C'EST POUR ÇA QUE JE. SUPPOSE.[ WS WUME RU5E.!

INUTILE DE M0U5RESISTER*VOUS ETEiPRIS !!! ISon va t'obëir.vieux singe,

PUISQU'ON NE PEUT PAS FAIRETT yt AUTREMENTHAUT LES MAINS 1

MAIS TOM FRAPPE P'UN COUP PE POINfo LA FACE DEJOHNNy.qUI S'ÉCROULE A TERRE

|BIN6? BRAVO,|PAN! CATE FERA ,k w77—s~\\ 'JLs~

Mnc. Pnp-iwH POURVU ÇU'lLS NE NOUSLAC-HENTTEURS ONT nB PAS AVANT LA FINI b£ C€TT€,AIR BIEN£XIT£/""I^ÔNE DANGEREUSE,WAJJTEE' 1 — J PA^ LES LIONS PEUT-ÊTREmwm ' IflilMli LETETANOS CtSS-ERA-T- I L

FAI RE DES R ES*;1V • ^ VA&ES PARMI EUX/} 1 JA

LES BLANCS NOUS CONDUISENTÀ la mort / $eiz-e d'entrep" •NOUS SONT b£JÀ TOMBES/.. | T O

SI LES BLANCS MOU-WtdKRAIENT, NOUS SERIONS

MORT AUXblancs J

ljf£ ÙOCTEUR MfRVItLEA VÉCU Û/X AN¬NEES A V£C 3A FEMMECHEZ LES CANmWLESû£L 'APR/QUESAUVAGE.OÙ fi, A ÉTUÙIE L 'ÉVO-l UT/ON ù£LA MA LAÙ/EÙU SOMME/L, TRANSMI¬SE PARIA MOUCHETSE-TSE.C>URANT C£ STAGE,

IL LU/EST NE UNF/LS,AA/ARÉ.LeSA VANT h£C/ù£

ù£ REGAGNE/? LA fRA/ICB

LES MfcâRES DONNENT L'ASSAUT À LA TENTE DES BLANCS QUI SEDÉFENDENT ÉrNERGIQUEMENT. estes

MAIS DEVANT L'ARRIVÉE DES INDIGÈNES EN ARMES ILS SONT OBUâésDE FUIK , \\ k. , /^tP~

L'enfant s'échappe luiAUSSI, MAIS IL ESTSEUIDÊSORMAtS DAMS LABROUSSE

fi "INNOCENT PENETRE ÙANS L'ANTRE]Û 'UNE L/OA/N£ £T

- JOUE A V£C LES -HBMMML/0//CEAU.X,

M cm/mAUt JMUIOMS

RESUMEDES CHAPITRESPRECEDENTS

Jacques Davilon, accom¬pagné du reporter PaulRenard, va recueillir ungros héritage h Buenos-Ayres. Les deux amis re¬çoivent au Mexique l'hos¬pitalité d'un riche proprié¬taire qui se prépare àépouser une jeune filleenlevée à sa famille. I^esFrançais la délivrent ets'enfuient avec elle.

Une poursuitefolle 5'enga-ge dans lesrégions déser¬tiques, sous LESRAYONS BRULROT5du SOLEIL im¬PLACABLE...

ft-fl seule façon de.vous debarrr5ser</de, brr0an.lh . c'est]l2lepûu=>er v! hcqueî

me dlhtemekt/y

(vous m avez joue la un vilainl tour.... mais je suis un 6entle-f mrn et voici mon cadeau denoces: une somme 5uff1srnte

l pour gagner durango.'CLpres le re¬pas de nocesoffert„par lesbons peres, lejeune couplefait ses adieuxa brflsfmia etpart pour pu-raneo....phul re-nard les accom-6ne.

□

ma fille m r tout^mercl.sénor .'mhis^raconte , messieurs»!il frut repartt^considerez cette /tir...dans unr7maison comme laj mois je se'-c» *votre/ ^ ' "

. *Les jeunesfrançais,quittent le payset reprennentleur voyage ver5l'argentine.deuxjours apres, ilsarrivent a bo¬gota, capitale qela colombie; lfl,ils trouvent'unindigene qui s'en¬gage à les gui¬der a traversles forets duperou et de laBolivie...

,..r%

le lendemain, les^ #,/voyageurs 5'e1m6a-\#gent dans Lfl-jffl 'Wu

_ wl etjacques con¬tent leurs .aventures adon diégo.mis au courantde leurs in¬fortunes , lemexicain s'em¬presse deleur procurerchevaux etvetementspour continu¬er leur voyflC?E...

(mon nom esî^arikflthje conna15 a\fond toute la7règi0n supé-

vous p1lle-l traverser"'les etats de dlamanti-no et de san- rafhé*lo, qui sont enguerre.voici une \~rlettre de recom-l^vvmbndation pour moic0u51n le dictateur^,de diamantynol

je mous attendra1s , j rcque6car je me

'conside¬re commevotre

"je trouva, paul,tue mercebés,est la plu5

-e femme

V* ao ,4

le soir meme... nous atteindrons)le grand fleuve -c.apres le second >,

"7coucher

sauva6e gor-' r,

)us ari khh.pas pour lecourions -•moment/ mais

j-e dan6er d etre^w^ur lr rive oppo-je vivent des

CRUELtLe jour sui¬vant, vers mi¬di, les troiscompagnonsparviennent aubord de l' ama¬zone, le fleu-majestueux...

nous arrivons a la partie la\Jplus delicate de cette,etape pour .ga6nerkusko, au perou, dtnous prendrons.le train pour)buenos- ayres.,construisons unraderu pour passele fleuve et abrndonnons nos che¬vaux qui nous se¬raient d'aucuneutilite 'sous

* « JEAN LAFFITTE, LE CORSAIRE GENTILHOMME'

LA SURPRISE A PLEINEMENT RÉUSSI MAISA MOI MESBRAVES?,....EN AVANT!!

A MORTBERTRAND LE PREUX SAUVE UNPAYSAN, ET SE CACHE DANS LESBOIS AVEC SES AMIS POUR ECHAP¬PER AUX SOLDATS QUE LE SIREDE FOyNE A ENVOYÉ POUR LESPRENDRE. CE SEIGNEUR A FAIT,ENFERMER SA E/LLE ADELINE QUlLA SURPRISE EN COMPAGNIE DEL'ÉCUYEROUVIER. CELUI Cl ALERTEBERTRAND QUI.A LA TÊTE DESPAYSANS, ATTAQUE LE CHATEAUET PÉNÈTRE Â L'INTÉRIEUR.

EN AVANT! TRAHISON

rrs beetrandW? LAPAIR

A LA SUITE DES DEUX SOIET SS? HOMMES SE RUEf

.... SUBITEMENTjACCOURUS, LES SOLEATSDEGAKDESE GROUPENT A LA PORTE DU DONUON EN INTERD1SANT L'ACCÈS AUX ENVAHISSEURS ,/Vtofî

BERTRAND ACCOMPLIT DES PRODIGES-

(DU OOUt?AÔE^)l LES GARS f yQUI ATTAQUENT AVEC FUREUR^Tl , V (susmAS WAu'// TXT/RAIN?) \^yA A MORT

EN £VANT LES AMis!....A L'ASSAUT f fi .FARMt SES HOMMES QUI FONT PREUVE

D'UN COURAGE MAGNIFIQUE. . ^LES PAYSANS ONT VAINCU LARESISTANCE DES SOLDAIS ET—LA LOURDE PORTE DU DONJONEST ENFONCÉE. /V

AMORT LETYRAN J!,

A NOUSEN AVANTLES AMIS !

JACQUES COURT VERS LES PRISONS.

FOULE SE RUEa L'INTERIEUR DU CHATEAU

VICTOIRE

A MORT LETYRAN victoire!

Découpez ces- deuxtimbres et gardez-lessoigneusement pourles collectionnerdans l'album qui pa¬raîtra incessamment.

DANS LES COULOIRS IL SE HEURTEAU GEOUEE

■JsW^àb ALLEZ-VOUS m6n3B|#ii'J GAILLARD ?... Ctest *— 5■^DEFENDU DE.... J

VOILA QUI EST FAÏTTI— ET MAINTENANT, {

. LES CLEFS ! ~JÂTU LE VERRAS BIENMON VIEUX!

£SUIVRE 36

-HICKOK A LA RESCOUSSEVw.MVi'.T TOMBE.ORAÛEUbE . L'OURAGAN QUEJEANNE PRÉVOYAIT S'EST EN EFFET ABATTUSUR LA RE6ION AVEC. UNEVIOLENCE EFFRAYANTE

=f 5-mlent- trompant la su rvell-lanuit s'annoncetres sombre...peut-ê-tre auronsnous un ôraûëQui mous sera .tres favorable.'

poureviterylesindiens, joui/ mais; *■pour franchirle pleuve ^EN^inI ON . \verra bien/ l

PARTEZ-ÔJUU.?

bOU&LA FURIE DE L'OURftSAN LEFLEUVE EST DEVENU UN ENFER:ET, A LA LUEUR DES ÉCLAIRS,ON VIT,AU LOIN ...

HAlbL'OURAûAN AUGMENTE EN VIO¬LENCE. LE FLEUVE DEVIENT DE ,moment en moment plusimpe.-tueux /attention/ ^essayez. d'approcher,)-—=-!7? —,ue rivage.' vite'... rr^fy / /&si non,nous v -jj \ /u \llsommb3 v t" i'"g* rm ;x~perdus» y~\}c^efc^ -a la sont sur

mous,préparez.VOS T~ARMES)

pMARr/N galeetbouffarde,PRISONNIERSPANS LA CfTERNE DUCHA TEAU PEROCHEVER.T, S'ENé-CHAPPENT... MART/N GALE YPRɬCIPITE LE FAUX COMTEPEROCHE.VE/ZTAPRÈS- UNE BATAILLE TER-KiBLE....

&i NOUS AVONS eu lABONré De vous Re-riiasR. '

i pe la c.i terne , c'e-sr pouk.QUE VOUS NOUS OONNieS(JUgLOUES DéTAULS SUR1œrre AFFAiRe AuleeVOUS PAR1_ER OUI S J'Ai UN M OV6MOU N ON \ g*C6U£NT pour:

"

LU i DéLieR.la langue'

FIART/N GALE A ttPÊXXé LE F^AUX COFjrerG>U/ £>A MS 4/SAU A PERDU JSOIV MAQUILLAGE ■...

i ^ ^ 1 ■' 1 h 111 1 i

^ je =ois JA/nes. ce. valetpeçhapibrë.2"_^OOHEveET.'- LA' OHAUVe -50UBS"M'AVAlT p&omis LA MOI^ïnni55soesijE c'AiDAIS A DéROBEC AU COMTE CSS PLANS

prG^CHé DAMS UN C£>PFR5 DE SON BURtAU >^ ,71 / - a es. ArP DANS L-E- RâkCJ- *\jTRAVAIL- .« - J A( PF2.IS •s>/^ V/^Llp A VUAHV£

■ssssi'-îsïïPECTETUK. EST VENU BR.CL1I l-i-ER.NOS PJ-AN- ^

y *CHAUV£ -SOURiS "A PU SAUTER- pA F5N6T1^* TiNué TENfR i-E R-ôue— i'au MomeNT oû vous vous &rep

"CU œ l-A SUPER-CHERie ... J ~ 1Avec. DOCUMENTS QUC" ; feE(Y) l5 A LA^CWAUVE-50U-

/Ai DES Sli-ÇNCfBUX^jAMES SOUPERS f 5

aouTés f

Le TRéSORyJ'Ai D^COUVERT LE.

TRESOR-

fi

i yEST r»lAR.TlS< P> G,ALE .'....JE VIENS DE

['assomdier.o'un coup deJCROSSE De PISTOLET ET "DE LUI PASSER. LESMENOTTES I ]. C6TTEFOiS-ÇJ IL NE S'écHAP-"PERA PAS .'..JE VAISrallumer L.A

lapipe X

Tlflht flC

Ss^si.^~L flCHAUVE-SÔtlgîs^AXAÎy^Sp^^}* REÇ-U LE COUP DONT VOUS M A -VE2 OR.ATI Fié ,niON CHER, BOUF¬FARDE-— iL NE COURBAIT PAScomme il DoiT coueir ... EnicemoMENT EN se r«oQUANT DE. NOUS // 1

T.)Q-

NOS MOTS CROISÉSHORIZONTALEMENT ::

1. Pays en voie de relèvement. —2. Fixées solidement par des cor¬dons; serrées fortement. — 3. Lebon foyer familial et réchauffant, siaccueillant en hiver au voyageur deretour de ses expéditions lointaines.— 4. Dans la miche dorée, plus oumoins blanche - Très personnel, maisne veut pas être égoïste cependant.— 5. « A moi », non « à toi ». Hautou bas, il doit être iuste. — 6. No¬made, sans domicile fixe. — 7.Temps pendant lequel un corpsconstitué reste assemblé pour s'oc¬cuper de ses travaux.

VERTICALEMENT :1. Petites banderoles pour signaux

•divers. — 2. Piège à rongeurs. — 3.De goût amer et désagréable - Coupsde baguettes sur le tambour. — 4.Au monde, au jour. - Pour la pré¬paration des cuirs et des peaux. —5. Très démonstratif - Canne flexi¬ble et souple — Plante croissantprès de l'eau. —• 6. Petite planchetaillée en ardoise, et servant au mê¬me usage que celle-ci.

ï'oar tout chanijenient d adresse, envoyer 2 francs en timbres-poste etla dernière bonde d'abonnement.

SOLUTION DES MOTS-CROISÉSDU NUMÉRO PRÉCÉDENT

h 5UWRE.36.

i/nisTui k i : \ m :< uotkm l;

Vous connaissez \v terrible Attila,le « Fléau de Di«u . 11 disait :

NOTRE CONCOURS A PRIMES

CONNAISSEZ VOUSLA FRANCE

•PROBLEME 33.

Oui, si vous pouvez, à liaide desrenseignements que nous vous don¬nons, répondre aux questions ci-ides-sous.

Nous vous présentons un -dépar¬tement formé d'une partie du Lan¬guedoc oriental. Il doit son nom àla rivière qui l'arrose.Une ville est indiquée. Trois sont

remplacées par un point chiffré.Trouvez le nom de ces villes et lenom du département.La ville n° 1 est célèbre pour ses

verreries, ses forges, son école demineurs. On trouve, aux environs,du fer et de la houille.Les Viganais habitent la ville n° 2.

Soie grège, bonneterie, vins, huile,bassin houiller.La ville n° 3 est renommée pour

son blé, son vin, son huile d'olives.Ses habitants sont les Uzétians.

Il sera tiré au sort parmi les lec¬teurs qui auront envoyé la solutionexacte du problème 33, un beau vo¬lume illustré. Les réponses, rédigéessur carte postale ordinaire, devrontêtre adressées à « Les Grandes Aven¬tures-Concours », 6, rue Gager-Gabil-lot, Paris-15e, et devront nous parve¬nir avant le 7 juin. La solution duproblème et les noms des dix -lauréatsparaîtront dans le journal n° 41.

Solution «du Problème 28.Titre de la fable : « Le lièvre et

la tortue. »Animal absent : « La tortue. »Noms des lauréats :Roger Garzandat, Noisy-le-Sec ;

Pierre Fouet, Niort; Legrand Jean,Ivry; Champeaux Jacques, Véron;Christian Coblard, Zonzac ; ChristianCharpentier, Le Mans; Lucien Mon-groble, Paris; Robert Ruchaud, An¬gers; Claude Maiguent, Puteaux;Teyssandier Dolly, Rennes.Primes de consolation :Charly Chaumeron, Amilly; Michel

Hérigault, Carquefou; Serge Gardelle,Tours; Kéraudren Robert, Paris;René Lenoble, Nancy; Claude Alexan¬dre, Niort; Charles Maccaferri, Ar-eueil; Marcel Rourgeois, Cergy.

PETIT COURRIER

Voici une petite poésie d'un denos lecteurs que nous publions trèsvolontier :

TOM MIXHo l Tom, que tu es courageux,Parmi la plaine et la vallée,Tu vas aider les affligés,Pour y combattre les présomptueux.Tu mets les ennemis en déroute,Monté sur ton cheval Tony,Ayant pour compagnon de routeTon brave et fidèle Sandy.Tu es un as, tu n'as pas peur.

Même, quand tu es prisonnier,Tu as toujours une belle idée

Pour févaderSans larmes ni pleurs.

André LEMORVAN.11 ans.

Gabrielle, Jeanine, Lucette, Su-zannes La Courneuve. — Ayez en¬core un peu de patience : l'albumdes timbres-figurines va paraître in¬cessamment.Jean Le Corre Equeurdreville. —

Tu as peut-être raison : nous cher¬cherons à publier des mots-croisésmoins difficiles. D'ailleurs il y asur le journal le concours hebdoma¬daire qui est assez facile.Peyr.ussan Jacques, Paris. — Tu

dois déjà connaître le résultat duconcours de Pâques qui est paru surle ji° 34 du journal. Pour l'album,il n'y a qu'à attendre : tu en aura»bientôt des nouvelles.

N'OUBLIEZ PAS D'ACHETERChez VOTRE MARCHAND de JOURNAUX

ATTENTION ! Tous nos lecteurs peuvent de¬mander les numéros arriérés *Je " Les GrandesAventures" à l'Administration : 58, rue Pierre-Charron, Paris VIIIe. 51s seront envoyés sans r

augmentation de prix.

« L'herbe ne .croitplus, partout oùmon cheval estpassé. »Mais saviez-vous que ce ;roi des

Huns était aussi petit que laid ?BN VrENTE CHEZ TOUS -LES

1 fUVRORAiNDS "DE JOURNAUX 3

JIL FAUT QUE NOUS REVENIONS A OLE DOU NOUSBVM& gMEME CE5E5CLHVE5.lL.Yfl DES DMHHHI5.

mous POUVOMS PARTIR DES DE-jMAIN .LES DIAMANTS ONT OHE

Aussitôt le capitaine fit part à-1un-pou des révélations de tamea

TE PLAIS-TUici ? rVâ

conduisez-moi la-bas et vouspourrez vous en assurer ...mes compatriotes vous donne¬ront une. belle récompense .

v -rr

ilfautquejelesrejoigne immedia-:—\ tement. |

MOtt CHER ,T,U ES DEJA ARRIVEQUE TEMPS; JE SAIS POURQUOI,"àfcnPRESSE OEREJOIMDREj tiIj^lTAPETITE O'LAff) PClA-

5>ANS SOUPCOM-tlER CE QUI SE TRA¬MAIT,LE CAPITAlilEÉTAIT ASSIS CHEZUM-POU ET DISCU¬TAIT AVEC LU IDESOtt DÉPART DU LEN¬DEMAIN POUR L'ILE.ET,AU MOMENT OÙLE CAPITAINE S'AP¬PRETAIT À PARTIR,P'LAN APPARUT...

ASME, UUI CONTINUE PI CHERCHER, MOYENPOUR SAUVER SES AMIS, SONGE R EXECUTERUN RVTE AFIN D'APAISER LES DIEUX...._NOUS "DEVCIlio ItUlloWjL JUUu AFFIRME QUE NOUSSOUMETTRE J^DEVONS ™RE LE SACRIFICE

PfiWlLpL! FEU EN PLEIN HlRL.

INUTILE.'ÇR NOUS FERBIT ^PERDRE UN" TEMPS PRE¬CIEUX.' ALLONS-Y NOUS ,khh» ncriu' 2

non: ce serflrr 1une folie.'...attendez.' n'r-vancel phs.'des hommesslrncs nousguettent peut-etre dehors.1

I ILE vm~^1> 5b

.MYSTERE

Annie, Raoul et leurs compagnonsont fait naufrage sur une île sau¬vage. Annie, capturée par le» habi¬tants, devient la Grande Prêtressede la tribu. Raoul et les autres larecherchent, mais trois hommes dis¬paraissent mystérieusement.

i....et débouche par un couloir souterrain , sur le flflfthniMMi II 111 II i H

m\ci[ préparez. le WÊmL c'est une folie|^^^,feu.oevfll^ me une folie....3k i cueillir :..

.opyrlght ÀGÔ;le cortege traverse le village endormiIRIS LE CHEF OE LH TRIBU S'INTERPOSE. j

■nWpSsil.' ELLE EST H MOlTImggyW 'fWm. SEUL J'RI LE DROITm&hbjP JÊk OE LR JUGER ... RENTRONS

^^^SFtNS PLUS . TRRDER.

..ÛUEQUES 1NSTANTS PLU5-TARD, UN FEUIE SRRMENTS FLAMBE--ANNIE S'APPRETEi PRONONCER SES EXCR TfTTlONS

TU NOUS A TRA^TU ES FOU. JE NE>. Hlft I . R MÛKT/> POUVAIS PAS SAVOIR

eteignez./vite lfl-ba5.' il v a un feu.des hommes cer¬tainement.... jA TOUS LESjai

01Elty ....qui NQUPROTEGENT, AUXOIEUX OE L'AIRDE LR TERRE1

et DE Lfl mer..

TANDIS ÛUE LES DIGNITAIRES ÉTEIGNENTLE FEU ET FONT DISPARAITRE 5ES TRA-CES. LE 5QRCl£R SE JETTE SUR ANNIE. If-SUIVRE-SOUDAIN

LES ÉTRANGES AVENTURES DE ROBINSON CRUSOÉLISEZ DANS LE PROCHAIN NUMÉRO : LE NOUVEL EPISODE DE

MA BILLE ,H0US AVONS APPRIS QUE L'îtlHABITÉE PAR SEW ENFERME DES DIAMANTS.EST-CE VRAI?

DEPUISU IfES

QUEL-PAS

Im PetitMomu,RESUME DES

CHAPITRES PRECEDENTS

Alr un petit orphelin, a été re¬cueilli par un bateau pirate qui,dans une île, «^empare de beau¬

coup d'esclaves, puis rentre àTaicchitt où les pirates jaunes,

commandés par Iân-Pou déci¬dent de tuer le capitaine Parx.

rends-nous la sauva&e ,sin0n| ïtu vas mourir.

VOUS ME L'AUREZ QU'EN lPASSANT SUR MON CADAVRE

&endamt cetemps,la jalouse o'lan avait persuade lespirates de son père de ramener tamea dams son île oùles sauvages la rachèteront contre des diamants.sem, ipirate cupide,fait irruption dams la villa du capitaine .

OjE capitale parks pressentait1 voulait se venger...

ou est la belle indigene?^

COMMENT,PAR CET ORAGE ?

R.SU/lWE.bbCopyright AG

c'est sen qui l'a emmenee surl'ordre d'o'lan .elle leur a promis

[beaucoup de[ diamants

^choung et al succomberent rapidement.

QUOI ? ILS VEULENT L'as¬SASSINER? HEUREUSEMENTQUE J'AI SURPRIS LEURS DES¬SEINS,MON PLAN EST TOUT

tamea deviendra l esclave ducourageux guerrier, aussi jete confierai un secret ".notreîle enferme des diamants-'

FORTUITEMENT,O'LANAVAIT DÉCOUVERT LECOMPLOT...

vendredia lamerîil est perdu'

mais \> bon vvoyage !ç-at'apprendraa temêlerdes affaires.des autres

regardezl' autre

macaque;„ A LAMer lui^ aussi/, ce n'est )

pas fini,lesamis-

,

nous -