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Forum de l'Administration Electronique -FAE--Edition 2008-

« Une Administration Unifiée au service du Citoyen »

Interopérabilité des services du e-Gouvernement

Facteurs clés de succès Pr. Bouchaïb BOUNABAT École Nationale Supérieure d'Informatique et d'Analyse des Systèmes, Université Mohammed V – Souissi, Rabat

Expert en e-GouvernementLe 4 décembre 2008 à Rabat, Maroc

e-Forum'2008 - Interopérabilité des services du e-Gov - Facteurs Clés de Succès

Plan

• Références

• Interopérabilité des

services de e-

gouvernement

• Facteurs clés de succès


Références

• « A Handbook for Citizen-centric eGovernment - Version 2.1 » Prepared for the

eGovernment unit, DG Information Society and Media,European Commission,

December 2007

• «Livre de référence de la stratégie eMaroc 2010 » DEPTTI, Octobre 2007

• « OneGov, Projet structurant pour un développement accéléré de l’administration

électronique au Maroc » MAEG-DEPTTI, Juin 2007

• «Programme national d’administration numérique. Bilan 2002-2007 » MMSP, Juin

2007

• « Study on Interoperability at Local and Regional Level Interoperability Study. Final

version» Prepared for the eGovernment Unit - European Commission, 20 April 2007

• « Preparation for Update European Interoperability Framework 2.0 - FINAL

REPORT» Gartner, April 2007

• « e-Government Interoperability: Guide » - « e-Government Interoperability:

Overview » - « e-Government Interoperability: Review » United Nations

Development Programme with the support of IBM, Oracle, UNDP - 2007

• Rapport des projets d’interopérabilité : Brésil, UK, Canada, France, Arabie Saoudite,

Danemark, Sri Lanka, Ile Maurice, Turquie, Estonie, Roumanie, etc.


Références

Activités R&D : Equipe QuaLSADI

• Aspects techniques et technologiques : Interopérabilité des Systèmes d’Information Publics (SIP)

– Architectures d’Entreprise Gouvernementales

– Interopérabilité sémantique (ontologie) des SIP

– Estimation des charges des projets d’intégration

– Qualité de l’information des SIP

– Interopérabilité de l’information géographique

• Aspects e-Management public :– Administration étendue via les réseaux virtuels communautaires

– Administration électronique locale

– Information Gouvernementale du Domaine Public

• ENSIAS : Maître d’œuvre marocain du projet eGov4M (eGov for Mediteranee)

• Partenariats : Thèses, Projets de R&D, Expertise, etc.


Plan

• Références


services de e-

gouvernement



Concept d’Interopérabilité

• e-Gouvernement (e-Gov) = Développement des prestations assurées par le service public en utilisant au maximum les possibilités offertes par les TIC

• « Les pays les plus avancés en matière d’ouverture et d’efficacité du secteur public et de déploiement de l’administration en ligne sont aussi parmi les premiers en terme de performances économiques et de compétitivité. » Rapports Global e-Government Readiness des Nations unies (2003, 2004, 2005).Six piliers pour un gouvernement connecté

(Connected Governement)

•Modèle d’évolution centrée sur le citoyen

•Infrastructure d’interopérabilité standardisée

•Back-office réorganisé

•Modalités de gouvernance claires

•Modèles d’organisation innovants;

•Inclusion sociale renforcée

Interopérabilité des services

de l’e-gouvernement


Concept d’Interopérabilité

• Interopérabilité : – A et B sont compatibles, ou pas, si leurs

constructions respectives leur permettent, ou pas, de communiquer et de travailler ensemble.

– A et B seront dit interopérables si, grâce à une ou plusieurs norme(s) externe(s) qu'ils respectent, ils en viennent entre autre à pouvoir être compatibles.

• Fondamentaux :– L'interopérabilité est générale – Elle existe au travers de normes et formats – Elle favorise la fluidité et la sécurité des échanges



L'intéropérabilité ne doit rien au hasard


Pourquoi l’Interopérabilité des SI publics ?

• L’interopérabilité permet, dans un contexte gouvernemental, de:– échanger aisément des données de manière cohérente

et sans barrières et sécurisée à travers tout le secteur public,

– supporter des processus opérationnels fonctionnant d’une manière plus intégrée ,

– fournir de meilleurs services, répondant aux besoins des citoyens et des entreprises au moindre coût,

– assurer des services à partir d’un guichet unique (UNDP 2007).

Better decisionsBetter public services

Better governance




État actuel

Systèmes d’information ou Armoire métalliques ??

Emploi Éducation Finances Social

Administration Citoyen

Santé

Entreprise




État cible

Plateforme d’interopérabilité OneGov

Emploi Éducation Finances Social

Administration

Citoyen

Santé

OneGov

Entreprise

Authentification

Normalisation

Sécurité Échanges de DonnéesMutualisation




Vers les bouquets de services

« Passerelle des passerelles spécifiques »

Social

CitoyenCitoyen

é

Passerelle d’InteropérabilitéOneGov

EntrepriseEntreprise

Interface

Interface

Interface

Interface

Interface

FinancePasserelle d’Intégration

Départementale

IntérieurPasserelle d’Intégration

Départementale

EntreprisesPasserelle d’interopérabilité

Sectorielle

SécuritéAdministrationSupervision

SantéPasserelle d’interopérabilité

Sectorielle

Département 2




Interface

Département 1


Département n

Interface




Plan

• Références


services de e-

gouvernement



Facteurs clés de succès

Gouvernance de l’interopérabilité

Cadre Général d’Interopérabilité - CGI

Architecture Orientée Service – SOA

Position vis-à-vis des standards ouverts

Sécurité des échanges et accessibilité

Standard


Gouvernance de l’interopérabilité - Problématique

• Scénario typique :– De nombreuses administrations souhaitent faire collaborer

leurs e-services dans le but de mieux répondre aux attentes de leurs clients (exemple : implémentation du cycle de vie du citoyen)

• Questions types posées :– Quelle est l’autorité gouvernementale qui sera responsable de

la sélection et de la gestion des standards requis ?

– Y’a-t-il des contraintes d’ordre légal ? Comment pourra-t-on les éliminer ?

– Qu’en est-il des compétences requises?

– Quelle gestion de changement envisager?

• La Gouvernance de l’interopérabilité “ consiste en l’appropriation, la définition, le développement, la maintenance, le contrôle et la promotion des standards, des protocoles, des politiques et des technologies”.

European Public Administration Network eGovernment Working Group (2004).

Key Principles of an Interoperability Architecture.



Gouvernance de l’interopérabilité - Objectif

• Objectif :

– Disposer d’une structure reconnue par tous et ayant la

capacité d’identifier, traiter ou éliminer tout obstacle

pouvant empêcher l’intégration des services et l’échange

numérique de l’information entre administrations publiques

• Missions :

– Politique : stratégie, synergie inter-départements, pilotage, etc.

– Leadership : esprit d’engagement, gestion de changement, etc.

– Légale : échange inter-administrations, Protection de la propriété

intellectuelle, Protection de la vie privée, etc.

– Economique : financement des projets d’interopérabilité, PPP, etc.

– Technique : Gestion du Cadre Général d’Interopérabilité (CGI)



Gouvernance de l’interopérabilité – Agence

• Recommandation de l’EPAN (European Public

Administration Network ) : «Une unique et indépendante agence gouvernementale responsable des niveaux techniques et sémantiques de l’interopérabilité décrits par le CGI »


Indépendante - Fiable – Synergique - Proactive - Scrutatrice - Orientée service

public en priorité


Cadre Général d’Interopérabilité

Cadre Général d’Interopérabilité (CGI) :

Ensemble structuré de normes, standards, spécifications et politiques ayant pour objet d’assurer l'interopérabilité des systèmes de l'Administration, des clients (citoyens et entreprises), des fournisseurs, des partenaires et des mandataires du gouvernement.

Impératifs

Définir un cadre général d’interopérabilité pour les administrations publiques

Veiller à ce que ce le CGI :

– apporte un équilibre entre besoins en innovation et stabilité des services administratifs

– Soit aligné sur la stratégie e-Gov nationale

– Soit flexible (sélection, ajout, suppression, cycle de vie du standard)

– Soit systématiquement utilisé dans les appels d’offre publics

– Soit systématiquement utilisé pour valider la conformité de toutes les nouvelles applications informatiques

Standard



Cadre Général d’Interopérabilité - Contenu

• Un CGI complet doit définir tous les standards relatifs aux

trois dimensions de l’interopérabilité : technique,

sémantique et organisationnelle (processus métier)• Tous les CGI existants ne couvrent pas la totalité ces

aspects!! (« e-Government Interoperability: Guide», UNDP-2007)



Cadre Général d’Interopérabilité - Contenu

• Contenu type (Arabie Saoudite, Australie, Brésil, Canada, Danemark, Estonie, France, Hong-Kong, Ile Maurice, Malaisie, Nouvelle Zélande,

Roumanie, Royaume-Uni, Sri Lanka, Turquie) :

– Interconnexions– Intégration des données– Normes et standards de méta-données – Accès et interfaces– Normes et standards orientés secteurs spécifiques– Sécurité.

• Critères de sélection des standards : e-GIF, Royaume-Uni– Interopérabilité– Reconnu par le marché– évolutivité– International - ordre de préférence : International, puis régional

(EU) puis national (UK)– Ouverture (les spécifications du standard doivent être documentées

et accessible pour le public)


La seconde version 2008 de l’EIF (European Interoperability Framework) :

«Même si le besoin de s’appuyer sur des standards ouverts y sera explicite, aucun choix technologique ne sera imposé.»


Architecture Orientée Service - SOA

• SOA : modèle d’architecture permettant l’intégration des applications, des équipements et des services, sans qu’ils aient été conçus pour cela à l’origine.

• « Expérience SOA de la Chine :– Choix d’un plan d’action technique basé sur SOA– Prise en compte des systèmes existants lors de la mise en

œuvre de l’interopérabilité entre administrations– Mise à profit maximum des investissements informatiques

déjà consentis »Li Jinjin, President of Beijing Zhonghaijiyuan Digital Technology Co., Ltd. April 2007.

• Résultat : Implémentation d’une plateforme de services, chacun correspondant à un ou plusieurs composants du processus métiers, et pouvant être orchestrés à volonté selon différents scénarii et à l’intérieur de différentes solutions, conformément à des besoins métier déterminés.

• La Gouvernance de SOA n’est pas optionnelle, elle est impérative.


Sans gouvernance, tout retour sur investissement sera trop lent, et tout projet SOA deviendra très

risqué.


SOA– Architecture d’Entreprise Gouvernementale

• SOA = premier pas vers une Architecture d’Entreprise Gouvernementale

Architecture métier

Architecture données

Architecture applicative

Architecture technologique









Quel est le système actuel ?Comment est-il supporté par les technologies ?

Transition

ITPortfolioFY04

ArchitectureCible

ArchitectureActuelle

Cible intermédiaire

ITPortfolioFY03

PortfolioTIC

Evaluerles objectifsstratégiques

PlanifierLa migration

Planifier la mise en oeuvre

Architecture d’Entreprise

Gouvernementale

Analyser les écarts

Initiatives









PortfolioTIC

PortfolioTIC

Cible intermédiaire Cible intermédiaire

Quel est le système cible ?Comment sera-t-il supporté

par les technologies ?

Appliquer les principes d’architecture



Sécurité des échanges et accessibilité

• Mise en œuvre d’une politique de sécurité assurant : – Authentification, Confidentialité, Intégrité, non

répudiation, Traçabilité– Mots clés :

• identification unique • accès transparent à tous les services publics mis

en ligne• aucune discontinuité

• Mise en œuvre d’une politique

d’accessibilité, – Contenu perceptible, utilisable, robuste et

compréhensible– « Nobody left behind »



Evolution de l’environnement technologique

• Technologies clés pour la mise en œuvre de l’interopérabilité

VueProblème d’intégration

Information / statique Processus et service/ dynamique

Structurel format, propriétés

Schémas et définitions des modèles (XML, Modèles de données, modèles objet)

SOA, workflows (Web Services, BPEL)

Sémantique sens

Web Semantic (RDF, ontologies)

Services Web Sémantiques (OWL-S, WSMO)

Techniques et technologies matures. Solutions stables sur le marché

En pleine et rapide évolution. Nombre croissant de solutions disponibles

Peu matures, mais les plus prometteuses, en particulier pour les administrations

Description sémantique des données provenant de sources diverses, les

mettant à la disposition des applications ou des moteurs de

recherche intelligents qui pourront les utiliser selon différents scénarii

Description sémantique de la dynamique du contenu de la donnée

échangée, rendant plus facile la composition automatique des web

services selon les besoins de l’utilisateur ou des applications

clientes



Merci Merci

Forum de l'Administration Electronique -FAE--Edition 2008-

« Une Administration Unifiée au service du Citoyen »

Benchmark et perspectives pour l’administration marocaine

Pr. Bouchaïb [email protected]


Gouvernance de l’interopérabilité - Missions

• Politiques– Insister sur l’importance des stratégies et des programmes d’interopérabilité– Renforcer la coopération entre administrations– Suivre et rendre compte des évolutions des différents aspects de l’interopérabilité au

niveau international

• légales– Mettre en place et/ou à jour l’arsenal juridique ,nécessaire pour répondre aux

nouvelles exigences dictées par une coopération plus intensive entre administrations– Veiller à la protection de la propriété intellectuelle– Veiller à la protection de la vie privée des personnes et à la sécurité de l’information

• Leadership– Définir les responsabilités des différents acteurs impliqués dans la stratégie

d’interopérabilité– Soutenir l’esprit d’engagement, la volonté de participation et de l’effort de

communication à tous les niveaux– Gérer la changement culturel et maintenir la bonne volonté exprimée par les

différents intervenants– Réaliser les plans de formation nécessaires pour la réussite du projet

d’interopérabilité

• Économiques– Veiller à la création et la mise en application de nouveaux modèles de partenariats

public privé – Élaborer des schémas de financement pour l’acquisition et déploiement de solutions

d’interopérabilité


Gouvernance de l’interopérabilité – Agence

• Une telle agence a les caractéristiques suivantes :– Indépendante : Séparée de tous les domaines sectoriels ;– Fiable : considérée comme le pool d’expertise en matière

d’interopérabilité;– synergique : capable de fonctionner tel un partenaire

collaboratif impliquant tous les départements et tous les secteurs;

– Proactive : en assurant la promotion et la promulgation des standards et de leur usage;

– Scrutatrice : en contrôlant l’utilisation et en veillant au respect des standards, directives, politiques et protocoles définis,

– Orientée service public en priorité ;– Organe de support : en aidant les départements à

réaliser leurs stratégies d’interopérabilité, à coordonner leurs efforts, à implémenter les solutions requises, et en élaborant et diffusant les standards auprès des communautés de pratique.



CGI- Contenu

Contenu type (Arabie Saoudite, Australie, Brésil, Canada, Danemark, Estonie, France, Hong-Kong, Ile Maurice, Malaisie, Nouvelle Zélande, Roumanie, Royaume-Uni, Sri

Lanka, Turquie) :

• Interconnexions: politiques, normes et standards pour interconnecter les

systèmes.

• Intégration des données : standards pour la description des données permettant l’échange de données entre systèmes

• Normes et standards de méta-données : standards pour la gestion des informations des administrations

• Accès: quel types d’interfaces sont supportées

• Normes et standards associés aux différents domaines d’applications: (e-Santé, e-Education, etc.) :– Données, méta-données, documents,

– Transactions, procédés

• Normes et standards pour la connexion et l’intégration des applications basée sur le Web

• Sécurité: standards assurant un accès et un échange sécurisé des informations entre administrations.



CGI – Critères de sélection des standards

e-GIF, Royaume-Uni :• Interopérabilité - sont concernées seules les

spécifications définissant l’interconnexion des systèmes, l’intégration des données, l’accès aux e-srvices et la gestion du contenu des méta-données

• Reconnu par le marché – comme étant susceptibles de réduire le coût et de gérer le risque inhérents aux systèmes d'information publics

• scalability (adaptabilité) – aux différents changements des besoins techniques pouvant être formulés, tels que les changements au niveau des volumes de données, du nombre des transactions, ou du nombre d’utilisateurs

• Ouverture – les spécifications du standard doivent être documentées et accessible pour le public

• International – la préférence va aux standards les plus largement répandus dans l’ordre de préférence suivant : International, puis régional (EU) puis national (UK)

http://www.govtalk.gov.uk/documents/e-GIF-v6_1.doc



CGI – Position vis-à-vis des standards ouverts

• Norme de jure : norme définie et adoptée par un organisme officiel de normalisation, sur le plan national ou international

• Norme de facto (« standard ») : norme qui n’a pas été définie ni entérinée par un organisme officiel de normalisation comme l’ISO, l’AFNOR, etc., mais qui s’est imposée par la force des choses, parce qu’elle fait consensus auprès des utilisateurs, d’un groupe d’entreprises ou encore d’un consortium.;

• Norme/standards ouverts– sa définition est accessible à tous, – son utilisation n’est pas sujette à des redevances de la

part d’un propriétaire– au moins une implémentation de référence existe et enfin – des tests permettent de valider la conformité d’un

système à ce standard.



CGI – Position vis-à-vis des standards ouverts

• Rôle majeur des standards ouverts pour réussir le pari de l’interopérabilité. :– Ils permettent la diversification des fournisseurs et

des technologies utilisées– Ils rendent l’adoption d’une approche

d’interopérabilité orientée service plus aisée– Ils assurent la flexibilité puisque les critères de choix

des solutions sont neutres d’un point de vue technologique

• La seconde version de l’EIF (European Interoperability Framework) Version 2008 : «Même si le besoin de s’appuyer sur des standards ouverts y sera explicite, aucun choix technologique ne sera imposé.»



Architecture Orientée Service - SOA

• SOA : modèle d’architecture permettant l’intégration des systèmes informatiques, des logiciels, des équipements et des services, sans qu’ils aient été conçus pour cela à l’origine.

• « A service-oriented architecture (SOA) is an architectural framework and approach that takes everyday business applications and breaks them down into individual business functions called services. An SOA lets you build, deploy and integrate these services independent of applications

and the computing platforms on which they run. »

• « Expérience SOA de la Chine :– Choix d’un plan d’action technique basé sur SOA– Prise en compte des systèmes existants lors de la mise en œuvre

de l’interopérabilité entre administrations– Mise à profit maximum des investissements informatiques déjà

consentis » Li Jinjin, President of Beijing Zhonghaijiyuan Digital Technology Co., Ltd. April 2007.



Architecture Orientée Service - Bénéfices

• Résultat : Implémentation d’une plateforme de services, chacun correspondant à un ou plusieurs composants du processus métiers, et pouvant être combiné à volonté selon différents scénarii et à l’intérieur de différentes solutions, conformément à des besoins métier déterminés.

• Basée sur SOA, la plateforme d’interopérabilité peut : – être conçue selon un modèle global standardisé et fédérant un

ensemble de systèmes autonomes– faire communiquer les systèmes existants, – orchestrer l’exécution des processus transversal collaboratif, – mutualiser l’utilisation des services à travers les différents canaux

d’accès, – masquer la complexité des composants existants.

• La Gouvernance de SOA n’est pas optionnelle, elle est impérative. Sans gouvernance, tout retour sur investissement sera trop lent, et tout projet SOA deviendra très risqué.



Architecture Orientée Service – Architecture d’Entreprise Nationale

Réponses apportées par l’AEN :

• Permettre aux DSI, à leur management, et à leurs utilisateurs

d’avoir la même représentation des états actuel et cible de leur

patrimoine informationnel, organisationnel et technologique.

• Disposer d’une vision collective cohérente constituant une base

solide pour toute initiative de modernisation et/ou de

réorganisation de l’administration.

• Pouvoir évaluer facilement l’effort nécessaire pour adapter

rapidement et efficacement les processus administratifs et les

applications qui leur sont associées aux exigences de la nouvelle

organisation.

• Planifier l’intégration des processus publics transversaux via à

travers le rapprochement, et éventuellement la modification, des

cartes de route des architectures des administrations.


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