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Génération musiques !

Maillon fort de Toulouse estive, Toulouse d’été souffle cette année sa septième bougie et se veut encore plus innovant.

Créé à l’initiative de la municipalité, il se veut le festival des musiques plurielles, sans hiérarchisation de genres, et poursuit sa politique de valorisation de la scène toulousaine et régionale, aussi bien dans le champ de la musique classique que des musiques actuelles.

Son but ? Être une véritable photographie de la vitalité musicale et révéler au public la qualité d’une pépinière d’artistes exceptionnelle, en mettant l’accent sur les jeunes talents, les générations montantes, qu’il s’agisse d’artistes classiques ou de musiciens émanant des scènes chanson, jazz, nouvelles musiques traditionnelles, rock, hip-hop…

Pour cette nouvelle édition, Toulouse d’été se devait d’aller encore plus loin : provoquer des rencontres entre Toulousains et artistes venus d’horizons divers, pour favoriser une musique généreuse, vagabonde et voyageuse, née dans ce creuset. Toulouse d’été sera au rendez-vous de l’Europe, du Bassin méditerranéen ou encore de l’Afrique. Un festival qui échange et qui s’exporte, puisqu’un plateau de cette édition est présenté en avant-première à Saragosse dans le cadre de Ida y vuelta et qu’un autre rejoindra le festival de jazz de Budapest à l’automne.

Toulouse d’été est aussi résolument ouvert sur la ville. Musiques nomades à la rencontre d’une architecture et d’un patrimoine étonnants. Du Cloître des Jacobins à la Halle aux Grains, du Jardin Raymond VI à des lieux plus insolites comme la Gare Matabiau, ce ne seront pas moins de 16 sites qui seront investis. Toulouse en balade !

Enfin, Toulouse d’été n’a de cesse de provoquer la rencontre avec les publics, de s’in-terroger pour mieux rassembler : Toulousains, amis de passage, mais aussi les publics empêchés des hôpitaux ou des prisons, les nouveaux publics. Fidèle à sa politique de démocratisation, les tarifs sont attrayants et plus de 40% des concerts sont gratuits, notamment avec les Pauses musicales organisées dans le cadre de Toulouse Plage.

Vincentella de ComarmondAdjointe au Maire

Photo : STC ©

Et si Toulouse d’été célébrait un immense anniversaire : on y fêterait cette année Pergolesi et Wilhelm Friedmann Bach, Schumann et Chopin, sans oublier Django Reinhardt ; ils ont tous en commun d’être nés en 10, seuls les centenaires

changent…

Et si Toulouse d’été s’amusait des genres, on passerait du piano, à la formation de chambre, de l’opérette à l’orchestre symphonique, des chants sacrés aux chants profanes, des musiques du monde au jazz, en faisant un détour par la chanson, l’improvisation, l’électro, le rock, le hip-hop et les inclassables…

Et si Toulouse d’été s’apparentait à un passionnant jeu de piste dans la Ville, où l’on croiserait une foultitude d’instruments et où les musiques résonneraient avec les lieux, une promenade des Quais de la Daurade au Jardin Raymond VI, de la Cathédrale Saint-Etienne au Cloître des Jacobins, de Saint-Pierre des Cuisines à la Halle aux Grains ou au Casino, en passant par la Gare Matabiau et les bords de Garonne…

Et si Toulouse d’été révélait un extraordinaire vivier offrant cette photographie sans cesse renouvelée d’une scène locale des plus actives et des plus créatives…

Et si Toulouse d’été conviait des musiciens venus de Méditerranée, d’Europe, d’Afrique à venir à la rencontre des artistes toulousains, pour le seul plaisir de faire de la musique ensemble…

Et si Toulouse d’été se voulait un grand rassembleur des publics, ceux d’ici, ceux d’ailleurs, ceux hors les murs, ceux dans les murs, les musardeurs et les curieux…

Et si Toulouse d’été, faisant le grand écart entre patrimoine, création et émergence, s’affirmait, tout simplement, comme une magnifique fête, une fête de toutes les mu-siques en partage…

alain LacroixDirecteur du Festival

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Renseignements : +33 (0)892 180 180 (0,34 € TTC/min)

www.toulouse-tourisme.comConception : Studio Pastre - Photographies : © Mairie de Toulouse - P. Nin ; C.R.T. M.-P., D. Viet ; D. Martin ; OT Toulouse - F. D.

Une Belle autrement…

Francis Lopez (1916-1995)La Belle de CadixLivret de Raymond Vincy et Marc-CabParoles de Maurice Vandair

Coproduction : Folies Lyriques et Opéra de Dijon

Depuis la création de La Belle de Cadix, l’Espagne a connu la Movida, Carmen Maura, Almodóvar, et bien entendu la liberté. Avec Olivier Desbordes, cet "ex" du Palace, créateur du Festival de Saint-Céré et

de la compagnie Opéra Éclaté, cette opérette se réfère à un univers de cartes postales, une vision de l’Espagne très touristique.

Ce sont les boutiques de souvenirs, avec tous leurs stéréotypes et leurs kitscheries, qui servent de toiles de fond aux atmosphères, mais tout ça vu avec énormément d’amour et d’humour.

Ce qui est encore plus amusant dans sa mise en scène, c’est la confrontation entre une équipe de cinéma "française", très française, et une Espagne très "espagnole". Une équipe plus proche de Max Pecas que de la Nouvelle Vague se trouve confrontée à nos belles espagnoles plus authentiques, plus libres que jamais, avec au final la victoire des vraies gitanes !

Plus de 1 000 représentations en France et à l’étranger, quelque 60 productions, 500 000 spectateurs venus assister à une représentation lyrique, Opéra Éclaté peut souffler dignement ses 25 bougies. Une compagnie qui aura su toucher tous les publics avec de jeunes chanteurs et des mises en scène traduisant l’esprit de notre époque, et bien sûr, contribuer à dépoussiérer et faire découvrir le vaste répertoire de l’opérette.

La BeLLe De CaDix - foLies LyriqUesCie opéra éCLaté

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Jérôme pillement, direction musicaleolivier Desbordes, mise en scène patrice Gouron, décors, lumières Jean michel angays / stéphane Laverne (studio fbg 22-11), costumesVilcanota / Bruno pradet et Cie, chorégraphieLoran, peintures thibault perrine, orchestration

avec andréa Giovannini : Carlos Medina eduarda mélo : Maria-Luisa sarah Laulan : Pepa eric Vignau : Manillon eric perez : Dany Clair maëlle mietton : Miss Hampton

10 choristes, 4 danseurs et 12 musiciens

jeudi 15 juilletCasino Barrière > 21h / tarifs : 8 et 6 €*

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[opérette]

Une heure avec… philippe Cassard

premiers prix de piano et de musique de chambre au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, Philippe Cassard approfondit ses connais-sances pendant deux ans à la Hochschule für Musik de Vienne et reçoit en-

suite les conseils du légendaire Nikita Magaloff. Lauréat du Concours Clara Haskil, 1er Prix du Concours international de Dublin, il est invité par les principaux orchestres britanniques et français sous la direction des meilleures baguettes.

Chambriste et accompagnateur de chanteurs recherché, il a, entre autres, pour partenaires Christa Ludwig, Wolfgang Holzmair, Raphaël Oleg, Laurent Korcia, David Grimal, Anne Gastinel, Xavier Phillips, les quatuors Chilingirian et Ysaÿe, les comédiens Philippe Torreton, Roland Bertin, Françoise Fabian…

À partir de 1993, il présente, tout autour du monde, l’œuvre pour piano intégrale de Debussy en 4 récitals répartis sur une journée, rencontrant à chaque fois un immense succès.

Ses enregistrements consacrés à Schubert, Schumann, Debussy et tout récemment à Brahms sont unanimement accueillis par la critique. Philippe Cassard présente Notes du traducteur sur France Musique depuis 2005. À la tête des Estivales de Gerberoy en 1997, puis des Nuits Romantiques du Lac du Bourget, jusqu’en 2007, il est également l’auteur d’un essai, Schubert, petit lexique amoureux, paru chez Actes Sud.

Pour ce programme, Philippe Cassard a choisi deux de ses compositeurs de pré-dilection : Robert Schumann et Johannes Brahms. On le retrouvera à l’affiche du Festival, en compagnie du quatuor Modigliani et, à partir du mois de novembre, à l’Espace Croix-Baragnon.

Photo : Vincent Catala ©

philippe Cassard, piano

Johannes BraHms (1833-1897)Fantaisies, op. 116

robert sCHumann (1810-1856) Fantaisie en ut majeur, op. 17

pHiLippe CassarD, piano

vendredi 16 juilletCloître des Jacobins > 19h / tarifs : 8 et 6 €*

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[récital]

La génération 1810 - i

Photo : Andrew French ©

Felix menDeLssoHn BartHoLDY (1809-1847)Quatuor à cordes en la mineur, op. 13

8 Romances sans parolesPremier cahier, op. 19 n°1 en mi majeur n°5 en fa dièse mineurHuitième cahier, op. 102 n°5 en la majeurSixième cahier, op. 67 n°2 en fa dièse mineur n°3 en si bémol majeur

Quatrième cahier, op. 53 n°2 en mi bémol majeurTroisième cahier, op. 38 n°6 en la bémol majeur, DuettoSixième cahier, op. 67 n°4 en ut majeur, La Fileuse

robert sCHumann (1810-1856) Quintette pour piano et cordes, en mi bémol majeur, op. 44

qUatUor MoDiGLiaNi et pHiLippe CassarD,pianovendredi 16 juillet

C’est en 2003 que Philippe Bernhard, Loïc Rio, Laurent Marfaing et François Kieffer décident de fonder le Quatuor Modigliani. Les uns se sont connus dès les bancs du Conservatoire de Toulouse, les autres autour de leur passion

commune, tous quatre sortiront brillamment du Conservatoire national supérieur de musique de Paris.

Fort de trois Premiers Prix aux concours internationaux d’Eindhoven (2004), Vittorio Rimbotti de Florence (2005) et aux prestigieuses Young Concert Artists Auditions de New York (2006), le Quatuor est devenu l’une des jeunes formations de chambre les plus demandées dans le monde.

Au printemps 2006, le Quatuor a présenté son premier disque consacré à Schumann, Wolf et Mendelssohn (Nascor), qui a suscité les commentaires les plus élogieux, bientôt suivi d’un deuxième enregistrement dédié à Haydn (Mirare), sorti en mai 2008, qui a confirmé avec panache ces promesses. Un album Mendelssohn est prévu à l’automne.

Le Quatuor Modigliani est lauréat de la Fondation Groupe Banque Populaire, ainsi que du Prix Charles Oulmont de la Fondation de France.

Pour ce programme, qui rend hommage à la génération 1810, le Quatuor partage l’affiche avec le pianiste Philippe Cassard (biographie en page 6).

quatuor modigliani philippe Bernhard et Loïc rio, violonsLaurent marfaing, alto - François Kieffer, violoncelle

philippe Cassard, piano

Cloître des Jacobins > 21h30 / tarifs : 8 et 6 €*

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[musique de cham

bre]

Bienvenueà Toulouse

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Guillaume Coppola est aujourd’hui reconnu comme l’un des musiciens les plus accomplis de la jeune génération. Son récent enregistrement consa-cré à Franz Liszt, Un portrait (Calliope) a reçu les éloges des médias et de

la critique (Diapason d’Or Découverte, ƒƒƒƒ Télérama, sélection des disques de l’année 2009 pour le Monde), ainsi que le Coup de cœur musique instrumentale 2010 de l’Académie Charles Cros.

On a pu entendre le jeune pianiste dans une vingtaine de pays, des salles euro-péennes prestigieuses, comme le Concertgebouw d’Amsterdam, le Rudolfinum de Prague, jusqu’à l’Asie, de Shanghai ou Xiamen, en passant par l’Amérique du Sud. On a pu également l’applaudir en France : Festival Chopin à Paris, Festival de l’Orangerie de Sceaux, Folle Journée de Nantes, la Roque d’Anthéron… Il a fait partie des 60 pianistes retenus pour participer à l’intégrale Chopin pour le bicentenaire de sa naissance, Salle Pleyel.

Un Premier Prix de piano et de musique de chambre au Conservatoire national supérieur de musique de Paris vient couronner ce parcours, suivi de nombreuses distinctions internationales (The International Holland Music Sessions, Prix Déclic Culturesfrance, 1er Prix Lion’s Club, FLAME, Fondation de France, Fondation Cziffra, ADAMI…).

Outre le récital et le concerto avec orchestre, la musique de chambre lui permet de partager des moments privilégiés avec de prestigieux solistes.

Ce soir, il a choisi de défendre la génération 1810.

Photo : Philippe Parent ©

Guillaume Coppola, piano

Frédéric CHopin (1810-1849)Valse n°2 en ut dièse mineur, op. 64Polonaises n°1 et n°2, op. 26

robert sCHumann (1810-1856) Sonate n°2 en sol mineur, op. 22

Franz Liszt (1811-1886)ConsolationsBagatelle sans tonalité (Méphisto-valse n°4b) Saint François de Paule marchant sur les flots (Légende n°2)

GUiLLaUMe CoppoLa, piano

mardi 20 juillet

La génération 1810 - ii


12

[récital]

et si tout simplement on allait, à l’occasion du bicentenaire de sa nais-sance, à la découverte de Frédéric Chopin. 0n se souvient de ses amours passionnées avec l’écrivain George Sand, mais connaît-on vérita-

blement ce compositeur romantique à qui l’on doit quelques-unes des plus belles pages consacrées au piano ?

Chopin "est au piano et il ne s’aperçoit pas qu’on l’écoute. Il improvise comme au hasard. Il s’arrête. - Eh bien, eh bien s’écrie Delacroix, ce n’est pas fini ! - Ce n’est pas commencé. Rien ne me vient… rien que des reflets, des ombres, des reliefs qui ne veulent pas se fixer. Je cherche la couleur, je ne trouve même pas le dessin.- Vous ne trouverez pas l’un sans l’autre, reprend Delacroix, et vous allez les trouver tous les deux. - Mais si je ne trouve que le clair de lune ? - Vous aurez trouvé le reflet d’un reflet (…)L’idée plaît au divin artiste. Il reprend sans en avoir l’air de recommencer, tant son dessin est vague et comme incertain. Nos yeux se remplissent peu à peu des teintes douces qui correspondent aux suaves modulations saisies par le sens auditif. Et puis la note bleue résonne et nous voilà dans l’azur de la nuit transparente"1.

C’est Sodi Braide (biographie en page 20), jeune pianiste d’origine nigériane, qui nous convie à ce concert-lecture. Au travers des 24 Préludes, partons à la recherche de la fameuse "note bleue", poursuivons ensemble à la découverte de son instrument et de son formidable métier de pianiste.

On le retrouvera à l’affiche du Festival pour un récital mais aussi en compagnie du Quatuor Tercea.

1 George Sand dans Impressions et souvenirs,

Photo : Eduardo Hernandez ©

sodi Braide, piano

soDi BraiDe, piano

mercredi 21 juillet

À la recherche de la note bleueConcert-lecture organisé en partenariat avec le Centre culturel Alban Minville et avec le soutien de la Caisse des Dépôts et Consignations.

Frédéric CHopin (1810-1849) concert-lecture

Centre Alban Minville > 16h / Gratuit

14

[concert-lecture]

Voyage au centre de l’orchestre

Photo : Patrice Nin ©

Photo : Stéphane Ozounoff ©

Gioachino rossini (1792-1868)Ouverture de La Gazza ladra

antonio ViVaLDi (1678-1741)Concerto pour basson en mi mineur, F8, n°6, RV 484

Franz sCHuBert (1797-1828)Symphonie n°9 en ut majeur, D 944, La Grande

orCHestre NatioNaL DU CapitoLe

mercredi 21 juillet

L’Orchestre national du Capitole de Toulouse est né au début du XIXe siècle, il a été dirigé par les plus grandes baguettes dont celle de Michel Plasson, qui a permis un développement considérable de sa vocation symphonique. Aux

commandes de la formation depuis 2005, le jeune chef Tugan Sokhiev l’a conduite vers d’autres horizons, l’exploration de la musique russe notamment.

L’Orchestre du Capitole peut se targuer d’une multitude de concerts à Toulouse et en région, en France et à l’étranger, en compagnie de solistes de premier ordre : Leon Fleisher, Hilary Hahn, les frères Capuçon, Laurent Korcia… 11 villes européennes ont été traversées au cours de la saison 2008-2009, et plus récemment ce sont l’Italie, la Roumanie, l’Allemagne, l’Autriche, la Russie, la Chine et le Japon qui l’ont accueilli.

Une prestigieuse discographie, chez Emi France et aujourd’hui chez Naïve, vient saluer ce parcours sans faute, avec les sorties récentes, sous la baguette de Tugan Sokhiev, des Tableaux d’une exposition de Moussorgski-Ravel, couplés à la Symphonie n°4 de Tchaïkovski ainsi que de Pierre et le Loup de Prokofiev.

Pour ce programme, Lionel Belhacène, au basson, assurera la partie soliste tandis que la baguette reviendra au Toulousain Jean-François Verdier. Clarinettiste et super-soliste talentueux, lauréat de plusieurs concours internationaux, dont le Prix Bruno Walter de Lugano en 2001, il se tourne aujourd’hui vers la direction d’orchestre entamant une brillante carrière internationale. Il vient d’être nommé directeur de l’Orchestre régional de Besançon-Franche Comté.

orchestre national du Capitole de toulouse

Jean-François Verdier, direction Lionel Belhacène, basson

Halle aux Grains > 21h / tarifs : 8 et 6 €*

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[musique sym

phonique]

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TOULOUSE D’ÉTÉ

SNCF, PARTENAIRE DU FESTIVAL

15 JUILLET AU 13 AOÛT 2010

Pour la 2ème année consécutive, le Festival Toulouse d’Eté entre en gare !

La SNCF s’associe à Toulouse d’Eté pour offrir, en gare de Toulouse-

Matabiau, plusieurs spectacles originaux et festifs.

Rendez-vous en Gare Matabiau :

•Le20juilletà16h.

•Les29et30juilletà13h45.

•Le3aoûtà16h.

•Le4aoûtà16h.

couverture 100x150 toulouse d'été.indd 1 21/05/10 10:28

sans paradis fixe entre en gare…Pour la deuxième année consécutive, Toulouse d’été envahit Matabiau et s’associe à la SNCF pour proposer une série d’évènements originaux et festifs. C’est à la compagnie toulousaine Sans paradis fixe qu’ont été confiés la conception et le déroulement artistique de ces insolites (spectacles gratuits).

Mardi 20 juillet / 16hLe pHiLHarmonique D’oCCasions : Le Philharmonique d’Occasions est un orchestre de deux personnes, un garçon et une fille, deux instruments, un gros tuba et une trompinette, construit autour d’un répertoire original adapté à toutes les occasions. À la Gare, ils ne feront pas beaucoup de bruit, mais s’adresseront directement aux gens, les gentils ou les méchants, pour les faire danser, chanter, rire ou pleurer.

Lucie B., hélicon - Camille, trompinette

Jeudi 29 juillet / 13h45 et vendredi 30 juillet / 13h45 interventions sur le parvisLes paLomas mais presque : Habillé toujours de circonstance, ce quatuor de tubistes réactif, délicat, joue exclusivement des reprises de tubes love, tels que Besame mucho ou Only you, et rend hommage à l’un des morceaux les plus joués au monde avec une nouvelle version inoubliable de La Paloma à faire tomber à la renverse un docteur en thèse de musicologie…

nathalie Guida, petit tuba mi bémol - alice Behague, euphorium si bémol soledad zarka, gros tuba mi bémol - Lucie B., hélicon en si bémol

Mardi 3 août / 16hà L’attrape-Cœur : Trio sérénadiste pour fenêtres, échelles, balcons, hublots et autres. Deux voix féminines s’épanchent et caracolent sur un tapis moelleux mais soutenu d’un saxophone basse. De la sérénade barcarolente au crépage de chignon, en passant par des airs tendres et légers. Trio de chambre ou de plein-air, sur mesure, sur rendez-vous, n’ayant pas le vertige.

Lucie B., soprano - nathalie Guida, alto - marc maffiolo, saxophone basse

Mercredi 4 août / 16h L’éCriVain puBLiC De Cartes postaLes : Un stand, un écritoire, des plumes, des encres, des timbres poste, des cartes postales noir et blanc réalisées par Lucie B. Installée au cœur de la Gare, elle sera accompagnée par un musicien compère. Vous lui donnez une adresse, l’inspiration. Accompagnée en musique, elle improvisera un texte pour votre destinataire. Une fois touché par sa poésie qu’elle vous fera lire, elle reprendra la carte et la postera pour vous.

Lucie B., princesse de la surface sensible - nathalie Guida, accordéon

artiste cosmopolite ayant subi l’influence de diverses cultures, Sodi Braide aime explorer un large répertoire, de styles et d’époques très variés. Ré-sidant actuellement à Paris, il se produit en France (Radio France, Salle

de l’Archipel, Salle Cortot, Festival Chopin de Bagatelle, Festival des Serres d’Auteuil, Flâneries musicales de Reims…), tout comme en Europe, aux États-Unis, en Amérique Latine, au Moyen-Orient. Il a été invité en Afrique du Sud dès 1994, devenant ainsi l’un des premiers pianistes d’origine noire africaine à y jouer après la fin de l’apartheid.

Né de parents nigérians, Sodi Braide commence l’étude du piano à l’âge de 3 ans. Après Orléans, il poursuit ses études au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, avant de se rendre à Madrid et à Côme. Il est lauréat des concours de Pretoria, Leeds et Van Cliburn.

Il a enregistré un disque chez Lyrinx, consacré aux œuvres pour piano de César Franck, et participé en 2003 à l’enregistrement DVD du Carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns, avec Pierre Arditi en tant que récitant (Lorcom productions).

Au cours de l’année 2010, bicentenaire de la naissance de Chopin, il interprète dans sa version musique de chambre, en compagnie du Quatuor Tercea, le Concerto n°1 pour piano. Ne disposant que d’un simple quatuor à cordes, le compositeur le créa, en 1832, pour quintette à cordes et piano.

On retrouvera ce programme à l’affiche du Festival (page 22).

Photo : Luc Detours ©

sodi Braide, piano

soDi BraiDe, piano

Une heure avec… sodi Braide

jeudi 22 juillet

Frédéric CHopin (1810-1849), Prélude en ut dièse mineur, op. 45Nocturne en mi bémol majeur, op. 55, n°2

Mazurka en ré majeur, op. 33, n°2Mazurka en la mineur, op. 17, n°4 24 Préludes, op. 28

Cloître des Jacobins > 19h / tarifs : 8 et 6 €*

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[récital]

Depuis sa création en 2004 dans les couloirs du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon, le Quatuor Tercea se construit une identité et un discours musical qui le placent parmi les jeunes qua-

tuors français les plus prometteurs.

Lauréat du 1er Prix et du Prix du public au Concours international de musique de chambre de Trondheim, en 2009, distingué au Concours international de quatuor à cordes Léos Janacek de Brno, il reçoit le Prix du public lors de la 17e édition du festival Nouveaux talents de Villers-sur-mer et le Prix spécial au Festival inter-national d’Art de Gluiras.

Invité, suite à sa distinction en Norvège, dans de nombreux festivals et salles de concerts en France et à l’étranger, il entame cette saison une tournée dans les pays scandinaves.

Le Quatuor tient à élargir le public de la musique classique, notamment en faveur des jeunes et des publics empêchés. Il n’hésite pas à créer des passerelles en direction des musiques traditionnelles, des arts vivants ou de la danse. Au cours de la prochaine Biennale de la Danse de Lyon, il travaillera notamment en compagnie du chorégraphe Denis Plassard autour de Beethoven.

Ce soir, il est rejoint par le pianiste Sodi Braide (biographie page 20).

Depuis mai 2009, le Quatuor Tercea se voit prêter gracieusement, par le luthier Jean-Frédérique Schmitt, un quatuor d’instruments de Pauli Merling.

Photo : Philippe Bucelle ©

qUatUor terCea et soDi BraiDe, piano

jeudi 22 juillet

romantiques…quatuor tercea Claire Bucelle, violon 1 - anne Camillo, violon 2 Céline tison, alto - pauline Buet, violoncelle

sodi Braide, piano

alexandre BoroDine (1833-1887)Quatuor à cordes n°2 en ré majeur

Johannes BraHms (1833-1897)Quintette avec piano en fa mineur, op. 34

Frédéric CHopin (1810-1849) Concerto n°1 en mi mineur, op. 11 (version quintette)


22

[musique de cham

bre]

fondé en 1953 par Louis Auriacombe, l’Orchestre de chambre de Toulouse s’in-téresse à toutes les musiques, de la période baroque jusqu’à la créa-tion contemporaine. Invité de nombreux festivals en France, comme à l’étran-

ger, il se produit régulièrement avec les plus grands solistes : Christophe Coin, Gautier Capuçon, Natalie Dessay, David Kadouch…

Sous la direction de Gilles Colliard, depuis 2004, l’orchestre a choisi d’aller au bout de sa démarche d’authenticité en proposant des concerts baroques sur instruments anciens, mais aussi des concerts modernes avec les instruments actuels, ou encore des programmes réunissant les deux instruments.

Cécile Larroche, sopranoOriginaire de Montpellier, Cécile Larroche vient de terminer ses études au Conser-vatoire de Toulouse. Son répertoire embrasse aussi bien la mélodie française, que Mozart, Haydn ou Bach, explore l’opéra et la musique contemporaine. Elle collabore régulièrement avec des ensembles vocaux comme les Éléments et Arsys-Bourgogne.

rany Boechat, altoBrésilienne d’origine, Rany Boechat s’intéresse d’abord à la danse et au théâtre, avant d’intégrer les classes de chant du Conservatoire de Toulouse et de rejoindre l’École normale de musique de Paris dans la classe d’Isabel Garcisanz. Elle s’est produite comme soliste dans un vaste répertoire allant de la mélodie à l’opéra en passant par l’oratorio. Elle vient de participer à la tournée du Voyage à Reims de Rossini que l’on a pu applaudir cette saison à Toulouse.

Photo : Brice Devos ©

orCHestre De CHaMBre De toULoUse

stabat Mater…orchestre de chambre de toulouse Gilles Colliard, violon solo et direction

Cécile Larroche, sopranorany Boechat, alto

vendredi 23 juillet

Giovanni Battista perGoLesi (1710-1736)Stabat MaterConcerto d’église en mi bémol majeur

Wilhelm Friedemann BaCH (1710-1784)Sinfonia en fa majeur

Cathédrale Saint-Étienne> 21h30 / tarifs : 8 et 6 €*

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[musique sacrée]

La Sacem, partenaire du Festival Toulouse d’été

132 000 auteurs, compositeurs et éditeurs de musique / 112 accords de représentation avec des sociétés d’auteurs étrangères / Un répertoire national et international protégé de plus de 38 millions d’œuvres / Une contribution majeure à la création musicale et au développement des concerts et spectacles avec un budget culturel de 19,6 millions d’euros /

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Festival ete Toulouse:Caisse des Depots 21/05/10 17:47 Page 1

Créé en 1997, le Chœur de chambre Les Éléments, dirigé par son fondateur Joël Suhubiette, s’est affirmé en quelques années comme l’un des principaux acteurs de la vie chorale française. En 2005, il est

lauréat du Prix Liliane Bettencourt, décerné par l’Académie des beaux-arts et, en 2006, Ensemble de l’année aux Victoires de la Musique classique. Il se produit sur les plus grandes scènes françaises, mais aussi à l’étranger.

Instrument de haut niveau au service de la création contemporaine, défenseur du répertoire a cappella, il crée des œuvres de Patrick Burgan, Ivan Fedele, Philippe Hersant, Vincent Paulet, Ton That Tiêt, Zad Moultaka, Alexandros Markeas… et il interprète aussi bien Harvey, Berio, Messiaen, Poulenc, Stravinsky, Martin, Britten, Hindemith… que l’oratorio et le répertoire choral des siècles passés.

Attentif à la restitution du répertoire ancien, Joël Suhubiette le dirige également dans Bach (Messe en si, Cantates, Motets), Monteverdi (Vêpres à la Vierge), Schütz et Purcell, Mozart, Haydn et plusieurs compositeurs du baroque français.

L’ensemble est fréquemment invité par des orchestres et des chefs de renom : Philippe Herreweghe, Christophe Rousset, Michel Plasson, Marc Minkowski, Emmanuel Krivine… et collabore régulièrement dans sa saison toulousaine avec l’Orchestre national du Capitole de Toulouse. Depuis 2008, il est régulièrement invité à Paris par l’Opéra-Comique pour des productions scéniques.

Photo : François Passerini ©

CHŒUr De CHaMBre Les éLéMeNts

mardi 27 juillet

L’invitation au voyageDes musiques populaires aux musiques savantes sur les chemins d’europe centrale

Chœur de chambre Les élémentsJoël suhubiette, directionCorine Durous, piano

Franz sCHuBert (1797-1828)Mélodie hongroise en si mineur D 817 pour piano

robert sCHumann (1810-1856)Zigeunerleben pour chœur et piano

piotr ilitch tCHaiKoVsKi (1840-1893)Chœurs a cappella

Johannes BraHms (1833-1897)Zigeunerlieder pour chœur et piano

Béla BartóK (1881-1945)Danses roumaines pour piano

antonín DVoráK (1841-1904)Quatre chansons populaires, op. 20 pour chœur et piano

igor straVinsKY (1882-1971)Soucoupes - Quatre chansons paysannes, pour chœur de femmes a cappella

Béla BartóK (1881-1945) Quatre chants slovaques, pour chœur et piano

György LiGeti (1923-2006)Trois chants du folklore hongrois, pour chœur a cappellaEjszaka (Nuit), pour chœur de 8 voix a cappellaReggel (Matin), pour chœur de 5 à 10 voix a cappella


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[musique vocale]

Les voies de la Méditerranée nous convient au voyage et à une rencontre exceptionnelle entre les musiques traditionnelles de l’Asie Mineure et celles de l’Andalousie.

Frédéric Tavernier-Vellas et Fouad Didi ont composé ce parcours singulier dans lequel se manifestent la parenté et la diversité de traditions musicales qui ont marqué les grandes civilisations de la Méditerranée.

À l’ensemble, constitué autour de ces deux musiciens et qui s’est produit l’an dernier à l’Espace Croix-Baragnon pour la première fois, viennent se joindre, pour cette nouvelle création, deux musiciens grecs exceptionnels. Se retrouvent ainsi à l’affiche la chanteuse Katerina Papadopoulou, l’une des plus célèbres interprètes actuelles du répertoire grec traditionnel d’Asie Mineure, et le spécialiste de la lyra de Constantinople (Istanbul), Socratis Sinopoulos.

Pour découvrir des chansons traditionnelles de Constantinople et de la Mer de Marmara, flirtant avec des chants appartenant à la tradition arabo-andalouse. Rencontres, face-à-face, échanges et reconnaissances de ces musiques dont les modes sont issus de la même source.

Photo : Asso Egéo ©

Les voies de la Méditerranée (création)

fréDériC taVerNier-VeLLas et ses invités mercredi 28 juillet

Frédéric tavernier-Vellas, chant - Fouad Didi, violon et chant Georges mas, clarinette - Hassan Boukerou, derbouka, cajon Hédia Chaffaî, qanun - riad Kasbadji, mandole Katerina papadopoulou, chant et oudsocratis sinopoulos, chant et lyra de Constantinople

Jardin Raymond VI > 21h30 / tarifs : 8 et 6 €*repli Halle aux Grains en cas d’intempéries

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[musique du m

onde]

panther’s play est une création scellant la collaboration entre le groupe tou-lousain Pulcinella et le trio hongrois Dzsindzsa. Les deux formations se sont rencontrées lors du festival Mediawave qui se tenait à Györ en Hongrie en

2008 et ont décidé de faire un bout de chemin ensemble. Ils ont enregistré en 2009 un disque pour le label BMC et se produisent cet été à Toulouse avant de se retrou-ver, de nouveau, en Hongrie, à l’automne, au Festival de jazz de Budapest.

L’invitation des Toulousains aux Hongrois est l’occasion de découvrir les meilleurs moments de Vox Populi, la dernière création de Pulcinella, cœur également de leur dernier enregistrement, et d’aller à la rencontre du répertoire de Dzsindzsa.

Temps fort de la soirée, Panther’s play, où l’on retrouve des compositions du saxo-phoniste Gábor Weisz, entre racines magyares et influences free jazz des années 60, ainsi que des morceaux de Florian Demonsant et Ferdinand Doumerc. L’accor-déoniste et le saxophoniste de Pulcinella utilisent ici les possibilités sonores du septet en y insérant la touche d’humour qui peut être l’une des caractéristiques du son Pulcinella.

La musique jouée, avec une rythmique démultipliée (deux contrebassistes, deux batteurs), un accordéon central nourri de musique improvisée et de culture de l’Est, et deux saxophonistes aux discours affirmés, s’inscrit dans la lignée d’un certain jazz européen, intense, organique, aux racines fortes.

Photo : Jérôme Dedebat ©

Photo : Dàvid Pap ©

pULCiNeLLa iNVite DZsiNDZsa

jeudi 29 juillet

panther’s play (création)

Gábor Weisz, saxophones, flûte Ferdinand Doumerc, saxophones, flûte, mélodica, métallophone Florian Demonsant, accordéon - Jean-marc serpin, contrebasse ernõ Hock, contrebasse - Frédéric Cavallin, batterie Hunor G. szabó, batterie


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[jazz]

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Date Lieu Horaire Genre artistes tarifs page

JUILLET15 juillet Casino Barrière 21h opérette La BeLLe De CaDiX / opéra éCLaté 8€ et 6€* p. 4/5

16 juillet Cloître des Jacobins 19h récital pHiLippe CassarD, piano 8€ et 6€* p. 6/7

16 juillet Cloître des Jacobins 21h30 musique de chambre quatuor moDiGLiani et pHiLippe CassarD, piano 8€ et 6€* p. 8/9

20 juillet Gare Matabiau 16h insolite Le pHiLHarmonique D’oCCasions gratuit p. 19

20 juillet Cloître des Jacobins 21h30 récital GuiLLaume CoppoLa, piano 8€ et 6€* p. 12/13

21 juillet Centre Alban Minville 16h concert-lecture soDi BraiDe, piano gratuit p. 14/15

21 juillet Halle aux Grains 21h musique symphonique orCHestre nationaL Du CapitoLe 8€ et 6€* p. 17/18

22 juillet Cloître des Jacobins 19h récital soDi BraiDe, piano 8€ et 6€* p. 20/21

22 juillet Cloître des Jacobins 21h30 musique de chambre quatuor terCea et soDi BraiDe, piano 8€ et 6€* p. 22/23

23 juillet Cathédrale St-Étienne 21h30 musique sacrée orCHestre De CHamBre De touLouse 8€ et 6€* p. 24/25

27 juillet Cloître des Jacobins 21h30 musique vocale CHœur De CHamBre Les éLéments 8€ et 6€* p. 28/29

28 juillet Jardin Raymond VI1 21h30 musique du monde Les Voies De La méDiterranée 8€ et 6€* p. 30/31

29 juillet Gare Matabiau 13h45 insolite Les paLomas mais presque gratuit p. 19

29 juillet Jardin Raymond VI1 21h30 jazz puLCineLLa invite DzsinDzsa 8€ et 6€* p. 32/33

30 juillet Gare Matabiau 13h45 insolite Les paLomas mais presque gratuit p. 19

30 juillet Jardin Raymond VI1 21h30 chanson touLouz’eLLes 8€ et 6€* p. 38/39

13 / 15 / 20 / 22 / 27 / 29 juillet à 18h30 Quai de la Daurade2 / Toulouse plage Retrouvez la pause musiCaLe D’été gratuit p. 62/63

AOÛT3 août Gare Matabiau 16h insolite à L’attrape-Cœur gratuit p. 19

3 août Saint-Pierre des Cuisines 21h30 improvisation Jean-FranÇois zYGeL et antoine HerVé 8€ et 6€* p. 40/41

4 août Gare Matabiau 16h insolite L’éCriVain puBLiC De Cartes postaLes gratuit p. 19

4 août Jardin Raymond VI1 21h30 musique du monde zinGaBe 8€ et 6€* p. 42/43

5 août Jardin Raymond VI1 21h30 jazz Le tiGre Des pLatanes et eténÈsH Wassié 8€ et 6€* p. 44/45

6 août Jardin Raymond VI1 21h30 jazz sWinG 39 inVite… 8€ et 6€* p. 48/49

10 août Jardin Raymond VI1 21h30 jazz électro L’artiCHaut orKestra et némoCaÏne 8€ et 6€* p. 50/51

11 août Jardin Raymond VI1 21h30 hip-hop Doun sHaq / KKC orCHestra 8€ et 6€* p. 52/53

12 août Halle aux Grains 21h30 rock Cats on trees / mopa 8€ et 6€* p. 56/57

13 août Quai de la Daurade 19h chanson et spoken’roll enterré sous X / L’HerBe FoLLe gratuit p. 58/59

3 / 5 / 10 / 12 / 17 / 19 / 24 / 26 août à 18h30 Quai de la Daurade2 / Toulouse plage Retrouvez la pause musiCaLe D’été gratuit p. 62/631 repli Halle aux Grains en cas d’intempéries - 2 repli salle Frédéric mistral en cas d’intempéries *tarif normal : 8 €, tarif réduit : 6 €

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toulouz’elles, troisième création collective du genre, est sans aucun doute la plus complète, la plus riche, la plus captivante et la plus féminine, qui vous sera donnée à entendre depuis Toulouse en chanson, millésime 2008, réunissant

déjà la fine fleur de la chanson toulousaine (Eric Lareine, Manu Galure, Hervé Suhu-biette, Nicolas Bacchus…).

Sans se départir des atouts qui ont fait le succès des créations précédentes (la chanson "à texte" en 2008, le métissage international et "festif" en 2009), Toulouz’elles explore en plus les mystères de la polyphonie vocale exclusivement féminine. Poésie, humour, finesse des arrangements sont les maîtres mots de cette nouvelle aventure musicale.

Cet univers inédit, réunissant sur scène 9 artistes féminines de la région à la complicité palpable, proposé par l’association Toulouse en scène, apparaît comme un trait d’union entre générations d’artistes. Il offre un éclairage différent de la création grâce à la rencontre de chanteuses confirmées et de nouvelles voix fraîchement débarquées. Une mixité qui apparaît comme un véritable atout au renouvellement d’un art, celui de la chanson !

Photo : Marie-Pierre Cravedi ©

toulouz’elles (création)

toULoUse eN’CHaNteUses

vendredi 30 juillet

Coco Guimbaud, nadine rossello, equidad Bares, Catherine Vaniscotte, émilie Cadiou (La Mangeuse d’accordéon), mélanie Fossier, aïda sanchez (Orlando), Françoise Guerlin et Françoise Chapuis (ex Femmouzes T.)

patrick Faubert, son


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[chanson]

Les biens connus Jean-François Zygel et Antoine Hervé se livrent à leur exer-cice favori, l’improvisation, dans un duel frénétique. Déjà quand ils étaient petits, Antoine et Jean-François, en classe de solfège spécialisé au Conser-

vatoire de Paris, s’amusaient à compliquer la vie de leurs professeurs en rajoutant des doubles dièses et des rythmes irréguliers à tout ce qui passait. Depuis quelques années, ils se produisent en duo pour des concerts d’improvisation inattendus, où les frontières sont en permanence déplacées et réinventées. On les entend partout de la télévision au Théâtre du Châtelet, du Grand théâtre de Provence à la Maison de Radio France…

Autour de la figure emblématique de Claude Nougaro, nos deux complices musicaux nous préparent un duel d’improvisation pétillant et inventif, où ils exploreront, cha-cun à leur manière, le jazz, le classique, les mélanges inattendus… pour le meilleur et pour le pire!

Pianiste et compositeur, Jean-François Zygel a mis l’improvisation au centre de son processus créatif. C’est aujourd’hui un habitué du public toulousain : Pochettes-surprise à l’Espace Croix-Baragnon, interventions auprès de l’Orchestre national du Capi-tole, à l’affiche du TNT à la rentrée pour la création Michpoure, ma famille juive.

Directeur de l’Orchestre national de Jazz de 1987 à 1989, Antoine Hervé a enregistré notamment avec Quincy Jones, Gil Evans, Chet Baker, Dee Dee Bridgewater, Peter Erskine ou Ray Barreto. Musicien au sens large du terme, pianiste virtuose ayant bénéficié d’une solide formation classique, il crée régulièrement ses œuvres avec des ensembles prestigieux, tels que l’Ensemble Intercontemporain ou le Quatuor Kocian, dans les plus grands festivals internationaux.

Photo : Frédéric Michel©

JeaN-fraNÇois ZyGeL et aNtoiNe HerVé

mardi 3 août

autour de Nougaro (création)Jean-François zygel, piano

antoine Hervé, piano

Saint-Pierre des Cuisines > 21h30 / tarifs : 8 et 6 €*

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[improvisation]

L’afrobeat est un cocktail explosif de funk, soul, jazz et de musiques tradition-nelles africaines telles que la high life et la ju ju music. Ce savant mélange musical est né à la fin des années 60. On le doit à la créativité du génial et

inspiré nigérian Fela Anikulapo Kutiun et de son engagement dénonçant les dérives politiques et les injustices sociales de son temps.

C’est dans ce riche terreau que les 11 musiciens de Zingabe ont décidé de faire germer leur propre graine et de voir fructifier leurs diverses influences au service de la transe. Les cuivres s’envolent au-dessus d’une solide section rythmique offrant ainsi un écrin à la voix et au discours enflammé du chanteur.

Tirant l’origine de son nom de la famille des plantes zingibéracées, dont fait partie le gingembre, Zingabe est originaire de Toulouse. Il puise son inspiration notamment dans les musiques de Fela Kuti, Antibalas Afrobeat Orchestra et plus tardivement Seun Kuti.

Fondé en 2006, il a su se forger un répertoire original en se produisant aussi bien dans la région toulousaine qu’au Glazart (Paris), au festival Radio France de Montpellier ou au festival de Montreux en Suisse. Zingabe vient de connaître un remaniement important, se lançant dans d’inédites compositions qui aboutiront courant 2010 à la sortie d’un nouvel album.

Photo : DR ©

Zingibéracée (création)

ZiNGaBe

mercredi 4 août

Vincent Duro, saxophone baryton, chant - Yves moreu, saxophone alto, chant - illyes Ferfera, saxophone ténor, chant - Guillaume pique, trombone, chant - Jean-philippe Carde, claviers, percussions, chant Benjamin Weber, chant lead, percussions, saxophone ténor Loris pertoldi, batterie - Guillaume Gendre, basseGérald Gimenez, guitare, chant - Cédric Verdier, guitarestéphane perruchet, congas, percussions, chant


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[musique du m

onde]

Le Tigre des Platanes, quartet toulousain et vénéneux, mine et recycle depuis bientôt dix ans, à sa façon, plutôt impertinente, des musiques increvables. Après une invitation au Festival international de musiques éthiopiennes en

janvier 2006, il est rentré d’Addis Abeba plein d’une splendide énergie, enrichi par le voyage et les rencontres.

Celle avec la chanteuse Eténèsh Wassié a été déterminante et a réellement permis d’explorer un territoire nouveau et inconnu. S’en suivront 52 concerts pour une tournée qui, à chaque étape, séduit toutes les publics et se termine, fin 2008, en apothéose, en Éthiopie.

2009 marque un tournant. Dans une continuité évidente avec leurs précédentes aventures, Lévitation azmari rassemble de nouveau le Tigre et Eténèsh auxquels vont se joindre quatre nouveaux artistes éthiopiens. La primeur de la création a été pour le Festival Africolor en décembre dernier. Il revient aujourd’hui en première toulousaine.

Danse, musique, tradition et liberté, écriture et improvisation, alternance, choc ou connivence. Quelques heures en lévitation où se succèdent de façon incroyablement fluide des instants de toutes couleurs. Kèbèro et batterie, basse électrique et mèssenqo, danses guerrières et rock‘n roll, ponctués par des moments de grande douceur et des vagues de frénésie collective nourrissent cette rencontre ludique et chaleureuse.

Photo : Pierre Fleygnac ©

Le tiGre Des pLataNes et etéNÈsH Wassié invitent l’éthiopiejeudi 5 août

Lévitation azmari (création à toulouse)

eténèsh Wassié, voix - marc Démereau, saxophones - Fabien Duscombs, batterie - piero pépin, trompette et bugle - mathieu sourisseau, basse acoustique - Dagmawi negash et zinash tsegaye, danseurs - misale Légéssé, kèbèro - endres Hassen, mèssenqo


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[jazz]

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rares sont les musiciens, qui plus est européens, à avoir été à l’ori-gine d’un mouvement musical majeur demeurant toujours vivant et ancré dans la mémoire collective.

Django Reinhardt appartient à cette famille ! Son swing manouche, qu’hors des frontières d’aucuns s’accordent à appeler "French jazz", poursuit son chemin et, issus ou non du peuple gitan, ces défenseurs n’ont de cesse d’entretenir la flamme. Toulouse a toujours perpétué l’art du maître gitan, que se soit en cultivant l’esthé-tique du hot club de France (HCF) ou en enrichissant le répertoire.

Mais comment évoquer Django sans parler de Stéphane Grappelli ? Initiateur du violon jazz, ce monument de la musique a grandement contribué au rayonnement du HCF, tout en participant largement à la création de nouvelles musiques.

Cette année, Django aurait eu 100 ans et il ne faudra pas moins de 9 musiciens talentueux pour lui rendre hommage et montrer combien sont redevables ses successeurs. Django, Stéphane et les autres… ceux qui composent et jouent aujourd’hui. Tempo manouche !

Django, stéphane et les autres… (création)

sWiNG 39 iNVite…

vendredi 6 août

thierry Di Filippo, guitare - mario Da silva, guitareJoris taghi, guitare - mickael sourd, guitarethomas Kretzschmar, violon - andré sutre, pianoLaurent marc, vibraphone - steeve Denoy, contrebasse Jean-Denis rivaleau, batterie

Photos : nicotoulouse©


ann

ive

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[jazz]

Deux univers antagonistes. D’un côté un son organique, proposé par l’Artichaut Orkestra, quartet aux influences de la scène klezmer new-yor-kaise, dont l’improvisation est le fer de lance, de l’autre un déversement

de matières électroniques entre breakbeat et electro orchestré solitairement par Nemocaïne. Articaïne marque la réunion de deux univers à travers des composi-tions originales réarrangées pour l’évènement mais aussi une création collective.

Saisie d’une irrésistible chaleur, les musiciens d’Artichaut Orkestra nous proposent un bouquet klezmer riche, de l’énergie du rock à l’inventivité du free. Camille Artichaut a étudié avec David Krakauer à New York, et la plupart des membres du groupe ont travaillé avec Magyd Cherfi et André Minvielle.

Némocaïne débute son apprentissage musical par le piano et la guitare. Il découvre la musique électronique avec Fast Tracker 2, sous Atari ST. En parallèle à ses études, il rejoint le mouvement Free Party, avec le collectif toulousain Knobz. Il décide alors de fusionner deux visions de la musique en créant Anakronic Électro Orkestra. Il poursuit cette exploration en proposant le concept impro électro. Influencé par Amon Tobin ou encore Aphex Twin, son style oscille entre expérimentations, grooves lubriques et sonorités mystiques, le projet Némocaïne signe son retour sur scène en solo.

articaïne (création)Camille artichaut, clarinette - pierre-emmanuel roubet, accordéon sébastien rideau, guitare électrique - Frédéric petitprez, batterie michaël Charry "Némocaïne", machines

Photo : Mélanie Capuano ©

Photo : Claire Hugonnet©

L’artiCHaUt orKestra et NéMoCaÏNe

mardi 10 aoûtJardin Raymond VI > 21h30 / tarifs : 8 et 6 €*repli Halle aux Grains en cas d’intempéries

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[electro jazz]

pour un nouvel hip-hop…

Doun shaq tristan Gramond, chant - paul Vernheres, guitare pierre Bauzerand, claviers - stephan Garcia, basseolivier Vernheres, batterie - nicolas sabathe, trompette Jean Vernheres, saxophone - Ferdinand Doumerc, saxophone, flûte

Le KKC orchestraJulien, chant et scratch - marie, claviersmichaël, guitare - aurélien, machines

Photo : Fabien Espinasse©

Photo : Titi Costes©

DoUN sHaq / KKC orCHestra

mercredi 11 août

Àl’origine de Doun Shaq, trois passionnés de musique, vite rejoints par quatre autres musiciens : chacun amenant avec lui son expérience de la scène et du studio dans des formations jazz et funk et ses influences d’horizons divers. Dans

un cocktail détonnant, ils se mettent à la composition et peu à peu, trouvent leur propre style : ces huit Toulousains aux références plus qu’alléchantes (Headhunters, Parliament, Sly and the Family Stone… métissés par Wu Tang Clan, The Roots ou Cypress Hill) fabriquent du funk’n hop. Ils manient le funk subtilement grâce à une section cuivre dopée à bloc, un combo guitare, basse, batterie au millimètre et des claviers bouillonnants. Au micro, le charismatique Mr Tristan a la classe de son flow hip-hop, il surfe sur les mots. Une voix et des textes mi-rap mi-chant en français, une musique qui navigue entre le funk, le jazz et le hip-hop dans un pur style groove.

Tout commence, pour le KKC Orchestra, appartement 74 de la cité toulousaine d’Em-palot… quatre colocataires bidouillent dans leur salon pour mêler les savoir-faire de chacun. Un Dj aux humeurs drum’n bass, une pianiste de formation classique et son frère guitariste swing, sur lesquels surfe un rappeur, chanteur scratcheur ! Bref on ne va pas se lancer dans l’indescriptible. Depuis, ces quatre passionnés de musiques d’horizons différents ont su se créer un univers bien à eux, basé sur la rencontre entre hip-hop et swing où break beat et chansons bien ciselées se côtoient...


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[hip-hop]

lemouv.comINFOS ET FRÉQUENCES

95.2toulouse

LMToulouse bandeau100x150:Mise en page 1 31/05/10 15:29 Page

elle chante et joue du piano. Il joue de la batterie et parfois il chante. Ils ont été avec Dilem, Révélations du Printemps de Bourges 2010. Cats on trees développe un monde magique et personnel rempli d’animaux étranges et de

couleurs vives. La voix de Nina Goern se révèle fraîche, profonde et touchante, tandis que Yohan Hennequin donne ici dans une finesse et une subtilité bluffante. Sur scène, le bluff devient claque. Le corps de Yohan se meut et danse au gré des chansons. Le batteur se fait éphèbe et devient magnétique à regarder. On passe d’une efficacité rock à des expérimentations bruitistes d’une grande intelligence. Nina Goern, quant à elle, apparaît tout à la fois fragile et impressionnante. On voit tour à tour une petite fille timide, empruntée et une pianiste surdouée qui chante à la perfection. Le spectateur est transporté dans des cieux orange remplis de nuages verts ou dans des arbres remplis de chats.

Mopa, trio hors-cadre. Trois musiciens assis. Un pianiste. Et des notes qui amènent loin. Loin d’ici, de tous ces paysages sacrifiés. Un batteur. Martelant ses fûts comme s’ils étaient son pire ennemi. Et un chanteur, condamné à extérioriser des émotions viscérales. Romantique, violent, nihiliste… Trois musiciens assis sur une bombe. S’il y avait un injuste milieu entre Dany Helfman, Neurosis, Helmet, Chopin, Nick Cave et Will Haven, il serait sûrement sur un iceberg, en Alaska… Mopa, My Own Private Alaska.

to Lose on the rocksCats on treesnina, piano et chant - Yohan, batterie

mopatristan, piano - Yohan, batterie - matthieu, voix

Photo : NicolasFleureWeb©

Photo : Pierre Red Ollier ©

Cats oN trees / Mopa

jeudi 12 aoûtHalle aux Grains > 21h30 / tarifs : 8 et 6 €*

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[rock]

ConCert De CLÔture

au bord de l’eau… (création)

enterré sous XLatik, guitares, didgeridoo, flûtes - Bruno Boyer, batterie, percussions reptilien, contrebasse - Cyclic, textes, chant - zedrine, textes, chantLuke askance, textes, chant - Lili June, textes, chant

L’Herbe folleClémentine thomas, batterie, cajon, ukulélé, sampleur-séquenceur, guitare classique, xylophone, chant - Florent Lalet, saxophones soprano, alto, ténor, baryton, flûte traversière, guitare classique, cloches, chant - aladin Chaboche, guitare classique, guitare électrique, accordéon, chant rémi Gacquiere, contrebasse, basse, choeurs

invités : paul Bertrand "Cyclic", voix slam - thomas Kretzschmar, violon

Photo : Yahnn Owen©

Photo : Hélène Poussou©

vendredi 13 août

Clôture du festival dans le cadre de toulouse plage

avec Enterré sous X, quatre slameurs se succèdent avec leurs univers, leurs textes, leurs mots. Ils se rencontrent, échangent, mélangent leurs plumes et leurs styles, toujours accompagnés des musiciens qui

constituent le fil conducteur du spectacle. Sous une étiquette nouvelle, spo-ken’roll, l’univers musical d’Enterré sous X brasse les genres et brouille les pistes avec subtilité. Le spectacle emprunte, dans les jeux de scène, des éléments au théâtre. Un spectacle vivant, incarné, drôle, sensible et déjanté alliant la poésie du spoken word et l’énergie du rock’n roll.

L’Herbe Folle est une formation de quatre poly-instrumentistes, toulousains d’adop-tion. Leurs chansons métissées ne sont prisonnières d’aucun style, jazz, klezmer, valse, bourrée, java, tzigane, tout y passe ! Rock, dub, drum’n bass et autres secousses plus électriques pointent aussi leur nez dans de grands mouvements instrumentaux qui sautent, sans vergogne mais avec brio, d’une esthétique à une autre, pour mieux nous faire danser. Accompagnée de deux invités, Thomas K, au violon, et Paul Bertrand "Cyclic", au slam, L’Herbe Folle fera la faveur au public estival toulousain, plusieurs mois avant la sortie officielle d’un nouvel album CD/DVD live, attendu en mars 2011, d’entendre certains de ses nouveaux titres.

eNterré soUs x / L’HerBe foLLe

Quai de la Daurade > à partir de 19h / gratuit

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toulouse d’été fait sa pause à la DauradeEntre le 13 juillet et le 26 août, Toulouse d’été installe la Pause musicale sur le quai de la Daurade dans le cadre de Toulouse Plage. Elles nous ravissent toute l’année de la Salle du Sénéchal à la Maison d’Occitanie, petits moments privilégiés qui rythment nos déjeuners. Avec l’été, la Pause musicale s’installe à l’heure de l’apéro aux détours des quais de la Daurade. A déguster sans modération !

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MarDi 13 JUiLLet 2010 / Le MystÈre Des éLépHaNtsfanfare de poche Tous les éléphants laisseront aller leurs corps lourds à la danse et la rêverie…m. Laurain, saxophone baryton - L. papillon, saxophone soprano - L. Hateau, saxophone alto F. triby, batterie

JeUDi 15 JUiLLet 2010 / Les roMs Des foiNs musique des Balkans Sourire et bonne humeur incontrôlables, éruptions balkaniques… Contagion inévitable ! o. perrin, accordéon, chant - s. Kastelnik, percussions, chœurs - G. stoch, clarinette, chœurs

MarDi 20 JUiLLet 2010 / faÂLa musiques de la méditerranée Voyage musical mêlant rythmes et mélopées orientales aux grooves fougueux d’une contrebasse.s. Hammouch, qanoun - p. J. trouette, contrebasse - B. Hakoto, percussions

JeUDi 22 JUiLLet 2010 / Les troUBLaMoUrs tarentelle gitano-guinguette

Fanfare de poche avec tubapprivoisé, cracheur de jeu, jongleur de mots et élixir de tarentule. B. Bernes, tambourin, percussions, chant - e. Chafer, tuba, basse - e. Ferrari, accordéon, chant s. Ferrari, sax soprano, gralla, chant - C. paris, sax alto

MarDi 27 JUiLLet 2010 / CHUNqUitUy musique bolivienne Musique traditionnelle des hauts-plateaux boliviens et hommage à Gilbert Favre, El Gringo ! J-p. Lafitte, kéna, zampoña, chant - F. Knab, chant, guitare, kena, zampoñam. Crampon, charango, chant - m. Brel, bombo, kena, zampoña

JeUDi 29 JUiLLet 2010 / MaMpy rocksteady reggae jazz Reprises et compositions inspirées de l’univers jamaïcain, riche et ensoleillé. B. roudel, guitare, chant - L. mussard, piano, rhodes, orgue - m. Jardat, contrebasseB. Verger, batterie, chant - F. monnier, ténor sax

MarDi 3 aoÛt 2010 / DiDier LaBBé trio jazz echo à abdullah ibrahim : Cap sur Le Cap pour une création toute en douceur et en nuances, en fêtes et en cérémonies, à l’image de son inspirateur.D. Labbé, saxophones - J-D. rivaleau, batterie - L. Guitton, tuba

JeUDi 5 aoÛt 2010 / LoVeLy Lise funk, jazz, rock, chanson française Une voix féminine pour un répertoire masculin, une guitare basse pour jouer les harmonies… poésie, humour et saturations. Simple, évident et complètement atypique !Cécilo, chant - J. Duthu, basse électro-acoustique

MarDi 10 aoÛt 2010 / GaNZUa tango La tradition “voix - guitare” du tango, dans le sillage d’Edmundo Rivero, Carlos Gardel et du maestro Roberto Grela .V. rojas, première guitare, arrangements & direction musicale - s. saraniche, deuxième guitare J. "Diuri" Gubitsch, guitarrón criollo. Avec la participation de J. saraniche, chant

JeUDi 12 aoÛt 2010 / Les pistoNs fLiNGUeUrs fanfare funk Rock’n groove festif à l’instrumentation cuivrée et à l’humour décalé.V. palotis, trompette - e. pollet, trombone - V. Westrelin, soubassophoneo. Fourcade, banjo, chant - L. Duffaut, batterie

MarDi 17 aoÛt 2010 / DiaNa BaroNi trio créations sud-américaines Créations alliant chaleur des rythmes et des chants afro-amérindiens et intimité esthétique de la musique de chambre. D. Baroni, flûte, chant - L. almada, harpe jésuite, cajon - r. Guel, percussions, vihuela, voix

JeUDi 19 aoÛt 2010 / KaJto musiques populaires, chants de marins Les cerfs-volants frisons. Créé en 1984 et conquis par l’esperanto dès 1988 ce groupe se produit dans le monde entier, universalité de la langue oblige. n. Kalma, guitare, cistre, banjo, violon, chant - a. Van Der meer, guitare, banjo, flute, chant(clin d’œil au festival Festo, rencontre internationale des jeunes espérantistes)

MarDi 24 aoÛt 2010 / fraNÇoise GUerLiN poésie,humour et jazz Du Vian dans mon crâne. Chansons d’amour, poétiques, engagées, dégagées… Boris Vian laisse une œuvre musicale insolite où rôdent les âmes des plus grands jazzmen de son époque.F. Guerlin, chant - m. royer, guitare - m. Delporte, contrebasse - L. paris, batterie, percussions

JeUDi 26 aoÛt 2010 / MooNLiGHt BeNJaMiN musique haïtienne Sensuelle et envoûtante comme un rite vaudou, cette chanteuse dessine un hommage émouvant au réel merveilleux, à Haïti et à ses forces qui ont modelé sa dignité et son identité face à l’esclavage.moonlight Benjamin, chant - C. amourette, guitare, chant, percussions - F. tisseyre, percussions, chant

quai De La DauraDe*/18h30/GratuitDirection artistique : Joël Saurin*Repli Salle Frédéric Mistral : 5 rue du Pont de Tounis, Toulouse

Partenaire média :

> LioneL LoetsCHer, Table, installation, 140x103x100cm, 2007

> BerDaGuer&péJus La plante à sommeil, installation (caoutchouc, verre, réservoir d’eau…),dimension variable, 2005 FNAC : 05-1142Œuvre du Centre national des arts plas-tiques - Ministère de la Culture et de la Communication, Paris©D.R/CNAP/photo : galerie Martine Aboucaya, Paris

jusqu’au 11 septembre

Cet été, Croix-Baragnon s’ouvre au paysage, deux visions singulières se côtoient. Dans la galerie, Paysage 2 s’inscrit dans la lignée de Paysage (2007), offrant la pré-sence généreuse de la peinture augmentée d’une pénétration de l’espace artificiel.

Une exposition mêlant installations, peinture et vidéos, avec la participation de Berdaguer et Péjus, Damien Cabanes, Jean Lafforgue, Lionel Loetscher, Tania Mouraud, Eva Nielsen, en collaboration avec Point de fuite, Marie-Agnès Verdier et Brankica Zilovic.

À l’Espace III, Bertrand Segonzac aborde le paysage sous l’angle du danger avéré ou potentiel auquel il est exposé à travers l’exposition Imminence de la catastrophe, proposée par Laurent Bardèche d’Annexia/Lieu commun jusqu’au 3 juillet 2010. Collaborent avec

eux Nicolas Descottes, Brian Doyle et Jonathan Hershaw, avec un choix de photographies et de vidéos formant le corps de cette exposition.

paysage 2 et imminence de la catastrophe

24 rue Croix-Baragnon 31000 Toulouse

TARIFS> tarif normal 8€

> tarif réduit 6€ (sur présentation d’un justificatif,

pour les moins de 26 ans, les demandeurs d’emploi

et les bénéficiaires du RSA, pour les adhérents FNAC et COSAT,

pour la deuxième place achetée par un abonné des parkings Vinci,

sur présentation de la carte Toulouse Cultures, du pass "Toulouse en liberté", commercialisé par l’Office de tourisme

de Toulouse et pour 10 places achetées simultanément pour un même concert).

Gratuité pour les enfants de moins de 12 ans

LIEUX DE VENTEespace Croix-Baragnon

24 rue Croix-BaragnonÀ partir du 15 juin

du lundi au vendredi - de 10h à 18h

Fnac Wilson, Labège, micro, Jeanne d’arc, Carrefour, Géant

0 892 68 36 22 (0,34 € / min), www.fnac.com

sur le lieu des manifestationsLe soir des concerts,

dans la limite des places disponibles

Concerts gratuits :Sans paradis fixe entre en gare(20, 29 et 30 juillet, 3 et 4 août)

À la recherche de la note bleue(21 juillet)

Au bord de l’eau… (13 août)

Tous les concerts de La Pause musicale (d’été)

Conditions générales Placement libre. Les salles et lieux de concerts sont accessibles au public une demi-heure avant le début du spectacle. Les billets ne seront ni repris ni échangés. Le spectacle commence à l’heure. Les spectateurs retardataires ne peuvent être placés que lors d’une interruption du spectacle, en fonction de l’accessibilité. Les replis des spectacles sont prévus la veille en fonction des bulletins météorologiques communiqués par Météo France. Les spectateurs peuvent se renseigner à partir de 12h au 05 62 27 60 71 le jour du spectacle. Une demi-heure de battement est prévue entre le lieu du concert initialement prévu et le lieu du repli afin de permettre aux spectateurs d’assister dans les meilleures conditions au spectacle. Si le spectacle doit être interrompu après 20 minutes, les billets ne seront pas remboursés. En cas de repli du spectacle, les places réattribuées ne seront pas remboursées. La direction peut être amenée à modifier les programmes et la distribution. Dans ce cas, les billets ne seront ni échangés, ni remboursés. Il est interdit de photographier, d’enregistrer ou de filmer. Les portables doivent être éteints.

Cette brochure éditée en juin 2010 ne saurait engager la responsabilité

du festival en cas de modification des programmes ou des dates

INFORMATION PUBLICespace Croix-Baragnon

24 rue Croix-BaragnonTel : +33 (0)5 62 27 60 71

[email protected] www.toulousedete.org

Du lundi au vendredi, de 10h à 18h

Pour retrouver toutes les informations sur vos festivals, rendez-vous

au kiosque d’information, Esplanade François Mitterrand,

allées Franklin Roosevelt - ouvert 7 jours sur 7 de 13h15 à 19h45 en mai et juin,

du lundi au samedi de 13h15 à 19h45 en juillet et août.

www.toulouse.fr

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Auditorium Saint-Pierre des Cuisines12 place Saint-Pierre

m Capitole (ligne A)

Gare Matabiau SNCF80 boulevard Pierre Sémard

m Marengo SNCF (ligne A)

Cloître des JacobinsRue Lakanal

m Capitole (ligne A)

Halles aux GrainsPlace Dupuy

m François Verdier (ligne B)

Cathédrale Saint-ÉtiennePlace Saint-Étienne

m François Verdier (ligne B)

Quai de la Dauradem Esquirol (ligne A)

Jardin Raymond VIAllées Charles de Fitte

m St-Cyprien République (ligne A)

Centre culturel Alban Minville1 place Martin Luther King

m Bellefontaine (ligne A)

www.toulousedete.org

office de tourisme +33 (0)5 61 11 02 22

Centrale de réservation hôtelière 0 892 700 297

Gare de toulouse36 35 (0,34 € / min)

aéroport de toulouse 0 825 380 000 (0,15 € / min)

Covoituragewww.covoiturage.tisseo.frwww.covoiturage.fr

Cette brochure est imprimée sur papier écologique issu de forêts gérées durablement.

Ne pas jeter sur la voie publique.

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Rocade

TOULOUSE

Canal du Midi

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Cathédrale Saint-Étienne

Halle aux Grains

Cloître des Jacobins

Quai de la Daurade

Gare MatabiauSNCF

AuditoriumSaint-Pierredes Cuisines

Jardin Raymond VI

Centre culturelAlban Minville

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TOULOUSE d’été

remercie chaleureusement ses partenaires pour leur soutien.

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TOULOUSE ÉTATS-UNIS

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TOULOUSE

d’étén’aurait pu voir le jour

sans l’engagement du personnel de l’Espace Croix-Baragnon,

la compétence et la disponibilité des différents services de la Ville de

Toulouse, la mise à disposition des divers lieux d’accueil et le soutien de leurs responsables, l’implication des

équipes de stagiaires et saisonniers et sans tous ceux

qui ont su nous conseiller et nous soutenir dans cette aventure.

Nous tenons sincèrement et vivement à les en remercier.

Bureau Du FestiVaLEspace Croix-Baragnon24 rue Croix-Baragnon

Tel : +33 (0)5 62 27 61 02 +33 (0)5 62 27 62 17

Fax : +33 (0)5 62 27 67 32

l’équipeDirectionAlain Lacroixassisté de Vincent Lasserre

administration/partenariatAnne-Marie Aubert

Conseil juridique/marchés publicsAndré Amigues

ContratsChristian Armaing

Comptabilité/régieMorgan Pennavaire

Communication/presseSophie Broquèreassistée de Yann Valade

régisseur généralJean-Pierre Siguier assisté de Christian Moga et Mathieu Saint-André

GraphistePascal Pariselle

génération musiques ! m · kieffer décident de fonder le quatuor modigliani. les uns se sont...

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