introduction i - léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. a) le positivisme et...

31

Upload: baptiste-leblond

Post on 03-Apr-2015

109 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie
Page 2: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

Introduction

Page 3: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.A) Le positivisme et l’économie

Page 4: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

A) Le positivisme et l’économie Auguste Compte (XIXème siècle):

hiérarchise les sciences d’après le positivisme.

L’économie en est exclue.

Page 5: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

A) Le positivisme et l’économie Auguste Compte (XIXème siècle):

hiérarchise les sciences d’après le positivisme.

L’économie en est exclue.

Quatre critères du positivismes:

Page 6: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

A) Le positivisme et l’économie1)Toute chose existe par elle-même et le seule

critère de la vérité absolue c’est la conformité de l’analyse au réel

Page 7: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

A) Le positivisme et l’économie1)Toute chose existe par elle-même et le seule

critère de la vérité absolue c’est la conformité de l’analyse au réel

2)Existence de lois naturelles et de principes mécaniques

Page 8: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

A) Le positivisme et l’économie1)Toute chose existe par elle-même et le seule

critère de la vérité absolue c’est la conformité de l’analyse au réel

2)Existence de lois naturelles et de principes mécaniques

3)Observation neutre, pas d’idéologie de type normative

Page 9: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

A) Le positivisme et l’économie1)Toute chose existe par elle-même et le seule

critère de la vérité absolue c’est la conformité de l’analyse au réel

2)Existence de lois naturelles et de principes mécaniques

3)Observation neutre, pas d’idéologie de type normative

4)La science doit suivre une logique confrontable au réel

Page 10: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

B) Les mécanismes axiomatiques de l’économie

Page 11: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

B) Les mécanismes axiomatiques de l’économie Rareté: bien en quantité limitée

inférieure à la demande

Page 12: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

B) Les mécanismes axiomatiques de l’économie Rareté: bien en quantité limitée

inférieure à la demande Besoin: volonté d’un individu d’acquérir

le bien plus ou moins rare.

Page 13: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

B) Les mécanismes axiomatiques de l’économie Rareté: bien en quantité limitée

inférieure à la demande Besoin: volonté d’un individu d’acquérir

le bien plus ou moins rare.

Satisfaction: satisfaire un besoin a un coût en ressources

Page 14: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

B) Les mécanismes axiomatiques de l’économie Rareté: bien en quantité limitée

inférieure à la demande Besoin: volonté d’un individu d’acquérir

le bien plus ou moins rare.

Satisfaction: satisfaire un besoin a un coût en ressources

Utilité: définit la satisfaction apportée par le bien échangé

Page 15: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

B) Les mécanismes axiomatiques de l’économie

Ainsi la science économique c’est la science qui cherche à déterminer

comment doit se dérouler l’échange pour que la « satisfaction générale »

soit optimale.

Page 16: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

B) Les mécanismes axiomatiques de l’économie

La monnaie permet des échanges fluides mais surtout elle fixe les prix, la valeur des biens

Page 17: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

C) La pensée classique et son prolongement néoclassique

Page 18: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

C) La pensée classique et son prolongement néoclassique

1) L’individu est rationnel

Page 19: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

C) La pensée classique et son prolongement néoclassique

1) L’individu est rationnel

2) L’individu est informé

Page 20: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

C) La pensée classique et son prolongement néoclassique

1) L’individu est rationnel

2) L’individu est informé

3) L’individu est libre

Page 21: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

I - L’économie, science exacte des classiques et néoclassiques.

C) La pensée classique et son prolongement néoclassique

1) L’individu est rationnel

2) L’individu est informé

3) L’individu est libre

4) Le marché coordonne les comportements

Page 22: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économique

Page 23: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueA) Constat et critiques

Page 24: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueA) Constat et critiques

Disfonctionnements : Chômage non voulut, mauvaise répartition des richesses…

Réponse: Le modèle est mal appliqué

Question: Est-il seulement appliquable?

Page 25: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueA) Constat et critiques

Le modèle néoclassique est idéal mais ne résiste pas à l’épreuve de la réalité.

Page 26: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueA) Constat et critiques

Keynes: Les prix sont « visqueux », ils ne s’adaptent pas assez vite

Page 27: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueB) L’émergence d’un nouveau modèle d’analyse

économique: « L’analyse économique des conventions »

Page 28: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueB) L’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économique:

« L’analyse économique des conventions »

Herbert Simon1) L’individu n’est pas parfaitement informé

2) Il ne maîtrise pas l’effet de ses actions

3) Il ne peut calculer que jusqu’à un certain point

4) Il n’est pas totalement rationnel

Page 29: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueB) L’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économique:

« L’analyse économique des conventions »

Herbert Simon

L’individu se comporte en tenant compte de sa rationnalité mais aussi des conventions.

Page 30: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

II – La critique de la pensée néoclassique et l’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économiqueB) L’émergence d’un nouveau modèle d’analyse économique:

« L’analyse économique des conventions »

Nouveau modèle: l’économie constructiviste

« le monde que nous construisons n’est que le résultats de nos interprétations  communes»

Page 31: Introduction I - Léconomie, science exacte des classiques et néoclassiques. A) Le positivisme et léconomie

Conclusion