iii -couche physique niveau 1
TRANSCRIPT
LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
III - Couche physique Niveau 1
54
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Son rôle� La couche physique est chargée de la transmission des signaux électriques ou optiques entre les interlocuteurs.
� Emission et la réception d'un bit ou d'un train de bits continu.
� Elle transmet un flot de bits sans en connaître la signification ou la structure.
� Elle code l'information pour l'adapter au support de transmission et effectue la conversion entre bits et signaux électriques, électromagnétiques ou optiques.
� Elle normalise les signaux envoyés sur le support (analogique / numérique, voltage, optique etc…) ainsi que le type et la longueur des câbles, les connecteurs utilisés…
55
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Supports physiques de transmissions� Circulation des informations entre les équipements de transmission.
� Trois catégories principales, selon le type de grandeur physique qu'ils permettent de faire circuler : � Les supports filaires permettent de faire circuler une grandeur électrique sur un câble généralement métallique
� Les supports aériens désignent l'air ou le vide, ils permettent la circulation d'ondes électromagnétiques ou radioélectriques diverses
� Les supports optiques permettent d'acheminer des informations sous forme lumineuse
56
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Supports physiques de transmissions� Circulation des informations entre les équipements de transmission.
� Trois catégories principales, selon le type de grandeur physique qu'ils permettent de faire circuler : � Les supports filaires permettent de faire circuler une grandeur électrique sur un câble généralement métallique
� Les supports aériens désignent l'air ou le vide, ils permettent la circulation d'ondes électromagnétiques ou radioélectriques diverses
� Les supports optiques permettent d'acheminer des informations sous forme lumineuse
57
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Représentation d’un bit
� 1 bit correspond à une impulsion signifiant 0 ou 1
Exemples :
� Signal électrique : 0 = 0 volts et 1 = +5 volts
� Signal optique : 0 = faible intensité et 1 = forte intensité
� Transmission sans fil : 0 = courte rafale d’onde et 1 = rafale d’onde plus longue
58
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Affectation d’un bit lors de sa
transmission� Propagation : temps mis par un bit pour se déplacer dans le média
� Atténuation : perte de la force (amplitude) du signal
� Bruit : ajout indésirable d’énergie à un signal causé par des sources d’énergie se trouvant à proximité
� Dispersion : étalement des impulsions dans le temps
� Gigue : variation du délai de transfert de l’information
� Latence : retard de transmission causé par le temps de déplacement d’un bit dans le média et la présence de circuits électroniques dans le cheminement
� Collisions : lorsque deux ordinateurs utilisant le même segment de réseau émettent en même temps
59
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Signal numérique variant de manière discontinue dans le temps
Signal analogique variant de manière continue dans le temps
Pour transmettre des données, on peut soit utiliser :
Deux techniques de transmission
60
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Les codages en bande de base
Les codages usuels sont :
� le code tout ou rien
� le code NRZ (non retour à zéro)
� le code bipolaire
� le code Manchester
61
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
C'est le plus simple:
� un tension nulle code le « 0 »
� une tension positive indique le « 1 »
Problème 1 : composante continue non nulle, échauffement par effet de JouleProblème 2 : pas de disctincion entre 0 et pas de transmission (panne)
Code tout ou rien
62
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Problème 1 : désynchronisation possible sur de longues séquences identiques
Problème 2 : dépendance vis-à-vis de la polarité
On code :
� par une tension négative le « 0 »
� par une tension positive le « 1 »
Code NRZ (Non Return to Zero)
63
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Code tout ou rien dans lequel :
� le « 0 » est représenté par une tension nulle;
� le « 1 » est représenté par une tension alternativement positive ou négative pour éviter de maintenir des tensions continues.
� Avantage : indépendant de la polarité� Problèmes de désynchronisation et de détection de
transmission
Code Bipolaire
64
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Le signal change au milieu de l'intervalle de temps associé à chaque bit.Au milieu de l'intervalle il y a une transition de bas en haut pour un « 0 »(front montant) et de haut en bas pour un « 1 » (front descendant).
� Principe : XOR entre les données et l’horloge� Codage utilisé pour Ethernet à 10 Mbit/s
Code Biphase ou Manchester
1 0 0 1 1 1 0 1
65
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Le temps dans les réseaux :Perte de paquet ou délai
File d’attente des paquets dans les routeurs
Si le taux d’arrivée des paquets en entrée dépasse le capacité en sortie
Paquets bufferisés, attente de leurs tours
A
B
packet being transmitted (delay)
packets queueing (delay)
free (available) buffers: arriving packets
dropped (loss) if no free buffers
Traduit des slides de J.F Kurose and K.W. Ross, 66
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Le temps dans les réseaux :4 sources de délais
Tproc: nodal processing � Verification CRC (Bit errors)
� determine lien de sortie
� Temps moyen < msec
A
B
propagation
transmission
nodal
processing queueing
Tqueue: delay d’attente� Temps pour obtenir le lien de transmission
� dépend de la congestion du routeur
Traduit des slides de J.F Kurose and K.W. Ross, 67
Tnodal = Tproc + Tqueue + Ttrans + Tprop
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Ttrans: transmission delay:� L: taille du paquet(bits)
� B: bande passante lien(bps)
� Ttrans = L/B
Tprop: propagation delay:� d: longueur du lien de transmission
� v: vitesse de propagation dans le lien (~2x108 m/sec)
� Tprop = d/vTtrans et Tprop
Très différents
propagation
nodal
processing queueing
Tnodal = Tproc + Tqueue + Ttrans + Tprop
A
B
transmission
Le temps dans les réseaux :4 sources de délais
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Analogie avec le trafic routier (1)
� Une voiture se “propage” à 100 km/hr
� Cabine péage prend 12 sec pour servir un ticket (bit transmission time)
� Voiture ~bit; caravane ~ paquet
� Q: combien de temps avant que la caravane soit présente au second péage ??
� Temps pour que la caravane complète atteignela voie rapide = 12*10 = 120 sec
� Temps pour que la dernièrevoiture se propage du premier au second péage : 100km/(100km/hr)= 1 hr
� R: 62 minutes
PéagePéageCaravanede 10 voitures
100 km 100 km
Traduit des slides de J.F Kurose and K.W. Ross, 69
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
� Supposons que les voiture se“propage” à 1000 km/hr
� Supposons que péage prenne une minute pour servir une voiture
� Q: Est ce que des voitures peuvent arriver avant que la dernière ne soitdans le péage 1 ? Au bout de combien de temps la première voitureatteint le second péage ?
� R : : Oui ! Après 7 min, la première voiture arrive au second péagealors que 3 voitures sont toujours au premier.
Analogie avec le trafic routier (2)
Traduit des slides de J.F Kurose and K.W. Ross, 70
PéagePéageCaravanede 10 voitures
100 km 100 km
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
� B: Bande passante lien (bps)
� L: taille du paquet (bits)
� a: taux d’arrivée moyen des paquet
traffic intensity = La/B
� La/B ~ 0: Délai moyen d’attente faible
� La/B -> 1: Délai moyen d’attente important
� La/B > 1: plus de débits que ce qui peut
être traité délai moyen infini.
ave
rag
e q
ue
ue
ing
d
ela
y
La/B ~ 0
Queueing delay (revisited)
La/R -> 1
Analogie avec le trafic routier (3)
Traduit des slides de J.F Kurose and K.W. Ross, 71
LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
IV – Niveau 2 Adresse MAC –
Protocole Ethernet
72
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Protocoles de la couche réseau 3
Ethernet / IEEE 802.3
IPARP ICMP
UDPTCP
pingDHCP
Transport
Réseau
Liaison
Application traceroute
Médium de communicationPhysique
73
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Couche liaison niveau 2 � Découpage des données en trames.
� Donne une signification aux bits qui sont transmis sur le réseau
� Elle doit acheminer sans erreur des blocs d'information utilisateur sur la liaison physique : � Contrôle d’intégrité : détection et de correction d’erreurs élémentaires dues au support physique imparfait et signale à la couche réseau les erreurs irrécupérables.
� Reconnaissance des débuts et fin de trames réceptionnées.
� Spécifications des tailles et moyens d’adressage des paquets.
� Elle s’assure que deux ou plusieurs nœuds n’essaient pas de transmettre des données sur le canal (partagé) de transmission en même temps.
� Identification des trames par adresse MAC
� Exemples :� HDLC (High Data Link Protocol), PPP (Point to Point Protocol), Ethernet (IEEE 802.3).
74
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Qu’estQu’estQu’estQu’est cececece qu’unequ’unequ’unequ’une AdresseAdresseAdresseAdresse MAC MAC MAC MAC ????� MAC = Media Access Control
� Chaque équipement ethernet� une adresseMAC unique, qui est “gravé" dans le matériel� BIA (Burn-In Address)
� Une adresse MAC identifie un équipement (un noeud) à l’intérieur d”un réseau local.
� Une adresse MAC est constituée de six octets généralementaffiché en valeur hexadécimale.g., 00-0A-CC-32-FO-FD
� NB: L’’adresse MAC est écrite sur la carte d’interface réseau du PC.
http://www.reseaucerta.org/outils/simulateur/adressemac.swf
75
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
Adresse MAC (Medium Access Control )
• L’adresse de niveau 2 d’un élément de réseau
• Format : 6 octets en hexadécimal séparés par “:” ou “–”
•l’OUI (Organization Unique Id) 3 octets
•l’adresse matérielle spécifique (Product ID) 3 octets.
Trame Ethernet • SA MAC Address L’adresse MAC de la station source
• DA MAC Address L’adresse MAC de la station destinataire
• ET Ether type : type de données encapsulées
• Les données
Mode de transmission sur ethernet•Unicast MAC Address 0A:00:81:2F:42:51
Une adresse MAC désignant une seule station
•Multicast MAC Address 01:xx:xx:xx:xx:xx (premier octet
impair)Une adresse MAC désignant plusieurs stations (un groupe )
•Broadcast MAC Address FF:FF:FF:FF:FF:FF
Adresse MAC de diffusion qui désigne l’ensemble des stations du domaine de collision concerné.
0A:00:81:2F:42:51
donnéesDA SA
MAC@ MAC@
MAC@
OUI PID
Le niveau liaison de données:Le niveau liaison de données:Le niveau liaison de données:Le niveau liaison de données:
Système d’adressageSystème d’adressageSystème d’adressageSystème d’adressage
76
ET
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
ObtentionObtentionObtentionObtention de de de de l’adressel’adressel’adressel’adresse MAC d’un MAC d’un MAC d’un MAC d’un équipementéquipementéquipementéquipement ????
� Windows 9X/Me: winipcfg, arp -a
� Windows NT, 2000, and XP: ipconfig /all
� Linux: ip maddr, ip neigh, arp
� NB :
"00-00-00-00-00-00" n’est pas une adress MAC valide. Votre carte réseau rejettera cette valeur et maintiendral’adresse d’origine.
� Il est possible de modifier l’adresse mac d’une machine. …http://www.klcconsulting.net/smac/ or portable apps kmac
77
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Taille des trames ethernet / IEEE
802.3
� Taille maximale = 1518 octets� Empêche une station de monopoliser le canal pendant trop longtemps
� Valeur arbitraire
� Taille minimale = 64 octets� Détection des collisions
� 64 octets (MAC, CRC inclus) + 8 octets (en-tête trame physique -préambule) = 72 octets au total sur la ligne = plus petite trame correcte
� Si la quantité de données transportées ne permet pas de remplir une trame, il faut ajouter des octets de bourrage (padding)
78
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Transfert des trames ethernet à
l’intérieur
� Se fait au niveau des switchs Ethernet
� Il est parfois nécessaire de séparer les machines d’un même LAN
� Exemple : machines RH séparées
des machines R&D dans une entreprise
� Utilisation de VLANs
� Etanchéité des communications
79
LAN1
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
VLAN (Virtual Local Area Network)� Un VLAN est un ensemble d’unités regroupées quelque soit l’emplacement de leur segment physique
� Le VLAN permet de définir un nouveau réseau au-dessus du réseau physique et à ce titre offre les avantages suivants :� Plus de souplesse pour l'administration et les modifications du réseau (e.g. mobilité) car toute l'architecture peut être modifiée par simple paramètrage des commutateurs
� Gain en sécurité car les informations sont encapsulées dans un niveau supplémentaire et éventuellement analysées
� Réduction de la diffusion du trafic sur le réseau
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Types de VLAN� VLAN statique ou de niveau 1 : les ports du commutateur sont affectés aux différents VLAN� Facilité d’administration� Fonctionnent bien dans les réseaux où les déplacements sont contrôlés et gérés
� VLAN dynamique ou niveau 2 : les ports des commutateurs peuvent automatiquement déterminer leur VLAN d’appartenance. Filtrage basé sur :� Les adresses MAC� L’adressage IP� D’autres paramètres
� Cette méthode est celle qui demande le moins d’administration au niveau du local technique
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
� Fonctionne comme un pont transparent
� Permet de définir des groupes de machines formant des LAN arbitraires, changeables par logiciel au gré de la configuration : les «Virtual LAN » (VLAN)
• Plusieurs switches peuvent supporter un même ensemble de VLAN, on parle de domaine de commutation.
• Ils sont alors reliés entre eux par un Inter Switch Link, aussi appelé Trunk (Tronçon), qui supporte sans les mélanger les trafics des différents VLANs(norme IEEE 802.1QAttention le switch doit donc être configuré en SpanningTree pour éviter les boucles.
VLAN A
VLAN B
VLAN A
VLAN BISL (Trunk)
Switch 1
Switch 2
Inter Switch Link ou mode Inter Switch Link ou mode Inter Switch Link ou mode Inter Switch Link ou mode trunktrunktrunktrunk
spanning_tree1.swf
82
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur
type
2-byte Tag Protocol Identifier(value: 81-00)
Tag Control Information (12 bit VLAN ID field,
3 bit priority field like IP TOS)
Recomputed CRC
Format Format Format Format trametrametrametrame 802.1Q VLAN802.1Q VLAN802.1Q VLAN802.1Q VLAN
802.1 frame
802.1Q frame
dest.address
sourceaddress
data (payload) CRCpreamble
dest.address
sourceaddress
preamble data (payload) CRC
type
Traduit des slides de J.F Kurose and K.W. Ross, 83
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Boucles dans les VLAN : spanning tree
� Cas de boucle dans l’interconnexion des
switchs
� Cause : Le broadcast généré par exemple
par les requêtes ARP
� Comme il n'existe aucun moyen de
supprimer les trames Ethernet, comme sur IP avec le TTL, cela encombre les liens et génère des broadcast storm
� Duplication de trames unicast
� A cause des boucles, un PC peut recevoir plusieurs fois une même trame !
� Remède : Protocole SpanningTree
84
LPSIL ADMIN 2014-- IUT Nice Côte d’Azur LPSIL ADMIN 2014– M.A. Peraldi-Frati - IUT Nice Côte d’Azur
Protocole de spanning tree
� But : Ramener un réseau ayant une topologie physique
qui contient une boucle en une topologie
logique d’arbre.
85
spanning_tree1.swf