israël actualités n°200

GRATUIT - Numéro 200 - Edition du Mercredi 15 Février 2012 Journal Israélien en langue française

Le Président Sarkozy à l’écoute de la communauté juive et ferme concernant

la sécurité d’Israël

3L’information en provenance d’IsraëlEdition du Mercredi 15 Février 2012

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Alain SayadaTel: 06 68 17 25 55

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Israël Actualités est une marque déposée en France

Déjà le numéro 200 d’Israël Actualités ! En espérant fêter le millième avec vous !

Aujourd’hui, je suis fier de vous annoncer la parution de notre 200ème numéro. Je peux vous dire que cela n’a pas été chose facile car malgré le fait que le journal soit devenu très popu-laire au sein même de la commu-nauté juive, un certains nombre d’institutions communautaires continuent à nous boycotter. Parmi elles, le Consistoire de Paris et le Consistoire de France dont le Président, Joël Mergui a donné pour ordre de ne jamais communiquer au sein de notre journal ; et cela sans donner de raison valable.

Je peux ajouter à ce front com-mun le casip cojasor ainsi que l’OSE. Mais à coté de cela, nous avons beaucoup d’amis qui sou-tiennent le journal en passant de la publicité où en envoyant des dons significatifs. Je peux vous affirmer aujourd’hui que le jour-nal connait véritablement un équilibre financier qui permettra de sortir régulièrement pendant plusieurs années. Je tiens à remer-cier tous les annonceurs qui nous ont fait et qui continuent de nous faire confiance depuis le début de notre aventure ... J’espère être en-core avec vous lorsque nous fête-rons ensemble le 1000 numéro ...

Je tiens à féliciter Richard Pras-quier ainsi que l’ensemble de son équipe pour la façon dont ils ont géré de main de maître la soirée annuelle du CRIF qui a eu lieu Mercredi 8 Février au pavillon d’Armenonville à Paris. Une

grosse partie de la classe politique y était présente à l’exception des extrêmes qui n’étaient pas invités. Je fus très surpris que François Bayrou, présent chaque année, ait refusé l’invitation du CRIF.

Le président Prasquier a fait un discours très solennel devant les convives après quoi Noam Shalit, le père de Guilad a tenu à remer-cier le président Nicolas SARKO-ZY d’avoir, depuis le début de son quinquennat, mis les moyen pour que son fils puisse rentrer à la maison ...

Le président Nicolas SARKOZY a repris la parole en remerciant Noam et en annonçant que la France serait du coté d’Israël contre toute agression Iranienne et qu’elle ferait tout ce qui est possible pour que l’Iran n’aie ja-mais la bombe nucléaire, qu’il ne transigerait jamais sur la sécurité d’Israël. Ensuite, le président ne s’est pas démonté, comme à son habitude, sur le vote de la France pour que la Palestine intègre l’UNESCO. De ce coté, je suis tout à fait d’accord avec lui après avoir écouté ses explications sur le fait de devoir donner de l’es-poir à tout un peuple (le peuple palestinien) bien que ce peuple là veuille nous détruire et nous jeter à la mer. Le président SARKOZY avait dit à Mahmoud Abbas, Pré-sident de l’Autorité palestinienne que si celui-ci s’engagerait dans la demande de l’autoproclamation d’un état palestinien et d’ un siège

à l’ONU, le président SARKO-ZY lui aurait répondu qu’il vote-rait contre mais d’un autre coté, il ne pouvait pas refuser l’obtention de siège à l’UNESCO.

Concernant la malheureuse affaire Zeitouni, le président SARKOZY a été clair. Le tout sur un silence de mort. La France n’extrade jamais ses nationaux où que ce soit dans le monde. Que cela soit clair. La seule solution concer-nant cette affaire aurait été que la famille Zeitouni porte plainte en France pour que la justice engage une procédure, pour qu’un juge d’instruction soit nommé et pour que les deux chauffards puissent répondre de leurs actes devant la justice. Ceux-ci auraient été im-médiatement déférés au parquet pour être incarcérés et jugés.

Seule faute note en ce qui me concerne et j’espère que cela sera vite oublié, le Président du CRIF aurait dû recevoir la famille Zeitouni.

Alain Sayada


Les forces de sécurité loyales au dictateur Bachar al-Assad ont uti-lisé des armes chimiques contre les rebelles syriens, sous la supervision d’experts iraniens et russes, a dé-claré lundi un officier syrien qui a déserté l’armée d’Assad. L’officier, le capitaine Abd al-Salam Ahmed Abdoul Razek, qui a servi au sein de l’administration syrienne de la guerre chimique, a déclaré à Al-Arabiya que les militaires syriens ont utilisé des gaz innervant, inter-dits par nombre de conventions internationales, afin d’aider les sol-dats dans leurs raids contre la ville de Homs.

L’officier déserteur a ajouté que la quatrième division de l’armée sy-rienne et la garde républicaine de-

vraient utiliser des armes chimiques ailleurs. Les forces d’Assad ont accès à des toxines produites par les russes, et une petite quantité d’entre elles peut provoquer des nombreuses vic-times, a-t-il dit.

Le gaz neurotoxique a été utilisé sous la supervision d’experts russes et iraniens, qui ont dit à l’armée quand et où utiliser les armes chimiques, a ajouté l’officier. Par ailleurs, des sources de l’opposition syrienne disent que 25 personnes ont été tuées pendant la journée de lundi par les forces armées fidèles à Assad. Ces sources ajoutent que le bombarde-ment massif de la ville de Homs se poursuit sans relâche. Dimanche, 36 civils avaient été tués par les forces de sécurité à travers la Syrie.

«Assad utilise des armes chimiques»

Un jour à peine après l’anniversaire de l’assassinat d’Imar Mugnyeh, un responsable du Hezbollah à Da-mas le 12 février 2008 - imputé par l’organisation terroriste à Israël -, deux attaques semble-t-il coordon-nées viennent de viser des ambas-sades israéliennes. Au cours de la première attaque, la femme d’un diplomate israélien a été blessée dans l’explosion d’une bombe pla-cée dans sa voiture, à New Delhi, en Inde.

Elle venait de déposer ses enfants avant que la bombe explose; ses jours ne semblent pas, pour l’instant, en danger; elle a pu revenir jusqu’à l’am-bassade et a été hospitalisée. Selon la police indienne, l’explosif aurait été placé sous le véhicule mais aucun scénario n’est écarté : la bombe aurait

pu être fixée au véhicule, alors qu’il roulait ou était à l’arrêt par un terro-riste en moto, être jeté par la fenêtre à l’intérieur de la voiture.

Les autorités indiennes attendent de pouvoir interroger la victime. Quatre autres personnes auraient été blessée : le chauffeur de la voiture et les occu-pants de la voiture voisine.

A Tbilissi, en Géorgie, un membre du personnel local de l’ambassade a dé-couvert une bombe sous son véhicule alors qu’il conduisait en direction de la représentation diplomatique. Entendant un bruit suspect , il s’est arrêté et a repéré l’explosif sous le vé-hicule. La bombe a été neutralisée par les services du déminage géorgien. Israël a relevé à son niveau maximal l’état d’alerte de ses représentations

diplomatiques après ces attentats.

La sécurité des ambassades a été renforcée par les polices locales et Israël prépare un renforcement de ses propres mesures à l’intérieur des bâti-ments. De même, les israéliens qui voyagent à l’étranger ont été mis en garde sur les risques possibles et les précautions à prendre.

Ces nouvelles attaques interviennent après des tentatives déjouées d’at-tentats ces dernières semaines en Thaïlande et en Azerbaïdjan, ou encore contre un avion de ligne au dessus de la Turquie Le Hezbollah promet, chaque année depuis 2008, de venger la mort

.par Gerard Fredj

Deux attentats contre des ambassades israéliennes

Un haut responsable de la marine américaine dans le Golfe Persique a déclaré dimanche qu’il prend les capacités militaires de l’Iran au sé-rieux, mais insiste sur le fait que ses forces sont prêtes à affronter toute agression iranienne dans la région. Le vice-amiral Mark Fox, comman-dant de la 5e flotte, a déclaré à des journalistes au siège de la flotte à Bahreïn que la marine a «construit un large éventail d’options pos-sibles à donner au président» et est «prête aujourd’hui» à affronter toute action hostile de Téhéran.

Il n’a pas précisé comment la marine pourrait répondre à une attaque ira-nienne ou à un effort de fermer l’en-trée du Golfe Persique, bien que toute réponse impliquerait probablement les deux porte-avions américains et les autres bâtiments de guerre croi-sant au large de l’Iran. «Nous avons développé des armes très précises et mortelles qui sont très efficaces, et nous sommes prêts,» a déclaré Fox. «Nous sommes prêt à toute éventua-lité.»

Face au renforcement des sanctions

occidentales, les responsables ira-niens ont intensifié leurs menaces de fermer le détroit d’Ormuz si les exportations de brut iranien étaient bloquées. Un cinquième de l’approvi-sionnement mondial en pétrole passe par cette étroite voie d’eau, large d’environ 50 kilomètres en son point le plus étroit.

L’Iran et Oman se partagent le contrôle des voies navigables, mais Ormuz est considéré comme un dé-troit international, ce qui signifie que le libre passage est garanti. Le chef de l’armée iranienne, le général Ataollah Salehi, avait mis en garde le mois der-nier un navire de guerre américain de ne pas retourner dans le Golfe, peu après le départ du porte-avion USS John C. Stennis et d’un autre navire. Un autre porte-avion, l’USS Abra-ham Lincoln, est entré dans le Golfe sans incident le 22 janvier.

Fox a reconnu que l’armée iranienne était «capable de frapper un coup» contre les forces américaines dans le Golfe, en particulier en utilisant des moyens non conventionnels tels que des petits bateaux d’attaque ou des

mines posées le long des voies mari-times. «Ils ont augmenté le nombre de sous-marins… ils ont augmenté le nombre de vedettes d’attaque ra-pides,» a-t-il déclaré.

«Quelques-uns de ces petits bateaux ont été équipés d’une importante charge explosive et pourraient êtres utilisés pour des attaques suicides. Les iraniens disposent d’un important stock de mines.»

Mais il a ajouté qu’il a rappelé aux officiers sous son commandement qu’ils ont «le droit et l’obligation de se défendre» si ils sont attaqué. Les commentaires de l’amiral font écho a ceux d’autres responsables occiden-taux, qui déclarent qu’ils réagiront rapidement à toute tentative iranienne de fermer le détroit d’Ormuz.

Le général Martin Dempsey, chef de l’état-major de l’armée américaine, a déclaré à CBS le mois dernier que les forces iraniennes pourraient bloquer le détroit pour une période de temps,» mais, a-t-il ajouté, «nous pouvons vaincre cela.»

Les forces américaines se préparent à affronter l’Iran

La chanteuse américaine Whitney Houston a été retrouvée morte, le 11 février. Selon une source poli-cière du LA Times, Houston est morte dans une chambre d’hôtel du Bevery Hilton, à Los Angeles, sa-medi, où devait avoir lieu la soirée de gala organisée comme chaque année par son mentor, le magnat du disque Clive Davis, à la veille de la cérémonie des Grammy Awards.

Agée de 48 ans, rongée par la drogue et l’alcool, la star qui a vendu un nombre astronomique d’albums était un peu moins en vue ces derniers temps, mais sa sortie ne passera pas inaperçue : elle est décédée la veille de la cérémonie des Grammys Awards, en quelque sorte les « Oscars » de la musique, où elle avait été sa-crée à six reprises. Cette mort a large-ment touché la communauté hébreu-noire d’Israël.

La chanteuse leur avait rendue visite en 2003, lors de son passage dans l’Etat Juif. Ils l’avaient même baptisé dans les eaux du Jourdain, là où Jésus l’a lui-même été. Ben Ammi Ben-Is-rael, le chef de cette communauté de

2.500 polygames végétaliens, a dé-claré à Channel 2 TV dimanche qu’il considérait Whitney comme sa «fille spirituelle».

En 2003, elle avait visité les Hébreux noirs dans la ville de Dimona. Ceux-ci sont arrivés en Israël en provenance des Etats-Unis il y a plusieurs décen-nies. Ils pensent être les descendants d’une des tribu perdue d’Israël. Ben-Israël – un ancien conducteur de bus de Chicago – affirme aujourd’hui que Houston a été « une source de fierté » pour sa communauté. Toujours pro-tégée par ses managers et sa famille lors de son voyage en Israël, Houston n’a fait que très peu d’apparitions médiatiques lors de sa venue en Terre Sainte.

Elle avait simplement accepté de s’afficher avec le Premier Ministre d’alors, Ariel Sharon. Lors de cette rencontre, elle avait exprimé son sou-hait de « revenir » en Israël. « Israël, c’est ma maison. C’est ma maison ! » lui avait-elle dit

. Elyes Kahn – JSSNews

En 2003, Whitney Houston affirmait à Ariel Sharon : « Israël, c’est ma maison ! »


Espace Organisations est sur tous les fronts. Israël, bien sûr, Europe centrale, Espagne, Etats-Unis. Son directeur général, Habib Lévy, nous en dit plus sur une agence de voyages qui a su anticiper la de-mande d’une clientèle, très concer-née par l’histoire juive.

Alain Sayada - Comment pourriez-vous définir Espace Organisation?Habib Lévy : Nous sommes bien davantage qu’un tour opérateur ou une agence de voyage traditionnelle. Dès 1990, date de la création, de notre structure, nous avons répondu à l’attente de la communauté juive de France, imposant à nos partenaires touristiques la Cacherout. Je ne vous dirait pas que tout a été simple, mais, bien avant d’autres, nous avons compris la tendance qui se précise, aujourd’hui, le respect de l’alimen-tation casher, en toutes occasions. Notre deuxième souci global a été de favoriser, dans nos séjours, un climat fraternel, convivial, familial, même, et ainsi, un certain nombre de nos clients ont redécouvert la joie d’une belle table de shabbat, qui, d’ailleurs, peut surprendre, même en Israël! Des communautés se reconstituent à l’occasion de ces séjours, et l’on évoque, avec une certaine nostalgie, on pays d’origine l’Algérie, le Maroc, la Tunisie...A S : En une trentaine d’année, votre activité s’est probablement

modifiée ?H.L. Naturellement. La planète est, devenue très accessible par les facilités du transport aérien, mais de nouveaux obstacles sont venus compliquer notre travail. Les évène-ments politiques, comme l’embrase-ment des pays du Maghreb, les pro-blèmes sociaux qui touchent même, aujourd’hui, la Grèce, nous obligent à être très attentifs sur nos choix de destinations et nos partenaires. La sécurité est partout à l’ordre du jour et nous y veillons.Bien entendu, la crise financière ne nous laisse pas indifférents et ainsi, notre tarification, globalement, n’a pas bougé.

A S : Mr Levy, pourriez vous nous décrire vos differents voyages ?HB : Nous proposons cette année 3 séjours inoubliables pour Pessah. Le premier, comme chaque année, à Tel Aviv au Park Plaza Orchid, un hôtel 4* supérieur, au bord de la plage, mo-derne et tout confort. Le séjour est au départ de Paris. La pension complète est assurée les jours de fête. Les mi-fêtes sont en demi pension. Les deux autres sur L’Espagne, à Blanes sur la Costa Brava pour l’un et à Puerto Ba-nus, sur la Costa Del Sol pour l’autre. Ces deux séjours sont village-village, pour laisser libre choix du mode de transports à nos clients. Nous propo-sons la formule all inclusive durant tout le séjour. Pour les 3 séjours, les 2 sédarims seront animés par nos Haza-

nims. Les animations seront assurées par des équipes compétentes qui vont mettre une ambiance de feu: DE-TENTE GARANTIE!!!! Enfin, une Mimouna grandiose comme le veut la tradition pour clôturer les séjours.

AS : Toujours à la recherche de nouveauté, vous avez reussi cette année de mettre dans vos valises une surprise ? pouvez-vous nous en dire la teneur ? HB : Il y aura de très nombreuses surprises dans chaque séjour. La prin-cipale surprise est pour le séjour de Blanes, où nous avons choisi comme chef cuisinier Mr Olivier Athouel, qui à participé à la dernière édition de Masterchef et qui a fini 7e de la compétition! Autant dire que nos in-vités vont se régaler! De plus, Patrick Solet, le célèbre pianiste ayant tra-vailler longuement avec Mr Charles Aznavour, participera également au séjour pour le plus grand plaisir de vos oreilles.

AS : Vous organisez d’autre circuit tout au long de l’année notament un le 11 mars prochain ?Effectivement, nous organisons même deux circuits le 11 mars.Un sur Israël, qui permet de visiter ou de re-visiter les plus grandes villes, comme Tel Aviv ou encore Eilat. L’autre sur les Pays de l’ Est : Buda-pest, Vienne, Prague. Un circuit exep-tionnel sur les traces de nos frères.

Des villes magnifiques, avec un patri-moine unique.

AS : En un mot ou synonyme, comment pourriez vous définir votre agence ?HB :Efficace!!!!

Interview de Habib Lévy, Directeur Général d’Espace Organisation


Selon la chaîne satellitaire israé-lienne Canal 10, un des membres du Conseil national syrien en Tur-quie, a adressé une lettre au Pre-mier ministre Benjamin Netanya-hu, appelant Tel Aviv à intervenir militairement en Syrie pour l’aider à renverser le régime de Bachar alAsssad. Khalid Khoja a , en effet, déclaré sur Canal 10, où il est ap-paru avec un visage camouflé, que « l’intérêt d’Israël est de renverser le régime syrien, qui travaille pour le compte de l’Iran, du Hezbollah et de Hamas » !

Khoja a souligné que « ne pas renver-ser le régime syrien mènera à la vic-toire de l’Iran et mettra en exécution ses menaces sa menace d’éradiquer Israël et d’exterminer le peuple juif ».

« Le peuple syrien exige de la part de la communauté internationale de lui fournir un soutien pour créer une zone sécuritaire de transit vers la Syrie », ajoutant « qu’il est important de prendre en compte la demande du peuple syrien à lui garantir une pro-tection internationale » a-t-il affirmé.

Par ailleurs, selon les déclarations d’un membre de la Knesset, Yitzhak Herzog, il existe de nombreux contacts entre les représentants du Conseil national syrien d’Istanbul et les responsables israéliens..

Hertzog a aussi rapporté que l’ancien président du Conseil national de sé-curité israélien, Uzi Dayan, a appelé à la création d’un Etat séparatiste kurde dans le nord de la Syrie et un autre confessionnel avec l’aval de certains Arabes dans le but de changer le ré-gime en Syrie !

Conseil national syrien : nous appelons Israël à frapper la Syrie

Le ridicule ne tue pas. On peut tout dire tout et n’importe quoi par le temps des dictatures qui courrent. La palme en revient aux dirigeants Iraniens. Voici la petite perle de Ah-madinajad, trouvée au fond d’un paquet de lessive «Ariel redéposi-tion» de couches de bêtises glou-tonnes: -»Je crois que si le prophète Moïse était vivant, la première chose qu’il ferait serait de s’affron-ter aux sionistes».

Pat Quartier

On imagine Moise- là, haut sur la montagne, comme dirait le chanteur- en train de dire aux Israélites,» mes chers enfants, nous avons fait tout ce trajet dans le désert pour le plaisir d’y rester et pour laisser dans l’ave-nir habiter à jamais à notre place en Israel les descendants d’Ishmael dont pourtant la Bible annonce clairement :Ishmael n’en héritera pas!

En un mot les dirigeants religieux du monde musulman mentent à leurs ouailles au sujet des Juifs, ce qui continuera de provoquer des guerres. Deuxième perle : Mohammad Mo-hammadi Golpayegani, chef du bu-reau d’Ali Khamenei, a dit: -

«Le Guide n’est pas du genre à exagé-rer. Il est d’une intelligence et d’une

compétence incroyable. Je me rap-pelle qu’un jour Nelson Mandela lui a rendu visite et il l’a appelé «mon guide!»

Et pour terminer celle-ci, qui nous fait découvrir le cinéma d’un oeil artistique différent : - Mohaeyeddin Haeri Shirazi, membre du Conseil des Gardiens de la Constitution, a dit: -»Les gens qui n’ont pas de foi solide deviennent acteurs ou actrices. C’est pour cela qu’une partie des acteurs sont des voyous.

L’égarement religieux commence dans les cinémas et les salles de sport». Epaté par la brillante intelli-gente islamiste, j’ai décidé comme Liam Neeson de m’inscrire sur la liste des prochains cons-vertis à l’Islam pur et dur. Cette initiative excellente m’amène à faire des économies de cinéma et de salle de Sport.

J’y gagnerais quelques kilos sup-plémentaires mais sans y perdre au look-oum : je me retrouverais en compagnie de «sales obscurs» pour visionner les seuls film autorisés, «Jihad Apocalyse now» ou «les ca-davres du Ramadan se gélent là- bas».(Djellabah)- La leçon qui suivra sur le thème : «Jeûne et prières», inclut le prix du repas.

Echantillon de conneries Iraniennes

C’est une honte qu’Interpol serve à persécuter des gens qui ont pré-tendument commis un blasphème ! C’est tout aussi révoltant qu’ef-frayant. Un jeune journaliste saou-dien, qui a fui son pays après avoir reçu des menaces de mort pour des propos jugés blasphématoires sur Twitter, a été arrêté en Malaisie.

Par Melba

Interpol est accusé d’avoir abusé de ses pouvoirs, après l’utilisation par l’Arabie saoudite du système d’Alerte Rouge de l’organisation pour arrêter le journaliste qui avait fui en Malai-sie après avoir écrit des propos jugés

insultants sur le prophète des musul-mans Mahomet.

La police de Kuala Lumpur a déclaré que Hamza Kashgari, 23 ans, a été arrêté à l’aéroport “suite à un mandat d’arrêt d’Interpol” ,le service de coo-pératon international des polices, au nom des autorités saoudiennes.

Hamza Kashgari a été placé en déten-tion jeudi, à sa descente de l’avion à l’aéroport international de Kuala Lumpur, a indiqué le porte-parole de la police Ramli Yoosuf. L’agence offi-cielle malaisienne Bernama a indiqué que M. Kashgari était accusé d’avoir “offensé l’islam et le prophète”.

Hamza Kashgari, qui travaille pour un quotidien local de Jeddah, dans l’ouest de l’Arabie saoudite, avait publié la semaine dernière sur Twitter un message adressé au prophète Ma-homet au jour anniversaire de sa nais-sance. “Au jour de ton anniversaire, je ne m’inclinerai pas devant toi (…)

j’ai aimé certaines choses en toi mais j’en ai abhorré d’autres, et je n’ai pas compris beaucoup de choses à ton sujet”, a affirmé ce jeune homme dans son tweet. Le ministre saoudien de l’Information, Abdel Aziz Khoja, a immédiatement réagi en annonçant sur Twitter la décision d’interdire au jeune homme de travailler pour tout média dans le royaume.

Les propos du jeune homme ont pro-voqué une levée de boucliers sans précédent sur la Toile tandis que le comité saoudien des fatwas (édits religieux) a affirmé que le tweet constituait “une apostasie”, un crime passible de la peine de mort dans le pays ultraconservateur.

La Malaisie, pays majoritairement musulman mais réputé modéré, ne possède pas de traité d’extradition avec l’Arabie saoudite mais d’autres accords bilatéraux pourraient per-mettre le transfèrement du jeune homme, a précisé à l’AFP un res-ponsable du ministère malaisien de l’Intérieur. Kuala Lumpur entretient des relations étroites avec Ryad.

Sources : AFP, Guardian

Arrêté par Interpol pour un tweet blasphématoire

Plusieurs soldats de Tsahal ont été démis de leurs cours d’officiers pour s’être rendu à la synagogue, au lieu de la classe , et les dirigeants du service militaire religieux sont furieux. C’est un cours qui a été déplacé en dernière minute, et donc coïncidé avec l’heure habituelle de la prière de chaharit(priére du matin). Les soldats, qui sont du bataillon Gefen ont prié au lieu d’assister à la leçon. Zevulun Orlev a déclaré qu’il était inacceptable que l’armée israélienne ne per-mette pas la prière de chaharit en son temps.

par:Sabrina Hania

«Seulement au cours d’une néces-sité opérationnelle ou une situation d’urgence ou pendant la guerre, la prière doit être prioritaire. » « Il est dommage que tous les acteurs – les commandants du bataillon, le rabbin et les soldats de combat, n’étaient pas en mesure de résoudre ce problème, au lieu transformé ce cas en une crise.

»

Orlev a blâmé le haut commande-ment de Tsahal. « Je demande au chef d’état-major et le chef de la Direction générale du personnel de changer l’atmosphère et créer une atmosphère plus apaisante qui permettront aux soldats religieux et haredi de servir dans l’armée israélienne, dans des unités combattantes, tout en respec-tant leur style de vie religieuse. »

Si l’armée veut que chacun puisse servir, il faut faciliter cet intégration pour les soldats religieux et respecte leur liberté religieuse!

Des soldats renvoyés des cours d’officier pour avoir fait leur prière


1) Ron Vous êtes le directeur du spcj, depuis combien de temps, et à quelle occasion le SPCJ a t il été crée...?Le SPCJ a été créé en 1980, au lende-main de l’attentat de la rue Copernic. Il s’agissait d’une prise de conscience des responsables des Institutions juives de l’époque, de la nécessité d’organiser de manière structurée et professionnelle la protection des acti-vités régulières de la communauté. Toujours fondé à 99% sur l’engage-ment de volontaires bénévoles pour assurer la sécurité, les institutions ont doté notre service d’un Staff per-manent, en charge de la coordination des opérations. C’est entre 2000 et 2002, dans la tourmente des attaques presque quotidiennes contre les syna-gogues et les écoles juives, que le SPCJ est devenu plus connu du grand public, qu’il a reçu des moyens plus importants pour son action, et qu’il a élargi son réseau de volontaires. En ce qui me concerne, j’ai été «re-cruté» en tant que volontaire en 1997, j’ai rejoint le Staff en 2003 et en ai pris la direction en 2006.

2) Les personnes s’occupant de la protection et de la sécurité des per-sonnes dans la communauté juive, sont recrutés de quelle façon , est ce que tout le monde peut devenir membre du Spcj ?Les volontaires recrutés le sont presque toujours par le biais de la cooptation. On imagine bien que la nature de notre activité exige un certain profil et certaines aptitudes. C’est donc pour nous tout naturel de choisir comme canal de recrute-ment les volontaires déjà engagés. Ils connaissent les critères de sélection, les valeurs que porte l’organisation et sont souvent eux mêmes entourés de personnes qui les partagent. C’est ainsi que depuis 30 ans, le «renouvel-lement» des générations est assuré. Bien sûr, certains ayant tenté de «pos-tuler» spontanément ont réussi les tests avec succès et ont aussi rejoint

notre grande famille.

3) En 2001, vous avez crée un de-partement «d’aide aux victimes», qu’elle est son rôle.?Depuis toujours, nous avions pris l’habitude de recenser les actes anti-sémites sur le territoire français, qui étaient avant 2000 de l’ordre de 70 à 80 par an. Dès 2000, devant l’am-pleur du nombre d’actes antisémites «pluri-quotidien» nous avons créé un numéro vert, le 0 800 18 26 26 joi-gnable 24h/24 et 7j/7. Dans un pre-mier temps, il s’agissait pour nous de disposer des informations nécessaires pour intervenir en urgence et porter secours aux victimes. Puis, nous nous sommes rendus compte que ces vic-times étaient aussi démunies sur des aspects juridiques. Aujourd’hui le DAV (Département d’Aide aux Vic-times) joue un rôle très large auprès de ces victimes, qu’il s’agisse d’écoute, de soutien mais aussi d’orientation et de conseil juridique. C’est cette cel-lule qui préparera notamment les dos-siers à destination de notre avocate et les suivra jusqu’au procès.

4) Qu’elles sont vos rapports avec les autorités que se soit la police et celle de la justice ?Dans le cadre de la mission qui nous est confiée, nous sommes en relation quotidienne avec les différents ser-vices de police sur le territoire natio-nal. Nous avons un correspondant pour chacun de nos responsables en France, et j’assure pour ma part une liaison étroite avec le Ministère de l’Intérieur. Ces échanges concernent aussi bien des aspects préventifs sur des dispositions à prendre à la veille des fêtes juives ou des grands événement communautaires, que le suivi d’un certain nombre d’enquêtes concernant des faits de violences an-tisémites graves.Pour des raisons de sécurité évi-dentes, il m’est difficile d’aborder dans le détail les aspects opération-nels.Quant à la Justice, notre rôle est de rassembler le maximum d’éléments d’informations pouvant servir le dossier de la victime, défendue par notre avocate, afin que cette dernière obtienne les condamnations les plus sévères possibles.

5) Selon votre rapport,pour 2011, nous pouvons constater que les agressions envers la communauté juive ont baissé par rapport à 2010, et meme les meilleurs depuis les 10

dernières années..?Effectivement nous notons une baisse de 16% environ par rapport à 2010. Mais notre préoccupation reste en-tière car seules les catégories «ins-criptions» et «courriers» expliquent cette baisse. Les actions violentes, qui touchent le plus durement la communauté, se sont maintenues à environ 130 pour 2011 comme pour 2010 et ont même atteint un degré de violence nouveau avec pour les vic-times, souvent plusieurs jours d’ITT délivrés.L’antisémitisme fait encore trop de victimes en France, et semble mal-heureusement s’être installé structu-rellement dans la société française.

6) malgré, le fait, que les agressions ont baissé en 2011, seul paris a connu une augmentation par rap-port à 2010 avec une hausse de 27 %, comment l’expliquez-vous ?Les actes antisémites recensés dans la capitale ont effectivement augmenté de près de 25 %. Ceci s’explique sans doute par la présence d’une communauté juive plus nombreuse et plus visible, particulièrement dans certains arrondissements de Paris. On a en effet assisté ces dernières années à une forte migration de familles juives vers certains quartiers de la capitale. Il me semble par ailleurs que le réflexe du dépôt de plainte soit plus systématique pour les résidents parisiens.

7)Est ce que ces chiffres ne sont pas tronqués, par le fait que beau-coup de gens n’osent pas allé porter plainte, par peur de représailles...et quels messages ou conseil auriez-vous à leur donné ?Ces chiffres sont évidemment tron-qués. Comme nous le rappelons à chaque publication du rapport, il ne s’agit pas de l’étude de l’exhaustivité des actes antisémites en France, mais seulement de ceux qui ont donné lieu à un dépôt de plainte. Néanmoins, cette approche nous permet tout de même de connaître et d’étudier assez clairement les tendances du phéno-mène.Nous rencontrons parfois certaines victimes qui ne veulent pas déposer plainte par peur de représailles. Dans la plupart des cas, ce choix ne les pro-tège pas. Au contraire, ces victimes restent «exposés» à la violence de leurs agresseurs qui se sentent d’au-tant plus impunis qu’ils ne sont pas inquiétés par la police.

8) D’après vous et vos differentes études, les violences et agressions sont commises par des indivudus isolé, des bandes ou des groupes organisés ?La plupart des agressions physiques sont commises par plusieurs agres-seurs, notamment pour les plus vio-lentes. Il s’agit plus de «bandes» que de groupes organisés. La notion de «groupe organisé» dans nos analyses de risques concerne les organisations terroristes, qui ont déjà frappé dure-ment la communauté juive française dans les années 80 et 90.Cette menace existe toujours et elle est notre priorité numéro un dans la prise en compte des modalités de notre intervention.

9) Je rappelle encore une fois que vous avez crée un département «d’aide aux victimes» et dans ce dé-partement, d’après votre rapport , que toutes les victimes ou presque sont assistés ?La plupart des victimes nous contactent soit directement, soit via un proche ou encore un responsable communautaire. Les présidents de communautés, les rabbins et les directeurs d’écoles juives sont en contact avec nous régulièrement pour les questions de sécurité. Lorsqu’ils ont écho d’un acte antisémite, leur premier réflexe est de nous contacter et de nous mettre en relation avec la victime.

10) Est ce que l’ensemble des agresseurs ont tous été condamné, c’est pour cela que chaque agres-seur doit être poursuivit par la jus-tice ?Lorsqu’ils sont identifiés, les auteurs présumés de ces actes sont présentés à la justice. Nous constatons que les

Parquets usent dans la plupart des cas de tout l’arsenal juridique en leur pos-session. Il est vrai que l’action d’un avocat expérimenté sur ces questions y contribue certainement. Notre avo-cate a plaidé près de 70 affaires sur ces 3 dernières années et à obtenu la condamnation des auteurs dans 98 % des cas.

11) Qu’elles seront pour 2012 les objectifs du SPCJ ?Au delà du maintien de tous nos efforts en matière de protection des activités, je pense que nous allons renforcer notre action de détection, de signalement et de poursuites des sites Internet proposant des conte-nus antisémites et négationnistes. Nous invitons d’ailleurs le lecteur à nous les signaler, soit en appelant notre Numéro Vert, soit via notre site Internet www.spcj.org. Nous sommes également en train de développer des programmes de prévention, destinés aux jeunes collégiens et lycéens juifs, qui rencontrent un grand succès au-près de notre jeunesse.

12) Et pour finir , pourriez-vous en un mot, je sais cela ne va pas être facile, mettre un synonyme à SPCJ ?Si vous le permettez je choisirai pour synonyme une parole biblique : «Cho-mer Israël», qui signifie le «Gardien d’Israël». Nous devons comprendre là «Gardien du peuple d’Israël», c’est à dire du peuple juif. Peu importe la forme, le nom, l’organisation et le lieu. Dans toute l’histoire du peuple juif, il s’est toujours trouvé une partie de celui-ci engagée dans la protection de l’ensemble. C’est de cette tradition que nous nous revendiquons et de ses aînés que nous prenons exemple.

Avez-vous le sentiment que l’idéalisme des premières années a laissé la place aujourd’hui à la poursuite d’intérêts personnels dans la classe politique israélienne ?


Toute la paracha nous parle de l’or-ganisation du système juridique du peuple d’Israël dont se sont inspi-rées plusieurs nations pour rédiger leurs codes. Les «Michpatim» sont des Mitsvot dont nous pouvons percevoir la logique rationnelle contrairement à ce qu’on appel le les «Houkim» qui elles sont des lois irrationnelles plus complexes et dont le sens nous échappe le plus souvent.

Comme par exemple l’interdiction de porter un habit fait à partir d’un mélange de laine et de lin ou encore l’interdiction de consommer une mélange de lait et de viande. En fait ces lois comme l’explique Rachi ont été énoncées en même temps que la promulgation de la Thora et elles sont donc indissociable !

Nous pouvons nous poser la question de savoir pourquoi a-t-il été néces-saire à HM de transmettre au Mont Sinaï, ces commandements a priori facile à comprendre par l’homme? Nous trouvons par ailleurs un com-mandement capital qui est : «LoTissâ chéma chav» ne prononce pas des pa-roles vaines! Et les sages nous disent qu’il s’agit là en réalité de l’interdic-tion de dire ou d’accepter le fameux «Lachone ara» la médisance!

Pourtant et même si la Thora uti-lise le terme «Chéma chav» paroles mensongères, cela s’applique aussi à des paroles qui ne sont ni fausses ni mensongères, mais tout à fait vraies! Comme d’ailleurs l’explique le Ha-fets Haim : «Que la personne sur la-quelle nous disons du «lachone ara» vrai ou faux ou quelle soit présente ou absente…» cela ne change stricte-ment rien!

Le Roi David avait compris les dan-gers de la langue…et il écrit dans un

de ses psaumes : «Quel est l’homme qui souhaite la vie, qui aime les jours pour voir le bien? Préserve ta langue du mal et tes lèvres des paroles per-fides.. » Les sages expliquent que «souhaiter la vie», concerne la vie éternelle! Celle que nous est réservée dans l’au-delà, et «aimer voir le bien», concerne plutôt le monde ici bas! Voi-là pourquoi il ne faut pas s’étonner que la Thora consacre 31 Mitsvot à la «surveillance» et au contrôle de ce qui jaillit comme une flèche de notre bouche!. Les Sages disent que Notre bonheur aussi bien dans ce monde que dans l’autre, dépend en particu-lier de la maitrise de notre bouche. Le Talmud affirme également, qu’il n’y a pas que le glaive qui tue, les paroles peuvent aussi avoir un effet tragique!.Si la Thora insiste pour nous dire que les «Michpatim» les lois logiques et à caractère sociales ont été transmise au Sinaï, c’est parce que nous aurions pu nous tromper en pensant que ces lois à caractères sociales avaient été instaurées par les Tribus d’Israël pour gérer la cohésion entre les hommes…Aussi la première lettre de notre para-cha est : « V-élé «Voici les lois!» ce «Vav» viens nous apprendre que ces lois sont d’une part la suite des dix commandements et que d’autre part elles sont aussi importantes que l’ob-servance du Chabat et des dix com-mandements et par conséquent toutes d’inspiration divine!

Parmi ces commandements, Le Kéli Yakar nous explique la définition du «Chohâd» le cadeau corrupteur…à son avis l’idée de bannir la corrup-tion n’est pas une mince affaire! Par exemple un jugement a ceci de par-ticulier qu’il est «Had» aiguisé, en général on dit qu’un Juge : «Hotékh Adine» littéralement : il tranche son jugement… et ce n’est pas un hasard dit-il si le «corrompu» est empressé de rendre son jugement (tranche) en

Parachat Michpatim : Les Lois d’essence divine !faveur de celui qui la soudoyé! Hélas dans nos sociétés, la corruption a de nombreux visages!

Ainsi, chaque commandement de la Thora même si il nous apparait à priori logique, renferme une dimen-sion supérieure. Ils sont la volonté du Créateur de l’Univers et ont une por-tée qui nous dépasse très largement!. A ce propos le Zohar nous explique que «Michpatim» concerne la réin-carnation des âmes… Les «guilgou-lim néchamote » et quel est le lien entre la justice en Israël, notamment la législation sur l’esclavage et la réincarnation des âmes? A propos de l’esclave qui ne souhaite pas s’affran-chir de son maître après six ans de service, la Thora nous dit qu’il faudra approcher cet esclave de la porte ou de la Mézouza et lui «poinçonner» l’oreille… pourquoi donc l’oreille, nous explique Rachi ? Parce que cette oreille qui a entendu au Sinaï que tout le peuple d’Israël est exclusivement serviteur de D-ieu ne peut devenir esclave d’un homme à jamais, c’est pourquoi il doit être « punie » pour ce manquement à la dignité et la gran-deur humaine!

L’oreille est un organe important : il établi le lien entre l’homme et son mi-lieu environnant. Celui qui n’entend pas, n’a pas de relation avec le monde qui l’entoure, et a du mal à recevoir un enseignement. C’est l’oreille qui permet d’entendre et de capter le message de la Thora ; si l’oreille est «fermée» à l’enseignement, elle doit être percée!.

En refusant le message, cet homme-

esclave- refuse et renie l’enseigne-ment de la Thora et rompt ainsi tout lien avec les commandements. Car dès que l’homme assume la condi-tion d’esclave,(en de nombreux do-maines) il est dispensé d’appliquer les Mitsvot.

Pourquoi faut-il alors attendre six an-nées avant de lui percer son oreille? Et ne pas livrer cet enseignement à l’esclave dès sa venue chez son maître? S’interroge le Talmud. En fait, nous le savons, la Thora n’a pas été conçue pour des anges ou pour des êtres dénués de libre arbitre et qui ne risque pas de trébucher par le péché! Au contraire La Thora a été donnée à l’homme, imparfait et tortueux par nature, pour qu’il travaille à surmon-ter ses instincts mauvais. Ce n’est pas une gravité extrême si l’homme tré-buche par le péché… Le Roi Salomon écrit : «Il n’est pas d’homme juste sur toute la terre, qui fasse le bien sans jamais faillir…Car le juste retombe sept fois et se relève!» Ces deux ver-sets l’un dans l’Ecclésiaste et l’autre dans les Proverbes, nous donnent la vrai définition du juste.

Quand bien même l’homme tombe, le verset continue à le désigner comme « juste » tout simplement parce qu’il se relève !. Trébucher dans la vie cela arrive à tout le monde, ce n’est pas un désastre, tant qu’on essaie de se relever !

Le vrai problème réside dans le fait de pécher et de poursuivre cette voie, sans jamais faire d’efforts un seul instant pour s’en détourner définiti-vement. Cela peut avoir de lourdes

conséquences !

L’homme pourrait être défini comme un être composite constitué d’élé-ments a priori contradictoires- le corps et l’âme- mais en fait tous les deux complémentaires. L’âme est la spiritualité provenant du souffle divin, comme il est écrit dans la Ge-nèse. Le corps quand à lui est l’élé-ment purement matériel, qui l’em-pêche de prendre son essor… L’âme en effet permet à l’homme d’aspirer à des sommets spirituels toujours iné-galés, et le corps permettant à cette âme de «reposer» sur une base solide, et ainsi de faire régner le spirituel dans le monde matériel, comme nous l’explique le Zohar. A propos des âmes justement, elles étaient toutes présentent au Sinaï y compris celles qui n’étaient pas encore «incarnées», expliquait le Rav Emanuel Chouche-na zal. Chacune d’entre elles «capter» le message divin selon ses possibili-tés et en fonction de sa «madrégua» de son propre niveau spirituel…

Au sujet de l’esclave, un homme ne peut pas impunément renoncer à sa liberté au profit d’autres hommes car sa vraie liberté repose sur le fait qu’il n’est esclave de personne, hormis son Créateur. Nous comprenons mieux à présent pourquoi la Thora a commen-cé l’énoncé de son système juridique par les lois sur l’esclavage. L’actua-lité vient parfois nous rappeler que les hommes en général finissent toujours par choisir la liberté et les événements récents de par le monde viennent encore nous le prouver.

Yvan Lellouche


L’incroyable histoire de Shyne, le rappeur « gangsta » de Brooklyn devenu Juif orthodoxe

Shyne est un rappeur de Broo-klyn originaire du Belize, petit état d’Amérique centrale dont son père est actuellement Premier ministre. En 1999, alors qu’il est installé à New-York et que son talent de « gangsta-rappeur » commence à être reconnu, il est condamné à 10 ans de prison suite à une fusillade en boîte de nuit avec Puff Daddy et Jennifer Lopez. Cela ne l’empêche pas de sortir deux albums et de connaître un énorme succès auprès de la communauté hip-hop.

Il est libéré en 2009 et, à la surprise

générale, s’installe à Jerusalem, dans le quartier orthodoxe de Mea-Shea-rim. C’est un retour aux sources pour lui (sa mère est d’origine juive), et il se consacre désormais à l’étude du Talmud tout en préparant son come-back musical. On a également appris qu’il avait appelé Puff Daddy en jan-vier 2012 et qu’il s’était réconcilié avec lui. Voici une vidéo d’une de ses dernières chansons, « Solar Energy », enregistrée en juin 2011 au Kib-boutz Ketura en l’honneur du premier champ solaire commercial en Israel

Source : Israel Stars News

Une personne a été tuée et plu-sieurs autres ont été blessées same-di lors de violents heurts à Tripoli, dans le nord du Liban, au second jour de troubles entre partisans et opposants au régime syrien.»Nous soutenons au Liban la révolution syrienne et nous allons nous battre contre les chabbiha», a déclaré l’un de ces hommes, qui faisait allusion aux milices pro-Assad tenues res-ponsables d’une bonne partie des tueries des derniers mois en Syrie.

La tension montait samedi à Alep au lendemain d’un double attentat san-glant dans cette ville, la deuxième de Syrie, jusque là peu touchée par la contestation, pendant que le régime poursuivait son pilonnage sur Homs (centre) et Zabadani.

Une flambée de violences confes-sionnelles dans le Liban voisin fait

parallèlement craindre un déborde-ment de la crise hors des frontières.

A Homs (centre), «capitale de la révolution» qui subit une offen-sive des forces armées depuis une semaine, quatre personnes, dont une femme, ont été tuées samedi dans le pilonnage continu du quartier de Baba Amr ainsi que dans des tirs de mitrailleuses lourdes, selon l’Obser-vatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). Selon les militants, plus de 450 personnes ont péri à Homs depuis le début de l’offensive sur la ville le 4 février.

Ailleurs, deux personnes ont été tuées samedi à Deraa (sud) et Damas, et trois autres à Zabadani, a affirmé l’OSDH, précisant que l’armée dé-ployée massivement poursuivait le bombardement de cette ville proche de Damas. Dans la capitale Damas,

un général de l’armée syrienne a été abattu samedi matin par un «groupe terroriste», selon les médias officiels, un fait rarissime, si confirmé.

En décembre et janvier, des attentats suicide avaient touché Damas, faisant quelque 70 morts. Comme pour Alep, le régime et l’opposition s’étaient mutuellement accusés. A Alep (nord), frappée vendredi pour la première fois depuis le début de la révolte par un double attentat qui a fait 28 morts selon les autorités, les quartiers anti-régime connaissent «un important déploiement des forces de sécurité», a indiqué l’OSDH.

Snipers La tension est de plus en plus palpable dans cette ville, poumon économique du pays, jusque là rela-tivement épargné par la contestation contre le régime de Bachar al-Assad. Un militant sur place a confirmé à l’AFP que les mesures de sécurité avaient été renforcées, avec un dé-ploiement de blindés et des «snipers partout».

Les deux attentats à la voiture pié-gée ont visé le siège des renseigne-ments militaires et le QG des forces de l’ordre. Le pouvoir syrien les a imputés à des «gangs terroristes» qu’il accuse d’être derrière les vio-lences depuis le début mi-mars 2011 de la révolte populaire que le régime tente d’étouffer, au prix de plus de 6000 morts selon un décompte des militants.

La violence se poursuit en Syrie et se propage au Liban


Les forces de sécurité égyptiennes opérant dans la péninsule du Sinaï ont saisit samedi un certain nombre de missiles anti-aériens qui étaient destinés à être introduits en contre-bande dans le bande de Gaza, a signalé l’agence de presse Maan. Selon l’agence de presse palesti-nienne, les sapeurs ont commencé à démanteler les missiles ou plusieurs tonnes de TNT.

Le Sinaï a connu une dégradation de la sécurité au cours des dernières se-

maines, des bédouins armés enlevant des touristes étrangers et attaquant les forces de sécurité égyptiennes dans la région. Vendredi, trois touristes sud-coréens et leur guide égyptiens ont été enlevés sur le chemin du monas-tère sainte-catherine.

Trois américains ont été enlevés plus tôt dans la journée pour négocier la libération des bédouins emprisonnés pour des crimes sur les armes et les médicaments. Jeudi, des bédouins ont capturé 17 gardes-frontières égyp-

tiens près de la frontière avec Israël en représailles à l’assassinat récent d’un jeune bédouin, contrebandier, alors qu’il tentait de s’infiltrer en Israël.

Les militaires égyptiens ont été libé-rés quelques heures plus tard. En outre, le gazoduc reliant l’Egypte à Israël a été attaqué par des terroristes pas moins de 11 fois depuis que l’an-cien président Hosni Moubarak a été renversé.

L’Egypte saisit des missiles anti-aériens destinés à la bande de Gaza

Lors de la réunion du groupe du Likoud à la Knesset, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a affirmé que c’est l’Iran qui est derrière les attentats ratés près des ambassades d’Israël à New Delhi et à Tbilissi en Géorgie : « Ces derniers mois, nous avons été les témoins de plusieurs tentatives d’attentats contre des citoyens d’Is-raël et contre des objectifs juifs en Azerbaïdjan, en Thaïlande et dans d’autres pays. Aujourd’hui, il y a eu deux tentatives supplémentaires contre des innocents.

La première tentative contre une civile israélienne qui a été blessée

à New Delhi. La seconde tentative contre un employé local de l’Ambas-sade d’Israël à Tbilissi en Géorgie. » « L’Iran qui se tient derrière ces ten-tatives est la plus importante expor-tatrice de terrorisme dans le monde.

L’Etat d’Israël et son système de défense continueront à coopérer avec les services de sécurité locaux pour endiguer ces actions terroristes. Nous poursuivrons nos actions de manière forte, méthodiquement et avec déter-mination contre le terrorisme inter-national qui a sa source en Iran » a conclu le Premier ministre.

par Meir Ben-Hayoun

« L’Iran est le responsable des attentats »

Le ministère de la défense a déclaré vendredi qu’un récent test de com-posants clés du système de missile Hetz («flèche») a été un succès. Le Hetz (ou Arrow en anglais) est un système antimissile balistique sol-air. Le test a eu lieu dans une base de la force aérienne israélienne au centre du pays. Selon le ministère de la défense, il ne comprenait pas le tir d’un missile, mais testait les capacités améliorées du radar du système antimissile.

Un avion de combat israélien F-15 a

pris part au test en tirant un projec-tile cible, surnommé «moineau bleu», que le radar a détecté avec succès, envoyant des données pertinentes au centre de commandement et de contrôle du Hetz. Le nouveau sys-tème, déclare le ministère de la dé-fense, intègre plusieurs composantes du système de défense antimissile ba-listique américain. Selon le ministère de la défense, «ce test est une étape de mise à niveau du système Hetz 4, avant sa livraison à la force aérienne israélienne.»

Le système antimissile Hetz réussit un nouveau test

Selon CNN, les Etats-Unis ont ré-cemment intensifié leurs opérations de renseignement, de surveillance et de reconnaissance sur la Syrie… « Il y a des rapports des médias sur la situation en Syrie, mais nous voulons aussi vérifier exactement ce qui se passe » a déclaré un haut responsable américain à l’agence d’information.

Le fonctionnaire a déclaré que les États-Unis croient en la sincérité de tous les rapports venus de Syrie, mais pour que les services d’intelligence doivent recueillir eux-mêmes l’infor-mation pour être utilisable.Les forces syriennes ont intensifié samedi leurs bombardements à Homs, ville-sym-bole de la contestation antigouverne-mentale, où sept civils ont trouvé la mort.

«Il s’agit du pilonnage le plus intense depuis le début de l’offensive à Homs il a six jours. Un obus s’est abattu sur un immeuble à Bab Amro, quartier du centre historique de Homs. Parmi les morts figure une femme de 55 ans», a déclaré à Reuters l’opposant Mo-hammed Hassan, joint par téléphone satellite.\

Dans une vidéo diffusée sur Youtube, on peut voir un médecin près du corps d’une femme touchée à la tête et ame-née dans un hôpital de fortune de Bab Amro. «Il s’agit d’Ibtissam al Dalati, une mère de trois enfants», dit ce mé-decin. Le fonctionnaire n’a pas pré-cisé si la collecte de renseignements comprend des opérations sur l’écoute ou le brouillage des communications militaires syriennes.

C’est ce type d’action qui a été mené contre la Libye il y a plusieurs mois. Le Département d’Etat, équivalent du Ministère des Affaires Etrangères a déclaré vendredi qu’il publiera les photos de reconnaissance des villes syriennes montrant des images géné-rales de ce qui semble être des zones de fumée où les combats sont plus intenses.

La première image a été publiée sur la page Facebook de l’ambassade amé-ricaine à Damas. Cette ambassade a été fermée la semaine dernière quand l’ambassadeur américain Robert Ford et son personnel restant ont été rappe-lés à Washington.

Les images montrent «une certaine image déclassifié de la destruction de Homs, des images très macabres montrent les lignes de tanks, montrent le feu, montrent le genre de choses que vous avez vraiment besoin de voir quand vous avez un militaire », a expliqué la porte-parole du départe-ment d’Etat Victoria Nuland.

Le fonctionnaire a déclaré que le public visé par de tels publication est celui qui « pourrait douter de ceux qui organisent la violence parce que, évidemment, ce sont des armes du gouvernement», faisant allusion à la Russie et à la Chine, qui ont fait écho à l’argument du régime syrien que beaucoup de violences sont organi-sées par les rebelles. D’autres photos seront publiées dans les prochains jours sur le site de l’ambassade et sur un nouveau site créé par le Départe-ment d’Etat.

Amos Lerah

Syrie : Les bombardements s’intensifient à Homs


Les robots et autres véhicules télécommandés sont des atouts de grande valeur sur les champs de bataille du 21ème siècle. Ces technologies permettent souvent aux soldats de gérer les menaces à distance. Voici quelques robots modifiés par la Division Technolo-gique des Forces Terrestres et no-tamment utilisés par les soldats de l’unité d’élite «Yahalom», le com-mando spécial du Corps du Génie Militaire de Tsahal.

1 – Le «EyeDrive»

Le «EyeDrive» est un petit robot de surveillance tout-terrain, supportant tous les temps, développé par ODF Optronics. Il a été spécialement créé pour la guérilla urbaine, le contre-terrorisme et les missions de secours et de recherche. Il ne se casse pas. Jamais.Le EyeDrive peut simplement être lancé dans des bâtiments ou jeté d’une hauteur de trois mètres sans être endommagé. Les caméras, mar-chant de jour comme de nuit, fournit aux soldats un champ de vision en temps réel de 360 degrès.

On peut même zoomer. Son système spécial de détection de mouvements («Video Motion Detection») lance des alertes automatiques lorsqu’un mouvement ou un son est détecté par les capteurs.Avec le «EyeDrive» à leurs côtés, les soldats peuvent réunir tous les renseignements nécessaires pour agir avec rapidité et efficacité. Ils peuvent ainsi prendre les déci-sions qui garantiront le succès de la mission.

2 – Le «Talon»

Le «Talon» est un robot puissant, lé-ger et polyvalent conçu pour mener à bien un grand nombre de missions de la reconnaissance à la neutralisation de bombes. Que peut-il faire? A priori tout.Un des robots les plus rapides en service, le «Talon» est également amphibie ce qui lui permet d’évoluer et de manoeuvrer aussi bien à travers le sable, l’eau ou la neige.

Il peut monter des escaliers et rester imperméable à l’eau à plus de 100 mètres de profondeur. En un mot : indestructible.Ses quatre caméras transmettent en noir et blanc, couleur, infra-rouge et vision de nuit à un sol-dat posté à une distance pouvant aller jusqu’à 1000 mètres. Il peut ainsi fonctionner 24 heures, jour comme nuit.

Armé d’une sorte de main robo-tisé, de systèmes de communica-

tions modernes et de capteurs NBC (Nucléaire, Biologique, Chimique), le «Talon» est le bras long que les soldats peuvent étendre partout et en tout temps.Il permet surtout aux sol-dats de Tsahal de perfectionner l’art de neutralisation des bombes. Plus de 100 000 missions en Irak et en Afghanistan ont prouvé les capacités du «Talon» avant qu’il ne vienne ren-forcer les effectifs de Tsahal.

3 – Le ANDROS «Wolwerine»

ANDROS est une catégorie de ro-bots à usage militaire développé par REMOTEC. Le «Wolverine» vient agrandir et renforcer la famille. Pesant en tout plus de 350 kilos, ce robot robuste, tout-terrain, est l’atout principal de Tsahal pour neutraliser les explosifs.En plus de 15 ans de ser-vice, le «Wolverine» a plus que prou-vé ses capacités. Il est équipé d’un bras manoeuvrable, d’une caméra de surveillance en couleur pouvant zoomer et la possibilité de basculer d’un système de roue à un système de rails, lui permettant de fonctionner même dans les environnements les plus extrêmes, tels que les marécages ou la neige.

4 – AGAMIT

L’exploration des tunnels de contre-bande est l’une des tâches les plus dangereuses à laquelle l’unité d’élite «Yahalom» est confrontée. Les tun-nels sont généralement étroits et instable, il est donc trop risqué d’y envoyer des soldats.Pour parer à ce problème, Elbit a développé le AGA-MIT. Le AGAMIT n’est pas un robot en soi mais un système qui peut être équipé de nombreux dispositifs robo-tiques.

Il cartographie le tunnel en utili-sant une combinaison de caméras et de lasers tandis que le robot avance dedans. Toutes les informations sont transmises aux soldats en temps réel, lui donnant une image complète de la situation.Le AGAMIT dispose même de capacités d’auto-navigation dans le cas où les communications entre le système et les soldats sont coupés. Ainsi, le robot peut trouver son che-min. Pour faire court : la meilleure boussole jamais imaginée.

5 – MiniCat

Si vous avez déjà visité une ferme, ce système peut vous sembler fami-lier. Le MiniCat de Caterpillar a été initialement conçu comme un bull-dozer pour l’industrie agricole. Mais lorsque l’Israel Aerospace Industries

Les cinq plus incroyables technologies utilisées par le Corps du Génie Militaire

(IAI) a mis la main sur l’un d’eux, il a été transformé en un outil d’ingénie-rie de combat entièrement contrôlé à distance.

Avec la télécommande à écran tac-tile spécialement conçue, le soldat peut accomplir une variété de taches complexes à partir d’une distance de

sécurité. Le MiniCat peut être égale-ment autonome ou semi-autonome. Il est principalement utilisé le long de la clôture de sécurité séparant Israël de la bande de Gaza afin de neutraliser la menace des engins explosifs improvi-sés régulièrement placés à proximité par les terroristes.

Plus que tout, les soldats sont le prin-cipal atout de Tsahal mais avec ces outils à leurs côtés, ils sont désormais en sécurité dans des situations qui autrement seraient dangereuses voire mortelles.

Armée de Défense d’Israël


Pour beaucoup, l’Agence Fran-çaise de Presse (AFP) est devenue depuis plusieurs années une agence de désinformation au service de la « Palestine ». Pas une dépêche, ou presque, ne donne l’impression que l’Etat d’Israël est autre qu’un état vil. A tel point qu’il est loisible dorénavant de s’interroger sur l’antisémitisme réel qui borde la réflexion de ses ‘’journalistes’’ s’oc-cupant du conflit proche-oriental ! Une réflexion pourtant à la portée de tout un chacun, mais que ceux-ci rejettent dès lors que l’occasion autorise la présentation de l’état juif comme accusé.

Victor PEREZ

Il y a quelques jours, le reporter Ha-zem Bader de ladite agence affirmait, images à l’appui, qu’un ‘’palestinien’’ a été renversé par une remorque tirée par un tracteur agricole conduit par un « soldat israélien ». Thèse que Mah-moud Abou Q’beita, le ‘’palestinien renversé’’, a d’ailleurs confirmé lors de l’interview donné le 1er février:

« Question : qui conduisait ? - C’était l’un d’entre eux qui conduisait, l’un des militaires, des Israéliens. Je ne

sais pas qui c’était. C’était notre trac-teur, pour notre travail, mais il était dessus et il le conduisait ».

Pas le moindre doute n’est ici sug-géré. Il ne s’agit pas ici de reprendre une enquête sur la véracité de ce fait divers, prospection qui a d’ailleurs été très bien faite par la Metula News Agency, (La mise en scène d’atroci-tés israéliennes pourrait constituer un crime de guerre -info # 011002/12-), mais de s’interroger sur le refus de l’évidence de la part des propagan-distes de l’AFP.

Chacun sait qu’un soldat n’est iden-tifié au premier coup d’œil comme tel que s’il porte l’uniforme. Sur la photo de l’AFP ci-dessous, on per-çoit très bien que le conducteur de la remorque est un civil. Légende de la photo AFP : « Un ouvrier palestinien de la construction crie de douleur après qu’un soldat israélien a fait rou-ler une remorque accrochée à un trac-teur sur ses jambes alors qu’il tentait de le bloquer au moment où les forces israéliennes arrêtaient les ouvriers qui construisaient une maison à al-Dirat, un village au sud de Yatta, dans le sud d’Hébron, en Cisjordanie.

Les forces israéliennes ont enlevé l’équipement et la remorque aux ou-vriers de la construction, le site est si-tué en Zone C occupée où Israël em-pêche les Palestiniens de construire sur leurs terres ».

Chacun ne peut donc que s’étonner que Mahmoud Abou Q’beita, après avoir attesté dans la même interview qu’il n’a pas entendu le tracteur arri-vé sur lui, assure que le conducteur était un israélien ! Quel est l’élément qui lui a permis de maintenir cette accusation sans appel ? Nul n’aura la réponse, hormis celle que l’on crédite à tout partisan. Celle de voir le mal uniquement dans le camp adverse.

Ce qui est basique. En revanche, quels sont les éléments qui ont per-mis à l’AFP de maintenir que c’est bien un soldat israélien et non pas un civil qui a commis l’accident, alors qu’une simple analyse, à l’instar de celle-ci, sur la base de leurs propres photos soulèvera tant d’objections à cette charge ?

Quelles sont les indications qui ont autorisé l’agence française a confir-mé de surcroît, par une dépêche répondant « aux accusations fausses à propos d’une photo prise dans un village de Cisjordanie, à Al-Dirat, le 25 janvier 2012 », que sa « conviction dans l’exactitude des évènements tels que décrits par Hazem Bader est sans équivoque » ?

Nul n’en saura rien ! Seule l’attitude permanente de l’agence à l’égard d’Israël explique le maintien de sa version et la négation de tout doute à ce sujet. Une posture confirmée encore une fois par cette affaire, qui perdure depuis plusieurs années et qui sert, au final, la croissance de l’antisémitisme.

Publié par Victor PEREZ

L’AFP, un facteur d’antisémitisme

Franck Ribery a ouvert à Bou-logne-Sur-Mer avec son épouse Wahiba un bar lounge d’un genre nouveau. O’Shahiz, c’est le nom de l’établissement, ne sert pas de boissons alcoolisées, mais propose la possibilité de fumer le Narguilé. SOS racisme est fermé pour tra-vaux ? Le MRAP a la tête dans son bilan comptable ? La ligue des Droits de l’homme est partie sans laisser d’adresse ?

Qu’en est il du « primat accordé aux règles communautaires sur les règles républicaines » dénoncé dans le rap-port Lozès sur les moyens de com-battre les replis communautaires ? Est-ce au nom du bon vivre ensemble que Ribery a décidé d’exclure ainsi

les Français normaux, car la norme, faut-il encore le rappeler, est que le pays produit du vin et de l’alcool ?

Sommes nous dans le cadre de la li-berté d’entreprendre, ou dans l’exclu-sion des non musulmans ?

Le joueur du Bayern de Munich a t-il le droit de procéder à cette discrimina-tion ? Des questions qui ne semblent se poser que lorsque d’autres français se voient interdire d’organiser, pour cause d’exclusion et d’incitation à la haine, un apéro jambon saucisson pinard.

© Jean-Patrick Grumberg

Franck Ribery ouvre un bar islamique sans alcool

La France va réduire ses forces de l’ONU au Liban de 400 hommes, faisant passer le régiment de 1.300 à 900 soldats. La réduction se fera avec « une accroissement de la res-

ponsabilité de l ‘armée libanaise. Paris nie que la coupe est une ré-ponse à deux attaques sur des sol-dats français l’année dernière. Sol-dats français attaqués au Liban en

2011 Cinq soldats français ont été blessés dans une explosion d’une bombe à Tyr, le 9 décembre, quatre mois après explosion d’une bombe à Sidon qui a blessé cinq soldats français.

En même temps : la FINUL sert-elle vraiment à quelque chose ? Dans la mesure ou l’armée libanaise est infil-trée par le Hezbollah et dans la me-sure ou avec la FINUL, le Hezbollah s’est réarmé et est devenu plus puis-sant que jamais, on peut douter de l’utilité de cette force devenue inutile.

La France actuellement est le deu-xième pays contributeur de la Force Intérimaire des Nations Unies pour le Liban (FINUL) avec environ 1 300 soldats. Plus de 350 soldats sont af-fectés dans les états-majors de la FI-NUL à Naqoura. Près de 850 arment la Force Commander Reserve (FCR) et sont en mesure d’agir en moins de 3 heures au profit de tous les contin-gents déployés sur la zone d’action de l’ONU.

Niso Amzar – JSSNews

La France va retirer 400 soldats de la FINUL au Liban

Après avoir accompagné des petits-enfants de Justes parmi les Nations à Yad Vashem et le TOP11 des bloggeurs high tech dans la Silicon Wadi, la Fondation France-Israël veut faire découvrir aux leaders du secteur primaire français, les spécificités du modèle agricole israélien. « Qui aurait pu croire il y a 70 ans que des tomates pous-seraient un jour dans le désert du Néguev! Et pourtant, en quelques dizaines d’années, les Israéliens ont su s’imposer comme des acteurs in-contournables du paysage agricole mondial.

Pour favoriser le développement des relations agricoles franco-israé-liennes, la Fondation France Israël s’est engagée dans l’organisation du voyage « Graine de business…durable », destiné à faciliter les ren-contres et les échanges entre les agri-culteurs des deux pays. »

Les dirigeants de la FNSEA, de l’APCA, de COOP de France, de SOFIPROTEOL, d’INVIVO, d’UNI-GRAINS… mais aussi des élus, des chercheurs et des investisseurs ont accepté de participer, ensemble, à cette expérience inédite.

Les principaux corps de métiers ainsi que les plus grandes régions agricoles seront représentés dans le cadre de ce voyage qui a été conçu à travers un parcours thématique, allant des pro-ducteurs aux distributeurs, en passant

par les innovateurs. Précisons que si chacun des membres de la déléga-tion a exprimé un très vif intérêt pour l’agriculture israélienne, quasiment aucun d’entre eux ne s’est encore rendu en Israël.

Parmi les temps forts que vivrons ces visiteurs, il y aura certainement les visites de kibboutz (Tzora et Magal), d’exploitations et de vignobles. La soirée « prise de contact » organisée par l’Union des Fermiers Israéliens en présence de Madame Orit Noked, Ministre de l’Agriculture israélienne et des principaux responsables agri-coles israéliens devrait également être intéressante…

Enfin, d’autres rencontres avec des responsables scientifiques, des chargé d’exploitation et autres agriculteurs sont prévues…

A propos de la Fondation France Is-raël : Créée en 2005 par le Président de la République française et le Pre-mier ministre israélien, la Fondation France Israël, reconnue d’utilité pu-blique, innove au quotidien pour rap-procher les sociétés civiles française et israélienne dans les domaines de la culture, de l’économie, de la science ou encore de la mémoire.

Quand 20 agriculteurs français partent à la découverte du miracle agricole israélien…


Le tabac a mauvaise réputation car il entraine de nombreuses ma-ladies pulmonaires et mortelles, mais de nos jours, la plante peut être utilisée pour sauver des vies. Des scientifiques israéliens, dirigés par le professeur de l’Université hébraïque, Alexander Vainstein, ont réussi à modifié génétiquement cette plante pour produire un mé-dicament anti-paludisme comme l’artémisinine.

Le médicament est généralement extrait de la plante sauvage armoise, qui est coûteuse et inefficace parfois. En utilisant des plantes et dérivés de celle du tabac, l’équipe de Vainstein a reproduit cette même molécule a par-tir des plantes de tabac, à un coût bien moins élevé…

Le Professeur Vainstein explique: «Aujourd’hui, le médicament est produit à partir de l’Artemisia Anua. C’est une plante qui n’est pas réel-lement produite et utilisable en agri-culture. Nous avons donc modifié le tabac et nous avons maintenant des plants de tabac qui produisent le même médicament.

Et c’est effectivement la première fois, dans la mesure où nous savons que ce produit fini peut être produit n’importe où et dans n’importe quel système. « Comme le tabac se déve-loppe rapidement, les chercheurs disent que la production industrielle de la culture GM devrait être possible. Les experts du paludisme, comme le professeur Jacob Golenser, dit que

cette découverte a d’autres avantages:

«C’est une étape importante vers une meilleure production de l’arté-misinine, qui est un médicament très important, et utilisés comme un mé-dicament de première ligne contre le paludisme, et probablement, à l’ave-nir, contre d’autres maladies comme le cancer et certaines maladies para-sitaires.

« L’entreprise de l’université re-cherches pour le développement, a breveté l’innovation et il faut donc un partenaire pour développer le médi-cament, qui peut prendre jusqu’à trois ans de fabrication.

Le paludisme est l’une des mala-dies les plus meurtrières du monde. L’Organisation mondiale de la Santé affirme qu’en 2010, il a tué plus de 650.000 personnes. En Afrique, il est responsable du décès d’un enfant sur cinq.

La maladie est causée par un parasite appelé Plasmodium et transmise par les moustiques. Les symptômes com-prennent la fièvre, des vomissements et des douleurs musculaires. Si elle n’est pas traitée, la maladie entraine une rupture des organes vitaux et la mort.

Si le tabac génétiquement modifié peut aider à réduire les décès de palu-disme, la plante aura subi une méta-morphose tout à fait inattendue.

alyaexpress

Découverte israélienne : Le tabac peut soigner le paludisme

Le chef du Mossad, Tamir Pardo, aurait accompli une visite secrète à Washington ce mois-ci, pour y ren-contrer les représentants de l’ad-ministration Obama et tenter de savoir comment les américains réa-giraient à une attaque israélienne sur les installations nucléaires iraniennes. Pardo aurait été vu à Washington fin décembre 2011, et y aurait rencontré plusieurs hauts responsables américains spécia-listes du dossier iranien.

Au cours d’un Comité sénatorial spé-cial sur le renseignement, dans lequel directeur de la CIA David Petraeus et le directeur du renseignement natio-nal James Clapper ont participé, des sénateurs ont demandé si « Israël à

l’intention d’y aller seul. »

Clapper a simplement répondu : « je préfèrerais en parler uniquement en huis clos. » Ce matin, dans un article exclusif publié par The Daily Beast, on apprends que Pardo a posé aux américains des problèmes comme «Quelle est notre position commune sur l’Iran?

Sommes-nous prêts à bombarder? Pouvons nous attendre ? Et comment les Etats-Unis réagirons si Israël le fait seul? » L’article explique par ailleurs qu’une « quantité astrono-mique de renseignements israéliens sur l’Iran ont été transmis aux experts américains.

Hier dimanche, le London Times rap-portait que le Mossad utilise l’Azer-baïdjan comme « base pour espionner la République islamique », citant le témoignage d’un agent anonyme du Mossad. Selon la presse iranienne, le ministère iranien des Affaires étran-gères a remis Javanshir Akhundov, l’ambassadeur azerbaïdjanais en Iran, une note demandant au gouverne-ment de l’Azerbaïdjan de faire ces-ser les opérations anti-iraniennes du Mossad.

Akhundov, en réponse, a dit qu’il allait transmettre le message au gou-vernement azéri et revenir « un jour » avec une réponse.

Jeremyah Albert – JSSNews

Le chef du Mossad transmet des « quantités astronomiques » de renseignements aux américains

Selon les sources sérieuses du monde du spectacle israélien, un méga-concert hommage à la diva américaine Whitney Houston serait en préparation. Les plus grands noms de la chanson améri-caine seraient prêts à se déplacer à Jérusalem, capitale d’un pays que la regrettée chanteuse appréciait énormément, comme lorsqu’elle disait au Premier Ministre Ariel Sharon en 2003 : « Israël est ma maison. C’est ma maison. »

C’est tout d’abord sur les réseaux sociaux, et notamment Twitter, que les hommages à Whitney Houston, à sa voix aux cinq octaves, se sont multipliés. Des petits mots de stars et d’anonymes, pas plus longs que 140 signes dans la plupart des cas, témoi-gnant de la célébrité de star déchue de la pop. «J’ai le coeur brisé et suis en pleurs après la mort choquante de mon amie, l’incomparable Mme Whitney Houston», écrit la chanteuse Mariah Carey. Katy Perry s’est elle contentée d’un sobre «Devastating».

Tandis que Christina Aguilera se ré-pand davantage: «Nous avons perdu une autre légende. Mon amour et mes prières vont à la famille de Whit-ney». A quelques heures des Grammy Awards où elle espère bien remporter au moins un prix, Rihanna a simple-ment écrit: «Je n’ai pas de mots! Juste des pleurs».

Puis, c’est à la télévision que la diva canadienne, Céline Dion, s’est expri-mée. Invitée de l’émission américaine Good Morning America, Céline Dion s’est dite très émue du décès de sa consœur, Whitney Houston. «Quand on pense à Elvis Presley, Marilyn Monroe, Michael Jackson et Amy Winehouse.

Tous sont entrés dans la drogue, comme ça. C’est à cause du stress ou des mauvaises influences?» Beyoncé a qualifié Whitney Houston de «lé-gende» lors d’un hommage où elle a raconté sa première rencontre avec la chanteuse. Elle avoue se sentir boule-versée par cette tragédie, et a rejoint les célébrités telles que Dolly Parton, Aretha Franklin, Elton John ou Quin-cy Jones qui ont raconté leurs souve-nirs avec la chanteuse disparue.

Tous ces noms seront peut-être ceux qui rendront hommage à l’immense

star américaine, en Israël d’ici le début de l’été. Et étonnamment ou non, le producteur de ce super-show serait le franco-israélien David Stern. Celui-là même qui organise actuel-lement l’énorme soirée dédiée à la Vérité Si Je Mens 3, ou plus de 4.000 personnes sont attendues, aurait acti-vé ses réseaux américains.

Et pour cause, il a pu côtoyer au cours de sa carrière les plus grands agents de Los Angeles et de New York. Joint par téléphone, il ne dément pas. « Il est vrai que nous sommes sur un nou-veau projet de très grande envergure.

Une soirée inoubliable, tant pour les artistes qui seront là, que pour les spectateurs qui auront la chance d’assister au spectacle le plus fan-tastique de ces dernières années en Israël. » Sans en dire plus, sans citer de nom précis ou de date, David Stern confirme donc à demi-mot. Dans le monde du spectacle, quelques noms reviennent en permanence quand on parle d’un possible concert hommage en Terre Sainte.

La très grande et très appréciée Lauryn Hill serait sur le chemin. L’ancienne de Fugees pourrait fort bien être accompagnée sur scène par Aretha Franklin, Alicia Keys ou en-core Mariah Carey.

D’autres noms comme ceux de Céline Dion circulent. Enfin, Rihanna, très touchée par la disparition de Houston, pourrait aussi faire parti du voyage. En outre, Houston est devenue numé-ro 1 des ventes sur itunes en quelques heures… Ses titres s’écoulent avec une hystérie qui égale celle qui a sui-vie la mort du Roi de la Pop, Michael Jackson, en 2009 !

Si pour l’heure aucune date, aucun lieu et aucun artiste n’est confirmé, il semble donc bien que David Stern se penche sérieusement sur ce dossier colossal. Un concert hommage, digne et noble, qui ne devrait pas, selon nos informations, se tenir dans un stade mais plutôt dans une salle ou les ef-fets de lumières pourraient se travail-ler de manière à rendre ce show plus intime. Avec un pareil évènement, Stern pourrait rentrer définitivement dans le petit monde très fermé des supers-producteurs internationaux.

Jonathan-Simon Sellem – JSSNews

Des supers stars américaines pour un concert hommage à Whitney Houston en Israël


Aux cris de «Mort à Israël! Mort aux Etats-Unis!», des dizaines de milliers d’Iraniens ont assisté aux célébrations organisées ce samedi à travers tout le pays. L’Iran an-noncera prochainement de «très importantes» réussites dans le do-maine nucléaire, a également pro-mis le Président Mahmoud Ahma-dinejad dans un discours prononcé à l’occasion du 33e anniversaire de la Révolution islamique.

Ismaël Haniyeh, qui dirige les auto-rités du Hamas palestinien dans la bande de Gaza, était présent. La publication en novembre d’un rap-port de l’Agence internationale de l’énergie atomique qui conclut à l’existence d’un volet militaire dans les recherches nucléaires iraniennes a amené les puissances occidentales à durcir leurs sanctions. Après les Etats-Unis en décembre, les Etats membres de l’Union européenne se sont entendus fin janvier pour boy-cotter le pétrole iranien à compter du 1er juillet.

L’UE représentait 25% des expor-tations iraniennes au troisième tri-mestre 2011. Israël, qui considère le programme nucléaire supposé de Téhéran comme une menace pour sa survie, n’a pas exclu une frappe mili-taire contre l’Iran.

La République islamique a promis dans ce cas une riposte «doulou-reuse» qui viserait Israël et les bases américaines dans le Golfe. Elle a aus-si menacé de bloquer le détroit d’Or-muz, par où transitent plus de 35% du pétrole transporté par voie maritime à travers le monde.

«PRÊTS À NÉGOCIER»

«Si nous sommes attaqués par le régime sioniste, nous réduirons celui-ci en poussière», a déclaré l’un des chefs des Gardiens de la révolution, Mohammad Shirdel, à l’agence de presse Fars. «Des milliers de nos mis-siles viseront Israël et les quarante bases américaines dans la région.» Mahmoud Ahmadinejad, dans son discours, a réaffirmé que l’Iran était favorable à de nouvelles discussions sur son programme nucléaire.

Les entretiens sont bloqués depuis un an en raison du refus de Téhéran de mettre fin à l’enrichissement d’ura-nium. «Ils disent qu’ils veulent négo-cier. Cela nous va parfaitement, nous avons toujours été prêts à discuter sur la base de la justice et du respect mu-tuel», a dit le président iranien.

«La nation iranienne ne déviera pas de son chemin», a-t-il toutefois sou-ligné. Le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, qui s’est récemment rendu à Téhéran, a déclaré vendredi que l’Iran avait ac-cepté une reprise des discussions sur le nucléaire.

Un diplomate représentant l’un des cinq pays membres permanents au Conseil de sécurité a toutefois indi-qué n’avoir perçu aucun signe d’une reprise des négociations. Les autori-tés iraniennes minimisent l’impact des sanctions économiques mais le parlement envisage de riposter en interdisant les exportations de pétrole iranien vers l’Union européenne.

«Je le dis clairement: vous (Occi-dentaux) pouvez continuer à tenir ce discours d’intimidation et de menace mais jamais notre nation ne se courbera devant vous», a assuré Ahmadinejad. Selon les analystes, les

sanctions internationales touchent le secteur pétrolier, vital pour l’écono-mie iranienne, provoquant une baisse de la production et des exportations qui devrait encore s’accélérer.

L’IMPACT DES SANCTIONS

Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui a révisé à la baisse ses prévisions pour le sixième mois consécutif en raison de la dété-rioration de la conjoncture écono-mique, la demande pétrolière mon-diale augmentera de moins de 1% en 2012.

L’AIE estime que le marché mondial semble disposer d’une «flexibilité suffisante en matière d’offre» pour faire face à l’impact potentiel des sanctions visant le secteur pétrolier iranien. Malgré les conséquences des sanctions et un taux d’inflation de plus de 20%, Mahmoud Ahmadinejad a affirmé que l’économie iranienne était «florissante». «Nous avons mis de côté 30 milliards de dollars pour les mauvais jours.

Les exportations iraniennes hors pétrole dépasseront 43 milliards de dollars en mars. Les importations ont baissé de 5% ces dix derniers mois.» «Nous étions des importateurs de fioul, maintenant nous sommes parmi les principaux exportateurs de fioul et de produits pétroliers», a-t-il dit.

A quelques semaines des élections législatives du 2 mars et face aux sanctions décidées par les Etats-Unis et l’Union européenne, l’Iran a com-mencé à proposer des paiements en or ou des accords de troc -pétrole contre nourriture- pour se procurer des den-rées.

Nucléaire iranien : Téhéran promet des annonces importantes

Le général Martin Dempsey ris-quait de passer pour un incorri-gible optimiste sans son rattrapage in extremis. « En juin, ils salueront le président nouvellement élu – un civil, ce qui constitue une première dans ce pays – avant de regagner leurs casernes », a-t-il prophétisé samedi après avoir rencontré les chefs militaires égyptiens. Fort heureusement, après cette petite phrase, il s’est dépêché d’ajouter : « Toutefois, je ne crois pas que ce sera facile. »

À l’ordre du jour des entretiens que le chef d’état-major interarmes ve-nait d’avoir au Caire : les poursuites engagées par le pouvoir contre 44 membres d’ONG, dont 19 Améri-cains réfugiés depuis quelques jours dans les locaux de leur ambassade.

Au nombre des organisations visées : Freedom House, l’International Re-publican Institute, la National Demo-cratic Institute ainsi que, sans doute pour faire bonne mesure, la fondation allemande Konrad Adenauer, toutes accusées d’« activités purement poli-tiques, sans rapport avec la société civile ».

Là-dessus, la très officielle agence d’information MENA a jugé bon en ce début de semaine de ressortir les propos tenus en octobre par Fayza Aboul Naga, ministre de la Coopéra-tion internationale (une rescapée de l’ère Moubarak), accusant Washing-ton d’avoir tenté d’orienter le soulè-vement du 25 janvier 2011 dans un sens favorable à ses intérêts et à ceux d’Israël. Le ressentiment anti-yankee n’est pas chose nouvelle sur les bords du Nil.

Au plus fort de l’été, la revue October publiait un article consacré à la nou-velle ambassadrice des États-Unis, Anne Patterson, intitulé : « L’ambas-sadrice de l’enfer venue enflammer la place al-Tahrir », agrémenté d’un des-sin de la diplomate allumant la mèche d’une bombe avec des dollars. Motif de cette ire vengeresse : l’administra-tion démocrate aurait généreusement octroyé quelque 40 millions de dol-lars à des mouvements civils pour les aider à promouvoir la démocratie et les droits de l’homme.

Depuis, la situation n’a fait qu’empi-rer, surtout lorsque le sénateur Patrick Leahy, président de la sous-commis-sion chargée de superviser l’aide à l’étranger, a laissé entendre que le Congrès pourrait bloquer toute aide à l’Égypte. « L’époque des chèques en blanc est révolue », a-t-il souligné, rejoint par une quarantaine d’élus qui

ont demandé à Hillary Clinton et à Leon Panetta de relayer à qui de droit le message suivant : pas de règlement au plus tôt de la crise des ONG, pas de millions. L’enjeu est d’importance.

Dans le budget fédéral de l’actuel exercice sont prévus 1,3 milliard de dollars ainsi qu’un soutien éco-nomique de 250 millions, alors que l’étiage menace les caisses de l’État et que l’armée vient de débourser l’équivalent d’un milliard de dollars pour permettre au gouvernement de faire face à ses obligations les plus urgentes.

Il est clair que les militaires cherchent à faire oublier l’étalage de muscles dont ils ont fait montre ces dernières semaines ainsi que les incidents san-glants qui émaillent la vie de tous les jours, l’exemple le plus dramatique des dérapages ayant été les 75 vic-times d’un match de football à Port-Saïd. Rien de mieux pour cela qu’une bonne petite crise avec l’Amérique qui fait la part belle à une rhétorique guerrière du plus bel effet sur le peuple –

« Nous ne plierons pas, pour quelque raison que ce soit », vient d’affirmer le Premier ministre Kamal al-Gan-zouri – mais sans risque véritable d’arrêt de l’indispensable manne. Le Conseil suprême des forces armées (CSFA) est convaincu en effet qu’il a tout à gagner et rien à perdre dans ce faux bras de fer.

Rien à perdre car, pense-t-il, placé au pied du mur, Washington n’ira jamais jusqu’à fermer le robinet à dollars. Spécieux, le raisonnement ne tient pas en période préélectorale qui voit Barack Obama harcelé par l’oppo-sition républicaine sur les dépenses inconsidérées en temps de crise. Tout à gagner parce que, selon diverses sources, le véritable adversaire n’est pas l’Amérique mais ces Frères mu-sulmans, maîtres du Parlement issu des élections législatives et, par-delà, ces jeunes libéraux qui rêvent, malgré les dernières déconvenues, d’en dé-coudre avec des généraux hérités des décennies passées et qui s’accrochent au pouvoir.

Avant-hier, l’armée a rendu hommage aux Égyptiens qui n’ont pas observé une journée de désobéissance civile pour le premier anniversaire de la chute du raïs. Au pays des pharaons, cela s’appelle peut-être faire preuve de sens civique. Curieuse conception de la démocratie.

Par Christian Merville

Faux calculs et vraies dérives

israël actualités n°200

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