extrait de la publication… · toutefois, dans le souci de faire vivre à nos lecteurs et...

Extrait de la publication

Témoignages de jeunes qui ont rencontré Dieu

© Novalis 2008

Au coeur du paysage urbain

Un pèlerinage

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Au cœur du paysage urbain. Un pèlerinageest publié par Novalis.

Auteurs : Julie Larouche, Annick Loyer, Ivan Marcil, Alain Mongeau

Édition : Hélène Régnier

Révision : Lise Lachance, Marie Juranville

Édititique et couverture : Infoscan Collette, Québec

Photo de la couverture : © Jean-François Dupuis/Dreamstime.com

© Novalis, Université Saint-Paul, Ottawa, 2008.

Dépôts légaux : 3e trimestre 2008Bibliothèque nationale du CanadaBibliothèque nationale du Québec

Novalis, 4475, rue Frontenac Montréal (Québec), H2H 2S2

C.P. 990, succursale Delorimier Montréal (Québec), H2H 2T1

Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Programme d’aide au développement de l’industrie de l’édition (PADIÉ) pour nos activités d’édition.

La plupart des références bibliques sont extraites de La Bible en français courant, www.interbible.org

Imprimé au Canada

ISBN 978-2-89646-734-1 – version numérique

Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archivesnationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada

Vedette principale au titre :Au cœur du paysage urbain : un pèlerinage

ISBN 978-2-89646-064-9

1. Jeunesse – Vie religieuse. 2. Pastorale des jeunes. I. Larouche, Julie, 1979- .

BV4532.A82 2008 248.8'3 C2008-941338-5



Remerciements

Nous tenons à remercier tous ceux et celles qui ontpris le temps d’écrire leur témoignage pour ce livre.Ces textes ont été la pierre angulaire qui a soutenuet alimenté ce projet d’écriture.

Nous remercions spécialement :

Alexis Pearson, Andrée Bédard, Brigitte Ripoll,Claudie Gagnon, Daria Duzsa, DominiqueTétreault, Éliane Cantin, Geneviève-ArianneMorissette, Ginette Généreux, Marie-JoséeHarvey, Mélissa Fleurant, Myriam Côté,Sandrine Galvez, André Nadaud, BenoîtMorrier, Dan Villeneuve, Daniel Coutu,François Fortin, Martin Fortier, MartinRaymond, Michel Munger, Raphaël Coulombe.

Nous souhaitons aussi remercier toutes les personnesqui nous ont soutenus dans l’ombre. D’abord, Jean-François Lacroix et Martin Fortier qui ont épauléleurs épouses, Annick et Julie. Les fidèles gardiennes,Samia Saouaf et Nathalie Caron, qui ont chouchoutéles petits, lors des réunions. Isabelle Coulombe quia su nous faire profiter de son talent pour relire etcorriger plusieurs parties de ce livre.

Merci à tous les jeunes qui fréquentent La BandeFM. Sans eux, ce livre n’aurait jamais vu le jour.

Enfin, un grand merci à Yvon Métras, Hélène Régnieret toute leur équipe, pour cette douce confiance ànotre égard.


Avant-propos

Ce livre est un recueil de témoignages. Il proposed’authentiques récits de rencontres avec Dieu.

Toutefois, dans le souci de faire vivre à nos lecteurset lectrices l’expérience de l’intérieur, nous avonspris la liberté d’élaborer une trame fictive autour dela véritable histoire de ces témoignages. Nous noussommes amusés à recréer des situations inspirées decelles vécues par notre groupe de jeunes catholiques.

Afin de vous guider à travers ce dédale de péripéties,de dialogues, de réflexions et d’encadrés théolo-giques, nous vous proposons un guide imaginaire :Julie Tremblay. Ce personnage qui nous entraînedans le monde «catho» est une création littéraire.Ce mélange de réalité et de fiction veut rendrecompte de certains aspects du cheminement person-nel et spirituel d’un ou d’une jeune d’aujourd’hui.Julie peut représenter une personne en quête de senset confrontée à la foi, telle qu’elle est vécue par certainschrétiens et chrétiennes.

Ce livre est donc fabriqué à partir d’histoires vécues,où seul le temps et l’espace ont été modifiés pourcréer des rencontres. Rencontres essentielles pour lecroyant ou la croyante qui s’émerveille, grandit ets’alimente, au contact de ses frères et sœurs dans lafoi. Rencontres que nous avons nous-mêmes vécues,au sein de La Bande FM.



La Bande FM, c’est-à-dire l’école Foi et Mission, estun groupe où passent des jeunes (et déjà moinsjeunes), depuis dix ans. Ils s’y arrêtent le temps d’unpartage, d’une conférence, d’une prière. Elleconstitue autant un lieu de formation humaine etspirituelle qu’un cercle d’amis.

Les rédacteurs et concepteurs

Julie Larouche, Annick Loyer, Ivan Marcil et Alain Mongeau.

6 Pèlerinage en ville


Salut papier!

30 août

Il fait nuit. Je viens de terminer mon quart de travailau café. J’écoute parler le silence de mon apparte-ment. J’aurais préféré parler à quelqu’un. Je remplisle vide de petites lettres noires, gribouillées dans cejournal adressé à je ne sais trop qui.

Quelle chaleur ! Moi qui passe mes journées à l’airclimatisé. Ici, au troisième d’un vieil immeuble quidate de la Deuxième Guerre mondiale, même l’airfrais du soir ne se risque pas. J’y pense, donc je sue.Les gouttelettes roulent dans mon dos. Ce supplicede la goutte me pousse à écrire, histoire de sortir demon isolement.

L’anonymat de la grande ville me laisse du tempspour penser. Peut-être trop, en fait. Il est vrai queça ne tourne pas toujours rond dans ma tête. Aussibien aligner les mots, écrire des phrases. Défaire lesnœuds, lentement.

En vérité, ce vide est nouveau pour moi. J’ai tou-jours vécu entourée de gens. Ma famille forme unclan de fermiers de la Gaspésie qui partagent tout,du foin aux tartes aux pommes, des fous rires auxquerelles à n’en plus finir. Parfois trop à mon goût.Mais on sent aussi qu’on appartient à un tout, à uncorps, à une tribu. La rupture a commencé quandla routine s’est soudainement détraquée. Je suissortie du cercle. J’ai dû rompre les contacts avec mafamille. Pour un temps. Je ne sais pas trop encore.

La plupart des jeunes de mon âge quittent leurfamille pour aller étudier. Pas moi. J’ai simplementfui. J’ai voulu mettre des kilomètres de routes entremes problèmes et moi-même. Des kilomètres entre

Salut papier! 7


le clan Tremblay, sa ferme, ses opinions, mon«fiancé» modèle et moi. De l’espace qui devraitm’aider à repartir à neuf. Ce soir, je me sens plutôttéméraire d’être partie.

Si ma sœur était là, elle m’écouterait. Elle a toujoursdes conseils à donner, une opinion sur tout, maiselle sait m’écouter. Par contre, elle m’a engueuléevertement à l’annonce de mon départ. Elle devaitavoir ses raisons. Elle s’est mêlée de mes affaires,comme les autres, quand elle a su que je partais.Pas d’accord avec mes choix, ce clan. Dans un clan,tout le monde doit savoir tout sur tous. J’ai bienrésisté, j’ai argumenté. Je luttais, en fait, contre unprécepte de la famille Tremblay: si le clan n’approuvepas sa décision, le membre doit changer d’idée ou...changer d’idée. Moi, je suis partie.

La tribu a tout de même réussi à me faire hésiter.Mission accomplie, chères tantes et cousines ! Vousavez saboté la scène finale, le doute s’est immiscédans mon esprit. J’ai dit à Louis-Philippe que jevoulais réfléchir. Je lui ai demandé de m’attendre,j’ai raconté les histoires qu’on s’invente quand onne sait pas. Trois ans d’amour, de mots doux. Despromenades au clair de lune et des heures à l’écouterjouer de l’orgue. Je ne pouvais pas le quitter. Je nepeux pas le quitter.

Je sens tout de même que quelque chose s’estrompu. J’ai alors confié mes doutes à ma sœur quiles a confiés à ma mère qui les a confiés à ses sœurs...Que de confidences peuvent s’échanger toutes cespaires d’oreilles ! «Sois tranquille : cela ne sortirapas des bouches du Saint-Laurent.» Un secret n’est-il pas une chose que l’on ne partage qu’avec uneseule personne à la fois ? Heureusement, ma sœurne savait pas tout. Lorsque mon grand-père a faitallusion à mon amoureux, en me conseillant d’êtreconciliante avec lui, j’ai failli éclater. Ma sœur, ma



confidente, m’avait profondément déçue. Ce n’étaitvraiment pas mon intention de raconter à la galeriedes grands-parents et des tantes que je vivais unepériode de doute dans mon couple. Non, je n’ai plusenvie de raconter mes problèmes.

Salut papier! 9



Le rendez-vous a‘ la messe

Dimanche, 16 septembre

Pour une fois, j’ai congé un jour de week-end. J’enai profité pour répondre à l’invitation d’un ami dema sœur qui travaille à Montréal. Il s’appelleMartin. Lorsque je lui ai téléphoné, ce matin, il m’aproposé de l’accompagner à la messe, avant d’allerensuite manger ensemble. « J’y réfléchirai.» J’avaisbien envie de le voir, lui. Mais aller à la messe…comme avec le clan, chaque dimanche, supportercette heure d’ennui? Moi qui commençais justementà oublier les habitudes familiales.

J’aurais préféré une simple sortie. Trop timide pourle lui avouer, je l’ai rappelé pour accepter cetteétrange invitation. Rendez-vous à l’église Saint-Louis-de-France, dans le quartier du Plateau Mont-Royal. Super sexy !

Je trouvais que Montréal était une ville grise ettriste, j’avais tort. Je suis arrivée à l’avance et j’enai profité pour marcher quelques minutes. Ensortant de la station de métro, j’ai longé la rue Berri,entre des bâtiments plutôt ternes. Au tournant, j’aicroisé une piste cyclable, presque une autoroutepour vélos. Des jardinets pris entre des grilles noiresm’envoyaient la main en forme de pots de fleurs,sur les balcons. En remontant la rue Saint-Hubert,j’ai été surprise, amusée même, de trouver toutessortes d’ornements sur les maisons, avec leurs drôlesd’escaliers aux tons vifs. Chacune possède son style.La pierre grise s’égaye de frises, de poutres sculptées,de lucarnes aux motifs vieillots, de portes en boispeintes de couleurs différentes. Quel plaisird’observer la lumière et les fleurs ! Plus loin, le




mythique parc Lafontaine, avec ses citadins prenantun bain de soleil sur les pelouses. Rue Saint-Denis,la marée humaine s’offre une promenade de santé.Dans cette chaleur de fin d’été, le soleil déguise laville en peinture naïve. On annonce des records dechaleur pour la saison. Les larges trottoirs ne suf-fisent plus à contenir la horde des marcheurs éblouispar cette lumière de début d’automne.

J’ai failli être en retard à la messe. La fraîcheur etle calme de l’église offraient un contraste bienfaisantaprès cette marche rapide. Les montréalaises ont bienraison de porter des jupes et des sandales jusqu’enoctobre. Dans l’assemblée, j’ai tout de suite reconnuMartin. Il n’avait pas changé d’un poil. Son alluresemble indémodable. Le portrait du frère, du cousin :grand type aux cheveux et aux yeux bruns à lunettes.Le fiancé modèle dont rêvent toutes les mères. L’amide toutes les filles.

Je l’ai toujours soupçonné d’avoir un faible pourma sœur. Lorsqu’elle lui a demandé franchement :«Si tu étais amoureux de moi, tu me le dirais,non?», il s’était contenté de rire aux éclats et derépondre : «Bien sûr, voyons !»

Mais aujourd’hui Martin semblait vouloir rompreavec son célibat légendaire. Une jolie jeune femmel’accompagnait, et d’assez près. Martin gesticulait,en racontant je ne sais quelle histoire. La compagnehochait la tête, souriante comme une jeune amou-reuse. Incroyable ! Quel scoop ! Pour la premièrefois, je voyais ce vieil ami être contemplé amoureu-sement. Il faudra m’y habituer.

La messe débuta, interrompant les accolades, etnous nous sommes assis, coincés dans le premierbanc. J’étais au cœur de l’affaire. Pas moyen d’es-quiver les salutations et les clins d’œil. En jetantquelques regards autour de moi, je me suis renducompte que les bancs étaient remplis de gens de

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notre âge, je veux dire des jeunes. Il y avait quelquesgrands-mères ferventes, mais l’église semblait avoirété prise d’assaut par une bande d’étudiants enthou-siastes. Quelques-uns proclamaient les lectures,d’autres animaient le chant ou servaient à l’autel.Le prêtre, lui-même, ne semblait pas dépasser laquarantaine.

Honnêtement, je n’ai pas bâillé une seule fois durantla messe. J’étais même impressionnée, curieuse,touchée. Je me suis laissée aller à rire pendant l’ho-mélie. Comme le groupe de musiciens hyperactifsconcluait la quatrième reprise du refrain final, j’aienfin pu saluer mon ami Martin. En chemin vers lasortie, il était sans cesse arrêté par ses amis. Salu-tations, nouvelles, bonjours et blagues, blablabla.J’en ai profité pour engager la conversation avec sacompagne. Elle s’appelle Annick. Soucieuse de nepas poser de questions trop intimes, je lui récite monc.v. d’une traite : « Julie Tremblay, 18 ans, originairede la Gaspésie, ex-étudiante en arts plastiques,maintenant serveuse dans un café.» Elle, du tac autac : «Annick Loyer, 22 ans, originaire de la rivesud de Montréal (aller voir la carte), étudiante energothérapie et femme de chambre dans ses heuresde loisir (ce qui voulait sans doute dire qu’elle n’enavait pas beaucoup). Martin, lui, avait des airs depoliticien en campagne électorale et semblaitconnaître tout le monde. Une fois sortie de la foule,je lui ai demandé : «Es-tu certain que cette église estcatholique? — Bien sûr, me répond-il avec son largesourire. Je t’expliquerai, mais d’abord, trouvons àmanger !»

Devant nos assiettes, la discussion s’engage et seprolonge tout l’après-midi. Travail, appartements,notre nouvelle ville, tout y passe. Je lui confie queje me sens un peu seule, chez moi. Entre deuxbouchées, Annick passe à l’offensive :



«Nous nous sommes rencontrés à cette paroisse. Ony organise des soirées-conférence, des discussions,des pèlerinages...

— Des catholiques normaux font des chosespareilles ? Depuis quand la moitié de l’assistanced’une messe a moins de 30 ans? Je veux dire... auXXIe siècle?

— Tu as raison, répond calmement Martin. Il s’agitd’une cellule extrémiste catholique. Tu subiras uneinitiation demain. Tu devras donner tout ton argentet ajouter “soleil” à ton prénom, Julie-Soleil.

— Qu... Quoi? !

— Une blague ! Voyons !»

Il paraît que ma stupeur aurait pu faire la une desjournaux. Annick m’explique que ces jeunes «extré-mistes» sont, en fait, des catholiques normaux quis’ennuyaient un peu, eux aussi, dans leur ancienneparoisse. Ils ont alors demandé au prêtre de les aiderà améliorer leur vie de foi, à éclairer un peu leursconnaissances sur l’Église, les choses de Dieu et laBible. Rien d’une secte. Juste une bande de jeunesintéressés par le christianisme. Si je le souhaite, elleorganise un repas entre amis, samedi soir prochain.Je pourrais m’y joindre et rencontrer quelques-unsde ces spécimens uniques, des jeunes chrétiens. Maisattention : il y aura de la prière et de la « théologiedans l’air !»

Sans s’en rendre compte, Martin, Annick et leurgroupe d’amis me jettent dans l’embarras. Descatholiques, autant dire des dinosaures, quisemblent vivre leur foi tout naturellement et entoute impunité ! ? Qu’est-ce qui peut bien pousserdes jeunes adultes apparemment normaux à vouloiradhérer à un truc comme l’Église catholique ?Devrais-je accepter cette invitation? Encore une fois,j’ai l’impression qu’on veut organiser mon emploi

Le rendez-vous à la messe 13



du temps, ma vie. Annick me semble être une fillesaine et équilibrée. Mais de là à aller nager avec desgrenouilles de bénitier… J’ai réussi à fuir un clanétouffant, ce n’est pas pour aller m’enticher d’uneautre bande de gens-à-principes. Je verrai bien parmoi-même. Je pourrais toujours quitter le repas plustôt. Mais ils ont de bonnes gueules, après tout. J’aivraiment le goût de mieux les connaître. Denouveaux amis. Un peu d’action. Oui? Non? J’irai.




Table de matie‘res

Remerciements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Avant-propos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5

Salut papier ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Le rendez-vous à la messe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10

Sexy samedi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

Quelques raisons de supporter une messe plate… . . . . 19

Dieu sans apparitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

La communauté chrétienne, une famille reconstituée . . . 34

« Let’s talk about sex » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43

L’automne se bidonne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48

Fondateurs d’aujourd’hui . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

Souffrir le mal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68

La maladie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

L’abus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76

Le suicide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

Dimanche des Rameaux : la passion . . . . . . . . . . . . . . . . . 84

La vocation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87

Spiritualité 101, avec mon accompagnateur . . . . . . . . . . 96

Table des matières 147



Engagez-vous qu’ils disaient ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 106

Ma mission est ma vocation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111

Être missionnaire chez-nous . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118

Le temps des questions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135

Une lettre inattendue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139

Une dernière réflexion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144

Liste des témoignages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149

Liste des encadrés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 151



Liste des te’moignages

Comment j'ai découvert ma propre foi . . . . . . . . . . . . . . . 23

Le vrai baptême de Daniel Coutu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

Être disciple du Christ aujourd'hui . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

Une nouvelle famille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38

Dieu et Moi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51

Se ficher de s'afficher . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62

Dieu, où es-tu? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69

Si je n'étais pas faible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

Le pardon qui m'a sauvé la vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77

Tu seras prêtre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87

Mon chemin vocationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103

L'amour comme don de soi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109

Histoire d'une folle aventure spirituelle . . . . . . . . . . . . . 112

Ma mission . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119

Un appel vers les pauvres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126

L'histoire de ma vocation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130

L'esprit missionnaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137

Invité à prendre la route de la compassion . . . . . . . . . . . 139

Liste des témoignages 149



Liste des encadre’s

Comment prier ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26

La prière, souffle de vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31

Les débuts de la « Bande FM » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58

Recevoir le pardon de Dieu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81

Le scandale du mal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85

Petit guide pour la confession . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93

Le défi de pardonner . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123

Liste des encadrés 151


extrait de la publication… · toutefois, dans le souci de faire vivre à nos lecteurs et...

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