josé jover ateliers bd
TRANSCRIPT
LES ATELIERS
D’INITIATION A LA NARRATION
PAR LA BANDE DESSINEE
PILOTES PAR JOSE JOVER EDITEUR
www.tartamudo.com ; José Jover téléphone : 01.45.36.97.31 / 06 .81.70.40.75
JOSE JOVER
NAISSANCE A VALENCIA (ESPAGNE)
1975 :
Entrée à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (6 années d’études).
1981 :
Premières publications dans la presse enfantine et adulte.
« phosphore » - « Charlie mensuel » - « Zoulou » - « Virgule » - « Actuel » - « Pif »
1983 :
Illustration de Livres Jeunesse (ed. Hachette ; éd. Syros).
Publications d’albums de bandes dessinées (ed. Glénat ; éd. Futuropolis).
Expositions BD et Peinture ( France et Etranger)
Musée d’art Moderne Georges Pompidou, Paris,
Ville de Valence ( Valencia en Espagne),
Ville d’Amsterdam (Hollande)
Réalisation de Plaquettes de Communication illustrées
Ministère de l’Environnement Français
Mutuelle Nationale du Sport, etc.
1985 :
Début des « Ateliers d’Initiation à la Narration par la Bande Dessinées », sur demande :
de grandes villes de France (Centre Culturels, Médiathèques, Bibliothèques),
de Comités d’entreprises ( CCAS EDF-GDF, CCE BNP-Paribas, AGOSPAP, RATP, RENAULT,
SNCF, etc.),
d’organismes ou d’ONG ( LA CROIX ROUGE FRANçAISE entre autres).
A l’issue de ces interventions BD, des brochures ou des albums sont édités par ces mêmes
organismes.
1999 :
Parallèlement à l’ensemble de ces activités José JOVER crée une maison d’édition connue sous le nom
de TARTAMUDO, qui a pour vocation de publier des albums jeunesse et des bandes dessinées.
Diffusion des livres sur le territoire national et dans l’espace francophone.
Le projet consiste à initier des enfants et des adolescents à la narration en Bande Dessinée
et à les amener à la conception et à la réalisation d’une ou de plusieurs pages de BD sur un thème commun.
Pour y parvenir, nous nous servirons des techniques narratives propres à la Bande Dessinée
(création de personnages, écriture d’un scénario, dialogues, mise en scène, découpage en
images, ellipses, onomatopées et dessins). Pour les formaliser physiquement, nous utiliserons
le matériel classique des dessinateurs (crayons, gommes, porte-plume, encre de Chine noire,
crayons et feutres de couleur).
Les aspects du dessin et de la couleur sont omniprésents mais ne sont pas primordiaux. Ce qui
est important, c’est comprendre, analyser et réaliser une histoire pour construire une narration. Par là-même, cela aidera les participants à mieux utiliser et décrypter les arts
narratifs (roman, théâtre, opéra, cinéma et bande dessinée) et à avoir un meilleur regard sur
la fonction des images. L’initiation à une création à la fois écrite et dessinée ouvre à l’enfant
ou l’adolescent les champs de la lecture, lecture des mots comme celle des images. En faisant
des histoires, on découvre les codes qui nous permettent de mieux lire celles des autres.
Le tout sera mené sous une forme ludique et interactive. Il s’agit de décomplexer des
enfants, des ados, qui ont souvent tendance à avoir un sentiment d’échec dans leur rapport à
la création. Le but est de les accompagner dans ce travail, sous la forme d’un jeu, et de les
amener à exécuter une réalisation complexe et individuelle, mais qui participe d’un objectif collectif et de son succès.
A l’arrivée, cette réalisation individuelle et collective à la fois peut se concrétiser sous la
forme d’un album de Bande Dessinée tout en couleur, où chaque participant aura sa place.
Nos intervenants, qui possèdent tous une formation et une expérience d’éducateurs ou
d’animateurs, s’intègreront à la vie de la structure d’accueil pendant toute la durée de leur
intervention, y associant ainsi complètement ce projet créatif. Les animateurs de la structure
participant à l’intégration de ce projet bénéficieront par là-même d’une formation aux
techniques d’initiation à la création.
Cette initiation à la Bande Dessinée a également pour objectif d’amener les enfants et les
adolescents participant à découvrir de nouvelles formes de narration, notamment en Bande
Dessinée, et ainsi d’éveiller leur curiosité et de les amener à élargir le champ de leurs
lectures personnelles.
LE PROJET PEDAGOGIQUE
1 ITINÉRAIRE JOSE JOVER 26/08/12 15:08
UN MÉTIER DE L’ANIMATION
Par Pierre Lecarme
Animateur en bande dessinée
Chapô
De la même manière que tout le monde est aujourd’hui convaincu que
nombres d’enfants et d’adolescents « ne savent pas ou n’aiment pas
lire », on entend encore certain affirmer bêtement que « lire de la
bande dessinée détourne de la lecture ». Quelques animateurs sur
notre territoire s’emploient à nous prouver le contraire. Rencontre
avec José Jover, passeur d’images narratives d’une part et l’équipe
de l’Avis des bulles, d’autre part.
Légende photo portrait José Jover
Plutôt que de choisir entre le métier d’animateur et celui d’auteur
illustrateur en bande dessinée, José Jover prend le parti de
devenir animateur en bande dessinée pour transmettre sa passion et
donner la parole à ceux qui ne l’ont pas toujours. Et comme les
interventions ne suffisent pas à son appétit et sa passion, il
devient lui-même éditeur pour défendre ses idées, ses générosités.
« Tout expression narrative
passe par l’écrit » Rencontre avec José Jover
L’histoire commence par un courrier adressé à notre rédaction : « Par
hasard, chez mon marchand de journaux, je suis tombé sur votre revue.
Alors comme vous le proposez, je vais vous parler de moi et de mes
activités. Je suis un passeur d’images narratives, autrement dit, la
bande dessinée. Depuis 25 ans, je suis auteur et dessinateur de BD et
depuis maintenant 20 ans j’anime des ateliers d’initiation à la
narration par la BD, et cela dans tous types de structures :
bibliothèques, médiathèques, SMJ, centres culturels, écoles, collèges,
lycées, Facultés, comités d’entreprise, hôpitaux (en pédopsychiatrie et
centres de désintoxications pour toxicomanes adultes, prisons pour
adultes ou adolescents. Depuis maintenant 6 ans, je suis aussi éditeur
de livres jeunesses et de BD. » Dans le colis qui accompagne ce courrier
José Jover nous adresse nombres d’ouvrages réalisés lors de récentes
interventions, et bien sûr, les derniers albums de sa maison d’édition
Tartamudo.
En légende de la photo de quelques albums
Quelques-uns des cinquantaines de bandes dessinées réalisés avec
différents groupes : « L’alcool à l’ombre », « Les accrocs de la
BD » et « H à l’ombre » réalisé avec des détenus de la prison de
Fleury-Mérogis avec le concours de la Croix rouge Française,
l’hôpital de jour Pierre-Nicole à Paris, « Dans ma commune » sur la
drogue avec la DDJSL Essonne, la DASS, le conseil général,
« Amitié, solidarité » avec le Comité d’entreprise Renault Le Mans,
« ma petite BD est comme l’eau… » par les enfants des centres de
Vacances du CCE Générale des eaux, etc.
Journal de l’animation : D’où vient ce mot de Tartamudo ?
José Jover : Tartamudo, cela veut dire le bègue en espagnol. Je suis
espagnol d’origine et puis le nom sonne bien. Et lorsque l’on lit on ne
RENCONTRE AVEC L’EDITEUR
bégaie pas avec les yeux. Je suis en combat contre l’illettrisme, je lutte à
travers les ateliers que je propose.
J.D.A. : Comment avez-vous commencé ce travail d’animateur en bande dessinée ?
José Jover : J’ai toujours eu une passion de la lecture, j’ai grandi dans un
quartier populaire à Toulon où les livres avaient beaucoup d’importance. J’ai
fait plusieurs boulots et des plus durs comme soudard aux chantiers de La Seyne
ou de La Ciotat. J’ai un frère agrégé de mécanique qui faisait partie d’un
collectif politique pendant les années 70. C’est lui qui m’a incité à tenter le
concours des beaux-Arts à Paris. Ma passion, ça toujours été le dessin, pour
raconter des histoires. De nombreux cinéastes ou écrivains sont de très bons
dessinateurs. La BD, c’est plus économique, plus rapide. Gamin je lisais tous
les fascicules de gares : Akim, Tartine, Pim Pam Poum Pipo. Je viens des sous-
prolétariats, mes parents avaient le respect et le goût des livres et de la
chose imprimée. La grande révolution du XXe siècle ce n’est pas l’homme qui a
marché sur la Lune, c’est le livre de poche, la grande littérature à la portée
de tous. J’ai dévoré Dostoïevski, Pearl Buck, Tolstoï, les Sélections du Reader
digest, tout ce qui me tombait sous la main. J’avais soif de mots et de
lettres. J’ai passé un CAP d’emploi de bureau. Mais le grand virage, c’est
vraiment mon frère à Paris. J’ai préparé les Beaux-Arts à Toulon dans un
préfabriqué prés de la bretelle d’autoroute, et surtout j’ai rencontré un
maître graveur de 70 ans, qui m’a appris les eaux fortes, les pointes sèches.
Mes premiers pas dans une école d’art, c’est en 74. On pouvait y rentrer sans
avoir le bac, j’ai réussi avec mention, le jury était impressionné par mes
connaissances en gravure. La même année j’étais étudiant aux beaux-Arts, engagé
à la CGT et je me suis fait naturalisé français. J’avais comme amis Farid et
Mourad Boudjelal (1), ils me disaient à l’époque Tu comptes sérieusement vivre
du dessin ?, je faisais aussi beaucoup d’arts martiaux. J’ai un caractère bien
trempé, j’avais besoin de me donner des assises.
J.D.A. : Et l’animation là-dedans ?
José Jover : J’ai commencé comme animateur à Épinay sur seine, avec les
Francas. C’était un moyen de gagner ma vie. C’est là que j’ai découvert que je
prenais goût à faire passer les choses, je suis un peu missionnaire, curé… mais
pas jésuite !Je travaillais dans une maison de l’enfance, un club ouvert. Et
puis très vite, je me suis orienté vers les comités d’entreprises avec la BNP
qui avait un centre aéré permanent pendant les vacances et les mercredis à
Louveciennes. Puis, ça été le CE de la Banque de France. Au bout de la
cinquième année, j’étais à mon apogée pour le métier d’animateur et j’ai passé
mon BAFD avec les Ceméa. Pendant ce temps, en 82, j’ai publié mon premier livre
de BD « Fictionnettes » avec André Igwal (2). J’avais comme copains Caro et
Jean-pierre Jeunet (3) qui m’emmenaient voir les dessins animés des frères
Fleischer (Betty Boop, Popeye). C’est la grande période des magazines de BD,
j’ai travaillé pour Circus, Métal Hurlant, Pilote, etc. Mais à ce moment, je
quitte l’animation, c’est trop je ne peux pas faire deux métiers en même temps.
J.D.A. : Et comment sont venus ces temps de formations en Bande dessinée ?
José Jover : On ne dit pas formation, on dit interventions !!! Cela vient de
mon copain Igwal qui était professeur d’histoire-géo dans un LEP à Bagnolet. Je
venais rencontrer les élèves avec des auteurs comme Jean Solé, Gérard Mathieu,
Coucho (3) et un tout jeune David Beauchard (4). J’ai commencé à publier dans
la presse enfantine pour un magazine qui s’appelait Virgule édité par le
syndicat national des instituteurs. Des précurseurs qui ont fait travaillé des
gens comme Pef ou Gudule (5). Nous étions payés avec les bourses du Lep, puis
le bouche à oreilles a fonctionné, je suis intervenu dans les bibliothèques,
les collèges. En fait de mes deux métiers, je n’en faisais qu’un. En 1984, nous
participons à la première marche des Beurs, avec une exposition sur les enfants
de l’immigration. C’est là que nous avons inventé le mot « beur » qui vient du
verlan rebeu pour dire arabe ! en parallèle l’équipe du journal Actuel lance
Zoulou, pour lequel je travaille. Puis je rencontre Jean-Michel Aupy qui crée
la première agence de communication par la bande dessinée. Nous bossons pour
Yamaha, Léo Lagrange, etc.
J.D.A. : Vous quittez donc le monde associatif et l’éducation populaire ?
José Jover : Non, puisqu’en 1986, les bibliothèques me demandent de concevoir
un projet d’initiation à la BD. C’est là que je formule ma méthode que j’ai
souvent testée en animation avec Farid Boudjellal. C’est pour la médiathèque
des Ulis dans l’Essonne. Là c’est l’explosion, je m’appuie sur les notions de
projets que j’avais apprises et mises en place avec les Francas et les Ceméa.
J’ai un vrai souci de la pédagogie. La lecture, c’est rigolo ! La bande
dessinée c’est un vecteur merveilleux, c’est le domaine de l’expression
narrative comme le cinéma, la littérature, le théâtre et la radio. Comme le dit
Mac Luhan : l’image est le message. J’ai beaucoup de demande pour les comités
d’entreprises, la CCASS et ses 400 centres de vacances (ils font un travail
vraiment sérieux pour le livre avec leurs bibliothèques ouvertes jour et nuit).
Je me déplace dans beaucoup de villes, j’incite tout le temps à observer
comment je fais pour que les animateurs puissent transmettre ensuite à leur
tour.
J.D.A. : En quelques mots quelles sont les richesses du média BD ?
José Jover : C’est simple, tout expression narrative passe par l’écrit. On
invente un personnage, puis une situation. L’enfant ou le jeune devient
inventeur, créateur de son personnage, l’écrivain de sa propre histoire. Il
faut un découpage ludique et rythmique. Il faut à la fois le lâcher et le
retenir – un bon animateur sent très bien cela – Puis il fait la mise en scène,
les cases. On agit dans le sens de la lecture, cela structure son esprit.
Ensuite, il est décorateur, dialoguiste, coloriste. C’est un apprentissage de
la lecture, de la narration en image. J’apprends à lire à des enfants. La
notion de c’est bien ou mal dessiné n’a pas d’importance. Il faut essayer
d’être lisible pour son lecteur, on n’est pas dans le dessin, mais dans
l’écriture.
Encadré avec reproductions de couvertures
Les éditions Tartamudo
José a choisi comme slogan pour sa maison d’édition une citation de jean
Cocteau « Quand j’écris je dessine, quand je dessine j’écris ». Petite
sélection dans son catalogue :
• Les Slimani
Farid Boudjellal
D’origine Algéro-Arménénienne, l’auteur raconte avec beaucoup de chaleurs
humaines la vie d’une famille à l’époque de la première marche des beurs. Ce
premier ouvrage annonce le début d’une longue et joyeuse sage qui aura pour
toile de fond Toulon, Paris, l’Algérie et même l’Arménie.
• Walou à l’horizon
Slim
Bouzid retourne en Algérie après dix ans d’absence et un stage en RDA. Bouzid
retrouve ses amis, Zina, Anziam et son chat El Gatt ainsi que tout le petit
peuple de OuedBesbes.
• Le roi Raoul n’a plus de tartines
Vincent Haudiquet et Pef
L’étonnante rencontre d’un roi un peu triste et d’un dragon pas comme les
autres, digne du non-sens et de la poésie de Lewis Carroll.
• Mon album de l’immigration en France
Cet album retrace les grandes étapes de métissage, particulièrement au cours du
dernier siècle écoulé, à la lumière des témoignages et réflexions d’écrivains,
d’hommes politiques, d’artistes et de citoyens issus de l’immigration. Pour
balayer les idées reçues, apprendre à mieux connaître les autres et leurs
histoires, et à vivre tous ensemble.
Une exposition de 15 panneaux tirés de l’album est proposée à la vente.
• Contact
Éditions Tartamudo
21, place Ovale 94230 Cachan
Tél. : 01.45.36.97.31
Mél. : [email protected]
Peuvent être repris en légende des photos avec un groupe d’enfants :
« J’apprends à lire à des enfants. La notion de c’est bien ou mal dessiné n’a
pas d’importance. »
« J’ai un vrai souci de la pédagogie. La lecture, c’est rigolo ! »
LES ATELIERS EN PHOTOGRAPHIE
LES BROCHURES DES ATELIERS
Brochure réalisée avec « L’ECOLE DE LA DEUXIEME
CHANCE » de Cergy.
Brochure réalisée avec les résidents des « FOYERS DES
JEUNES TRAVAILLEURS « des Louvrais et de Marcouville
de Pontoise.
Quelques brochures institutionnelles.
Quelques réalisations institutionnelles
Couverture du « Roman de Bouquin »
Articles Presse
FIBD Angoulême 2012
Extraits du catalogue des Editions Tartamudo
PRESS-BOOK
FIBD ANGOULEME 2012
(quelques photos)
Un visiteur connu et mordu de BD Les visiteurs du festival se sont
donnés rendez à notre stand
pour découvrir nos dernières
parutions
Vincent POMPETTI auteur de « la
guerres des Gaules » en pleine
séance de dédicace…
V. POMPETTI (àg.) et TAREK
co-auteur de TURCOS « le
Jasmin et la Boue »
TARIF DES PRESTATIONS
Rencontres
Les tarifs des rencontres
Tarifs des rencontres et des signatures
L’assemblée générale du 5 mai 2012 a voté l’indexation de nos tarifs sur l’indice des prix à la
consommation, soit + 2,3 % (tarif Insee mai 2012).
Les nouveaux tarifs votés chaque année en mai sont applicables aussitôt après
l’assemblée générale. Les anciens tarifs restent cependant applicables six mois après
l’assemblée générale pour les contacts pris avant cette date. C’est donc en janvier de
chaque année que les tarifs augmentent définitivement pour tous les salons.
Les bordereaux déclaratifs sont à télécharger sur le site de l’Agessa.
Ces tarifs sont exprimés en droits d’auteur, chacun vérifiera sur le site de l’Agessa
qu’il est en situation d’émettre ces factures.
La Charte met à votre disposition son outil magique pour calculer les cotisations sociales.
Journée complète : 407 € brut, soit 370,13 € net
407 euros brut, diminués des cotisations ci-dessous :
Maladie-maternité-veuvage : brut x 0,85 % = 3,46 euros.
CSG : brut x 0,9825 x 7,50 % = 29,99 euros.
CRDS : brut x 0,9825 x 0,50 % = 2 euros.
Formation (à partir du 1er
juillet 2012) : brut x 0,35 % = 1,42 euros. Total des
cotisations = 36,87 euros.
Montant dû à l’auteur : 370,13 euros net (trois cent soixante-dix euros et treize centimes).
En outre, l’organisateur verse une participation de 1,1 % de la rémunération brute, au
titre de la contribution Diffuseur : 4,48 euros.
Demi-journée : 246 € brut, soit 223,71 € net
246 euros brut, diminués des cotisations ci-dessous :
Maladie-maternité-veuvage : brut x 0,85 % = 2,09 euros.
CSG : brut x 0,9825 x 7,50 % = 18,13 euros.
CRDS : brut x 0,9825 x 0,50 % = 1,21 euros.
Formation professionnelle : brut x 0,35 % = 0,86 euros. Total des cotisations = 22,29
euros.
Montant dû à l’auteur : 223,71 euros net (deux cent vingt-trois euros et soixante-et-onze
centimes).
En outre, l’organisateur verse une participation de 1,1 % de la rémunération brute, au
titre de la contribution Diffuseur : 2,71 euros.
Tarifs des signatures à compter du 5 mai 2012
Le tarif des journées de signatures est la moitié de celui des rencontres, soit 203 euros brut la
journée et 123 euros brut la demi-journée.
Libre à l’auteur ou à l’illustrateur ayant participé à des rencontres associées à un salon d’accepter
d’effectuer gratuitement une séance de signatures (une demi-journée de signatures pour une journée
de rencontres).
Nota bene :
Les frais de transport, d’hébergement et de repas sont à la charge de l’organisateur. En aucun
cas les auteurs ne doivent être obligés d’avancer les frais de transport, d’hébergement
ou de restauration ! Le règlement sera effectué sur le lieu même et dans le temps de la manifestation, ou dans un
délai n’excédant pas un mois.
Nous rappelons aux organisateurs qu’aucun auteur ou illustrateur ne peut se réclamer de la
Charte s’il n’est pas à même de présenter sa carte annuelle de membre.
EXEMPLE DE DEVIS INTERVENTIONS
José JOVER
90, rue Marcel Bonnet
94230 CACHAN
Tél. et fax : 01 45 47 07 18
N° sécurité sociale : 1 54 07 99 134 667
N° AGESSA : 02 93 16
Cachan, le 05/06/2012
LYCEE LOUIS ARMAND
MONSIEUR BERNARD DENY
173 BLD DE STRASBOURG
94150 NOGENT
REFERENCE PROJET
Intervention BD
thème : nouvelles technologies
et sciences du langage
DEVIS N° 12010
Quantité Prix unitaire Total HT
Trois demi-journées d’intervention ateliers 3 250 € 750
Initiation à la réalisation bandes dessinées
avec un groupe d’élèves du Lycée.
Les journées et horaires sont à déterminer
Prévoir le matériel papeterie pour l’atelier BD sur place.
Frais de déplacements compris
Non assujetti à la TVA
(TVA non applicable, article 293B du Code Général des Impôts)
TOTAL INTERVENTIONS ……………………………………………… 750.00 €
A retourner 1 exemplaire pour accord.
Pour accord
Nom et prénom :
Date et signature
EXEMPLE DE DEVIS BROCHURES
SARL LISEZ-MOI
21 PLACE OVALE
94230 CACHAN
Tél 01.45.36.97.31
Fax 01.47.40.00.43
RCS CRETEIL B 421 066 093
APE 221 A LYCEE LOUIS ARMAND
MONSIEUR BERNARD DENY
173 BLD DE STRASBOURG
94150 NOGENT
REFERENCE PROJET
Brochure BD
thème : nouvelles technologies
et sciences du langage Cachan, le 05/06/2012
DEVIS N° 11114
Fabrication globale comprenant :
- Maquette de la brochure (création et réalisation,
police de caractères et esthétique générale)
- Nettoyage et mise en forme des pages BD
- Scan des originaux BD (+ couverture et dos)
- Façonnage deux piqures à cheval format A4 de 30 pages
- couverture et dos 150 grammes.
- Impression de la brochure format A4 en 50 exemplaires
Illustration de la couverture en couleur :
Réalisée par l’auteur-intervenant pour la brochure :
A partir du thème : nouvelles technologies et sciences du langage
Conception et réalisation de la couverture
Facturation impression brochure format A4 en couleur :
30 pages BD en couleur pour 50 exemplaires
TOTAL HT Réalisation et impression couleur 1300.00 € TVA 19.6%
254.80 €
TOTAL T. T. C ………………………………………………………. 1.554.80 €
POUR ACCEPTATION
DATE ET SIGNATURE :
LISTE DU MATERIEL NECESSAIRE
( à fournir )
Modulable selon le nombre de participants
Buvards – 1 paquet
Papier brouillon (A4) – 1 ramette
Crayons HB - 15
Gommes – 10 (type staedlert blanche)
Taille-crayons - 6
Règles – 4 de 40 cm.
Feuilles Canson A3 (au moins 2 feuilles par participant)
Feutres noirs – 12 pointes fines
Crayons de couleur – 2 grandes boîtes
Feutres de couleur – 2 grandes boîtes
Correcteurs « Typex » - 4
1 tableau de papier (paper board) ou deux nappes en papier (style restaurant)
1 marqueur noir – 1 marqueur rouge – 1 marqueur vert
CONTACTS :
José Jover Editeur : 06.81.70.40.75
TARTAMUDO édition : 21 place Jacques Carat
94230 CACHAN
01.45.36.97.31
Courriel : [email protected]
Site TARTAMUDO :
http://tartamudobd.wordpress.com/