GRATUIT - Numéro 201 - Edition du Mercredi 22 Février 2012 Journal Israélien en langue française

Israël renforce ses positionsaux frontières de l´Iran

3L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Directeurs de la publication

Alain SayadaTel: 06 68 17 25 55

Rédacteur en chefEliahou Ben Yéouchoua

Directeur commercial Israel:Sigalit Siksik Sitbon06 67 78 40 00

Régie publicitaire exclusiveEpsilon Media Associés77bis, rue Robespierre93100 MontreuilFrance

Crédits photoAFP, Reuters, Alain Azria

Directeur commercial France:Yohann Azoulay06 68 75 46 26

Commerciaux :Elyahou Sayada01 48 97 46 85

Israël Actualités est une marque déposée en France

Vision biaiséeLa pluie et la neige ont apporté la joie, la bonne humeur et sur-tout plein d’espoir… Ailleurs, le mauvais temps est synonyme de tristesse et d’angoisse … Déci-dément, notre regard est bien différent de celui du reste du monde.

Quand les autres tournent le dos aux vieillards et aux malades, nous, sommes tous là à prier pour la guérison du rav Eliashiv, âgé de 102 ans… Et le miracle a eu lieu, il est sorti de son coma comme pour dire merci et bénir chacun.

Conscients des leçons de l’His-toire, lorsqu’il y a à peine 70 ans le monde fermait les yeux devant les trains de la mort, nous nous préparons à toute éventualité face à l’ennemi qui prétend vouloir nous exterminer. Là encore le monde libre hésite, parlemente, se défile de peur… de peur de voir le prix de l’essence flamber. Notre existence semble une fois de plus sacrifiée pour une poignée dollars… Les Ayatollah l’ont bien compris, et devant l’inertie géné-ralisée, ils attaquent à leur façon

– lâche, humiliante et cruelle. Ah-minejad dans le rôle du méchant, sait qu’Obama parle mais ne va pas dégainer, comme l’aurait fait sans balbutier Clint Eastwood…

Bibi, Ehoud, Benny et les autres, ainsi que tout notre peuple, se préparent sans trembler à toutes formes de sanctions contre le dic-tateur. Pour Netanyahou, Barak, Gantz, les dès sont jetés. Les juifs savent braver les épreuves, ils le prouvent sans cesse et D. les ac-compagne dans leur combat pour la survie d’Israël et la justice.

Notre dernier héros en date est le docteur Yehouda David. Cet homme courageux a affronté toute l’équipe des falsificateurs de l’Affaire Al-Dura, et 12 ans plus tard, il obtient enfin gain de cause. Les cicatrices du père du petit Mohamed étaient dues à une opération faite par le docteur Da-vid, et non par des balles de Tsa-hal, comme tous l’avaient préten-du, et notamment «nos amis» de France 2. Et si le père n’a pas été atteint par les balles, le fils, dont le corps n’a jamais été examiné,

n’a sans doute pas été tué en ce fameux septembre 2000 comme l’a démontré Philippe Karsenty qui s’est battu pendant huit ans pour prouver les malversations de la chaine française. Résultat, on se souvient encore des dernières paroles de Daniel Pearl, exécuté en direct pour venger ce crime inventé, ainsi que nos milliers de victimes de la seconde Intifada. Comme toujours, à la source de ces incitations à la haine et à la destruction d’Israël, on ne trouve que mythes et complots. Nos victimes à nous, hélas, sont bien réelles même si les médias occi-dentaux ne s’en soucient guère.

C’est pour cela que nous serons tous auprès des familles Benishay et Fogel ce mercredi 29 février, le 6 Adar, pour la Hazkara de Ehud, Ruthy, Yohav, Elad et Hadass, z’’l. Nous serons tous là, par la pensée ou par notre présence, à Itamar, pour leur rendre hom-mage, perpétuer leur souvenir, prier et affirmer notre droit à l’existence sur notre terre, envers et contre tout. Hodesh Adar Sa-mea’h.

4L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Tandis que le monde entier se perd en conjectures sur ses intentions vis-à-vis de Téhéran, l’Etat Juif se redéploie aux frontières iraniennes. Ne pouvant plus compter sur son allié historique dans la région, la Turquie, Israël se tourne désormais vers l’Azerbaïdjan. Ce petit pays du Caucase, qui compte 9 millions d’habitants, à une frontière com-mune de plus de 600 km de long avec l’Iran.

L’Azerbaïdjan est devenu depuis plusieurs mois la base arrière de probables opérations israéliennes contre l’Iran. Iran qui tente en vain de conserver son influence à Bakou. Plusieurs accords ont d’ores et déjà été conclus avec l’Azerbaïdjan.

Ces accords portent aussi bien sur des investissements financiers, la four-niture d’armes et l’envoi de conseil-lers techniques et militaires à Bakou. Israël fournit depuis 2008 des drones à l´armée azerbaïdjanaise.

Début janvier 2012, Israël Aérospace Industrie a annoncé la signature d’un contrat de 1,4 milliards de dollars. Il est à présent quasiment certain que ce contrat a été signé avec l’Azerbaïd-jan.

Cet accord porte principalement sur la fourniture de drones et d’équi-pement de sécurité divers. C’est de très loin le plus gros contrat militaire qu’une société Israélienne a signé avec l’Azerbaïdjan. Dans le même temps, en marge du forum de Davos, le président azéri Ilham Aliyev a ren-contré le président de l’État juif, Shi-mon Peres.

Cette rencontre était la première rencontre officielle entre des diri-geants de ces deux pays. Ce rappro-chement entre l’État juif et l’Azer-baïdjan va permettre à Israël d’avoir une présence militaire à la frontière iranienne, permettre aux Mossad de reprendre pied dans la région et faci-liter les opérations clandestines de l’État juif dans la région.

La réaction iranienne ne s’est pas fait attendre, fin janvier les services de contre-espionnage azéri ont arrêté un ressortissant iranien soupçonné de préparer un attentat contre l’ambas-sade d’Israël en Azerbaïdjan. Selon des sources israéliennes un autre pro-jet d’attentat visant à venger l’assas-sinat d’un haut responsable du Hez-bollah en 2008, aurait été déjoué ces dernières semaines

Remy Marceau

Israël renforce ses positions aux frontières de l´Iran

Les quartiers rebelles de la ville de Homs (centre) étaient violem-ment bombardés par les forces du régime syrien jeudi, notamment à Baba Amr secoué par des explo-sions «terrifiantes» et où les com-munications étaient totalement coupées, selon une ONG et des militants. «Baba Amr ainsi qu’une partie du quartier d’Inchaat sont bombardés depuis 07H00 du matin et des tirs de mortier sont tombés sur Khaldiyé», a affirmé Rami Ab-del Rahmane, chef de l’Observa-toire syrien des droits de l’Homme (OSDH)».

«On entend des explosions terri-fiantes, effroyables», rapporte de son côté Hadi Abdallah, un militant local de la «Commission générale de la révolution syrienne». «Plus les condamnations (internationales) se succèdent, plus le bombardement s’intensifie», commente-t-il.

«Aujourd’hui, nous n’arrivons pas à joindre une dizaine de militants, ni via Skype (téléphone par internet), ni via Thuraya» (téléphone satellitaire), précise par ailleurs le militant. «Nous recueillons aujourd’hui nos informa-tions en-dehors des quartiers bombar-dés, les communications sont totale-

ment coupées à l’intérieur», indique de son côté M. Abdel Rahmane.

Ce 20ème jour de bombardements intervient au lendemain de la mort de deux journalistes occidentaux, l’Américaine Marie Colvin, grand reporter du Sunday Times, et le Fran-çais Rémi Ochlik, photographe à l’agence IP3 Press, dans le pilonnage d’une maison transformée en centre de presse pour les militants.

«Nous sommes sûrs que le centre a été visé car il y a 11 obus qui sont tombés sur et autour du bâtiment. Les forces du régime ont capté un signal de transmission», selon M. Abdal-lah. Le chef de l’OSDH avait affirmé mercredi à l’AFP que «des avions de reconnaissance planent tout le temps au-dessus de Homs» et «ils ont pro-bablement capté des signaux indi-quant des communications par satel-lite» avant de viser le centre.

Le pilonnage se poursuit au moment où la communauté internationale cherche à instaurer une trêve en vue d’acheminer une aide humanitaire d’urgence, notamment vers Baba Amr où les quelques milliers d’habi-tants bloqués font face une situation de plus en plus difficile.

Syrie : explosions «terrifiantes» à Homs, toutes les communications coupées (ONG)

Un centre de recherche iranien qui a été étudié par les inspecteurs nucléaires de l’ONU semble avoir joué un rôle clé dans le programme nucléaire de Téhéran, selon un rap-port publié mercredi. Le rapport, réalisé par l’Institut pour la Science et la Sécurité Nationale (ISIS), entrainera probablement plus de doutes sur les refus de Téhéran de reconnaître qu’il cherche à obte-nir des armes nucléaires, alors que l’agence nucléaire de l’ONU s’ap-prête à publier un nouveau rapport sur l’Iran dans les prochains jours.

Le centre de recherche physique ira-nien a été créé en 1989 « dans le cadre

d’un effort pour créer un programme nucléaire non déclaré », selon le pré-sident de l’ISIS, David Allbright, ex-pert nucléaire et ancien inspecteur de l’agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

« Bien que l’Iran ait admis que le centre de recherche a été lié à l’ar-mée et avait un but nucléaire dans le domaine de la défense et de la détec-tion des radiations, son rôle effective-ment nucléaire semble beaucoup plus vaste, » dit le rapport de l’ISIS.

Le centre de recherche iranien a été créé un an après la fin de la guerre Iran-Irak (1980-1988), pendant la-

quelle les troupes de Saddam Hussein avaient utilisé des armes chimiques contre les soldats iraniens.

Selon le rapport de novembre 2011 publié par l’AIEA, le centre de re-cherche physique a été établi a Lavi-zan, un complexe situé a proximité d’une installation militaire a Téhéran. Lavizan a été complètement rasé a la fin 2003.

Des diplomates occidentaux et des responsables des renseignements avaient déclaré à l’époque qu’ils soupçonnaient que Téhéran menait des activités nucléaires non déclarées à Lavizan.

L’ISIS a dit avoir acquis plus de 1600 télex relatifs aux activités d’appro-visionnement nucléaire du centre de recherche physique et de l’université Sharif, une autre institution iranienne impliquée dans la recherche nucléaire iranienne, dans les années 1990.

« L’Iran a omis de déclarer toutes les activités du centre de recherche à l’AIEA, » dit le rapport. « L’Iran a déclaré à l’AIEA que les centre de recherche n’était pas lié à un pro-gramme nucléaire. Les informations rassemblées par le rapport de l’ISIS prouvent cependant le contraire. »

Un nouveau centre de recherche au rôle clé pour le nucléaire iranien

Des émeutiers arabes se sont mis à lancer des pierres sur les fidèles juifs qui viennent se recueillir au Tombeau de Rachel. Des gardes-frontières ont été appelés en ren-fort afin de repousser les sauvages et permettre le libre passage à ceux qui veulent prier.

Pour Myriam Badani, directrice du Fonds de préservation du Tombeau de Rachel, « ces provocations sont la conséquence directe de la décision du gouvernement d’exclure le Tombeau de Rachel et le Caveau des Patriarches de la liste des sites prioritaires.

A chaque fois que le gouvernement israélien montre qu’il est prêt à renon-cer sur nos droits, les Arabes se sen-tent avoir les mains libres et montrent à leur manière qu’ils nous considèrent comme des intrus ». Badani estime « que le système de protection du Tom-beau de Rachel est largement insuffi-sant ».

Des travaux de réfection ont certes lieu actuellement grâce au don géné-reux de 5 millions de dollars d’un juif

de diaspora, mais, dit Myriam Bada-ni, « il faudrait encore des fonds pour créer un parking protégé ainsi que pour un toit de protection contre les jets de pierres ».

Ainsi, le Tombeau de Rachel n’aura plus rien à voir avec la légendaire peinture pittoresque que l’on connait, mais sera devenu un véritable bun-ker en béton uniquement par la faute d’antisémites musulmans.

La différence entre le laxisme des autorités juives face à ces agressions répétées et les appels alarmistes de dirigeants spirituels musulmans face à des menaces juives complètement imaginaires n’en est que plus criante. Rachel a de quoi pleurer sur ses en-fants…

par Shraga Blum

Jets de pierres au Tombeau de Rachel

5L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Les druzes du Golan commencent à se retourner contre le dictateur syrien Bachar Assad et ont protesté contre son régime pour la première fois depuis la guerre des Six Jours en 1967. Les druzes du Golan, une religion propre et non une secte musulmane, représente près de 50% de la population du Golan, et la majorité d’entre eux sont catégo-riquement anti-israéliens, souvent par crainte de représailles contre des proches en Syrie.

La plupart de la population du village de Majdal Shams, sur la route du Her-mon, a des liens familiaux avec des syriens. Les résidents sont restés si-lencieux depuis le début de la révolte populaire qui touche la Syrie, de peur qu’Assad nuise à leurs proches, ou même a eux si le Golan venait un jour a être sous autorité syrienne.

Assad a précédemment offert la paix à Israël en échange de territoires, d’où ses forces attaquaient facilement les israéliens situés en contrebas de la

zone montagneuse avant la guerre de 1967.

Des groupes de défense des droits de l’homme ont déclaré a l’Associated Press que « le soutien à l’opposition augmente chaque semaine, si ce n’est pas tous les jours, » mais il n’a pas pris un ton militant. Plusieurs mani-festations pacifiques ont eu lieu sur la principale place de la petite ville, dans une rare expression publique contre Assad.

Par ailleurs, le massacre quotidien des opposants a Assad se poursuit, avec une lueur d’espoir pour l’oppo-sition que les Etats-Unis finissent par les soutenir militairement.

Au moins 45 personnes sont mortes mardi dans la ville de Homs, y com-pris un blogueur connu, Rami al-Said. Son dernier message sur Facebook déclare : « Baba Amro est maintenant effacé, génocide complet, je ne veux pas que vous nous disiez que votre cœur est avec nous, je le sais, je veux des projets partout dedans et dehors, je veux que tout le monde aille devant les ambassades dans tous les pays, partout, parce que nous ne sommes bientôt plus rien, il n’y aura plus de Baba Amro.

Je m’attends à ce que cela soit la der-nière lettre pour vous, et nous ne vous pardonnerons pas. »

Les druzes du Golan se tournent contre AssadOn croyait que les leçons du choc de l’Affaire Shalit avaient été rete-nues et que l’Etat juif ne céderait plus face au terrorisme. C’était se faire des illusions. Cette fois-ci c’est une banale grève de la faim qui aura fait céder le Parquet israélien.

Khader Adnan, haut responsable su Jihad Islamique en Judée-Samarie a accepté de cesser sa grève de la faim et retirer sa plainte au-devant de la Cour Suprême en contrepartie de sa libération prochaine! Khader Adnan avait déjà été arrêté à sept reprises par le passé pour activités terroristes, et la dernière fois, il avait réussi à s’échap-per, faisant disparaître ses traces pen-dant plusieurs mois.Mis en garde à vue à la demande du Shin Bet, il refu-sait de collaborer avec les enquêteurs et avait commencé une grève de la faim il y a plus de deux mois.

Depuis quelques jours, la « rue pa-lestinienne » s’était mobilisée en sa faveur, en dressant une tente de soli-darité dans le village où habite le ter-roriste. Les députés arabes à la Knes-set ont évidemment été de la fête, rendant visite au terroriste à l’hôpital « Ziv » de Safed, et redoublant d’at-taques contre l’Etat d’Israël devant les Arabes palestiniens galvanisés.

Fait marquant et symptomatique dans ce soutien des députés, Muhamad

Barake, membre du parti communiste « Hadash », censé être laïc et antire-ligieux, a prononcé un discours viru-lent faisant référence…au Jihad! A l’annonce de la prochaine libération du terroriste, son épouse s’est écriée « qu’il s’agissait de la victoire de sheikh Adnan sur l’occupation »!

Le père du terroriste n’a pas eu peur du ridicule en déclarant: « Le peuple juif, lui, sait la vérité, mais le gouver-nement la déforme. Mon fils n’est pas un terroriste ». Et d’accuser Israël « d’avoir arrêté son fils pour empêcher la réconciliation entre les Palestiniens »!

Cet homme fait semblant d’ignorer que son fils fut l’un des principaux pourvoyeurs de fonds des terroristes de la région de Jénine lors de la 2e Intifada, et qui perpétrèrent de nom-breux attentats meurtriers contre des juifs.

A l’annonce de l’accord signé entre les avocats du terroriste et le Parquet, l’un des analystes a estimé « qu’il s’agissait d’une victoire pour le terro-riste et une défaite pour le Shin Bet », rajoutant « que dorénavant, chaque terroriste arrêté saurait qu’en enta-mant une grève de la faim, il obtien-drait ce qu’il veut ».

par Shraga Blum

Le terroriste fait plier l’Etat d’Israël

6L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Les habitants de Beyrouth sont « choqués ! » Pire, ils sont révol-tés ! Une publicité géante pour la marque Dior rend les habitants de la capitale libanaise fous… La cause ? L’égérie de la marque est une juive américano-israélienne : Natalie Portman. Portman, une ac-trice oscarisée, jamais politisée, est née à Jérusalem de parents israé-liens et a grandi à New York.

La publicité a été accroché sur un bâtiment non loin d’un centre cultu-rel de Beyrouth. Les blogueurs liba-nais qui ont appris de l’affichage de cette publicité ont commencé par se plaindre sur internet : « Natalie Port-man, qui est née à Jérusalem et dont le vrai nom de famille est Hershlag, a longuement parlé de son amour pour son pays d’origine et de la manière dont elle veut aller y vivre quand il y aura la paix » écrit le premier…

Ne cachant pas son rejet du judaïsme (en mettant en avant son nom de fa-mille « juif », et sa non-envie de paix en espérant qu’elle ne vienne jamais y vivre). Un second blogueur spécule : « elle est très active dans les groupes sionistes. Elle est aussi une militante des droits de l’homme…

Tant que ces êtres humains ne sont

pas les Palestiniens. « C’est bien mal connaitre les responsables israéliens des droits de l’homme qui sont tout le contraire de ce que ce blogueur affirme ! Le blogueur a expliqué que « les relations avec Israël sont consi-dérées comme illégales et sont crime au Liban », pour lui « Portman mérite d’être pendue ».

Il oubli peut-être que Portman n’est pas libanaise, qu’elle n’y a jamais vécu et qu’elle n’y vivra certainement jamais. Pour attirer une telle femme, il faut offrir plus qu’un bidonville entouré de d’islamistes du Hezbollah ! Portman a fait ses débuts au cinéma dans Léon de Luc Besson, aux côtés de Jean Reno en 1994.

Elle accède au statut de célébrité internationale en 1999 avec la sortie de Star Wars, épisode I : La Menace fantôme dans lequel elle joue Padmé Amidala. Elle conserve ce rôle dans les épisodes II et III, respectivement sortis en 2002 et 2005.

Natalie Portman a tourné avec des réalisateurs connus tels que Woody Allen (Tout le monde dit I love you), Michael Mann (Heat), Tim Burton (Mars Attacks!) ou encore Darren Aronofsky (Black Swan).

En 2005, elle obtient le Golden Globe de la meilleure actrice dans un second rôle pour son rôle dans Closer, entre adultes consentants de Mike Nichols ; ce rôle lui vaut également une nomi-nation aux Oscars.

Elle est récompensée par le Saturn Award de la meilleure actrice en 2007 pour son rôle dans la dystopie V pour Vendetta. Elle remporte un deuxième Golden Globe en 2011 dans la caté-gorie meilleure actrice dans un film dramatique puis l’Oscar de la meil-leure actrice cette fois, pour sa per-formance dans Black Swan.

En plus de ses activités artistiques, Natalie Portman est engagée aux côtés de la Foundation for Internatio-nal Community Assistance (FINCA), une association à but non-lucratif qui propose des solutions de microcrédit dans les pays en développement.

En juin 2003, elle obtient un diplôme de psychologie sanctionnant quatre années d’études à l’Université Har-vard. Natalie Portman a commencé sa carrière jeune (elle a moins de douze ans lors du tournage de Léon) et à seize ans, elle a déjà joué dans six films.

Les personnages qu’elle a interprétés étant enfant ont en commun d’être particulièrement mûrs pour leur âge. Bien qu’ayant joué dans plusieurs films à gros budget, elle est surtout reconnue pour ses rôles dramatiques et la justesse de son jeu.

Elle vit avec le danseur chorégraphe français de danse contemporaine Benjamin Millepied qu’elle a ren-contré sur le plateau de tournage de Black Swan, film dont il était le di-recteur artistique. Ils sont les parents d’un petit garçon, Aleph, né le 15 juin 201.

Benjamin Amsellem – JSSNews

Scandale à Beyrouth : Natalie Portman, actrice juive israélo-américaine, s’affiche dans la ville !

Selon le quotidien turc Zaman, la Turquie mettra tout en œuvre pour empecher Israël d’accéder aux données fournies par le système antimissile installé par l’Otan sur son territoire. Cela vaut en parti-culier pour une éventuelle attaque de missiles en provenance d’Iran, précise le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, qui ajoute «qu’il ne sera jamais permis à un pays tiers d’utiliser une ins-tallation de l’Otan. Notre position devient encore plus claire s’il s’agit d’Israël».

Selon Zaman, «la Turquie a négocié avec les Américains afin de garantir la sécurité des données du système de défense antimissile et d’éviter toute

fuite de ces informations en Israël». Ces propos constituent une réponse à des informations qui faisaient état de l’utilisation d’informations recueillies par ce radar, l’an dernier, lors de test effectués conjointement par les USA et Israël.

L’Otan aurait d’ailleurs accepté la présence d’un général turc au quartier général opérationnel de l’Alliance en Allemagne, afin de contrôler l’utili-sation de ces données. L’Otan et les Etats-Unis veulent déployer un sys-tème d’interception de missiles pour contrer la menace iranienne de tirs de missiles de courte et moyenne portée.

par excellent Gerard Fredj

La Turquie bloque l’accès israélien aux informations de l’Otan

Selon la presse libanaise de ce mardi 21 février, l’Iran aurait émis une demande au Hamas, pour que ce mouvement terroriste se retire de l’accord d’unité avec le Fatah, signé à Doha plus tôt ce mois-ci. Le quotidien Al-Mustaqbal, cite des sources palestiniennes « de haut niveau » disant que Téhéran a dé-

cidé de ne pas « permettre à cette accord de mûrir. »

Le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du Hamas Khaled Mashaal doivent se réunir jeudi au Caire sur la question. Selon l’article libanais, la direction iranienne a pu-blié une liste de demandes qui font

qu’il est impossible pour le Hamas de poursuivre le plan actuel de l’accord de réconciliation négocié au Qatar.

Si le Hamas n’accepte pas, l’Iran pourrait stopper net ses donations de centaines de millions de dollars aux palestiniens. Parmi les deux de-mandes les plus importantes : la libé-ration par le Fatah de tous les prison-niers du Hamas. L’autre demande et l’arrêt de toute coopération ou toute négociation de paix avec Israël. Té-héran a également offert au Premier ministre du Hamas Ismaïl Haniyeh diverses incitations monétaires pour convaincre son gouvernement de voter contre l’accord.

Les sources d’Al-Mustaqbal ajoutent que, « pour l’heure, l’état major du Hamas est divisé sur la question. » D’ailleurs, « la majorité des respon-sables du Hamas en Judée-Samarie, ainsi que les chefs des brigades Izz Edine Al Qassam est contre l’accord dans sa forme actuelle. »

Niso Amzar – JSSNews

Selon les libanais, l’Iran veut empêcher l’accord palestinien d’unité

Un haut responsable américain a indiqué au journal Asharq al-Aw-satt que selon les premiers rapports militaires, les navires iraniens ayant mouillé au port de Tartous en Syrie, transportaient à leur bord des armes et du pétrole destinés à lutter contre le blocus arabe et in-ternational contre Damas.

Ce responsable a ajouté que les na-vires de la Marine américaine en Mé-diterranée suivent de près déjà depuis 3 semaines les bâtiments iraniens arrivés samedi en Syrie après avoir franchi le canal de Suez

Pour des raisons aussi bien poli-tiques que militaires, l’Iran a entre-pris depuis deux ans de développer la présence en haute mer de sa marine jusqu’alors cantonnée à la défense des côtes iraniennes à l’est du détroit d’Ormuz. Le contrôle du Golfe, à l’est du détroit, est dévolu aux forces navales des Gardiens de la révolution.

.La marine, dont les forces de haute mer sont limitées à une demi-dou-zaine de petites frégates ou destroyers et à trois sous-marins russes de classe «Kilo», a ainsi multiplié les opéra-tions en mer d’Oman et dans le Golfe d’Aden, en particulier pour protéger les navires iraniens contre les pirates somaliens opérant dans cette zone.

Elle y déploie désormais en perma-nence au moins deux navires qui ont déjà escorté plus de 1 300 bateaux marchands et ont été engagés dans plus d’une centaine d’affrontements armés avec des pirates, selon des indications données en décembre par l’amiral Sayyari.

Elle y a également fait patrouiller pour la première fois l’été dernier l’un de ses sous-marins «Kilo», et l’amiral Sayyari a annoncé son inten-tion d’envoyer des bâtiments dans l’Atlantique à une date et pour une mission qu’il n’a pas précisées.

Les navires iraniens arrivés en Syrie, ont à bord armes et pétrole

8L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

L’ancien directeur général du FMI Dominique Strauss-Kahn a été placé en garde à vue mardi matin à Lille (nord) pour «complicité de proxénétisme» et «recel d’abus de biens sociaux» dans l’affaire dite du Carlton, a-t-on appris auprès du parquet.

L’enquête porte sur un réseau de prostitution organisé autour de l’hôtel Carlton de Lille, dont Dominique Strauss-Kahn aurait bénéficié en 2010 et 2011 en France et aux Etats-Unis.

Il est susceptible d’être poursuivi non comme client de prostituées - ce qui est légal en France - mais pour «re-cel d’abus de biens sociaux», car les rémunérations des jeunes femmes ont été assurées par deux amis entrepre-neurs du Nord, qui les ont présentées à leurs sociétés sur notes de frais

. Huit personnes sont poursuivies dans ce dossier de Lille, parti d’une affaire de proxénétisme en Belgique où un Français, Dominique Alderwei-reld, surnommé «Dodo la saumure» a été arrêté.

Proche de Dominique Strauss-Kahn, le commissaire divisionnaire lillois Jean-Christophe Lagarde, poursuivi pour proxénétisme aggravé en bande organisée et recel d’abus de biens sociaux, est soupçonné d’avoir orga-nisé des déplacements de prostituées à Paris et aux Etats-Unis pour Domi-nique Strauss-Kahn en 2010 et au printemps 2011, quand il dirigeait le FMI.

David Roquet, employé d’une filiale du groupe de BTP Eiffage et un autre ami de Dominique Strauss-Kahn, Fabrice Paszkowski, gérant d’une so-ciété de matériel médical et militant PS, sont aussi mis en examen et ont été écroués plusieurs mois comme organisateurs de ces rencontres, dont ils ont pris en charge les frais.

CONTRE-ATTAQUE DE DSK ?

Cette audition pourrait troubler la campagne présidentielle, dont Domi-nique Strauss-Kahn, ancien ministre de l’Economie (1997-1999) et direc-

teur général du FMI (2007-2011) fut le favori avant son arrestation à New York en mai dernier pour une présumée agression sexuelle sur une femme de chambre. Il a bénéficié d’un abandon de poursuites en sep-tembre.

Le Parti socialiste et son candidat, François Hollande, ont cependant pris leurs distances avec lui, notam-ment quand il a été à nouveau inter-rogé par la police à son retour à Paris sur la supposée agression sexuelle de la journaliste Tristane Banon en 2003.

Le parquet de Paris a jugé les faits établis mais classé l’affaire sans suite pour cause de prescription. Le pré-sident d’honneur du Front national Jean-Marie Le Pen, a soutenu mardi que tout le monde connaissait les pro-blèmes de comportement qu’il prête à l’ex-patron du FMI.

«Toute la France le savait, il serait vraiment étonnant que le seul endroit où on ne sache pas ce que faisait Do-minique Strauss-Kahn, c’était le Parti socialiste, mais on avait une grande indulgence à son égard, compte tenu du fait surtout qu’il allait être candi-dat à l’élection présidentielle», a-t-il dit sur I-télé.

La radio RTL croit savoir que Domi-nique Strauss-Kahn entend mettre en cause le rôle à ses yeux ambigu des services de renseignements français, qui auraient eu connaissance de cette enquête et l’auraient exploitée pour lui nuire.

Retiré de la vie publique, Dominique Strauss-Kahn a engagé des poursuites judiciaires contre plusieurs médias et contre Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, qui avait estimé que le comportement prêté à «DSK» était à la frontière «entre délinquance et vie privée» et pénale-ment répréhensible.

L’interrogatoire de police inter-vient alors que le président Nicolas Sarkozy vient de se déclarer candi-dat et doit se déplacer à Lille jeudi, échéance théorique de l’interroga-toire de Dominique Strauss-Kahn.

DSK placé en garde à vue

9L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

La Russie a vertement mis en garde mercredi Israël et les Etats-Unis contre une attaque militaire visant l’Iran, jugeant qu’une intervention armée aurait des conséquences “catastrophiques” pour la commu-nauté internationale.

“Tout scénario militaire contre l’Iran sera catastrophique pour la région et, sans doute, pour le système des relations internationales dans son ensemble”, a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Guén-nadi Gatilov au cours d’une confé-rence de presse à Moscou. “J’espère qu’en Israël, on a conscience des conséquences” que cela pourrait avoir, a-t-il poursuivi, ajoutant sou-haiter qu’»on n’en arrive pas à des scénarios militaires».

L’Iran est soupçonné par les pays occidentaux de chercher à se doter de l’arme nucléaire sous couvert d’un programme civil et ces dernières se-maines Israël a soufflé le chaud et le froid sur la possibilité de mener des bombardements contre des installa-tions iraniennes.

Quelques heures plus tôt, le porte-parole de la diplomatie russe avait pour sa part évoqué le “scénario apo-

calyptique” d’une intervention mili-taire contre Téhéran depuis une base militaire américaine au Kirghizstan, une ex-république soviétique d’Asie centrale. “On ne peut pas exclure que cette infrastructure puisse être uti-lisée dans l’éventualité d’un conflit avec l’Iran”, a déclaré le porte-parole, Alexandre Loukachevitch, selon des propos retransmis à la télévision.

Pour la diplomatie russe, les Etats-Unis pourraient être tentés de lancer une offensive militaire contre l’Iran, arguant de son programme nucléaire controversé, afin de prendre ensuite le contrôle des vastes réserves d’hydro-carbures des anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale.“Derrière les appels à la nécessité d’assurer la non-prolifération des armes nucléaires pourrait se cacher l’ambition de verrouiller la carte géo-politique dans un vaste espace riche en hydrocarbures”, a estimé M. Lou-kachevitch.“Nous espérons que ce scénario apo-calyptique ne va pas se réaliser”, a-t-il ajouté.La base militaire de Manas à l’aéro-port de Bichkek, la capitale kirghize, sert actuellement au déploiement de l’essentiel des troupes américaines engagées en Afghanistan.

Le Kirghizstan est le seul pays au monde à accueillir à la fois une base militaire russe et une base américaine.Le gouvernement kirghize a indiqué qu’il comptait fermer Manas dans la seconde moitié de 2014. Dans le pas-sé, les Etats-Unis ont à chaque fois pu négocier un prolongement du bail en échange d’une hausse du loyer.Moscou voit d’un mauvais oeil la présence américaine en Asie cen-trale, une région très riche en hydro-carbures qui était sous son contrôle jusqu’à la chute du régime soviétique en 1991.

Source : AFP

Source: Copyrights AFP

Une base militaire américaine au Kirghizstan pourrait servir à attaquer l’Iran. La Russie met en garde Israël contre une atteinte au système des relations internationales

L’UE pourrait alléger la dette de pays nord-africains tels que l’Egypte. Israël fait partie des heu-reux élus “endettés”.

Les gouvernements des pays de l’Union européenne envisagent un “allègement de la dette” de pays d’Afrique du nord tels que l’Egypte, ont déclaré mercredi soir à l’AFP des sources européennes et gouver-nementales. “Les Etats membres (de l’UE) vont examiner les possibilités d’utiliser un allègement de la dette comme signal d’un changement” à l’égard de pays du sud de la Médi-terranée, selon des conclusions qui seront soumises au sommet de l’UE des 1er et 2 mars. Ce projet apparaît à peine 24 heures après que les pays de la zone euro eurent adopté un plan de soutien sans précédent à la Grèce pour l’aider à faire face à sa dette.

La France aux avant-posteC’est avant tout le gouvernement français qui cherche à promouvoir ce projet qui doit être discuté une pre-mière fois pendant une réunion jeudi matin des ambassadeurs des 27 pays membres de l’UE, selon des diplo-mates. Il faut s’attendre à “une vive discussion”, a estimé un haut respon-sable de l’UE à propos du projet, qui prévoit qu’un allègement de dette pourrait être accordé en échange de réformes démocratiques et de conces-sions commerciales. A l’occasion de la réunion de jeudi, il s’agit de voir

“qui d’autre montre de la résolution sur ce sujet, qui est neutre à ce stade et qui va manifester de l’opposition” au projet, a-t-il expliqué. L’idée est de s’inscrire dans la foulée du “prin-temps arabe”, l’UE demandant des “progrès rapides” dans des négocia-tions sur des accords de libre-échange entre les Européens et leurs “voisins du sud” de la Méditerranée, selon ce responsable de l’UE. Selon l’UE, les pays concernés sont: l’Algérie, l’Egypte, la bande de Gaza et la Cis-jordanie, Israël, la Jordanie, le Liban, le Maroc, la Syrie et la Tunisie.

Plans ambitieuxLes dirigeants européens ont des plans ambitieux pour intégrer totale-ment cette région dans le plus grand espace de libre échange de biens et de services du monde et l’aider à relan-cer une croissance économique sta-gnante. Si le projet est adopté, l’allé-gement de la dette incitera ces pays à adopter les normes européennes avec la menace d’une suspension de l’aide pour ceux qui seront accusés d’oppression ou de graves violations des droits de l’homme. Un respon-sable gouvernemental d’un pays membre a indiqué qu’il ne s’agissait pas à ce stade de parler de chiffres d’un éventuel allègement de dette et que la Commission européenne n’en avancerait pas avant avril, mais que “des milliards de dollars” pourraient être en jeu.

L’UE pourrait alléger la dette de pays nord-africains

10L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

La police azerbaïdjanaise affirme ce soir avoir mis aux arrêts plu-sieurs espions iraniens ainsi que plusieurs terroristes musulmans chiites liés au Hezbollah libanais. Tous sont soupçonnés d’avoir pla-nifié des attentats dans le pays. La télévision d’État AzTV, citant le ministère de la Sécurité nationale, a indiqué que les suspects, dont le nombre n’a pas été précisé, avaient des liens avec les services de rensei-gnements iraniens et le Hezbollah.

Ils comptaient attaquer des intérêts étrangers en Azerbaïdjan, avaient déjà identifié des cibles et acheté des

explosifs, des armes et des munitions, selon la télévision, qui n’apporte pas d’autres précisions.

Selon cette source, les détenus plani-fiaient des attaques sur les étrangers, probablement juifs, israéliens et amé-ricains sur le territoire de l’Azerbaïd-jan. Ils ont recueilli les informations nécessaires à cet effet et ont acheté les explosifs, les armes et les muni-tions. La semaine dernière, les autori-tés de l’Azerbaïdjan ont arrêté un cor-respondant de la télévision iranienne Sahar, Anara Bayramli.

Il est accusé de trafic et de possession

de drogue et les quelques grammes d’héroïne qu’il portait sur lui ne di-ront pas le contraire. Le journaliste travaille pour un média qui est accu-sée par le gouvernement azerbaïdja-nais de se livrer à de la propagande sur son territoire. Selon son frère, le journaliste avait été convoqué à plu-sieurs reprises à la police et interrogé sur la politique de la chaîne.

L’Azerbaïdjan, pays laïc à majorité musulmane, entretient des relations difficiles avec son voisin iranien, qu’il accuse de chercher à exporter une vision radicale de l’islam sur son territoire. De son côté, l’Iran avait ac-cusé la semaine dernière l’Azerbaïd-jan d’avoir collaboré avec les ser-vices de renseignements israéliens et facilité les assassinats de scientifiques nucléaires iraniens ces dernières an-nées, des accusations qualifiées de « calomnie » par Bakou.

Téhéran souhaite d’ailleurs désor-mais couper les liens entre les deux nations. Une des pistes pour attaquer l’Iran, pour Israël, serait d’ailleurs de faire décoller ses chasseurs depuis ce pays, voisin de la République Islamique, ce qui éviterait de devoir ravitailler les avions deux fois en vol. Une telle attaque ne nécessiterais qu’une seul ravitaillement en vol, certainement au dessus de la Jordanie ou de l’Irak.

Amos Lerah – JSSNews

Iran / Azerbaïdjan : rien ne va plus avec l’arrestation d’espions iraniens à Bakou

« Lors de la prochaine guerre, l’ennemi tentera d’attaquer la base de la Kirya à Tel-Aviv, via le GPS de missiles guidés, » ont affirmé les responsables israéliens de la défense dans un communiqué de presse. Cette analyse se réfère prin-cipalement à des missiles M-300 développés par la Syrie. Ces mis-siles possèdent un système de gui-dage par satellite et une précision de 500 m.

La Kirya est située au centre de Tel Aviv. Cette base contient diverses structures gouvernementales. C’était l’une des premières bases de Tsahal qui sert encore de quartier général des FDI. Les évaluations sont que, dans

le cas d’un conflit avec la Syrie, ou d’un conflit avec l’Iran qui pourrait déboucher sur une conflagration sur d’autres fronts, le feu sera dirigé vers Tel-Aviv – y compris par voie de mis-siles avec des systèmes de guidage.

Avec ou sans aucun lien avec ces évaluations, pour la première fois une batterie Iron Dome a été positionné au sud de Tel-Aviv pour un exercice. Le chef de la direction du renseigne-ment de l’armée israélienne a récem-ment déclaré que les organisations et les pays qui entourent Israël sont en possession de pas moins de 200.000 missiles et de roquettes.

Jonathan-Simon Sellem – JSSNews

La Kyria à Tel-Aviv : prochaine cible d’une prochaine guerre ?

Une unité de Tsahal patrouillant à la frontière entre Israël et l’Egypte durant la nuit de mardi a détecté et désamorcé un puissant explosif pla-cé sur la clôture de la de la frontière par un individu qui a réussi a fuir la scène. Le porte-parole de Tsahal a confirmé que les soldats, ainsi que des policiers, étaient en mission de routine destinée à contrecarrer les activités de contrebandes près de la frontière.

L’armée israélienne a ajouté que tan-dis que la route en question est un chemin connu pour les trafics d’armes et de drogues, c’est la première fois qu’elle est utilisée pour des activités terroristes.

L’armée a augmenté ses activités de surveillance près de la frontière en raison de renseignements indiquant une menace imminente. Les nou-velles mesures de surveillance dé-ployées dans la région comprennent certains des systèmes les plus avan-cés de l’armée israélienne, tant sur terre que dans les airs.

Selon les informations disponibles, les troupes ont repéré une activité suspecte près du passage de Kerem Shalom. Lors d’une tentative d’ar-restation des suspects, les militaires ont repéré un des suspects lancer un imposant suc sur la barrière de la frontière, avant de prendre la fuite. Les soldats ont découvert le sac aux premières heures de mardi matin, qui contenait un puissant explosif. Les militaires ont neutralisé l’engin en toute sécurité.

L’armée israélienne estime que les terroristes avaient l’intention d’uti-liser la puissante bombe contre les soldats patrouillant la frontière. Les forces de sécurité égyptiennes ont été informées de l’incident, mais aucun suspect n’a été arrêté jusqu’à présent.

« Cet événement est un nouveau rap-pel que les itinéraires de contrebande près de la frontière sont utilisés par les organisations terroristes pour pla-nifier des attaques contre les citoyens d’Israël et les soldats de Tsahal, » dit un communiqué publié par l’armée.

Tsahal déjoue un attentat à la frontière égyptienne

Israël devra utiliser au moins 100 avions et voler extrêmement bas (1.600 mètres) au-dessus l’espace aérien de pays hostiles si il déci-dait d’attaquer l’Iran. Les experts du Pentagone, qui se sont confié au New York Times sont sûrs de leurs faits.

Selon l’article, les analystes mili-taires et responsables de la défense croient que l’attaque israélienne sur les installations nucléaires de l’Iran sera une opération extrêmement complexe et très différente de ce que l’on peut connaître jusqu’à ce jour. « Il faut oublier la frappe chirurgicale d’Osirak en 1981? Il faut aussi ou-blier l’attaque anti-nucléaire en Syrie en 2007″ affirment les experts.

Andrew R. Hoehn, un retraité du Pen-tagone, a également été cité comme disant, « je ne pense pas que vous trouverez quelqu’un qui dira : Voici comment c’est faisable avec une réus-site de 100% ». L’ancien directeur de

la CIA Michael Hayden, affirme pour sa part qu’Israël n’est pas capable de frapper l’Iran seul.

La distance à parcourir et le nombre de cibles est trop important. » Les analystes croient qu’Israël aura un grave problème pour atteindre les quatre principaux sites nucléaires – Natanz, Fordo, Arak et Ispahan. Pour y parvenir, il y a 3 chemins préféren-tiels : Par la Turquie au nord.

Par la Jordanie et l’Irak ou part l’Ara-

bie Saoudite au sud. D’autres attaques sont possible, avec des avions station-nés secrètement en Azerbaïjan par exemple. Mais les américains pensent que la meilleure attaque, serait celle traversant l’Iran, étant donné que ce pays n’a pas de défenses aériennes et que les États-Unis ne s’occupent plus de l’espace aérien local.

Selon les responsables, la Jordanie ne verrait aucun inconvénient à lais-ser passer les chasseurs et bombar-diers de l’Etat Juif. Reste plus que les bombes à utiliser : Natanz est censé être 30 mètres sous terre et Fordo est construit dans une montagne.

« les bombes américaines«bunker buster» (GBU28) pourraient endom-mager de tels objectifs mais on ne sait pas dans quelle mesure » expliquent les experts. Une question demeure : est-ce que la guerre actuelle (attentats contre les juifs dans le monde / scien-tifiques iraniens tués à Téhéran) ne suffira t-elle pas ?

Nathan Berdigo – JSSNews

Pentagone : « il faudra 100 avions à très basse altitude pour attaquer l’Iran »

11L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Le «Merkava» («char») est le prin-cipal tank utilisé par Tsahal. Il est considéré comme l’un des meilleurs chars d’assaut au monde et est par-faitement adapté aux besoins de l’armée. Le projet initial «Merka-va» a débuté dans les années 1960, à une époque où Israël ne voulait plus dépendre des constructeurs étrangers.

Tsahal a commencé les travaux de re-cherche et de développement en coo-pération avec l’armée britannique. Mais à cause de raisons politiques, le projet a été rapidement abandonné.Des années plus tard, tirant les leçons de la Guerre de Kippour, c’est Israël Tal qui prend la tête d’une équipe de chercheurs afin de travailler sur le projet «Merkava».

En 1974, les premiers prototypes sont prêts et à la fin de l’année 1978, Tsa-hal commence à entraîner ses troupes à utiliser le nouveau char. L’équipe qui a créé le blindé a pris en considé-ration les spécificités du territoire is-raélien pour concevoir le «Merkava».

Le «Merkava» est pour la première fois utilisé lors de la Première Guerre du Liban (Opération «Paix en Gali-lée») en 1982. Après la guerre, de nombreux changements et améliora-tions ont dû être apportés.

Ainsi, une version améliorée, le «Merkava MK-II», voit le jour en 1983. Les avantages de ce dernier sont optimisés afin de servir en situa-tion de guérilla urbaine. De nom-breuses améliorations sont apportées, notamment au niveau du blindage et des capteurs et du système de tir.

Les mitrailleuses peuvent maintenant être commandées à distance, permet-tant ainsi à l’équipage de rester en

toute sécurité à l’intérieur du char.Par ailleurs, un nouveau système de transmission et l’agrandissement du réservoir donnent au «Merkava Mk-II» une plus grande maniabilité.

Les concepteurs du Merkava ont conçu ce char de telle manière qu’il peut être modernisé et amélioré per-pétuellement, en fonction des leçons tirées de l’expérience du terrain.Quelques années après le «Merkava MK-II» , une nouvelle fois, une version plus moderne voit le jour, il s’agit du «Merkava MK-III».Ce blindé, sorti en 1989, présente un blindage plus efficace, des systèmes électroniques modernes ainsi qu’un moteur plus gros permettant au «Mer-kava MK-III» d’avoir 1200 chevaux sous le capot.

Le moteur plus lourd augmente le poids total de l’engin mais égale-ment sa vitesse maximum qui passe à 60 km/h.Le «Merkava MK-III» a également fait l’objet d’une série de mises à jour plus importantes telles que la refonte du système de tourelle, qui peut maintenant se déplacer indé-pendamment du châssis et suivre des cibles sans se soucier du mouvement du tank. Le blindage a été repensé afin d’être rapidement réparé et remplacé sur le terrain en cas de problème.

Nombre de ces améliorations ont été pensées en se basant sur les leçons tirées des expériences du terrain aussi bien à Gaza qu’au Liban.Tsahal dé-cide de passer progressivement à une force blindée entièrement composée de chars Merkava.

La course aux améliorations et à la compétitivité se poursuit et le petit dernier de la famille fait son appari-tion.

Le «Merkava» a 33 ans : découvrez le char “Made In Israel”!

Il s’agit du «Merkava MK-IV».Le «Merkava MK-IV», lancé en 2004, est la forme la plus moderne de chars «Merkava» et comprend un système de contrôle de tirs moderne permet-tant de se défendre face aux attaques d’hélicoptères, un système numérique de gestion du champ de bataille et un système innovent de suspension qui lui permet de se mouvoir sur toutes sortes de terrains, y compris ceux que d’autres tanks ne pourraient traverser.

Tous les «Merkava MK-IV» sont également équipés du système de

défense anti-missiles «Trophée», fai-sant ainsi de ce char un engin presque indestructible.

En 2005, Tsahal atteint son but puisque son Corps Blindé Méca-nisé est exclusivement composé de chars d’assaut «Merkava».Le «Mer-kava» a prouvé sa capacité lors de nombreuses missions et batailles. Il mérite clairement sa place parmi les meilleurs tanks du monde.

Armée de Défense d’Israël

12L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Emplois fictifs, enveloppes de bil-lets données de la main à la main par des dirigeants d’entreprises, doubles facturations, corruption, achat de complaisance d’un ma-gistrat, commissions sur les mar-chés publics, dons de militants qui seraient remboursés par des entreprises, Gérard Dalongeville, l’ancien maire d’Hénin-Beaumont,

vient d’écrire un ouvrage intitulé Rose Mafia Le PS est « pourri jus-quà la moelle » dénonce l’ancien maire socialiste* (éditions Jacob-Duvernet).

Et selon l’Express qui a eu la primeur des meilleures pages, le résultat est plutôt gratiné. Rose Mafia détaille le fonctionnement « d’un système

de corruption organisé par les élus socialistes ».

L’ancien élu, qui fut membre du PS avant d’être exclu et mis en exa-men pour détournement de fonds et corruption et qui ne veut pas payer seul l’addition décrit un système « pourri jusqu’à la moelle » alors qu’en détention après la révocation de son contrôle judiciaire, Gérard Dalonge-ville avait écrit plusieurs lettres à la juge Véronique Pair, en charge de l’instruction d’Hénin-Beaumont.

Il y dénonçait un système de finan-cement occulte du Parti socialiste du Pas-de-Calais, via la société d’éco-nomie mixte Adevia, en attribuant un rôle clé à Jean-Pierre Kucheida, le député-maire de Liévin.

Note de JPG : la gauche en général, et le Parti socialiste en particulier, à force de s’auto proclamer moralisa-teur de la vie politique, ont depuis Mitterrand (et les quarante voleurs de Montaldo) mis en place les paravents derrière lesquels toutes les magouilles peuvent s’abriter.

La complaisance des journalistes, maintes fois testée, et qui ne font pas bon usage de leur contre-pouvoir, ne pouvait qu’exciter leurs tentations. Hissés au pouvoir, plus rien ne les arrêtera.

© Jean-Patrick Grumberg

Le PS est « pourri jusqu’à la moelle » dénonce l’ancien maire socialiste

L’ambassadeur d’Israël en France fait partie des cinq personnalités les plus menacées en France. Confi-dence de l’ancien ambassadeur d’Israël, Dani Shek, au quotidien israélien Israël Ayom.

Il y a des journalistes qui mérite-raient d’être mis au piquet quelques heures pour la non-qualité de leurs papiers. Dans un article partial et très proche du règlement de compte (le journal Haaretz est bien à gauche et l’Ambassadeur Yossi Gal est reputé pour avoir été très proche de la droite israélienne), un journaliste, cité très souvent en référence pour la très bonne qualité de ses analyses poli-tiques, décrit ce qu’il sait du travail de l’Ambassadeur d’Israël à Paris.

Dans cet article qui prend tout de même une page du journal du week-end (en hébreu hier, et en Anglais ce dimanche) le Haaretz explique aux lecteurs que l’Ambassadeur ne peut pas parler plus de cinq minutes en Français et que son activité préfe-rée… est d’inaugurer des évenements juifs en France. Dans une “analyse” cynique le journaliste insiste lourde-ment sur “l’amour des juifs de France pour leur Ambassadeur”.

En passant il égratigne les autres membres de l’Ambassade. Depuis hier on me demande (appels télépho-niques venant de la presse hébraïque) ce que je pense de l’Ambassadeur. Ma réponse est simple : il applique à la lettre les directives du Gouver-nement israélien. Son humeur est constante.

L’Ambassade semble fonctionner sans heurts majeurs. Avec trente Ministres dans le Gouvernement israélien et un ballet incessant de Ministres qui visitent Paris, l’Ambas-sadeur est toujours surbooké pour suivre les délégations officielles. Seul point faible : effectivement on peut constater une présence moins forte de l’Ambassadeur dans les médias Fran-çais depuis sa nomination.

Un bémol quand même : ils sem-blerait que Yossi Gal applique un proverbe qui fait aussi sa force : “la parole est d’argent, mais le silence est d’or”. Ce qu’il fait en coulisse est certainement bien plus important que de parader sur les plateaux de télé-vision. Défendre Israël sous le flot permanent d’’attaques incessantes et caricaturales est souvent inutile. Je l’ai moi-même vécu lors d’un débat en direct sur Canal+.

Rien ne sert de bien parler le Fran-çais de Molière si on fait tout dans les médias pour couvrir le son de l’Am-bassadeur par des hurlements média-tiques. La meilleure réponse de Yossi Gal se trouve certainement dans le proverbe suivant : “les chiens abois, la caravane passe”. A dire en hébreu au journaliste du Haaretz.

Par:IsraelValley Desk

A NOTER : cet éditorial est sous la seule responsabilité de son auteur. La CCFI ne contrôle pas les articles qui paraissent. L’équipe rédaction-nelle est totalement indépendante.

Le Saviez-vous?Quel est le job le plus dangereux de France ?

La récente vague d’attentats visant des cibles israéliennes et juives en Asie, nous oblige à redoubler de vi-gilance aux abords des synagogues, écoles juives et centres commu-nautaires. Ces derniers jours deux

attentats ont eu lieu contre des vé-hicules diplomatiques israéliens – à New Delhi en Inde et à Tbilissi en Géorgie.

D’autre part, depuis un mois de nom-

breux projets d’attentats contre des cibles israéliennes et juives ont été déjoués – en Turquie contre le Consul Général d’Israël, en Thaïlande, contre la communauté juive locale et des diplomates israéliens, et à Bakou, en Azerbaïdjan contre l’ambassadeur d’Israël et contre un rabbin du centre Habad. Les récentes arrestations pointent la main de l’Iran et de son allié chiite, le Hezbollah.

Selon le chef de la sécurité intérieure israélienne, l’Iran lance une cam-pagne de représailles à l’égard d’Is-raël, en réponse à la mort de scienti-fiques iraniens qu’il impute à Israël. Les différentes représentations diplo-matiques israéliennes dans le monde sont en état d’alerte, comme le révèle un document obtenu par la chaîne américaine ABC News.

Selon ce document les iraniens essaie-raient de s’en prendre non seulement aux cibles israéliennes mais aussi à des cibles juives, plus facilement ac-cessibles – synagogues, écoles juives, centre communautaires.

Ainsi il est recommandé d’appliquer strictement les consignes de sécurité dans les différents lieux communau-taires, d’augmenter le niveau de vigilance et de signaler tout compor-tement suspect. En cas de problème, de doute ou de suspicion, contactez la ligne ouverte 24h/24h du Service de Protection de la Communauté Juive (SPCJ) au 0800 18 26 26.

par Israel Infos Redaction

France - Le Service de Protection de la Communauté Juive appelle à la vigilance

13L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

On ne présente plus les deux ‘’jour-nalistes’’ qui, du haut de leur cla-vier et concernant le conflit proche-oriental, nuisent, à longueur de colonnes et de reportages, à la bonne compréhension et à l’intelli-gence de leurs habitués.

Enderlin de France 2 et Zecchini du quotidien Le Monde ne démordent pas quant à l’accusation du ‘’meurtre’’ de l’enfant Mohamed A-Dura par les soldats israéliens en l’an 2000. Un ‘’crime’’ dont nul n’a encore une seule preuve à ce sujet. Pas même la couleur du sang de l’enfant ou même du père qui, paraît-il fut blessé.

Un manque qui n’a pas empêché Lau-rent Zecchini d’être, comme beau-coup dans la profession, signataire de la pétition Pour Charles Enderlin. Une carence qui n’a pas embarrassé l’envoyé permanent à Jérusalem de reprendre, sur son blog, un de ses articles en soutien où, évidemment, la thèse de l’assassinat est confortée malgré un énième procès perdu.

Le papier en question, intitulé Quand M. Nétanyahou récupère politique-ment des thèses médicales, affirme leur vision à travers le prisme de l’ar-rêt rendu le 15 février dernier par la Cour d’Appel de Paris. Un jugement qui a relaxé le Docteur Yehuda David qui avait certifié avoir opéré le père de l’enfant en 1994. Soit quelques bonnes années avant le ‘’drame’’.

Ce verdict n’étant pas en la faveur de leur théorie anti-israélienne, Laurent Zecchini fait donc appel au « profes-seur Rafi Walden, directeur adjoint de l’hôpital Sheba de Tel-Aviv, l’un des responsables de l’ONG humanitaire Médecins pour les droits de l’homme, une conscience morale incontestée,

qui se trouve être… le gendre et mé-decin personnel du président israélien Shimon Pérès ! »

Avec une telle carte de visite comment aller contre ? Un individu, cependant, qui, concernant l’Affaire Mohamed A-Dura, n’a fait que consulter le dos-sier médical de Jamal A-Dura sans jamais contrôler sa véracité. Un dos-sier que la partie civile n’a pas jugé bon de présenter au tribunal mais qui, en revanche, a servi la plaidoirie du chirurgien Yehuda David.

Bref ! Une carte de visite qui alourdit plus qu’il n’aide la paire de journa-leux dès lors que l’on sait que ce dos-sier médical, constitué par un hôpital jordanien, est datée du 02 octobre 2000 alors que Jamal A-Dura à tra-versé la frontière internationale deux jours plus tard. Soit le 04 octobre 2000. Mais d’autres incohérences s’installent dès lors que l’intelligence retrouve sa liberté ! La première d’entre elles est de s’étonner que Ja-mal A-Dura lise le français.

La seconde est de savoir qu’il lui a été possible, à partir de la bande de Gaza, de s’abonner à l’hebdomadaire com-munautaire français Actualité juive dans lequel fut diffusé le témoignage du Docteur Yehuda David. La sui-vante est de sourire à l’idée du coût d’une procédure judiciaire.

Mais la meilleure est de s’interroger quant aux raisons de Jamal A-Dura, partie civile en ce procès, qui lui ont interdit de se présenter devant une commission de médecins pour dater ses blessures et garantir une victoire judiciaire ?

Une victoire qui aurait empêché défi-

nitivement tout quidam d’affirmer, haut et fort, que son absence justifie l’accusation de la « mise en scène » destinée à porter atteinte à l’image d’Israël. La paire de journaleux ne nous informera pas sur tous ces su-jets, malgré que l’accès à celui-ci leur soit facile. Qui lui a fourni le journal ? Lui a traduit l’article ? Financé son procès ?

Elle préfère se contenter d’escamo-ter les raisons de l’absence de tout contrôle médical de ses blessures. De radoter « l’histoire du petit Moham-med Al-Doura, cet enfant palestinien dont la mort dans les bras de son père, en octobre 2000, avait été filmée par un cameraman du correspondant de France 2 à Jérusalem ». D’assurer que « la cour d’appel ne s’est pas pronon-cée sur le fond » et que « La relaxe de la cour stipule simplement que le mé-decin n’était pas de mauvaise foi et qu’il s’est exprimé sur une base fac-tuelle suffisante ». Bref ! Pas de quoi rassurer leurs fans. Des allégations qui ressortiront probablement dès lors que la Cour de Cassation confirmera le 28 février 2012 la relaxe de Phi-lippe Karsenty. Un procès de plus qui autorisera alors celui-ci, le Docteur David, Benjamin Netanyahou et tous leurs soutiens -et ils sont nombreux- à crier « victoire pour la justice et pour la vérité » ! Un succès qui autorisera alors à confirmer que la déontologie n’est plus de mise à France 2, au quo-tidien Le Monde mais aussi dans tous les organes de presse qui ont soutenu et supporte encore le ‘’professionnel’’ plutôt que la recherche de la vérité.

Ci-dessous, la traduction d’un édito-rial de Yaakov Achimeir paru dans Is-rael Hayom : L’Etat doit soutenir les combattants de la vérité Ils n’étaient

pas des soldats anonymes, mais ils étaient et sont restés des soldats soli-taires ; aujourd’hui leurs noms sont déjà connus : le médecin Dr. Yehuda David et l’économiste politique et cri-tique des médias Philippe Karsenty.

Je me souviens du temps où Karsenty, le citoyen français, parcourait les bu-reaux des employés et des ministres à Jérusalem en suppliant : « Allons, aidez-moi à effacer l’accusation de crime rituel qu’est la mort de Mo-hammed al-Dura. »

Combien il était déprimé d’être considéré comme le « fou du village », en raison de son combat. Bientôt, la Cour de Cassation de Paris doit trancher sur le pourvoi de France 2, qui refuse de reconnaître que ce ne sont pas les tirs de Tsahal qui ont tué Mohammed al-Dura, contrairement à ce qu’a affirmé cette chaine de Télé-vision.

Nous espérons qu’il sera relaxé, comme l’a été le Docteur David. Il est aussi de notre devoir de rappe-ler un autre combattant, totalement anonyme, lui, qui était en première ligne pour la défense d’Israël : la ligne qu’on appelle « Hasbara », pour contrer les mensonges et fausses ac-cusations des médias.

Cet homme était un avocat juif an-glais, Steven Sugar, qui a combattu pour dévoiler un rapport interne de la BBC, le Rapport Balen (http://en.wikipedia.org/wiki/Balen_Re-port).

Ce rapport examinait en profondeur si les reportages de la BBC sur le conflit Israélo palestinien, étaient biaisés au détriment d’Israël. Cette semaine, la

Cour Suprême de Grande Bretagne a rejeté la demande de publication du Rapport, et a justifié la demande de la BBC de refuser sa publication. De quoi ont donc eu peur les respon-sables de la BBC, en dissimulant le contenu du rapport critique ?

L’avocat Sugar, décédé entre-temps, ne sait pas que sa demande a été re-jetée. Mais lui aussi, a livré combat pendant des années, tout comme Kar-senty le Français, et comme le Doc-teur David, l’Israélien. Et je demande : « l’Etat s’est-il associé aux côtés de ces 3 personnes admirables afin de les soutenir, les aider, leur remonter le moral… ?

Ayant suivi de près « le fou a l’idée fixe », Karsenty, ma réponse défini-tive est : « Non et non. » Cette se-maine, à la demande du premier mi-nistre, le gouvernement doit décider du remboursement des frais énormes du Docteur David.

Lui aussi, comme la « troïka », a mené notre combat. Nous savons qu’aujourd’hui, la guerre se pratique, non seulement avec des tanks et des avions, mais aussi au niveau de la « hasbara ». Il n’y a pas l’ombre d’un doute : les batailles livrées par Kar-senty, le Docteur David et l’Avocat Sugart, (Z,L) ne sont pas les der-nières.

Cette guerre continue. Nul ne sait quels en seront les résultats, mais il faut en tirer une leçon et la mettre en application. L’Etat doit soutenir et en-courager ces combattants anonymes et annoncer clairement : « Vous n’êtes plus seuls. »

Publié par Victor PEREZ

Charles Enderlin et Laurent Zecchini font une triste paire

14L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Depuis plus d’une semaine et mal-gré les multiples provocations iraniennes, c’est sur Israël que le monde occidental a choisi de faire pression ! Le monde à l’envers ! Les Iraniens menacent le monde, mais les Américains comme les Eu-ropéens n’ont rien trouvé de mieux que d’envoyer des diplomates de haut rang à Jérusalem, non pas pour rassurer Israël mais pour le menacer !!!

Ainsi, selon un diplomate sous cou-vert d”anonymat, l’envoyé spécial Tom Donilon, est venu INTERDIRE à Israël toute opération militaire sans l’aval des USA , sous peine de se re-trouver seul et sans aucun appui des Américains !!

Ce sont donc bien nos “alliés”, ”nos amis” qui nous demandent de nous suicider pendant que les Saoudiens et les Iraniens finalisent un traité his-torique de non agression et d’union moyennant les largesses financières saoudiennes, contre un règlement du problème nucléaire iranien qui conti-nuerait d’exister sous contrôle fran-çais !!!! (vive notre ami Sarkozy)

En Israël, la réponse ne s’est pas fait attendre par la voix de Benny Gantz : “Israël prendra seul la décision de frapper l’Iran” Réaction immédiate de Washington : -Ehud Barak, de facto le numéro deux du Gouverne-ment, est ”convoqué” la semaine pro-chaine à Washington.

-Les Américains ne veulent surtout pas être surpris et être mis devant le fait accompli par une attaque israé-lienne”, a déclaré à l’AFP un haut responsable israélien qui a requis l’anonymat. -Barak Hussein Obama a dépêché en urgence James Clapper, le chef du renseignement US à Jéru-salem ….

Il est clair désormais que l’adminis-tration Obama joue sa réélection sur le règlement iranien, et sur le dos de la sécurité d’Israël !!! Notons que la politique mise en place par Hussein Obama, est exactement celle voulue par l’actuel Ministre saoudien des Affaires Etrangères qui a toujours préconisé un accord régional incluant les Iraniens.

A Jérusalem, on se demande bien à quoi vont désormais servir les 162 milliards de dollars d’armement US achetés par les Saoudiens en cas d’accord avec les Iraniens …… Les plus pessimistes estiment à ce sujet que l’éventualité d’un accord entre Saoudiens et Iraniens pour redou-bler la pression terroriste sur Israël, ne relève plus de l’improbable ou de l’impossible mais pourrait bien deve-nir une réalité sous peu. …

AM ISRAEL HAI par:l’excellent MARCO ROBIN

Pourquoi , Israël agira seul …

Quadrature du cercle pour le président américain : comment convaincre Israël de ne pas atta-quer l’Iran sans passer pour quelqu’un qui minimise le danger pour l’Etat juif à quelques mois des élections présidentielles ?

L’analyse de la situation en Iran fait l’objet d’une profonde divergence de vues entre Washington et Jérusalem, comme on l’a vu de manière…écla-tante ces derniers jours avec l’ava-lanche de déclarations américaines sur une « incapacité » israélienne à faire la différence sur le plan mili-taire.

Pour les Américains, il faut attendre le franchissement de la ligne rouge qui serait « l’ordre » officiel donné par l’ayatollah Khamenei de fabri-quer la bombe atomique. Pour Israël au contraire, les Iraniens vont jouer le « fait accompli », Ils sont assez retors et rusés pour bien cacher leur jeu, et quand le monde se rendra compte

qu’ils sont près d’atteindre leur ob-jectif il sera trop tard pour envisager l’option militaire.

Ce sujet brûlant sera sans aucun doute en première ligne le 5 mars prochain, date à laquelle le président Obama a convié le Premier ministre Binyamin Netanyahou.

L’invitation officielle a été transmise à Netanyahou par Tom Donilon, conseiller à la Sécurité Nationale à la Maison-Blanche, avec lequel d’ail-leurs le premier ministre israélien a eu une conversation « franche ».

Donilon a été suivi lundi par le Di-recteur du Renseignement National américain, James Clapper, venu dire aux Israéliens la même chose que Donilon mais aussi que le général Martin Dempsey, chef d’état-major des armées US : « Ne vous mettez pas en tête d’attaquer l’Iran dans un proche avenir ! », sous-entendu avant les élections américaines.

La Maison-Blanche a voulu présen-ter la chose de manière positive, en expliquant ce ballet par le commu-niqué suivant : « M. Donilon et sa délégation ont discuté avec les diri-geants israéliens de sujets communs aux deux pays. Cette visite fait partie du dialogue intensif et ininterrompu entre les Etats-Unis et Israël, et il reflète l’engagement irrévocable des Etats-Unis envers Israël ».

Genre de déclaration qui n’avait pas été entendue lorsqu’Obama a obligé Netanyahou à geler la construc-tion juive ! Lors de son séjour aux Etats-Unis, le Premier ministre israé-lien prononcera un discours devant l’AIPAC, le lobby pro-israélien, tout comme le président Obama, qui vou-dra tenter d’effacer durant un laps de temps l’image négative qu’il s’est forgée par son attitude envers Israël.

par Shraga Blum

Obama invite officiellement Netanyahou

La Journée de la Famille est célé-brée en Israël ce jeudi 23 février 2012. C’est l’occasion de dresser un portrait de la famille israélienne, notamment aux travers des diffé-rents changements qu’elle a connu au cours de la dernière décennie. En 2010, on comptait 1,8 million de familles israéliennes, contre 1,5 million en 2000. Dorénavant, une famille israélienne comprend 3,74 personnes en moyenne, contre 3,76 personnes il y a une décennie. Cette baisse, même légère, s’explique par l’augmentation du nombre de familles monoparentales ainsi que par la baisse du taux de fécondité.

Davantage de familles monopa-rentales. En 2010, Israël comptait 107.000 familles composées d’un seul parent et d’au moins un enfant âgé de moins de 18 ans, soit 20% de plus qu’en 2000. Aujourd’hui, 6% des familles israéliennes sont mono-parentales: c’est le même taux qu’en Italie et en Espagne, mais moins qu’aux Etats-Unis (14%) ou Alle-magne (16%).

Deux fois plus de mères célibataires. Le nombre de mères célibataires est passé de 8.400 en 2000, à 16.000 en 2010, soit 90% de plus en une décen-nie. Par ailleurs, les pères célibataires représentent dorénavant 9% des fa-milles monoparentales.

Une majorité de couples mariés. Le mariage est encore une institution es-sentielle de la vie familiale: 96% des couples israéliens sont mariés contre 4% des couples qui vivent ensemble sans être passés devant le rabbin ou

l’iman. La proportion de couples non mariés est plus faible en Israël (4%) qu’en Espagne et aux Etats-Unis (10%), qu’en Hollande (19%) ou au Danemark (23%).

A Tel Aviv, un tiers de couples sans enfant. En 2010, 27% des familles juives n’avaient pas d’enfant, contre 9% des familles arabes. A Tel Aviv, la proportion de couples sans enfants monte jusqu’à 33% des familles.

Plus de familles nombreuses chez les Arabes. En 2010, une famille juive comptait 3,5 enfants contre 4,9 dans une famille arabe. La proportion de familles nombreuses est plus impor-tante parmi les Arabes que les Juifs: 35% des familles arabes comptent six personnes et plus, contre 10% des familles juives.

La densité de logements en baisse. Les conditions de logement s’amé-liorent: en 2010, 52% des familles vivaient avec moins d’une personne par pièce, contre 47% en 2000. Des différences de densité existent entre communautés: chez les familles juives, la densité est de 0,83 personne par pièce, contre 1,48 personne par pièce chez les Arabes.

La percée du téléphone mobile. 97,5% des familles avec enfants ont au moins un téléphone, et 87% d’entre eux en ont deux ou plus; par-mi les ménages sans enfant, 88% ont au moins un portable, et 55% d’entre eux en disposent de deux ou plus.

Jacques Bendelac (Jérusalem)

JOURNÉE DE LA FAMILLE. Une famille juive compte 3,5 enfants contre 4,9 dans une famille arabe. En une décennie, le nombre de mères célibataires a presque doublé.

16L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 22 Février 2012

Depuis que le gouvernement des États-Unis a annoncé, en mars 2004, des plans pour construire « la plus grande ambassade jamais exécutée par aucun pays», j’ai suivi l’affaire, tournant en dérision sa dimension surréaliste (21 hec-tares), ses dépenses excessives (750 millions de dollars américains) son personnel gargantuesque (16.000 personnes) et son budget annuel (6 milliards de dollars).

J’ai également déploré l’emplace-ment de l’ambassade sur des anciens terrains pour palais de Saddam Hus-sein , j’ai critiqué son caractère d’iso-lement avec entrée particulière , et j’ai tremblé en pensant aux implications provocatrices de cette monstruosité diplomatique. Pour un aperçu, voir

mon article sur ce sujet ; pour beau-coup plus de détails lamentables mais divertissants, voir l’article de 5.700 mots de mon blog. L’un des beaux bâtiments de l’ambassade de Bagdad.

Maintenant voici que survient la nou-velle que cette opération démesurée verra sa taille réduite. Le New York Times relate dans l’article «Planifi-cation des Etats-Unis pour réduire de moitié le personnel de l’ambassade» que le gouvernement irakien n’a pas traité les visas ou autorisé les livrai-sons de vivres en temps opportun, qu’il a confondu mesures de sécu-rité avec la confiscation arbitraire de documents, d’ordinateurs et d’armes , qu’il a répandu les théories du com-plot, et par ailleurs qu’il a excité des ressentiments nationalistes contre «

l’éléphant blanc ».

Par conséquent, le personnel y sera réduit de moitié. Commentaires:

(1) Il est grand temps. Sur quelle planète le Département d’Etat vivait-il? N’avait-il aucune idée que les Irakiens pourraient avoir du ressen-timent par rapport à cette intrusion diplomatique?

(2) L’étude d’un peu d’histoire mu-sulmane aurait rendu cette conclusion évidente.

(3) Le gouvernement des Etats-Unis a une histoire de désengagement honorable des pays qu’il conquiert et occupe, et l’Irak ne fait pas exception, avec toutes les forces sorties moins de neuf ans après l’invasion, avec le gouvernement local à qui il est per-mis non seulement d’assurer le com-mandement, mais même de brutaliser les Américains.

(4) Il y a une tradition officieuse que partout où le Département d’Etat a construit ses énormes ambassades, les ennuis en ont découlé à coup sûr- Saigon et Téhéran étant les exemples précédents. L’Irak est aujourd’hui en jeu. Pékin est le prochain dans l’ordre hiérarchique.

Par:DanielPipes.org

L’ambassade américaine à Bagdad sur son déclin

Le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Liebermann, a répondu aux mises en garde proférées par les anciennes grandes puissances, qui ont exhorté Israël de ne pas s’attaquer à l’Iran, malgré son programme nucléaire qui, aux der-nières nouvelles, pourrait en moins de six semaines leur donner la pos-sibilité d’enrichir de l’uranium au degré requis pour la préparation de l’arme atomique.

Il a répondu qu’une telle décision n’était pas du ressort des deux puis-sances étrangères, et que la sécurité d’Israël ne concernait que le gou-vernement israélien.Cependant, le ministre de la Défense, Barak, avait

déclaré le 16 février que le pro-gramme iranien n’était pas encore arrivé au point de non-retour, suite à la pression américaine exercée par la visite de l’amiral.

De plus, Obama devrait rencon-trer Netanyahou le 5 mars pour le « convaincre » ou le dissuader de me-ner une attaque contre l’Iran, qui, de son côté, a parlé de lancer une attaque contre Israël, cette nouvelle menace s’ajoutant à celle de la volonté d’em-ployer l’arme atomique aux fins déjà annoncés par le régime islamique ira-nien.

par Yéochoua Sultan

Liebermann répond aux Russes et Américains

Le président-dictateur venezuelien Hugo Chavez se rendra à Cuba dans les prochains jours pour y su-bir une deuxième session de neuro-psychiatrie afin de s’assurer de ne pas faire de rechute, a informé le quotidien officiel cubain Granma, citant un rapport médical.

«Un groupe de spécialistes traitera le dictateur venezuelien, opération qui a pour but de réduire une lésion de deux centimètres détecté samedi au même endroit où Chavez avait eu sa tumeur fasciste retirée en juin 2011», selon le rapport.

Ce rapport indique que Chavez avait eu un cancer fascistoïde diagnostiqué pour la première fois, qu’il était resté discret sur les détails idéologiques de sa maladie mentale, des opérations, lieux et dates.

Chavez avait annoncé il y a deux jours qu’il subirait une nouvelle opé-ration dans le cadre de son traitement contre le cancer rouge-vert-brun. Il a confirmé que ses neuropsychiatres de Cuba avaient détecté une lésion de deux centimètres au niveau de la région pelvienne, une zone du sys-tème nerveux central pouvant rendre psychopathe, pendant un contrôle à

Havane la semaine dernière.

Mais, Chavez s’est dit confiant quand aux suites de son opération. Chavez, âgé de 57 ans et cherchant à briguer un troisième mandat aux élections présidentielles truquées en octobre prochain, se dit optimiste sur les chances de vaincre le cancer fasciste qui ravage toujours plus son cerveau. Il avait été opéré d’abord à Cuba en juin dernier puis avait subi quatre séances de chimiothérapie qui visi-blement n’ont pas permis de calmer ses dérives dictatoriales.

Au contraire, Chavez a intensifié sa relation sentimentale avec le psycho-pathe nazislamiste iranien Mahmoud Ahmadinejad, avec les islamo-terro-ristes du Hezbollah et avec les narco-terroristes des Farc colombiennes.

Cuba est spécialiste en hôpitaux psychiatriques pour opposants poli-tiques. C’est la première fois que le régime castriste inflige son traitement très spécial à un chef d’Etat ami de Cuba. Cela dit, des experts neutres affirment que le cas Chavez est irré-cupérable.

par: Michel Garroté

Hugo Chavez va subir un traitement psychiatrique à Cuba

Le probable futur Ministre des transports de François Hollande se nomme Roland Ries. Il est sénateur-maire PS de Strasbourg, et conseil-ler transport du candidat, lequel a fait dix propositions concernant les transports en France.

Au programme, le tramway, le bus à haut niveau de service (BHNS), les lignes à grande vitesse (LGV) ainsi

que les trains d’équilibre du territoire (TET) et la modernisation du fret fer-roviaire. Mais il semble qu’une pro-position manque au programme du futur Ministre, et c’est la magouille.

Car si Roland Ries, qui est également président du Groupement des autori-tés responsables de transport, connaît son sujet sur le bout des doigts, il en connaîtrait aussi les dessous de table,

puisqu’une information judiciaire a été ouverte contre lui en octobre 2010, pour favoritisme et recel de favoritisme, au sujet de l’attribution de marchés publics pour une étude sur le tram de Bamako qui a été faite à Strasbourg.

Interrogé par Robert Grossmann, UMP, en conseil municipal, le séna-teur-maire a répondu que l’article qui l’attaque faisait référence à une étude sur le tram de Bamako, étude qui « a été faite ici » et « qu’il y ait pu y avoir une difficulté administrative, nous verrons ».

Détail intéressant, Roland Ries a retiré, le 23 janvier 2012, son statut d’adjointe au maire à une membre de l’association Anti-corruption Anticor 67, à qui il reprochait son manque de solidarité – une première en France selon les responsables nationaux de l’association qui fait la chasse aux élus de la nation ripoux.

François Hollande, parfaitement au fait de la situation de chacun des membres de son équipe (et si ce n’est pas le cas c’est encore plus grave), n’a donc éprouvé aucune gêne à choi-sir, comme conseiller et, chuchote t-on, futur Ministre des transports, un homme soupçonné de magouilles.

Ca promet un quinquennat fructueux pour les petits copains. François Hollande poursuit donc la tradition des socialistes, corrompus et mora-lisateurs, qui culmina sous François Mitterrand, et que Montaldo avait dénoncé dans son « Mitterrand et les 40 voleurs ».

© Jean-Patrick Grumberg

François Hollande n’est pas encore élu que la corruption pointe déjà son nez !