introduction partie i: qu’est-ce que l’irm c érébrale?

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Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM cérébrale? Oury monchi, PhD Centre de Recherche, Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal & Université de Montréal RAD6005 – Introduction à l’IRMf

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Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?. RAD6005 – Introduction à l’IRMf. Oury monchi, PhD Centre de Recherche, Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal & Universit é de Montréal. Plan du cours RAD6005, hiver 2010. 11 conf érences de 3 heures - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Introduction partie I:Qu’est-ce que l’IRM cérébrale?

Oury monchi, PhD

Centre de Recherche, Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal & Université de

Montréal

RAD6005 – Introduction à l’IRMf

Page 2: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Plan du cours RAD6005, hiver 2010

11 conférences de 3 heures

5 travaux pratiques de 3 heures devant ordinateur

1 examen devant ordinateur (20%)

1 présentation en groupe (20%)

1 examen écrit (60%)

3 crédits

5 avril

23 avril

6 mars et 2 avril

Page 3: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Cours théoriques1. (16 janvier) ‐‐‐‐‐‐ Introduction IRM et anatomie (Jean-Sebastien Provost)

2. (23 janvier) ‐‐‐‐‐‐ Introduction aux contrastes d'IRM (Dr. Rick Hoge)

3. (30 janvier) ‐‐‐‐‐‐ Reconstruction d'images (Dr. Rick Hoge)

4. (6 février) ‐‐‐‐‐‐ BOLD et devis expérimentaux

5. (13 février) ‐‐‐‐‐‐ Prétraitement

6. (20 mars) ‐‐‐‐‐‐ Analyses d'images IRMf

7. (12 mars) ‐‐‐‐‐‐ Normalisation

8. (19 mars) ‐‐‐‐‐‐ IRM structurelle

9. (26 mars) ‐‐‐‐‐‐ ***Présentations orales 1***

10. (2 avril) ‐‐‐‐‐‐ ***Présentations orales 2***

11. (9 avril) ‐‐‐‐‐‐ Etudes de connectivité par IRMf (Dr. Pierre Bellec)

11. (23 avril) ‐‐‐‐‐‐ **Examen théorique**

Page 4: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Ateliers informatiques(Jean-Sebastien Provost et Ahmed Ibrahim)

1.Vérification des données et pré-traitement

2.Modèle linéaire

3.Moyennage et normalisation

4.Seuillage et visualisation des données

5.Repérage des zones et report des résultats

6.Examen pratique (données à analyser)

Page 5: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Résolutions temporelles et spatiales

Chaque technique a une résolution temporale et spatiale différente.

Page 6: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Études anatomiques

Études Fonctionnelles

Études physiologiques

Techniques d’IRM

Pas couverts dans ce cours

Page 7: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Notre Siemens

3T

Page 8: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Histoire La première image IRM a été publiée en

1973

La première image d’un sujet humain a été complétée en 1977 et a pris presque 5 heures à acquérir (Damadian et al.)

En 2003, Dr. Paul Lauterbur et Sir Peter Mansfield ont reçu le prix Nobel pour leur découverte

Page 9: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 10: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Bobine de radiofréquenceLa bobine de radiofréquence nous donne différents champs de vision dépendemment de sa forme

Page 11: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de base de l’IRM

Aimant: Champ magnétique (B0) très puissant (de 1 à 7T) et homogène, qui va inciter les protons d’hydrogène à s’aligner. **Champ magnétique de la terre = 0.00005T!!**

Bobine de radiofréquence: envoie une impulsion (B1) à la fréquence de résonance de l’hydrogène. Après être entrés en état de résonance, ces protons reviennent à leur état de base à des vitesses différentes suivant le tissu dans lequel ils se trouvent. Ceci génère un contraste (p.ex. T1)

Bobine de gradients: le signal généré par la RF ne nous donne pas d’information spatial en temps que tel, ce sont les bobines de gradients alignées sur trois axes (x,y,z) qui nous permettent de le faire.

Page 12: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

• Spins des protons d’Hydrogène

IRM: Principes de Base

Page 13: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

• Spins des protons dans le champ statique B0

IRM: Principes de Base

Page 14: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

• Effets de radiofréquences en résonance

IRM: Principes de Base

Page 15: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

• Temps de relaxation des spins (T1 et T2)

IRM: Principes de Base

Page 16: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

• Temps de relaxation de T1 et T2

IRM: Principes de Base

Page 17: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

IRM: Principes de Base

Page 18: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de base de l’IRM

Gradients:Chaque gradient crée un champ dans une direction

différente. Il y en a donc trois, pour couvrir les trois axes.

Page 19: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

IRM: SécuritéLe champ magnétique B0 est toujours présent, même lorsque le scanner n’est pas en marche.

Ceci veut dire que tout métal est interdit à tout temps dans la salle d’IRM

Page 20: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

IRM: Sécurité

Page 21: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Différentes méthodesAnatomie

Peut être l’anatomie avec différents contrastes (T1, T2, PD), ou anatomie vasculaire

Voxel-based morphometryMéthode pour regarder les différences de volume de matière blanche ou grise entre plusieurs cerveaux

DTI (imagerie à tenseurs de diffusion)Sert à regarder les fibres de la matière blanche

SpectroscopieUtilise les “spins” d’autres molécules que l’hydrogène (tel que le carbone) pour créer une image

Page 22: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Anatomie: T1

Page 23: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Anatomie vasculaire

Page 24: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Voxel Based Morphometry

Brenneis et al., 2004 - JNNP

Page 25: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Imagerie en tenseurs de diffusion (DTI)

Page 26: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Spectroscopie

Page 27: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Imagerie en résonance magnétique

fonctionnelle(IRMf)

Page 28: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de base de l’IRMf

On connait une relation entre l’activité cérébrale et le taux d’hémoglobine déoxygéné dans le sang

Début des années 90, il a été découvert qu’une séquence d’impulsions produites par l’IRM pourrait mesurer le taux d’hémoglobine déoxygénée

Ceci a donné naissance au Blood Oxygenation Level Dependent (BOLD) fMRI, ou T2*, qui nous donne une mesure indirecte de l’activité cérébrale

Page 29: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de base de l’IRMf

Page 30: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de base de l’IRMf (BOLD)

Page 31: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 32: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 33: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 34: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Arterial spin-labeling (ASL)

Utilise des pulses de RF sélectionnés spécialement pour marquer le sang artériel qui circule dans le cerveau.

Nul besoin d’injecter un agent de contraste (Comme en PET ou SPECT)

Les mesures de flux peuvent s’acquérir rapidement

Page 35: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de l’ASL

1. Marquer le sang arteriel rentrant par inversion magnétique

2.  Acquérir l’ image marquée

3. Répéter l’éxpérience sans marquage4.  Acquérir l’image contrôle

Page 36: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 37: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 38: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Arterial spin-labeling (ASL)

Utilise des pulses de RF sélectionnés spécialement pour marquer le sang artériel qui circule dans le cerveau.

Nul besoin d’injecter un agent de contraste (Comme en PET ou SPECT)

Les mesures de flux peuvent s’acquérir rapidement

Page 39: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de l’ASL

1. Marquer le sang arteriel rentrant par inversion magnétique

2.  Acquérir l’ image marquée

3. Répéter l’éxpérience sans marquage4.  Acquérir l’image contrôle

Page 40: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 41: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

K.J. Bangen et al. / Neurobiology of Aging 30 (2009) 1276–1287

Page 42: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 43: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Principes de base de l’IRMf

Pour pouvoir visualiser un effet, il faut moyenner beaucoup de sujets avec beaucoup de runs chacun

L’idéal est moins de sujets mais des heures de scan (bien sûr impossible)

Page 44: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Types de dessins expérimentaux et analyses

Page 45: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Dessins expérimentauxBlock design (dessin en blocks)

Comparaison de longues périodes (ex 16s) d’une condition avec une longue période d’une autre condition

Approche traditionnelleLe plus puissant en termes statistiquesDépend moins du modèle hémodynamique créé

Event-related design (dessin évènementiel):Comparaison de conditions à périodes courtes (ex

1s)Assez nouveau (date d’à peu près 1997)Moins puissant statistiquement, mais a beaucoup

d’avantages

Page 46: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Dessins expérimentaux

Dessin en

blocks

Dessin évènementiel espacé

Dessin évènementiel mixte

Page 47: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

AnalysesCorrection du mouvement

Chaque sujet bouge un peu pendant la sessionSi une structure est à une place au début et une

autre à la fin, les analyses ne seront pas valides

“Smoothing”, ou lissage

NormalisationChaque cerveau est différent, il faut qu’ils se

ressemblent pour pouvoir les comparer les uns aux autres

Application d’un modèle linéaire

Création de cartes statistiques

Pre-processi

ng

Page 48: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Analyses

Page 49: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Modeling the expected response (fmridesign)

Page 50: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

(From Dr. J. Armony)

Modeling the data (GLM)

Page 51: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

(From Dr. J. Armony)

Page 52: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Connectivité Connectivité

fonctionelle: On choisit une région

d’intérêt, et on voit quelles régions corrèlent avec

On ne verrait pas de différence entre ces deux situations

Connectivité effective: On choisit plusieurs

région d’intérêt et une région avec laquelle on pense qu’elle corrèle, et on regarde si c’est une corrélation directe ou non

On peut voir la différence entre ces deux situations

Page 53: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Connectivité

Le but est d’identifier les régions qui se co-activent – i.e. d’après le modèle linéaire, quelles régions varient ensemble?

Page 54: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Importance des hypothèses

“Science sans conscience n’est que ruine de l’âme!” (François Rabelais)

Une expérience sans question ou hypothèse ne sert pas à grand chose et peut être coûteuse!

L’important c’est la question, si l’IRMf peut y répondre. Il faut savoir faire des dessins expérimentaux appropriés.

Page 55: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Importance des hypothèses“We are also believers in good old-fashioned experimental design, like those dreaded psychophysicists that you keep mentioning. We try to teach our students that the most amazing patient or the most advanced method is useless if you don’t design the experiments right. Which may seem obvious, but apparently it isn’t always!”

“I worry that many of my colleagues have become so entranced with neuroimaging that they think cognitive neuroscience is just cognitive neuroimaging. This is really unfortunate because there are fundamental questions that imaging can’t answer and patient-based research can.”

Prof. Martha Farah

Page 56: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Variations dans l’IRMf

Attention: Attention les différences BOLD entre 2 groupes surviennent des différences d’activité neuronale, mais aussi différences dans le métabolisme chez les individus.

Cette différence augmente si l’on compare des individus d’âge différent ou atteints de maladies différentes

Certains chercheurs essaient de répondre à cette question, en faisant d’autres types d’acquisitions qui s’intéressent plus spécifiquement au métabolisme (ex Dr. Rick Hoge au CRIUGM)

Page 57: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Paramètres Nécessaires Paramètres Nécessaires lors de la Publication lors de la Publication

d’Articles en IRMfd’Articles en IRMf

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Page 66: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 67: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?
Page 68: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Théorie proposéeThéorie proposéeMonitoring/Monitoring/associationassociation

Comparaison/Comparaison/SélectionSélection

AssociationAssociationstimulus/actionstimulus/action

OrganisationOrganisationdans la mémoire dans la mémoire

de travailde travail

Planification,Planification,sélection ou sélection ou

exécution d’une exécution d’une nouvelle action nouvelle action

NiveauxNiveaux

PutamenPutamen

CORTEXCORTEXPréfrontalPréfrontal

Caudé Caudé ventralventral

Caudé Caudé dorsaldorsal

DorsalDorsal9, 469, 46

VentralVentral47/1247/12

PostérieurPostérieurint 6, 8, 44int 6, 8, 44

STRIATUMSTRIATUM

Page 69: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Montreal Card Sorting Task, Étude I

Cue card

• Retrieval w/o shift

• Retrieval w/ shiftvs

Monchi et al., Ann. Neurol., 2006

Prédictions

avec changement: CPF-VL+ Noyau caudé

sans changement: CPF-VL, PAS de striatum

Page 70: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Montreal Card Sorting Task• Changement de règle continu

Matching according to colourMatching according to colour Matching according to numberMatching according to number

• Condition contrôle Prédictions

Changement de règle continu: CPF-VL, PAS de striatum

Page 71: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

IRMf MCST: IRMf MCST: Contrôles en santéContrôles en santé

33

77T-stat T-stat

CueCue CardCard

Retrieval NO shiftRetrieval NO shift

VS

ControlControl

CueCue CardCard

Retrieval WITH shiftRetrieval WITH shift ControlControl

VS

X = 18X = 18Continuous shiftContinuous shift ControlControl

VS

Y = -4Y = -4

VL-PFC

Caudate

VL-PFC

No striatumNo striatum

VL-PFC

No striatumNo striatum

Monchi et al. Feb 2006, Annals of NeurologyMonchi et al. Feb 2006, Annals of Neurology

Page 72: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Continuous shiftContinuous shiftRetrieval WITH shiftRetrieval WITH shift

VS

Retrieval WITH shiftRetrieval WITH shift

VS

Retrieval NO shiftRetrieval NO shift

fMRI MCST: Healthy Controls

X = 12X = 12 2.52.5

55T-stat T-stat

Caudate

Le noyau caudé n’est pas particulièrement impliqué dans le changement de règle en soi, mais dans la planification d’une

nouvelle action.Monchi et al. Feb 2006, Annals of NeurologyMonchi et al. Feb 2006, Annals of Neurology

Cue CardCue Card CueCue CardCard

Cue CardCue Card

33

55T-stat T-stat

X = 12X = 12

CaudatePutamenPutamen

Page 73: Introduction partie I: Qu’est-ce que l’IRM c érébrale?

Lecture recommandée et remerciements

Functional Magnetic Resonance Imaging, de Scott A. Huettel, Allen W. Song et Gregory McCarthy

Mise en place des diapos Kristina Martinu, étudiante au PhD, PCAN lab

Diapositives:http://unfweb.criugm.qc.ca/oury/Site/Downloads.html