green attitude

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ADOPTONS LES GESTES ÉCO-CITOYENS SUR NOS CAMPUS

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Adoptons les gestes éco-citoyens sur les campus INSEEC

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Page 1: Green Attitude

AdoptoNS leS geSteS éco-citoyeNS Sur NoS cAmpuS

Page 2: Green Attitude

éditoAdoptons la green attitude sur nos campusÀ travers les activités d’ensei-gnement, de recherche et de bureau, que vous soyez étudiants, enseignant, intervenants, profes-seurs-chercheurs, ou que vous fassiez partie du personnel ad-ministratif et technique, chacun d’entre vous agit sur l’environne-ment au quotidien. Vous pouvez pourtant réduire facilement cet impact en optant pour les bons gestes et en manifestant votre vo-lonté d’agir auprès des décideurs de votre campus.Quant à vous, étudiants, au sein des écoles où vous préparez votre avenir, vous exercez par votre activité une pression sur notre planète.Les cours qui vous sont dispen-sés nécessitent l’utilisation de vidéo-projecteurs, l’éclairage et le chauffage des salles, mais une fois les cours terminés est-il utile

de tout laisser allumé ? Les sup-ports de cours sont une source importante de gâchis de papier, vous pouvez demander à vos professeurs de vous transmettre les documents sous format élec-tronique et ne pas les imprimer systématiquement.Tous les jours nous avons l’oppor-tunité de réduire notre impact sur notre environnement en faisant preuve de bon sens.L’enseignement supérieur comp-te plus de 2, 5 millions de per-sonnes. Aussi, vous représentez une force importante pour la sau-vegarde de notre planète.Le Groupe INSEEC et ses écoles se sont engagés dans une politique volontaire en faveur de la RSE (Responsabilité Sociétale d’Entre-prise). Devenez acteur de ce défi !groupeiNSeec.com > rSe

Page 3: Green Attitude

éditoAdoptons la green attitude sur nos campusÀ travers les activités d’ensei-gnement, de recherche et de bureau, que vous soyez étudiants, enseignant, intervenants, profes-seurs-chercheurs, ou que vous fassiez partie du personnel ad-ministratif et technique, chacun d’entre vous agit sur l’environne-ment au quotidien. Vous pouvez pourtant réduire facilement cet impact en optant pour les bons gestes et en manifestant votre vo-lonté d’agir auprès des décideurs de votre campus.Quant à vous, étudiants, au sein des écoles où vous préparez votre avenir, vous exercez par votre activité une pression sur notre planète.Les cours qui vous sont dispen-sés nécessitent l’utilisation de vidéo-projecteurs, l’éclairage et le chauffage des salles, mais une fois les cours terminés est-il utile

de tout laisser allumé ? Les sup-ports de cours sont une source importante de gâchis de papier, vous pouvez demander à vos professeurs de vous transmettre les documents sous format élec-tronique et ne pas les imprimer systématiquement.Tous les jours nous avons l’oppor-tunité de réduire notre impact sur notre environnement en faisant preuve de bon sens.L’enseignement supérieur comp-te plus de 2, 5 millions de per-sonnes. Aussi, vous représentez une force importante pour la sau-vegarde de notre planète.Le Groupe INSEEC et ses écoles se sont engagés dans une politique volontaire en faveur de la RSE (Responsabilité Sociétale d’Entre-prise). Devenez acteur de ce défi !groupeiNSeec.com > rSe

Page 4: Green Attitude

Soyons responsableset limitons notre impact sur l’environnementDevant les enjeux des changements climatiques tels qu’ils apparaissent dans le cadre de la COP 21, l’épui-sement des ressources, la multipli-cation des catastrophes naturelles, l’extinction de nombreuses espèces animales et végétales, la dégrada-tion générale de l’environnement et les mauvaises conditions de vie d’une grande partie de l’humanité, il est important de réagir.

Le développement durable, concept énoncé en 1987 dans le rapport Brundtland, est un « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».Lors du Sommet de la Terre à Rio, en 1992, 150 états se sont engagés à mettre en oeuvre ce type de déve-loppement.L’atteinte de cet objectif repose sur la sensibilisation, l’acceptation et la participation de tous.Le concept d’éco-responsabilité ap-paraît, quant à lui, en 1995, lors de la réunion du G7 au Canada. Il in-tègre les notions du développement durable à la responsabilité d’autrui. En d’autres termes, chacun assume

d’une responsabilité économique, d’une responsabilité sociale et d’une responsabilité environnementale.Dans le cadre d’un établissement de l’enseignement supérieur, il s’agit donc de veiller à limiter son impact sur l’environnement et d’offrir des conditions de travail optimales à ses usagers au sein des campus.

Certains gestes ou certaines bonnes pratiques peuvent impliquer des équipements ou des organisations spécifiques qui n’existent pas sur votre campus. Dans ce cas, n’hésitez pas à faire remonter vos demandes et suggestions auprès des référents RSE de votre campus.

Six enjeux ont été identifiés :• L’énergie• Les transports• Le papier• Les déchets• Les achats• L’eau

Page 5: Green Attitude

Soyons responsableset limitons notre impact sur l’environnementDevant les enjeux des changements climatiques tels qu’ils apparaissent dans le cadre de la COP 21, l’épui-sement des ressources, la multipli-cation des catastrophes naturelles, l’extinction de nombreuses espèces animales et végétales, la dégrada-tion générale de l’environnement et les mauvaises conditions de vie d’une grande partie de l’humanité, il est important de réagir.

Le développement durable, concept énoncé en 1987 dans le rapport Brundtland, est un « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».Lors du Sommet de la Terre à Rio, en 1992, 150 états se sont engagés à mettre en oeuvre ce type de déve-loppement.L’atteinte de cet objectif repose sur la sensibilisation, l’acceptation et la participation de tous.Le concept d’éco-responsabilité ap-paraît, quant à lui, en 1995, lors de la réunion du G7 au Canada. Il in-tègre les notions du développement durable à la responsabilité d’autrui. En d’autres termes, chacun assume

d’une responsabilité économique, d’une responsabilité sociale et d’une responsabilité environnementale.Dans le cadre d’un établissement de l’enseignement supérieur, il s’agit donc de veiller à limiter son impact sur l’environnement et d’offrir des conditions de travail optimales à ses usagers au sein des campus.

Certains gestes ou certaines bonnes pratiques peuvent impliquer des équipements ou des organisations spécifiques qui n’existent pas sur votre campus. Dans ce cas, n’hésitez pas à faire remonter vos demandes et suggestions auprès des référents RSE de votre campus.

Six enjeux ont été identifiés :• L’énergie• Les transports• Le papier• Les déchets• Les achats• L’eau

Page 6: Green Attitude

évaluons notre empreinte écologique

impact écologique et responsabilité

L’empreinte écologique permet de calculer l’impact de notre comportement sur l’environnement. À partir d’un questionnaire, est estimée la surface biologiquement productive nécessaire pour répondre à nos besoins.

calculateurcarbone.org

Un résultat simple à interpréter : pour une meilleure visualisation du résultat, il est possible de poser l’hypothèse selon laquelle l’ensemble de la population mondiale se comporte comme nous, le résultat indique alors le nombre de planètes nécessaires au développement de cette population fictive.Pour illustration, si l’ensemble de la planète vivait comme un européen, il faudrait environ 3 planètes pour subvenir à ses besoins.L’empreinte écologique est également un bon outil pour tester différents comportements et peut donc être utilisé comme une aide à l’identification des bonnes pratiques.Mais attention, l’écoci-toyenneté ne se pra-tique pas que sur nos campus. Pour aller plus loin, soyons responsables au quotidien !

Nous sous-estimons souvent notre part de responsabilité dans la

dégradation de notre envi-ronnement, mais également notre pouvoir quant à sa protection.

Il est très difficile de se rendre compte de son propre impact parce que chaque produit que nous consommons s’inscrit dans

un cycle allant de l’extrac-tion des matières premières

jusqu’au traitement des dé-chets résultant de son utilisation.

Nous ne sommes généralement pas informés de l’impact réel de cha-

cun des biens consommés.Il faut être conscient qu’à chaque étape du

cycle de vie peut être calculé un impact environnemen-tal. L’impact global d’un produit correspond donc à la somme de ces impacts intermédiaires. L’arrêt du cycle est une situation critique (cas des produits non recyclables ou non biodégradables) que nous devons absolument éviter.Il est possible d’améliorer notre action sur l’environnement en faisant les bons choix et les bons gestes.

Le saviez-vous

matièrespremières

produitfinal

déchets

bien deconsommation

Distribution Tra

nsformation

Dégradation Utilis

ation

Page 7: Green Attitude

évaluons notre empreinte écologique

impact écologique et responsabilité

L’empreinte écologique permet de calculer l’impact de notre comportement sur l’environnement. À partir d’un questionnaire, est estimée la surface biologiquement productive nécessaire pour répondre à nos besoins.

calculateurcarbone.org

Un résultat simple à interpréter : pour une meilleure visualisation du résultat, il est possible de poser l’hypothèse selon laquelle l’ensemble de la population mondiale se comporte comme nous, le résultat indique alors le nombre de planètes nécessaires au développement de cette population fictive.Pour illustration, si l’ensemble de la planète vivait comme un européen, il faudrait environ 3 planètes pour subvenir à ses besoins.L’empreinte écologique est également un bon outil pour tester différents comportements et peut donc être utilisé comme une aide à l’identification des bonnes pratiques.Mais attention, l’écoci-toyenneté ne se pra-tique pas que sur nos campus. Pour aller plus loin, soyons responsables au quotidien !

Nous sous-estimons souvent notre part de responsabilité dans la

dégradation de notre envi-ronnement, mais également notre pouvoir quant à sa protection.

Il est très difficile de se rendre compte de son propre impact parce que chaque produit que nous consommons s’inscrit dans

un cycle allant de l’extrac-tion des matières premières

jusqu’au traitement des dé-chets résultant de son utilisation.

Nous ne sommes généralement pas informés de l’impact réel de cha-

cun des biens consommés.Il faut être conscient qu’à chaque étape du

cycle de vie peut être calculé un impact environnemen-tal. L’impact global d’un produit correspond donc à la somme de ces impacts intermédiaires. L’arrêt du cycle est une situation critique (cas des produits non recyclables ou non biodégradables) que nous devons absolument éviter.Il est possible d’améliorer notre action sur l’environnement en faisant les bons choix et les bons gestes.

Le saviez-vous

matièrespremières

produitfinal

déchets

bien deconsommation

Distribution Tra

nsformation

Dégradation Utilis

ation

Page 8: Green Attitude

Multipliée par 13 en un siècle, la consommation d’énergie témoigne d’une consommation à outrance. En France, les secteurs résidentiel et tertiaire, dont font partie les établissements d’enseignement supérieur, ont largement dépassé les 100 millions de tonnes équivalent pétrole.Ces secteurs représentent 40% de la consommation d’énergie et 18% des émissions de gaz à effet de serre.

La France est un des pays indus-trialisés les moins émetteurs de gaz

à effet de serre car une part impor-tante de son énergie provient de ses centrales nucléaires. En hiver, la pro-duction supplémentaire est assurée par des centrales thermiques alimen-tées au gaz ou au charbon.Les campus d’enseignement supé-rieur consomment environ 180kWh/m2

pour le chauffage et 110 kWh/m2 pour l’électricité (éclairage et bureau-tique notamment).Une ampoule à incandescence res-tant allumée toute la journée revient à 69 euros par an. Une ampoule basse consommation dépense 80% de moins d’énergie et dure 6 à 8 fois plus long-temps.Un ordinateur laissé en mode veille (écran de veille) pendant le déjeunerconsomme autant qu’une ampoule économique laissée allumée conti-nuellement pendant près de 10h.Baisser le chauffage le soir permet de faire une économie de 3 à 8% par an.1°C de plus représente 7% de consom-mation supplémentaire.

n Je préfère l’éclairage naturel.n Je paramètre mon ordinateur

pour qu’il se mette en veille pro-longée, ou hibernation, après 30 minutes d’inactivité.

n J’éteins tout avant de partir et je baisse mon radiateur.

n Je chauffe raisonnablement mon bureau, si j’ai froid, je mets un pull. 19°c est la température conseillée pour ma santé.

n Je ne pose rien sur mon radia-teur et je l’éteins quand j’ouvre la fenêtre.

n L’été, j’aère mon bureau le ma-tin en arrivant, puis ferme les rideaux. J’évite d’utiliser la cli-matisation.

Je limite ma consommation d’énergie au quotidien

Le saviez-vous

Page 9: Green Attitude

Multipliée par 13 en un siècle, la consommation d’énergie témoigne d’une consommation à outrance. En France, les secteurs résidentiel et tertiaire, dont font partie les établissements d’enseignement supérieur, ont largement dépassé les 100 millions de tonnes équivalent pétrole.Ces secteurs représentent 40% de la consommation d’énergie et 18% des émissions de gaz à effet de serre.

La France est un des pays indus-trialisés les moins émetteurs de gaz

à effet de serre car une part impor-tante de son énergie provient de ses centrales nucléaires. En hiver, la pro-duction supplémentaire est assurée par des centrales thermiques alimen-tées au gaz ou au charbon.Les campus d’enseignement supé-rieur consomment environ 180kWh/m2

pour le chauffage et 110 kWh/m2 pour l’électricité (éclairage et bureau-tique notamment).Une ampoule à incandescence res-tant allumée toute la journée revient à 69 euros par an. Une ampoule basse consommation dépense 80% de moins d’énergie et dure 6 à 8 fois plus long-temps.Un ordinateur laissé en mode veille (écran de veille) pendant le déjeunerconsomme autant qu’une ampoule économique laissée allumée conti-nuellement pendant près de 10h.Baisser le chauffage le soir permet de faire une économie de 3 à 8% par an.1°C de plus représente 7% de consom-mation supplémentaire.

n Je préfère l’éclairage naturel.n Je paramètre mon ordinateur

pour qu’il se mette en veille pro-longée, ou hibernation, après 30 minutes d’inactivité.

n J’éteins tout avant de partir et je baisse mon radiateur.

n Je chauffe raisonnablement mon bureau, si j’ai froid, je mets un pull. 19°c est la température conseillée pour ma santé.

n Je ne pose rien sur mon radia-teur et je l’éteins quand j’ouvre la fenêtre.

n L’été, j’aère mon bureau le ma-tin en arrivant, puis ferme les rideaux. J’évite d’utiliser la cli-matisation.

Je limite ma consommation d’énergie au quotidien

Le saviez-vous

Page 10: Green Attitude

Le secteur du transport est le premier émetteur de gaz à effet de serre, il est responsable de la moitié de la pollution de l’air dans le monde et de 80% dans les zones urbaines européennes.Ces rejets dans l’air sont à l’origine de graves problèmes sanitaires puisque l’OMS estime qu’ils provoquent 500 000 morts par an !Un déplacement sur deux fait moins de 3km.

À vitesse moyenne, l’être humain par-court à pied 500m en 8 minutes. En

privilégiant la marche, inutile de pré-voir de faire chauffer le moteur ou de trouver une place de stationnement.Un bus pollue 10 à 20 fois moins par voyageur qu’une voiture et financière-ment il est également plus intéressant.La pratique du covoiturage trois fois par semaine pour une distance de 2km permet d’éviter le rejet de 86kg de CO2 par an. Vous pouvez économi-

ser 25% de carburant rien qu’en entre-tenant votre véhicule et en adoptant une conduite souple et sans à-coup.Enfin, les embouteillages sont consti-tués principalement par des véhi-cules ne transportant qu’une seule personne. En les regroupant, il y au-rait environ 5 fois moins de voitures et donc d’embouteillage, ainsi que 5 fois moins de pollution atmosphé-rique due au trafic routier.Le covoiturage est une solution avan-tageuse. C’est écologique, écono-mique, solidaire, pratique et convivial.

n J’adapte mon moyen de transport à mes dé-placements : pour les trajets courts, je marche ou prends les transports doux (vélo, rollers...), pour les longs trajets je choisis les transports en commun.

n Marcher, prendre les escaliers et pédaler entretiennent ma santé.

n Si j’ai besoin d’utiliser la voiture, je pratique l’autopartage, le covoiturage et l’éco-conduite (je conduis calmement et j’anticipe).

n Si je dois acheter une voiture, je la choisis écologique.

J’adapte mon moyen de transport à mes déplacements

Le saviez-vous

Page 11: Green Attitude

Le secteur du transport est le premier émetteur de gaz à effet de serre, il est responsable de la moitié de la pollution de l’air dans le monde et de 80% dans les zones urbaines européennes.Ces rejets dans l’air sont à l’origine de graves problèmes sanitaires puisque l’OMS estime qu’ils provoquent 500 000 morts par an !Un déplacement sur deux fait moins de 3km.

À vitesse moyenne, l’être humain par-court à pied 500m en 8 minutes. En

privilégiant la marche, inutile de pré-voir de faire chauffer le moteur ou de trouver une place de stationnement.Un bus pollue 10 à 20 fois moins par voyageur qu’une voiture et financière-ment il est également plus intéressant.La pratique du covoiturage trois fois par semaine pour une distance de 2km permet d’éviter le rejet de 86kg de CO2 par an. Vous pouvez économi-

ser 25% de carburant rien qu’en entre-tenant votre véhicule et en adoptant une conduite souple et sans à-coup.Enfin, les embouteillages sont consti-tués principalement par des véhi-cules ne transportant qu’une seule personne. En les regroupant, il y au-rait environ 5 fois moins de voitures et donc d’embouteillage, ainsi que 5 fois moins de pollution atmosphé-rique due au trafic routier.Le covoiturage est une solution avan-tageuse. C’est écologique, écono-mique, solidaire, pratique et convivial.

n J’adapte mon moyen de transport à mes dé-placements : pour les trajets courts, je marche ou prends les transports doux (vélo, rollers...), pour les longs trajets je choisis les transports en commun.

n Marcher, prendre les escaliers et pédaler entretiennent ma santé.

n Si j’ai besoin d’utiliser la voiture, je pratique l’autopartage, le covoiturage et l’éco-conduite (je conduis calmement et j’anticipe).

n Si je dois acheter une voiture, je la choisis écologique.

J’adapte mon moyen de transport à mes déplacements

Le saviez-vous

Page 12: Green Attitude

Choisir du papier portant un éco-label assure no-tamment que l’industrie papetière participe à une gestion raisonnée des forêts en valorisant les bois d’éclaircies qui seraient, à défaut de cette utilisa-tion, incinérés.

Pour fabriquer une tonne de papier, il faut en moyenne 2 tonnes de bois. Le papier recyclé est, quant à lui, produit à partir de fibres de papier récupéré. Le papier représente les 3/4 du tonnage des déchets produits par un campus. Aujourd’hui, 50% de ce tonnage est trié pour être recy-clé et valorisé.

Une tonne de papier trié permet la fabri-cation de 900kg de papier recyclé en utilisant 100 fois moins d’eau et 3 fois moins d’énergie ainsi qu’en épargnant 2 à 3 tonnes de bois.

n J’achète prioritairement le papier éco-labellisé et/ou du papier recyclé.n Je n’imprime que le nécessaire.n J’imprime en recto-verso.n Quand je le peux, j’imprime en deux pages par feuille.n Je conserve le papier encore utilisable pour m’en servir de brouillon.n Je suis l’évolution de ma consommation.

L’activité papetière impacte fortement l’environnement. En effet, elle nécessite de grandes quantités d’eau, d’énergie et de produits chimiques. Il s’agit de l’une des activités industrielles les plus éner-givores.Le papier est le premier consommable utilisé par les activités adminis-tratives, de recherche et d’enseignement (80kg/an/personne). Malgré les performances de l’outil informatique, sa consommation continue d’augmenter chaque année.

Je maîtrise ma consommation de papier

Le saviez-vous

Page 13: Green Attitude

Choisir du papier portant un éco-label assure no-tamment que l’industrie papetière participe à une gestion raisonnée des forêts en valorisant les bois d’éclaircies qui seraient, à défaut de cette utilisa-tion, incinérés.

Pour fabriquer une tonne de papier, il faut en moyenne 2 tonnes de bois. Le papier recyclé est, quant à lui, produit à partir de fibres de papier récupéré. Le papier représente les 3/4 du tonnage des déchets produits par un campus. Aujourd’hui, 50% de ce tonnage est trié pour être recy-clé et valorisé.

Une tonne de papier trié permet la fabri-cation de 900kg de papier recyclé en utilisant 100 fois moins d’eau et 3 fois moins d’énergie ainsi qu’en épargnant 2 à 3 tonnes de bois.

n J’achète prioritairement le papier éco-labellisé et/ou du papier recyclé.n Je n’imprime que le nécessaire.n J’imprime en recto-verso.n Quand je le peux, j’imprime en deux pages par feuille.n Je conserve le papier encore utilisable pour m’en servir de brouillon.n Je suis l’évolution de ma consommation.

L’activité papetière impacte fortement l’environnement. En effet, elle nécessite de grandes quantités d’eau, d’énergie et de produits chimiques. Il s’agit de l’une des activités industrielles les plus éner-givores.Le papier est le premier consommable utilisé par les activités adminis-tratives, de recherche et d’enseignement (80kg/an/personne). Malgré les performances de l’outil informatique, sa consommation continue d’augmenter chaque année.

Je maîtrise ma consommation de papier

Le saviez-vous

Page 14: Green Attitude

Les activités d’enseignement, de recherche et de bureau sont à l’origine d’un gisement important de déchets industriels banals. En moyenne, chaque usager en produit 100kg par an. Toutefois, nombre de ces déchets sont recyclables et le tri permet l’entrée de ces déchets dans une nouvelle boucle de fabrication. Par exemple, le verre est recyclable à l’infini, certains plastiques sont recyclés, les papiers, cartons et métaux le sont également. Les autres déchets doivent être séparés des précédents pour être détruits dans des conditions protégeant l’environnement.

Une tonne de verre recyclé, c’est 660kg de sable et 100kg de fioul économisés. Une tonne de plastique recyclé représente 600 à 800kg de pétrole brut non utilisés. Deux bouteilles en plastique permettent, par exemple, la fabrication d’une

écharpe. Les piles et les cartouches d’encre renferment de nombreux polluants. Il est nécessaire de traiter ce type de déchet de manière isolée, de plus la récolte de ces objets est souvent associée à des projets humanitaires.Au sein des établissements d’enseignement supérieur, on es-time à près de 3 millions le nombre de gobelets utilisés par jour, chacun d’eux mettra 500 ans à se décomposer. Ceci peut être sim-plement évité par l’utilisation d’un verre.Les systèmes de récolte de déchets dépendent des filières de traitement locales, le tri n’est donc pas le même dans toutes les localités et la présence de déchets inopportuns perturbe le recyclage.

n Je demande à faire réparer les équipements abîmés plu-tôt qu’à les faire remplacer.

n Je m’engage à pratiquer le tri sélectif et à respecter les consignes locales.

n Je me renseigne sur les points de tri, s’il n’est pas mis en place, je le demande.

n Je ne jette pas de produits toxiques dans le circuit tradi-tionnel.

n Je n’utilise plus de fourni-tures jetables, j’utilise un verre, un chiffon…

Je ne gaspille pas et je trie mes déchets

Le saviez-vous

Des solutions sont en cours de déploiement sur tous les campus. Soyez vigilants et adoptez-les !

Page 15: Green Attitude

Les activités d’enseignement, de recherche et de bureau sont à l’origine d’un gisement important de déchets industriels banals. En moyenne, chaque usager en produit 100kg par an. Toutefois, nombre de ces déchets sont recyclables et le tri permet l’entrée de ces déchets dans une nouvelle boucle de fabrication. Par exemple, le verre est recyclable à l’infini, certains plastiques sont recyclés, les papiers, cartons et métaux le sont également. Les autres déchets doivent être séparés des précédents pour être détruits dans des conditions protégeant l’environnement.

Une tonne de verre recyclé, c’est 660kg de sable et 100kg de fioul économisés. Une tonne de plastique recyclé représente 600 à 800kg de pétrole brut non utilisés. Deux bouteilles en plastique permettent, par exemple, la fabrication d’une

écharpe. Les piles et les cartouches d’encre renferment de nombreux polluants. Il est nécessaire de traiter ce type de déchet de manière isolée, de plus la récolte de ces objets est souvent associée à des projets humanitaires.Au sein des établissements d’enseignement supérieur, on es-time à près de 3 millions le nombre de gobelets utilisés par jour, chacun d’eux mettra 500 ans à se décomposer. Ceci peut être sim-plement évité par l’utilisation d’un verre.Les systèmes de récolte de déchets dépendent des filières de traitement locales, le tri n’est donc pas le même dans toutes les localités et la présence de déchets inopportuns perturbe le recyclage.

n Je demande à faire réparer les équipements abîmés plu-tôt qu’à les faire remplacer.

n Je m’engage à pratiquer le tri sélectif et à respecter les consignes locales.

n Je me renseigne sur les points de tri, s’il n’est pas mis en place, je le demande.

n Je ne jette pas de produits toxiques dans le circuit tradi-tionnel.

n Je n’utilise plus de fourni-tures jetables, j’utilise un verre, un chiffon…

Je ne gaspille pas et je trie mes déchets

Le saviez-vous

Des solutions sont en cours de déploiement sur tous les campus. Soyez vigilants et adoptez-les !

Page 16: Green Attitude

Pour fonctionner les établissements d’enseignement supérieur ont besoin d’un parc informatique important, de nombreux équipements spécifiques et d’une grande quantité de fournitures de bureau. Cela représente 20% du budget des établissements.Ces besoins sont en augmentation continuelle et constituent une opportunité de développement économique local mais aussi de pro-tection de l’environnement.

Les produits éco-label-lisés vous assurent une bonne qualité et un impact limité sur l‘en-vironnement. Pour les

produits courants, je choisis les produits por-tant l’éco-label européen ou la norme NF environnement, les labels international FSC et européen PEFC et enfin pour les équipements bureautiques le label Energy star.L’agriculture biologique n’utilise aucun produit chimique de synthèse (engrais, pesticides...) et aucun organisme génétiquement modifié (OGM).L’achat de produits locaux favorise le dé-veloppement éco-nomique local et limite les émissions de gaz à effet de serre dues au trans-port de marchandises.Le commerce équi-table permet aux pro-ducteurs et aux travail-leurs défavorisés des pays du sud de vivre dignement deleur travail.

n Je me renseigne sur les labels existants.

n Je préfère acheter des produits éco-labellisés, locaux ou issus du com-merce équitable.

n J’achète des produits re-cyclés, recyclables ou bio-dégradables.

n Je choisis des fournitures rechargeables et réutili-sables.

n Je privilégie, lors de mes achats, les équipements énergétiquement perfor-mants.

n Je demande que des cri-tères d’éco-responsabilité soient inclus aux critères de sélection des fournis-seurs de l’établissement.

J’ai le réflexe éco-achat

Le saviez-vous

Page 17: Green Attitude

Pour fonctionner les établissements d’enseignement supérieur ont besoin d’un parc informatique important, de nombreux équipements spécifiques et d’une grande quantité de fournitures de bureau. Cela représente 20% du budget des établissements.Ces besoins sont en augmentation continuelle et constituent une opportunité de développement économique local mais aussi de pro-tection de l’environnement.

Les produits éco-label-lisés vous assurent une bonne qualité et un impact limité sur l‘en-vironnement. Pour les

produits courants, je choisis les produits por-tant l’éco-label européen ou la norme NF environnement, les labels international FSC et européen PEFC et enfin pour les équipements bureautiques le label Energy star.L’agriculture biologique n’utilise aucun produit chimique de synthèse (engrais, pesticides...) et aucun organisme génétiquement modifié (OGM).L’achat de produits locaux favorise le dé-veloppement éco-nomique local et limite les émissions de gaz à effet de serre dues au trans-port de marchandises.Le commerce équi-table permet aux pro-ducteurs et aux travail-leurs défavorisés des pays du sud de vivre dignement deleur travail.

n Je me renseigne sur les labels existants.

n Je préfère acheter des produits éco-labellisés, locaux ou issus du com-merce équitable.

n J’achète des produits re-cyclés, recyclables ou bio-dégradables.

n Je choisis des fournitures rechargeables et réutili-sables.

n Je privilégie, lors de mes achats, les équipements énergétiquement perfor-mants.

n Je demande que des cri-tères d’éco-responsabilité soient inclus aux critères de sélection des fournis-seurs de l’établissement.

J’ai le réflexe éco-achat

Le saviez-vous

Page 18: Green Attitude

L’eau douce représente 2,5% du stock total d’eau sur la planète. Les besoins en eau doublent tous les 20 ans et le rythme de la consom-mation évolue deux fois plus vite que celui de la croissance démogra-phique. Il s’agit donc d’une ressource rare à préserver et ne pas gaspiller.

L’eau du robinet est potable sauf indication contraire. On estime que 140 litres d’eau en bouteille sont consom-

més par habitant et par an. L’emballage et le transport de cette eau sont des sources importantes d’émission de gaz à effet de serre. Un robinet qui fuit gaspille 35000 litres d’eau par an soit 180 douches ou 98

euros par an. Une fuite de chasse d’eau représente pendant une année environ 3600 douches ou 500 euros.Un système de chasse d’eau à deux débits réduit, quand il est utilisé correctement, de 3 à 5 fois la consommation d’eau soit de 20 à 70 litres d’eau par utilisateur et par jour. L’évacuation de produits ou de déchets dans les toilettes altère le travail des stations d’épuration et 49% des eaux usées seulement sont dépolluées. Non ou mal dégradés, tous ces éléments se re-trouvent ensuite dans la nature.

n Je bois l’eau du robinet.n Je ne laisse pas couler l’eau inuti-

lement.n Je signale les fuites d’eau.n Je choisis le bon débit de chasse

d’eau.n Je ne jette rien dans les toilettes.

Je modère ma consommation d’eau, c’est une ressource rare

Le saviez-vous

Page 19: Green Attitude

L’eau douce représente 2,5% du stock total d’eau sur la planète. Les besoins en eau doublent tous les 20 ans et le rythme de la consom-mation évolue deux fois plus vite que celui de la croissance démogra-phique. Il s’agit donc d’une ressource rare à préserver et ne pas gaspiller.

L’eau du robinet est potable sauf indication contraire. On estime que 140 litres d’eau en bouteille sont consom-

més par habitant et par an. L’emballage et le transport de cette eau sont des sources importantes d’émission de gaz à effet de serre. Un robinet qui fuit gaspille 35000 litres d’eau par an soit 180 douches ou 98

euros par an. Une fuite de chasse d’eau représente pendant une année environ 3600 douches ou 500 euros.Un système de chasse d’eau à deux débits réduit, quand il est utilisé correctement, de 3 à 5 fois la consommation d’eau soit de 20 à 70 litres d’eau par utilisateur et par jour. L’évacuation de produits ou de déchets dans les toilettes altère le travail des stations d’épuration et 49% des eaux usées seulement sont dépolluées. Non ou mal dégradés, tous ces éléments se re-trouvent ensuite dans la nature.

n Je bois l’eau du robinet.n Je ne laisse pas couler l’eau inuti-

lement.n Je signale les fuites d’eau.n Je choisis le bon débit de chasse

d’eau.n Je ne jette rien dans les toilettes.

Je modère ma consommation d’eau, c’est une ressource rare

Le saviez-vous

Page 20: Green Attitude

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