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Correspondencias París-Quito Ambassade de l´Équateur REPÚBLICA DEL ECUADOR Embajada del Ecuador en Francia 34, avenue de Messine 75008 - Paris Du 17 septembre 2014 Flores del Mundo 21 Evidencias

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Page 1: Flores del Mundo 2

C o r r e s p o n d e n c i a s P a r í s - Q u i t o

Ambassade de l´Équateur

REPÚBLICA DEL ECUADOREmbajada del Ecuador en Francia

34, avenue de Messine 75008 - ParisDu 17 septembre 2014

Flores del Mundo

21Evidencias

Page 2: Flores del Mundo 2

Flores del MundoEvidencias, Venez découvrir cette exposition collective qui, après avoir été présentée à Quito, au Centre culturel de l’Université catholique de l’Equateur (PUCE),arrive à Paris, au Salon Evidencias. Flores del mundo est une exposition d’arts plastiques et littéraires réunissant les œuvres de cinq artistes sur les arômes, les couleurs, les formes … Ces travaux sont le fruit d’une correspondance entre Paris et Quito. En effet, cinq personnes heureuses de travailler ensemble sur le thème des fleurs du monde ont utilisé des éléments communs tels que le tissu, la laine, les pigments ou la résine pour s’exprimer chacune à sa manière.

Evidencias, Venez découvrir cette exposition collective qui, après avoir été présentée à Quito, au Centre culturel de l’Université catholique de l’Equateur (PUCE),arrive à Paris, au Salon Evidencias. Flores del mundo est une exposition d’arts plastiques et littéraires réunissant les œuvres de cinq artistes sur les arômes, les couleurs, les formes … Ces travaux sont le fruit d’une correspondance entre Paris et Quito. En effet, cinq personnes heureuses de travailler ensemble sur le thème des fleurs du monde ont utilisé des éléments communs tels que le tissu, la laine, les pigments ou la résine pour s’exprimer chacune à sa manière.

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Texto embajador

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Evidencias, Venez découvrir cette exposition collective qui, après avoir été présentée à Quito, au Centre culturel de l’Université catholique de l’Equateur (PUCE),arrive à Paris, au Salon Evidencias. Flores del mundo est une exposition d’arts plastiques et littéraires réunissant les œuvres de cinq artistes sur les arômes, les couleurs, les formes … Ces travaux sont le fruit d’une correspon-dance entre Paris et Quito. En effet, cinq personnes heureuses de travailler ensemble sur le thème des fleurs du monde ont utilisé des éléments communs tels que le tissu, la laine, les pigments ou la résine pour s’exprimer chacune à sa manière.Evidencias, Venez découvrir cette exposition collective qui, après avoir été présentée à Quito, au Centre culturel de l’Université catholique de l’Equateur (PUCE),arrive à Paris, au Salon Evidencias. Flores del mundo est une exposition d’arts plastiques et littéraires réunissant les œuvres de cinq artistes sur les arômes, les couleurs, les formes … Ces travaux sont le fruit d’une correspon-dance entre Paris et Quito. En effet, cinq personnes heureuses de travailler ensemble sur le thème des fleurs du monde ont utilisé des éléments communs tels que le tissu, la laine, les pigments ou la résine pour s’exprimer chacune à sa manière.Evidencias, Venez découvrir cette exposition collective qui, après avoir été présentée à Quito, au Centre culturel de l’Université catholique de l’Equateur (PUCE),arrive à Paris, au Salon Evidencias. Flores del mundo est une exposition d’arts plastiques et littéraires réunissant les œuvres de cinq artistes sur les arômes, les couleurs, les formes … Ces travaux sont le fruit d’une correspon-dance entre Paris et Quito. En effet, cinq personnes heureuses de travailler ensemble sur le thème des fleurs du monde ont utilisé des éléments communs tels que le tissu, la laine, les pigments ou la résine pour s’exprimer chacune à sa manière.

« Flores del mundo » est le résultat d’un voyage personnel, partagé avec les amis qu’on laisse. La correspondance joue un rôle crucial dans cette expérience de création collective... Qu’elle place occupe l’idée de l’intérêt commun dans ce projet ?

Nous avons pu trouver une forme personnelle d’utiliser des éléments en commun pour arriver à différents résultats, comme une manifestation de la diversité de nos regards, expériences et habilités techniques. Nous avons découvert qu’il y a toujours plus de choses à dire et à apprendre en travaillant ensemble, ce qui nous a le plus enrichi ce fut le dialogue, grâce auquel l’inespéré surgit toujours. En même temps, chacun a toujours eu la liberté de développer chacun sa propre proposition (sans autre contrainte que celle de créer des œuvres pouvant être transportées dans ma valise). Nous avons adopté un axe commun et pour point de départ le thème « Flores del mundo ». Ensuite, le thème de l’interprétation que chacun a faite de ce titre ainsi que de la correspondance que nous avons échangée, chaque, chaque œuvre a été créée.

Au fur et à mesure que le projet « Flores del mundo » a pris forme, les artistes savaient que le résultat de ce dialogue serait présenté à Quito et à Paris. Quel impact cela a-t-il eu sur le processus de création ?

Quelques questions ont permis d’initier ce travail ensemble :-« Croyez-vous que les arômes des fleurs peuvent changer en fonction du soleil ? Peut être que les fleurs du monde ne changent pas d’arôme ou d’essence... Quel arôme exhalent les plus belles fleurs de votre âme ? »Elles furent adressées à plusieurs personnes, quelques unes d’entre elles se sont impliquées en laissant le fil s’étendre, d’autres n’ont pas répondu et d’autres ne se sont pas laissées séduire. L’émotion et le trouble se sont emparés de nous lorsque j’ai eu la confirmation des deux institutions qui nous accueillent dans chaque pays. J’ai aussitôt décidé de leur expliquer un peu mieux les modalités de réalisation de cet échange, ce qui a encore

plus relancé le travail. Le fait que l’œuvre d’un artiste puisse être lue dans des contextes différents est toujours très stimulant.

Les objets artistiques sont traversés par des textes poétiques et de nouveau présentés à travers le registre de la photographie. La diversité des matières et supports parle également de parcours individuels. Presque intimes.

Oui, je crois que nous ne pouvons y échapper, que le travail plastique ou littéraire laisse transparaitre quelque chose de nous, de notre intimité. Ici la trajectoire, les intérêts, les recherches sont dévoilés, dénonçant la personne derrière la caméra, le propriétaire de la main qui écrit, qui peint, qui tricote... et je dois avouer que pour trois d’entre nous il est impossible d’imaginer une œuvre visuelle séparée du poétique.

Les espaces de la scène artistique équatorienne sont chaque fois plus divers et hétérogènes. Il y a besoin de faire beaucoup pour l’élargissement de cette scène au niveau international. Est-il possible de dire que ces « Fleurs du monde » le sont pour tous les mondes ?

Je pense que dans le champ de la création il y a une vaste production équatorienne de qualité et son expansion passe par la gestion, la recherche, et le montage de celle-ci. Nous avons eu beaucoup de chance d’arriver à réaliser un travail en équipe et qui a été bien accueilli. Les « Fleurs du monde » est ce que 5 personnes, heureuses de travailler ensem-ble malgré l’éloignement, ont à offrir. C’est un beau défi de parvenir, dans un tout autre contexte, à faire que l’arôme se répande, afin que le public puisse éventuellement y prendre part en nous disant, chacun à sa façon, quel est celui qui émane des meilleures fleurs de son âme.

Flores del Mundo

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ENTRETIEN

Vanessa Padilla

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Service Culturel Ambassade Equateur:

Vanessa Padilla:

S. C. A. Equateur:

Vanessa Padilla:

« Flores del mundo » est le résultat d’un voyage personnel, partagé avec les amis qu’on laisse. La correspondance joue un rôle crucial dans cette expérience de création collective... Qu’elle place occupe l’idée de l’intérêt commun dans ce projet ?

Nous avons pu trouver une forme personnelle d’utiliser des éléments en commun pour arriver à différents résultats, comme une manifestation de la diversité de nos regards, expériences et habilités techniques. Nous avons découvert qu’il y a toujours plus de choses à dire et à apprendre en travaillant ensemble, ce qui nous a le plus enrichi ce fut le dialogue, grâce auquel l’inespéré surgit toujours. En même temps, chacun a toujours eu la liberté de développer chacun sa propre proposition (sans autre contrainte que celle de créer des œuvres pouvant être transportées dans ma valise). Nous avons adopté un axe commun et pour point de départ le thème « Flores del mundo ». Ensuite, le thème de l’interprétation que chacun a faite de ce titre ainsi que de la correspondance que nous avons échangée, chaque, chaque œuvre a été créée.

Au fur et à mesure que le projet « Flores del mundo » a pris forme, les artistes savaient que le résultat de ce dialogue serait présenté à Quito et à Paris. Quel impact cela a-t-il eu sur le processus de création ?

Quelques questions ont permis d’initier ce travail ensemble :-« Croyez-vous que les arômes des fleurs peuvent changer en fonction du soleil ? Peut être que les fleurs du monde ne changent pas d’arôme ou d’essence... Quel arôme exhalent les plus belles fleurs de votre âme ? »Elles furent adressées à plusieurs personnes, quelques unes d’entre elles se sont impliquées en laissant le fil s’étendre, d’autres n’ont pas répondu et d’autres ne se sont pas laissées séduire. L’émotion et le trouble se sont emparés de nous lorsque j’ai eu la confirmation des deux institutions qui nous accueillent dans chaque pays. J’ai aussitôt décidé de leur expliquer un peu mieux les modalités de réalisation de cet échange, ce qui a encore

plus relancé le travail. Le fait que l’œuvre d’un artiste puisse être lue dans des contextes différents est toujours très stimulant.

Les objets artistiques sont traversés par des textes poétiques et de nouveau présentés à travers le registre de la photographie. La diversité des matières et supports parle également de parcours individuels. Presque intimes.

Oui, je crois que nous ne pouvons y échapper, que le travail plastique ou littéraire laisse transparaitre quelque chose de nous, de notre intimité. Ici la trajectoire, les intérêts, les recherches sont dévoilés, dénonçant la personne derrière la caméra, le propriétaire de la main qui écrit, qui peint, qui tricote... et je dois avouer que pour trois d’entre nous il est impossible d’imaginer une œuvre visuelle séparée du poétique.

Les espaces de la scène artistique équatorienne sont chaque fois plus divers et hétérogènes. Il y a besoin de faire beaucoup pour l’élargissement de cette scène au niveau international. Est-il possible de dire que ces « Fleurs du monde » le sont pour tous les mondes ?

Je pense que dans le champ de la création il y a une vaste production équatorienne de qualité et son expansion passe par la gestion, la recherche, et le montage de celle-ci. Nous avons eu beaucoup de chance d’arriver à réaliser un travail en équipe et qui a été bien accueilli. Les « Fleurs du monde » est ce que 5 personnes, heureuses de travailler ensem-ble malgré l’éloignement, ont à offrir. C’est un beau défi de parvenir, dans un tout autre contexte, à faire que l’arôme se répande, afin que le public puisse éventuellement y prendre part en nous disant, chacun à sa façon, quel est celui qui émane des meilleures fleurs de son âme.

Flores del Mundo

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S. C. A. Equateur:

Vanessa Padilla:

S. C. A. Equateur:

Vanessa Padilla:

« Flores del mundo » est le résultat d’un voyage personnel, partagé avec les amis qu’on laisse. La correspondance joue un rôle crucial dans cette expérience de création collective... Qu’elle place occupe l’idée de l’intérêt commun dans ce projet ?

Nous avons pu trouver une forme personnelle d’utiliser des éléments en commun pour arriver à différents résultats, comme une manifestation de la diversité de nos regards, expériences et habilités techniques. Nous avons découvert qu’il y a toujours plus de choses à dire et à apprendre en travaillant ensemble, ce qui nous a le plus enrichi ce fut le dialogue, grâce auquel l’inespéré surgit toujours. En même temps, chacun a toujours eu la liberté de développer chacun sa propre proposition (sans autre contrainte que celle de créer des œuvres pouvant être transportées dans ma valise). Nous avons adopté un axe commun et pour point de départ le thème « Flores del mundo ». Ensuite, le thème de l’interprétation que chacun a faite de ce titre ainsi que de la correspondance que nous avons échangée, chaque, chaque œuvre a été créée.

Au fur et à mesure que le projet « Flores del mundo » a pris forme, les artistes savaient que le résultat de ce dialogue serait présenté à Quito et à Paris. Quel impact cela a-t-il eu sur le processus de création ?

Quelques questions ont permis d’initier ce travail ensemble :-« Croyez-vous que les arômes des fleurs peuvent changer en fonction du soleil ? Peut être que les fleurs du monde ne changent pas d’arôme ou d’essence... Quel arôme exhalent les plus belles fleurs de votre âme ? »Elles furent adressées à plusieurs personnes, quelques unes d’entre elles se sont impliquées en laissant le fil s’étendre, d’autres n’ont pas répondu et d’autres ne se sont pas laissées séduire. L’émotion et le trouble se sont emparés de nous lorsque j’ai eu la confirmation des deux institutions qui nous accueillent dans chaque pays. J’ai aussitôt décidé de leur expliquer un peu mieux les modalités de réalisation de cet échange, ce qui a encore

plus relancé le travail. Le fait que l’œuvre d’un artiste puisse être lue dans des contextes différents est toujours très stimulant.

Les objets artistiques sont traversés par des textes poétiques et de nouveau présentés à travers le registre de la photographie. La diversité des matières et supports parle également de parcours individuels. Presque intimes.

Oui, je crois que nous ne pouvons y échapper, que le travail plastique ou littéraire laisse transparaitre quelque chose de nous, de notre intimité. Ici la trajectoire, les intérêts, les recherches sont dévoilés, dénonçant la personne derrière la caméra, le propriétaire de la main qui écrit, qui peint, qui tricote... et je dois avouer que pour trois d’entre nous il est impossible d’imaginer une œuvre visuelle séparée du poétique.

Les espaces de la scène artistique équatorienne sont chaque fois plus divers et hétérogènes. Il y a besoin de faire beaucoup pour l’élargissement de cette scène au niveau international. Est-il possible de dire que ces « Fleurs du monde » le sont pour tous les mondes ?

Je pense que dans le champ de la création il y a une vaste production équatorienne de qualité et son expansion passe par la gestion, la recherche, et le montage de celle-ci. Nous avons eu beaucoup de chance d’arriver à réaliser un travail en équipe et qui a été bien accueilli. Les « Fleurs du monde » est ce que 5 personnes, heureuses de travailler ensem-ble malgré l’éloignement, ont à offrir. C’est un beau défi de parvenir, dans un tout autre contexte, à faire que l’arôme se répande, afin que le public puisse éventuellement y prendre part en nous disant, chacun à sa façon, quel est celui qui émane des meilleures fleurs de son âme.

Flores del Mundo

Page 6: Flores del Mundo 2

« Flores del mundo » est le résultat d’un voyage personnel, partagé avec les amis qu’on laisse. La correspondance joue un rôle crucial dans cette expérience de création collective... Qu’elle place occupe l’idée de l’intérêt commun dans ce projet ?

Nous avons pu trouver une forme personnelle d’utiliser des éléments en commun pour arriver à différents résultats, comme une manifestation de la diversité de nos regards, expériences et habilités techniques. Nous avons découvert qu’il y a toujours plus de choses à dire et à apprendre en travaillant ensemble, ce qui nous a le plus enrichi ce fut le dialogue, grâce auquel l’inespéré surgit toujours. En même temps, chacun a toujours eu la liberté de développer chacun sa propre proposition (sans autre contrainte que celle de créer des œuvres pouvant être transportées dans ma valise). Nous avons adopté un axe commun et pour point de départ le thème « Flores del mundo ». Ensuite, le thème de l’interprétation que chacun a faite de ce titre ainsi que de la correspondance que nous avons échangée, chaque, chaque œuvre a été créée.

Au fur et à mesure que le projet « Flores del mundo » a pris forme, les artistes savaient que le résultat de ce dialogue serait présenté à Quito et à Paris. Quel impact cela a-t-il eu sur le processus de création ?

Quelques questions ont permis d’initier ce travail ensemble :-« Croyez-vous que les arômes des fleurs peuvent changer en fonction du soleil ? Peut être que les fleurs du monde ne changent pas d’arôme ou d’essence... Quel arôme exhalent les plus belles fleurs de votre âme ? »Elles furent adressées à plusieurs personnes, quelques unes d’entre elles se sont impliquées en laissant le fil s’étendre, d’autres n’ont pas répondu et d’autres ne se sont pas laissées séduire. L’émotion et le trouble se sont emparés de nous lorsque j’ai eu la confirmation des deux institutions qui nous accueillent dans chaque pays. J’ai aussitôt décidé de leur expliquer un peu mieux les modalités de réalisation de cet échange, ce qui a encore

plus relancé le travail. Le fait que l’œuvre d’un artiste puisse être lue dans des contextes différents est toujours très stimulant.

Les objets artistiques sont traversés par des textes poétiques et de nouveau présentés à travers le registre de la photographie. La diversité des matières et supports parle également de parcours individuels. Presque intimes.

Oui, je crois que nous ne pouvons y échapper, que le travail plastique ou littéraire laisse transparaitre quelque chose de nous, de notre intimité. Ici la trajectoire, les intérêts, les recherches sont dévoilés, dénonçant la personne derrière la caméra, le propriétaire de la main qui écrit, qui peint, qui tricote... et je dois avouer que pour trois d’entre nous il est impossible d’imaginer une œuvre visuelle séparée du poétique.

Les espaces de la scène artistique équatorienne sont chaque fois plus divers et hétérogènes. Il y a besoin de faire beaucoup pour l’élargissement de cette scène au niveau international. Est-il possible de dire que ces « Fleurs du monde » le sont pour tous les mondes ?

Je pense que dans le champ de la création il y a une vaste production équatorienne de qualité et son expansion passe par la gestion, la recherche, et le montage de celle-ci. Nous avons eu beaucoup de chance d’arriver à réaliser un travail en équipe et qui a été bien accueilli. Les « Fleurs du monde » est ce que 5 personnes, heureuses de travailler ensem-ble malgré l’éloignement, ont à offrir. C’est un beau défi de parvenir, dans un tout autre contexte, à faire que l’arôme se répande, afin que le public puisse éventuellement y prendre part en nous disant, chacun à sa façon, quel est celui qui émane des meilleures fleurs de son âme.

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Elle a réalisé ses études supérieures à l’Université Catholique de l’Equateur et a obtenu une licence en arts visuels en 2012, avec pour projet d’étude le court métrage El Resurgimiento de Atahualpa, después del ocaso (La Renaissance d’Atahualpa, après le déclin). Elle a réalisé des expositions collectives et individuelles à l’université et a égale-ment travaillé avec le Docteur Inés Flores (commis-saire et experte en art) pour la création d’un musée et la réalisation de l’exposition de Servio Zapata au Centre Culturel Itchimbía de Quito. Ses œuvres comprennent des dessins, des sculptures, des peintures et des écrits.

María Isabel Albornoz Terán(Quito - 1987)

FOTOGRAFÍA DE DETALLE

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FOTOGRAFÍA DE DETALLE

"Geranium transaparentem" Isabe l A lbornoz

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Elle a réalisé ses études supérieures à l’Université Catholique de l’Equateur en 2005, au cours desquelles elle fait partie de plusieurs projets collec-tifs et individuels. Durant sa formation elle se décou-vre un goût pour le jeu avec les matières, en particu-lier l’aquarelle. De la même façon elle découvre le plaisir d’enseigner l’art aux enfants, ce qui l’amène à réaliser en 2011 son exposition « La couleur à travers les sentiments des enfants ». Elle obtient sa licence en Arts Visuels la même année. Elle s’implique à partir de 2012 dans la création pour enfants et travaille depuis 2013 comme profes-seure d’art pour enfants à l’Unité Educative Particu-lière Bilingue Martim Cererê de Quito.

Elizabeth Yerovi (Quito - 1987)

FOTOGRAFÍA DE DETALLE

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FOTOGRAFÍA DE UNA OBRA

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"Hierbitas de mi alma” El izabeth Yerov i

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Artiste en arts visuels diplômée de l’Université Catholique de l’Equateur, elle est actuellement coordinatrice de la section art au Collège Terranova de Quito.

Melanie Vicuña(Quito - 1983)

FOTOGRAFÍA DE DETALLE

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FOTOGRAFÍA DE DETALLE

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“Tapetes” Melan ie V icuña

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Vanessa Padilla est née à Quito en 1982 et vit désormais en France. Elle introduit toujours dans sa production artistique une dimension musicale et littéraire comme éléments fondamentaux de son œuvre.

« Son travail mêle son expérience personnelle, intime, de ses récits aux questions fondamentales de la philosophie contemporaine comme celles du sens de sa propre existence et du désamour comme symptôme de l’interrogation sur l’absence de l’autre, sur la communication, sur l’environne-ment humain, sans aucun doute violent et cruel. Mais tout est relié depuis l’intérieur [..]. A partir de la parole se construit une dimension audiovisuelle, non pas à partir de la parole savante, rationnelle, mais de la parole poétique où la parole, et bien plus la voix, revêtent la peau du sentiment, de la significa-tion » (Alfredo Breilh, 2007).

Elle a publié les livres “Historias de trapos ”, en 2008, “El soporte poético del cuerpo” , en 2013, ainsi que “Recorriendo el mundo con la alegría de los niños” la même année.

Vanessa Padilla A. (Quito - 1982)

FOTOGRAFÍA DE DETALLE

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FOTOGRAFÍA DE UNA OBRA

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“La Cantariega” Vanessa Padi l la

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Né à Quito en 1976, Santiago de la Torre est un designer professionnel, diplômé de l’Université Catholique de l’Equateur en 2002. Entre 2009 et 2014, il se tourne vers la photographie et réalise divers ateliers au CIAF (Centro de la Imagen de la Alianza Francesa), au ICP (International Center of Photography) et à la Fondation Pedro Meyer. A partir de 2009 son œuvre se concentre sur la photographie, domaine dans lequel il se développe tant au niveau professionnel que personnel. Il dirige aujourd’hui son propre atelier de dessin et de photographie – « Cónclave » – et est professeur de photographie au CIAF.

Santiago de la Torre Freire(Quito - 1976)

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"Ultopía" Sant iago de la Torre

OBRA FOTOGRÁFICA

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C o r r e s p o n d e n c i a sP a r í s - Q u i t o

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