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La Colonne Journal du Cercle d’Histoire de l’ULB, Année 2010-2011, n°3, Février-Mars 2011

Ça vient, ça viennnt !

Ahhh, l’exportation, quelle plaie !

8 0

ans

Ne pas jeter sur la voie publique.

La Colonne, Février-Mars 2011 Rédac. en chef : Kévin Giraud Ed. Responsable : Tarquin Storme

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EEEEditoditoditodito

Après des mois d’attente, voici la nouvelle Colonne ! Tant de choses se sont passées depuis la dernière édition. Un réveillon, des examens (oublions ça), un voyage, et un retour à l’université annoncé par de nombreuses activités ! Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de vous remettre dans le bain, il est plus que temps ! La grosse activité de ce mois-ci, c’est le Bal annuel du cercle, alors il faut que vous vous jetiez dès maintenant sur les préventes !! Mais parlons culture, car c’est avant tout le but principal de notre cercle. Pour ce nouveau quadri, Lucie nous a concocté un cocktail détonant de conférences et de ciné-clubs, sans oublier Tarquin qui s’est mis à fond dans l’élaboration de la semaine Médiévale. Nos deux héros de l’année, les délégués archives à la tâche ardue et à l’humour délirant (vous devriez les voir en action, un duo de choc !), ont presque terminé leur travail et le concrétiseront lors de l’exposition organisée en l’honneur des 80 ans du cercle, elle méritera sans aucun doute le détour ! Enfin, comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, sachez que, dès votre retour de Vacances (de Pâques évidemment, pas celles que vous prenez tous les jours en n’allant pas en cours…), le cercle vous offrira une nouvelle édition de son fameux Quizz ! Be prepared ! Comme vous pouvez le constater, le planning est chargé. Tel fut le mien durant ces dernières semaines, et voilà pourquoi je m’excuse cordialement de n’avoir pu publier cette Colonne plus tôt. J’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur, et que la lecture des articles gracieusement envoyés par les délégués vous passionnera! Bonne lecture !

Kévin



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SSSSommaireommaireommaireommaire

Le Cercle d’Histoire organisera très prochainement une conférence-débat autour du film « In this World », qui aborde de façon touchante les questions épineuses que posent

aujourd’hui l’immigration, à travers le voyage du jeune Jamal et de son frère de l’Afghanistan à la Grande-Bretagne.

Vous êtes tous les bienvenus pour y participer ! Rendez-vous le 15 mars au AY.2.107, à 18h30, nous espérons vous voir nombreux !

Edito ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ 2

Sommaire ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ 3

La Semaine médiévale,

l’Exposition et son Banquet ~ ~ ~ ~ 4

Florence, toute une histoire ! ~ ~ ~ ~ 5

Petit écran d’hier… ~ ~ ~ ~ ~ ~ 8

Et d’aujourd’hui. ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ 9

La grande histoire de nos 80 ans ~ ~ ~ 11

La quête de Glenn ~ ~ ~ ~ ~ ~ 17

Le coin sportif ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ 18

Le petit reporter photo ~ ~ ~ ~ ~ 20

La Colonne recrute ! ~ ~ ~ ~ ~ ~ 21

Un grand retour ! ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ 21

Publicités ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ 22

Perles et calembredaines ~ ~ ~ ~ ~ 22

Agenda des activités ~ ~ ~ ~ ~ ~ 23

Agenda de nos sponsors et amis ~ ~ ~ 24



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La semaine Médiévale, l’Exposition et son BanquetLa semaine Médiévale, l’Exposition et son BanquetLa semaine Médiévale, l’Exposition et son BanquetLa semaine Médiévale, l’Exposition et son Banquet

En cette grande année, le Cercle a décidé de sortir le grand jeu ! Pour vous combler, notre grand Président a rameuté une belle troupe de joyeux drilles, qui viendront planter leurs tentes sur le campus du Solbosch au début de la semaine du 28 mars.

Amenant avec eux leurs costumes, coutumes et autres bitumes d’époque, ils vous feront découvrir ce qu’était la vie au temps des chevaliers, des troubadours et des damoiselles en détresse (ou des cuisinières aux gros bras selon les goûts). Vous découvrirez de nombreuses activités, et/ou déguster des plats typiques oubliés. De l’hypocrace sera également proposée à la dégustation, enfin donc plein de bonnes raisons de venir en cours à l’ULB cette semaine ! Parallèlement à ces animations, le Cercle vous proposera différentes conférences tournant autour du Moyen-âge, avec des intervenants haut en couleurs, tels qu’Alain Dierkens ou encore Jean-Pierre Devroey, dont nous espérons la participation si pas ne l’avons déjà obtenu ! (les nouvelles vont tellement vite de nos jours qu’un morceau de papier est si vite dépassé. Ahh, le bon vieux temps…) Et enfin, comme une telle semaine ne serait rien sans un festin, vous êtes cordialement invités au banquet annuel du Cercle, qui se déroulera cette année dans un contexte un peu différent. Le moyen-âge ne pouvant nous quitter aussi tôt, il viendra faire un tour dans votre assiette !

Vous pourrez de plus profiter de l’exposition organisée pour les 80 ans du Cercle. Montée et orchestrée par nos deux délégués archives préférés, Joffrey et Arnaud, elle vous fera revivre à travers différents témoignages, reliques, affiches et autres traces du passé la petite histoire de notre communauté d’étudiants, qui grandit de jour en jour.

Pour ce qui est des informations complémentaires, elles arriveront au fur et à mesure de l’organisation. Sachez cependant déjà que le banquet se déroulera sur le campus de la Plaine, de même que l’exposition, et que le prix en sera comme chaque année très démocratique !

N’oubliez donc pas de checker vos emails, de parcourir le site du cercle, de vérifier les nouvelles sur Facebook et de guetter les affiches sur le campus, vous saurez tout bien assez vite pour vous permettre de vous organiser ! La rédac.



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Florence, toute une histoireFlorence, toute une histoireFlorence, toute une histoireFlorence, toute une histoire !!!! Bonjour à tous, La publication de la première colonne du deuxième quadrimestre signifie pour tout délégué Voyages qui se respecte, son compte rendu du grand voyage pendant la semaine de break (utiliser des mots anglophones ça donne mieux). Venons-en aux choses sérieuses, le voyage à Florence qui s’est déroulé du 30 janvier au 4 février. Ceux qui ne sont pas venus ont raté une occasion de faire de super rencontres, goûter de la nourriture à damner un saint, du vin, et la visite de merveilleux monuments, … Bref, on vous plaint ! Le groupe était composé de 30 personnes. Départ prévu de l’aéroport de Gosselies/Charleroi (Brussels South) vers 10h20 et l’arrivée vers 12H00 à Pise (qui, précise Cécile, ne penche que d’un seul coté…) De là, nous devions prendre une navette pour le gare de Santa Maria Novella à Florence qui était à quelques minutes de notre hôtel. Cependant, le chemin de fer toscan avait décidé de faire grève ce dimanche là (comme par hasard) et nous nous sommes retrouvés bloqués à l’aéroport. Deux heures plus tard nous avons finalement pris place dans un bus qui nous a ramené dans le centre. Ce retard inopportun nous à forcé de déplacer la visite du dimanche après-midi de l’église de Santa Croce au lundi matin. Nous avons dès lors pu nous installer à notre aise dans nos chambres respectives.

Le lundi matin fut donc organisée la visite de l’église Santa Croce en dernière minute. Ce fut une visite forte agréable avec les différentes stèles de célébrités italiennes de toutes époques. Parmi lesquelles Machiavel, Galilée et Michel-Ange. L’après-midi, le lieu de visite et de contemplation était la place du dôme. Elle comprend la cathédrale santa Maria del Fiore et son baptistère ainsi que différents édifices anciens situés autour de la place. Nous avons commencé par la montée épique du Dôme (plus de 450 marches). L’ascension fut très sportive et éprouvante surtout pour ceux qui avaient le vertige mais le panorama en valait la chandelle. Je tiens à préciser pour nos lecteurs que les rumeurs sur une tentative de jeter Glenn par-dessus la balustrade de la terrasse panoramique sont fausses (même si certains s’en mordent encore les doigts). Après nous sommes redescendus, Dominique a pris une photo de nous par le petit trou ^^ et avons continué les visites avec la cathédrale et du baptistère San Giovanni.



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Le mardi matin, la visite programmée était Santa Maria Novella. Une très belle église à l’intérieure de laquelle de superbes fresques dans les différentes chapelles. Le tour comprenait aussi la visite de la chapelle des Pazzi, une famille ennemie des Médicis, maîtres de la cité. L’inconvénient de visiter des églises au moi de février, c’est qu’il y fait glacial… Le mardi après-midi, le rendez-vous était fixé à la galerie des Offices, le musée d’art de la renaissance de Florence. Pour ceux qui s’y rendent, ce musée est l’une des attractions touristiques et culturelles à surtout ne pas manquer. On a pu notamment y voir « La naissance de Vénus», de Botticelli. Le mercredi matin, ce fut encore un musée mais d’une dimension plus petite voir même raisonnable. Il s’agit du musée du Bargello à deux pas de la place de la seigneurie, une des places principales de Florence au point de vue fréquentation, intérêt historique,… .Il comportait quelques pièces de Donatello, les deux plaques pour le concours de la porte du Paradis du Baptistère et bien d’autres. Avant la visite du palais Pitti l’après-midi, nous nous sommes donné rendez-vous sur le Ponte Vecchio pour immortaliser d’une photo le groupe de touristes. Nous avons ensuite visité le palais Pitti, avec la galerie palatine, les appartements royaux et la galerie d’art moderne. Bien qu’intéressante et sympathique, cette visite nous a semblé un peu longue et quelque peu décevante, selon moi. Il y avait tellement de toiles qu’on ne savait où donner de la tête.

Le jeudi, avant dernier jour du séjour, nous avons visité le palais Medici-Riccardi. C’est un très beau palais qui présente les caractéristiques du bossage de la renaissance introduite et imposée par Brunelleschi. Cet édifice a servi de modèle à de nombreux palais de Florence puisque quelque part, il fallait imiter la grande famille. On peut visiter quelques pièces du palais ainsi que la chapelle qui vaut le détour par ses fresques et leurs qualités et beautés artistiques. Cerise sur le gâteau, nous avons bénéficié d’un guide qui parlait français. Cela a rendu la tâche plus facile pour la compréhension de la structure et de l’historique des fresques de la chapelle.

Le jeudi après-midi, la visite prévue était la galerie de l’académie. Nous n’avons pas pu visiter ce musée car les employés du guichet refusaient de nous accorder la réduction auquel nous avions droit, de part notre statut d’étudiants historiens. De plus nous avions réservé nos tickets mais ils ont fait la sourde oreille. En bref, ils voulaient qu’on paie le prix plein, et nous avons refusé. Le soir, nous sommes tous allés au restaurant pour un dernier acte.



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Le vendredi matin, dernier jour, une seule visite était prévue pour la matinée, l’église San Lorenzo et la chapelle Médicis. C’était une visite fort agréable et impressionnante de par l’imposante chapelle ducale des Médicis tout en marbre polychrome ainsi que l’antichambre de Michel-Ange. C’était également un des monuments à ne pas rater pour sa beauté artistique, car le travail de Michel-Ange représente probablement l’un de ses plus grand chefs œuvre en plus de la bibliothèque laurentienne, qui elle n’était malheureusement pas accessible pour cause de travaux. L’après-midi était libre. Tout le monde s’est rejoint à l’hôtel vers 15h pour prendre la navette puis l’avion. Après quelques turbulences dues au vent en Belgique, nous avons atterri et tout le monde est rentré chez lui en un seul morceau, dans sa campagne profonde, au Luxembourg, à Bruxelles et j’espère avec un très bon souvenir du voyage ! A très bientôt,

Cécile Déléguée voyages



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La parole est au petit écran La parole est au petit écran La parole est au petit écran La parole est au petit écran d’hier…d’hier…d’hier…d’hier…

Je suis sûr que tout le monde parmi vous connaît Mac Gyver, ce surhomme à qui aucune bombe ne résiste, et qui fait une fusée avec du chewing-gum, trois élastiques et son canif légendaire! Ben je vous donne quand même le résumé du premier épisode, premièrement parce qu'étant daté de 1985 c'est un épisode historique d'une série qui l'est tout autant, et deuxièmement parce que cet épisode permet de comprendre les motivations, les craintes et les intérêts de ce personnage haut en couleur qui a bercé notre enfance dans un grand fracas d'explosions, de rafales de mitraillettes et de chalumeau improvisé.

Les première images nous présentent un alpiniste vêtu tout de bleu fluo, qui monte à l'assaut d'un plateau en haute montagne où un commando de soldats asiatiques (probablement à la solde des vils communistes chinois!) a monté le camp à coté d'un avion de chasse abattu et surtout, d'un missile américain dans lequel Mac doit récupérer carte de commande, ainsi qu’un pilote emprisonné, et tout cela avant le générique! Bah ouais, c'est Mac, il est balèze! Il parvient même à s'enfuir en fabriquant un « réacteur » avec un pistolet d'alerte et saute de la montagne en faisant un gros câlin au pilote.

Après le générique, on découvre le vrai premier épisode, ou Mac a la lourde charge de sauver deux potentiels vainqueurs du prix Nobel de la paix, des scientifiques de haut vol qui ont découvert comment fabriquer une arme ultime en supprimant l'ozone de l'atmosphère. (Comme quoi Greenpeace n'a rien inventé!) Ceux-ci sont enfermés 300 pieds sous terre à la suite d'une mystérieuse explosion, avec entre eux et la surface un certain nombre d'éboulements, des méchants rayons laser qui brûlent, et surtout (et c'est un vrai problème) une cuve d'acide sulfurique qui perce et qui menace de contaminer la nappe phréatique alimentant le Rio Grande !!

Simple non? Je ne vais pas vous gâcher la surprise en décrivant comment il contourne ces obstacles, ce qui vous priverait du plaisir simple de voir ce légendaire premier épisode, je vous mentionnerai juste qu'il confie à la donzelle qui la guide dans le labyrinthe qu'il est supérieur à James Bond, et que la première galoche de la série a lieu à la 31ème minute de l'épisode, comme quoi Mac Gyver c'est pas juste des bricolages et des explosions, il y a aussi de l'amour, si si ! En conclusion, en plus d'avoir un générique d'enfer et des effets spéciaux presque convaincants, il y a du romantisme, vraiment il y en a pour tous les goûts!

Amaury, délégué Mac… vous avez deviné



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Et d’aujourd’Et d’aujourd’Et d’aujourd’Et d’aujourd’hui hui hui hui (ou presque).(ou presque).(ou presque).(ou presque).

Vous vous demandez parfois que faire entre deux syllabus, ou entre deux TD, quand

vous avez du temps libre mais la flemme de sortir ou de travailler ? Vos études hautement intellectuelles vous empêchent de regarder des séries ultra-commerciales avec un scénario qui semble écrit par un ado de douze ans ? Voici pour vous, bande d’historiens, le top 10 des séries historiques, dont les intrigues sont réalistes et dont les sources sont recherchées par des scénaristes au moins aussi critiques que vous et moi…

Rome : ayant duré seulement 2 saisons (mais ayant tout de même coûté plus de 100 millions), cette série retrace la vie de Rome, de la fin de la guerre des Gaules jusqu’à la mort de Marc Antoine et à l’avènement de l’empire. L’originalité de la série provient du suivi en parallèle des personnages puissants et connus des historiens (Jules César, Cléopâtre, Marc Antoine…) mais aussi de deux inconnus, le centurion Lucius Vorenus et le sympathique Titus Pullo.

Band of Brother (frères d’armes) : série produite par Tom Hanks et Steven Spielberg qui retrace l’histoire de la Easy Company, un régiment d’infanterie parachutiste américain pendant la 2nde guerre mondiale. De leur entraînement jusqu’à la défaite allemande, cette série mêle fiction et témoignages d’anciens de la Easy Company, rendant chaque personnage de ce groupe attachant.

The Tudors : Le règne d’Henry VIII fut tumultueux. Nombreuses maîtresses, 6 mariages, 2 divorces (dont un qui le mena à séparer l’église anglaise de sa subordination au Pape). La vie à la cour y est décrite avec toutes ses petites intrigues entre courtisans et la vie diplomatique et politique du royaume est présentée de manière jamais ennuyeuse.

Kaamelott : Moins histoire que légende, la vie du roi Arthur a permis à Alexandre Astier d’intégrer des dialogues contemporains dans un décor pseudo-historique, créant ainsi un décalage humoristique de premier ordre !

Les rois Maudits : « Tous maudits, jusqu’à la septième génération ! » telle est la funeste malédiction que le chef des templiers, depuis les flammes du bûcher, lance au visage de Philippe le Bel, roi de France. Cette mini-série est un remake d’un feuilleton de 1972, lui-même tiré d’un roman de Maurice Druon. Une belle production française qui nous change drastiquement de Plus belle la vie.



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House of Saddam : du coup d’état de 79 jusqu’à son exécution en 2006, Saddam Hussein : sa vie, son oeuvre. Pas un chef d’œuvre, mais on y apprend tout de même certaines choses sur son régime et notamment sur son demi-frère Barzan, rarement mis en avant dans les médias et interprété dans toute sa cruauté par le talentueux Saïd Taghmaoui.

Tour of Duty (L’Enfer du Devoir en vf) : Série culte dans les années 90 qui retrace la vie de la compagnie bravo. Tout à fait réaliste dans sa manière de rapporter les faits historiques de la guerre du Vietnam, cette série est avant tout une liste de portraits attachants de ces jeunes soldats appelés à se battre dans une guerre qu’ils ne comprenaient pas.

North and South : Série culte des années 80 qui réunit, autour de Patrick Swayze, une somptueuse brochette de guest-stars issus du vieil Hollywood (Gene Kelly, Elizabeth Taylor, Robert Mitchum…) et des acteurs plus improbables comme David Carradine ou Forest Whitaker !

Into the West : La conquête de l'Ouest de 1825 à 1890 selon Steven Spielberg, producteur délégué. Mêlant personnages historiques et fictifs, la mini-série de six épisodes donne deux points de vue : celui d'une famille de race blanche et celui d'Indiens d'Amérique. Une épopée aussi sensible que romanesque.

Deadwood : 1876. Une ville se construit avec ses leaders, son shérif et ses prostituées. Le langage est aussi cru que la violence qui émane de ces personnages inoubliables. Al Swearengen (Ian McShane) en tête, figure marquante de ce chef d’œuvre télévisuel. A revoir cent fois (ni loi).

Alex, délégué Webmaster



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La grande Histoire de nos 80 ansLa grande Histoire de nos 80 ansLa grande Histoire de nos 80 ansLa grande Histoire de nos 80 ans Fondé en 1931, le Cercle d’Histoire de l’Université de Bruxelles a vu défiler de nombreux événements majeurs du 20ème siècle. En nous remémorant les différents instants de ces huit dernières décennies du Cercle, nous allons faire un retour sur les faits qui ont marqué l’Histoire du monde.

1931 Le monde sort à peine de la grande crise de 1929. En Europe, l’Allemagne croule sous les dettes et le chômage touche des millions d’habitants. Elle va devoir demander un étalement du remboursement de ses dettes de guerre. (Pour rappel, le traité de Versailles condamne l’Allemagne à payer l’entièreté des réparations de la guerre 14-18, un montant colossal). Dans ce même pays, un jeune extrémiste convaincu, Adolphe Hitler, arrive petit à petit au pouvoir. Dans le reste du monde, ça bouge également. L’Angleterre reconnaît officiellement, par le Statut de Westminster, l’indépendance des dominions (états semi-indépendants) qu’elle possède autour du globe, à savoir le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Irlande (du Nord non comprise). C’est également cette année que, paradoxalement à ce vent de liberté, Mao proclame la république populaire de Chine, un régime soviétique. Autres évènements notoires, la présence de Gandhi à Londres, et la condamnation du célèbre bandit Al Capone.

1941 La Seconde guerre mondiale. Elle a commencé déjà depuis 2 ans mais ne s’est pas encore totalement déclarée dans toute son ampleur. La Bataille d’Angleterre, conséquence directe du Blitz d’Hitler sur l’Europe de l’ouest, se solde par une victoire pour les Alliés. Churchill félicite le pays, malgré les nombreuses pertes, aucun allemand n’a foulé le sol anglais. Mais, si les Etats-Unis n’entrent pas rapidement en guerre, le conflit risque de vite tourner en la défaveur des Alliés. Plus au sud, l’Afrikakorps de Rommel combat âprement contre les Alliés en Afrique. Le 22 mai, Hitler lance l’offensive Barbarossa, contre son ex-allié, l’URSS. La guerre s’étend et gagne le Pacifique, suite à l’attaque de la base américaine de Pearl Harbor, le 7 décembre. Cette fois-ci, Roosevelt n’hésite pas. Les Etats-Unis entrent en guerre.

Epave de l’USS Arizona en train de sombrer à Pearl Harbor



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1951 Cette année, le regard du monde se tourne vers l’Asie. Le triomphe du Communisme en URSS et surtout en Chine effraie la grande puissance qu’est devenue les Etats-Unis après la Seconde guerre mondiale. Nous sommes en pleine guerre froide. La guerre d’Indochine fait rage entre les français et le parti communiste révolutionnaire du Viet-Minh. La défaite française amènera par la suite une tout autre guerre, bien plus meurtrière… Pour ne rien arranger, la Guerre de Corée est également en train de déchirer cette partie du monde. Les coréens du Nord alliés avec la Chine s’oppose farouchement à leurs voisins du Sud, alliés avec l’Occident. Ce n’est qu’au début du mois de juillet que les négociations pour un armistice seront entamées. Parallèlement à cela, toujours pour rester dans le domaine de la guerre froide, la doctrine du sénateur McCarthy triomphe aux Etats-Unis. Chez nous, deux grands évènements importants. Le roi Léopold III, critiqué pour son attitude durant la guerre, abdique le 11 juillet en faveur de son fils, qui devient Baudouin 1er, roi des belges. Dans le même temps, la Belgique signe le traité de Paris, qui ratifie la création de la CECA, communauté européenne du charbon et de l’acier. C’est l’embryon qui va devenir l’Union européenne.

Prestation de serment de Baudouin 1er, le 17 juillet 1951



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1961 La décolonisation continue. En Afrique, la plupart des pays sont déjà devenus indépendants ou sont en train de le devenir. L’année 1961 est également marquée par l’assassinat brutal de Patrice Lubumba, premier ministre congolais, à peine reconnu par la communauté internationale. Au Maroc, Hassan II est intronisé tandis que dans l’Algérie toute proche, la France est en difficulté. La Conférence d’Evian, qui décidera d’un cessez-le-feu immédiat dans ce pays l’année suivante, s’ouvre le 20 mai. 1961, c’est également la tentative de débarquement ratée des Etats-Unis à Cuba, le fameux débarquement de la baie des cochons. La même année, Cuba devient une république socialiste, sous la tutelle de Fidel Castro. Kennedy, à peine élu président, va devoir faire face à ce nouvel ennemi potentiel tout proche. C’est également cette année que l’engagement militaire des U.S.A. au Vietnam est lancé. Le monde européen vit alors au rythme de la guerre froide. Dans la nuit du 12 au 13 août, un mur de barbelés et de béton est érigé en plein centre de Berlin. Il restera debout pendant 28 ans…

1971 Nombreux bouleversements à travers le Monde. Les Etats-Unis sont en crise, l’Amérique du sud est sujette à de nombreuses révolutions et changements de gouvernement, notamment au Chili. Nixon, président des Etats-Unis, tente d’affaiblir l’URSS en s’alliant secrètement avec la Chine, toujours dirigée par Mao. Celle-ci va d’ailleurs faire son entrée à l’ONU cette année. Dans le Proche-Orient, de nombreux états deviennent également indépendants, comme les émirats arabes unis par exemple, qui se désolidarise de l’Angleterre. En Europe, Franco, dictateur espagnol depuis la guerre civile, s’affaiblit. Il mourra en 1975. De l’autre coté du continent, Tito signe avec Brejnev l’indépendance de la république de Yougoslavie. En Asie, la guerre du Vietnam est toujours en cours. Les Etats-Unis luttent contre les communistes du Nord, avec des moyens parfois contre les lois de la guerre, qui choqueront violemment l’opinion publique américaine, ce qui mènera à terme à la fin de la guerre.



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1981 Cette fois, la guerre tient lieu et place au Proche-Orient. Israël seul contre tous les pays arabes aux alentours, mais en incontestable supériorité technologique, lutte pour agrandir son territoire. Dans le même temps l’Iran et l’Irak se dispute des morceaux de territoires. Pour tenter de régler les différents problèmes de cette région du monde, on essaie de négocier entre Israël et les pays arabes, ça n’a pas beaucoup de succès. Ariel Sharon devient cette année ministre de la défense israélienne. Tant qu’à parler de changer de gouvernement, Hosni Moubarak devient président de l’Egypte. Il remplace Anouar el-Sadate, assassiné. La situation dans cette région reste tendue. En Europe, la CEE (Communauté Economique Européenne), héritière de la CECA, se développe. L’Espagne est quant à elle secouée par une tentative de putsch. Ce n’est que grâce au discours poignant du roi Juan Carlos 1er que l’on évite une autre guerre civile. Il sera d’ailleurs félicité pour son rôle dans la gestion de cette crise. La guerre froide est toujours présente, et 1981 est l’année du début de la crise des euromissiles. Vous savez, ces missiles américains stationnés en Europe, directement pointés en direction de l’URSS ? (voir schéma ci-dessous) Autres évènements notoires, les élections des présidents Reagan et Mitterrand, respectivement président des Etats-Unis et président de la France. Jean-Paul II échappe également à une tentative d’assassinat. 1981, c’est enfin l’année du lancement du premier ordinateur personnel, lancé par IBM et fonctionnant avec le système MS-DOS, développé par… Microsoft.

Forces en présence dans l’Europe de 1988



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1991 Cette année est en de nombreux points une année de libertés. Le mur de Berlin, tombé il y a deux ans, a entraîné avec lui dans sa chute tout l’URSS. La guerre froide se termine, et les relations entre les deux principaux belligérants se détendent, on commence même à parler de désarmement. Gorbatchev, dirigeant de l’URSS, passe ses pouvoirs au premier président de la Russie, Boris Eltsine. C’est la fin de la grande Union soviétique en Europe.

Dans le même temps, l’Afrique est lancée dans un mouvement de démocratisation. De nombreux gouvernements adoptent le multipartisme, et l’Afrique du Sud abolit cette année ses dernières lois concernant l’apartheid, grâce notamment au combat non-violent de Nelson Mandela. Mais comme toujours, la guerre a lieu, et c’est encore au Proche-Orient. La fameuse guerre du golfe, menée par les Etats-Unis et son président George Bush. Elle a pour but principal le contrôle des ressources pétrolières du Koweït, qui sont convoitées par l’Irak toute proche. La défaite de l’Irak face à la puissante armée américaine est inévitable, mais la guerre marquera quand même les esprits, notamment par ses champs de pétrole incendiés, dernière carte utilisée par l’Irak. (Voir photo ci-dessus) 1991, c’est également l’éclatement de la Yougoslavie, qui va entraîner la guerre dans les Balkans. Les intentions belliqueuses de la Serbie et de son dirigeant Slobodan Milosevic n’ont pas fini de déchirer cette partie du monde. Mais 1991, c’est aussi l’année de l’élaboration du traité de Maastricht, texte fondateur de l’Union Européenne, ou encore celle du prix Nobel de la paix d’Aung San Suu Kyi, qui n’a été libérée qu’il y a peu de son emprisonnement par la junte birmane. Une année chargée de changements pour l’Europe et pour le monde.



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2001 Un nouveau millénaire a débuté, mais le monde tourne toujours aussi rond (ou presque). Cela fait déjà dix ans, mais personne n’a oublié l’importance que l’année 2001 a eue et a encore aujourd’hui dans la politique internationale. La guerre des Balkans se termine par la reddition de Milosevic, mais à peine a-t-on eu le temps de souffler que l’Occident est de nouveau secoué par une attaque, d’une tout autre nature cette fois. Le 11 septembre, c’est l’attaque terroriste dirigée contre les Etats-Unis. Quatre avions sont détournés et dirigés contre des cibles civiles et militaires, vraisemblablement par des islamistes à la solde d’Al-Qaida. Le World Trade Center s’effondre, entraînant avec lui dans la mort plus de 3.500 personnes. Suite à cette attaque, George W. Bush va déclarer la « guerre contre le terrorisme ». En quelques mois, l’Afghanistan est conquis par les Etats-Unis et placé sous un gouvernement provisoire. Le commanditaire des attentats, Oussama Ben Laden, reste cependant introuvable. Ce nouveau type d’attaques déclenche une vague de frayeur sur l’Occident, qui se prémunit petit à petit contre ce type d’attaque. Les Etats-Unis, qui ont enduré le coup le plus dur, vote le Patriot Act, permettant d’enquêter sans aucune restrictions ou presque dans le cadre de la lutte contre ce terrorisme. Ailleurs, Ariel Sharon est élu premier ministre d’Israël, alors que les relations entre le pays et la Palestine toute proche ne sont toujours pas en voie d’amélioration. Le nouveau millénaire s’annonce tout aussi agité que le précédent…

2011 Ca y est, notre voyage s’achève ! En 80 ans, le monde a évolué pour se développer dans une optique de globalisation qui pose aujourd’hui de nombreuses questions que nous devrons tâcher de résoudre. Comment doit-on continuer à exploiter notre planète qui semble souffrir de plus en plus de notre empreinte ? Comment arriver à plus d’égalité au niveau économique mondial ? Et surtout, pour revenir sur le plancher des vaches… quand aurons-nous un gouvernement ?! L’avenir nous le dira, car il nous réserve sans aucun doute de nombreuses surprises, à vivre sans modération !

La rédac.



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Sur les traces d’Ezio à Florence, la quête de GlennSur les traces d’Ezio à Florence, la quête de GlennSur les traces d’Ezio à Florence, la quête de GlennSur les traces d’Ezio à Florence, la quête de Glenn

Il fut un temps où dans la ville de Florence,

un grand nombre de meurtres étaient inexpliqués, des machinations étaient ourdies pour prendre le pouvoir et des ombres se déplaçaient librement dans la ville. C’était le temps des Assassins.

Quand Cécile m’a dit que le voyage se déroulerait à Florence, je n’ai hésité que peu de temps avant de me décider à accompagner le Cercle d’Histoire ! Je ne pouvais pas rater cela, la

ville de la Renaissance, des Médicis, de Savonarole, du David de Michel-Ange, … la ville d’Ezio Auditore Da Firenze. Et oui en bon geek historien et fan de la série Assassin’s Creed, je ne pouvais qu’aller à Florence, suivre les pas d’Ezio. Le travail effectué pour reconstituer Florence dans le jeu avait eu une critique des plus favorables, je voulais donc voir de mes propres yeux les ressemblances.

En arrivant sur place, je n’ai pas vu beaucoup de ressemblances, de nombreuses petites

ruelles très jolies, mais en rien ce qui se trouvait dans le jeu. Je pensais déjà avoir été trompé. Seulement je ne m’attendais pas au choc qui allait suivre. En effet peu de temps après être arrivé nous nous sommes dirigés vers l’église Santa Croce, et là… la révélation, je connaissais parfaitement l’église, la façade, la place, même l’intérieur de l’église était ressemblant (pour ce qui étaient des parties existantes à l’époque où se situe l’action dans le jeu). C’était incroyable et stupéfiant à la fois, et ce n’était que le début de mes découvertes.

En effet, le lendemain nous visitions le Dôme de Florence et montions à son sommet, nous offrant ainsi une vue incroyable (et une peur aussi) des toits de la cité. Je ressentais enfin vraiment ce que c’était que d’aller au sommet de Florence tout comme Ezio et de profiter de cette magnifique vue (je n’ai cependant pas tenté un saut de la foi, ce n’est pas faute d’avoir essayer de pousser Cécile par-dessus la rambarde pour voir si cela faisait le même effet que dans le jeu !).

Au fil du voyage je retraçais le parcours effectué par Ezio, mais malgré mes recherches assidues, je n’ai jamais trouvé le palais des Auditore. Et quelle joie cela aurait pu être de visiter Montereggioni…

Du palais Pitti, en passant par le palais Médicis-Riccardi, vous ne cesserez d’être surpris

par les similitudes, mais encore plus par les beautés cachées que recèle la ville et qui ne se trouve pas dans le jeu. Car même si j’ai un côté geek, je suis avant tout quelqu'un qui aime découvrir le monde, la vie ne s’arrête pas à un jeu et la meilleure façon de profiter d’une ville telle que Florence c’est d’aller la visiter en prenant son temps, en levant la tête et en mangeant une glace.

Glenn, secrétaire



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Le coin sportif Le coin sportif Le coin sportif Le coin sportif (parce qu’il en faut bien un)(parce qu’il en faut bien un)(parce qu’il en faut bien un)(parce qu’il en faut bien un)

L’heure est grave mes amis ! La culture sportive a, semble-t-il, déserter nos campagnes !! C’est inadmissible !!!

Pour cette raison, je prends aujourd’hui l’initiative d’éclairer vos loupiottes à la lueur éclatante de ma magistrale érudition sportivistique. Dans l’espoir de ne pas vous égarer totalement dans les méandres

des arcanes du sport, je tâcherai de me contenter des aspects historiques d’un sport souvent méconnu en lui-même, mais que, inconsciemment, tout enfant sommeillant en nous se rappelle avoir pratiqué dans sa forme la plus primitive. L’escrime.

En effet, celle-ci est issue d’une très longue tradition de pratique aristocratique et, surtout, militaire. On peut dire que c’est avec l’aube de l’humanité que les principes de base de l’escrime apparurent. Le combat d’une vie à l’époque étant simplement de survivre et donc de se défendre, c’est donc avec l’apprentissage du travail du bois et ensuite du fer que l’homme se forgera des armes… et un caractère.

Ce n’est néanmoins qu’au Moyen-âge qu’apparaissent les premiers écrits et traités d’enseignement, tentant de codifier l’utilisation d’armes blanches. Avec ces premiers traités, se constitue des écoles d’escrime, d’abord en Allemagne, ensuite en Italie et en Angleterre. Le savoir sur le maniement des armes était recherché notamment en raison de l’utilité juridique de l’ordalie, ayant recours parfois au duel pour départager les deux partis. À l'issue parfois mortelle, le duel fut longtemps la seule survivance du combat « sportif » à l'arme blanche.

C’est l’apparition de la rapière qui va bouleverser l’histoire de l’escrime. Au 15ème siècle, cette arme nouvelle va révolutionner l’approche de cette discipline. Les premières compétitions d’escrime vont être organisées, et l’escrime de loisir va commencer à faire son chemin. L'organisation progressive de compétitions régulières va donc conduire à une approche sportive de plus en plus poussée d'une discipline amputée désormais de toute utilité pratique éventuelle, ou presque. En France, la codification de l'escrime, la définition de ses termes et l'organisation d'une pédagogie de l'escrime eu lieu au cours du 17ème siècle, mais les règles actuelles n'ont été définitivement fixées que très tardivement. Il a fallu que soit créée la Fédération Internationale d'Escrime pour que les règles soient enfin acceptées par tous les pays, et ce n’est qu’en juin 1914 que la FIE rédige les règlements des trois armes mettant fin à toutes polémiques.

François, délégué sports

Par ailleurs, n’oubliez pas que les activités sportives sont toujours au programme de ce quadrimestre ! Le premier match de l’interfac de football s’est déroulé le 9 mars, mais il en

reste encore d’autres ! N’hésitez pas à consulter le groupe Facebook pour plus d’informations, ou à contacter directement le délégué sport au 0472/86.47.57.



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Bal, ou Baal ? Sûrement un peu des deux se retrouveront dans le thème de cette soirée,

alors venez nombreux, vous croiserez peut-être le fantôme du Louvre… (Ps : le Secrétaire souligne que si vous arrivez au Bâle Phégor, c’est que vous vous êtes trompé

de chemin.)



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Le petit reporter photoLe petit reporter photoLe petit reporter photoLe petit reporter photo Notre indiscret petit œil a été se glisser dans les réunions et activités HAUTEMENT confidentielles du Cercle (ou pas). Admirez !

Le Cercle d’Histoire, que du bonheur !



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La Colonne recrute!La Colonne recrute!La Colonne recrute!La Colonne recrute!

Plus que jamais pour ces 80 ans, la Colonne se remplira d’articles venant d’historiens de tous poils, peut être êtes vous de ceux dont la plume s’affole à l’idée d’aborder ce genre de sujet ! Si oui, n’hésitez pas à envoyer vos articles à mon adresse, [email protected], j’accorderai toute mon attention à votre papier ! Profitez-en, ce sera le dernier numéro de cette année !!

Un grand retour, le Quizz du CDHUn grand retour, le Quizz du CDHUn grand retour, le Quizz du CDHUn grand retour, le Quizz du CDH !!!! Mes chers amis, Suite à des problèmes d’organisation, nous sommes au regret de vous annoncez que la fameuse Revue du CdH n’aura finalement pas lieu cette année. MAIS, car dans ce genre de situations il y a toujours un mais, le Cercle d’Histoire n’abandonne pas pour autant et sera fier de vous convier, vous et vos amis, au Grand Quizz annuel du CDH !! Si vous n’avez pas eu l’occasion d’assister au Quizz pour le moins épique de l’année dernière, sachez que le principe est simple : Plusieurs équipes s’affrontent à travers des épreuves diverses et variées tournant autour du thème de l’histoire, mais aussi de la musique, de la culture générale, et bien d’autres ! Le tout dans une ambiance qui ferait pâlir d’envie Julien Lepers, ne lui en déplaise… Donc, à tous, si vous vous sentez l’âme d’un combattant, venez relever le défi ! Inscrivez-vous rapidement par équipes (3-4 personnes) à l’adresse suivante : [email protected], nous vous tiendront au courant par les moyens habituels, dès que l’organisation sera lancée ! Préparez-vous à une joute mémorable dès votre retour de vacances, ce Quizz promet beaucoup !

La rédac.

Petite blague en passant, savez-vous comment les Perses partaient en vacances ? Via le club Mède ! La rédac (qui sort).



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Publicité(s)Publicité(s)Publicité(s)Publicité(s) Le Site du CdH, la meilleure adresse pour tout savoir sur nous ! http://www.cerclehistoire.be/ Préparez-vous également pour les nombreuses activités qui se dérouleront dès les premiers mois ! Suivez nous via les affiches clashées à travers l’ULB, ou encore via Facebook, en rejoignant le groupe : « Cercle d’Histoire de l’ULB ASBL – CdH » Ou encore tout simplement en rappliquant au cercle, 131 avenue Buyl ! Nous vous y recevrons dignement dans les horaires de permanence, tous les jours de 12h à 16h et le vendredi de 12 à 14h ! N’ayez cependant aucune crainte, si vous ne venez pas au Cercle, celui-ci viendra à vous !

Perles et calembredainesPerles et calembredainesPerles et calembredainesPerles et calembredaines

Ces deux derniers mois ont été rythmés par les perles magnifiques de Dominique, manifestement en grande forme dernièrement ! Peut-être est-ce dû à son origine étrangère, mais elle semble parfois avoir du mal à saisir le sens de la conversation, voyez plutôt. Selon Dominique, Arnaud habite à Traîne-la-queue (Braine l’Alleud en luxembourgeois). Tentant de nous faire comprendre que c’était une blague qu’Arnaud lui avait racontée, elle s’exclame : « Mais non, c’est Arnaud qui me l’a sortie ! » On se demande bien quoi…

Dans le même registre, Dominique pensait qu’il y avait des terrains de pénis à l’ULB (quiproquo provoqué par une discussion sur les terrains de TENNIS bien évidemment). Ce à

quoi Cécile rétorque : « Bah, on a déjà la Jefke pour ça… » Pas faux.

Par ailleurs, je me dois également de vous raconter une magnifique anecdote de permanence. Vous devez savoir que le Cercle lutte actuellement contre des bêtes voraces et sanguinaires, qui nous ont envahies, je veux bien entendu parler de… souris ! Elles ne sont pas bien méchantes rassurez-vous ! Cela n’a cependant pas empêché Pablo, un historien penché à gauche souvent présent au cercle (bien malgré nous d’ailleurs) de sauter de la table au canapé pour échapper à ce monstre de 10 centimètres de long ! Il venait à l’instant de nous conter ses exploits sexuels divers et variés, se qualifiant lui-même d’« intersexe ». En hurlant, il s’exclame : « Mais niquez-la, mais niquez-la !! » Arnaud, impassible : « Bah vas-y, c’est toi l’intersexe… »

Tout simplement épique.



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Et pour conclure voici la photo sélectionnée !

Votre rédacteur qui se fait détruire comme un minable, face à un roux ! Profitez-en, il n’en est pas fier… (Surtout qu’il venait de faire match nul avec le délégué web, connu pour être une crevette notoire, mais bon… mais bon…)

Agenda des activités à venirAgenda des activités à venirAgenda des activités à venirAgenda des activités à venir • Mardi 15 mars à 18h30, au AY.2.107

Conférence-débat autour du film « In this World »

• Vendredi 18 mars, aux caves de Cureghem, le Bal Phégor du CROM, du CHAA et en l’honneur des 80 ans du CDH ! Préventes disponibles entre les restos sur le campus du Solbosch, 11€-12€ (15€ le soir même sur place)

• Mercredi 23 mars au Cercle

Après-midi bières spéciales, venez déguster des trappistes pour des prix modiques !

• Du lundi 28 mars au 1er avril, Semaine médiévale en l’honneur de 80 ans du Cercle, conférences et animations prévues durant toute la semaine et banquet-exposition prévu le Vendredi soir, voir article pour plus de détails, et informations à venir par les moyens habituels !



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• Mardi 5 avril, 13h30 Visite du Musée de la Médecine au campus Erasme, rendez-vous aux PUB pour un départ groupé !

• Mercredi 6 avril, 22h à la Jefke TD organisé par le CROM, le CHAA, le CJC et le CDH, venez nombreux !

• 26 et 27 avril, 20h à la salle Delvaux, la Revue annuelle du cercle d’Histoire fait son grand retour ! venez nombreux assister à un spectacle qui promet de vous faire beaucoup rire, surtout si vous êtes familier avec les professeurs d’histoire !

Agenda de nos sponsors et amisAgenda de nos sponsors et amisAgenda de nos sponsors et amisAgenda de nos sponsors et amis

• 18 février > 8 mai : Luc Tuymans, rétrospective. Conférence de l’artiste le jeudi 28 avril.

• 11 février > 8 mai : Venetian and Flemish masters, exposition de peintures.

• Jusqu’au 3 avril : The new arrivals, exposition de peinture contemporaine hongroise.

• Oscillations (théâtre) (w-e des 23 et 30 mars, 20h) • La tempête, ré interprétation de Shakespeare (du 3 au 7 mai et 10 au 14 mai, à 20h) • Ensemble OI\I avec Gilles Robert (concert), (22 mars à 20h) • Power of the Horns (concert) (26 et 27 mars)

• L’assaut des cieux (danse) (du 16 au 19 mars) • Sources (danse) (du 16 au 18 mai)

Et si vous n’êtes toujours pas rassasié, attachez vos ceintures ! Le cercle d’improvisation de l’ULB, Impro-vocation, vous convie à son grand match-évènement du 17 mars, à la salle Delvaux ! Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de découvrir cette forme de spectacle dynamique et hilarant, c’est l’occasion ou jamais !! (Plus d’informations sur www.impro-vocation.org) Sachez également que nos amis du CROM organisent une pièce de théâtre les 4 et 5 avril, dans le cadre du festival Théâtre ouvert de Bruxelles. Intitulée « en attendant », cette pièce vous fera entreprendre un voyage pas comme les autres… (Plus d’infos sur www.romanes.be/crom)



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La Colonne Journal du cercle d’histoire de l’ULB

131 avenue Buyl 1050 Ixelles

Éditeur responsable : Tarquin Storme [email protected]

Rédacteur en chef : Kévin Giraud

[email protected] Contacts : [email protected]



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La Colonne, un journal à la pointe de l’actu, pimenté d’une bonne dose d’humour et de bons moments !

Continuez à nous suivre,

Sur www.cerclehistoire.be

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