gazette du 1er trimestre 2019 -...
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GAZETTE du 1er TRIMESTRE 2019 Janvier, février, mars
Editorial
Chers Amis, En qualité de Président, je suis très honoré de remplir cette mission et de prendre ma plume pour rédiger cet éditorial chaque trimestre. De tous côtés on entend le bruissement d'un quotidien un peu difficile, aussi notre souhait le plus sincère est de garder notre sérénité et notre sagesse : << Semblable à ces hautes montagnes dont la cime au-dessus des nues trouve la sérénité dans sa hauteur et ne perd aucun rayon de la lumière qui l'environne. >> Bossuet. Nous finissons l'année avec une situation difficile pour notre pays , espérons sortir de cette crise avec courage et dignité. Pour 2019, souhaitons une année de paix et suffisamment de santé pour en profiter. En cette période de solidarité, nous vous rappelons que l'amicale dispose d'un fonds social pour vous aider à mieux vivre et à supporter vos handicaps physiques et ainsi à améliorer votre vie quotidienne . Je ne peux terminer mes propos sans mes voeux de santé, joie en famille, bonheur et
engagement pour 2019 ! Michel AVON
Président, Michel Avon 06 26 83 33 56 [email protected] Vice-Président, Louis Charbonnier 06 84 80 90 94 [email protected] Vice-Président, Pierre Baron 06 80 98 52 75 [email protected] Président d’honneur, Michel Rumeau-Maillot [email protected] Secrétaire, Paul-André Gilibert, tél. 06 12 63 54 32 [email protected] Secrétaire-adjoint, Patrick Deher, tél. 06 81 68 94 24, [email protected] Trésorier, Patrick Theys, tél. 06 75 86 89 61, [email protected] Trésoriers-adjoint, Jean-Robert Richard 06 70 51 92 36 [email protected] Gazette, JC. Christophe 06 33 57 05 89 [email protected]
BULLETIN D’ADHÉSION ARLB A retourner complété et signé
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Nota : vos droits concernant le présent mandat sont expliqués dans un document que vous pouvez obtenir auprès de votre banque.
ILS NOUS ONT QUITTÉS…
Liste établie avec les informations disponibles lors de la rédaction de la Gazette
Nos pensées vont vers eux et leurs familles à qui nous transmettons nos condoléances les plus sincères !
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SECTION DE BOURG-EN-BRESSE Présidente : Jacqueline PERROT 42, rue du Peloux,
01100 BOURG-EN-BRESSE
Les activités de l’automne 2018 ont été nombreuses et variées, accompagnées d’une douceur et d’un soleil fort agréables…
→ De l’excep on ! Une sortie véritablement inédite pour 40 retraités qui profitèrent d’une journée digne de l’été ce 20 septembre au château de Vareppe à Groslée. Cette vieille demeure du Bugey, totalement en pierre blanche, avec deux tours rondes, une cheminée immense pour accueillir un cochon entier qui finira doré à point ! Des saucisses cuites au milieu de grappes de raisin, voilà une cuisine inédite, parfumée, et le
lancer de diots (saucisses) intrigua et amusa le groupe de retraités de l’Ain. Les vignes cultivées dans les cailloux venaient d’être vendangées à la main, gardant encore toutes leurs feuilles bien vertes malgré la sécheresse de l’été 2018, des vignes alignées en taille haute. Un menu plaisant, une dégustation de la production du propriétaire (pétillant Bugey blanc et rosé, ainsi que vin rouge Mondeuse et Pineuse).
L’Amicale de Bourg avait offert le transport en car, rendant les diverses dégustations encore plus agréables. Et pour couronner le tout, un maître de maison digne des grands animateurs a rendu cette visite inoubliable. Précision viticole : Quand on cherche dans une encyclopédie, nous trouvons Mondeuse : variété de cépage rouge cultivé dans l’Ain, l’Isère et la Savoie ; Pinot : cépage français qui donne d’excellents vins (en noir, en gris, en blanc). Concernant la Pineuse, notre hôte réalise un mélange de Pinot et de Mondeuse, à sa façon, donnant la Pineuse, propre à son domaine.
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→ Du 4 au 7 octobre 2018 : Voyage à Prague Une ville merveilleuse, visitée sous un soleil automnal par 34 personnes de l’amicale de Bourg. Beaucoup de déplacements à pied ont rendu le séjour fatiguant mais ô combien passionnant et enrichissant. Que de touristes à Prague ! Impressionnant !
→ 19 octobre 2018 : Repas et loto 57 participants qui, tout d’abord, ont apprécié un menu inédit avec un plat unique : paëlla de la Dombes composé de poulet, filets de carpe, écrevisses rouges, grenouilles émiettées. Un régal pour tous ! Une tarte aux pommes légère agrémenta ce repas sympathique. Puis place au loto animé et doté de lots régionaux.
« Et n’oubliez pas que le plus fructueux de tous les arts, c’est l’art de bien vivre » Proverbe latin. → Date à retenir : AG et galette des rois, le 18 janvier 2019
Article préparé par Robert Gadiollet
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Section de DIJON
DANS LE RETROVISEUR BOURGUIGNON
Jeudi 04 Octobre 2018 Repas chez «Brochette et Cie» rue Odebert
et visite de «DIJON CITE MEDIEVALE» Un nouveau rendez-vous au cœur de la cité dijonnaise pour notre repas convivial, rue Odebert, (à
proximité des halles) avec «Brochette et Cie», un successeur de l’ancienne taverne… (Re) Découverte de DIJON MEDIEVAL Les premières traces d’habitat de Dijon remontent au néolithique. La Dijon Celtique Divia est la Métropole des « Lingons (un des plus anciens peuples gaulois). Un zeste de «Castrum » au temps des Romains, une occupation par les Burgondes… Et, sous les 4 Ducs Vallois de Bourgogne : Philippe le Hardi(1364-1404) ; Jean sans Peur (1404-1419) ; Philippe le Bon (1419-1467) et Charles le Téméraire (1467-1477), une période brillante pour Dijon, capitale du Duché de Bourgogne qui s’étendait jusqu’aux Pays-Bas. Enfin, la statue de bronze de Louis XIV, sur la place Royale brisée sous la Révolution
La Dijon Bourguignonne d’aujourd’hui, une grande ville d’Arts et d’histoire. Le «Parcours de la Chouette» vous promène dans le secteur sauvegardé, héritage des Ducs et des Etats de Bourgogne. Quelques incontournables : Le Palais des Ducs et des Etats de Bourgogne qui abrite également le musée des Beaux-Arts, la cathédrale Saint-Bénigne,
l’église Saint-Etienne, l’église Saint-Jean, la maison Millière et l’hôtel de Vogüe, l’église Notre-Dame Chef-d’œuvre du gothique bourguignon et du gothique classique, la Chartreuse de
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Champmol et le Puit de Moyse, l’horloge du Jacquemart, rapatriée de Courtrai en 1382 par Philippe le hardi. Sans oublier «LA CHOUETTE» qui orne un contrefort de l’église Notre-Dame. Les passants ont pris l’habitude de la toucher de la main gauche en faisant un vœu…
Le cœur de Dijon conserve de nombreuses maisons en pierre, à pans de bois et à encorbellements du 14ème et 15ème Siècle. Les belles façades à colombage de la rue Verrerie donnent un cachet médiéval à ce quartier de la ville.
L’histoire est encore longue pour la «ville aux cents clochers» qui est aussi étroitement liée à celle des grands vins de Bourgogne avec, en point d’orgue, la «Cité Internationale de la gastronomie et du Vin» actuellement en gestation.
REGARDS SUR DEMAIN ° Janvier 2019 - Galette des Rois ° Mars 2019 - AG de notre Section et restaurant « L’esprit » aux LAUMES-ALESIA puis visite du Château de THENISSEY ° Du 15 au 19 mai 2019 - Croisière sur le Rhin «La majestueuse vallée du RHIN ROMANTIQUE et le rocher de la LORELEI» ° Juin 2019 - Visite du Château de FONTAINE FRANCAISE
Jean-Marie MICHEL
Section Drôme-Ardèche
REPAS DE NOEL du 6 décembre
En ce premier jeudi du mois de décembre, rendez-vous était pris pour notre repas de fin d'année chez un restaurateur de la région, plutôt gastronomique, le restaurant Chartron à St Donat sur l'herbasse dans la Drôme. Notre groupe de 25 personnes est présent vers midi à la table et après les embrassades, nous passons aux choses sérieuses. Un menu de fête nous a été préparé et nous nous régalons de l'entrée au dessert, en passant par les vins choisis par le sommelier de la maison, et qui accompagnent merveilleusement bien les plats servis.
Nous passons un très bon moment et les discussions sont chaleureuses et conviviales et tout le monde est heureux de se retrouver une fois encore, nous déplorons bien sûr l'absence de ceux qui n'ont pas pu venir, pour des raisons
diverses. A la fin du déjeuner, nous avions prévu une réunion pour présenter la démission du bureau de la section (3 personnes), la présidente Brigitte Sordet et la trésorière Geneviève Vossier, étant en place depuis bientôt 10 années.
Nous actons le fait qu'elles veulent céder la place et c'est bien normal. Une AG est donc prévue au mois de mars, pour l'élection d'un nouveau bureau, mais d'ores et déjà des bonnes volontés se sont manifestées et le prochain bureau devrait être plus étoffé en nombre de personnes. Nous en saurons plus en mars prochain. Dans l'attente, le bureau actuel continue à assumer sa responsabilité. Puis, nous nous quittons contents d'avoir passé une très bonne journée tous ensemble, Excellentes fêtes de fin d'année à tous et
à l'année prochaine !
Michel RIVOIRE
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Section de Marseille
ROBION L’AUBERGE PAYSANNE
Le 18 octobre 2018 Nous prenons le départ pour le Lubéron où nous allons passer une journée bucolique sympathique et amicale avec les amis qui nous rejoignent à ROBION, à l’Auberge Paysanne que nous a recommandée notre ami Robert. Robion est situé dans le petit Lubéron, sur la route de Maubec, d’Oppède le vieux, de Ménerbes et plus loin Lacoste ancien château du Marquis de Sade et bien d’autres villages dont les pierres aux couleurs chaudes ainsi que les paysages baignés de lumière font le bonheur des peintres. La montagne du petit Lubéron culmine à 727m et s’étend sur un vingtaine de km d’ouest en est et forme avec sa voisine, le Grand Lubéron, une barrière naturelle entre le pays d’Apt au nord et le pays d’Aigues et la vallée de la Durance. Nous laissons Cavaillon, réputé pour son melon et situé en bordure de la Durance et nous dirigeons vers Robion à quelques kilomètres. Nous arrivons à l’Auberge Paysanne et sommes accueillis par des gens forts sympathiques. Nous dégustons l’apéritif maison dans le pré où quelques animaux de basse-cour se promènent dans leur enclos, une piscine un peu plus loin et de beaux arbres. Nous nous retrouvons tous avec beaucoup de plaisir. Nous partageons le repas très copieux et savoureux dans un cadre qui nous rappelle le temps de nos grands-mères : vieux fourneau, horloge, meuble rustique, abat-jour brodé et porte serviette brodé également. Nous reprenons la route et nous arrêtons au Musée du Tire Bouchon à Ménerbes. Compte tenu des intempéries, les jours précédents, le sentier des ocres à Roussillon n’était pas praticable. Tous les amis présents étaient très heureux de se retrouver. Ambiance chaleureuse c’est le temps de l’amitié qui nous fait chaud au cœur.
Ne pas oublier : Notre prochaine rencontre Loto, Gâteau des rois, champagne au Restaurant « Chez la Mère Buonavista » notre restaurant habituel. La date vous sera communiquée très prochainement.
Marie-Jo L’honen
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Section de Montluçon
RIOM - sortie ARLB MONTLUCON
du 18 Octobre 2018 Sur une bonne idée de Marie-Paule Vacher, nous nous retrouvons ce 18 Octobre, à RIOM, capitale historique de l'Auvergne. Nous débutons notre escapade par la visite du Musée des Arts et Traditions Populaires. Nous avons remonté le temps, le temps des durs travaux agricoles avec le matériel d'époque, la présentation de divers outils d'un autre âge, la technique de fabrication du fromage, les vendanges… et une belle reconstitution d'une ferme auvergnate…
Il va sans dire que nous avons ensuite pris le temps de déguster un excellent repas au cœur de la ville avant de partir à la découverte de ses richesses…
Par cette superbe journée ensoleillée, nous sommes montés au sommet de la Tour de l'Horloge (128 marches), ancien beffroi. Du
sommet, panorama à 360° sur la ville, ses alentours et bien sûr les
premiers volcans, classés au patrimoine mondial de l'UNESCO. Nous avons visité une cour intérieure privée
richement ouvragée, vu au passage de belles façades et des portes
remarquables. De belles maisons, dont la Maison des Consuls, une très ancienne maison à colombages, la cour
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de l'hôtel de ville qui mérite elle aussi le détour. Le quartier des tanneurs (grenier à claire-voie) et sa rivière souterraine, l'église Notre Dame du Mathuret (1308) et sa statue de la Vierge à l'Oiseau. Nous avons admiré la basilique Saint Amable mais n'avions plus le temps de visiter.
Nous nous étions attardés sur tant de détails auparavant, Nous avons appris beaucoup sur cette ville qui a un riche passé historique. Au Moyen Age la ville s’est développée autour d'un édifice religieux, lieu de pèlerinage sur les reliques de St Amable.
Capitale administrative, elle connut deux périodes fastes, concrétisées
par un plan d'urbanisme et la construction du palais ducal et la Sainte Chapelle.
Ville florissante, un grand soin fut apporté à la construction et au décor des demeures. Après la Révolution, la fonction judiciaire est conservée et la Cour d'Appel est créée (1804). Au sein de ce bâtiment, construit à l'emplacement du château des Ducs, se trouve donc cette Sainte Chapelle et ses merveilleux vitraux. Nous avions une guide officielle et une autre guide très locale, Marie-Paule que l'ensemble de participants ont chaudement remerciée pour ses grandes connaissances sur sa ville. Un dernier pot de l'amitié a clôturé cette bien sympathique journée et de surcroît très intéressante et instructive. Comme quoi il est possible de joindre l'utile à l'agréable.
Catherine Dif
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Section de Nîmes
1° Beaujolais nouveau Fidèles à la tradition, nous avons fêté l'événement en ce troisième jeudi de novembre. Ce fut l'occasion pour les membres présents de découvrir notre nouvelle salle de réunion en plein centre de Nîmes, ainsi que son parking attenant bien apprécié de chacun. Après la célèbre fougasse aux grattons et quelques plateaux de charcutailles en tous genres, chacun repris le chemin du retour en se donnant rendez vous pour le repas de fin d'année qui arrive à grand pas.
2° Repas de fin d'année Il revêtait cette année une connotation particulière en la présence parmi nous de Michel Avon, Président National de l' A.R.L.B. Après s'être présenté, il s'est adressé à l'assistance avant que n'arrive sur la table mises en bouche, Kir(s) ou bien jus de fruits pour les plus raisonnables, peux nombreux, il est vrai... Le repas qui suivit à notre restaurant fétiche, Le Petit Bec à Nîmes, fut un régal et fort apprécié par l'ensemble des convives. On sablera (ou sabrera) pour finir le Champagne, avant que nous nous quittions…
…sans oublier de se souhaiter comme l'on dit chez nous :
« A l'An qué ven, E si sian pas mai¨ Qué séguin pas mén... »
Bonne et heureuse année 2019 à toutes et à tous !
Thierry ALLEN
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Section de St Etienne
Retour sur deux sorties très agréables.
1/ Mardi 27 Novembre 2018 : Barrage de Grangent : visite au cœur de la centrale. C'est un ouvrage emblématique sur la Loire : Il fait partie du paysage depuis 1957 , en amont de Saint-Just-Saint-Rambert. En contrebas, beaucoup moins connue : la centrale hydroélectrique exploitée par EDF au moins jusqu'en 2032, qui produit donc de l'électricité grâce à la retenue du barrage. La centrale s'ouvre au grand public, pour des visites guidées. L'occasion de découvrir le fonctionnement de ce site traditionnellement interdit d'accès, mais qui fournit, tout de même, chaque année en moyenne, l'équivalent de la consommation annuelle d'une ville de 50 000 habitants.
– La production électrique mais pas seulement. Le barrage et la centrale jouent d'autres rôles,
notamment celui de gestion de l'eau. Un rôle environnemental donc. Et puis, l'été, la production
électrique est au ralenti à Grangent. En effet, il s'agit avant tout de maintenir un niveau d'eau
satisfaisant pour les activités touristiques en amont et en aval du barrage.
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L’ ARLB Section de Saint‐Etienne souhaite à chacun et à vos proches, ce qu’il y a de meilleur pour cette nouvelle année qui débute. Que 2019 vous apporte douceur, joie, santé et satisfactions personnelles !!!
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La photo de groupe.
– 2/ Jeudi 29 Novembre 2018 : Musée de la cravate et du textile (Panissières).
– Créé par les Amis du musée de la Cravate, le musée est installé dans une ancienne usine de damassé (linge de table) et ancien atelier de tissage, qui a fonctionné de 1866 à 1982. Si Panissières est présentée comme capitale de la cravate - il y a quelques années deux entreprises locales fabriquaient 80 % du marché français du tissu de cet accessoire - cette cité est avant tout une ville textile, dès le début du XVIIIe siècle, elle est réputée pour ses fabriques de toiles.
– LA VISITE DU MUSEE Du bureau du patron au jardin, en passant par l'usine et la chaufferie, déambulez au cœur du musée à la découverte des spécificités textiles locales : cravate, gaze à bluter, soierie, corseterie et linge de maison en damassé.
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Belle journée conviviale agrémentée d’un bon repas au restaurant « Le Tisseur des Saveurs » à Panissières.
AGENDA !! important : Bien noter, le 15 Février 2019 Midi, débutera l’Assemblée Générale annuelle qui aura lieu au restaurant « Les Négociants », 115 rue Bergson, 42000 Saint‐Etienne.
A bientôt pour une nouvelle « Gazette » !
Guy Poyet
Site ARLB St‐Etienne : http://guypoyet.e‐monsite.com/
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Section de Lyon 1ème trimestre 2019 / Janvier, février, mars
Bureau de Lyon : Jacques Champetier - Louis Charbonnier - Jean Claude Christophe - Nicole Cugnet Laurence Danna – Patrik Deher - Lucette Grumel - Alain Guastini - Mireille Jannon
Le mot de la Présidente…
Le début de l’année est comme une page blanche, à chacun de la remplir… Bien sûr, nous ne maîtrisons pas tous les éléments de nos vies qui passent parfois par des moments difficiles, mais nous pouvons au moins essayer de maintenir, voire améliorer, ce qui ne dépend que de nous. Gardons ce lien si précieux qu’est l’amitié que nous partageons au sein de notre Amicale.
« L’amitié est un plaisir qui ne fait que s’accroître à mesure qu’on vieillit !» Maximes et sentences orientales, 1784
Nous souhaitons que cette année 2019 soit, pour vous, remplie de bonheurs partagés avec votre famille et vos amis, de fêtes, voyages, bons repas et découvertes…
Meilleurs vœux !
Laurence DANNA
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LA VIE DE LA SECTION DE LYON
Adresses – Amicale des Retraités de la Lyonnaise de Banque, section de Lyon (Chez CIC–LB), 8 rue de la République,
69001 Lyon. Internet : http://christjcc.magix.net/public/ Rencontres amicales et manifestations : 8, rue HENON, 69004 LYON
Les membres du bureau et comment les joindre
Laurence Danna, présidente, tél. 0426198825 / 0617854725, [email protected] Louis Charbonnier, vice-président, Trésorier-adjoint, voyages longs, tél. 0478446854 / 0684809094 [email protected] Jean Claude Christophe, secrétaire, tél. 0960061012 / 0633570589, [email protected] Nicole Cugnet, trésorière, tél. 0478345129 / 0614659576, [email protected] Jacques Champetier, tél. 0681532178, [email protected] Patrick Deher, tél. 0951965570 / 0681689424,[email protected] Lucette Grumel, tél. 0478854304, 0622537945 visites/culture/spectacles, [email protected] Alain Guastini, tél 0478254438 / 0608020782, [email protected] Mireille Jannon, tél. 0478594636 / 0686997605, [email protected]
Visite de la cave d’affinage du Comté au fort des Rousses…
… Et un beau voyage au pays de Jean Ferrat
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COUP D’ŒIL DANS LE RETROVISEUR
Petit retour dans l’année pour faire paraitre un article du voyage à Montbéliard en avril 2018, arrivé tardivement avant la gazette de l’été et quelque peu resté « coincé » pour le numéro précédent. Avec nos excuses pour la rédactrice. Chronique d’une Escapade francomtoise
Les 10 et 11 avril 2018 Clin d’œil tendance, en car sous logo «ouibus» ! une joyeuse équipe de l’ARLB Lyon est partie le 10 avril, malgré une météo menaçante et frisquette, vivre le temps d’une escapade « L’Aventure Peugeot », de 1810 à nos jours. Arrivés sur place à Sochaux : faubourg de Montbéliard, célèbre pour y héberger le plus grand site de fabrication automobile de France et l’un des plus modernes d’Europe - berceau des usines PSA Peugeot Citroën, l’aventure a commencé par un déjeuner de bienvenue délicieusement «terroir» autour de conviviales tables rondes. Forces reprises, strictes consignes de sécurité ingurgitées et bien digérées après le visionnage d’un film sur les activités de l’usine, les « aventuriers » se sont répartis en deux équipes sous la conduite de guides expérimentés pour avoir travaillé sur les différentes chaînes de montage : convois disciplinés en tenue réglementaire agrémentée d’un gilet orange fluo, dotés d’écouteurs et bouchons d’oreille mais délesté de tout téléphone portable et appareil photos (confidentialité oblige) ! La visite guidée de 2h s’est déroulée dans deux ateliers « en activité » représentatifs du début et de la fin du processus d’assemblage quotidien de 1890 véhicules Peugeot 3008 et 308, Citroën DS5, Crossover Opel : Atelier d’emboutissage, ballets impressionnants de robots intelligents, tentaculaires et multifonctions créant la carcasse de voiture ; Atelier de montage final, robotisation surréaliste des gestes mécanisés de femmes et d’hommes affairés autour des véhicules « tout type de modèle » défilant sur un tapis roulant sous leurs pieds ou suspendus au-dessus de leurs têtes. L’Aventure se poursuit ensuite librement au musée aménagé dans une ancienne brasserie. Première étape, revue de détail des lames de scies et
outillages professionnels en passant par les moulins à café et autres articles électroménagers (dont l’inévitable machine à coudre) pour arriver, deuxième étape, à l’espace dédié aux vélocipèdes, cycles, tricycles et motocycles (tourisme et compétition) et, bien sûr, aux vélos vainqueurs du Tour de France. Dernière étape, la « concentration » des automobiles Peugeot de toutes époques accompagnant l’évolution de la société française (collection de 200 véhicules exposés
sur 6000m2) : Rondes des voitures parmi les plus anciennes du monde (lignes luxueuses des berlines, sublimes roadsters, charme
désuet des cabriolets) présentées dans une ambiance « rétro » agrémentée d’affiches publicitaires. Alignement sobre des « utilitaires », des modèles « de tourisme » les plus courants (nostalgie, nostalgie des voitures familiales de notre enfance ; mythiques 205) comme les plus futuristes ou les plus originaux. Podiums des stars de films (406 et 407 blanches de la saga « Taxi », limousine transparente de « L’écume des jours »), emplacement discret enfin pour la « papamobile ». Le parcours s’achève triomphalement sur l’évocation des courses automobiles, F1 et rallyes (modèles primés, bolides détenteurs de
records). En fin d’après-midi, changement de décor, le périple se poursuit au cœur du vieux Montbéliard pour admirer le
château des ducs de Wurtemberg le temps d’une brève escale avant de prendre la route pour Besançon, notre étape nocturne. Le lendemain 11 avril, après une nuit passée dans la chaleur tropicale d’un hôtel vintage déco flashy sympa, et la météo devenant plus clémente, la toujours joyeuse équipe
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s’enthousiasme de découvrir par des moyens insolites la capitale de la Franche-Comté lovée dans l’harmonieuse boucle du Doubs. Las ! Le petit train touristique spécialement réservé pour parcourir la vieille ville bisontine et grimper sans effort jusqu’à la citadelle Vauban se fait attendre, batteries à plat toujours en charge à l’heure du rendez-vous… Après un moment d’attente passé dans la joie et la bonne humeur, sauf pour l’organisatrice de l’escapade quelque peu dépitée et gentiment chahutée, le petit train s’annonce et charge tout son monde. Au rythme lent de la motrice rechargée de son
énergie et dispensant des commentaires enregistrés où Vauban, César et Victor Hugo content l’histoire de Besançon, la vieille ville dévoile aux voyageurs attentifs ses beaux hôtels particuliers à la pierre
de Chailluz beige teintée de bleu, la maison natale de l’écrivain, la façade de ses palais de Justice et Granvelle, la façade de l’hôtel de ville à bossage en pierres alternativement bleues et ocre et celle curieuse de l’église Saint Pierre, les grilles ventrues des fenêtres évoquant les rejas castillanes, ses vestiges romains… La motrice essoufflée par la raide montée s’arrête à l’entrée de la Citadelle Vauban inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, dominant de 118m le cours du Doubs : tour à tour caserne, école des cadets sous Louis XIV, prison d’état, forteresse ; la citadelle constitue un site naturel et historique d’un grand intérêt. Elle permet aussi d’avoir une vue panoramique sur Besançon, la vallée du Doubs et les collines environnantes. La visite du promontoire rocheux est champêtre, revigorante et marrante, ponctuée de sculptures métalliques géantes pour le moins incongrues : orang-outan à cornes, quivogne, cigale, brillant au soleil du printemps. Cahin-caha la motrice redescend son petit monde à l’embarcadère pour déjeuner sur l’eau et visiter en bateau-promenade la boucle du Doubs : menu aux saveurs comtoises, passage de deux écluses (Saint Paul et Tarragnoz), traversée du tunnel fluvial sous la citadelle.
Quel plaisir entre deux plats de monter sur le pont découvrir la magie des écluses, la Cité des arts, la promenade Chamars, les habitations à arcades du quai Vauban, l’église de la Madeleine, la Synagogue, la Tour de la Pelote et, sur l’autre rive le verdoyant chemin de halage… L’histoire et le riche patrimoine de Besançon ne cesse de surprendre, son site naturel remarquable laisse un souvenir agréable comme une invitation à y revenir pour la redécouvrir à pied.
Pascale Pinaud
Les champignons – Lamoura Le 19 septembre
Ah, les champignons, c’est une institution dans l’histoire de notre association.
Cela a commencé dans le chalet de Bévy (alors géré par le CCE de la LB) il y a fort longtemps. Hélas, un certain hiver rigoureux a dégradé ce lieu et la LB ne l’a pas conservé. Il a fallu trouver un autre hébergement. Le chalet de l’ASPTT, toujours dans le coin, nous a accueillis, mais
le confort était par trop spartiate et ne nous a pas incités à continuer. Alors après
maintes pérégrinations nous avons opté pour la Haute Loire, mais il y a toujours un « mais », nous étions trop limités par le nombre de places.
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Que faire ? Revenir dans le Jura (avec l’aide de Marie et de Pierre) et tester une autre approche de l’hébergement (nous ne faisons plus nous-mêmes nos repas) semble convenir à la majorité, puisque pour la seconde fois nous étions 40 courageux «champignonneurs» qui s’y connaissent… Jusqu’à présent personne n’a eu à se plaindre de leur récolte. Bien sûr, quelques uns pensent que 3 jours à courir les bois c’est un peu fatigant. Aussi,
cette année, nous avons organisé la visite de la fromagerie du fort des
Rousses, pilotés par un guide auquel il
manquait une jambe mais pas l’humour. Nous avons passé un très bon moment et compris qu’il fallait être patient pour déguster un excellent fromage. Pour notre dernier repas, nos cueilleurs ont cuit eux-mêmes leur récolte et, repus, nous avons repris les voitures pour rentrer chez nous. Donc nous prenons rendez-vous pour l’année prochaine, si vous le voulez bien !
Lucette Grumel
METAMORPHOSE DE LA PART DIEU Le 24 septembre
Cette visite portait bien son nom. Après un bref exposé, autour de la maquette du futur quartier de la Part-Dieu…
…nous avons découvert les énormes chantiers entrepris pour encore quelques années tant à la gare que dans ses alentours
incluant le centre commercial qui va se voir doté de nouvelles entrées, de nouveaux restaurants et commerces, De places en terrasses végétalisées, la place Beraudier devant la gare va complètement changer d’aspect avec de nouveaux espaces plus aérés, les parkings (ceux qui resteront) pas faciles à accéder.
De nouvelles tours (dont la plus ancienne est
le « crayon » surmonté de sa pyramide) et des immeubles vont voir le jour. Les passerelles reliant la rue Garibaldi au centre commercial ont d’ores et déjà disparu. Nous avons découvert, aussi, l’architecture de ce
quartier qui mêle les années 50 et 60 aux années 1990 à 2000 et qui continue à évoluer suivant l’inspiration, la créativité des architectes et la tendance du moment…
L’objectif final de ces gigantesques travaux est de faciliter l’accès à la gare et de séduire de plus en plus d’entreprises désirant s’implanter dans notre ville et avoir tous les équipements nécessaires permettant leur développement.
Lucette Grumel
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En Vivarais, bien sûr, à Vogüé, on ne voit pas le temps passer !
Séjour Ardéchois du 8 au 11 octobre
Pourquoi ce titre ? Parce que le Vivarais est l’ancien nom de l’Ardèche et « on ne voit pas le temps passer », un clin d’œil à une chanson de Jean Ferrat, un point fort de ce voyage. Après un trajet sans problème, les 36 participants ont pu s’attabler au domaine « Lou Capitelle & spa » lieu de résidence pour ces quatre jours au programme prometteur. Après avoir pris les forces nécessaires, notre guide Xavier nous a fait visiter Vogüé. Le nom de cette commune vient de la famille du même nom. Grâce à des plaques scellées sur des murs indiquant la hauteur des crues, nous avons constaté avec stupéfaction les hauteurs d’eau exceptionnelles atteintes par l’Ardèche en 1890 ; l’encadrement de la porte donnant une bonne idée du niveau de l’eau.
Le château de Vogüé, est
aujourd’hui toujours la possession de la famille
puisqu’il appartient au marquis de Vogué (nom venant d’une terre près d’Aubenas). Depuis le jardin suspendu dit jardin de la marquise, lieu enchanteur, nous avions une vue splendide sur le village et les monts ardéchois. Le jour suivant, découverte des gorges de l’Ardèche et passage « obligatoire » vers son célèbre Pont d’Arc avec bien sûr l’inévitable photo souvenir. Après quelques arrêts à différents belvédères avec des panoramas splendides, la pause déjeuner débutée avec un Castagnou (vin blanc sec avec de la crème de châtaigne) fut très appréciée.
L’après-midi fut consacrée à la visite de la caverne du pont d’Arc (réplique grandeur nature de la grotte Chauvet) ouverte au public en avril 2015. Une guide compétente nous a fait découvrir cette reconstitution magnifique, avec forces dessins préhistoriques. Nous avions vraiment l’impression d’être dans la vraie grotte tant la copie a été réalisée avec soin et précision par de véritables artistes. Cela a demandé deux ans et demi de travail. Même les caractéristiques du milieu souterrain dont la fraîcheur, l'humidité et l'obscurité ont été respectées.
Un des moments forts de ce séjour fut le mercredi matin lors du spectacle hommage à Jean Ferrat par Alain Hiver. Nous avons eu droit à un florilège de chansons du légendaire chanteur ; certaines moins connues mais néanmoins très belles. L’après midi pour clore cet hommage ce fut la visite d’Entraigues, commune où habitait Jean Ferrat ; nous avons visité le musée qui lui est consacré, sur la place du village.
Durant ce séjour nous avons également visité le musée Castanea, à Joyeuse, consacré à la châtaigne de l’Ardèche. Des photos, des vidéos et l’exposition de matériels spécifiques à la culture de la châtaigne nous ont montré tous les rouages de cette culture importante et renommée de la région. Pour parfaire ce passage au musée, nous avons eu droit à une dégustation de délicieux produits régionaux, histoire de se mettre en appétit pour le
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déjeuner. A coté de la châtaigne, il faut savoir aussi qu’il y a 36 variétés d’olives en Ardèche. Pendant ce voyage, nous sommes souvent passés devant de belles faÿsses (nom régional des terrasses), traversé la Bégude, là où s’arrête le voyageur pour boire. Le dernier jour, avant de quitter l’Ardèche, un passage chez un artisan nougatier où nous avons découvert « les secrets » de la fabrication de cette sucrerie. Encore un séjour très agréable, apprécié par tous, comme notre grande « prêtresse » du voyage sait nous en préparer. Seul le bruit du torrent déchire le silence et tu dis mon amour, nous avons trop de chance... Extrait de la chanson « qu’on est bien mon amour » de Jean Ferrat.
Jacques Champetier
Raphael Lacour – spectacle du 19 octobre 2018
Un moment bien agréable, apprécié par les 65 adhérents qui avaient fait le déplacement à la Croix-Rousse. Une heure et demie de spectacle avec
un petit entr’acte, un moment où les zygomatiques ont pu prendre un peu de repos. L’actualité politique revue et corrigée, les adaptations de chansons, les blagues, les satyres sans oublier les répliques avec les spectateurs, tels étaient les ingrédients de cet après midi.
Ce spectacle représentait une alternative à l’après midi théâtre annuelle habituelle.
Jacques Champetier
Grand restaurant, chez Bras les 26 et 27 octobre 2018
Pour la sortie grand restaurant 2018, c’est « Bras » (que les habitants prononcent « Brasse »), à Laguiole, qui a été retenu. Cette année, nous avons innové. Le temps de trajet étant de l’ordre de 3h30, il n’était pas envisageable de faire le déplacement dans une même journée (surtout après un très bon repas, peu ou prou arrosé). C’est donc sur deux jours que nous avons réalisé cette sortie. Compte tenu du nombre restreint de participants (12), la solution du déplacement en covoiturage a été retenue. Nous nous sommes tous retrouvés chez un artisan coutelier (« Le couteau de Laguiole »), où nous avons pu découvrir l’assemblage de toutes les pièces nécessaires pour la fabrication de ces couteaux dont la renommée est mondiale. L’appellation est « galvaudée » car n’ayant pas fait l’objet d’un dépôt légal de brevet (certains industriels ne s’en sont d’ailleurs pas privés). Le but des couteliers
aujourd’hui est de se diriger vers une IGP (Indication Géographique Protégée). Une idée novatrice qui doit faire son chemin car seuls les produits alimentaires sont pris en compte actuellement en IGP. L’achat d’un couteau souvenir était quasiment
inévitable ! Après cette visite très intéressante, il était l’heure de se rendre dans notre grand restaurant, le point fort de ce voyage ; le petit déjeuner très matinal était déjà bien loin, et la faim commençait à se faire sentir. Avant de nous mettre à table nous avons eu le plaisir de visiter les cuisines, où nous avons pu faire une photo de groupe.
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Avec des noms de plats écourtés pour ne pas alourdir l’article, ce que nous avons dégustés :
Les moules Morisseau, le dos de morue étuvé à l’huile d’olive noire,
La pâte fraîche garnie de girolles de pays & des radis du moment,
La pièce de chevreuil, chanterelles et pomme akane,
Les fromages de l’Aveyron, La poire comice pochée au sirop de vin
de noix, Les cornets garnis aux parfums variés.
Après une promenade digestive, nous avons regagné l’hôtel Gilles Moreau. Une nuit de repos plus tard, le matin a été consacré à la visite de la ville de Laguiole en compagnie d’une guide. Nous avons ensuite déjeuné au restaurant de l’hôtel. La restauration était de très bonne qualité, recherchée dans la présentation et la préparation ; entre autres, un aligot était au menu ! Pour clore ce séjour, un passage à la fromagerie pour visiter le mini musée, regarder une vidéo sur l’élevage des bêtes et la fabrication des fromages (le matin il est d’ailleurs possible d’assister à la fabrication de ces fromages) ; il était alors temps de prendre le chemin du retour. Une très agréable escapade tant sur le plan découverte que gustatif.
Jacques Champetier
Visite du Musée des Tissus Le 15 novembre
Un bel hôtel particulier dominant une large cour pavée, nous sommes au Musée des Tissus. Après un long suspens des
subventions et donations, nous avons découvert les trésors de la ville de la Soie. Ne pas se laisser surprendre par les volets clos et les rideaux baissés, il est bien ouvert. Les précieuses pièces sont à l’abri de la lumière pour
une conservation optimale. Nous entrons sous le regard de Joseph Jacquard qui, par son invention du métier à tisser mécanique, a révolutionné le travail des canuts, ouvriers des tisseurs. Le tissage cet art aux multiples facettes : brocard, broché, damas, velours au sabre... Trame, chaîne pour de la toile, du satin, de la serge. Au départ des fils de soie, auquel vient se joindre des fils d’acier, d’or, du fil chenille, au rythme des cartons perforés : savant calcul. Grâce à eux nous arrivons à des tableaux floraux, délicats, presque vivants. Mais une précision d’orfèvre : le tissage avance de 3 cm/jour…
Le broché de Marie-Antoinette est la parfaite image des goûts de la Reine : rubans entrelacés, bouquet de fleurs variées dont le style sera copié par les cours royales d’Europe.
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Philippe de la Salle, dessinateur, marchand et fabriquant est passé maître dans l’art des portraits tissés, tel celui de Catherine de Russie dans son ovale « camé » de guirlandes de roses. Napoléon a imposé son style avec les couronnes de lauriers, les abeilles et son monogramme sur fonds vert ou rouge. Les délais entre la commande et la livraison ont laissé en stock des km de tentures et rideaux qui ont été découpés et récupérés à son départ en exil.
Défilé de mode avec l’évolution des styles : des robes de cour (15m de tissu), françaises, anglaises, des habits pour marquis coquets, la mode empire, beaucoup plus fluide, et légère quelle que soit la saison. Des bottines sans discernement de gauche ou droit… Des broderies sur satin, tulle et pas uniquement faites par des mains féminines. Au premier étage, exposition en association avec le Musée des Arts Plastics, petit frère du Musée des Tissus… en inspiration avec les modes historiques revues et corrigées avec les matériaux et les tendances actuelles, des
robes irréelles ou contemporaines. Une visite enrichissante, artistique, un voyage dans le temps et dans le monde, grâce à une guide passionnée. Le Musée va fermer pour transformations. Rendez vous dans 2/3 ans pour découvrir encore plus de mises en scène sur les trésors encore cachés.
Mireille JANNON
Challenge Jean-Claude Garel Le 22 novembre
Cette année, le challenge a réuni 45 participants au boulodrome de La Tour de Salvagny.
Après 3 parties âprement disputées, entrecoupées par un avant goût de l’apéritif, nous nous sommes retrouvé joueurs et non joueurs autour d’un bon déjeuner à l’issue duquel nous avons distribué les lots qui ont récompensés tous les lanceurs de boules bonnes ou mauvaises.
Les gagnants du challenge furent Florian Besson/Robert Solaro et les perdants (avec le sourire) le couple Ghislaine et Michel Pellerin.
Pour terminer cette amicale journée, certains ont recommencé d’autres parties de boules et les plus calmes se sont retrouvés autour
d’une table pour une partie de cartes. Puis tous se sont séparés pour reprendre les voitures et rentrer sagement chez soi. Nous renouvellerons cette rencontre au printemps prochain en espérant être aussi nombreux.
Lucette Grumel
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REGARD SUR DEMAIN, en synthèse
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REGARD SUR DEMAIN
Informations pratiques Vendredi 18 janvier 2019 LOTO 100% des gagnants ont tenté leur chance. Jeudi 14 février La gaule et le Mont de Vénus Visite historique et coquine de Lyon en ce jour de Saint Valentin - à 15h, place des Terreaux. Jeudi 21 février Les Gaudélices Vous voulez tout savoir ou presque sur le sujet des produits à base de farine de gaudes ? Ce sera le lieu idéal pour l’apprendre (une vidéo sur un atelier de biscuits vous montrera tout). Le même jour, visite de « l’écomusée de la maison des pays de l’Ain » Limité à 30 personnes. Mercredi 27 février Génération 40 au CHRD Portrait d’une jeunesse plurielle, transformée par l’expérience de la guerre et de l’Occupation. Limité à 20 personnes. Vendredi 8 mars Belote. A moi y’me fend le cœur ! A toi y’te fait rien ? Mardi 12 mars La saline de Salins-les bains et la vache qui rit. Comment notre territoire produisait du sel. Une longue histoire qui remonte à loin. Visiter la maison de la Vache qui Rit, c’est tout un programme et plein de souvenirs. Mardi 19 mars Balade pour tout marcheur. Direction le canal de Jonage pour une promenade tout public. Un repas au restaurant est également prévu. Vendredi 12 avril Repas de printemps. Un rendez-vous annuel incontournable de l’amicale. Jeudi 18 avril Sortie surprise Celle de 2017 ayant été appréciée, nous recommençons cette année. Qu’on se le dise ! Jeudi 25 avril Assemblée Générale. Le point annuel sur notre association ; tout savoir sur son fonctionnement. Jeudi 6 juin Barrage de Génissiat et visite de Fort l’Ecluse. Groupes de 15 personnes. 44 personnes maxi. Avertissement : il y a des escaliers à gravir Jeudi 13 juin Journée champêtre. Une journée amicale de plein air, de détente et rire. Mardi 18 juin Balade pour marcheurs confirmés avec pique-nique
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REGARD SUR DEMAIN La Gaule et le mont de Venus sous les jupons de l’histoire
lyonnaise Jeudi 14 février 2019
Cette visite retrace l’histoire sensuelle des lyonnais d’autrefois. Vous découvrirez les débauches notoires qui ont marqué l’histoire locale, les positions autorisées par les médecins du 16ème siècle et les recommandations médicales du 19ème…
Les mystères des origines vous seront contés : comment vint aux femmes la bouche d’en bas et comment l’aiguillon vint aux hommes et beaucoup d’autres… Cette promenade ludique, historique et coquine ne manquera pas de vous émerveiller et de vous émoustiller. ATTENTION, visite au contenu explicite réservée aux adultes sachant rester maîtres de leurs émois. Rendez-vous : Place des Terreaux – 15 H – prix : 15€
Lucette Grumel
TOSSIAT – ST ETIENNE DU BOIS Jeudi 21 février
A Tossiat nous serons initiés à la confection des gaudrioles, une présentation audiovisuelle ainsi qu’une galerie vitrée agrémenteront la
découverte en plein cœur de la biscuiterie, au départ sablés, parfumés avec des gaudes (farine de maïs torréfiée) une des spécialités de la Bresse. Quelques années plus tard fut créée la biscuiterie « Les Gaudélices » et la recette fut
travaillée pour élargir la gamme et en faire un produit typique de la région.
Nous déjeunerons au restaurant Maison des pays de l’Ain puis visiterons l’écomusée où au centre de la ferme musée (datant de 1465) nous découvrirons la cheminée sarrasine, la forge et l’immense hotte pyramidale de 4 mètres par 4 et au sommet la mitre visible de l’extérieur, dont la forme dépendait de l’envie et du savoir du maçon…
Prix 35 € - heure de départ, 9h Bellecour
Lucette grumel
GENERATION 40 – Les jeunes dans la
guerre – mercredi 27 février 2019 Adolescents ou jeunes adultes nés dans les années 20 et 30, les jeunes de 1940 furent élevés à la fois dans le souvenir de leurs aînés et dans le rêve d’une paix perpétuelle de la « Der des Ders »…
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Dès 1940, fut créé un secrétariat général à la jeunesse et un commissariat à l’éducation physique et aux sports. Jeunesse et sport apparaissent comme une priorité du régime de Vichy…
Une jeunesse qui eut à vivre « la drôle de guerre », l’exode, la révolution nationale du maréchal Pétain, les chantiers de jeunesse, le STO, la libération et l’après guerre...
Rendez-vous : CHRD 14 Avenue Berthelot 69007 – 15 H – prix 8 €
Lucette Grumel
SALINS LES BAINS – LONS LE SAUNIER, Le 12 mars
Nous visiterons la grande saline à Salins les Bains qui depuis le VIIIème siècle a su tirer profit d’un don de la nature exceptionnel : le sel. C’est grâce au captage des eaux salées et de son évaporation que la ville a acquis sa prospérité. Les comtes de Bourgogne puis le roi de France ont assuré le développement et la modernisation d’un patrimoine industriel incomparable qui a perduré jusqu’en 1962.
Attention : dans la galerie souterraine il fait dans les 12°C et il y a une cinquantaine de marches à descendre et remonter.
Puis après déjeuner, direction Lons le Saunier où nous serons reçus à la Maison de la Vache qui Rit…
…qui nous
rappellera notre jeunesse, créée en 2009 à l’initiative de Catherine Sauvin (petite fille de Léon Bel) et Bernard Hanet. Du premier atelier d’affinage de Jules Bel, la scénographie remonte le temps à travers l’histoire publicitaire et industrielle de La Vache qui Rit et du groupe Bel.
Départ 7h30 Bellecour. Prix : 40€
Lucette Grumel _____________________________________ Nous renouvelons la sortie surprise qui a eu beaucoup de succès en 2018. Nous
espérons que celle-ci aussi ne vous décevra pas !
Elle aura lieu le jeudi 18 Avril, prix 38€. ATTENTION Départ 7h de Bellecour !
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