps est une période stimulante. En fondant, la neige se

réduit en de grosses plaques blanches dans les creux du sol et les obstructions créées par ces plaques forment un décor brun, grès et

ocre. Les ramilles commencent à revivre. Les cornouillers de-viennent d’un rouge éclatant et l’osier, d’un jaune brillant. Les sons envahissent le paysage : tintement des alouettes cornues et des pluviers kildir, cacophonie des corbeaux, des corneilles qui entreprennent de s’accoupler en vue de la couvaison, écoulement goute à goutte des eaux de fonte. L’alouette cornue, seule espèce d’alouette propre à l’Amérique du Nord, est le premier oiseau qui remonte au nord. Au début de mars, les alouettes sont déjà nombreuses à rechercher les espa-ces découverts où elles peuvent se nourrir de graines. Il est faci-le de les observer ainsi que les pluviers kildir le long des routes de campagne. Première fleur du printemps, le symplocarpe fétide (tabac du dia-

ble ou chou puant) éclot alors que la neige recouvre toujours le sol. Le véritable annonciateur du printemps demeure cependant le pluvier kildir. Contrairement à l’alouette cornue, le pluvier kildir doit percevoir le réchauffement de la terre et le grouillement des invertébrés qui constituent son alimentation. Son cri perçant : kildir, kildir, indique l’arrivée du printemps. Yves Bergeron Comité des Bénévoles Canards Illimités Comité de St-Albert

CANARDS ILLIMITÉS

Pluvier Kildir

Alouette cornue

E ntretien avec la nutritionniste Anne-Marie-Roy, porte parole scientifique

de l’Expo Manger Santé et Vivre Vert 2011. Trouvez-vous que les québécois mangent mieux qu’avant ? L’obésité est en hausse perpétuelle, les cas de diabète ont doublé depuis 10 ans, le cancer est devenu la première cause de mortalité, les scientifiques an-noncent que les enfants vivront moins vieux que leurs parents ; définitivement, notre santé ne se porte pas bien du tout ! La planète et les animaux d’élevage intensif souffrent également intensément de notre insouciance. Sans compter que les hu-mains qui nous succéderont en payeront le prix, eux aussi. Quand arrive la faim, trop de gens sont gouvernés par le seul plaisir immédiat que l’aliment leur procure. Il est grand temps de commencer à penser aux conséquences de nos choix alimentaires sur notre santé et celle de la planète, et ce avant qu’il ne soit trop tard. Le temps est venu de penser plus loin que le bout de notre langue. Quelle est la cause commune à nos problèmes de santé et à la détérioration accélérée de notre planète ? Une cause majeure : ce que l’on mange. La solution la plus faci-le : manger autrement. La fourchette est l’outil le plus efficace pour faire changer radicalement les choses, et ce, à temps et à faible coût. Pourquoi ce message ne passe-t-il pas ? Pourquoi continuons-nous à nous intoxiquer et à intoxiquer notre planète ? Qui est responsable ? La désinformation ? Le manque d’éducation ? L’industrie tire profit de notre ignorance, elle investit des milliards de dollars annuellement en publicité et en marketing pour s’assu-

rer que la confusion demeure. Quel message apporterez-vous à titre de porte-parole scientifique de l’Expo ? L’expo Manger Santé et Vivre Vert me permet de faire une mise à jour sur les mythes alimentaires persistants. Faut-il manger beaucoup de protéines ? Du poisson régulièrement ? Y a-t-il de mauvais aliments ? Mangeons-nous trop ? Faut-il avoir peur des hydrates de carbone ? Le bio est-il une mode ? On apprendra que manger sainement est un double plaisir, un plaisir gustatif intense additionné au plaisir de savoir qu’on parti-cipe à la pérennité de la planète et qu’on contribue à réduire la souffrance. Une démonstration culinaire à ne pas manquer ! À l’Expo, Anne-Marie Roy offrira une démonstration culinaire inti-tulée : Tout est dans la sauce. À Montréal, au Palais des congrès, le samedi 19 mars à 15h30 et à Québec au Centre des congrès le samedi 26 mars à 14h30. L’expo Manger Santé et Vivre Vert ! Les 18, 19 et 20 mars à Montréal et les 26 et 27 mars à Québec. Pour plus d’informations, voir le site internet: http://www.mangersantebio.org/

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FADOQ St-Albert et Ste-Séraphine

A près la neige, le pelletage, le déneigement des autos… 94 convives se sont réunis dimanche midi le 6 février pour le

brunch des aînés à St-Albert. Étant donné la température non clémente, les organisateurs sont satisfaits du taux de participation. À remarquer qu’une centaine de cartes se sont vendues avant l’activité et que plusieurs personnes ont payé à l’entrée. Cette activité a été agrémentée par l’animation entraînante de M. Claude Picotte (musique, chansons à répondre…) Quelques danseurs ont fait des «stepettes» pour mieux digérer le copieux repas ! L’assistance a quitté vers 13h30 avec des commentaires de satisfac-tion tant au niveau de la qualité du service et de la nourriture que du côté de l’animation. Merci aux organisateurs et bénévoles et à la prochaine activité1

Il n’y a pas d’âge pour danser! Que ce soit le talen-tueux Damien Croteau de la chorale ou encore le très jeune Jules Bergeron, tout le monde y trouvait son compte.

À voir Lise et Fernande sur cette photo, on ne croirait pas qu’elles travaillent, elles ont tellement l’air de s’amuser.

Antoine, malgré le travail sérieux de tenancier du petit bar, prenait le temps de rire aux farces de la photographe.

Claude Picotte, animateur et musicien.

dim. lun. mar. mer. jeu. ven. sam. 1 2 3 4 5

6 10h00 Brunch des Fer-mières

7 19h30 Séance du Conseil

8 JOURNÉE DE LA FEMME Vie Active

9 13h30 Réunion Fermières

10 Vie Active

11 12

13 14 15 Vie Active

16 Atelier Fermières

17 Vie Active

18 19

20 21 22 Vie Active

23 24 Vie Active

25 26

27 28 29 Vie Active

30 31 Vie Active

SEMAINE DE RELÂCHE SCOLAIRE Bon congé à tous les étudiants et professeurs. MARS 2011

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Cercle de Fermières

À notre réunion du 9 février dernier, notre maire Alain St-Pierre est venu nous entretenir sur le pro-

jet MADA «Municipalité Amie des Aînés». Nous nous per-mettons de reproduire les principaux points du dépliant explicatif qui décrit bien les objectifs de ce projet.

Au Québec entre 2006 et 2056: La proportion des 65 ans ou plus va doubler (de 14 à 28%) La proportion des 80 ans ou plus va tripler (de 3,6 à 10,9%) La proportion des 95 ans ou plu va être multipliée par dix (de 0,1 à 1,2%) Pour vous aider à adapter votre milieu et permettre aux citoyens de vieillir en restant actifs, vous pouvez vous prévaloir du Programme de soutien aux politi-ques familiales municipales et à la démarche Municipalité amie des aînés. Ce programme s’adresse à votre municipalité si, par exemple, vous prévoyez: ♥ Que les logements destinés aux aînés se trouveront en nombre insuffisant ou seront mal

adaptés à leurs besoins; ♥ Que la gamme d’activités de loisir offertes aux personnes aînées devra être davantage va-

riée; ♥ Que le mobilier urbain devra être revu en tenant compte des nouvelles réalités démographi-

ques; ♥ Que la demande pour des services de transport adapté sera en progression; ♥ Qu’une diffusion de l’information plus ciblée sera un atout afin d’assurer la participation des

personnes aînées à la vie communautaire. En déposant une demande de soutien à la démarche MADA, votre municipalité recevra: ♥ Une aide financière qui varie en fonction de la nature du projet et de la taille de la

municipalité; ♥ Un accompagnement du Carrefour action municipale et famille (CAMF). Pour être reconnue Municipalité aime des aînés: Une reconnaissance est décernée par la ministre responsable des aînés, Marguerite Blais, pour souligner la qualité de la démarche permettant aux personnes aînées de vieillir en restant actives. Elle peut être obtenue de deux façons: • En effectuant la démarche Municipalité amie des aînés avec l’accompagnement du

CAMF dans le cadre du Programme de soutien aux politiques familiales municipales et à la démarche Municipalité amie des aînés. Lors du dépôt du plan d’action découlant de cette démarche, la reconnaissance vous sera automatiquement accordée.

L e vieillissement actif fait référence à une

participation constante à la vie sociale, économique, culturelle, intellectuelle et civique. Les aînés qui partici-pent maintiennent leur senti-ment d’utilité, développent leurs aptitudes, conservent un réseau social et acquiè-rent une image forte d’eux-mêmes. Au bout du compte, il s’agit de se mobiliser au-tour d’un même objectif: créer des milieux où il fait bon vivre. Marguerite Blais, Ministre responsable des Aînés

Les Cercles de Fermières du Québec ont comme mission de transmettre le patrimoine artisanal et culturel au Québec. Pour 2010-2011, quatre actions seront ciblées pour atteindre nos objectifs de partage. APPRÉCIER LE TRAVAIL DES ARTISANES BÉNÉVOLES Qu’elles soient membres depuis longtemps ou nouvelles de cette année, elles ont de belles techni-ques et des trucs à partager, que ce soit par des ateliers ou encore par des démonstrations. Ne manquons pas une occasion de souligner le travail bénévole des artisanes lors de nos réunions.

VALORISER LES TRAVAUX DES MEMBRES Il est important de valoriser les travaux de nos membres en expo-sant leurs pièces artisanales lors de notre réunion mensuelle. On peut aussi leur offrir la chance d’expli-quer leurs réalisations. Un autre moyen intéressant de valoriser le travail de nos membres est de nom-mer une artisane de l’année. DÉCOUVRIER LA TENCHIQUE DE LA POINTE FOLLE Dans nos Cercles, joignons l’utile à l’agréable en offrant des ateliers sur la technique de la pointe folle. Cette technique laisse place à l’ima-

gination et à la créativité. Présen-tons aux membres de la documen-tation relative à cette technique (par exemple, Les secrets de la courtepointe) et invitons nos mem-bres à présenter leurs réalisations lors des réunions mensuelles et à l’exposition annuelle locale. PARTAGER AVEC LES JEUNES N’oublions pas les jeunes, car ils sont notre relève. Formons un groupe de membres pour initier les jeunes à l’artisanat. Partageons avec eux nos connaissances à l’éco-le du quartier, au comité des loisirs ou au local du Cercle. Offrons des ateliers lors de la relâche scolaire

ou encore durant les journées de planification. Voilà de belles occa-sions de créer des liens intergénéra-tionnels. Ces partages avec les jeunes sont valorisants autant pour les membres que pour les jeunes. N’oublions pas que les concours sont ouverts à toutes les membres. Ils ne constituent pas le but ultime du Comité Arts textiles, mais bien un moyen d’améliorer nos techni-ques. Nicole Ouellet, resp. proviciale. Louise Brochu, resp. St-Albert.

Comité Arts Textiles Ensemble pour partager

Résolution du Conseil Municipal

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EXTRAIT DU LIVRE DES DÉLIBÉRATIONS À une session ordinaire du conseil de la Municipalité de Saint-Albert tenue le 7 février 2011, à dix-neuf heures trente à la salle du Conseil, au 25, rue Des Loisirs, Saint-Albert. Sont présents : Mesdames les conseillères : Colette Gagnon et Mélanie Vogt Messieurs les conseillers : Michel Ducharme et Denis Giguère Tous formants quorum sous la présidence du maire Monsieur Alain St-Pierre. Madame Suzanne Crête, directrice générale et secrétaire-trésorière agit à titre de secrétaire.

2011-27 Clarification de la publication de procès-verbal avant son adoption Attendu que les lois municipales précisent que les procès-verbaux des séances du conseil doivent être approuvés et adoptés par le conseil AVANT publication; Il est proposé par Monsieur Denis Giguère, conseiller Que la Municipalité de Saint-Albert s’assure de respecter les lois municipales sur la publication des procès-verbaux des séan-ces du conseil municipal et donc en conséquence, ne publiera le procès-verbal qu’après adoption lors de la séance suivante; Que par conséquent pour l’édition du mois de mars du journal communautaire J’Aî la Bougeotte, il n’y aura aucun procès-verbal puisque celui de la séance de ce soir ne sera qu’adopté à la séance du 7 mars prochain. Copie certifiée conforme. Saint-Albert ce 9 février 2011

Directrice générale/secrétaire-trésorière,

Suzanne Crête, g.m.a.

INSALUBRITÉ ET SYNDROME

DE DYOGÈNE

D e nombreux cas d’insalubrité résidentielle majeure, concer-

nant le plus souvent des individus éven-tuellement atteints de ce qui est communé-ment appelé le syndrome de Diogène, ont été signalés ces dernières années, notam-ment par les services d’inspection munici-pale (incendie, urbanisme ou encore par les CLSC). La MRC d’Arthabaska et ses environs n’y échappent pas, plusieurs cas ont été relatés depuis les dernières années. Qu’est-ce que l’insalubrité ? « le caractère ou l’état de ce qui est nuisible à la santé » et en voici quelques exemples concrets : la malpropreté; la détérioration ou l’encom-brement d’un logement; la présence d’ani-maux morts; l’entreposage de produits ou de matières qui dégagent une odeur nau-séabonde ou des vapeurs toxiques; le dé-pôt d’ordures ménagères, de déchets ou de

matières recyclables ailleurs que dans les récipients prévus à cette fin; l’encombre-ment d’un moyen d’évacuation; l’amas de débris, de matériaux, de matières gâtées ou putrides, d'excréments ou d'autres états de malpropreté; la présence de vermine, de rongeurs, d’insectes ou de moisissures visibles ainsi que les conditions qui en fa-vorisent la prolifération. À ce jour, il n’existe aucun diagnostique psychiatrique portant l’appellation de syn-drome de Diogène. Le syndrome de Diogè-ne affecte, la plupart du temps, des per-sonnes âgées, malades, dépourvues d’hy-giène, bien qu’il puisse également toucher des personnes plus jeunes. Les personnes atteintes manifestent un besoin maladif d’accumuler et de mettre en réserve des objets ou déchets. Ainsi, ce trouble du comportement peut effectivement conduire rapidement à un état d’insalubrité majeure du domicile et entraîner des risques à la santé et à la sécurité pour la personne atteinte. L’accumulation de papier, de carton, de matériaux contenant de la cellulose et au-

tres résidus biologiques, dont des aliments, jumelée à de l’infiltration d’eau, un dégât d’eau ou encore à de l’humidité excessive, peut entraîner la prolifération de micro-organismes (moisissures, mycobactéries, bactéries, acariens) dont les effets à la santé sont bien connus. Ce nouveau problème social est en effer-vescence, les gens atteints de ce type de syndrome peuvent se faire aider par les services sociaux et de santé. Par contre, il y a un bémol, la personne en besoin doit être d’accord à recevoir de l’aide. Un bâtiment rempli de détritus tels que mentionné plus haut comporte d’autres risques majeurs lors de nos interventions, il augmente la charge combustible et ralentit les activités d’extinction, de recherche et sauvetage…donc un bien grand danger pour son occupant. Source : Institut national de la santé publi-que du Québec

Service de prévention des incendies Rudy Hamel, TPI Responsable à la prévention – MRC

Service de la sécurité publique, Ville de Victoriaville C. élec. : [email protected]

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Dépôt direct

Tous les formulaires pour adhérer à ces dépôts directs sont disponibles à votre Caisse populaire des Bois-Francs. N’hésitez pas à communiquer avec nous pour de plus amples renseignements au 819-353-3400 ou 1-866-575-3400

Date des dépôts directs 2011

ALLOCATION FAMILIALE

RRQ CANADA

T.P.S (1) T.V.Q (2)

RÉGIE DES RENTES

PENSION VIEILLESSE

FÉVRIER 1 18 28 FÉV 24

MARS 1 18 31 MARS 29

AVRIL 1* 20 5 AVRIL 29 AVRIL 27

MAI 2 20 31 MAI 27

JUIN 1 20 30 JUIN 28

JUILLET 4* 20 5 JUIL 29 JUIL 27

AOÛT 1 19 31 AOÛT 29

SEPTEMBRE 1 20 30 SEPT 28

Veuillez prendre note que les gouvernements peuvent apporter des changements à ce calendrier sans préavis et qu’aucune communication donnant les modifications ne vous sera expédiée

IMPORTANT : CHANGEMENT AU CRÉDIT DE LA T.V.Q.

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C’est maintenant chose faite, la fusion informatique de la Caisse de Saint-Albert est réalisée depuis le 13 février 2011. Si ce n’est pas déjà fait, vous pouvez maintenant effectuer votre commande de chèques personnalisés, afin d’être en possession de chèques au nouveau transit qui est le 10108 et de votre nouveau numéro de folio, pour le 1er juillet 2011. S’il vous reste des chè-ques de votre ancien folio, à la réception de votre nouvelle commande , vous les rappor-tez à la Caisse et nous vous rembourserons pour les chèques périmés, un montant déter-miné au prorata du nombre de chèques rapportés. Si vous aviez fait des chèques postdatés (à votre ancien folio) ils seront honorés, gratui-tement, jusqu’au 1er juillet 2011. Après le 1er juillet ils seront encore honorés, mais des frais seront perçus pour chacun de ces chèques passés à votre compte. C’est pour-quoi il est important d’effectuer votre commande dès maintenant. La Caisse a pris les dispositions nécessaires afin que vos transactions de dépôts et de retraits directs s’effectuent à votre nouveau folio. Il est cependant de votre responsabi-lité de vous assurer que les transactions soient bien enregistrées à votre compte. Nous espérons que ces changements vous apportent le moins d’inconvénients possibles. Ils sont nécessaires pour vous permettre d’avoir accès à votre caisse , à ses 14 centres de services, comme si vous étiez chez vous. Si vous désirez connaître tous les points de services, vous les retrouverez à l’endos des calendriers 2011 que la caisse vous a remis. Si vous avez des questions vous pouvez nous joindre au 819-353-3400, il nous fera plaisir de répondre à vos interrogations.