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L E C O U R R I E R D E L ' O I S E JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT DE SENL'S paraissant te ^•ixnanoix» l ~ ï ô cl m o t o n i; jp o liticjv an LECxErV A 1 3 <=> 3ST tTJ 1s? isr -x- s Un an . Six m ois ........... Anos Bureaux P'Poste 10 12 7 (->»»«‘ahontft? imx Bn^aaÜx du Jfonï'haï' et dansitoüia ï«s Dureaux de poste. — L’abonnement est payable d'avance et continue de pie u droit jusqu'à Teceptao» d av îs contraire. jïjüi ,- uDanxHtjflta partent •du 1- efoaque «aol» BUREAUX, REDACn , ADMINISTRATION, S E N T I S 0 , F »!aoe lïe n r i-I V , 0 S E N T E TELEPHONE 4 Compta Châques-Postaux Paris 478-50 Directeur Com m ercial : E. VIG NO N Jfc’ X 1XZ X3 Jü E5 I 3ST S 1 3 X * •3C X O ÏST sa Annonces lé g a le s ......... ................................. I fr. 50 la ligne Ventes volontaîïes.’ — Publioiiés' commerciales. — Demandes et offres d’emplois (Pour tous renseignements écrire fr? journal) Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus. Le Congrès de Clermont et surtout celui de Metz /y Le Président Doumergue a décidément pris l’habitude de s’adresser directement au pu- blic. Il lui a parlé lundi dernier et il continuerez, a-t-il dit, à le tenir au courant. C’est là une heureuse in novation. Nous ne voulons pas humi lier le Parlement, mais il importe de le rappeler au sentiment de sa fonc tion qui est de représenter le Pays et non pas de servir d’écran entre la Nation et le Gouvernement. Or nous avons pour le moment un Parlement qui ne représente pas très exactement le Pays. C’est le moins qu’on puisse dire. Il n’est donc pas très étonnant et il est de bon augure de voir la con- versation s’engager directement entre 1 opinion et le Chef du Oouvcrnement ,, ot) 'U.-UM- ù souhaiter que cette thode s affermisse et produise des Iruits salutaires. Malheureusement l’opinion n’a pas beaucoup de moyens de se faire enten dre. A vrai dire elle n’en a qu’un dont elle paraît de plus en plus décidée à se servir, ce sont les meetings et les Congrès. Il y a eu deux Congrès cette semai ne. Celui des radicaux à Clermont et celui des Anciens Combattants à Metz. Du Congrès de Clermont, nous n’avons rien à dire. L’Ere Nouvelle en est en chantée, elle prétend que le parti ra dical a donné un grand exemple.. Mais nous pensons avec Emile Buré qu’ « on ne doit aucun remerciement à ceux qui acceptent ce qu’il leur était impossible de refuser ». Les radicaux ont décidé de rester fidèle à Monsieur Edouard Herriot qui lui-même a dé claré qu’il resterait fidèle à M. Dou mergue. Mais pouvait-il en être autre ment. On est quelquefois acculé à la modération, au bon sens, à la mora lité. Du reste on peut relever quelques symptômes de mauvaise humeur et de répugnance. Ne serait-ce que l’attitu de de ce brave Cudenet qui trouve que le parti radical capitule et s’en va fonder un nouveau parti. Non moins significative encore l’attitude de la sec tion lyonnaise de la Ligue des Droits de l’Homme, cette filiale de la Franc- Maçonnerie, qui prononce l’exclusion de M. Herriot, blâmé de faire partie d’un Gouvernement qu’elle blâme. Ces gens-là sont incorrigibles. Mais que représentent aujourd’hui dans le Pays radicaux et francs-maçons sinon une maladie dont il travaille à se gué rir ? Un poison qu’il cherche à vomir ? Beaucoup plus « National », dans tous les sens du mot, ce XVe Congrès de l’U. N. C. qui vient de se tenir à Metz. A Clermont, il ne s’agissait que d ’u n parti, c’est-à-dire de quelque chose de mort. A Metz, il s’agissait d’un mouvement. L’U. N. C. n’avait été jusqu’à pré sent q u ’u n e association, or voici qu’elle a tout l’air de vouloir devenir un mouvement. C’est là une perspec tive des plus réconfortantes. « Le Congrès de l’U. N. C., écrit le correspondant de l’Echo de Paris, marque la volonté formelle des an ciens combattants de jouer un rôle Chez les Carrossiers Charrofis et Maréchaux L’assemblée générale annuelle de la Chambre Syndicale de l’Oise des car rossiers, charrons et maréchaux a eu lieu l’autre dimanche à Compiègne. Ce fut tout d’abord, le matin, sous la présidence de M. Peillon, inspecteur de l’Enseignement technique, prési dent de la Confédération nationale des artisans charrons, maréchaux et forge rons, l’assemblée générale à la salle des corporations. Y assistaient égale ment M. Georges Houet, président de l’Oise, et des représentants des fédéra tions de la Seine, de la Somme, du Pas- de-Calais et de l’Aisne. Après une discussion des intérêts corporatifs, qui occupa la matinée, tout le monde se retrouva à l’hôtel de Flan dre, en un grand banquet de deux cents quatre-vingts couverts, sous la présidence de M. Rousselot, sous-pré fet de Compiègne, assisté du marquis de l’Aigle, député. Des discours furent prononcés par MM. Georges Houet, Prioux, président du Syndicat de l’Aisne ; Hotte, prési dent du Syndicat de la Somme, adjoint au maire d’Amiens, conseiller général; Peillon, président confédéral ; Riche, adjoint au maire de Compiègne, le re présentant ; marquis de l’Aigle, dépu té, et enfin, M. Rousselot, qui, en ter minant, remit la Croix du Mérite agri cole à M. Bourgogne, maréchal à Sen- lis. actif dans la direction des affaires publiques ». Les camarades Anciens Combat tants se sentent vieillir -— et peut- être ont-ils de bonnes raisons de se sentir vieux, eux qui ont tant souffert. Leurs rangs commencent à s’éclair cir ». Afin d’assurer la continuité de leur action, les Anciens Combattants cherchent à grouper les jeunes sous leurs drapeaux, cessant ainsi d’être un mouvement particulier pour deve nir un gestè national tirant ses sour ces des leçons de la guerre. Ce 15' Congrès de l’U. N. C. assurant aux Anciens Combattants la pérennité de leur œuvre, aura une importance sin gulière dans l’histoire de l’après- guerre. _ <• est la stabilisation de l’esprit an- cien combattant désigné pour devenir 1 idee maîtresse de notre politique à 1 intérieur aussi bien q u ’à fexté- neur ». De lait, d’après les comptes rendus des travaux de ce XVe Congrès, les An ciens Combattants ne se sont pas seu lement occupes de leurs affaires per sonnelles, si l’on peut dire, pensions retraites, etc. Ils se sont aussi montrés’ préoccupés des affaires publiques et dans un excellent esprit réformiste. M. Jean Goy a présenté un rapport sur 1 nnportante question de la Réforqie de 1 Etat. « Le Congrès national demande, conclut ce rapport, pour le Président de la Republique, le droit de dissoudre la Chambre sans l’avis conforme du Sénat ; la réduction sensible du nom bre des ministres ; le choix plus fré quent des ministres hors du Parle ment ; l’établissement d’un statut aux fonctionnaires et la transformation des syndicats en amicales ; le retrait au pouvoir législatif de toute initia tive en matière de dépenses, la sépa ration des pouvoirs », etc... Avant la séparation des différentes commis sions, dès l’ouverture du Congrès, l’U. N. C. avait envoyé un message de confiance au Président Doumergue. • • L’attitude du Congrès de Metz n’est g as, si l’on peut dire, exceptionnelle, 'es « témoignages » de ce genre, ve nus des Anciens Combattants, affluent de tous les points du territoire vers le Chef du Gouvernement. Particulière ment énergique et émouvant cet ordre du jour provenant des 6.000 délégués de Fougères qui font confiance à M. Doumergue « pour poursuivre la réor ganisation de l’Etat par la réforme électorale, la dissolution et la réforme de^ la Constitution, qui assurera en même temps que *îa restauration de l’autorité de l’Etat, la représentation de la famille et de la profession ».■ Voilà donc de quoi nous réconfor ter. Les Anciens Combattants ont des droits imprescriptibles. M. Rivollet, leur fajisait observer l’autre jour à Metz que leur participation aux sacri fices demandés à l’ensemble de la na tion « leur confère une hypothèque sur les destinées du Gouvernement ». Puissent les Anciens Combattants s’en rendre compte et saisir l’occasion qui se présente à eux de sauver le Pays une seconde fois ! A. C henet . APPEL aux Chasseurs des Bataillons à pied. Alpins et Cyclistes Un vieux Chasseur fait appel aux Camarades des Bataillons bleus pour créer à Soissons un groupement de Chasbis ». Nous retrouverons ainsi l’esprit de corps qui mettait le cœur en bonne place, à l’heure H. Nous nous répéterons les vieilles histoires des fiers Bataillons de Sidi-Brahim, ceux de Vincennes et d’Orléans, et celles non moins sublimes des Bataillons de la Grande Guerre. Avec émotion, nous chanterons la « Sidi-Brahim » et la « Protestation ». Au cours de pèlerina ges,^ devant nos Morts, nous nous re cueillerons et les saluerons. Répondez à cet appel. Les 20 et 21 mai (Pentecôte), Con grès à Arras, de la Fédération Natio nale des anciens Chasseurs ; cérémo nie du Monument aux Morts, défilé avec le concours de la fanfare du 16e Bataillon de Chasseurs et Grand ban quet Chasseur. Donnez votre adhésion au nouveau groupement de Sois'sons, votre nom, votre domicile, numéro de votre ba taillon, grade, fonction, emploi, etc. Pour renseignements, écrivez ou rendez visite à André Perrin, ancien Chasseur des 17e et 57e Bataillons de Chasseurs à pied, 12, rue Ploca, Sois sons. Quand M. Legendre organise une conférence d’éducation politique, il la fait lui-même I Quand M. Vassal organise une conférence similaire, il fait appel à d’autres orateurs de son parti I Les dits orateurs pourraient commencer par faire l’éducation politique de M. V assal : il en a bien besoin le pauvre I Le premier Bilan du Gouvernement d Union Nationale (De 1’ « Espoir Français ».) jt L’or fait retour... D’octobre 1933 à février 1934. — Sor ties d’or de la Banque de France | : 4 milliards. De février à fin avril 1934. — Ren trées d’or à la Banque de France t: 500 millions. Les Fonds d’Etat remontent..! 1" février 1934. — Rente 3 1% 65.30 ; Rente 4 y2 % 80,95. 24 avril 1934. ... Rente 3 j% 76,45 ; Renie 4 % % 89,55.' Les impôts rentrent... Moins-values par rapport aux éva luations budgétaires. Janvier-fé vrier 1934 : 11,20 % ; mars 1934\: 4,0 c /ç- ^ Les rentrées fiscales de mars 1934 ont ete supérieures de 200 millions « celles de mars 1933. Pareil fait ne s’é- tait pas produit depuis 28 mois. La confiance revient... En 15 jours, le marché des Bons de la Defense Nationale à Paris est passé d un excédent de remboursement à un excédent de placement : 250 millions. Le commerce extérieur s’améliore... Déficit de la Balance commerciale : Premier trimestre de 1933 : 3.263 mil lions. Premier trimestre de 1934 : 2.142 millions. CONCLUEZ Station ilierniiila du Mout-Oare Dépêche Ministérielle n" 4.878. 2 h 7 du 24 avril 1934. A titre exceptionnel et par déroga- ùon aux dispositions de la notice n° 18 du 17 décembre 1931, annexée au règlement sur le Service de Santé (Vo lume 80) les anciens militaires biliai res d une pension d’invalidité pour af fection pulmonaire résultant d’intoxi- qubd^^eraient ef_ du Mont-Dore, sont autorisés à faire leur demande jusqu’au 1" juin 1934. J’ai l’honneur de vous prier de don ner toutes instructions utiles pour que les demandes qui seront ainsi présen tées soient instruites le plus rapide ment possible. Celles qui auront fait l’objet d’un avis favorable de la Commission de Réforme, seront transmises dans les moindres délais au Directeur du Ser vice de Santé de la 13e Région. Vous voudrez bien donner toute la diffusion possible à la présente circu laire qu’il y aura lieu de communi quer notamment aux associations de mutilés et d’anciens combattants. Société des Agricolteors de l’Oise Réunion du Conseil d’Administra- tion, le samedi 26 mai, à 10 heures 30 (heure légale) très précises, à Noyon, dans une des salles de l’Hôtel de Ville. Assemblée Générale Le même jour, à 14 heures 30 (heure légale) très précises, salle du Théâtre. Ordre du Jour : 1° Approbation du procès-verbal dé' la dernière assemblée générale ; 2° Présentation de nouveaux mem bres. Une très intéressante Conférence sur le Marché du Blé sera faite par M. Pointier, président de l’Association Générale des Producteurs de Blé. AGRICULTEURS ! N’oubliez pas que c’est, ice même jour, l’ouverture du Concours Agricole Intercantonal à Noyon, et profitez-en pour venir en grand nombre à notre Assemblée Générale et au Concours Agricole. Uîie grande Journée Automobile à Compiègne DIMANCHE 27 MAI 1934 L’Automobile-Club de l’He-dé-Fran- ce, que préside M. le marquis de l’Ai gle, député, et le Syndicat d’initiatives de Compiègne organisent une grande ma.nifestation sportive et touristique, qui aura lieu le dimanche 27 mai pro chain. La journée commencera par une é- preuve originale et fort intéressantef le « Rallye-Questionnaire ». Le ren dez-vous aura lieu à Senlis, d’où le dé part sera donné de la place du Chalet (porte de Compiègne), pour Compiè- gne. Après le déjeuner à Compiègne aura lieu, a 14 heures 45, le départ du « Ral lye-Muguet », en forêt de Compiègne. L’épreuve proposée aux concurrents sera simple et amusante, de manière a faire de cette journée un plaisir et non une fatigue. Le concours sera doté de nombreux prix de réelle valeur. La distribution des récompenses se fera à 17 heures 30 à l’Hôtel de Ville. Renseignements et engagements à l’Automobile-Club de l’Ile-de-France, 8, place de la Concorde, Paris (8e), et au Syndicat d’initiatives, à l’Hôtel de Vil le de Compiègne, téléphone 1.00. Ouanil on a peur d’être bouscula... En prévision de l’affluence extraor dinaire que la FOIRE DE PARIS devait afiirer a la Porte de Versailles, diman che matin,! le métropolitain avait or ganisé un service intensif et qui fonc tionna d’une façon admirable. Les voilures n’en étaient pas moins bondeés, tant l’empressement du pu blic était grand. On put assister, entre autres à une discussion assez vive en tre deux dames. L’une mince, l’autre au contraire puissamment étoffée. Cet te dernière, qui n’avait pas sa langue dans sa poche, mit fin à leur petite querelle par un argument péremptoi- rje : — Quand on a peur d’être bous culée, Madame, dit-elle, on ne va pas A LA FOIRE DE PARIS ». On. ne pouvait mieux exprimer.le succès d’une journée où l’on vit la fou te iitléralement embouteillée, dans cer- AittfiS sections, confirmant que la Sta.hde manifestation Commerciale'et Industrielle de la Capitale attire un fombre, chaque année plus grand, d’acheteurs et de visiteurs. 9443 Amicale des Anciens du 5e Dragons ï Une Amicale des Anciens' du 5e Dra gons vient de se constituer en associa tion déclarée, sous la présidence effec tive de M. le général Bucant et la pré sidence d’honneur de M. Fournier Sar- lovèze et de M. le colonel Gelbert. Au cours d’une première réunion à Paris, au Cercle Militaire, M. le géné ral Bucant, assisté de MM. Lesieur et Nadin, vice-présidents, après avoir fait nommer membres d’honneur MM. les généraux de Villemont et Bouche rie, a constitué un Comité directeur qui, en plus des président et vice-pré sidents, est ainsi composé : Trésoriers : MM. Depaux-Dumesnil et Gillet. Secrétaires : MM. Gabreau et Gre- vin. Membres : MM. Henri du Baret, Bonnevey, Bunau-Varilla, de Cham peaux, Pierre Desvignes, Jacques du Meignen, Jean Potin et Henry Viénot. Le Comité envisage à très brève é- chéance l’inauguration à Compiègne, face au quartier Bourcier, d’un monu ment commémorant le souvenir du 5° Dragons, et de tous ceux qui, ayant appartenu à ce beau régiment, sont tombés au champ d’honneur. La date de cette cérémonie et des réunions qui l’accompagneront sera prochainement annoncée. Dès à présent les anciens du 5e Dra gons ou leurs familles sont priés d’en voyer leur adhésion à l’un des mem bres du Comité (cotisation annuelle minima 5 francs). Correspondance : Compiègne, café de la Cloche, place de l’Hôtel-de-Ville. Prière également à ceux qui veulent, à un titre quelcon que participer aux frais du monument, de se mettre en rapport avec M. Na din, à Compiègne, chargé spéciale ment avec M. Stra, architecte à Com piègne, d’en assurer la mise au point. Les catastrophes de la semaine LE PANIER A SALADE... Dans sa séance du jeudi 3 mai der nier, la Commission Stavisky avait fait un faux départ. Un blâme à Lescouvé, une absoute complète à André Hesse, une petite chiquenaude sur le bout de l’oreille de Pressard et le sacrifice de Renoult qui a un peu d’analogie avec celui de Raoul Péret. Huit jours après des preuves acca blantes font modifier la mise en scène et les juges intègres livrent André Hesse au bourreau. Dix juges se sont abstenus, ils sont pourtant là pour don ner leur avis, rien que pour cela, ils n’en ont pas eu le courage — ABSTEN TION. Ah ! cet André Hesse, celui qui pré sidait avec tant d’éclat la commission d’invalidation. Il était fier à ce moment de sacrifier Chauvel et de l’offrir en holocauste à Uhry !... Uhry qui a un faible pour la publicité du journal de Lévy ^aux écoutes. Trop aux écoutes peut-être ? André Hesse, vice-prési dent de la Chambre a perdu sa faconde d avocat. En sortant, il s’est trouvé mal le pauvre et, en tombant dans les bras de Dalimier, l’huissier de service lui fit cette remarque : Pauvre André, fais attention, tu tombes sur Dalimier et il a’est pas plus solide que toi. Bref à Clermont-Ferrand, on a net toyé, désinfecté ; Garat, Renoult, Bon- naure, Hesse, Proust, Dalimier, tous à la chaudière. Que de progrès, mes chers frères de pratiquer l’épuration de votre parti Par le moyen du — PANIER A SALADE — c est une trouvaille ! Tu sais Edouard Herriot, ClerUont- errand, cest le pays du pneu... ne te dégonflé pas. Cest très bien de secouer ton pa nier, mais fais attention, il reste enco re dans le fond quelques grosses lima- ces, toutes prêtes à boulotter, ô grand tribun . ton petit cœur de laitue bien tendre. ( Allons Edouard, — Epurateur... L’es-tu ou Tes-tu pas ? Plumedoie. L ’A ctualité politique D é m a g o g ie Tous les arguments de M. Vassal se résument dans cette phrase : « Je dé fends les petits ; tout autre que moi défend les gros ». 11 imprime cela cha- que^ semaine dans son journal ; il le répète dans chaque réunion. Excellen te formule publicitaire à la manière de : « Un meuble signé : « Lévitan » est garanti pour longtemps » ! Et de braves ouvriers, abuâés par cette propagande et les promesses dé magogiques autant qu’irréalisables dont elle s’accompagne, croient, dur comme fefi, que M. Vassal et son parti ont la défense exclusive de leurs inté- rots. Allons travailleurs. ouvrez les yeux ! Depuis que beaucoup des vôtres sont victimes de la faillite de la Ban que des Coopératives, qu’a donc fait pour eux M. Vassal ? Puisqu’il défend uniquement les petits, pourquoi n’exi ge-t-il pas des gros souscripteurs, qu’ils rapportent les fonds qu’ils ont indûment retirés ? Pourquoi ne parle- t-il pas dans son journal de la forma tion d’un comité de défense des dépo sants ? Ah ! comme notre député vous dé fend bien., en paroles ! Quel cœur gé néreux et débordant d’amour ; quelle âme fraternelle ! Malheureusement il n’a de compassion que pour les victi mes du capitalisme. Les victimes du so cialisme ne l’intéressent pas ! ~»o«- Ça, c' est du culot ! Dans son dernier article de T « Echo Républicain », M. Vassal demande — en trois lignes — le renflouement de la Banque des Coopératives par le Gouvernement « fasciste » de M. Dou mergue. Ces socialistes n’ont aucune pudeur ! Ils ont fait toute la dernière campa- fi-ne électoralo en dénonçant le « scan daleux » renflouement de la B. N. G. et aujourd’hui ils nous supplient de re nouveler ce « scandale » en leur fa veur ! Cela montre le peu de poids et le peu de sérieux de leurs arguments. Le Gouvernement d’Union Nationa le n’a pas à réparer les fautes de ges tion des organisations socialistes qui le combattent. Les contribuables ne dési rent nullement que leur argent serve à alimenter les caisses électorales S. F. I. O. S’agit-il de sauver l’avoir des petits déposants ?, Alors oui, cela sera fait ! Le Gouvernement s’en est occupé. La B. N. C. I. ancienne B. N. C., tant critiquée par les socialistes a consenti un crédit de 7 millions %, à la deman de de M. Germain-Martin, au « Maga sin-de gros » qui risquait de sombrer lui aussi. Le Crédit National vient d’ac corder un crédit de 10 millions. Le mi nistre des Finances a obtenu des ar rangements avec les principaux créan ciers des organisations coopératives. De cette façon, celles-ci seront sauvées de la faillite. Société Nationale d’Horticulture de France Socialiste et Administrateur Vendredi 25 mai, à onze heures, M. le Président de la République inaugu rera l’Exposition générale horticole de Printemps, organisée au Cours la Rei ne, par la Société Nationale d’Horticul ture de France : Orchidées, Fleurs de serres et de^ pleine terre, Rosiers, Ar bustes fleuris, arbres fruitiers, Fruits forcés, Légumes, Industries et Beaux- Arts horticoles, architecture des Jar dins, etc... Cette fête florale ouvrira les autres jours, de 9 heures à 18 heures 30 et clôturera le dimanche 3 juin, au soir. Conférences-promenades les : di manche 27 mai, jeudi 31 mai et diman che 3 juin 1934, à 10 heures du ma tin. Déclaration des stocks de blé Un certain nombre de dirigeants de coopératives et d’agriculteurs adhé rents à ces groupements nous ont de mandé comment ils devaient compren dre la déclaration des stocks de blés engagés aux coopératives, mais non livrés aux magasins de la Société. Les instructions figurent en tête du registre communal de déclarations sont très nettes à ce sujet. Elles préci sent que les déclarations doivent être faites par celui qui détient effective ment le blé au jour de la déclaration, meme si ce blé a déjà fait l’objet d’une vente ou d’un contrat de stockage. Dans le même ordre d’idées les meu niers, négociants, coopératives ou groupements pratiquant le stockage ne déclareront que les blés logés dans leurs magasins à l’exclusion de ceux logés chez leurs clients ou adhérents qui les déclareront comme il est préci sé ci-dessus. Les blés en cours de transport (canaux, voies ferrées, voies fluviales, routes) seront déclarés par l’acheteur si la marchandise voyage aux risques et périls du destinataire et par le vendeur dans le cas contraire. (Communiqué par la Direction des Services Agricoles de l’Oise). A entendre nos adversaires, les Con seils d’administration des Sociétés ca pitalistes, sont peuplés de requins sans scrupule, de gens qui vivent de l’exploitation de la misère des ou vriers, d’oisifs et de parisites. Que vont penser les « purs » de la sociale, de ce camarade Gaston Lévy, ancien délégué à la propagande du parti, devenu ad ministrateur de la B. C. F. La clientèle de cette banque devait être^ exclusivement composée des so ciétés coopératives et de leurs organis mes d’achat. Mais M. Gaston Lévy — contrairement aux statuts a néanmoins consenti des avances importantes à des sociétés absolument étrang-ôros au mouvement coopératif. Et par exemple: 25 millions aux constructeurs d’aéro planes Couzinet. Or, coïncidence fâ cheuse, M. Gaston Lévy faisait égale ment partie du Conseil d’administra tion de cette affaire... Ce socialiste ne devait pas s’embêter ! Bien entendu M. Léon Blum a voulu couvrir dans le « Populaire » du 26 avril, la gestion de son ancien camara de. Il écrivait : « Jusqu’à ce que la preuve absolue de mon erreur me soit administrée, il m’est impossible de croire de sa part, non seulement un ac te quelconque d’indélicatesse person nelle, mais à la méconnaissance de ses devoirs ». Pauvre M. Blum ses brevets de vertu ne valent pas mieux que ses prophéties ! Ainsi les chefs du socialisme, malgré leurs faux airs d’incorruptibilité, mal gré leurs appels à la justice, malgré leurs vélléités de construire une socié té plus juste et plus fraternelle, sont, comme tous les hommes, sujets aux mêmes défaillances. Quand ils en ont la possibilité, eux aussi s’agenouillent devant le « veau-d’or » ! -»o«- Du rose au rouge S’il fallait donner un emblème à la politique de M. Vassal, ce serait une girouette, avec pour devise : « Je tour ne à tous vents ». Il s’est fait une réputation de brave homme, pas révolutionnaire pour deux sous. Cela lui a valu, dans le passé, les suffrages d’un grand nombre de petits possédants, de commerçants, de ren tiers, qui voyaient en lui un bour geois. Certes, ce jugement correspond assez bien au sentiment intime de M. le Député quqn’a pas un tempérament de lutteur ! Nous l’avons même vu, au moment du schisme des « Néos », ap prouver d’enthousiasme des doctrines de Marquet, Déat, Montagnon et C‘e. Le rouge de son drapeau devenait rose pâle. Mais les « purs » veillaient ! Et M. Vassal resta sous l’obédience de M. Blum : Le rose pâle se fit plus vif ! Aujourd’hui notre Député fait cause commune avec les révolutionnaires communistes qui veulent implanter chez nous le régime des moujicks. Il marche la main dans la main avec ceux qui prennent leurs mots d’ordre à Moscou ; avec les bourreaux de la Russie, les destructeurs de la propriété privée et du petit commerce. Il s’allie avec les pires adversaires de la famille et de la Patrie ! Son drapeau est devenu rouge écar late. Que pensent de cette attitude chan geante ,les braves gens paisibles de nos régions qui lui ont fait confiance ? LEGENDRE. Chemin de Fer du Nord La Compagnie du chemin de fer du Nord organise à l’occasion des fêtes de la Pentecôte, en collaboration avec les principales agences de voyages, des excursions à Londres à prix forfaitai res très réduits au départ de Paris- Nord, Lille, Douai, Amiens, Cambrai, Valenciennes, Béthune, Laon. Consulter les affiches ou se rensei gner à la gare de Paris-Nord et dans les principales gares du Réseau. * * La Compagnie du Chemin de Fer du Nord informe le Public qu’à l’occasion des Fêtes de la Pentecôte, pendant la période du lundi 7 au lundi 21 mai in clus, des billets de toutes classes pour ront être délivrés à l’avance, la veille ou l’avant-veille du départ, aux gui chets de la gare de Paris-Nord. Bien indiquer aux guichets, lors de la demande des billets, la date exacte du départ. Inspection académique de TOise Examen des Bourses d’E. P. S. (3* et 4‘ Séries) du 26 Avril 1934 Sond admis définitivement : En troisième série : MM. Barbil lon, Besson, Braillon, Cugnet, Coche- teau, Decuignière, Moland, Morelle Rouait, Villain, Werquin, Mlles Boulle Carpenher, Cavalier, Hervelle, Lecoin- te, Lesieur, Moule, Pain, Portemer Verwmée, Vuagnat, W iart, Zerwetz. ’ En quatrième série : MM. Guérin Villette.

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Le Congrès de Clermont e t su r tou t celui de Metz/ y Le P ré s id e n t D oum ergue a

d éc id ém en t p r is l ’h a b itu d e de s ’a d re sse r d ire c te m e n t au pu- b lic. Il lu i a p a r lé lu n d i d e rn ie r

et il continuerez, a -t-il d it, à le ten ir au couran t. C’est là u n e h e u re u se in ­n ov atio n . N ous ne v ou lons p as h u m i­lier le P a r le m e n t, m a is il im p o rte de le ra p p e le r au se n tim e n t de sa fo n c­tio n qu i e s t de re p ré se n te r le P ay s e t n o n p as de se rv ir d ’é c ra n e n tre la N ation et le G ouvernem en t. O r n o u s avons p o u r le m o m en t u n P a rle m e n t q u i ne re p ré se n te p a s trè s ex ac tem en t le P ay s. C’es t le m o in s q u ’on p u isse d ire . Il n ’es t donc p as trè s é to n n a n t e t il e st de bon a u g u re de v o ir la con- v e r s a t i o n s ’e n g a g e r d i r e c t e m e n t e n t r e 1 o p i n i o n e t l e C h e f d u O o u v c r n e m e n t , , ot) 'U.-UM- ù s o u h a i t e r q u e c e t t e m é­tho d e s afferm isse et p ro d u ise des I ru its sa lu ta ire s .

M a lh eu reu sem en t l ’o p in ion n ’a pas beau co u p de m oyens de se fa ire e n te n ­d re . A v ra i d ire elle n ’en a q u ’u n d o n t elle p a ra î t de p lu s en p lu s décidée à se se rv ir, ce so n t les m ee tin g s e t les C ongrès.

Il y a eu d eux C ongrès ce tte sem a i­ne. Celui des ra d ic a u x à C lerm o n t et celu i des A nciens C o m b attan ts à Metz. D u C ongrès de C lerm ont, n o u s n ’avons r ien à d ire . L ’E re N ouvelle en est en ­ch an tée , elle p ré te n d que le p a r t i r a ­d ical a donné u n g ran d exem ple.. M ais n o u s p en so n s avec E m ile B uré q u ’ « on ne do it a u c u n re m erc iem en t à ceux qu i accep ten t ce q u ’il le u r é ta it im p ossib le de re fu se r ». Les ra d ic a u x o n t décidé de re s te r fidèle à M onsieur E d o u a rd H e rrio t qu i lu i-m êm e a dé­c la ré q u ’il re s te ra i t fidèle à M. D ou­m ergue. M ais p o uva it-il en ê tre a u tre ­m en t. O n est q u e lq u efo is accu lé à la m o d é ra tio n , au b o n sens, à la m o ra ­lité .

D u re s te on p e u t re lev e r q u e lq u es sy m p tô m es de m au v a ise h u m e u r e t de rép u g n an ce . Ne sera it-ce que l ’a t t i tu ­de d e c e b r a v e C u d e n e t q u i t r o u v e q u e le p a r ti ra d ic a l c a p itu le e t s ’en va fo n d e r u n n o u v eau p a r ti . N on m oins sign ificative encore l ’a tt i tu d e de la sec­tio n ly o n n a ise de la L igue des D ro its de l’H om m e, ce tte filiale de la F ra n c - M açonnerie , qu i p ro n o n ce l’exclusion de M. H errio t, b lâm é de fa ire p a r tie d ’u n G ouvernem en t q u ’elle b lâm e.

Ces gens-là so n t in co rrig ib les . M ais que re p ré se n te n t a u jo u rd ’h u i d a n s le P ay s ra d ic a u x e t f ran cs-m aço n s sinon u n e m alad ie d o n t il tra v a ille à se gué­r i r ? Un po iso n q u ’il ch erch e à v o m ir ?

B eaucoup p lu s « N a tio n a l », d an s to u s les sens du m ot, ce XVe C ongrès de l ’U. N. C. qu i v ien t de se te n ir à Metz. A C lerm ont, il ne s ’a g issa it que d ’u n pa rti, c ’est-à -d ire de q u e lq u e chose de m o rt. A M etz, il s ’ag issa it d ’un m o u vem en t.

L ’U. N. C. n ’av a it été ju s q u ’à p ré ­sen t q u ’u n e asso c ia tion , or voici q u ’elle a to u t l ’a ir de v o u lo ir deven ir u n m ouvem en t. C’est là u n e p e rsp e c ­tive des p lu s ré c o n fo rta n te s .

« Le C ongrès de l’U. N. C., éc rit le c o rre sp o n d a n t de l ’E ch o de P aris, m a rq u e la vo lon té fo rm elle des a n ­ciens c o m b a tta n ts de jo u e r u n rô le

Chez les Carrossiers Charrofis et Maréchaux

L’assem blée gén éra le an n u e lle de la C ham bre S ynd icale de l’Oise des c a r ­ro ssie rs , ch a rro n s et m aréch au x a eu lieu l ’a u tre d im anche à Com piègne.

Ce fu t to u t d ’abord, le m atin , sous la p résidence de M. P eillon , in sp ec teu r de l’E nse ignem en t techn ique , p ré s i­den t de la C onfédération na tio n a le des a r tis a n s c h a rro n s , m aréch au x et forge­rons, l ’assem blée gén éra le à la salle des co rpo ra tions. Y a ss is ta ie n t égale­m en t M. Georges H ouet, p ré s id e n t de l’Oise, e t des re p ré se n ta n ts des féd é ra ­tions de la Seine, de la Som m e, du P a s- de-C alais e t de l’A isne.

A près u n e d iscussion des in té rê ts co rpora tifs , qui occupa la m atinée , to u t le m onde se re tro u v a à l ’hôtel de F la n ­dre, en u n g ra n d b a n q u e t de deux cen ts q u a tre -v in g ts couverts, sous la p résid en ce de M. R ousselot, so u s-p ré ­fet de C om piègne, a ss is té du m arq u is de l’A igle, député.

Des d iscou rs fu re n t p rononcés p a r MM. G eorges Houet, P rio u x , p ré s id e n t du S y n d ica t de l’A isne ; H otte, p ré s i­d en t du S y n d ica t de la Som m e, ad jo in t au m aire d ’A m iens, co nse ille r g é n é ra l; Peillon , p ré s id en t confédéral ; R iche, ad jo in t au m aire de Com piègne, le re ­p ré se n ta n t ; m arq u is de l’A igle, d épu ­té, e t enfin , M. R ousselot, qui, en te r ­m in an t, rem it la Croix du M érite a g r i­cole à M. B ourgogne, m aréch a l à Sen- lis.

ac tif d an s la d irec tio n des affaires p u b liq u es ».

Les cam arad es A nciens C om bat­ta n ts se se n te n t v ie illir -— e t p eu t- ê tre on t-ils de b o n n es ra iso n s de se se n tir v ieux , eux qu i on t ta n t souffert. L eu rs ran g s com m encen t à s ’éc la ir­c ir ». Afin d ’a s su re r la c o n tin u ité de le u r ac tio n , les A nciens C o m b attan ts ch e rc h e n t à g ro u p e r les je u n e s sous le u rs d rap eau x , ce ssan t a in s i d ’être u n m o u v em en t p a r tic u lie r p o u r deve­n ir u n gestè n a tio n a l t i r a n t ses so u r­ces des leçons de la g u erre . Ce 15' C ongrès de l ’U. N. C. a s s u ra n t au x A nciens C o m b a ttan ts la p é re n n ité de le u r œ uvre, a u ra u n e im p o rta n c e s in ­g u liè re d an s l ’h is to ire de l’ap rès- g u e r r e .

_ <• e s t l a s t a b i l i s a t i o n d e l ’e s p r i t a n -cien co m b a tta n t désigné p o u r deven ir 1 idee m a ître sse de n o tre p o litiq u e à 1 in té r ie u r au ssi b ien q u ’à fe x té - n e u r ».

De la it, d ’ap rè s les com ptes re n d u s des tra v a u x de ce XVe C ongrès, les A n­ciens C o m b attan ts ne se so n t pas seu ­lem en t occupes de le u rs affa ires p e r ­sonnelles, si l’on p e u t d ire , p en sio n s re tra ite s , etc. Ils se so n t au ss i m ontrés’ p réo ccu p és des affa ires p u b liq u es et d an s u n excellen t e sp r it ré fo rm is te . M. J e a n Goy a p ré se n té u n ra p p o r t su r 1 n n p o r ta n te q u es tio n de la R éforq ie de 1 E ta t.

« Le C ongrès n a tio n a l d em ande, co n c lu t ce ra p p o rt, p o u r le P ré s id e n t de la R epub lique, le d ro it de d isso u d re la C ham bre sans l ’avis co n fo rm e du S énat ; la ré d u c tio n sensib le du n o m ­b re des m in is tre s ; le choix p lu s fré ­q u e n t des m in is tre s h o rs du P a r le ­m en t ; l ’é tab lissem en t d ’u n s ta tu t au x fo n c tio n n a ire s et la tra n s fo rm a tio n des sy n d ica ts en am ica les ; le re tr a i t au p o u v o ir lég is la tif de to u te in it ia ­tive en m a tiè re de dépenses, la sép a ­ra tio n des p o u vo irs », etc... A van t la sé p a ra tio n des d iffé ren tes co m m is­sions, dès l ’o u v e rtu re du C ongrès, l ’U. N. C. av a it envoyé u n m essage de confiance au P ré s id e n t D oum ergue.

• •L ’a tti tu d e du C ongrès de M etz n ’est

g as, si l ’on p e u t d ire , excep tionnelle , 'es « tém oignages » de ce g en re , ve­n u s des A nciens C o m b a ttan ts , a fflu en t

de to u s les p o in ts du te r r i to ire vers le Chef d u G ouvernem en t. P a r tic u liè re ­m en t én e rg iq u e e t ém o u v an t cet o rd re d u jo u r p ro v e n a n t des 6.000 délégués de F o u g ères qu i fo n t confiance à M. D oum ergue « p o u r p o u rsu iv re la ré o r­g an isa tio n de l’E ta t p a r la ré fo rm e é lecto rale, la d isso lu tio n et la ré fo rm e de^ la C o n stitu tio n , qu i a s su re ra en m êm e tem p s que *îa re s ta u ra t io n de l’a u to r ité de l’E ta t, la re p ré se n ta tio n de la fam ille e t de la p ro fe ss io n ».■

V oilà donc de quoi n o u s réc o n fo r­te r.

L es A nciens C o m b a ttan ts o n t des d ro its im p re sc rip tib le s . M. R ivollet, le u r fajisait observer l ’a u tre jo u r à M etz que le u r p a r tic ip a tio n a u x sac ri­fices d em an d és à l’ensem ble de la n a ­tio n « le u r confère u n e h y p o th è q u e su r les destin ées d u G ouvernem en t ».

P u is se n t les A nciens C o m b a ttan ts s ’en re n d re com pte e t sa is ir l ’occasion qu i se p ré se n te à eux de sau v er le P ay s u n e seconde fo is !

A. C h e n e t .

A P P E Laux C hasseurs des B ataillons à pied.

Alpins et Cyclistes

Un vieux C h asseu r fa it ap p e l aux C am arades des B ata illons b leus p ou r c rée r à Soissons u n g ro u p em en t de

C hasbis ». Nous re tro u v e ro n s a in si l’e sp rit de corps qui m e tta it le cœ u r en bonne place, à l’h eu re H. N ous nous rép é te ro n s les v ieilles h is to ire s des fiers B ata illons de S id i-B rah im , ceux de V incennes et d ’O rléans, e t celles non m oins sub lim es des B ata illons de la G rande G uerre. Avec ém otion, nous ch an te ro n s la « S id i-B rah im » e t la « P ro te s ta tio n ». Au cours de p è le r in a ­ges,^ dev an t nos M orts, nous nous re ­cueille rons e t les sa lu ero n s.

R épondez à cet appel.

Les 20 et 21 m ai (P en tecô te), Con­g rès à A rras , de la F éd éra tio n N atio­nale des an c ien s C hasseurs ; cérém o­nie du M onum ent au x M orts, défilé avec le concours de la fan fa re du 16e B ata illon de C hasseurs e t G rand b a n ­quet C hasseur.

D onnez votre adhésion au nouveau g ro u p em en t de Sois'sons, vo tre nom, votre dom icile, num éro de vo tre b a ­ta illon , g rade , fonction, em ploi, etc.

P o u r ren se ig n em en ts , écrivez ou rendez v isite à A ndré P e rr in , anc ien C hasseu r des 17e e t 57e B ata illons de C hasseurs à pied, 12, ru e Ploca, Sois­sons.

Q uand M. Legendre organise u n e conférence d ’éduca tio n p o litiq u e , i l la fa i t lu i-m êm e I

Q uand M. Vassal organise u n e conférence s im ila ire , i l fa i t appel à d ’autres o ra teu rs de son p a r t i I

Les d its ora teurs p o u rra ie n t com m encer p a r fa ir e l ’éduca tio n p o litiq u e de M. V assal : i l en a b ien besoin le p a u vre I

Le premier Bilan du Gouvernement d U n i o n Nationale

(De 1’ « E spo ir F ran ça is ».) jt L’or fait retour...

D’octobre 1933 à fév rier 1934. — Sor­ties d’o r de la B anque de F rance | : 4 m illia rds.

De fév rie r à fin avril 1934. — R en­trées d’o r à la B anque de F rance t: 500 m illions.

Les Fonds d’Etat remontent..!1" fév rier 1934. — Rente 3 1% 65.30 ;

R ente 4 y2 % 80,95.24 avril 1934. ... R ente 3 j% 76,45 ;

R enie 4 % % 89,55.'Les im pôts rentrent...

M oins-values p a r ra p p o rt aux éva­lu a tio n s bu d g é ta ires . — Janvier-fé­v r ie r 1934 : 11,20 % ; m ars 1934\:4,0 c/ç- ^

Les ren trées fiscales de m ars 1934 ont ete su p é rieu re s de 200 m illions « celles de m ars 1933. P a re il fa it ne s’é- ta it pas p ro d u it depuis 28 mois.

La confiance revient...En 15 jo u rs , le m arch é des Bons de

la Defense N ationale à P a r is es t passé d un excéden t de rem b o u rsem en t à un excéden t de p lacem en t : 250 millions.

Le commerce extérieur s’améliore...Déficit de la B alance com m erciale :P rem ie r trim estre de 1933 : 3.263 m il­

lions.P rem ie r trim estre de 1934 : 2.142

m illions.CONCLUEZ

S tation ilierniiila du Mout-OareD épêche M inistérie lle n" 4.878. 2 h 7

du 24 av ril 1934.A titre excep tionnel et p a r déroga-

ùon au x d ispositions de la notice n° 18 du 17 décem bre 1931, annexée au règ lem en t s u r le Service de S an té (Vo­lum e 80) les an c ien s m ilita ire s b i l i a i ­res d une pen sio n d ’in v a lid ité p o u r af­fection p u lm onaire ré su lta n t d ’in tox i-

q u b d ^ ^ e r a ie n t ef_ du M ont-D ore, so n t au to risés à fa ire le u r dem ande ju sq u ’au 1" ju in 1934.

J ’ai l ’h o n n e u r de vous p r ie r de don­n e r toutes in s tru c tio n s u tiles p o u r que les dem andes qui se ro n t a in s i p ré se n ­tées so ien t in s tru ite s le p lus rap id e ­m en t possible.

Celles qu i a u ro n t fa it l ’objet d ’un avis favorab le de la C om m ission de Réform e, se ro n t tran sm ises dans les m oindres délais au D irec teu r du S e r­vice de S an té de la 13e Région.

Vous voudrez b ien d o n n er toute la diffusion possib le à la p résen te c ircu ­la ire q u ’il y a u ra lieu de com m uni­q u er no tam m en t au x associa tions de m utilés et d ’an c ien s com battan ts.

S ociété des A gricolteors de l’OiseR éunion du Conseil d ’A dm in istra -

tion, le sam edi 26 m ai, à 10 h eu res 30 (heure légale) trè s préc ises, à Noyon, dan s une des salles de l’Hôtel de Ville.

A ssem blée GénéraleLe m êm e jo u r, à 14 h eu res 30 (heure

légale) trè s p réc ises, sa lle du T héâtre. O rdre du J o u r :

1° A pproba tion du p rocès-v erb al dé'la d ern iè re assem blée gén éra le ;

2° P ré sen ta tio n de nouveaux m em ­bres.

Une trè s in té re ssa n te Conférence sur le Marché du Blé se ra faite p a r M. P o in tie r, p ré s id en t de l’A ssociation G énérale des P ro d u c teu rs de Blé.

AGRICULTEURS !N ’oubliez pas que c’est, ice m êm e

jou r, l ’ou v ertu re du Concours Agricole Intercantonal à Noyon, et profitez-en p o u r v en ir en g ra n d nom bre à no tre A ssem blée G énérale e t au C oncours Agricole.

Uîie grande Journée Automobile à Compiègne

DIMANCHE 27 MAI 1934

L’A utom obile-C lub de l ’H e-dé-F ran- ce, que p réside M. le m arq u is de l ’Ai­gle, député, et le S y n d ica t d ’in itia tiv es de C om piègne o rg a n ise n t une g rande m a.nifestation sportive e t tou ristique , qui a u ra lieu le d im anche 27 m ai p ro ­chain .

La jo u rn ée com m encera p a r une é- p reuve o rig in a le e t fo rt in té re ssan te f le « R allye-Q uestionnaire ». Le re n ­dez-vous a u ra lieu à S enlis, d ’où le dé­p a r t se ra donné de la p lace du Chalet (po rte de C om piègne), p o u r Compiè- gne.

A près le d é jeu n e r à Com piègne au ra lieu, a 14 h eu res 45, le d ép a rt du « R al­lye-M uguet », en fo rê t de Compiègne. L’épreuve proposée au x con cu rren ts se ra sim ple et am u san te , de m anière a fa ire de cette jo u rn ée u n p la is ir et non une fatigue.

Le concours se ra doté de nom breux p rix de réelle va leu r.

La d is trib u tio n des récom penses se fe ra à 17 heu res 30 à l ’Hôtel de Ville.

R enseignem ents et engagem en ts à l ’A utom obile-C lub de l ’Ile -d e-F ran ce , 8, place de la Concorde, P a r is (8e), et au S y nd ica t d ’in itia tiv es , à l ’Hôtel de Vil­le de Com piègne, té léphone 1.00.

Ouanil on a peur d’ê tre bouscula...En prévision de l’affluence e x tra o r­

dinaire que la FOIRE DE PARIS devait a fiirer a la P orte de V ersailles, d im an ­che m atin,! le m é tropo lita in av a it o r­ganisé un service in ten sif et qui fonc­tionna d ’une façon adm irab le .

Les voilures n ’en é ta ien t pas m oins bondeés, tan t l ’em p ressem en t du p u ­blic é ta it grand. On p u t a ss is te r , en tre autres à une d iscussion assez vive en ­tre deux dames. L’une m ince, l ’au tre au con tra ire pu issam m en t étoffée. Cet­te dern ière, qui n ’av a it pas sa lan g u e dans sa poche, m it fin à le u r petite querelle p a r un a rg u m en t pérem pto i- rje :

— Quand on a p e u r d’ê tre bous­culée, Madame, d it-e lle , on ne va pas A LA FOIRE DE PARIS ».

On. ne po u v ait m ieux e x p r im e r .le succès d ’une jo u rn ée o ù l’on v it la fou­te iitlé ra lem en t embouteillée, d an s cer- AittfiS sections, co n firm an t que la Sta.hde m an ifesta tio n C o m m erc ia le 'e t Industrielle de la C apitale a ttire un fom bre, chaque an n ée p lus g ran d , d’ach e teu rs e t de v is iteu rs . 9443

Amicale des Anciens du 5 e Dragonsï Une A m icale des A nciens' du 5e D ra­gons v ien t de se co n stitu e r en assoc ia ­tion déclarée, sous la p résid en ce effec­tive de M. le g én éra l B u can t et la p ré ­sidence d ’h o n n e u r de M. F o u rn ie r S a r- lovèze e t de M. le colonel Gelbert.

Au cours d ’une p rem ière réu n io n à Paris, au Cercle M ilita ire , M. le g én é­ral B ucan t, a ss is té de MM. L esieu r et Nadin, v ice -p résid en ts , ap rè s avo ir fait nom m er m em bres d ’h o n n e u r MM. les g én érau x de V illem ont e t B ouche­rie, a co nstitué u n Comité d irec teu r qui, en p lus des p ré s id e n t e t v ice -p ré ­sidents, es t a in s i com posé :

T réso rie rs : MM. D epaux-D um esnil et Gillet.

S ec ré ta ires : MM. G abreau et Gre- vin.

M em bres : MM. H enri du B aret, B onnevey, B un au -V arilla , de C ham ­peaux , P ie rre D esvignes, Jacq u es du

M eignen, Je a n P o tin e t H enry V iénot.Le Comité env isage à trè s brève é-

chéance l ’in a u g u ra tio n à Com piègne, face au q u a r tie r B ourcier, d ’un m o n u ­m en t com m ém oran t le so u v en ir du 5° D ragons, e t de tous ceux qui, a y a n t a p p a rte n u à ce b eau rég im en t, so n t tom bés au cham p d ’h onneur.

La date de cette cérém onie et des réu n io n s qui l’acco m p ag n ero n t se ra p ro ch a in em en t annoncée.

Dès à p ré se n t les an c ien s du 5e D ra­gons ou leu rs fam illes son t p rié s d’en ­voyer le u r adhésion à l’un des m em ­bres du Comité (co tisa tion an n u e lle m in im a 5 fra n c s) . C orrespondance : C om piègne, café de la Cloche, p lace de l’H ôtel-de-V ille. P riè re ég a lem en t à ceux qui veu len t, à u n titre quelcon­que p a r tic ip e r au x fra is du m onum ent, de se m e ttre en ra p p o r t avec M. N a­d in , à C om piègne, ch a rg é sp éc ia le ­m en t avec M. S tra , a rch itec te à Com­p iègne, d ’en a s su re r la m ise au point.

Les catastrophes de la semaine

LE PANIER A SALADE...

D ans sa séance du jeud i 3 m ai d e r­n ier, la C om m ission S tav isk y a v a it fait u n faux d ép art. Un blâm e à Lescouvé, une absou te com plète à A ndré Hesse, une petite ch iq u en au d e s u r le b o u t de l’oreille de P re ssa rd et le sacrifice de R enoult qui a u n peu d ’analog ie avec celui de R aoul P ére t.

H uit jo u rs ap rè s des p reuves acca ­b lan tes fon t m odifier la m ise en scène et les juges in tèg res liv re n t A ndré H esse au b o u rreau . Dix jug es se son t ab sten u s, ils son t p o u rta n t là p o u r don ­n e r le u r avis, r ien que p o u r cela, ils n ’en ont pas eu le courage — ABSTEN­TION.

Ah ! cet A ndré Hesse, celui qui p ré ­s id a it avec ta n t d ’éc la t la com m ission d ’invalida tion . Il é ta it fier à ce m om ent de sacrifie r C hauvel e t de l ’offrir en h o lo cau ste à U hry !... U h ry qu i a u n faib le p o u r la p u b lic ité du jo u rn a l de Lévy ^aux écoutes. T rop au x écoutes p eu t-ê tre ? A ndré Hesse, v ice -p rés i­d en t de la C ham bre a p e rd u sa faconde d avocat. En so rta n t, il s ’e s t trouvé m al le p au v re et, en to m b an t dan s les b ra s de D alim ier, l ’h u iss ie r de service lu i fit cette rem arq u e : P au v re A ndré, fais a tten tion , tu tom bes su r D alim ier et il a ’est p as p lus solide que toi.

B ref à C lerm o n t-F erran d , on a n e t­toyé, désinfecté ; G arat, R enoult, Bon- n au re , Hesse, P ro u st, D alim ier, tous à la chaudière .

Que de p rog rès, m es ch ers frères de p ra tiq u e r l’ép u ra tio n de vo tre p a r ti Par le m oyen du — PANIER A SALADE — c est u n e trouva ille !

Tu sa is E douard H errio t, C lerU ont- e rran d , c e s t le pay s du pneu... ne te

dégonflé pas.C est trè s b ien de secouer ton p a ­

n ier, m ais fa is a tten tio n , il res te enco­re d an s le fond quelques g rosses lim a- ces, tou tes p rê tes à bou lo tter, ô g ran d tr ib u n . ton p e tit cœ ur de la itu e bien tendre .

( A llons E douard , — E p u ra teu r...L’es-tu ou Tes-tu p as ?

Plumedoie.

L ’A c t u a l i t é p o l i t i q u eD é m a g o g i e

Tous les a rg u m en ts de M. V assal se ré su m en t dan s cette p h ra se : « Je dé­fends les pe tits ; to u t a u tre que moi défend les gros ». 11 im prim e cela cha- que^ sem aine dan s son jo u rn a l ; il le répète dans chaque réu n io n . E xcellen­te form ule p u b lic ita ire à la m an ière de : « Un m euble signé : « L év itan » est g a ra n ti p o u r long tem ps » !

E t de b raves o uv rie rs , abuâés p a r cette p ro p ag an d e e t les p rom esses dé­m agogiques a u ta n t q u ’irréa lisab les don t elle s ’accom pagne, cro ien t, d u r comme fefi, que M. V assal e t son p a r ti on t la défense exclusive de leu rs in té -rots.

A llons trav a illeu rs . ouvrez lesyeux ! D epuis que beaucoup des vô tres so n t victim es de la fa illite de la B an ­que des C oopératives, q u ’a donc fa it p ou r eux M. V assal ? P u isq u ’il défendu n iq u em en t les p e tits , p o u rquo i n ’ex i­g e-t-il p as des gros so u sc rip teu rs , q u ’ils ra p p o r te n t les fonds qu’ils ont in d û m en t re tiré s ? P ou rq u o i ne p a rle - t-il p as dan s son jo u rn a l de la fo rm a­tion d ’un com ité de défense des dépo­san ts ?

Ah ! com m e no tre dépu té vous dé­fend bien., en paro les ! Quel cœ u r gé­n é reu x et d éb o rd an t d ’am o u r ; quelle âm e fra te rn e lle ! M alheu reusem en t il n ’a de com passion que p o u r les v ic ti­m es du cap ita lism e. Les victim es du so­cialism e ne l’in té re sse n t p as !

~»o«-

Ça, c' est du culot !

D ans son d e rn ie r a rtic le de T « Echo R épub lica in », M. V assal dem ande — en tro is lig n es — le ren flouem en t de la B anque des C oopératives p a r le G ouvernem ent « fasc iste » de M. Dou­m ergue. Ces socia listes n ’on t aucune p u d e u r !

Ils on t fa it tou te la d e rn iè re cam pa- fi-ne électoralo en d én o n çan t le « sc a n ­daleu x » ren flouem en t de la B. N. G. e t a u jo u rd ’hu i ils nous su p p lien t de re ­nouveler ce « scanda le » en le u r fa ­v eu r ! Cela m on tre le peu de poids e t le peu de sé rieu x de leu rs a rg u m en ts .

Le G ouvernem ent d ’U nion N atio n a­le n ’a p as à ré p a re r les fau tes de ges­tion des o rg an isa tio n s socia listes qui le com batten t. Les co n trib u ab les ne dési­re n t n u llem en t que le u r a rg e n t serve à a lim en te r les caisses é lec to ra les S. F. I. O.

S ’ag it-il de sa u v e r l ’avo ir des petits dépo san ts ?, A lors oui, cela se ra fa it ! Le G ouvernem ent s ’en est occupé.

La B. N. C. I. an c ien n e B. N. C., ta n t c ritiquée p a r les socia listes a consen ti u n c réd it de 7 m illions % , à la dem an ­de de M. G erm ain-M artin , au « M aga­sin -d e gros » qui r isq u a it de so m b rer lui aussi. Le Crédit N ational v ien t d ’ac­co rder u n c réd it de 10 m illions. Le m i­n is tre des F in an ces a ob tenu des a r ­ran g em en ts avec les p r in c ip a u x c ré a n ­ciers des o rg an isa tio n s coopératives. De cette façon, celles-ci se ro n t sauvées de la faillite.

S o ciété N ationale d’Horticulture de France

Socialiste et Administrateur

V endredi 25 m ai, à onze heu res , M. le P ré s id e n t de la R épub lique in a u g u ­re ra l ’E xposition gén éra le hortico le de P rin tem p s, o rgan isée au Cours la R ei­ne, p a r la Société N ationale d ’H orticu l­tu re de F ran ce : O rchidées, F leu rs de se rre s e t de^ p le ine te rre , R osiers, A r­b u stes fleuris, a rb re s fru itie rs , F ru its forcés, L égum es, In d u str ie s e t B eaux- A rts hortico les, a rc h ite c tu re des J a r ­d ins, etc...

Cette fête florale o u v rira les au tre s jo u rs , de 9 h eu res à 18 h eu res 30 et c lô tu re ra le d im anche 3 ju in , au soir.

C onférences-p rom enades les : d i­m anche 27 m ai, jeud i 31 m ai e t d im an ­che 3 ju in 1934, à 10 heu res du m a­tin .

D éclaration des s to ck s de bléUn ce rta in nom bre de d ir ig ean ts de

coopératives et d ’a g ric u lte u rs ad h é­re n ts à ces g ro u p em en ts nous o n t de­m andé com m ent ils d ev a ien t com pren ­dre la d éc la ra tio n des stocks de blés engagés au x coopératives, m ais non liv rés au x m ag asin s de la Société.

Les in s tru c tio n s fig u ren t en tê te dureg is tre com m unal de déc la ra tio n s son t trè s ne ttes à ce su jet. Elles p ré c i­sen t que les déc la ra tio n s do ivent ê tre fa ites p a r celu i qu i d é tien t effective­m en t le b lé au jo u r de la d éc la ra tion , m em e si ce blé a dé jà fa it l ’ob je t d ’une vente ou d ’u n c o n tra t de stockage.

D ans le m êm e o rd re d ’idées les m eu­n ie rs , n égocian ts, coopératives ou g ro u p em en ts p ra t iq u a n t le s tockage ne d éc la re ro n t que les b lés logés dan s leu rs m ag asin s à l ’exclusion de ceux logés chez leu rs c lien ts ou ad h éren ts qui les d éc la re ro n t comme il es t p réc i­sé c i-dessus. Les b lés en cours de tra n sp o r t (canaux , voies fe rrées, voies fluviales, rou tes) se ro n t déc la rés p a r l’ach e teu r si la m arch an d ise voyage au x risq u es et p é rils du d e s tin a ta ire et p a r le v en d eu r dan s le cas co n tra ire .

(C om m uniqué p a r la D irection des Services A gricoles de l’Oise).

A en ten d re nos ad v ersa ires , les Con­seils d ’a d m in is tra tio n des Sociétés ca­p ita lis tes , son t peup lés de req u in s san s sc ru p u le , de gens qui v ivent de l ’exp lo ita tion de la m isère des ou­v rie rs , d ’oisifs et de p a ris ite s . Que v on t p e n se r les « p u rs » de la sociale, de ce cam arade G aston Lévy, anc ien délégué à la p ro p ag an d e du p a rti, devenu ad ­m in is tra te u r de la B. C. F.

L a clien tèle de cette b an q u e devait être^ exclusivem ent com posée des so­ciétés coopératives e t de leu rs o rg a n is ­m es d ’achat. M ais M. G aston Lévy — co n tra irem en t au x s ta tu ts a néanm oins consen ti des avances im p o rtan tes à des sociétés ab so lu m en t étrang-ôros au m ouvem ent coopératif. Et p a r exem ple: 25 m illions au x co n stru c teu rs d’aéro ­p lan es Couzinet. Or, coïncidence fâ ­cheuse, M. G aston Lévy fa isa it ég a le ­m en t p a rtie du Conseil d ’a d m in is tra ­tion de cette affaire... Ce socialiste ne devait p as s ’em bêter !

B ien en ten d u M. Léon B lum a voulu co u v rir d ans le « P o p u la ire » du 26 av ril, la gestion de son an c ien c a m a ra ­de. Il éc riv a it : « Ju sq u ’à ce que la preuve absolue de m on e r re u r me soit ad m in is trée , il m ’est im possib le de cro ire de sa p a r t, non seu lem en t u n ac ­te quelconque d’indélica tesse p e rso n ­nelle, m ais à la m éconnaissance de ses devoirs ». P au v re M. B lum ses b revets de v e rtu ne v a len t pas m ieux que ses p ro p h éties !

A insi les chefs du socialism e, m alg ré leu rs faux a irs d ’in co rru p tib ilité , m a l­g ré leu rs ap p e ls à la ju stice , m alg ré leu rs vélléités de co n stru ire u n e socié­té p lu s ju ste e t p lu s fra te rn e lle , sont, com m e tous les hom m es, su je ts aux m êm es défaillances. Q uand ils en on t la possib ilité , eux au ss i s ’ag en o u illen t d ev an t le « v eau -d ’o r » !

-»o«-

Du rose au rougeS ’il fa lla it d o n n e r u n em blèm e à la

po litique de M. V assal, ce s e ra it une g iroue tte , avec p o u r devise : « Je to u r­ne à tous ven ts ».

Il s ’est fa it u n e ré p u ta tio n de b rav e hom m e, pas rév o lu tio n n a ire p o u r deux sous. Cela lu i a valu , d an s le passé, les su ffrages d ’u n g ra n d nom bre de pe tits p ossédan ts, de com m erçan ts, de re n ­tie rs , qu i voyaien t en lu i u n b o u r­geois. C ertes, ce ju g em en t co rrespond assez b ien au sen tim en t in tim e de M. le D éputé q u q n ’a pas u n tem p éram en t de lu tte u r ! Nous l’avons m êm e vu, au m om ent du sch ism e des « Néos », a p ­p ro u v er d ’en thousiasm e des doctrines de M arquet, Déat, M ontagnon et C‘e. Le rouge de son d ra p e a u dev en a it rose pâle. M ais les « p u rs » ve illa ien t ! Et M. V assal re s ta sous l ’obédience de M. B lum : Le rose pâle se fit p lu s vif !

A u jo u rd ’hu i n o tre D éputé fa it cause com m une avec les rév o lu tio n n a ires com m unistes qui v eu len t im p lan te r chez nous le rég im e des m oujicks.

Il m arch e la m ain d ans la m ain avec ceux qui p re n n e n t leu rs m ots d ’o rd re à M oscou ; avec les b o u rreau x de la R ussie, les d e s tru c teu rs de la p ro p rié té p rivée e t du p e tit com m erce.

Il s ’allie avec les p ires ad v ersa ires de la fam ille et de la P a tr ie !

Son d rap eau est devenu rouge é c a r­late.

Que p e n se n t de cette a ttitu d e ch a n ­g ean te ,les b raves gens p a is ib le s de nos rég ions qui lu i on t fa it confiance ?

LEGENDRE.

Chemin de Fer du Nord

L a C om pagnie du chem in de fe r du N ord o rg an ise à l ’occasion des fêtes de la P entecôte , en co llabora tion avec les p rin c ip a le s agences de voyages, des excu rsions à L ondres à p rix fo rfa ita i­res trè s réd u its au d ép a rt de P a r is - N ord, Lille, Douai, A m iens, C am brai, V alenciennes, B éthune, Laon.

C onsu lter les affiches ou se re n se i­g n e r à la gare de P a ris-N o rd e t dan s les p rin c ip a le s g a res du R éseau.

★* *L a C om pagnie du Chem in de F e r du

N ord in form e le P ub lic q u ’à l ’occasion des Fêtes de la Pentecôte, p e n d a n t la période du lu n d i 7 au lu n d i 21 m ai in ­clus, des b ille ts de toutes c lasses p o u r­ro n t ê tre déliv rés à l ’avance, la veille ou l ’avan t-veille du d ép art, aux g u i­chets de la g are de P aris-N ord .

B ien in d iq u e r au x gu ichets, lo rs de la dem ande des b ille ts , la date exacte du dép art.

Inspection académ ique de TOiseExamen des Bourses d’E. P. S.

(3* et 4‘ Séries) du 26 Avril 1934

Sond adm is défin itivem ent :En tro isièm e série : MM. B arb il­

lon, B esson, B ra illon , C ugnet, Coche- teau , D ecuignière , M oland, M orelle R ouait, V illain , W erq u in , M lles Boulle C a rp en h er, C avalier, H ervelle, Lecoin- te, L esieur, M oule, P a in , P o rtem er V erw m ée, V u ag n at, W ia rt, Z erw etz. ’

En qua trièm e série : MM. G uérin Villette.

Page 2: jïjüi Le Congrès de Clermont et surtout celui de Metz L’A ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_05_20_MRC.pdfun mouvement particulier pour deve nir un gestè national

La mort mystérieusode Jran-Jacques Rousseau

[IILE D R A M E

Ge^laiHs':a(r('éiirs, c'ùislrc's on « gens- de le ttres » d ’in te rch an g eab les époques, et p a re ilicn ien l •'eitnemis de toute g ra n d e u r : les Aftiis de Diderot, u n fa ­qu in du nom de Corancez, e n tr ’au tres , firent cou rir le b ru it, à la Cour et à la Ville, que J e a n -Ja e q u e s s’était su icidé à E rm enonville , le 2 ju ille t 1778; Les ad v ersa ires du Philosophe onl ré p a n ­

d u , na tu re llem en t, cette version de sa m ort dan s le but de ^ d is c r é d i te r .™ H t r a u t e u r üo, J ' / i n i i l c e t d u <'ori t v a t

, S o c i a l â cru devoir m eltre fin à son "ex istence, je m e hâte de déc la re r q u ’il

ne m ’in sp ire ra it q u ’un peu p lus de p i­tié et de douloureuse ad m ira tio n . La re sp o n sab ilité d ’un tel geste retom be su r le fro n t des hom m es in capab les de p rése rv e r des b ru ta lité s de l’existence, les âm es délicates et les p u issa n ts es­p rits que Dieu p a ra ît avoir chargé de p enser, de prévoir, de souffrir à le u r place. S ituons R ousseau dan s notre siècle : p o u rrio n s-n o u s p résag er, sans h o rreu r et san s épouvante, le sort que lu i ré se rv e ra ien t nos A cadém ies, nos d irec teu rs de jo u rn a u x litté ra ires, nos po litic iens, la plèbe d irigean te e t ’l’a r ­gen t souvera in ? P a r ce q u ’il ad v in t de V erla ine , de B audela ire ou de Léon Bloy, il est fac ile de p révo ir ce q u ’il ad v ien d ra it de l’honnête et g én ia l a u ­teu r des ^Confessions. Il ne p o u rra it m o u rir a u trem en t que de m isère , de désespo ir et de rancœ ur.

II sem ble bien que, m êm e le sé jo u r d ’E rm enonville , n ’a it p u a sso u p ir ses peines, ou le sau v e r du découragem en t de v ivre : n i les so ins d ’une g én éreu se fam ille , ni le lib re sé jo u r des bois si ch er à sa ,sauvage inqu ié tude , n i son af- rnction, p ou r le polit A m able de G ïrar- d in , le second fils du M arqu is, le com ­p ag n o n g rac ieu x de ses p ro m en ad es et q u ’il ap p e la it son « P e tit G ouver­n e u r », ni enfin, le calm e des heu res em ployées à ra ssem b le r des fleurs, à cu e illir des p lan tes, à in te rro g e r Dieu d an s la so litude I ! Je a n -Ja c q u e s , las d ’une ex istence toute d ’am ertu m e et de com bat, voyant le sert de sa vieille com pagne assu ré , v ou lu t-il m a u r ir ?

M. de G irard in rep o u ssa la thèse du su ic ide : il fa u t l’en rem erc ie r

Le g én éreu x se ig n eu r ne voulu t pas que le m o in d re soupçon te rm in e la souvenance de son am i. M ais si les sots, si .les ig n o ran ts , si les env ieux se co m p la isen t à sa lir la m ém oire de R ousseau , pa rce q u ’ils n ’osent, n i le con fesser Déiste, n i p a rtisa n , à la fois, du p rin c ip e d ’A utorité et du p rin c ip e de F ra te rn ité , que penser, lo rsque Louis B lanc, le p lu s g ran d a d m ira te u r du P h ilosophe, l ’un des h is to rien s qui, avec M ichelet, on t le p lu s a im é Je a n - Jacq u es que p en se r q u an d l ’a u teu r des

O rigines et Causes conclut au su icide ?Les au teu rs les p lu s im p a rtia u x ne

sont p as d ’accord su r les fa its et gestes de R ousseau p en d an t la. jo u rn é e du 2 ju ille t. T h ieb au t çlc B erneaud , dont Jathèse est re p r ise qm r M. J.-IL V olber- ta l, s ’app u ie s u r les tém oignages du M arquis, de G irard in , de la M arqu ise , et du célèbre scu lp teu r H oudon. D’a u ­tre p a r t G ham pfort et Louis B lanc font quelques réserves... Thérèze, seu le té ­m oin de la m ort, a-t-e lle vu le geste fa ta l ? A -t-e lle en tendu le coup de p isto le t avec lequel Je a n -Ja c q u e s se se ra it tué ? T hérèze s’est-elle confiée à quelques vo isines ou com m ères aux lan g u es to u jo u rs trop b ien ou trop m al pen d u es ? ?

Selon les uns, le 2 ju ille t, R ousseau se lev a de g ra n d m a tin et sortit. M ais au lieu de se ren d re au C hâteau, com ­m e à l ’hab itude , il esca lad a les pen tes d ’E rm enonville p o u r voir le lever du soleil, su r les p la teaux .

Il re n tre vers 7 h eu res u n peu las, d é jeu n e en com pagn ie de sa fem m e, fa it in fu se r d an s une tasse de café qu e lq u es p lan te s rap p o rtées de sa p ro ­m en ad e ; et, com m e si le p re sse n ti­m en t d ’une fm procha ine , s ’éveilla it en son âm e inqu iè te et m alh eu reu se , com m e s ’il eu t c ra in t de la is se r ap rès lu i une in ju s tice il dem ande que T h é ­rèze paye u n o u v rie r auquel une petite som m e é ta it due. T hérèze p ren d q u e l­ques liv res tou rn o is et descend ! J e a n -Jacq u es vou la it-il être seul ? Safem m e n ’a p as encore a tte in t le bas de l’escalier, elle en ten d des g ém isse ­m en ts et rem o n te effrayée. E lle trouve R ousseau assis su r une chaise de p a il­le, le coude ap p u y é ' su r u n e com m ode et les tra its livides.

Q uelques m in u te s p lu s ta rd , M m e de G irard in , étonnée de ne l ’avoir point vu de la m atinée , se p résen te .

A lors Jean-"Jacques se to u rn e vers elle et lu i d it d ’un a ir a ffectueux et triste .

— M adam e, je souffre cruellem ent; V otre sensib ilité ne doit pas être m ise à l ’ép réuve d ’une pareille scène et de la catastrophe qu i la term in era !

Or selon T h ieb au t de B ernaud , Je a n - Ja c q u e s se se ra it hab illé ap rès d é jeu ­ner, en re n tra n t de sa p ro m en ad e quo­tid ien n e , p u is se ra it sorti po u r donner à M lle Sophie de G irard in (devenue p lu s ta rd M m e de V assy) une leçon de ch an t : la je u n e fille avait tém o igné le désir de connaître son secret de ch a n ­te r « p lu s avec l’âm e q u ’avec la voix » e t R ousseau ne pouva it r ie n re fu se r à celle qu i p o rta it le nom de l ’héro ïne de son E m ile . « A peine ava it-il a tte in t la p rem iè re cour du château , écrit M. V olbertal, q u ’ép ro u v an t u n m ala ise g én éra l i lT e v in t su r ses pas. Il m on ta ju s q u ’à sa cham bre , où accablé, il se je ta d an s un fau teu il. Sa fem m e, de

‘ re tou r, le trouve se p la ig n an t de g ran des an x ié tés e t de dou leurs la n c in a n tes. Elle envoie p ré v e n ir au châ teau que son m ari se trouve m al. Mme de G ira rd in accourt. »

Il est v isib le que les deux thèses d if fèren t. ,, f u, -

Toutefois lès a u te u rs son t d ’accord su r la p riè re ad ressée p a r le v ie illa rd à M m e de G irard in .

« V ous m ’obligerez, M adam e, et p o u r vous et po u r m oi, si vous voulez vous re tire r et m e la isse r avec m a fem m e p e n d an t quelque tem ps ! »

Il se sen ta it m o u r ir . . P ourquo i vou­la it-il m o u rir seul ? E tait-il p ris p a r ce besoin de solitude farouche qui s’em p a re des âm es fortes, q u an d elles vont s ’a n é a n tir ou se re tro u v er en Dieu Quelle in fu sio n avait-il absorbée. Bo­

tan iste ém érite le Solita ire co n n a issa it ad m irab lem en t la vertu ou la m a lia i- sance des p lan tes. S ’é ta it-il em poi­sonné ? ^ .

Donc, su r sa, p rière , M m e de G ira r­d in se re tire , il est 0 h eu res du m atin .

11 fa it a lors ouv rir la fenêtre e t d ’une voix profondém ent ém ue, s’écrie ;

« Q uelle éclatante, jo u rn ée ! Que la verdu re est belle ! Que la n a tu re est g ran d e ! E tre E ternel l’âm e que tu vas recevoir dan s ton .sein est au ssi pure q u ’elle l’était, q u an d elle en sortu . F ais-la jouir de ce bonheur qu il ne sera p lus au pouvoir des h o m m e s detroubler. »

T hérèze p leu ra it ; p au v re lem m e qu i avait su iv i son m a ri san s ja m a is le com prendre ni le co n tra rie r. Rous seau se sentit p ris de p itié a ttendrie Iioili' ceib'. e réa lu re d.ml 11 n ’avait rern ri’f s(fu lm ince m bonheur, et dont la m édiocrité p a r trop ap p a ren te , avait n u i,à -s o n génie, avait fa it le vide au ­to u r de lu i.

—- M a chère fem m e, dit-il, ne p leu ­rez pas. Le m om en t approche que j ’a ­vais ta n t souhaité.

Il la fit a sseo ir p rès de lui, la conso' la n t p a r d ’am icales paro les et se rep o ­san t dan s la certitude q u ’il ne la la is ­sa it pas san s sou tiens e t-san s am is.

Il est év iden t que Je a n -Ja c q u e salors,, ne c ra in t p as la m ort ; l ’on peut affirm er, l ’on com prend in tim em en t d ’âm e à âm e, cœ ur à cœ ur, q u ’il la dé­sire, q u ’il la souhaite com m e une déli­v ran ce : il souffre p h y siq u em en t, i souffre m ora lem en t, ca r trop d ’in ju sti ces e t de v ilen ies o n t a ig ri son esp rit. Le trép as , c’est le repos et derriè re la tom be se lève la gloire, 1 soleil des M orts !

11 p a r la de son « P e tit G ouverneur » ; des pau v res du v illage, qu i ne m a n ­q u e ra ien t p as de p r ie r D ieu p o u r lu i ; d ’un p ré sen t de noces q u ’il d e s tin a it à de bonnes gens dont il av a it com biné le m ariage .

M ais b ru sq u em en t ses dou leurs de­v ien n en t p lu s vives. T ou t à coup, il se lève « d ans un é ta t d ’in ex p rim ab le exalta tion ».

« P a s un nu ag e au ciel ! s ’écrit-il... V oyez-vous cette lu m iè re im m en se ? V oilà Dieu... oui.. Dieu... lu i-m êm e... Ah ! Ah ! Je sens dan s m a tête des secousses terrib les... m es en tra ille s se déchirent... E tre des E tres ! »

Et il fit quelques pas.Q u’a rriv a -t- il a lors ?P eu t-o n cro ire , que le p is to le t ach e­

va ce que le po ison avait c o m m e n c é ? R ousseau avait-il oublié sa belle le ttre contré le su icide ? Se ju g e a it- il dans, une de ces s itu a tio n s excep tionnelles où l’hom m e reço it de la souffrance le d ro it de co m m an d er à la vie ?

Selon ce rta in s ch ro n iq u eu rs et d ’ap rès L ouis B lanc, Thérèze était seule p résen te; elle a dû n ier le su i­cide pour q u ’on n e lui en im p u tâ t poin t la fatalité, et p a rce que dans son esp rit sim p le « le su ic ide co n stitua it une ta re , un «■ d ésh o n n ep r » qu i r e ja i l­lira it su r e lle -m êm e : petites ra iso n s qui su ffisen t à co m m an d e r des e sp rits s im p listes.

Affolée, T hérèze ap p e la , po u ssa des cris que l’on en ten d it du château . M me et M. de G ira rd in acco u ru ren t... « On a p e rçu t Je a n -Ja c q u e s ren v ersé su r le c a rreau . Il ava it u n tro u p ro fo n d à la téf o e t Thérèatc <. <?*.<. < aa,rv<fqu i avait rejailli du fro n t de son m ari. »

E n to m b an t av a it-il h eu rté l ’écart de la com m ode ! S ’é ta it-il fen d u le c râ ­ne ? U n ép an ch em en t san g u in s ’éta it- il p ro d u it p a r le nez et la bouche ? M ystère. :!

L o rsq u ’on re lev a l’in fo rtu n é G rand Homme, à d ix h eu res du m atin , il é ta it m ort...

{A suivre).Georges Grandjean.

lia Basoehe de l’OiseL ’assem blée gén éra le de la « Baso­

che » de l’Oise a eu lieu en l’IIôtel-de* Ville de Greil, le jeu d i 10 m ai dernier, sous la p résid en ce de M. B aillet, son p résiden t, assis té du bu reau .

Le P ré s id e n t ap rè s av o ir fa it port des deux décés su rv en u s d an s l'année, les cam arades. L englet, de M éru et B alny, de M aignelay e t rap p e lé louf m ém oire, a donné co n n a issan ce à l’aK sem blée de la s itu a tio n m orale et fi n an c iè re de la « B asoche ». Aucr observation n ’a y a n t été p résen cette, s itu a tio n a été adoptée à 1 u n im ité

iMM. B onin , de G lerm ont L egros, «tL n i ,7 1 p .

h-auvai-. Min-igny, de ' Gomr * *t Bîo en g eu , de Benlis > 'tJ?ecq u eu r,jS e

Le recen sem en t des s to c k s k blé e t É s em biavures

Les lec teu rs du B u lle tin on t p u lire d ans les d e rn ie rs num éros les appels ad ressés à ce p ropos au x a g ricu lteu rs p a r la D irection des S ervives A grico­les e t l ’A ssociation G énérale des P ro ­d u c teu rs de Blé.

Comme l ’in d iq u a it fo rt b ien M. B ar- b u t dan s sa conclusion , ce n ’es t p o in t seu lem en t au x Pouvoirs P u b lics que doivent se rv ir les ren se ig n em en ts re ­cueillis ; les d irig ean ts de vos A sso­c ia tions doivent ég a lem en t en t i r e r les a rg u m en ts nécessa ires p o u r réc lam er et ob ten ir une po litique du blé, confor­me à vos in té rê ts .

Il e s t in d isp en sab le que nous con­n a iss io n s le p lu s ex ac tem en t possib le l ’im portance des excédents. Il es t non m oins nécessa ire que nous soyons re n ­se ignés s u r l’é tendue rée lle des em bia­v u re s de la cam pagne en cours. Les estim atio n s ap p ro x im ativ es de la ré ­colte 1934, en ao û t p ro ch a in , y g ag n e ­ro n t en exactitude.

L’A d m in is tra tio n nous a donné sa ­tisfac tion en sim p lifian t ses m éthodes trad itio n n e lle s . I l su ffira que ch acu n de nous se p ré sen te à sa M airie, en tre fe 15 et le 25 m ai p o u r y d éc la re r :

a) D’une p a r t ses stocks de v ieux b lés ;

b) D’a u tre p a r t tou tes les su rfaces ensem encées à l’au tom ne e t au p r in ­tem ps d e rn ie r s u r la to ta lité de son exp lo ita tion , san s s ’occuper du te r r i ­to ire com m unal s u r lequel elles se trouven t.

C hacun doit fa ire u n e d éc la ra tio n sincère , d ’a u ta n t p lu s que les calcu ls en ap p a ren ce les p lu s su b tils su r l ’in ­té rê t qu ’il p eu t y av o ir à m a o re r ou à réd u ire ses d éc la ra tio n s, r isq u e n t de se re to u rn e r con tre ceux qu i les fe­ron t.

Le con trô le que nous avons ta n t ré ­clam é, com m ence à fo n c tio n n er e t le Comité in te rp ro fess io n n e l don t j ’ai l ’h o n n e u r d ’ê tre p ré s id en t a dé jà fa it depu is quelques sem ain es de la b o n ­ne besogne.

N ul doute qu ’u n contrô le sévère, avec com m e san c tio n s, le re t r a i t de toute g a ra n tie de p r ix et des p én a lité s d iverses, n ’a tte ig n e les a u te u rs de dé­c la ra tio n s inexactes. N otre com ité n ’a u ra p o u r eux au cu n e indu lgence .

J ’ad resse donc u n appel p re ssa n t, à tous m es collègues ag ric u lte u rs , p o u r qu ’ils co n trib u en t d an s u n e sp r it de loyau té p a rfa ite , à l ’exactitude du re ­censem en t p révu .

A lexandre Goré, S én a teu r de l ’Oise : P ré s id e n t de

la C ham bre d ’A g ricu ltu re ; P ré s id e n t de la Société des A g ricu lteu rs de l ’Oise.

Civil, ad m in is tra Leurs so rtan ts et iné­lig ib les, on t vu le u r m an d a t renouvdé, p a r acc lam ations. _ &

M. B aille t a v ivem ent félicité les deux décorés de la « B asoche », le ca­m arad e Legros, de B eauvais qui a reçu la m édaille d ’o r c in q u an ten a ire de la « Basoche » de F rance . C’es t p a r des ap p lau d issem en ts n o u rris qiis les pa­roles du p ré s id e n t on t été approuvées.M. B aille t a égalem ent complimenté le cam arad e L egrand , de Senlis, qui ava it fa it p a sse r dans u n g ran d quoti­dien p a ris ien , u n a rtic le re la tan t la m arche de la « B asoche » de l’Oise et son action b ienfa isan te .

A l’u n an im ité , l ’asseniblée a décidé de co n tin u e r sa réun ion annuelle Greil, ce p o in t é tan t le p lu s central po u r les com m unications. •

M. Gostes, p rin c ip a l clerc de notaire à Grépy, a ensu ite en tre ten u ses cam a­rad es de la g ran d e fam ille de l a .« B a­soche » do F ran ce so u h a itan t que les efforts de celle-ci avec la « Basoche » de l’Dise so ien t coordonnés po u r obte­n ir les m eilleu rs résu lta ts .

A m idi, un b ân q u e t am ical réun is­sa n t 70 couverts a été serv i à l’Hôtrl du Chem in de F er. M. B aille t avait au­to u r de lu i : M '3 C héreau, notairef à Gom piègne, re p ré se n ta n t Me De.moi.-_ net, p ré s id en t de la C ham bre ; M! Ku-, gène Gazeau, n o ta ire à Senlis, préâf den t do la C ham bre de Senlis ; Testii, n o ta ire à A nsauv illers , p ré s id en t de, li C ham bre de C lerm ont ; M” Mathieu; n o ta ire à Gorm eilles, re p ré se n ta n t le p ré s id e n t de la C ham bre des Notaires de B eauvais ; M 's D elahoutre , notaire à G lerm ont ; B arb ie r, n o ta ire à Greil; Boilet, n o ta ire à P o n t ; D ubut, notaire à N oyon ; N ew iasy, n o ta ire a Lian- co u rt ; M”5 M oret, T h u ilie r, Pisier, avoués à G lerm ont ; Jacq u e t, avoué à B eauvais ; Loir, avoué à Senlis ; Voyez, h u iss ie r à B eauvais ; Blériot, etc., etc.

E xcellen t m enu qui fa it h o n n eu r aux p ro p rié ta ire s de l ’Hôtel du Chem in de Fer.

Au dessert, p lu s ieu rs tostes on t été portés.

M. B aille t a d ’abord u n m ot aimable p o u r tous les inv ités, c o n s ta ta n t la fi­délité des com pagnies de no taires et d ’avoués à se fa ire re p ré se n te r p a r leu rs p ré s id en ts , et ce depu is 14 ans. Il p ré sen te ensu ite les excuses de M** De Deroy, M ouret, R ecullet, L aratte , L anglo is, C ram pon, G hastaing , Col- liaux , G alabert, D edreux, L ouât, Moy- san , Vallée. A près avo ir défini ce qu’est la « B asoche de l ’Oise », sa création,• sa p ro sp érité , la reco n n a issan ce désclercs po u r les p a tro n s _____ \ V»;•on t fa it et ce q u ’ils feront, il félicite les cam arad es B anse et Legros de leur récom pense b ien m éritée et félicita Mc Jacq u e t, p a tro n de M. Legros d ’avoir te n u à acco m p ag n er son principal clerc à cette réu n io n de fam ille et en te rm in a n t, renouvelle la g ra titude de la « B asoche » envers les Officiers m i­n is té rie ls à qui il ad resse quelques su p p liq u es, p e rsu ad é q u ’ils les exam i­n e ro n t, comme ils l ’o n t to u jo u rs fait avec la m eilleu re b ienveillance.

Au nom de ses confrères de l ’a rro n ­d issem en t de G om piègne, Me Chéreau a d it la joie de tous de recevo ir chaque année une in v ita tion au b a n q u e t tra ­d itio n n e l de la « B asoche », cela prouve d it-il « que vous n ’avez p as p e rd u tou­te sy m p a th ie p o u r vos p a tro n s , que vous avez conservé le sens co rporatif qui fa it l ’h o n n e u r et la sau v eg ard e de n o tre p ro fession e t que vous com pre­nez com bien l ’un ion des p a tro n s e t des clercs p eu t a b o u tir à des so lu tions sa ­lu ta ire s et am en er des ré su lta ts sa tis ­fa isan ts . Soyez-en rem erciés. A près avo ir p a rlé longuem en t de la question « R etra ites » qui in té resse au si h a u t po in t la « Basoche » de l ’Oise, Me Ché­re a u dem ande au x clercs d ’a d h é re r aux caisses com m e celle de la « B asoche » de l’Oise. « Vos p a tro n s ne dem an d en t qu’à p a y e r le u r p a r t de co tisa tion êt quelquefois m êm e ils p a ie n t au ss i vo­lo n tie rs la vôtre. A lors q u ’a ttendez- vous ? Ce se ra a u ta n t d ’acqu is p ou r l ’aven ir. Q uan t à la m odeste a llocu ­tio n que nous donnons au x v ieux clercs de l’Oise et que p a r e sp r it co r­p o ra tif e t f ra te rn e l vous augm entez généreusem en t, je se ra is h eu reu x q u ’il s ’é tab lisse une co llaboration , p lus ag issan te e t Ipus in tim e en tre p a tro n s e t clercs.

M” G azeaü ap p o rte to u t d ’abord l’ex­p ressio n et l ’am itié des officiers m in is ­té rie ls de l’Oise a in s i que l’a ssu ran ce de le u r cord ial dévouem ent. S ans vou­lo ir a n tic ip e r su r les p réro g a tiv es de son con frère Me L ouât qui fouille ja ­lousem en t les arch ives po u r en ex tra i-

son p rin c ip a l M. Legros. M" Ja c q u e t célèbre aussi son c in q u an ten a ire de procédure, ce qui fa it à eux deux, u n cen tenaire , ce qui se voit assez r a r e ­m ent. H porte la san té de la « B aso­che » e t de ses m em bres so u h a ita n t longue vie à cette belle œ uvre.

M“ T huillie r, avoué, M* Loir; avoué et M1 M oret dans de très cou rtes im p ro ­v isations, ex p rim en t le u r joie de se , ren co n tre r avec les clercs et au nom de leu rs confrères, ils se d éc la ren t de tout cœ ur avec les n o ta ire s de ce dé­p a rtem en t p o u r co n tin u e r com m e ils l’ont fait ju sq u ’à ce jo u r, l ’œ uvre si in té ressan te créée il y a quato rze an s p a r le reg re tté M. M erlin.

Enfin, M. Gostes, p r in c ip a l c lerc de notaire, p rés id en t de la section de l’Oi-

' B asoche » do P a ris , est heu- sa p a r t de vo ir l ’en ten te tre p a tro n s et c lercs, et

souhaite une p a re ille coord ination dans la « B asoche » de F ran ce pour a rr iv e r à la p ro sp érité du N o taria t tou t entier.

Tous ces tostes on t été longuem en t app laud is.

P u is ce fu t le to u r des d iseu rs et des ch an teu rs et l ’on se s é p a ra avec le m eilleur souven ir de cette ag réab le journée; passée dan s l’a tm osphère la p lus cordiale et la p lus sym path ique .

Caneton-filab de B saum ont-Persan

A t r a v e r s S e n l i s

PHARMACIES OUVERTES Dimanche 20 mai 1934, Pentecôte. —

P harm ac ie L esage, p lace H enri-IV .Lundi de Pentecôte. — P h arm ac ie

B ardou, ru e de P A pport-au -P a in .

Ouverture Officielle de la Plage

AU TABLEAU DE CONCOURSPOUR LA LEGION D’HONNEUR

Nous avons relevé avec p la is ir au « Jo u rn a l Officiel », le nom de no tre sym p ath iq u e concitoyen, l ’excellen t se ­c ré ta ire du S. V. S., e t de PU. N. G., M. F e rn ân d G uizelin, lieu ten an t de ré se r­ve, qui est in sc rit au tab leau de con­cours, p o u r la Croix de C hevalier de la Légion d ’h onneur.

Avec tous ses nom breux am is, nous lu i ad resso n s nos p lu s sym path iques et b ien sin cères fé lic ita tions.

;— » o «---------

VACCINATIONS GRATUITESLa révision des vacc in a tio n s g ra tu i­

tes a u ra lieu à la M airie m ercred i p ro ­chain , 23 m ai, à 15 h eu res 30.

REUNION DES CONSCRITSLes conscrits de 1933-34 son t p rié s

d’a s s is je r à la réu n io n p ré p a ra to ire qui a u ra lieüùm ercredi p ro ch a in , 23 m ai, à 20 heu res 30, au Café du Com m erce.

»o«---------

C’est dim anche p ro ch a in , 20 m ai que la Plage du C aneton-C lub se ra ouver­te.

Malgré les ag ran d issem en ts , les em ­bellissem ents, les in s ta lla tio n s nouvel­les {elles que le B ar, te r ra in de S ports, etc./., les p rix ne son t pas augm entés, nous les ind iquons c i-dessous :

Enfants âgés de m oins de 13 ans, ac- com pagnés : en trée g ra tu ite ./C a r te s de m em bres actifs d o n n an t

droit à l ’en trée de l a P lage et au x ca- M ' Ku-UUines : 30 fran cs p o u r la saison.

' ' il n ia n ts do 13 à 15 an s : 18 francs.C artes de m em bres d’h o n n e u r don­

nan t d ro it à l ’en trée de la P lag e seu ­lem ent : 25 fran cs p o u r la saison .

Les cartes de m em bres actifs son t délivrées à l ’en trée de la P lage.

P e r s o n n e s n o n t i t u l a i r e s d e c a r t e s :

D i m a n c h e s et j o u r s fériés, en trées 2 f r a n c s . Cabines : 2 f r a n c s ( m a t i n s ) .

D i m a n c h e s et jo u rs f é r i é s , e n t r é e s : o fr 50 Cabines : 2 fran cs (ap rès-m i-

AYEZ EUR VOTRE TABLEu n B ordeaux rouge au th en tiq u e ve­n a n t d irec tem en t du p ro d u c teu r: Châ­teau de la G range, à B laye (G ironde), p rem ie r Cru classé.

La b a rr iq u e : 900 fr. ; la Va : 470 fr. ; la bou teille (m ise au C hâteau) : 8 fr. (fû ts com pris ; em ballage po u r les bouteilles ; d ro its de c ircu la tio n ac ­qu ittés ; t ra n s p o r t seul à la ch a rg e de l ’ach e teu r).

A dressez vos com m andes en yous reco m m an d an t du C ourrier de l ’Oise à M. GROS-BURDET, ré g isse u r du C hâ­teau de B eau rep a ire , p a r P o n t-S a in te - M axence (O ise).

»o«----------UN JEUNE ARTISTE DE CHEZ NOUS

De nom breux concitoyens on t été heu reu sem en t su rp r is , d im anche d e r­n ie r, de sav o ir que la nouvelle s ta tu eFl ^ rl ’ A AI o i + l ’nPlTUPA r T l in ip . l l -

di). ,S e m a i n e , e n t r é e s 1 franc . C a b in e s .

P1re les secre ts , il rap p e lle que la. « B a­soche » est une vieille dam e qui n aq u it en 1303. C’es t en effet d it-il, à cette époque que P h ilippe-le-B el devant l ’au g m en ta tio n c ro issan te des affairesem bouteillées dev an t le P a rle m e n t (.....:d é jà ) , au to risa , d ’accord avec ce d e r­n ie r, la co n stitu tion d’u n g roupem en t de c lercs, in s tru its , s a c h a n t lire et é c rire (ce qui é ta it a lo rs assez ra re ) , lequel p r it nom de C om m unauté du P a rle m e n t de P a r is ou C orporation de la B asoche. Il s e ra it hé las tro p long de ra p p e le r p a r le dé ta il toutes les g lo ires e t v ic issitudes de la « B^sq. che », m ais d isons que son chef avàit le titre de Roi e t que ce lu i-c i ava it d ’im p o rtan ts p riv ilèges. E t M* Gazeau de d o n n e r d’in té re ssa n ts d é ta ils su r la « B asoche » qui av a it au ss i u n blason. (N ous nous réserv o n s de p u b lie r p ro ­ch a in em en t le texte de ce d iscou rs qui in té re ssa v ivem ent tous les convives). M* Cmzeau te rm in a en d isa n t : « Grâce à la m odéra tion des u n s e t des au tres , g râce à cette co llabo ra tion féconde des p a tro n s et des c lercs, nous v erro n s b ien tô t, comme le d isa it récem m ent no tre vénéré P rés id en t M* V o itu rie r, la m ise en ap p lica tio n des réfo rm es en cours don t la re tra ite p ro fessionnelle s e ra le couronnem ent.

Me Jacq u et, avoué est trè s h eu reu x de se tro u v e r à ce b an q u e t qui lu i p e r­m et de d ire une fois de p lu s encore à son excellen t co llab o ra teu r Legros, son affection et sa reco n n a issan ce p o u r

Entrée g ra tu ite p o u r les h a b ita n ts de P ersan , de B eaum ont et de M ours, tous les jours de sem aine à p a r t i r de 17 h., su r p résen ta tio n de leu rs ca rte s qu’ils peuvent, dès m a in te n a n t r e t ire r au x S e­cré taria ts de leu rs M airies.

Un garage gardé , p o u r vélos et m o­tos est in sta llé su r la P lace en face de la Plage. Le ta r if e s t le su iv a n t :

D im anches et jo u rs fériés : vélos : ü fr. 50 ; m otos : 1 franc .

Sem aine : vélos : 0 fr. 25 ; m otos :0 fr. 50.

Ces p rix à la portée de tous doivent p e rm e ttre au x am a te u rs de n a ta tio n de se liv re r à lo is ir à leu r sp o rt favori, to u t en p a ssa n t de Jm ns inom ents dans, 'rÏNoûs’’'p r io n s les D irec teu rs e t Di­rec trices d ’Ecoles de b ien vou lo ir nous envoyer leu rs élèves, p o u r su iv re les cours de n a ta tio n donnés p a r M onsieur C lém ent, m aître de nage de la P lage, ces cours so n t en tiè rem en t g ra tu its et son t fa its à l’aide de l ’a p p a re il V ro- m an. M. C lém ent qui fa it p a r tie de l’A ssociation des m a ître s de nage est d iplôm é de la Ville de P a ris . On p eu t donc avo ir toute confiance su r la q u a ­lité des coui’s. P e n d a n t la sa iso n d e r­n ière p lus de 80 élèves, on t ob tenus le B revet de N ageurs S colaires. E spérons que le soleil nous s e ra favorab le , et que beaucoup de v is ite u rs e t b a i­gneu rs se d o n n ero n t rendez-vous à n o ­tre belle P lage de B eaum ont.

Commission Sportive Los m em bres de la Section Sportive

sont p riés de se tro u v e r s u r la P lage, d im anche ap rès-m id i, p o u r p rise de con tac t avec l’e n tra în e u r .

Ne font p a rtie ac tu e llem en t de la Section Sportive, que les Je u n e s Gens et Jeu n es F illes a y a n t signé le u r adhé­sion au règ lem en t é tab li la s(a ison d e r ­nière.

P o u r le Comité :R. TOUTAIN.

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Goncoups de Tir départementald s s S o c ié t é s a g r é é e s

de Je a n n e d’A rc é ta it l ’œ uvre d ’u n jeu ne sen lis ien de v in g t-d eu x ans, M. H. L eblanc, fils de M. e t de Mme L eblanc, d em eu ran t rue L éo n -F au tra t.

A v ra i d ire , les in itiés sav a ien t dé jà que n o tre com patrio te , h é r itie r _ des im ag iers d ’au tre fo is , p o r ta it en lu i, de belles esp é ran ces . D éjà on a v a it pu voir à l’in s titu tio n N otre-D am e de la V ictoire, une trè s belle v ierge en bois scu lp tée , d ’une exp ressio n recueillie et g rave, de s a com position.

M ais c’est un v ra i to u r de force, d ’a ­voir réa lisé p o u r n o tre ca th éd ra le , l ’im age d ’u n é Je a n n e d’A rc, v e n a n t I p r ie r à S en lis. Elle fa it le p lu s g ra n d | h o n n e u r à ce jeu n e a rtis te , qui s ’est form é to u t seul', san s a p p re n tissa g e et p resq u e san s leçons. G’es t a ssu rém en t là, l ’ind ice d ’un b eau ta le n t à qu i es t p rom is le p lu s bel aven ir. E t l ’on ne peu t que fé lic ite r M. le C hanoine Du- i)uis d ’avo ir fa it conhaiioe à ce bon ouvrier, eh lu i p e rm e tta n t de ré a lise r une œ uvre qu i f ig u re ra it en trè s bonne place à l’exposition de l’a r t re lig ieu x m oderne et qui le fe ra co n n a ître et a p ­p ré c ie r de tous les am a teu rs de belles choses.

N ous nous ré jo u isso n s de v o ir sa c a rr iè re s ’o u v rir à l ’om bre de no tre ca th éd ra le e t nous lu i ad re sso n s nos p lu s vives fé lic ita tions et nos vœ ux les p lus sin cères p o u r l’aven ir.

»o«---------

LA CONFERENCEDU DOCTEUR DE POMIANE

'Près nom breuse a ss is tan ce à la ré u - - n ion . o rgan isée p a r la L igue des J e u ­n e s / l a sem aine d ern iè re , à la salle Jea n n e d ’A rc,. réu n io n co m p lé tan t le cours de cu isine qui av a it eu lieu a u ­p a ra v a n t et qui av a it été su iv i p a r un g roupe in té re ssa n t de Jeu n es.

P e n d a n t p rès dé deux h eu res, le Dr E. de P om iane, p ro fesseu r à l’In s ti tu t d ’H ygiène A lim enta ire , la u ré a t de l ’A cadém ie F ran ça ise , b ien connu des san s-filis tes p o u r ses conférences, a, avec un- ta le n t rem arq u ab le , défini au p o in t de vue gastronom ie et g as tro - technie , « la C uisine e t le P ro g rès scien tifique ».

Sa conférence, est-il beso in de le d i­re, trè s in té re ssan te , e t trè s docum en­tée fu t écoutée p a r l’a ss is tan ce a tte n ti­ve qui ce rta in em en t s a u ra en t i r e r le p lu s g ra n d profit.

A près la théorie , M. le D octeur de P om iane p assa au x dém o n stra tio n s cu ­lin a ires , et c’est a in s i que d ev an t les au d iteu rs ém erveillés, il confectionna, avec l’aide de réch au d s e t fours à gaz in sta llé s g rac ieu sem en t p a r la C om pa­gnie du gaz, le Bœ uf à la ficelle, des escalopes v iennoises, un Rizotto, _ u n G hachlich géorg ien , une ta r te a lsac ien ­ne, e t une sauce b éa rn a ise , tous ces p la ts p ré p a ré s fu re n t en su ite tiré s au so rt et une dem i-douzaine d ’a ss is ta n ts eu ren t le p la is ir d ’em p o rte r à dom icile des a lim en ts b ien p rép arés .

La conférence de M. le D octeur E. de P om iane souleva à de nom breuses re ­p rises des ap p lau d issem en ts chaleu -1*6 UX.

L’ass is tan ce écouta re lig ieu sem en t, des in term èdes m u sicau x exécutés p a r des a rtis te s m usic iens d o n t le ta le n t est b ien connu dan s n o tre ville e t qu i re c u e illiren t eux a u ss i de longs a p ­p lau d issem en ts , nous voulons p a r le r de Mlle C h arp en tie r, M. V erdeau , v io­lon istes, Mme V erdeau, p ian is te , qui in te rp i’é tè re n t des œ uvres de Bocehe- r in i et de H aendel.

U ne fan ta is ie inéd ite s u r les no tes de la gam m e en u n p ro logue, h u it t a ­b leaux , in titu lée « La Revue de. la M ai­son » a été jouée p a r u n g roupe de 18 jeu n es, toutes trè s b ien costum ées et in te rp ré ta n t le u r rôle d an s la perfec­tion. F élic ita tio n s à tou tes ces jeu n es filles p o u r le u r bonne exécu tion et à la dévouée p ian is te , Mlle Roze.

Tous ceux qui on t eu le p la is ir d ’a s ­s is te r à cette belle réu n io n , en co n se r­v e ro n t u n ag réab le et u tile souvenir.

A l’occasion des Fêtes de la Pentecôte

GRftNOE V EN TE R Ë C U M E

(( f i l a V i l l e d e S e n l i s ))31, place de la Halle, SENLIS

ROBES, ENSEMBLES, TAILLEUR? & MANTEAUXpour. D am es e t Je u n e s F illes

COMPLETS VESTONS & COSTUMES DE SPORTp o u r M essieurs e t Je u n e s Gens

Pantalons et Costumes de Flanelle et de Gabardines - Vestons d’A lpagas

TRES GRAND CHOIXDE COSTUMES GARÇONNETS

SYNDICATDES

.11 est rap p e lé à ces Sociétés que le concours d ép a rtem en ta l a n n u e l a u ra lieu en 1934 dan s deux cen tres : à Noyon, au s tan d de la société de t i r et à C lerm ont, au s tan d d e la Jeu n esse P opu la ire de C lerm ont, le 27 m ai 1934, de 8 heures à 12 h eu res et de 13 h eu res à 15 heures 30. Les sociétés p eu v en t p ré se n te r deux délégations de q u a tre m em bres chacune. D élégation A. « A n­ciens ». D élégation B. « Je u n e s ».

MM. L ebrun , P ré s id e n t de la J e u ­nesse P o p u la ire de C lerm ont e t A n- guise, p résid en t de la société de t i r de N oyon, dem anden t au x p ré s id en ts de sociétés de vouloir b ien leu r fa ire con­n a ître le cen tre q u ’ils cho isissen t.

Les ficuvelles régions m ilitairesUn décre t du 28 av ril a ré d u it de 20

à 18 le nom bre des rég ions m ilita ires .P a r un a u tre d écre t du 4 m ai, la n o u ­

velle dé lim ita tion de ces rég ions a été fixée.. L a deuxièm e rég ion , chef-lieu Amiens, com prend les d ép artem en ts de 1 A isne, de l’Oise, de la Som m e, des A r- dennes, et, dans le d ép a rtem en t de la Meuse, les can tons de S ten ay et M ont- médy, situés dan s l’a rro n d isse m e n t de V erdun.

La deuxièm e rég ion form e 4 su b d i­visions.

Une Journée rurale à BeauvaisL’U nion S yndicale des A g ricu lteu rs

catho liques de l’Oise, o rg an ise une journée ru ra le qui a u ra lieu à B eau­vais, à l ’In s titu t A gricole, le sam edi 20 m ai p ro ch a in , sous la p résidence de M gr l’Evêque de B eauvais.

Aux ad h éren ts , se jo in d ro n t les dé­légations des U nions F ra te rn e lle s Ou­v rières e t de la J . A. G.

DEBITANTS DE TABACSUne réu n io n des d éb itan ts de tabacs

de. la rég ion de Senlis-C reil a eu lieu à l’Hôtel de Ville de S enlis, sous la p résidence de M. M essier, p ré s id en t du S y n d ica t de B eauvais, a y a n t p o u r bu t de re fo rm er le b u re a u d ’u n S ynd icat. Il a été reconstitué .

P ré s id e n t : M. B rochard , Greil.V ice-P résid en ts : MM. A ppron , La

G hapelle-en-S erval ; P eronys, C han til­ly ; L abadie, C répy-en-V alois.

S e c ré ta ire -tré so rie r : M. M illet, S en ­lis.

M a i s o n B . H ÉÜ O CQ U E

pour

LES PLUS JOLIS MODELES de Robes et Costumes

PRM 1IÈRE COM M UNION9473

LA CONFERENCE SUR CHANTILLYNous p a rle ro n s dan s no tre p ro ch a in

num éro , de la très in té re ssa n te confé­rence , faite jeu d i d e rn ie r , s u r C han­tilly , p a r M. M aurice H u rb a in , m a lh eu ­reu sem en t ‘dev an t u n p u b lic re s tre in t.

G’est trè s reg re ttab le , c a r v ra im en t ce la v a la it la peine de se d é ra n g e r po u r éco u te r p e n d a n t deux h eu res , u n con férencie r au ss i é rud it.

1 G , r u e d u F a u b o u r g S a i n t - M a r t i n , 1 6

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LES VACANCES JUDICIAIRESDE LA PENTECOTE

Il n ’y aura pas d’audiences la se­m aine p ro ch a in e d an s les tr ib u n a u x civil et de commerce.

-»o«-

LiYraison à Domicile par îoiite p a n ii téS E N L IS & E N V IR O N S

9423

FETE NATIONALEDE JEANNE D’ARC

La fête n a tio n a le de Je a n n e d ’A rc a donné lieu d im anche, d an s no tre ville, a de belles m an ifesta tio n s don t la s im ­p lic ité n ’exc lua it p as l’éc la t ; la po p u ­la tion sen lis ien n é se re n d it le m a tin à la revue des tro u p es de la g a rn iso n qu i fut passée p lace de la g are p a r le Co­lonel du 4° rég im en t de S pah is en p ré ­sence dés a u to rité s civiles, re lig ieuses, sociétés locales, fo n c tio n n a ires , etc.

Au cours de cette revue et selon le cérém onial trad itio n n e l, le Colonel ac­crocha la Croix de C hevalier de la Lé­g ion d ’h o n n e u r su r la p o itrin e de M. René de L anauze, ag en t techn ique des P oudres à T oulouse, qui recev a it la Croix à la su ite de sa belle a ttitu d e comme m aréch a l des logis au 5e S pah is en 1028, au cours de la cam p ag n e du M aroc, où il fu t g rièv em en t blessé ; le nouveau C hevalier est a llié à la fam il­le de M arico u rt de no tre ville. Le Colo­nel a rem is en su ite p lu s ieu rs m édailles à des hom m es de son rég im ent.

Le rég im en t défila en su ite e t chacun se p lu t à re m a rq u e r son excellen te te ­nue.

A 9 h eu res 30, les h o n n eu rs o n t été ren d u s au M onum ent de l’héro ïne , p la ­ce d u P a rv is N otre-D am e p a r le ré g i­m ent, les sociétés locales, les au to rité s civiles, m ilita ire s et re lig ieuses. Des fleurs on t été déposées au nom de la ville de S en lis p a r M. le M aire et p a r des jeu n es filles de la ville. Cérém onie tou jo u rs im p ress io n n an te au cours de laquelle les m usiques se son t fa it en ­tendre .

P u is, e u t lieu la M esse so lennelle en la C athédrale.

SOCIETE DE SECOURS MUTUELSde Saint-François-X avier

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PASSAGE DE LA COURSE cycliste du Vélo-Club Achille Souchard

On nous com m unique du C om m is^ s a r ia t de police :

Le Vélo Club A chille S ouchard o r­g an ise une épreuve cycliste le 10 ju in p ro ch a in , s u r le p a rc o u rs su iv a n t : D rancy , Louvres, C han tilly , P o n t-S te - M axence, S en lis, E rm enonv ille et Dam- m artin -en-G oële.

150 co n cu rren ts so n t engagés.Le p assag e de cette course à Senlis

est p rév u vers 9 heures.I tin é ra ire : rou te de G om piègne, p la ­

ce du C halet et rou te d ’Erm enonville .E n cette c irco n stan ce , le service d’o r­

d re se ra a s s u ré p a r la police m u n ic ip a ­le, d an s les cond itions hab itue lles.

Page 3: jïjüi Le Congrès de Clermont et surtout celui de Metz L’A ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_05_20_MRC.pdfun mouvement particulier pour deve nir un gestè national

ASSOCIATION AMICALEdes Anciens Elèves de l’Ecole Publique

des Garçons de Senlis

lel e s

l ’a n n é e

Le v endred i 4 m ai 1934, l’A ssociation A m icale des A nciens Elèves de l’Ecole P ub liq u e des G arçons de Senlis^ s ’est réun ie en assem blée g én éra le , à son siège social, ru e S a in t-P é rav y , à S en ­lis.

M. D espatin , p ré s id en t, ouvre la séance en p ré se n ta n t les excuses d’un ce rta in nom bre de m em bres p a r tic i­p a n ts de l ’A m icale, p u is il donne la p a ­role au S ec ré ta ire p o u r la lec tu re du p ro cès-v erb al de la d e rn iè re assem ­blée, qui e s t adopté à l’u n an im ité .

Gomme les an n ées p récéden tes P rés id en t re trace à g ra n d s tra it s cüïïéreritos m anifes ta tions de1933.

Il rem ercie tou t d ’abord tous ceux qui a id en t p a r le u r aide p écu n ia ire et p a r le u r dévouem ent au développe­m en t de l’A m icale : au M in istère de l’E ducation N ationale po u r sa su b v en ­tion, à M. le C om m andan t M asson qui ne m anque pas u n e occasion p o u r e n ­co u rag e r les sociétés qui d o n n en t un m ouvem ent en a v a n t aux sp o rts et au t i r ; à la Ville de S en lis qui con tinue son concours fin an c ie r e t son b ie n ­v e illan t ap p u i p o u r l ’o rg an isa tio n du te r ra in du M ontauban . P ro ch a in em en t, en p lus du te r ra in de b ask e t-b a ll, défi­n itiv em en t te rm in é e t qui e s t u n des m eilleu rs de l ’Oise, nous p o u rro n s voir in sta llé s p lu s ieu rs em placem ents p o u r des jeu x de boules.

Il ad resse de ch a leu reu ses fé lic ita ­tio n s au cam arad e B ern ard , p o u r son ac tiv ité , sa tén ac ité et son e n th o u s ia s ­me, p o u r son dévouem ent « un ique » d an s l’o rg an isa tio n du b ask e t-b a ll au sein de l’Am icale. S u r la p roposition du P rés id en t, u n b an est b a ttu en son honneu r.

Il rem ercie éga lem en t les cam arad es G avinelli, R averdel, L iefquin et F o u r- nior, qui ne m an q u en t jam a is une oc­casion p o u r se re n d re utiles.

Ses fé lic ita tions v o n t en su ite à ceux qu ’un événem ent h eu reu x à favorisé ; il souhaite au x nouveaux m ariés et auxnouveaux p ap as b o n h eu r e t p ro sp érité .

Il ad resse les sin cè res condoléances de l ’A m icale au x fam illes des d isp a ­ru s : MM. F auvet, D om art, m em bres h o n o ra ires et B édouin , m em bre p a r t i ­c ipan t.

Que fut, en 1933, la vie de l ’A m icale ? Elle s ’est m an ifestée p a r les co n fé ren ­ces, les spo rts , le t i r et l ’ex cu rsio n a n ­nuelle.

Le 28 jan v ie r , M. P au l R ispal nous p a r la it du « C abare t du C hat N oir ».

Les 29 et 30 m ars, M. H erm in D ubus nous p ré se n ta it la « C hanson à l’Eco­le » e t la « C hanson F ran ça ise ». La belle h u m eu r du con férencie r, sa m a î­trise en la m atiè re et la co llabora tion des en fan ts des tro is écoles a s su rè ­re n t au x deux so irées u n succès éc la­tan t.

Le 15 novem bre, M. R ispal e t ses h a ­b itue ls co llab o ra teu rs firen t g o û te r au x au d iteu rs « Les A u teu rs Com iques du 17° Siècle ».

Enfin, au débu t de ja n v ie r 1934, M. F av ier, in sp e c te u r p rim a ire , p ré se n ta « M ireille et M istral » avec une com ­p étence et un a r t consom m és.

Le P ré s id e n t reg re tte que beaucoup de m em bres de l’A m icale se d ésin té ­re ssen t de ces conférences, c a r le B u­reau a tte n d a it d ’elles non seu lem en t un p asse-tem p s, m ais un ré su lta t édu­ca tif qui, à v ra i d ire , n ’est p as a tte in t.

Avec l’a th lé tism e et le b ask e t, l ’A m i­cale en re g is tre des ré su lta ts p lu s b r il­la n ts :

24 séances d ’e n tra în em en t. Le 6 août, elle p rê te son concours à la com ­pétition o rg an isée p a r le G. S. C. ; les cou leurs de l’A m icale y son t v ic to rieu ­ses.

P o u r le b ask e t, 30 séances d ’en ­tra în e m e n t e t 21 m atches.

D ans le c h a m p io n n a t deuxièm e sé­rie , la p rem iè re équ ipe se c lasse secon-

. de d u dép artem en t, e t la deuxièm e p re ­m ière.

De tels succès fon t le p lu s g ra n d h o n n e u r à tous, jo u eu rs et o rg a n isa ­teu rs e t fp.nt a u g u re r p o u r l ’a v en ir une ab o n d an te m oisson de lau rie rs .

Le t i r a com porté u n ce rta in nom bre de séances d ’e n tra în e m e n t e t l ’A m ica­le a. p ris p a r t a u concours des S. Â. G. Le cam arad e L evasseu r Jacq u es s ’est c lassé d an s les, d ix p rem ie rs à l ’arm e de guerre .

Les dons p lu s ra re s , en ce tte période de crise , l’in ce rtitu d e des subven tions, n ’o n t m alheureu isem ent p as perm is ro rg an i.sa tion du concours an n u e l.

Le 2 ju ille t, l’excu rsion de F o n ta in e ­b leau ré u n is sa it 60 soc ié ta ires qui on t

, g a rd é de cette jo u rn ée u n so u v en ir ch a rm an t. L’A m icale av a it offert cette p rom enade aux élèves des Ecoles qui av a ien t ob tenu le u r certifica t d ’études com plém enta ires . Le P ré s id e n t rem er­cie le B u reau p o u r ce geste généreux .

M. D espatin est h eu reu x d’a n n o n ce r à l’assem blée que 1933 v it le co u ro n n e­m en t des efforts des m em bres fonda­teu rs . A la su ite du C ongrès de la Ligue de l’E nse ignem en t ten u à A vignon, du 1" au 4 ju in , une bourse de 1.000 fr. fu t a ttrib u ée à no tre A ssociation su r le legs H ugon « d estiné à récom penser, à en co u rag er les œ uvres co m plém en ta i­re s de l ’Ecole qui a u ro n t m an ifesté la p lu s g ran d e ac tiv ité ».

« Cette hau te récom pense, d it le P ré ­s iden t, do it in c ite r a red o u b ler d ’efforts. Il fau t, dès m a in te n a n t, av ise r au rem ­p lacem en t des conférences p a r des m a­n ifesta tio n s goûtées d ’u n p lus g ran d nom bre de m em bres ».

A près avo ir donné quelques re n se i­gnem en ts su r le fo n c tionnem en t des écoles p u b liques, M. D espatin rem ercie les m em bres du b u re a u p o u r le u r dé­vouem ent h ab itu e l e t les m em bres p a r ­tic ip an ts d ’avo ir rép o n d u en au ss i g rand nom bre à la convocation de l'A s­semblée G énérale.

P u is il donne la paro le à M. Luzu- û e r p o u r le com pte ren d u financier, d’es t avec p la is ir que les chiffres de la situation so n t accueillis et des fé lic ita - ions so n t ad ressées au T réso rie r p o u r a ten u e de sa com ptab ilité

M. C aron, sec ré ta ire , expose devan t 'assem blée les d ivers p ro je ts d ’excur- ion env isagés p o u r 1934. D eux de ces iro jets so n t a rrê té s : le p rem ie r, p o u r e 8 ju ille t, avec Le T rép o rt p o u r ob- ectif ; le second, p o u r les 14 e t 15 uillet, s e ra it de p lu s g ra n d e en v e rg u - e, pu isq u e O stende en s e ra it le b u t .'A ssem blée fa it confiance à son B u- eau p o u r l ’o rg an isa tio n de ces p ro - renades.

D ivers p ro je ts so n t soum is aux lem bres reu n is . Le cam arad e B ern ard j r a i t re c o n n a is sa n t à l ’A m icale de ien vou lo ir in s ta lle r au s tad du Mon tuban , u n e tab le de p in g -p o n g qu i sj’m ettca it auîc jeu n es gen s qui su i- în t a ss id û m en t les séances d ’e n tra î- îm e n t de b ask e t, de c o n tin u e r dan s

un a u tre gen re de sp o rt, la vie en p le in air. S atisfac tion lu i est donnée.

D 'un a u tre côté, de vieux socié ta ires, qui, m oins souples que leu rs jeu n es su iv an ts , v o u d ra ien t tou t de m êm e con­tin u e r à les coudoyer, dem an d en t l 'in s ­ta lla tion d ’un jeu de boules. Des dé­m arches o n t été fa ites, e t b ien tô t le S tan d du M ontauban c o n n a îtra l ’a n i­m ation des g ran d es jo u rn ées des con­cours de t i r qui e u re n t lieu précédem ­m ent.

A près la p roc lam ation du c lasse ­m en t des séances d ’e n tra în e m e n t au tir , a lieu le renouvellem en t p a rtie l dri B ureau ; les m em bres so r ta n ts son t ré ­élus à l’unan im ité .

L a séance est levée à 22 h. 30.L. G.

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UNION CATHOLIQUERéunion Cantonale

à V ille rs -S a in t-F ram b o u rgC’est une h eu reu se in itia tiv e q u ’a

eue cette a n n ée le b u re a u can to n a l de l’Ü nion C atholique de conv ier ses ad ­h é ren ts à des réu n io n s dan s l’une des com m unes du can ton . Cet h iv e r c’é ta it C ham ant, d im anche d e rn ie r V ille rs-S t- F ram bourg .

M algré la sa ison avancée et le ciel en g ag ean t à la p rom enade , les ad h é­ren ts rép o n d ire n t n o m breux à la con­vocation du D octeur Chaste.l. La ré u ­nion des délégués p a ro iss ia u x in a u g u ­ra la jou rnée . Les p a ro isses de Senlis, A um ont, C ham ant, ThierS e t P o n ta r- mé, M ontlévêque, M ortefontaine, V il- le rs et Ognon é ta ie n t rep résen tées . M.A. Chenet, l ’ac tif sec ré ta ire d o n n a les d irec tives du b u re a u d iocésain :

1° C onstitu tion d an s chaque localité d ’un Comité co m p ren an t u n p résid en t, u n sec ré ta ire et u n tré so rie r.

2° N om ination d ’un délégué, p ère de fam ille, p o u r a s s u re r la n e u tra lité de l ’école publique.

3° P ro p ag an d e p o u r la co n stitu tion d ’un g ro u p em en t d it des a n ten n es fa­m ilia les, ré u n is s a n t les sans-filis tes , soucieux de la lib erté de la radio.

4° Effort à p o rte r p o u r la diffusion d ’une p resse , sy m p a th iq u e aux idées catho liques, p ro p ag an d e en fav eu r des jo u rn a u x d é fen d an t les lib e rté s re li­gieuses.

Voilà des consignes p réc ises que tou t le m onde dev ra m éd ite r e t a p p li­q u e r d an s chacune des p a ro isses de no tre ch er can ton .

A 11 h eu res y2, g ra n d ’m esse à l’ég li­se de V illers où M. l ’abbé C hevallier, cu ré de V illers souhaite en te rm es dé­licats, la b ienvenue au x u n ion istes. Les ch an ts g rég o rien s so n t exécutés avec beaucoup de p ié té et de goû t p a r les jeu n es de la M aîtrise , sous la d irec ­tion dévouée de M. G. D om art.

A l’E vangile, M. l’ab b é M ichel, v i­ca ire à la C athédrale , dégage les le ­çons de la fête de S a in te Je a n n e d’Arc.Il m on tre en no tre héro ïne na tio n a le , un m odèle d ’action ch a ritab le , tenace et su rn a tu re lle com m e doit ê tre celle des m ilitan ts ca tho liques.

A l’issue de la m esse, les co n g ressis­tes se d ir ig e n t au cim etière p o u r dépo­se r une gerbe au m o n u m en t aux m orts. A près u n « De P ro fu n d is » e t u ne m in u te de recu e illem en t à la m é­m oire de nos g lo rieux so ldats , on re ­v ien t à V illers. T an d is que les jeunes v o n t d é je u n e r d an s la forêt, un b a n ­quet g roupe à la sa lle G uizelin, une q u a ra n ta in e d ’un ion is tes , a u to u r d ’une tab le accu e illan te e t fo rt b ien servie.

A 3 h eu res, la salle p a ro iss ia le s ’em ­p lit p o u r la g ran d e réun ion . M. le Doc­te u r C hastel ouvre la réu n io n et d it un m ot de l’e sp r it e t du cœ u r p o u r rem er- j c ie r les a ss is ta n ts et p ré se n te r les d i- i vers o ra teu rs .

M. l’A rch ip rê tre a rriv e su r-le -ch am p de V auciennes, où il a rem p lacé M on­se ig n e u r Le Senne.

M. Chenet p ré sen te un ra p p o r t trè s v iv an t s u r la s itu a tio n de l’U nion C an­tonale et dem ande une lia ison m ieux a ssu rée avec les com m unes ru ra les .

P u is M. F réchu , p ro fesseu r à l ’In s ­titu tio n du S a in t-E sp rit de B eauvais, com m ence une conférence trè s docu­m entée su r la F ranc-M açonnerie . Avec beaucoup de sé rén ité et d ’im p artia lité , il m on tre dan s u n sty le c la ir et d irec t, l ’action nocive de cette in s titu tio n n é ­faste et hypocrite , qui, d an s l’om bre, a p ré p a ré la d éch ris tian isa tio n du pays, réa lisé les m esures les p lu s sec ta ire s et asserv i la R épublique. Il dem ande la su p p ress io n de cette associa tion de p ro fiteu rs qui ne p eu t v ivre au g ran d jo u r e t qui n ’a se rv i con tre la F rance , que quelques po litic iens a rr iv is te s e t am bitieux .

Cette causerie si v ivan te e s t a p p la u ­die avec en thousiasm e.

A près quelques m ots s u r la nécessité de l ’o rg an isa tio n de la jeu n esse ru ra le , p a r le sp o rt e t le cercle d ’é tudes, la ré u ­n ion s ’achève p a r u n e p e tite séance récréative .

La M aîtrise joue avec b rio « Les P e ­tits J a rd in ie rs de la R eine » et cette belle jo u rn ée s ’achève à l’église p a r le sa lu t du S a in t-S ac rem en t.

E t m a in te n a n t u n io n is te s ca tho li­ques, à N eu illy -en-T helle, le d im anche l*r ju ille t, p o u r l ’assem blée an n u e lle des C atholiques de l ’Oise.

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1934

Dam-seu lem en t

ces tro is causeries, d ’écrire l ’h isto ire

efforcé non conter dans

p lus u ne

M. André de M aricourt s’est_______________ . de la Ville;1 m êm e, m a is de .....syn thèse les événem ents prim ord iaux dont la V ille a été le tém oin lo rsq u ’y ré s id a ien t les ro is et les évêques et d’en évoquer la vie sociale.

L E S T R O IS CONFERENCES EN UNE

50 ex em p la ires sont tirés sur velin de luxes o u s c r ip te u r s ......... ; • . .

S u r édition o rd in a ire .......................... 9 m ..........Chaque con férence séparée ............. •’« .........

P L A Q U E T T E

a u x nom s des1593

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LES MÉMOIRES DU SONNEUR

C R É P Y ........................ 5 34 6 30 10 21 14 03 ï,30

4>V. 18 39A u g e r -S t-V in c e n t .. 5 42 6 38 10 39 14 11 ■QO OO 18 47L e L uat ...................... 5 45 6 41 10 32 14 14 U 1 - 18 50F r e s n o y - le -L u a t . . . 5 47 6 43 10 34 14 16 0

7 10 18 52

R u l ly ............................. 5 50 6 46 10 37 14 19 •o ë «> »oB arb ery ......................B o r e s t ........................ ..

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S t-N ic o la s -A u m o n t 6 10 7 06 8 38 11 07 12 40 14 42 : S s : 17 51 '*'■ 19 38 20 32 22 48S a in t -F ir m in ........... 6 14 7 10 8 42 11 12 12 45 14 47 ^ ce Q 17 5tt 3e s 19 51 20 37 22 53V in e u i l ........................ 6 18 7 14 8 4 G 11 15 12* 48 14 50 17 59 19 55 20 40 22 56G olf d e C h a n tilly .. » » 8 48 11 17 » H T ® * 18 01 19 57 D »S a in t-M a x im in . . . 6 21 7 17 O.F 8 50 11 19 12 51 14 54 u. D F. 18 03 D . F . 19 59 20 43 23 59

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P aris-C hantillY -Senlis-C répY -en-V aloïs

PARIS...........CUITILLT . . | j Saint-Maxim.Golf ................V ineu i l ..........S a in t-F irm inSt-N icolas .A .SENLIS. | ad MontlévêqueB o res t ...........B arbery ........R u lly .............Fresnoy-le-L.Le L u a t ........A u g e r - S t- V , .CREPY ..! • • •

j Sem D. F.

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18 53119 40 18 55]19 42 18 58 19 4519 02 19 05 19 09 19 1219 16 19 20 19 24 19 29 19 32 19 34 19 38

19 49 19 52 19 56

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21*34j23*54 21 39;23 5921 42 21 46

0 02 0 06 0 070 11 »

0 18 0 23 0 26

0 31 0 39

Q uels sont ces M ém oires du SONNEUR ?S im p lem en t quelques histo ires glanées dan s les v ieux jo u rn a u x de Senlis,

com plétées p a r les souven irs de ce fidèle so litaire du clocher. En tira n t p h ilo so p h iq u em en t su r la corde, il avait le tem ps de réfléchir ; en ou tre ses lo isirs lu i p e rm e tta ien t de sa tisfa ire une curiosité bien n a tu re lle en je ta n t, de son observato ire, un coup d ’œ il sû r les événem ents qui se. dé ro u la ien t dans la bonne ville de S en lis et qui frap p a ien t son im ag ination .

S ans au cu n e p ré ten tion le Sonneur vous dit com bien il a im a it ses cloches, pourquo i il les a qu ittées et, à tout seigneur tout h o n n eu r, il a réservé une large p lace au coq et à son cher clocher.

T rop p ro fa n e p o u r e ffleu rer l’histoire, dont il ne respecte m êm e p as l’ordre chronologique, le S onneur, un peu au h asa rd de sa pensée, ég ra in e ses souven irs et ép a rp ille quelctuos h istorieties C’est a in si qu ’il donne le détail d ’un 14 ju ille t en 1791 à Sem is. , , .VT'cUime o r savoir A lexandre D um as capab le de d ire du m al des Sen lisiens.

Il a dû vivre b ien v ieux car les d iligences lui son t fam iliè res , il ass is te à l’in au g u ra tio n de la ligne S enlis-G hantilly , s’étonne de voir rev en ir su r les rou tes des d iligences nouvelles au x form es é tranges et dont la vitesse le su rp ren d .

I l écoute la T. S. F., la m usiq u e l’endort et le p longe dan s une rêverieb iz a rre b ref, il d isp a ra ît à tout ja m a is se croyan t persécu té p ar l ’é lectricitéson ennem ie im ag in a ire .

La p lu p a rt de ces petites h isto ires, dont l’én u m éra tio n figure ci-dessous, seront o rnées de la rep roduction d’un dessin o rig inal de M. Ch. H a l l o .

1° L e S o n n e u r e t s e s C l o c h e s ..........: ............................................................ I d e s s i n .

2 " L e C o q d u C l o c h e r d e S e n l i s . . . . ................................................ 1 d e s s i n ..3° L e C oq n ’e s t p l u s s u r l e C l o c h e r ............................................. i d e s s i n .

S a r é i n s t a l l a t i o n l e 2 8 M a r s 1 9 3 4 ............................................... 1 h o r s - t e x t e .4 ° L e C l o c h e r d e l a C a t h é d r a l e . : ..................................................... 1 dessin.

Q u e l q u e s N o t e s H i s t o r i q u e s . : . ............................................... i h o r s - t e x t e .5 ° L e C o q d u C l o c h e r d e S a i n t - V i n c e n t .................................... 1 d e s s i n .

0 ° L e G h a t e a u R o y a l .................... ............. . f f , ............................................. 1 d e s s i n .7 ° N . - D . - d e B o n - S e c o u r s — P è l e r i n a g e .......................................... 1 d e s s i n .

8 ° L e 14 J u i l l e t a S e n l i s e n 1 7 9 1 .9 ° C o s t u m e s d ’a u t r e f o i s e t C o s t u m e s d ’a u j o u r d ’h u i 1 d e s s i n .

1 0 ° A l e x a n d r e D u m a s , S e n l i s e t l e s S e n l i s i e n s .11° L e s G a r d e s B a r r i è r e s .......................... | ................................................. 1 d e s s i n .

12° P r o p o s d e N o u v e l A n . 11 3 ° D i l i g e n c e s , C h e m i n d e F e r , D i l i g e n c e s ..................................... 1 dessin .14° C a l v i t i e e t P u b l i c i t é C r â n i e n n e . I1 5 ° U n R ê v e e n é c o u t a n t l a T . S . f ’.

1 0 ° L e G a r d e m e u r t e t n e s e r e n d p a s .............................................. i d e s s i n .1 7 ° L a f i n d u M o n d e .

E. VIGNON.

C e t o u V r a g e c o m p r e n d 17 c a r t e s s é p a r é e s , l e t o u t e n f e r m é d a n s u n c a r t o n n a g e . P r i x d e s o u s c r i p t i o n : 1 5 f r a n c s .

C e t o u v r a g e c o m p r e n d 17 c a h i e r s s é p a r é s , l e t o u t , e n f e r m é d a n s u n v o u l o i r s e f a i r e i n s c r i r e a v a n t l e 1er j u i n , d e r n i e r d é l a i , e n r a i s o n d u t i r a g e q u i s e r a t r è s l i m i t é .

Chemin de Fer du NordSEIUVICE D’ÉTÉ A.U 1S MA.I 1934

C répY -en-V alois-Senlis-C hantill Y -Paris

LA REUNION ANNUELLEDES ANCIENS ELEVES

DE SAINT-VINCENTLe jo u r de l ’A scension S a in t-V incen t

recevait ses A nciens lèves à l ’occasion de le u r réu n io n annue lle . Dès d ix h eu ­res, d an s la co u r d ’h o n n e u r si accueil­lan te avec sa p a ru re d ’a rb u s te s e t de fleurs, des g roupes an im és se fo rm en t; ils e n tre n t d an s la C hapelle m agn ifi­quem ent ornée e t tou te parfum ée des p ieux sou v en irs que ch acu n va évo­q u er p e n d a n t la m esse so lennelle célé­b rée p a r u n A ncien , M. l ’Abbé M aurice H oudard. C ependan t à la tr ib u n e la C horale, sous l’h ab ile d irec tion du P. D urand , conim ence une M esse à deux voix, très sim ple, m ais trè s expressive, l’uis ap rè s l’E vangile , M onsieur le Su- p é r ie u r m onte en ch a ire e t dem ande u ne p riè re p o u r les ab sen ts , su rto u t p o u r les C am arades d é fun ts e t p lus p a rtic u liè rem en t p o u r les g lo rieuses v ic tim es de la G rande G uerre don t il rap p e lle les nom s : tro p longue liste que l ’a ss is tan ce écoute debout dan s un recu e illem en t im p ress io n n an t. Lé S a in t Sacrifice s ’achève et p rocession- ne llem en t on se ren d d ev an t la V ierge dou loureuse, g a rd ien n e des p laques de m arb re su r lesquelles son t in sc rits les. iiom s des A nciens tom bés au C ham p d’h o n n eu r. Le « De P ro fu n d is » s ’élève lentem ent... m in u tes ém ouvantes... lé p rem ie r des souven irs de cette Fête de l’A m itié a u ra été p o u r nos ch ers dé­funts.

Une dem i-heu re p lu s ta rd les convi­ves, p a rm i lesquels p lu s de q u a tre - v ing ts A nciens, é ta ie n t assis d ev an t les longues tab les dressées dan s le g ran d R éfectoire, ra je u n i depu is quelques se ­m aines e t so b rem en t décoré, Et les conversa tions s ’en g a g e n t : on est h eu ­reu x de p a r le r du p ré sen t, de l ’aven ir, m ais su rto u t du passé. Et in sen sib le ­m ent, tan d is que se déroule le copieux p rog ram m e in sc rit su r d ’a rtis tiq u es m enus, a rr iv e le m om ent des toasts. Le p rem ie r s ’ad resse au x A nciens : il est po rté p a r u n jeu n e Philosophe Sen- lis ien , M. P h ilip p e C arlier, qui a dé­serté a u jo u rd ’hu i les ja rd in s d ’A çadé- mos p o u r g ra v ir le P a rn a sse : c’est en v ers en effet qu ’il souhaite la b ienve­nue au x A înés et les p rie d ’accu e illir b ien tô t avec une fra te rn e lle b ien v e il­lance les Jeu n es de S a in t-V incen t. Le nouveau P ré s id e n t de l’A ssociation des A nciens Elèves, M. P ie rre P a re n t, lu i répond : oui, les A înés accu e ille ro n t leubs cam arade,s p lu s J e u n e s ; m ais que ceux-ci n ’a ie n t p o in t p e u r de la vie. On la d it p lu s rude q u ’au trefo is ; c’est p eu t-ê tre v ra i, m ais quelle époque n ’a pas eu ses d ifficultés ? l’essen tie l est de les a ffro n te r avec confiance e t courage ; ici d ’a illeu rs on ap p ren d à lu tte r e t l ’on reço it les a rm es qui p e r­m e tten t de trio m p h er. M onsieur le S u ­p é r ie u r se‘ lève à son tou r. Il sa lue la m ém oire du vén éré P ère D ublanchy et celle de M. L. Soualle ; il souhaite la b ienvenue à M. P a re n t et à M. de L a- porte , le nouveau P ré s id e n t de la So­ciété im m obilière ; pu is , s ’ad re ssa n t

; au x chers A nciens, il les rem ercie de leu r fidélité e t le u r p ro m et d ’ê tre le g a rd ien v ig ila n t des trad itio n s de S t-

i V incen t e t de m a in te n ir in ta c t l’e sp rit m a ria l, e sp r it de m esu re , de sim plic ité et de b ienveillance , qu i p réside à l’édu­cation qu’on y re ç o i t ; c’es t cet e sp rit qui c o n ju re ra l’av en ir de l’In s titu tio n tou jo u rs jeune , m alg ré ses 98 ans. E t le B an q u e t s ’achève p a r le c h a n t t ra d i­tionnel : « D ieu pro tège le V ieux Col­lège ! »

| On qu itte le réfecto ire p o u r p a sse r s u r la Cour des G rands où se fa it déjà

. en ten d re l’excellente H arm onie M uni­cipale de Senlis. Là p e n d a n t deux h e u ­res se succèdent, des exercices de gym ­n astique , sous la d irec tion de M. De- eain , des a ssau ts d ’escrim e que p ré s i­de M. Domas e t des jeu x v a r ié s1 qu i ob­tie n n e n t le p lus vif succès. A les con­tem pler, les A nciens sen ten t rev iv re leu r jeunesse que beaucoup d ’a illeu rs , Dieu m erci ! n ’on t pas encore perdue, comme les ra je u n is se n t au ss i les con­v ersa tio n s avec les M aîtres e t Amis re trouvés. Jo u rn ée douce et fo rtifian te qui sem ble avo ir été m arquée p a r un ca rac tè re p lus p a r tic u lie r d ’in tim ité , p ré lude lo in ta in des fêtes de 1936, l’a n ­née du C entenaire.

Testis.

C O N F I S E R I EAu D u e d e S a i n t - S i m o n

SEIMllS, 4 4 , place de la Halle

re et deuxièm e catégories. F inale des prem iers : 1. 80 francs ; 2. 60 francs ; aux deuxièm es des y2 finales : 20 fr. Engagem ent 3 francs.

Elim ination. A utant de tours que deco u reu rs . Départem entale quatrième catégorie et débutants, 30 francs, 25 francs, 20 francs, 15 francs, 10 francs. E ngagem ents 2 francs.

Match A isne contre Oise. Coursepoursuite pàr équipés (4 équipes) 4 kilom ètres.

Individuelle 10 kilom ètres, 30 tours.2 classem ents 15 et 30 tours, 40 francs, 30 francs, 25 francs, 20 francs, 15 fr. Engagem ent 2 francs.

P r ix A n d r é T r o n c in , a m é r ic a in e 100 tou rs. 250 fran cs, 200 f ra n c s , 150 f r a n c s , 100 fran cs , 80 fran cs . E n g ag em en t 4 fran cs l’équipe.

Engagem ents clos le m ercredi 23 mai, a 19 heures, chejs M. Guizelin, 13, rue de Beaüvais, à Senlis.

- » 0 « -

Syndicat des Dentistes de l'OiseLe Syndicat deà D entistes de l ’Oise

soucieux de la dignité _ de sq profes­sion, m et le public en garde contre les réclam és tapageuses et les prom esses irréalisables de certains dentistes peu scrupuleux.

De v éritab les firm es com m erciales au nom pom peux Sont m a lh eu reu se ­m en t créées p o u r l ’exp lo ita tion d u p u ­blic, à u s s i les so ins donnés e t les a p ­p a re ils de p ro th èse fo u rn is p a r ces m aisons ne p eu v en t ê tre n i sé rieu x , ni h o n n ê tem en t faits.

Les praticiens ; honorables, désar­més en l’occurrence, sont les, victim es de tels agissem ents m ais leur Syndicat jette le cri d'alarme contre ces officines au x fallacieuses prom esses, véritable danger pour la santé publique.

Lé Président,P. BOUDOT.

9447- * o « -

D E B I T S DE B O IS S O N SA l’oCcasion des Fêtes de la P ente­

côte, M. le Préfet de l’Oise autorise les débits de boissons et autres lieux pu­blics à rester ouverts le 20 m ai 1934 jusqu’à 2 heurés du m atin et le len ­demain jusqu’à une heure.

-»o«—

Les Compagnies d’A ssarances « L’ABEILLE »

toutes branches, recherchent Agent Général pour le Canton de N anteuil-le- Haudouin et localités environnantes.

A d resser les dem andes à M. OLLI- , VIER-M ARNIER, in sp e c te u r général,

4, ru e Em ile Zola, à ANTONY (S ein e).9460

R e s t a u r a n t ROULETTESAINT-NICOLAS

BRIt Dim anche et Lundien Soirée

p a r » l ’e x o e l l e x i t , « J a z zN Ê - N Ê

LA REVUE DES LECTURESNous reportons à notre prochain nu­

m éro, le compte rendu de la conféren­ce de « La Revue des Lectures » qui fu t trè s appréciée par les auditeurs.

— »o«-----------

TRIBUNAUXUn décret vient de c lasser a in si les

tribunaux de l ’Oise :B eauvais, 2e au lieu de l r* classe,S en lis , 2° au lieu dè 3* classe.Clermont et Compiègne, 3* classe.

-» o « -

T é l é p h o n e 324

B I S C U I T E R I E C hocolats - B on b on s

P etit B eu rre L .-U . - C aram els fra isSpécialités pour baptêm es 806

AU VELODROME TURQUET DE LA B0ISSERIE

SENLISD im anche 27 m ai, tro isièm e réu n io n

de la sa ison cycliste 1934, avec un fort joli p rog ram m e de courses com pre­n a n t n o tam m en t le ch am p io n n a t de l ’Oise v itesse 1934, réservé au x hors catégories, p rem ière e t deuxièm e ca­tégories du d ép a rtem en t e t les ch am ­pions des ca tégories in fé rieu re s qui se ro n t qualifiés d ’office p a r le com ité d ép artem en ta l.

Le cham pion 1933 L au ren t, a y a n t ch an g é de club e t n ’é ta n t p lu s licencié d an s l’Oise, à qui rev ien d ra sa succes­sion des F ay a rd , B ern a rd , L e te llie iy H erbain , G allard , V oillot, N icholls, Giffaux, etc.

Le cham pion de v itesse de l ’Oise 1927-1928 E. H ury, s ’e n tra în e avec fo r­ce en ce m om ent et il do it fa ire sa ren trée à l ’occasion du ch am p io n n a t 1934 ; nous ap p lau d iro n s vo lontiers à son succès, c a r il a tou jo u rs d ig n e­m ent rep résen té le S. V. Senlis.

Le cham pionnat de l’Oise 1934 sera encadré par un match ppùrSuite Aisne con tre Oise en sé ries et finales sur 4 k ilom ètres qu i m e ttra au x p rise s les équ ipes de l’A isne rep résen tées p a r Ca- ré-Q uevreux, de S a in t-Q uen tin et B oda- R igal, de C hauny, et les équ ipes de l'Oise G alla rd -F ay ard et H erbain -L etel- lier, Qui rem p o rte ra ce m atch ? Voilà le p o in t d ’in te rro g a tio n . L’on dit g ran d b ien des deux équipes de l ’A isne dan s les m ilieux cyclistes chauno is e t les S en lisiens se ro n t à h a u te u r de le u r tâ ­che le 27 m ai.

D’au tre s ép reuves en ca d re ro n t les courses p rin c ip a le s du p rog ram m e d on t une am érica ine de 100 to ü rs , le p rix A ndré T roncin . Du re s te nous vous donnons ci-dessous le p rog ram m e com plet de la réun ion .

Championnat Oise vitesse 1.000 mè­tres, réservé aux coureurs de prem iè-

UNE ESCROQUERIE PEU ORDINAIREau préjudice de l'Etat

Au cours d’une enquête judiciaire, relative à une déclaration mensongère d’état civil (naissance) à la Mairie de Senlis, le 30 novembre 1933, par le sieur Ch... G..., brigadier-chef, au 4* Spahis m arocains, à S en lis , M. K asî- ner, com m issaire de police; découvrit que le dit m ilitaire en fa isan t passer officiellem ent un en fant naturel adul­térin pour un enfant lég itim e, s'était fait octroyer frauduleusem ent, pour cet enfant, une indem nité m ensuelle de 130 francs pour charges dq fam ille . Pressé de questions par le m agistrat enquêteur, Ch...., reconnut avoir ag i sciem m ent et en p leine connaissance de cause et avoir commis a in si une vé­ritable esèroquérie au préjudice de l ’Etat.

Les sommes escroquées s’élèvent à 650 francs pbur la période allant du l ,r décembre 1933, au 30 avril 1934.

L’autorité m ilitaire com pétente a été prévenue de Ces faits ffâiiduleux, par M, le Commissaire de police et Ch... ne percevra plus 130 francs par m ois d’in­dem nité de charges de fam ille.

Le Parquet est sa isi de cette affaire et l’enquête continue.

Alphonse CIGOGNEvous invite à voir ses MEDAILLES, ses COLLIERS,

ses BRACELETS, ses MONTRES EN ORleurs poids, leurs qualités, et leurs prix et tous CADEAUX pour la Prem ière Communion. 9 4 0 9

«■■■■■■■a»«■■■■■■■■■■■■■■■■■SE R V IC E D E S E P A V E S

Au cours de la quinzaine écoulée, il a été trouvé sur la voie publique et dé­claré au Commissariat de police (Ser­vice des épaves) les objets suivants 1

Objets trouvésUne chienne griffon sous

marron et taches blanches.Un m écanism e de carabine.Un portem onnaie fermeture éclair,

contenant 16 francs.Une plaque de contrôle de b icvclette

année 1934.Objets perdus

Une montre d’homme en argent re­présentant au dos des fleurs de chêne.

Un portem onnaie usagé de couleur rouge et contenant 13 francs environ.

Une chaînette en or avec une mé­daille et une croix en or.

Un chapeau de paille de dam e de couleur marron.

Une écharpe de couleur rose.

pelage

Page 4: jïjüi Le Congrès de Clermont et surtout celui de Metz L’A ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_05_20_MRC.pdfun mouvement particulier pour deve nir un gestè national

ETAT CIVIL DE SENLISdu 11 au 17 m ai 1934

11.N aissances

N icoie-Andrée-Raym onde D ra ­geon, 21, ru e B ellon. .

14. S im one M orel, 1, fau b o u rg S a m t- M artin .

P ublications de M ariagesE n tre M. A u g u ste -Ju lien L ance, cu l­

tiv a te u r,, d e m e u ra n t à P a rc y ( J u ra ) , e t M lle Jean n e-M arie Cas, cu is in iè re , de­m e u ra n t à Clux, et ré s id a n t à S en lis , 8, ru e de l’O rm e-qui-B aie.

E n tre M. A ndré-E m ile R idel, m açon, d e m e u ra n t à S enlis, ru e du H aut de V illevert, et M lle B é ran g è re -P au le tte D escam ps, cu is in iè re , d e m e u ra n t a Chamant.

Décès11. L o u is -E d o u a r d R ie a u t , 47 a n s , l i ­

b r a ir e , 13 , r u e S a in t - H i la ir e .

NOCESBANQUETS

H O T E X j l e s t e r r a s s e sC EE -A -IT T IT -iI-i-'Z " . m

VOLEURS CONDAMNESEN CORRECTIONNELLE

Les nom m és P o irée A uguste , 69 an s m an o u v rie r à to u t fa ire , e t J a b in Jo ­seph , 60 an s, m an œ u v re dom iciliés tous deux, ru e de la M ontagne S a in t-A i- g n a n , à S en lis , in cu lp és de vol, p a r la police locale, o n t été condam nés ch a ­cun , le 11 c o u ran t, p a r le tr ib u n a l co r­rec tio n n e l de n o tre v ille , à 8 jo u rs de p riso n sa n s su rs is .

THEATRE MUNICIPAL CINEMA DE SENLIS

T ous les so irs , du V endred i 18 au L u nd i 21 m ai, D im anche, m atinée .

A ndré BAUGE d an s LE BARBIER DE SEVILLE

e tLES NOCES DE FIGARO

d’a p rè s B eau m arch ais . M usique de R ossin i e t M ozart, avec Jo se tte Day, J e a n G alland , C h arp in , P ie rre Ju v e- n e t, H élène R obert, etc.

SLIM CHEZ LES MARSOUINSComédie com ique.

II ECLAIR JOURNAL II A ctualités p a r la n te s (les p lu s récen tes)MMMMMaaas»aa«aasaaaBaaaaaaa«a««a”**s*aaaasaiillllliaiaN*a

PECHE A LA BALEINE D ocum enta ire com m enté en fran ça is

JOYEUX LAPIND essin an im é sonore.

CARNETNAISSANCE

— M. Jacq u es B o u lan g er e t M adam e, née M arie-L ouise R iche, d ’A utheu il- P o rtes , son t depu is quelques jo u rs les h eu reu x p a re n ts d ’une fille qu i a reçu le p rénom de B ernadette .

Nous som m es h eu reu x de fé lic ite r les p a re n ts et les g ra n d s -p a re n ts , M. Gas­ton B oulanger, conseille r g én éra l de l ’Oise e t Mme G aston B ou langer, M. Ju lien Riche, ad jo in t au m aire de Com- p iègne et Mme Ju lie n R iche, a in s i que les a rr iè re g ra n d s -p a re n ts , M. e t Mme M ouret, nos sy m p ath iq u es concitoyens.

♦* * FIANÇAILLES

— Nous a p p ren o n s les fiançailles de Mlle M arguerite C h arp en tie r, fille de . Mme et de M. C h arp en tie r, ( re s ta u ra n t du P e tit-V a te l) , avec M. Ju le s Fossiez, fils de Mme veuve M ario tta .

Nous ad resso n s nos com plim ents au x jeunes fiancés, et à leu rs fam illes.

9472¥

NECROLOGIE

— Nous avons a p p ris avec p eine la m ort sub ite d ’u n de nos excellen ts dé­p o sita ires , M. Louis R igau t, l ib ra ire - p ap e tie r, e t dép o sita ire du « C ourrier de l ’Oise ».

M. R ig au t effectuait le so ir vers 8 heu res , une to u rn ée ru e des B ordeaux, qu an d soudain d escen d an t de b icycle t­te, il fu t p ris d ’u n m ala ise e t succom ba p rc sq u ’aussitô t.

Le D octeur C orpechot appe lé im m é­d ia tem en t n ’a pu que co n sta te r le décès dû à une ang in e de p o itrine . M. R ig au t n ’é ta it âgé que de 47 ans.

Ses obsèques on t eu lieu lu n d i a p rè s - m idi à M eaux, ap rès u n serv ice re li­g ieux en la C athédrale de cette ville.

En cette dou loureuse c irconstance, nous ad resso n s à Mme R igaut, sa veu­ve, à Mlle R igau t, sa fille et à la fam ille en deuil, nos b ien vives condoléances.

MESSE ANNIVERSAIRE

— U ne m esse se ra d ite à la C athé­d ra le de S enlis, le m ercred i 30 m ai 1934, à 9 h eu res, p o u r le repos de l’âm e de M adam e P a u l Collin, née T hérèse R edault.

Le p ré se n t avis t ie n d ra lieu de fa ire p art.

★ ★

REMERCIEMENTS

— Mme R ig au t rem ercie les p e rso n ­nes qui lu i o n t tém oigné des m arq u es de sym p ath ie e t a celles qui on t a p p o r­té des fleurs, à l ’occasion du décès de M. Louis R igaut. 9449

— M adam e Cuvinot, Mme F ran ço is e t le u r fam ille, rem erc ien t b ien s in ­cèrem en t tou tes les p e rso n n es qu i ont ass is té à la m esse a n n iv e rsa ire de le u r chère P au le tte . 9471

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SE R V IC E P A R F A IT F - 3R I 2 L .A- F O R I T A Ï T

CHANTILLYSyndica t d ’in itia tive

La Fédération des Syndicats d’in itia ­tive de la Région Parisienne (dont fait partie le Syndicat de Chantilly) vient d ’obtenir au concours public ita ire orga­nisé par le Comiété de la Foire de Paris, entre les 750 Syndicats d ’in itia tive de F rance le Grand P rix avec médaille d or.

C’est un précieux encouragem ent,' pour la région parisienne en général et

pour Chantilly en particu lier, à con ti­nuer son travail de publicité p ar im pri­més, p a r photographies et p ar conféren­ces, conférences avec projections et con­férences radiophoniques.

Au Congrès de tous les Syndicats u i- nitiatives de France, qui s’est tenu le écoulé à la Foire de P aris, plusieurs rap p o rts furent consacrés à l’utilité des Conférences et des causeries rad iopho­niques. . .

R appelons à ce sujet, qu au jour <1 hm samedi 19, à 16 heures, le P résiden t de la Commission de Publicité du S. I. de C hantilly fera une p rem ière causerie sur no tre ville au Poste national de la Tour Eiffel. Soyez à l’écoute.

E t le m ercredi 23 courant, il donnera en la Salle des Fêtes de la Ville, a 8 heures 45 précises, sa conférence sur

Chantilly, domaine princier

qui a obtenu à Beauvais et à Senlis, le succès que l’on sait.

Ajoutons que cette conférence sera sui­vie de la projection de la rem arquable collection des clichés du Syndicat d In i­tiative. . . . i ^ „

Cantiliens, qui êtes si justem ent fiers de votre château et de ses richesses, ne manquez pas de ven ir entendre sa p res­tigieuse h isto ire à travers les siècles de­puis l’occupation rom aine jusqu’au Duc d’Aumale qui en fit généreusem ent don à l ’Instiu t de France.

Soulignons que pour perm ettre a tous nos com patriotes d’y assister, l ’entrée sera entièrem ent gratuite et il ne serafait aucune quête. , o u a c

Donc à m ercred i soir, 23 m ai, 8 h . 40 précises, en la salle des Fêtes de la Ville.

C’est le lendem ain, 24 m ai, que se tiend ra à Chantilly, l ’Assemblée générale de la Fédération des Syndicats d In itia­tive de la Région parisienne. Voici le program m e de la journée :

D épart de Paris-N ord : 9 h. 25 ; a r r i ­vée à Chantilly : 9 h. 55.

10 heures : Réunion générale de tous les représentants des S. I. venus p ar le tra in ou p a r la route, au bureau de ren ­seignements du S. I. (place de la Gare, à Chantilly).

10 h. 05 : D épart pour le Château (par l’avenue des Aigles). ^ -

10 h. 15 : Visite des petits apparte­m ents du Château.

11 h. 30 : Assemblée générale à l’Hôtel de Ville (rue du Connétable).

12 heures : Réception p a r la Munici­palité et le S. I. de Chantilly à la Mairie.

12 h. 30 : Déjeuner amical à l’Hôtel duParc, à l’issue du déjeuner :

1° Allocution de M. Pauwels, p rési­dent du S. I. de Chantilly ;

2° Allocution de M. Paulvé, m aire de Chantilly ;

3° Radio-reportage Visite de Chantilly, pa r M. Georges Géville, de l’Office natio­nal du Tourism e ;

4° Causeries :A) Sur Chantilly, p a r M. H enri Malo,

conservateur du Musée Condé ;B) Les Courses à Chantilly, p a r M.

Lucien Robert, en tra îneur de M. le ba­ron Edouard de Rothschild.

C) Les Chasses à Chantilly, par M. Lu­cien Roulland, mem bre de l’Equipage de Noailles.

5° Sonneries p ar les Piqueurs de l’E­quipage de Noailles.

Toutes ces causeries seront radio-dif- fusées p ar les soins du Poste des P. T. T,

14 h. 45 : Excursion (départ), Le Lys- Chantilly, Plage de Boran (réception par le S. I.), Lamorlaye, Coye-la-Forêt, les Etangs de Comelle et le Château de la Reine-Blanche, la forêt de Chantilly, la Table, Senlis.

17 heures : Réception à l’Hôtel de Ville de Senlis p a r la M unicipalité et leS. I. . .

17 h. 30 ; D épart pour Chantilly, a rr i­vée à Chantilly vers 18 heures.

Dislocation : Répart de Chantdly : 18 h. 22 ; arrivée â Pgris-N ord; 19 h. 03.

Les personnes qui désirent assister au déjeuner sont priées de se faire inscrire à l’Hôtel du Parc, 24, avenue du Maré­chal Joffre.

P r i x d u d é j e u n e r : 2 8 f r a n c s s e r v i c e c o m p r i s .

. Musique

La Lyre sym phonique de Saint-Denis que dirige avec autorité le com positeur Ch. Esnault a donné dim anche dern ier de 15 h. 30 à 16 h. 30, un concert tout particulièrem ent apprécié sous les om­brages du Bois Bourillon. Nombreux étaient les prom eneurs qui applaudirent à l’audition, précieux encouragem ent pour la M unicipalité qui, en servant l’art m usical, procure en même temps aux Cantiliens et aux touristes la plus agréa­ble des distractions.

Au program m e, la Marche de Tann- hauser, de W agner, l ’ouverture de la Princesse Jaune, de Saint-Saëns, une Kermesse de Gillet, le Ballet Egyptien de Luigini et l ’ouverture du Barbier de

Séville. Ces différents morceaux exécu­tés avec beaucoup de compréhension par la Lyre symphonique, au reste supérieu­rem ent conduite par son chef d’orches­tre.

Au déjeuner servi à l’Hôtel Moderne, p riren t successivement la parole M. Es­nault, d irecteur, qui eut un mot aimable pour ie vice-président de la Société M. Dupont, et pour son collègue cantilien M. Daguet, représentant la Musique Muni­cipale ; M. Dupont, capitaine de gendar­merie honoraire, vice-président de la Lyre, qui exprim a fort aimablement sa reconnaissance à M. Daguet et à la Muni­cipalité de Chantilly, dont il souligna tout particulièrem ent l’intéressante ini­tiative d’organiser des réunions musica­les susceptibles d’exercer entre autre chose sur les masses l’influence la plus heureuse. » , /

Enfin M. Daguet rem ercie les onjyi/s d e leur a m a b i l i t é et s ’a s s o c i e entiim nent à leurs vues. Il félicite la Lyre de Sainf- Denis de posséder un chef tel que M. E snault. Il ne doute pas que la Société ne continue à prospérer comme à con­ten ter les am ateurs de bonne et saine musique.

La Lyre de Saint-Denis a produit à Chantilly la meilleure impression. En souhaitant de la revoir un jour nous perm ettons de la rem ercier de l ’agrément qu’elle nous a donné.

R. B.

Journée <Ie VAssociation Saint-LouisLes Anciens de l ’Association Saint-

Louis ont célébré leur fête annuelle di­m anche dernier.

Ils assistèrent à la messe de 10 heures célébrée p ar M. le Doyen, tandis qu’en chaire M. l ’abbé Husson faisait le pané­gyrique de la sainte, retraçant sa vie surnaturelle et insistant sur ce fait que quiconque travaillait à se transform er m oralem ent arrivera it à des résultats mi­raculeux.

L’Assemblée générale eut lieu après la messe au Patronage et à midi les anciens et quelques jeunes étaient réunis à l’Hô­t e l d ’A n g l e t e r r e , a u t o u r d ’u n e fort belle tab le de 60 co uv erts que pré-sida H M. leDoyen ayant à ses côtés m . ie c m o n c i Arrault, p résident du Comité du P atro­nage, M. l’abbé'R âpp, aumônier de l’Hô­pital des Jockeys, M. l’abbé Husson, MM. Lai né, Dez, Sandauco’urt, Claparède, Re­nard, Daipré, Boullet, Gibaud, Boudoux, Fortin , Fossier, Aubin, Bosse, Dupuis, Deguét, Camus, etc., etc.

Le repas, excellemment servi, fut des plus gais. Au dessert, M. le colonel Ar­rault, p rit le prem ier la parole, nous parlant de Saint Louis, grand roi, grand soldat et grand saint, qui incarna si bien à son époque ce que — respect gardé — nous appelerions aujourd’hui un « chic type ».

M. le Doyen étudiant à son tour la haute figure de Saint Louis insiste sur ce que Saint Louis doit sa beauté morale à l’esprit de foi religieusem ent cultivé en lui par sa mère la reine Blanche de Castille. Passant ensuite à la Sainte du jour, à Jeanne d’Arc, M. le Doyen op­pose la Jeanne surnaturelle à la Jeanne laïque qui, sa mission term inée, ne con­naît plus que les revers de la fortune pour finalement m onter sur le bûcher de Rouen. Il nous m ontre Jeanne éveillant l’esprit national et son sacrifice con­sommé comme quoi elle sauve le patri­moine de Saint Louis en constituant une nationalité française qui v a pe^.M ére de bouter l ’A n g l a i s hors de France, . e s t pourquoi Jeanne est fêtée aussi bien comme patriote que comme sainte.

M. l’abbé Husson rem ercie les convi­ves et en quelques mots où vibre son cœur tire la conclusion des discours re­com m andant particulièrem ent l ’Union des âmes. Les partis sont forts par leur mvstique. La nôtre à nous chrétiens est très belle qui a fait une Sainte Gene­viève, un Clovis, un Saint Louis. Ayons notre mystique, cultivons-la, prenons les gens par les âmes. Autant que des ames vivront pour elle la France ne m ourra

P La journée se term ina sur l’audition dans la Salle Saint-Louis d’une opérette et de deux comédies, montées par les plus jeunes à l ’intention de leurs aînés.

IBBBBBBBBB®a a a a a a a a a a a a a a B a

Au Val Saint-Georges

Le Lundi de Pentecôte (21 Mai)

GRAND GALA SPORTIFavec le coenours de René D u v e r g e r Champion de France 1931-32-33-34

Champion Olympique de Poids et Haltères

et Recordman du monde

— « TOURNOI D’ESCRIME »— par René Rossi, Champion de Paris 1932

2*' Série Fleuret (F.G. S. P. F.)et Adrien R o m m e l , Champ, d e Paris 1933

l re Série fleuret (F. G. S. P. F.) et les Amateurs qui voudraient

y p rendre part

TROUPE DE JEUNES ACROBATESdans leurs sensationnels numéros

de voltige et d’acrobaties Les fameux Clowns parisiens

Teddy, Ogust and Partner -:- dans leurs désopillants sketchs

LES HELLIMS GORS René D u v e r g e r et Fernand G o d e n a i r e ,

athlètes dans leurs num éros de force et d ’acrobatie

P rix d’entrée : 3 francs

L’U. S. Cheminots Creil-Nogent fina­liste du cham pionnat F. F. B. B. ;

L’A. G. St-Médard Creil et Coye, et d ’autres,feront l ’impossible pour que la Coupe de la Reine Blanche reste dans l’Oise.

Cela nous prom et de magnifiques ren ­contres le lundi de la Pentecôte et il y aura foule au parc de la Ruche.

Pour tous renseignem ents écrire à J. Longa, 15, rue de la Gare, à Coye.

CR EIL

On lit dans l’Inform ateur de Soissons:A la gendarmerie. — Prom u depuis le

10 mai au grade d’adjudant, le m aréchal des logis-chef de gendarm erie, Jean-Ma- rie Sourget, de Charly-sur-Marne, vient d’être nommé à Creil (Oise), où il p ren ­dra possession de son poste le 25 mai.

Nos regrets de voir p a rtir M. Sourget, avec qui nous avons toujours entretenu d ’excellentes relations, sont tempérés par le p la isir que nous cause l’avance­ment m érité qui lui échoit.

Nous lui adressons nos souhaits de bienvenue.

ETAiVIGNY

Mort accidentelle. — On a découvert, ne donnant plus signe de vie, dans l ’écu­rie de son patron, M. Stéphan, Depoilly, cultivateur, le charre tier Edm ond Har-let, 63 ans.

Le Docteur Rodrigue a constate que le charre tier avait plusieurs côtes frac­turées au dessous du sein gauche.

On suppose que Harlet a reçu un coup de pied de cheval ou qu’il a eu un écra­sement contre l’abreuvoir.

Lq perm is d’inhum er a été délivré.FR E SIM O Y -L E -L U A T

M. Constant Cochet bénéficiaire du legs Féret. — Au cours de l’assemblée géné­rale de l’Union des Mutilés, Réformés et Anciens Combattants de l’Oise, tenue à Beauvais, M. le Préfet de l’Oise a invité M. Constant Cochet, de Fresnoy-le-Luat, à m onter sur la scène du lieu de la réu ­nion. ,

M. le P réfet lui a fait remise du legsFéret consistant en une somme d e 1 .0 0 0francs. En serran t la m ain de M. Uochet il a indiqué que celui-ci est pere de 12 enfants et qu’il a une femme malade depuis deux ans.

L’assemblée p ar ses applaudissem ents nourris, a ratifié l’heureux choix fait par le bureau de l’Union pour l’attribution de ce legs.

M O N T A T A IR E

Dans le clergé. — P ar décision de Mgr l’Evêque de Beauvais, M. l’abbé Chignac, curé de Rantigny, est nommé curé de M ontataire en rem placem ent de M. I ah

Hamelin, autorisé pour raison deSociété des Rallyes de Chantilly Le prem ier rallye de cette saison aura

lieu le 19 courant. Celle-ci s’annonce particulièrem ent brillante, qar cette jeune société, présidée par Mme la m ar­quise do Noailles et p ar M. M arceron al’intention, en plus des rallyes de tous j ^ _________les samedis, d’organiser un grand rallye i :Croire que depuis la guerre, l’esprit derébus, celui de l’an dern ier ayant obtenu sectarism e antireligieux qui fit tan t de

r> fi 11 fil f1 flll 1 A 4 -t-voxrc âfoit à 11P11 T)r6S CllS"

bé ------------santé à se re tire r du m inistère.

P O N T - S t e - M A X E N C E

Les Sœurs de l’Hôpital. — Un sectaire à Pont-Sainte-Maxence. — On pouvait

ratives », et passer aux guichets des banques Bénard et Cie. Le « National » ne coûte que 25 centimes, et ne doit rien à personne.

J. O l l i v i e r .

Fanfare Municipale. — Les p rin c i­paux dirigeants de la fanfare m unicipale rem ercient bien sincèrem ent les quel­ques fidèles am ateurs de ses soirées qui ont assisté samedi dernier au bal sous le m arché couvert.

Malgré un modique p rix d’entrée, la salle avait été comme de coutum e déco­rée, illuminée, cirée avec soin et l ’or­chestre d’une composition nouvelle a fait merveille. A la demande d’une ch ar­mante demoiselle on term ina cette soi­rée. (à deux heures du m atin) par une valse, puis chacun s’en fut en em por­tant les diverses im pressions que ne peu­vent m anquer de faire certains observa­teurs. Sgf

Lundi 21, avant to concert de 15 heu­res, te tirage de la tombola aura lieu comme prévu et si vous voulez gagner l’un des 200 lots de réelle valeur n ’at­tendez pas peur vous m unir des billets gagnants que détiennent les musiciens.

U. N. C. — Le Comité de la Section de l’U. N. C. rappelle que la liste d ’inscrip ­tion pour l’excursion du 3 juin à Os- tende va être close dans 2 ou 3 jours. Toutes les personnes désireuses de pro­fiter des conditions exceptionnelles qui leur sont offertes pour ce magnifique voyage sont priées de rem ettre leur ad­hésion sans plus tarder.

C. S. M. — Les Membres honoraires du Club Sainte-Maxence sont informés que le Comité organise à leur intention pour le dim anche 27 mai, au Stade Fould-Stern une belle réunion sportive dont le program m e p ara îtra dans notre prochaine chronique sportive. L’entrée sera gratuite pour tous les membres ho­noraires.

VAUC1ENIMES

L ’a b o n d a n c e d e s m a t i è r e s n o u s oblige à r e p o r t e r a u p r o c h a i n n u m é r o le c o m p t e r e n d u d u B o u q u e t P ro v i n c i a l d e V a u o ie n n e s .

VILUERS-SAINT-FRA1VIBOURGUn grave accident. — Dans la m ati­

née de lundi dernier, M. Auguste-Alfred Delaplace, âgé de 77 ans, domicilié rue de Pont, ren tra it chez lui, quand il vit déboucher de la place, à vive allure, un cheval attelé après un sem oir et sans conducteur.

Malgré son âge et n ’écoutant que son courage, M. Delaplace qui avait reconnu le cheval comme étant un de ceux de M. Darras, agriculteur, se m it en travers de la route pour b a rre r le passage à l’an i­mal ; il parv in t à lui p rend re la bride au pasage, mais le cheval ayant fait un brusque écart, faisait tom ber M. Dela­place et le semoir lui passant sur le bras droit lui faisait de très graves blessures.

Poursuivant son chem in, l ’anim al fut enfin arrêté p ar M. Marona, facteur in té­rim aire.

un grand succès et la recherche finale du trésor constituant toujours un hallali des plus mouvementés.

Dans les rallyes hebdom adaires, les deux gagnants (cavaliers et amazones) seront classés d’après le nom bre de fau­tes commises pendant le parcours sui les obstacles et, de tem ps en tem ps, un ieu ou u n e épreuve d’obstacles term ine­r o n t l a r é u n i o n . L e s p a r c o u r s , t o u j o u r s fv.rxo-s, t a n t ô t en f o r ê t d e C h a n t i l l y , t a n ­tôt en Erm enonville, perm ettront aux au­tomobilistes de suivre facilement.

Ces m anifestations que toutes les p er­sonnes aim ant et se servant des chevaux doivent encourager perm ettront d’atten­dre le Concours H ippique de Chantilly qui aura lieu les 29 et 30 septembre.

Pour tous renseignem ents, téléphoner au 130, à Chantilly.

Samedi 19 mai, rendez-vous à 15 heu­res, devant le Château de Chantilly.

C E E A JSTTXXjXj'SrH O T E L D U P A R C

N O C E SB â N Q U E T S

GRANDES SALLES ET SALONS ^

Les coursesLes pistes et la pelouse de l’hippo­

drome subissent actuellem ent une p répa­ration très minutieuse. C’est que les courses approchent. En effet, le P rix de Diane se courra le dim anche 10 juin. Les autres réunions auront lieu aux dates ci- a p r è s : v e n d r e d i 27 j u i l l e t , m a r d i 31 j u i l l e t , d i m a n c h e 2 s e p t e m b r e , m e r c r e d i 5 septem bre, dim anche 9 septem bre et m ercredi 12 septembre.

Les Spectacles L ’Am our guide (Chevalier).

— Les Trois Mousquetaires

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PLiATS C U Ie IN É S sur coiwitde

Le Patron, ex-chef de premières maisons, se met à la disposition de sa Cl^ntè^.hpur

cuisiner sur place, en vtlle et aux environ.Tout r e p a s de Noces , B anquet , 1" Communion, e*CgQ-

Jardins OuvriersDimanche dernier 13 mai, ,dans la

Salle des Fêtes, la Section cantilienne des jard ins ouvriers avait organisée une 3e distribution de graines.

M. Carré, conseiller m unicipal, en' touré du Comité présidait. Il présenta les excuses de M. le Maire et de MM- les adjoints retenus par d’autres réunions; celles aussi de M. Guilleminot.

M. Lemaître, président, annonça pour le 19 août prochain, l’anniuelle exposi­tion des jardins ouvriers.

La distribution des graines se fit en­suite à la satisfaction des nombreux ad­hérents. _____

Elysée. - Variétés.

(Milady).A V IL L Y -S A IN T -L E O N A R D

Accident. — Trois jeunes gens de Chantilly, Henri Lefèvre, 18 ans; Mau­rice Devienne, 17 ans, et Abel Viot, 16 ans, venant lundi soir, en bécane, à la fête d’Avilly, ont été victim es d ’un acci­dent par suite d’une excavation sur la route.

Devienne qui a une fracture du crâne, est à l’hôpital de Senlis, Lefèvre a une plaie à la face et Viot des éraflures à la figure.

On enquête.C O Y E - L A - F O R E T

Coupe de la Reine Blanche. — L’Es­pérance de Coye, organise le 21 mai (lundi de la Pentecôte) sonj annuelle Coupe de la Reine Blanche, ouverte aux sociétés de l’Ile-de-France ; F. F. B. B. et F. G. S. P. F. Grâce à la générosité de son président sportif, M. M. Mirabaud, cp tournoi est doté de deux coupes et d e n o m b r e u x p r i x .

D’ores et déjà le tournoi est assuré d’un grand succès, car de nombreuses équipes parisiennes et régionales ont prom is leur concours. Paris sera b ril­lamment représenté p ar :

L’Ü. S. P. L. M., brillan t vainqueur de l’année passée ;

Cham pionnet-Sports qui fit cet hiver une magnifique saison ;

L’A. C. Citroën une des meilleures équipes corpc^Rtives de F rance ;

L’A. S, St-Hippolyte au palm arès im­pressionnant ;

Le C. A. Jeunesse Ouvrière, le C. A. Jean Bouin, etc.

L’Oise, devant une pareille coalition, aura du mal à se défendre, mais

Le G. A. S. L. Chantilly, cham pion de l’Oise ;

m al à notre pays, était à peu près d is­paru. Après avoir vécu la même vie, souffert ensemble, les F rançais, se con­naissant mieux, étaient plus portés à res­pecter les opinions de leurs com patrio­tes, et à adm ettre que l’in térê t général p renne le pas sur leurs préférences p er­sonnelles.

Ce n ’est pas le cas d’un fonctionnaire l o c a l qui, d e p u i s l e s q u e l q u e s a n n é e s où il a échoué en notre petite ville, ne cesse de chercher à dresser les Pontois les uns contre les autres. Ce Monsieur qui, dans une feuille régionale, se pare du titre de Membre fondateur du groupe de libre- pensée, s’en p rend cette fois aux Sœurs de l’Hôpital et demande leur renvoi.

Il y a environ 6 mois décédait à l ’Hô­pital de Pont M. Huré, ancien adjoint au m aire, ancien institu teur. M. Huré avait été élevé dans des sentim ents religieux et avait déclaré, possédant toute sa lu­cidité, qu’il désirait finir comme il avait commencé.

Peu de jours avant sa m ort, il s’en tre­tin t longuem ent avec l’aum ônier de l ’Hôpital. Sur la fin, ne pouvant plus guère parler, il fit signe qu’il désirait quelqu’un ou quelque chose. Aux nom­breuses questions posées, il ne repondit rien ; mais quand on lui dem anda s’il désirait voir le p rê tre il fit aussitôt signe que oui et fit le signe de croix. La femme qui le soignait et qui était seule pré­sente, récita it son chapelet en insistant pour qu’on extrém isât son malade. M. Huré reçut les derniers sacrem ents.

Il fut enterré civilem ent sur le désir d ’un m embre de sa famille, celui qui, charge du soin de M. Huré, avait trouvé bon de le confier à l’Hôpital.

Rien ne peut donc être reproché auxS œ u r s . C e l l e s - c i , d o n t l e d é v o u e m e n t i n ­l a s s a b l e e s t r e c o n n u p a r t o u t e l a p o p u ­lation, font d’ailleurs preuve de la plus grande largeur d’esprit, n ’hésitant pas à appeler dès le p rem ier désir du m alade, le pasteur protestant d’une commune voisine.

Il ne manque pas de villes en France, gérés p a r des m unicipalités de gauche, où les hôpitaux sont confiés aux Sœurs. Les m alades n’en sont que mieux soi­gnés, et les adm inistrateurs eux-mêmes trouvent tout in térêt. Félicitons-nous d ’avoir chez nous des personnes si dé­vouées et si désintéressées.

Chasser les Sœurs ? Nous ne le per- • m ettrons qu’à une condition. C’est que M. le Membre fondateur du groupe de libre-pensée, enfanjt chéri de la Répu­blique des cam arades, fonde, grâce à ses m ultiples traitem ents et pensions, une congrégation laïque de sept m embres qui accepteront de travailler à l’Hôpital pour le salaire d’une seule infirm ière comme les Sœurs !

Un groupe de Pontois libres-penseurs non sectaires

U n p lan d ’Éparcjne-— Vous avez organisé votre vie autant

que faire se peut. Vous avez un plan de vie. Ayez donc aussi un plan d’épargne.

— Epargner p ar le tem ps qui court ? Comment feriez-vous donc ?

— O h ! c ’e s t b i e n s i m p l e . S i je n ’e n avais déjà une, enfin si j ’étais à votre place, je p rendra is une assurance sur la vie. N’avez-vous pas déjà questionné un agent d’assurances à ce sujet ? Non ? Faites-le sans tarder. Il vous procurera, et vous constaterez en écoutant ses ar­guments que l’assurance sur la vie est la méthode d’épargne la plus facile à sui­vre. C’est l’épargne forcée qu’on est bien heureux de retrouver plus ta rd ou de laisser aux siens.

M ONNAIESd’Or et d’Argent

On nous prie de communiquer au Public que le paiement des Louis d’Or sera effectué m plus haut cours. P iè c e s de 2 0 fra n cs ju sq u ’à 1 2 4 fra n cs. Frais à déduire. Bureaux ouverts de 9 à 1 8 h. sans arrêt -Dns les villes ci-dessous désignées. P r im e de 8 °/o à tout porteur de 1 .0 0 0 fr. Or.Mardi 2 2 Mai, S en lis , Hôtel de la Poste. Mercredi 2 3 Mai, C reil, Hôtel de Flandre. Vendredt zç Mai P o n t-S a in te M axence,

Hôtel du Lion d’Or.S a m e d i 26 Mai, C om piègne, Hôtel de la

Passerelle. 9456

Crédit Foncier de France

PRETS

Les Jeunesses Patriotes. — Poursui­vant sa cam pagne de propagande, la sec­tion des Jeunesses Patriotes de Pont Sainte-Maxence a procédé cette semaine à un im portant affichage en réponse aux m e n s o n g e s du j o u r n a l d e M . V a s s a l . C e l a n ’a pas été du goût de t r o i s j e u n e s r é v o - lu tionnaires qui, dans la soirée de m ar­di, lacérèrent les affiches de leur quar­tier, signant ainsi leur acte de vanda­lisme. Aussitôt démasqués, ils reçurent une semonce de qui de droit. Nous p rions MM. Marceau V., Léon B., et Mar­cel D., de croire que nous m ontrerons moins de longanim ité désormais.

Tous les dim anches le « National » est mis en vente place de l’Eglise. La section S. F. I. O. locale a fait distribuer samedi dern ier p a r des enfants des éco­les un nom bre im portant de num éros de « L’Echo Républicain du Valois ». Nous nous excusons de ne pouvoir nous m on­tre r aussi généreux que nos adversaires, qui ont pu utiliser les fonds retirés frau- duleusem ent de la « Banque des Coopé-

amortisssables avec facilités de remboursement

anticipé aux propriétaires,

communes, etc.

Les plus avantageux.Ainsi en contractant au Crédit Fon­

cier un prêt amortissable de 50.000 fr., par exemple, un propriétaire réalise en 10 ans une économie de 6.300 fr. sur | un prêt ordinaire au taux de 6 °/ , .

A u cu n e com m ission , à payerPour rembourser un prêt onéreux. I

acquérir un immeuble, doter un enfant, I etc., un propriétaire a tout intérêt à I s’adresser à ce grand établissement financier.

Pour l ’OISE, écrire au Directeur dé­partem ental du Crédit Foncier de France, à Beauvds, 14 rue J. B. Boyer et demander la notice gratuite n° 7.

800

U n r e m è d e b o n m a r c h éAsthmatiques qui souffrez toujours, essayez

la Poudre Louis Legras, dont l’efficacité est attestée par des milliers de malades recon­naissants. Cette merveilleuse Poudre calme en moins d une minute les plus violents accès d’asthme, de catarrhe, d’emphysèrp;, d’essouf­flement de toux de vieilles bronchites. Son prix est à la portée des bourses bs plus modestes. — Une boîte est expédiée contre mandat de ? fr. 2 % (impôt compris) adressé à Louis Legras, 1, boulevard Henri-lV, Paris.

Imprimeries Réunies de Senlisq. Place Henri-IV, q.

Le Gérant : E. BotsN tal

Page 5: jïjüi Le Congrès de Clermont et surtout celui de Metz L’A ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_05_20_MRC.pdfun mouvement particulier pour deve nir un gestè national

ANNONCES JUDICIAIRESA r t i c l e 1 « .

Etudes de M* L. CHASTAING, avoué à Sentis

et de Ma VIDY, notaire à Chantilly.

\ e n te sur* L ic i ta t io naux encfières publiques

au plus offrant et dernier enchérisseur

d ’u n e

P R O P R I É T És itu ée à CHANTILLY

rue de la Chaussée, 15.

L’adjudication aura lieu le MARDI 12 JUIN 1934, à 14 heu­res, en l’E tude et par le m inis­tère de M® VIDY, notaire à Chan­tilly, commis à cet effet.

Art . 2.Etude de M* L. CHASTAING,

avoué à Senlis.

ENTE SUR LICITATIONaux enchères publiques

aux plus offrants et derniers enchérisseurs

TROIS LOTS

Art. 3.

Etudes de M* Georges MORAND, avoué à Senlis

et de ML Jean LOISEAU, notaire à Chambly.

END UNE

M A I S O N D 'H A B IT A T IO Ns i tu é e à SENLIS

r u e d u P e t i t- C h a û l i s , 5ET DE

D E U X T E R R A I N Ssis terroir de DUVY

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 13 JUIN 1934, à 14 heures, en l’audience des criées du Tribunal civil de Senlis, p la­ce Notre-Dame.

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiend ra :

Qu’en vertu et en exécution d’un jugement rendu sur requê te par le T ribunal civil de Sen­lis, le 15 m ars 1934, enregistré.

Il sera aux réquête, poursuite et diligence de :

l OTt. Mme Elise-Augustine Se- nez, épicière, dem eurant à Creil (Oise), rue Charles-Brobcil, n 11, veuve de M. Jules-Nareisse Joseph Deponchaux ; 2ent. M Louis-François-Joseph Dournel adjudant en retraite , dem eurant à Mourmelon-le-Grand (Marne)60, rue du Gén.-Gouraud, agis sant M. Dournel en qualité de subrogé tu teur de Jules-August Deponchaux, né à Chantilly, le 31 juillet 1915, issu du mariage d e M. . T u l e s - N a r i c s s e - J o s e p h D e ­p o n c h a u x , décédé, et de Mme Elise-Augustine Senez, son épouse survivante. M. Dournel nommé à cette fonction qu’il acceptée suivant délibération du Conseil de famille du m ineur Deponchaux, tenue sous la pré sidence de M. le Juge de Paix de Creil, le quatre novembre 1932 et rem plissant les fonctions de tuteur, p a r suite de l’oppo­sition d’in térêt existant entre le dit m ineur et Mme veuve Depon­chaux, sa m ère et tutrice.

Poursuivants ayant Me L. Chastaing pour avoué constitué, dem eurant à Senlis.

En présence ou lui dûment appelé de :

M. Eugène Pierchon, p rin c i­pal clerc d’huissier, dem eurant à Creil, quai d ’Aval, n° 1. p ris au nom et en qualité de subrogé tu teur ad hoc du m ineur De­ponchaux susnommé, fonction à laquelle il a été nommé et qu’il a acceptée suivant délibération du conseil de famille dudit m i­neur, p rise sous la présidence de M. le Juge de Paix de Creil, le 23 février 1934 et rem plissant les fonctions de subrogé-tuteur en raison de ce que M. Dournel se trouve rem plir les fonctions

* de tuteur.Procédé aux jour, heure et

lieu ci-dessus indiqués, à la vente sur licitation, aux enchè-

. res publiques, au plus offrant et dernier enchérisseur et à l'ex­tinction des feux de l ’immeuble dont la désignation suit :

DESIGNATIONUNE PROPRIETE située à

Chantilly, rue de la Chaussée, num éro 15, -comprenant :

1 ° Une m aison d’habitation élevée partie sur cave et partie sur terre-plein d’un rez-de- chaussée et d’un étage avec gre­nier au-dessus couvert en pan­nes.

Le rez-de-chaussée est divisé en vestibule, cuisine, salle à

: m anger et deux cham bres à cou­cher.

L’étage com prend une cuisi­ne, une salle à m anger et deux cham bres à coucher.

Cour au m idi de ce bâtim ent, dans laquelle lapinière, basse- cour et cabinet d’aisance à la suite, atelier de repassage avec grenier au-dessus couvert en pannes.

J a r d i n d e r r i è r e j u s q u ’à l a b e r ­g e du c a n a l .

2° U n j a r d i n d ’u n e c o n t e ­n a n c e d ’e n v i r o n q u a t r e c e n t quarante m ètres c a r r é s situés sur le côté de la m aison ci-des­sus, tenant p a r devant à la rue de la Chaussée.

L’ensemble de cette propriété d ’une contenance d’environ neuf cent dix m ètres carrés tien t du levant à M. Güilleminot, du cou­chant M. Favarol, p ar devant la rue de la Chaussée, et par d er­rière l’Institu t de F rance sur une façade d’environ dix mè­tres, p ar la berge du canal du Pont du Roi ou de la Nonette appartenant à l ’Institu t de F ran ­ce, et sur une même longueur un terrain de 2 m ètres de lar­geur appartenant aux héritiers Comte, et longeant ledit canal.

MISE A PRIXOutre les charges, clauses et

conditions insérées au cah ier des charges dressé p ar M” Vidy, notaire à Chantilly, et déposé en son Etude, où toute personne peut en p rendre connaissance les enchères seront reçues sur la mise à p rix de trente-cinq m i l l e f r a n c s , fixée p a r l e j u g e m e n t 3 5 f ) ( )0 f p

On fait savoir à tous ceux qu’il ap partiend ra :

Qu’en vertu et en exécution d’un jugement rendu sur requête par le T ribunal civil de Senlis le 3 mai 1933, enregistré.

Il sera aux requête, poursuite et diligence de

1° M. P ierre-Edm ond Roland agriculteur, dem eurant à Duvy (Oise), agissant comme tuteur naturel et légal des m ineurs Mi chel, Brigitte et Françoise Ro­land , issus de son m ariage avec Mme Lucile-Marie Despierres son épouse décédée ; 2° Mme Jane-Marie Despierres, épouse de M1. Louis-M arie-Jean Gran- gette, ingénieur, avec lequel elle demeure à Saint-Mandé, 87, rue de la République, et M. Gran-

' S S I% T T - t üsur saisie imm obilière

de : I

O I E P R O P R I É T ÉA USAGE

D’HABITATION BOURGEOISEs i s e à C H A M B L Yr u e d e S e n l i s , n ° 1

à l’angle de la rue Gambetta, en façade

sur la place de l’Eglise

UNE P R O P R I É T ÉA USAGE D’HABITATION

s is e au M esn il-en -T hellerue du Chef-de-Ville

ET

Thelle, arrondissem ent de Sen­lis (Oise), com prenant :

Bâtiment sur la cour é l e v e ne rez-de-chaussée et un etage car re . A,.

Annexe en aile sur le bâti­ment précédent, eleve de rez de-chaussée et grenier.

æ . t & m k £ «’T c ‘ g U.,,t d 'une conte»»» '? d’après m esurage de deux quinze m ètres carres.

Cadastrés section C, mime 1 p., 2 p., 3 p. .

Tenant en façade à la rne d Chef-de-Ville, au fond à M- Pü" p a r d , d ’u n c o t e a M m e D e l t o U l , d ’a u t r e c ô t é ù M. b e t c l l i c r .

Ferme la serre et le jard in po­tager, le tout enclos dans l'en ­ceinte des m urs, qui ne sont pas com pns dans la location).

•;e .k3*1 a été fait, outre l’ac- ‘ïnAmo ,î.outes les contributions,

ont l lm PÔt foncier, moyen-francsUn loyer annuel de 7-00(:)

. ip '(Htfée en jouissance est 11- définu- our de constitution ‘ nitlve de la présente Société tn u ii subrogée dansl’a n J r* tll'oits et obligations de

nni , ur relativem ent au bail "mS agit.

port

2° UN JARDIN, sis auss Mesnil-en-Thelle, clos de murs, en face de la p ropriété précé­dente d’une contenance d’après les titres de hu it cent cinquante et un m ètres carrés.

Cadastrés section C, n° 106 p. pour huit cent quatre-vingt-cinq m ètres carrés.

Tenant en façade à la rue du lier, d ’un côté à M, Soulier, d’autre côté à M. Huon.

Mise à prix : 1 0 0 0 fr.

dontdui précède a lieu

-MPnant l’attribution au pro- VrA?' Lièvre, apporteur de 166 pelions de 100 francs cha- Clini entièrement libérées, por-

1 num éros 1 à 100 , de la

UN J A R D I NCLOS DE MURS

en face de cette propriété

EN DEUX LOTS

En outre des c h a r g e s , clauses et conditions énoncées au ca­h ier des charges dressé par M' Jean Loiseau, notaire à Cham­bly, et déposé en son Etude ou

, toute personne peut en prendre Le tout plus am plem ent désigné connaissance les immeubles ci

ci-après. | dessus désignés seront mis envente sur les mises à prix sus

L’adjudication aura lieu le indiquées fixées par le poursmJEUDI 12 JUILLET 1934, à 14 I vant.heures, en l’Etude et p a r le m i­nistère de M® Jean LOISEAU, I notaire à Chambly, commis à | cet effet. Il

PURGE LEGALE est ici déclaré, -conformé­

m ent à l ’article 696 du codejde procédure civile, que tous ceux

présente Société.Article 7. — Le capital so­

cial est fixé à 20.000 francs et divisé en 200 actions de 100 francs chacune, dont 100 ac­tions numéros 1 à 100 sont at­tribuées entièrem ent libérées à M. Lièvre en représentation de l’apport p a r lui effectué article 6 . Les 100 actions de surplus numéros 101 à 200 sont à sous­crire et à libérer en num éraire.

Article 16. -— La Société est administrée p a r un Conseil composé de trois membres au moins pris parm i les actionnai­res et nommés p a r l’Assemblée générale ; la durée de leurs fonctions est de six années.

Le prem ier Conseil nommé par la deuxième Assemblée constitutive de la Société reste­ra en fonction jusqu’à l’Assem­blée annuelle qui se réun ira en 1939, laquelle renouvellera le Conseil en en tier ; à p a rtir de cette date, le Conseil se renou­vellera chaque année ou tous les deux ans, de façon que le renouvellement des adm inistra­teurs soit complet dans chaque

gette pour assister et autoriser qu’il appartiendral a d a m e s o n é p o u s e s u s n o m m é e ; 3 “ M . P i e r r e B a c h y , s y n d i c d e j faillite, dem eurant à Soissons,« agissant au nom et en sa qua­lité de Syndic de la faillite de M. Paul-M arie-Edouard D espier­res, négociant en grains, demeu­ran t à Soissons, 15, rue Gam­betta.

Poursuivants, ayant Mc L. Chastaing pour avoué constitué, dem eurant à Senlis.

En présence ou lui dûment appelé de :

M. Emile Roland, p rop rié ta i­re, dem eurant à Senlis, rue de la République, 57, p ris au nom et en sa qualité de subrogé-tuteur ad hoc des mineurs-M ichel-Emi- le-Marie Roland, Brigitte-Cécile-

S r J S L K S S . * ,ou!r i r cette inscrip tion transcrip tion du procès d’adjudication.

a v a n t _ vertyar

Q u ’e n v e r t ul " 11. D e l a grosse d û m e n t e n

forme exécutoire d’un acte reçu p a r M" Paul Pignard, notaire à Chambly, le cinq avril 1932, en­registré, contenant -contrat con­ditionnel de p rê t p ar le Crédit p ap et rédigé p ar -l’avoué Foncier de France, au profit de poursuivant soussigné.M. et Mme Boitel, -ci-après nom -j A Senp s ]e 19 m ai 1934.

u e l é g a l e s u r l e s i m m e u b l e s ci- [ e s s u s d é s ig n é s .^ d e v r o n t r e q u e - p . a t e n r s ont; ] a f a c u l t é d e s ’a d

més, d’une somme de quarante cinq mille francs ; 2<”‘t. E t de la grosse dûment en forme exécu­toire d’un autre acte reçu par le même notaire, le dix mai 1932, enregistré, contenant réa­lisation dudit prêt.

En conséquence du com m an­dement valant saisie signifié à M. et Mme Boitel, suivant ex­ploit du m inistère de Me Delà-

Signé : MORAND. Et enregistré.

S’adresser pour les renseigne­ments :

A M° Georges MORAND, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A Ma Em ile DELAHOUSSE, huissier a Neuilly-en-Thelle ,

A M« Jean LOISEAU, notaireNelly Roland Françoise-Jeanne h oUsse, huissier à Neuilly-en-, - — r , . ir pf dé„ 0_Roland, issus du m ariage de M. Th elle, en date du douze février à Chambly, ,r .edac,teur, "D î n-r*v»r» T7 rTm rvt"wT r\"! o tt rT O Y 7 ^ n r\ j -• « ? ; _ a ^ y-xM A 1 s j T j j i r 0 (11! C& L llG r d 6 S CUcirçjVÎ^ sPierreÆ dm ond Roland avec ^934 enregistré, visé, conform é Mme Lucile-M arie Despierres, m ent à la loi et tran scrit au son épouse aujourd’hui décédée. pu reau des hypothèques de Sen-

Procédé le M ercredi 13 Juin lis. le douze mai 1934. volume 1934, à 14 heures, à l ’audience 105, n° 37 ; E t d’un jugement des criées du T ribunal civil de rendu sur requête p a r le Tribu- Senlis, au Palais de Justice, pla- nal de prem ière instance de ce Notre-Dame, à la vente sur li- Senlis, le seize mai 1934, enre- c itation, aux enchères publi­ques, aux plus offrants et der-

t y, A, J-, A v» K y C* 1 "1 V' C* < 1 l e

Et au Crédit Foncier ue France, 19, rue des Capucines, aRaris- 94G5

m ers enchérisseurs, à l ’extinc­tion des feux, en tro is lots des immeubles, dont la désignation suit :

D ESIG N A T IO NPrem ier lot

UNE MAISON d’habitation si­tuée à Senlis, 5, rue du Petit- Chaâlis, entre cour et jardin , élevée sur terre-plein d’un rez- de-chaussée, com prenant cu isi­ne, salle à m anger, grand salon, petit salon et vérandah, escalier , en tourelle. Au prem ier étage , 1 vestibule, couloir, quatre cham ­bres à -coucher avec cabinets de toilette et grenier au-dessus, deux cham bres et deux gre-

Le tout tenant p ar devant à la ^ jp i i t é de la procédure^ à

gistré.E t aux requête, poursuite et

diligence du Crédit Foncier de France, société anonyme ayant son siège à P aris, rue des Ca­pucines. n° 19, agissant pour­suites et diligences de s o n G o u ­

verneur, dem eurant au siege so­cial.

P o u rs u iv a n t la v en te .Ayant pour avoué -constitué,

M* Georges Morand, dem eurant à Senlis.

. En présence ou eux dûment appelés de :

l 6”4. M. Lucien-Louis-JosephBoitel, emnloyé à la Compagnie des Chemins de fer du Nprd, dem eurant à Chambly (Oise), rue de Senlis, n “ 1, « tan t en son nom personnel que pour la ,roUdHè de la procédure à 1 é-

énouse ci-aprèsrue, au fond à Mme Roland et à «ard de son la succession Legrand, à d ro ite , n ommée » : 2Mt. E t Mme Angèle-

t . jy» ly-î f \ ™ y-,-« 1 y y» /l r \ TV/T

Art. 4.

Foyer des Urts, des Sciencss et des Lettres

(F . A. L. S.)S o c i é t é A. no n . y m e

Capital : 20.000 francs Siège social à GOUVIEUX [Oise)

I. — Des statuts de la Société Fouer des Arts, des Lettres et des Sciences (F. A. L. S.) établis par acte sous signatures privées, fait en quatre originaux à Paris,le 10 mars 1934, dont 1 un est £jes aq-ajres de ja Socié té ; il aannexé à Pacte ci-apres vise j notamment les pouvoirs sui-T itre II, il a été extrait ce- qui j yants ; suit :

ses pouvoirs à un ou plusieurs 1 A dm inistrateurs délégués; il ;peut au toriser ces adm inistra­teurs délégués ou tous autres à consentir des substitutions de pouvoirs et à conférer à des tiers tous pouvoirs spéciaux pour des objets déterminés.

Article 23. — Chaque année, l’Assemblée générale confère les fonctions qui sont déterm inées p ar la loi à un ,ou plusieurs com m issaires aux comptes, as­sociés ou non.

Article 34. — Les délibéra­tions de l’Assemblée générale sont constatées par des procès- verbaux inscrits sur un regis­tre spécial et signés par la m a ­j o r i t é d e s m e m b r e s d u B u r e a u .

D e s c o p i e s o u e x t r a i t s à p r o ­d u i r e e n j u s t i c e o u a i l l e u r s d e s délibérations de l’Assemblée générale sont signés p ar un ad­m inistrateur.

Après la dissolution de la So­ciété, et pendant la liquidation, ces copies ou extraits sont cer­tifiés par les liquidateurs ou l’un d’eux.

Article 36. — Les produits nets, déduction faite de toutes les charges et des am ortisse­m ents constituent les bénéfices nets. •

Sur ces bénéfices nets, il est prélevé :

1° Cinq pour cen t affectés au fonds de réserve légale ;

2° La somme nécessaire pour servir aux actions un prem ier dividende de -cinq pour cent des sommes dont elles sont libérées et non am orties ;

3° Sur le surplus resté libre après ce prélèvem ent, il est at­tribué dix pour cent aq Conseil d’adm inistration ;

4° Le solde des bénéfices est réparti entre toutes les actions p a r parts égales entre elles, sauf tout report à nouveau ou le p ré­lèvement de tontes sommes des­tinées à la constitution de tous fonds de réserve qui pourraien t être décidés par l’Assemblée.

Article 40. —■ A l’expiration de la Société ou en cas de dis­solution anticipée, l’Assemblée générale, sur la proposition _ du Conseil d’adm inistration, règle le mode de liquidation et nom­me le ou les liquidateurs

Les liquidateurs ont mission de réaliser, même à l ’amiable, tout l ’actif m obilier et immobi lier de la Société et d’éteindre le passif ; sauf les restric tions que l ’Assemblée générale pourra it y apporter, ils ont à cet effet en vertu de leur seule _ qualité, les pouvoirs les plus étendus d’a­près les lois et usages du com­merce, y com pris ceux de tra i­ter, transiger, -compromettre, conférer toutes garanties, même hypothécaires, s’il y a lieu, con­sentir tous désistements et m ain­levées avec ou sans paiem ent.

Én outre, avec l’autorisation de l’Assemblée générale, ils peu­vent faire le transpo rt ou la ces­sion à tous particuliers ou à toutes sociétés, soit p ar voie d’apport, soit autrem ent, de tout ou partie des droits et obliga­tions de la Société dissoute, et ce m oyennant tels prix , avanta­ges o u rém unérations que fixera l ’A s s e m b l é e g é n é r a l e .

I I . -—'Suivant acte reçu par Me Dufour, notaire à Paris, le 13 avril 1934, il a été déclaré que

Conseil ; ces copies m e n t i o n n e - 1 les 100 actions de 100 francs à ront les noms des adm inistra- ' souscrire e n num éraire, forma

avec les 100 actions attribuées

Article 17. Les adminis- de s’ad-

de nouveaux membresl a»vA*jidres’jjffc jugent utile ; si une place

Art. 5.

Etude de Me Georges MORANDavoué à Senlis.

DIVORCE

Assistance JudiciaireDécision du 29 Juillet 1933

D’un jugem ent rendu par le Tribunal de prem ière instance de Senlis, le vingt-neuf novembre 1933, enregistré. Au profit de M. Jules-Edmond FAITR.OP, méca­nicien, dem eurant à Pont-Sainte- Maxence, 1, rue de Liancourt. Et par défaut contre Marie-Mélanie H A U T I O N , épouse de M. F A I - T R O P , s u s - n o m m é , a v e c l e q u e l e l l e d e m e u r e d e d r o i t , m a i s a u t o ­r i s é e à r é s i d e r e t r é s i d a n t d e f a i t à Autreppes. Il appert : Que le divorce a été prononcé d’entre les époux Faitrop-Haution.

Pour extrait :

Et enregistré.(Signé) MORAND.

9446

Art. 6.

Etude de M« Georges MORANDavoué à Senlis.

d’Administrateur devient va vante, les autres adm inistra teurs peuvent pourvoir provi soirement au rem placem ent l’administrateur nommé en rem placement d’un autre ne demeu­re en fonctions que pendant le temps qui reste à co u rir de l’exercice de son prédécesseur, et sa nom ination est soumise à la confirmation de la plus p ro ­chaine assemblée générale.

Article 19. -— Chaque année, le Conseil nomme parm i ses membres un P résident ; en -cas d’absence de celui-ci, le Conseil désigne celui de ses membres qui doit en rem plir les fonc­tions.

Article 20. — Le Conseil fee réunit au siège social ou dans toute autre ville, sur la convo­cation du P résident ou de deux de ses membres.

Pour la validité des délibéra­tions, la présence de deux mem­bres au moins est nécessaire.

Les délibérations sont prises à la m ajorité des voix des mem­bres présents, et à l ’unanim ité si deux adm inistrateurs seule­m e n t s o n t p r é s e n t s .

Les coptes ou extraits a déli­vrer de ces délibérations sont certifiés p ar un mem bre du

DIVORCE

Assistance JudiciaireAdmission du 18 Février 1933

D’un jugem ent rendu par le Tribunal de prem ière instance de Senlis, le trois mai 1933, enregis­tré. Au profit de Madame FERRY Adrienne, laitière, veuve en pre­mières noces de M. BOULLE André-Paul, épouse en deuxièmes noces de M. BOULLE Georges- Edmond, m anouvrier, avec lequel elle dem eure de droit, mais auto­risée à résider et résidant de fait à Crépy-en-Valois, rue Auguste- Godard, n» 1. Et par défaut contre M. BOULLE Georges - Edmond manou rier, dem eurant à Crépy- en-Valois. Il appert : Que le d i­vorce a été prononcé d’entre les époux Boulle-Ferry.

Pour extrait ; (Signé) MORAND.

Et enregistré. 9445

Art . 10.

Etude de M‘ LANGLOIS, notaire à Senlis.

DEUXIEME INSERTION

Aux term es d’un acte reçu par Mo Langlois, notaire à Senlis, le 30 avril 1934, enregistré à Senlis, le 1er mai 1934, folio 31, case 201, M. François-Emile GARRETTE, entrepreneur de co u v ertu re , plom berie et fumisterie et d ’ap ­pareillage électrique, et Mme Ar- mandine - Gabrielle CHOQUET , son épouse, dem eurant à Plailly, ont v e n d u à M. Jean-Baptiste S T A N C H I N A , p lo m b ie r - fe rb la n ­t ie r , et Mme L éon ie D U M O N T , so n é p o u se , d e m e u r a n t à P l a i l l y , l e f o n d s d e c o m m e i - e e e t d ’I n - d u s t r - i e d ’e n t r e p r e n e u r d e f e r ­blanterie, p lom berie, tôlerie, fum isterie, couverture, chauf­fage central et électricité que M. Garrctte exploitait à Plailly.

L’entrée en jouissance a été fixée au 10 mai 1934.

Publication de la vente a eu lieu au Bulletin Officiel des Ventes et Cessions de Fonds de Commerce du samedi 12 mai 1934.

Les oppositions seront reçues à Senlis, en l’Etude de Me Langlois, notaire, jusqu’à l’expiration du dixième jo u r qui suivra la p ré­sente insertion.

Pour deuxième insertion : 9400 A. LANGLOIS.

Art . 7.

Etude de M* l-, av o u é A

CHASTAING,Senlis,

A r t . 11. •

Etude de M' R.BARELLA, notaire à Verberie.

DEUXIEME INSERTION

Aux term ps d’un acte reçu par Me Barella. le 21 avril 1934, enre­gistré à Pont-Sainte Maxence, le 27 avril suivant, folio 55, case 287, Monsieur Pierre - Paul - Alfred MOREAUX, débitant de vins et é p i c i e r , d e m e u r a n t à V x l l e r s - Saint - P a u l ( O i s e ) a v e n d u à M o n s i e u r J u î e s - M a r c e l N E V E U , ancien m archand de vins, res­tau ra teu r, dem eurant à V ille- neuve-sur-Verberie, un fonds de com m erce de v ins, épicerie, avec salle de Casino, que M. Mo­reaux exploite à Villers-Saint- Paul (Oise), route de Pont-Sainte- Maxence, sous la dénomination de Café - Restaurant du Casino, com prenant : clientèle, achalan­dage, licence, droit au bail, m a- ériel et m archandises.

L’insertion au Bulletin Officiel a été faite dans le num éro du 12 mai 1934.

Domicile élu à V erberie, en l’E tude de M' Barella, où les op­positions seront reçues dans les dix jou rs de la présente insertion.

Pour deuxième insertion : 9391 BARELLA.

teurs présents et de ceux ab­sents,

Article 21. — Le Conseil a les pouvoirs les plus étendus pour

au bureau de bienfaisance de Senlis.

Avec -communs com prenant bâtim ents à usage de remise, buanderie, magasins et caves sous les communs.

Deuxième lot Terroir de D uvy

Un petit te rra in de tro is ares, lieudit le Val Saint-Pierre, te­nant de tous côtés à Roland- commis à cet effet, procédé

" à là vente sur saisie im m obiliè­re aux enchères publiques, au

j plus offrant et dernier enchéris-s e u r ,

Poulet. Cadastré section A, méro 400 p.

T r o i s i è m e l o t M ê m e T e r r o ir

U n a u t r e t e r r a i n d e dix a r e s ,lieudit P im prenelle, tenant à l ’ouest au chemin de Duvy à Rouviîle, au nord à M. Roland- D espierres et d ’autres côtés à Roland-Poulet. Cadastré section B, n° 21 p.

MISES A PRIX Outre les charges, clauses _ et

conditions insérées au cahier des charges dressé p ar M" L.Chastaing, avoué et déposé au greffe du Tribunal civil de Sen­lis, où toute personne peut en p rendre connaissance, les en-

ses ^pr*iy1'suivardes V i x é e i r i è , de l’Eglise, -comprenant jugement précité savoir ; j Bâtiment en façade sur jar-

! din élevé de. rez-de-chaussée, un

s u s - v i s e , c i

l ’avouéF ait et rédigé p ar poursuivant soussigné.

Senlis, le 18 mai 1934.Signé : L. CHASTAING

Eb enregistré.

S’adresse'' pour les renseign m ent s à :

D M» L. CHASTAING, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2° M» BARBIER, notaire Creil ;

3° M" VIDY. notaire à Chan tilly, chargé de la vente, et dépositaire du cahier des charges.

9458

Catherine Gillet, épouse de M. Boitel, susnommé, avec lequel elle dem eure à Chambly (Oise), rue de Senlis, n° 1. .. .

P arties saisies.N’ayant pas d’avoué consti­

tué.Il sera, le Jeudi 12 Juillet

1934, à quatorze heures, en l’E­tude et p a r le m inistère de M Jean Loiseau, notaire à Cham-

à l’extinction des feux, en deux lots, des immeubles dont la désignation suit :

DESIGNATIONET

* MISES A PRIX des Im m eubles à Vendre

P rem ier lotUNE PROPRIETE à usage

d’habitation bourgeoise, sise Chambly, canton de Neuilly-en- Thelle, arrondissem ent de Sen­lis (Oise), rue de Senlis, n° 1, l’angle de la rue Gambetta; sans numéro, en façade sur la place

Pour le p rem ier lot à la somme de •

Pour le 2" lot à celle de . . . . . . .

P our le 3e lot à -celle de .............

Total des p rix . . ■

mises à

80.009 fr.

250 fr.

750 fr.

81.000 fr.Les enchères ne pourront etre

reçues que par m inistère d’avoué.

NOTA. - La m aison e s t lib re de location.

l’avouéFait et rédigé par poursuivant soussigné.

Senlis, le 16 mai 1934.' Signé : L. CHASTAING

Et enregistré.

S’adresser pour les renseigne­m ents à :

1» M* L. CHASTAING, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2° M” LANGLOIS, notaire à Senlis ;

3° Et au' Greffe du Tribunal civil de Senlis, où le cahier descharges est déposé.

9457

étage carré,, deuxième étage sous brisés.

Annexe à droite, élevée sur caves de simple rez-de-chaussée

Appentis sur l ’annexe précé­dente, élevé de simple rez-de- chaussée. '

Bâtim ent en bordure de la rue dç Senlis, élevé de rez-de chaussée et grenier.

Jard in d’agrém ent en façade sur la rue de Senlis et la place de l’Eglise.

J a r d i n d e r a p p o r t a u f o n d d l a p r o p r i é t é .

Le tout clos de m urs, mur bahut et grille sur la rue dSenlis, et d ’une contenance d’après les titres de mille neuf

j cent quatre-vingt-sept mètres; carrés.j Cadastrés section F. numéros | 73 et 74 pour deux mille quatre i vingt-dix m ètres carrés.! Tenant en façade et d ’un côté j “à la rue de Senlis (place de

l’Eglise), au fond à MM. Noury i C ordonnier et Adolphe, et d’au- ' tre côté à la rue Gambetta.Mise à prix: 15 0 0 0 fr.

vis de tous tiers et de toutes gSt annexée audit acte adm inistrations, il autorise tou- j n I _ Des procès-verbaux tes instances judiciaires et re- def, deux assemb]ées générales présente la Société en justice. I constitutives de la dite Société,

dont les doubles ont été dépo-

Article l or. — Il est formé en-1 tre tous les p ropriétaires des actions ci-après créées et de celles qui pourront l ’être ulté­rieurem ent, une Société Anony- j jj autorise les acquisitions, me qui sera régie p a r les lois vcntes ,et échanges de biens, françaises en vigueur et par les meubles et immeubles et fonds présents statuts. de commerce.

Article 2. — La Société a R accepte, consent, cède et pour objet l’acquisition, la prise résilie tous baux et locations en location, la création et l ’ex- des mêmes biens, même de lon- ploitation de Centres de Repos (jue filirée, avec ou sans p ro ­destinés aux Travailleurs Intel- messe de vente, lectuels, Artistes, Hommes de jj p asse autorise tous mar- Lettres et de Sciences, etc..., e chés traités, tous contrats de

leurs Familles, com portant tou(e nah lre_ logement et pension, il ) .o ic j -jj j:ollc}ie toutes les sommesques, laboratoires, salles d i tu Société et en donnedes, de -conférences, de musi- f la Société et en donneque et de théâtre, salles et t e r W ’i d “n.cm.rains de sport, etc. et d’une fa- ! I fait et autorise toutes main-

- ’ ’ * « ^ —•- levees de saisie im m obilière ou

en rém unération des apports, le -capital de ladite société, avaient été souscrites, et que le prem ier quart, soit 25 francs de chacune des dites actions a été versé.

Une liste des souscripteurs, contenant, l’indication du nom­bre des actions souscrites par

Il représente la Société vis-à- c h a c u n , et l ’état des versements,ici 4 /-i i i-i4* /I /x I l'a 11T O C « ^ ,, ,1 î 4 nn-f/x

la gestion et l ’adm inistration

Extrait d e Jugem ent de Divorce

A ssis ta nce J u d ic ia ir eDécision du Bureau de Senlis

du 28 Octobre 1933

D’un jugement rendu par le Tribunal civil de prem ière ins­tance de Senlis, le sept février 1934, enregistré, au profit de Monsieur CAZET Adonis-Lucien ouvrier d’u s in e , dem eurant i Montataire, 5, rue de Gournay et par défaut contre Madame Renée - Lucienne STOPIN , son épouse, domiciliée de droit avec lui, mais résidant de fait à Bury,£8, Cité Saint-Epin.

Il appert :Q u e l e d i v o r c e a é t é p r o n o n c é

d e p ia n o d ’e n t r e l e s é p o u x C a z e t -Stopin, au profit du m ari. . ^ lerm es du procès.verbal

Pour extrait publié en confor- de l’Assemblée du 17 Avril 1934, mité de l’article 247 du Code civil nûment enregistré, les Action- et en vertu d ’une ordonnance nair es de la Société Les Grands rendue sur requête par Monsieur Moulins de M areuil-sur-Ourcq le Président du Tribunal civil de c nt décidé de transférer le siège Senlis, le seize mai 1934, en- , ociai de M areuil-sur-Ourcq (Oi- registrée, afin de faire courir les! ,e). à Paris, 51, rue de la Chaussée délais d’opposition et d’appel, le d’Antiu, à partir du 17 Avril 1934. dit jugem ent n’ayant pu être En conséquence, le texte designifié à la personne meme d e 1 .................. •la dame Cazet.

A r t . 12.

Xes Çrands jtfoulins de Jdareuil-sur-ôurcq

Société Anonyme au capital de 1.701.000 francs

S iè g e S o c ia l : M a r e u i l - s u r - O u r c q (O ise)

9462 Signé : CHASTAING.

A r t . 8.

'article 4 a été modifié comme suit :

A r t i c l e 4 . — « Le siège de la Société est à Paris, rue de la Chaussée d’Antin, n 51. Il peut être transféré dans un autre en-

p n x

Deuxième lot UNE PROPRIETE à usage

d’habitation, sise au Mesnil-en- Thelle, canton de Neuilly-en-

çon générale toutes opérations commerciales, industrielles, mo­bilières et im m obilières s’y ra t­tachant.

Article 3. — La Société prend la dénom ination de :

FOYER DES ARTS d e s LETTRES & d e s SCIENCES1

(F. A. L. S.)

Article 4. — Le siège de la So­ciété est à- Gouvieux, canton de Creil, arrondissem ent de Senlis (Oise), il pourra être transféré dans tout autre endroit du can­ton de Creil p a r décision du Conseil d’adm inistration.

Article 5. — La durée de la Société est fixée à cinquante an­nées à dater du jour de sa cons­titution définitive, sauf les cas de dissolution anticipée, réduc­tion de durée ou prorogation prévus par les présents statuts.

Article 6 . -— Aux présentes est intervenu M. Charles LIE­VRE, employé de commerce, dem eurant à Paris, rue du Laos, n° 23.

Lequel f a i t a p p o r t à la p r é ­sente S o c i é t é , du d r o i t a u b a i l à l u i c o n s e n t i p a r M. P i e r r e Amie- propriétaire, dem eurant à Gc«P" vieux, pour trois, six, neuf, douze ou quinze années entières et consécutives, ayant commen­cé à courir le quinze août 1933, au choix du p reneur seul, a charge par lui où il voudrait faire cesser le bail à l’expiration de Tune des périodes de préve­n ir le bailleur six mois à 1 a- vance et par écrit,

De la propriété des Bouleaux, sise à Gouvieux. com prenant : Bâtiments d ’exploitation, com- rnuns, pavillon dit de Chasse, bâtim ent dit Musée, jard in et parc d’agrément, le tout entou­ré de m urs (à l’exception du prem ier étage, des communs ré ­servés et du pavillon du jardi-

mobilière, d’opposition ou d ’ins­cription hypothécaire, ainsi qûe tous désistements de privilèges, hypothèques ou autres droits et garanties, le tout avec ou sans paiem ent.

Il peut contracter tons em­prunts, de la manière, aux taux et conditions qu’il juge conve­nables, soit ferme, soit par voie d’ouverture de crédit, soit au­trem ent ; toutefois les em prunts p ar émission d’obligations de­vront être autorisés par déci­sion de l’Assemblée générale.

Il peut se faire ouvrir tous comptes de chèques postaux et tous comptes courants, soit à la Banque de F rance ou à toutes aütres.

Il peut donner tous gages, nantissem ents et autres garan­ties mobilières et immobilières.

Il signe et accepte tous bil­lets, traites, lettres de change, endos et effets de commerce., Il autorise tous retraits, tran s­

ferts, transports et aliénations de fonds, rentes, créances, biens mobiliers ou im m obiliers et va­l e u r s q u e l c o n q u e s , a p p a r t e n a n t à la S o c i é t é , e t c e , a v e c o u s a n s. f i i r a n t i e .T5

Les pouvoirs ci-dessus con férés au Conseil d’adm inistra tion sont énonciatifs et non li­m itatifs et laissent subsister dans leur entier les dispositions du paragraphe prem ier du p ré­sent article.

Article 22 . — Les actes auto risés par le Conseil ainsi que les mandats et re tra its de fonds, les souscriptions, endos et acquits d’effets de commerce et t ins au­tres engagements de la Société sont signés par deux adm inis­trateurs, à moins d’une déléga­tion spéciale du Conseil d’ad­m inistration à un Adm inistra­teur ou à tout autre m andataire.

Le Conseil d ’adm inistration

sés aux m inutes de M° Dufour, notaire susnommé, par acte du 12 mai 1934,, il appert ;

Du prem ier de ces procès- verbaux en date du 14 avril 1934, que l’Assemblée a recon­nu sincère et véritable la décla­ration de souscription et de ver sement faite p a r l ’acte sus-visé du 13 avril 1934 et a nommé un commissaire chargé d’apprécier la valeur des apports et les a t­tributions et avantages particu ­liers stipulés p a r les statuts, et de faire un rapport à ce sujet à une Assemblée ultérieure.

Et du deuxième de ces p ro ­cès-verbaux, en date du 26 avril 1934, que l'Assemblée a notam ­ment :

1 ° Approuvé les conclusions du rap p o rt du Commissaire nommé par la prem ière assem­blée et approuvé les apports, at­tributions et avantages particu ­liers stipulés p ar les statuts.

2° Nommé tro is adm inistra­teurs pour -composer le Conseil d’adm inistration, savoir l

M. Charles-Jules-Pierre AMIC propriéta ire , dem eurant Les Bouleaux, com m une de Gou­vieux (Oise).

M. Charles BROON, courtier, dem eurant à Paris, boulevard Malesherbes, n° 95.

Et M. Henri MARTHA, admi­n istra teur de Sociétés, demeu­ran t à Paris, rue Lecourbe, n° 3

3° Nommé un Commissaire et un Commissaire suppléant pour la vérification des comptes du prem ier exercice social.

4“ Constaté l’acceptation de leurs fonctions p ar les Adminis­tra teu rs et Commissaires tous p r é s e n t s à l ’A s s e m b l é e .

5 ° A p p r o u v é l e s s t a t u t s t e l q u ’i l s résultent de l’acte du 10 mars 1 9 3 4 , dont extrait précède et déclaré la Société définitive­ment constituée.

Une expédition de Pacte de déclaration de souscription et de versem ent et de la liste qui, y est jointe, l ’un des ori­ginaux des statuts et une co­pie certifiée conforme de cha­cun des procès-verbaux des assemblées constitutives, le tout sus-visé, ont été déposés le 18 mai 1934 à chacun des Greffes du Tribunal de Com­merce de Senlis et de la Jus­tice de Paix du canton de Creil.

Etude de Me Emile DEWASMESj droit du départem ent de la Seine».Le reste de l’article sans chan­

gement.Des copies du procès-verbal

de l’Assemblée du 17 Aviil 1934, des expéditions des sta­tuts, de la déclaration de sous­cription et de versem ent, des assemblées constitutives, ont été déposées aux Greffes du Tribunal de Commerce de la Seine et de la Justice de Paix du 9” arrondissem ent de Paris, le 15 Mai 1934; des copies du procès-verbal de l’assemblée du 17 Avril 1934 ont été dépo­sées aux Greffes du Tribunal de Commerce de Senlis et de la Justice de Paix de Betz, le 16 Mai 1934. 4964

notaire au Plessis-Belleville (Oise),

PREMIERE PUBLICATION

Suivant acte passé devant Me Dewasmes, notaire au Plessis- Belleville, le 7 mai 1934, enregis­tré à Nanteuil-Ie Baudouin (Orse), le 9 mai 1934, folio 32, case 243, Monsieur F rançois-Fernand-A l- bert PARENT, m aréchal-lerrant, dem eurant à Mootagny-Sainte Félicité (Oise), a vendu à :

Monsieur Robert MONSEUX, m aréchal-ferrant, et Madame Hé­lène LEQUEUX, son épouse, de m eurant ensemble à Charny (Seine-et-Marne),

Le fonds de com m erce de m aréehalerie, serrurerie et dé positaire de m achines agrieoles- qo’il exploitait à Montagny-Sainte- Félicité (Oise), com prenant :

1» La clientèle et l’achalandage y attachés.

2° Le matériel et les m archan­dises en dépendant.

A r t . 13.

LSoualle etEJeBaiHiencourtSociété Anonyme

Maison du Montcel (fondée en 1795) au capital de 1.000.900 de francs

L’entrée en jouissance a é té l Siège à P o n t-S a in te -M a x e n c efixée au jou r de l’acte.

Les oppositions, s’il y a lieu,! seront reçues en l’Etude de M'-l Dewasmes, notaire au Plessis- Belleville, où domicile a été élul par les parties, dans les dix jours! de la seconde insertion.

Pour prem ière insertion : 9454 E. DEWASMES.

nier, des bâtim ents dits de la i peut déléguer tout ou partie de j ,

Pour extrait et mention : Le Conseil d’adm inistration.

A r t . 9.DEUXIEME PUBLICATION

Suivant acte sous signatures privées en date du 25 avril 1934 enregistré à Senlis, le 27 avril 1934, f o l i o 8 4 . c a s e 16, M o n s i e u r D E B R A S G a s t o n , e x p e r t - c o m p t a ­b l e , 13 p l a c e H e n r i - I V , à S e n l i s (Oise), a vendu le Cabinet de Comptable qu’il exploitait à Sen­lis, 13, place Henri-IV, et com ­prenant le droit au bail et la clientèle à Monsieur Raymond COSSARD, expert-comptable, 11, place Jean-Bureau, à Meaux (S.- et-M.).

L’entrée en jouissance a eu lieu le 1er mai 1934.

L’insertion au Bulletin Officiel a été faite dans le numéro du 8 mai 1934.

Pour les oppositions, s’il y a lieu, s’adresser dans les dix jours de la présente publication au fonds vendu et à M. JAM, 2, bou­levard Galliéni, Neuilly-Plaisam e (Seine-et-Oise). 9310

(Oise)

A vis de ConvocatioR

Messieurs les Actionnaires sont convoqués en Assemblée géné­ra le ' ex traord inaire, au Siège Social, pour le 31 Mai 1 9 3 4 , à 11 h e u re s 1/2 .

ORDRE DU JOUR : Modification des articles 37 et

43 des statuts.Le Conseil d’Administration.

9463

E t u d e d e M" G e o r g e s M O R A N D , a v o u é à S e n l i s .

" s y o a ' a *DE : UNE

P R O P R I É T Ésituée à SAINT-MAXIMIN

rue de Torcyautrefois appelée

« Ferme du Four à Chaux »

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 30 MAI 1934, à 14 heures, en Taudience des criées du Tribunal de prem ière ins­tance de Senlis, au Palais de Justice de la dite ville, place No­tre-Dame, Bâtiment de TEvêché.

Page 6: jïjüi Le Congrès de Clermont et surtout celui de Metz L’A ...bmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_05_20_MRC.pdfun mouvement particulier pour deve nir un gestè national

A r t . 14.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENUS

Par jugem ent en date du 8 mai 1934, le Tribun ,I de Commerct de Senlis a déclaré en état ce laillite ou erte le sieur Uogtr DESSERRE, boulanger à Ctaam- biy •

M. Monnier, ju e suppléant en ce siège, a été nommé juge com ­m issaire à celte faillite, etM e Mo­rand, avoué agréé a Senl s, syndic provisoire.

Le Greff i er du Tribunal , 9 4 7 4 G. GAVENC.

Art . 15.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

P a r j u g e m e n t en d a le du 8 mai 1934, le T r ib u n a l d e C o m m e rc i u e b e n l i s a a d m is au b é n e l ic e dt la l iq u u ia t io ju d i taire M m e Clo- ilde-Ju lie tle LANDON , veùvt

POIR.VIELR, libraire à Melio.M. de Bail iencourt, juge sup

plé nt eu ce siège, a éle nomme juge commissaire a celte liquida non et IVR Loir, avoué agréé à Seul s, liquidateur provisoire.

Le Gref f i er du Tribunal 9475 G. GAVENC.

Etude de M* LEVESQUE, com m issaire-priseur à Senlis.

tfATÉEXELDE «EDO liS T EN G BAINS

A VENDRE AUX E NC H È R E Set en détail

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Art. lit.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS • __

Par jugement en date du 8 irai 1934, le tribunal de Commerce de Senlis a homologué le concor­dat intervenu le z4 avril 1934, entre le si ur Gaston MOR1ZE, négociant en charbons a Betz, et ses créanciers.

Conditions sommaires : Aban­don d ’actif et paiement d’un divi dende de 40 pour cent à raison de versem ents annuels de deux mille francs.

Le Greffier du Tribunal 9476 G. GAVENC.

rAltT. 17.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

Les créanciers,de la liquidation judiciaire de la dame veuve POIRMEUR. libraire à Mello, sont invités à se réunir le Mardi 22 Mai 1 C4, d heures 30, en l’au­ditoire du Trib nal de Commerce de Senlis, place Saint-P ierre, pour examiner la situation de la débitr ce et donner 1 u r avis sur la nomination du liquidateur defi- i itif et su l’éleeliun de contrô­leurs.

Le Greff i er du Tribunal , 9477 G. GAVENC.

A rt. 18.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Les créancier- de la fa Rite du sieur Léon CARBON, ancien épi­cier à Apremont sont invité -à se réunir le29 Mai 93b,à lbh .30, enT audito ireduT iibunal de Com­merce de Senlis, pour entendre les propositions de concordat qui pourraient être faites par le débi­teur, les accepter ou, à défaut, s’entendre d clar r en état d ’u­nion et, dam ce cas être consul­tés sur le maintien ou le rem pla­cement du syndic.

L e Gref f i er du Tribunal , 9478 G. GAVENC.

A r t . 19.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Les créanciers de la liquidation judiciaire de MM. LEMOINE et LUPI, ébénistes à Senlis, s nt in­vités à s réun ir te i2 Juin 193b, à 4 heures 30, en l’auditoire du Tribunal de Coiiiinerce de Senlis, pour entendre les propositions de concordat qui pourraient être faites parles débiteu s. les accep­ter ou, à défaut, s’entendre dé­clarer en étut d ’union.

Le Gref f i er du Tribunal , 9479 G. GAVENC.

Etude de M" GAZEAU à Senlis.

notaire

A ( C é t i w S t i i s t 'pour raison de santé

P e t i t e C U l / P U R Ede 14 hectares

d a n s l e XZ>V1L_.CZ>IS3Références exigées.

E tude de M' I-EVESQUEcommissaire priseur à Senlis.

V E I V rT E

â SENLIS, rue fie Beauvais, n° 9LE DIMANCHE 27 MAI 1934

à 14 heuresD’UN

B E A U M O B I L I E RVoir les alfi lies ou demander

une notice à Me LEVLSQUE — Téléphone 150. " 9467

Etudes de M* Georges MORAND, avoué à Senlis,

et de M° Félix LOUAT, notaire à Senlis.

Venteaux enchères publiquesDE : UN

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à l ’enseigne de« Hôtel du Point du Jour »

L’adjudication aura lieu le MARDI 22 MAI 1934, à quatorze heures et demie, en l’Etude e! par le m inistère de M0 Félix LOUAT, notaire à Senlis, com­mis à cet effet.

S’adresser pour les renseigne­ments : »

A Me Georges MORAND, avoue à Senlis, poursuivant la vente ;

Et à M« Félix LOUAT, notaire à Senlis, rédacteur et déposi taire du cahier des charges.

Ejude de M" René PICARD, docteur en droit, avoué à Senlis,

21, rue de Villevert, Téléphone 13.

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S’adress r à Me BOILEAU, no­taire à Nanteuil-le-Haudouin.

Ces fournitures seront a jugées aux moins offrants, en tenant toutefois heu d ’un prix maximum fixé par les soins du D irecieur de l’Intendance du 2e C. A. pour la viande, et de Monsieur le Colonel comm andant le 4e Spahis, pour les autres denrées.

En cas d ’insuccès de l’adjudi­cation et de son concours consé­cutif, clos le 9 Juin 1934, à midi, une réadjunication aurait lieu le Mardi 19 Juin, aux anciennes heures.

Les personnes de la ville ou étrangères à la ville ayant Tin- tention de soum issionner devront en inform er par écrit le Président de ladite Commission avant le 26 Mai 1934. Elles seront avi­sées, au moins trois jours francs avant le jou r fixé pour l’ad judi­cation, de l’adm ission de leurs offres.

Le cahier des charges indi­quant les conditions du marché et les obligations imposées à l’adjudicataire est déposé au Bureau de la Commission des Ordinaires, au Q uartier Ordener, où on pourra en prend-e connais­sance.

Senlis, le 5 Mai 1934.Le Chef d'Escadrons,

Président de La Commission des Ordinaires

DOR de LASTOURS.9428

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 6 JUIN 1934, à 14 heures, en l’audience des criées du T ribunal civil de Senlis (Oi­se), sis au Palais de Justice, place Notre-Dame.

S ’adresser pour tes renseigne­m ents à :

10 M° René PICARD, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2° M» L. CHASTAING, avoué à Senlis ;

3° M” SABATIER, huissier à Creil ;

4° ÂP TETAR, notaire à Pré- cy-sur-Oise.

Etude de M” Georges MORAND, avoué à Senlis.

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et de Me BARBIER, notaire à Creil.

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L’adjudication aura lieu le MERCREDI 23 MAI 1934, à 14 heures, en l’Etude et p ar le m i­nistère de Me Louis BARBIER, notaire à Creil, commis à cet effet.

S ’adresser pour tes renseigne­ments :

A M* LOIR, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

E t à Me Louis BARBIER, no­taire à Creil, rédacteur et dépo­sitaire du cahier des charges.

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L’adjudication aura lieu le MERCREDI 6 JUIN 1934, à 14 heures, en l’audience des criées du Tribunal civil de prem ière instance de Senlis (Oise), au Pa­lais de Justice de la dite ville, place Notre-Dame, ancien Evê­ché.

S ’adresser pour les renseigne­m ents et pour visiter :

A M” René PICARD, docteur en droit, avoué à Senlis, pour­suivant la vente, rédacteur du cahier des charges.

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 30 MAI 1934, à 14 heures, en l’audience des criées du T ribunal de prem ière ins­tance de Senlis, au Palais de Jus­tice de la dite Ville, place Notre- Dame, Bâtim ent de l’Evêché.

Etude de M’ TETARD, notairea S e n l i s .

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