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IDRC-CRDIGIS and OS Workshop
15-16 mai 2009
Workshop Objectives/Objectifs principaux
• Démontrer le potentiel et les bénéfices potentiels des Systèmes d’Information Géographique et plus spécifiquement à savoir de quelle façon des ensembles de données géoréférencées peuvent être exploités afin de bonifier des projets de recherche ou certaines applications.
• Learn about GIS and more generally about how geospatial data collection, analysis and representation could be used strategically and appropriately to enhance the research planning, implementation and communication processes;
• Introduire les Logciels libres et explorer les possibilités de renforcement de l’utilisation du Logiciel libre et Open source en SIG par la communauté Africaine
• Introduce the FOSS GIS and explore the possibility of strengthening an African FOSS GIS mapping community.
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SIG
IDRC-CRDI
15-16 mai 2009
Y. BaudouinUQAM
Historique
Cartographie Télédétection
Système de gestionde données
SIG
1960: début de la cartographie assistée par ordinateur
1970: amorce de la télédétection
1980: apparition de la micro-informatique,confection de données numériques
1985: début des SIG
1990: développement d’applications
2000: intégration et développement d’outils spécialisés
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Extrait d’une impression par points de Symap provenant de la superposition de caractères illustrant la topographie (source : Peucker , 1972).
Modèle d’élévation drapé d’une image IRS.
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Un SIRS est un modèle d’organisation de données basé sur des coordonnées cartésiennes X, Y (Z) et de dates
Un SIG est un SIRS mais un SIRS n ’est pas nécessairement un SIG
Ce que sont les SIRS
Exemple: Système de localisation du cimetière Côte-des-Neiges
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Documents à consulter
Lecture :• Vocabulaire de géomatique, MRFQ :
http://www.mrn.gouv.qc.ca/territoire/geomatique/geomatique-vocabulaire.jsp#1
• Obtention du Guide pour le positionnement GPS, RNCan :
http://www.geod.nrcan.gc.ca/edu/geod/gps/gps14_f.php
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•La Géomatique est axée principalement vers l’acquisition et la mise en opération d’un ensemble de données à référence spatiale
• Les SIG se préoccupent davantage de la production et de l’exploitation d’informations géographiques pertinentes à une problématique de gestion du territoire
• Selon la discipline ou le besoin associé, il sera question de Géomatique , de SIG, de SIRS, …
• Peu importe le terme que l’on emploie, le but visé est le même: moderniser notre façon de faire ...
En résumé
La géomatisation
• Demande un haut niveau de compétence des membresde l’équipe
• Requiert le maintien à jour des compétences
• Implique l’élaboration de politiques de mise à jour desdonnées
• Nécessite une politique liée à la confidentialité desdonnées et … paradoxalement un décloisonnementdes données
Exigences Techniques
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• Implique un investissement initial et par la suite récurrent
• Exige l’acquisition des données, celles-ci représentent de 75% à 90% de l’investissement initial
Exigences financières
La géomatisation
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La géomatisation
• Demande un sens d’autonomie de la part desintervenants
• Nécessite la collaboration
• Nécessite une équipe multidisciplinaire
• Exige l’élaboration d’un réseau d’usagers
• Des résultats à court terme sont souvent demandés
Exigences Humaines
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Composantes d’un Système d’Information Géographique (adapté de Young, 1987)
Édition,correction,
structuration desdonnées
Emmagasinage etrecouvre de
données
Système de gestion de base dedonnées
Manipulation etanalyse dedonnées
Extraction del'information
Logiciel de traitement et d'analysede données
Données extraitesdes cartes
numérisées
Données tabulaires
Données de terrain
Données extraitesdes images detélédétection
Donnéesprovenant d'autresbases numériques
de données
ENTRÉE
RAPPORTS
Cartes
ProduitsPhotographiques
Statistiques
Données d'entréeà d'autres SIG
SORTIE
Données d'entréeà des modèles
BESOINS DES UTILISATEURS
LOGICIELSSTATISTIQUES
EXTERNES
AutresSIG
SYSTÈME D'INFORMATION GÉOGRAPHIQUE
Structure générale d’un SIG
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Les données géographiques et leurs dimensions
Source: Dangermond Bul C.F.C. no 96
Belhadj-Aissa M. et al., 2003
SIG et télédétection dans la détection des feux de forêt en Algérie1/4
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Suite feux de forêt 2/4
Belhadj-Aissa M. et al., 2003
Suite feux de forêt 3/4
Belhadj-Aissa M. et al., 2003
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SIG et télédétection dans la détection des feux de forêt en Algérie4/4
Belhadj-Aissa M. et al., 2003
Prétraitement et Traitement
Éléments d’édition: Généralisation,ajout ou élimination, transformation, raccordements, etc.
Cartométrie: Calcul des centroïdes, superficie, inclusion, juxtaposition, superposition, coefficient de formes, etc.
Conversion et ajout: Tracé automatique de courbes, cartographie des proximités, conversion matricielle, correction de déformations, changement de projection et transformation des coordonnées, zone tampon
Traitement: Classification, logique booléenne, opérations mathématiques, choix de couloir, calcul de distance, agrégation, analyse centrographique, auto-corrélation spatiale, traitement statistique (analyse multivariée), optimisation réseau, traitement des images, etc.
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Dans la majorité des cas des prétraitements pour la mise en forme des données sont impératives (édition, correction, importation...). En voici quelques exemples:
Ces étapes de prétraitement sont souvent négligées en termes d’impératifs humains et temporels.
Source: Dangermond Bul C.F.C. no 96)
Les prétraitements
Les traitements: conversion des données
Source: Dangermond Bul C.F.C. no 96)
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Les traitements: les tampons
Source: Dangermond Bul C.F.C. no 96)
Source: Dangermond Bul C.F.C. no 96)
Les traitements: superposition des couches
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Les données :
• Critères d’évaluation : couverture, échelle, thématiques abordées, producteur, accessibilité, erreur (qualité)
• Différentes données : vectorielles, images, physiques (ressources naturelles), socio-économiques
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Normes de l’American Society of Photogrammetry and Remote Sensing en matière d’erreurs acceptables
Normes pour l’OTAN en matière d’erreurs acceptables
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• Les données géographiques sont des observations sur des objetsou des phénomènes ayant lieu ou se manifestant à desemplacements différents sur ou près de la surfaceterrestre, à un temps donné
• Les informations géographiques sont des renseignements:a) sur les propriétés des objets ou des phénomènes
géographiques et leurs variations dans l’espace et dansle temps, ou
b) sur les relations qu’entretiennent ces objets ou ces phénomènes entre eux dans l’espace et sur la façonqu’ils évoluent dans le temps l’un par rapport à l’autre
L’information provient de l’interprétation et de l’analyse de la donnée ou d’un ensemble de données selon un objectif précis
Les données et les informations géographiques
Les données géographiques et leurs sources
Type de données Méthodes et techniquesd’acquisition
Données de localisation (X, Y, Z) etattributs géométriques des objetsspatiaux
Travaux de géodésie et detopométrie, Systèmes dePositionnement (GPS),Photogrammétrie, Télédétection
Données biophysiques Travaux de terrain, mesures enlaboratoire, photo-interprétation,télédétection, inventairesgéophysiques et capteurs, sonars,stations climatologiques etmétéorologiques, stations de mesurede la qualité de l’air et des eaux
Données socio-économiques etdonnées sur la population
Recensements, entrevues, enquêtesorigine-destination, inventairesd’utilisation du sol, cadastre
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Donnéesthematiquesstructurantes
Donnéesde base
Géologie et sols
Végétation
Atmosphère
Autres thèmes
Autres donnéesthématiques
Contôle Géodésique
Grille cartographique
Limites administratives
Limites de recencement
Cadastre
Réseau de transports etadresses civiques
Réseau hydrographique etbassins versants
Autres limites naturelles: typesde littoral, unités biophysiques
Infrastructures
Population
Topographie-bathymétrie
Orthoimages
Inventaire des recensements
en Afrique (GRA88)
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Les données vectorielles
X
Y
données originales d’Aude Nikiema
Le modèle de structuration topologique
Un exemple ...
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Les données géographiques: la dimension spatiale et sa représentation numérique
Mode matriciel (lat, long)Colonne
Ligne
X = f (lat, long)
Y = g (lat, long)
Col. = arrondi [(X-Xo )/DX]
Ligne = arrondi [(Yo - Y )/DY]
Xo, Yo
DX
DYTaille du pixel au sol =
Polygone
Ligne
Point
Données satellitales et aéroportées
C. Codjia
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résolutions
Résolution spatiale
Résolution temporelle
Résolution spectrale
Résolution radiométrique
14/05/2009 45
Quelques caractéristiques des données satellitales
C. Codjia
En mode matriciel, la taille du pixel au sol joue un rôle équivalent àl’échelle
*Pour les images de télédétection la résolution spatialeest l’élément clef
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1:250 000
450.0
720.0
740.0
31G
31I31J
31H
31B
31H31G
31A
31H
21L31I
21E
31A
21E31H
21D
460.0
450.0
460.0
740.0 720.0
1:20 000
~160 km
~110 kmETM-Landsat
RSO-RADARSAT(Standard)
HRV-SPOT
IKONOS
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ORBITESORBITES
Couverture spatiale
C. Codjia
Résolution et l’échelle de l’image
Échelle maximale Résolution image correspondante
1/5000 – 1/10.000 1 mètre (Ikonos)
1/10.000 ‐1/20.000 2m (Spot)
1/25000 et ‐ 5m (Spot)
≈ 1/50000 10m (Spot)
≈1/100000 20m (Spot)
C. Codjia
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Exercice
• Données disponibles (ex. Digital Chart of the World -DCW)
The Digital Chart of the World (DCW)
The Digital Chart of the World (DCW) is a 1:1,000,000 scale geographic database. It contains geographic features, attribute data, descriptive text, and metadata that can beused in conjunction with Arc/Info and ArcViewGIS software. It was originally produced by ESRI for the U.S. Defense Mapping Agencyand distributed on CD.
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Data FeaturesConsult the DCW Documentation for details on
the layers listed below:
• Layer documentation introduction • Political and oceans layer • Populated places • Railroads• Roads• Land cover• Vegetation• Physiography• Utilities • Transportation sturctures• Drainage • Supplemental drainage • Hypsography• Supplemental hypsography• Ocean features• Aeronauticl features• Cultural landmarks• Data Quality
Données images
http://glovis.usgs.govhttp://glcfapp.umiacs.umd.edu:8080/esdi/index.jspPour les images ASTERhttp://edcimswww.cr.usgs.gov/pub/imswelcome
Données vectorielles
http://www.maproom.psu.edu/dcw/http://www.maproom.psu.edu/dcw/dcw_about.shtml
Ailleurs et partout sur notre planète Terre
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Cartographie Internationale
United Nations E/CONF.93/L.13
Economic and Social Council
Submitted by Canada
Seventh United Nations Regional Cartographic Conference for the AmericasNew York, 22-26 January 2001
Cartographic Development Index (CDI): International Cartographic Evaluation
Prepared by Professor Yves Baudouin, Pierre Inkel and Martin Lapointe.Geography Department, University of Quebec in Montreal, Canada.
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L’indice de développement cartographique dresse le portrait cartographique d’un territoire donné à l’aide d’une valeur numérique oscillant de 0 (nul) à 100 (excellent).
Son calcul repose sur l’étude de produits référés spatialement évalués à partir de critères.
Qu’est-ce que l’IDC ?
1. Studied area (126 countries)
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Parameter # of classes Limit of classes
Surface 5 [Less than 100% [ [100% to 150% [ [150% to 200%[ [200% to 300%[ and [300% and higher]
Periods 6 Classification resulting from graphic triangle
Scales 6 Classification resulting from graphic triangle
Themes 4 Number of themes : [1-5[ [5-10[ [10-15[ and [15 and higher]
Accessibility 5 Level of restriction: Very strong, strong, medium, weak, none
Limit of Parameter Classes
Valeur de l’IDC0,1 à 19,99%20 à 39,99%40 à 59,99%60 à 79,99%80 à 100%pays non recensés
5 0000 2 500
Kilomètres
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Google Earth
Intégration de données sur Google Earth
Intégration de données sous Google Earth avec des logiciels commerciaux : MapInfo, ArcGis et l’utilitaire SHP2KML avec des données du Burkina Faso
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Intégration de données sur Google Earth
Diverses possibilités s’offrent, mais essentiellement soit que l’on utilise:
1) Des utilitaires disponibles sur le web,
2) ou encore les outils de notre logiciel de cartographie
Les formats utilisés:KML et KMZ
What is the difference between KMZ and KML files?Thanks
Reged: 07/30/05 Posts: 596 Loc: Wales, Europe Re: Difference between KMZ and KML files [Re: vladuna]
#388199 - 04/16/06 03:22 AM There's almost certainly a better answer around the BBS somewhere, but basically a KMZ (Z for ZIP) is a KML compressedinside a ZIP file (but with the extension changed to kmz). Howeverbecause a KMZ is a ZIP file it means that it can store auxiliary files in the same file. For example images used in Image Overlays. This means that a KMZ theoretically can be transferred to anothercomputer and still work... Where as transferring a KML would meanthat it contains the data, but not the images etc... so unless theyreferenced images online they wouldn't work
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Utilitaire .SHP to .KML
Shp2kml is a stand alone tool that transforms GIS layers to Google Earth. It uses as input the most common format file for GIS (ESRI shapefile) and generates a KML File.
Google Earth requires coordinates to be in Lat/Lon and referenced to the WGS84 datum. Shp2kml is able to transform the coordinate system. The input file can be Lat/Lon (Geographic) or UTM (Projected) coordinate system. Alsoshp2kml will change datums if required. It contains a list of around 200 datums.
Some of the supported features are:
Lat/Long or UTM (meters)
Any Datum
Point, Lines, Polygons
Symbol properties: by Single Symbol, Unique value, Graduate Value
Il existe aussi un outil pour convertir du KML to SHP: Kml2shp
Exemple d’un fichier KML
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KML (Keyhole Markup Language)KML (Keyhole Markup Language) est un format de fichier
et de grammaire XML pour la modélisation et le stockage de caractéristiques géographiques comme les points, les lignes, les images, les polygones et les modèles pour l'affichage dans Google Earth, dans Google Maps et dans d'autres applications. Vous pouvez utiliser le format KML pour partager des lieux et des informations avec d'autres utilisateurs de ces applications. Et sur le site Google Earth Community, vous pouvez trouver des fichiers KML décrivant des lieux et éléments intéressants.
XML (Extensible Markup Language (en)1, « langage de balisage extensible ») est un langage informatique de balisage générique. Le World Wide Web Consortium (W3C), promoteur de standards favorisant l'échange d'informations sur Internet, recommande la syntaxe XML pour exprimer des langages de balisages spécifiques. De nombreux langages respectent la syntaxe XML : XHTML, SVG, XSLT, etc.
You can use KML to:
• Specify icons and labels to identify locations on the planet surface
• Create different camera positions to define unique viewsfor each of your features
• Use image overlays attached to the ground or screen• Define styles to specify feature appearance• Write HTML descriptions of features, including hyperlinks
and embedded images • Use folders for hierarchical grouping of features• Dynamically fetch and update KML files from remote or
local network locations • Fetch KML data based on changes in the 3D viewer• Display COLLADA textured 3D objects
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KML Reference
• KML Reference• This section contains an alphabetical reference for all KML elements
defined in KML Version 2.2. The class tree for KML elements isshown below. In this diagram, elements to the right on a particularbranch in the tree are extensions of the elements to their left. For example, Placemark is a special kind of Feature. It contains all of the elements that belong to Feature, and it adds some elementsthat are specific to the Placemark element.
• KML is an open standard officially named the OpenGIS® KML Encoding Standard (OGC KML). It is maintained by the Open Geospatial Consortium, Inc. (OGC). The complete specification for OGC KML can be found athttp://www.opengeospatial.org/standards/kml/.
• The complete XML schema for KML is located athttp://schemas.opengis.net/kml/.
http://code.google.com/apis/kml/documentation/kmlreference.html
Structure de KML
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Les données géométriques sont transposées (réseau routier)
Mais également les données descriptives
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Données géométriques et données descriptives su MapInfo
Conversion des données du rôle de la zone inondable
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Transfert sur Google Earth
Sous forme d’image ou sous forme d’objets distincts
Image (on ne sélectionne rien)
Objets (portion seulement car cette opération est assez longue)ou
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À vous de tester maintenant!
Visualisation des données
– Les nouvelles expressions cartographiques– La cartographie dynamique (Free Hand)– Les atlas électroniques– Le Virtual Reality Modeling Markup Language
(abrégé en VRML)
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Animation temporelle
http://www.netandsea.com/route-equateur/svg.php
Barres de temps
Peterson M.P., 1995, p. 194.
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Images de transition
Peterson M.P., 1995, p. 194.
Animation non temporelle
Peterson M.P., 1995, p. 194.
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VRML• Le Virtual Reality Modeling Language (abrégé en VRML) ou Virtual Reality Markup Language
est un langage de description d'univers virtuels en 3 dimensions. Ce langage interprété est une norme internationale ISO et les fichiers VRML ont habituellement pour extension .wrl.
• En fait, c'est à proprement parler un langage de présentation et non de programmation, puisque comme pour le langage HTML par exemple, un fichier VRML ne contient généralement pas une suite d'instructions mais plutôt les informations permettant au visionneur d'afficher ensuite les éléments (formes, senseurs, lumières, etc).
• Présenté lors de la World Wide Web Conference de 1994, VRML n'est pas l'œuvre d'un unique programmeur, mais plutôt le résultat de la collaboration de plusieurs professionnels de la 3D, dont entre autres Mark Pesce, Tony Parisi, Gavin Bell (Silicon Graphics) et Paul Strauss (SiliconGraphics).
• Le but premier de ce langage est de permettre la représentation d'univers interactifs 3D virtuels. Les fichiers .wrl sont des fichiers texte décrivant les scènes virtuelles à l'aide du langage VRML. Les fichiers .wrl, qui peuvent être stockés localement sur un ordinateur ou téléchargés depuis un serveur web, sont visualisés à l'aide d'un visionneur, qui est soit un plugin ajouté au navigateur web ou encore un logiciel autonome indépendant du navigateur web, qui est installé sur l'ordinateur de l'utilisateur.
• Les programmes VRML peuvent décrire des formes simples (points, lignes, polygones) ou complexes (sphères, cubes, cônes, cylindres...), du texte, des images, des animations, des éclairages, des sons, des hyperliens, ainsi que leur agencement dans l'espace, leur texture, leur couleur, leur matériau...
Embellissement cartographique
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Annexes
• Visio (confection d’organigramme)• Étapes administratives de la réalisation
d’un SIG
Visio
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Liste de symboles utilisés lors de la confection d’organigrammes (source : adaptation de la liste issue de Bérubé 1980).
LECTURE OUÉCRITURE DE DONNÉES
EXTRANT
OPÉRATION SUR UN FICHIER
ENTRÉEMANUELLEINTRANT
ENTRÉE-SORTIE
ARBORESCENCE LORS D'UNCHOIX MULTIPLE (SECONJUGE AVEC LESYMBOLE DE DÉCISION)
CROISEMENT
JONCTION
DIRECTION EN COURS
ÉLÉMENTS LINÉAIRES
COMMENTAIRES
TRAITEMENT(ON YPRÉCISE LESOPÉRATIONS,ALGORITHMES)
DÉCISION (LA SORTIE DUBAS INDIQUE POSITIF ETPEUT ÊTRE MULTIPLE ETCELLES DE CÔTÉSNÉGATIVES)
ARRÊT-DÉPART
RENVOI À UNE AUTRESECTION (CECI EST TRÈSUTILE AFIN D'ALLÉGERL'ORGANIGRAMME)
MODIFICATION DUPROGRAMME (BOUCLE,INITIALISATION, ETC.)
TRAITEMENT PRÉDÉFINI(FONCTIONS,PROCÉDURESEXISTANTES, ETC.)
OPÉRATION AUXILIAIREINDÉPENDANTE DUPROGRAMME
OPÉRATION MANUELLE(EX.: ENREGISTREMENTGPS)
SYMBOLES DE BASE
TRI FUSIONINTERCLASSEMENT EXTRACTION
MANIPULATIONS
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