exposé’sur’les’ques-onnements’à’...
TRANSCRIPT
Exposé sur les Ques-onnements à Choix Mul-ples
Quelques éléments de réflexion pour une u3lisa3on en classe
Mercredi 29 mai 2013
Introduc-on
Historique: • Usage tradi3onnelle du QCM dans les tests de l’armée américaine des la première guerre
mondiale • Un usage généralisé en France dans les fac de médecine dés les années 60.
Le QCM entre dans la catégorie des exercices à choix fournis: ainsi le ques3onné est placé en situa3on de dilemme face à la sélec3on qu’il doit opérer, ce
qui en fait son intérêt didac3que.
La forme classique du QCM: • un ques3onnement posant le problème • plusieurs proposi3ons (items) répondant ou non à la ques3on (c'est à dire exacte ou non
rela3vement au problème posé) • l’indica3on du nombre d'item à cocher ===> pose la probléma3que d'une construc3on
raisonnée et rigoureuse -‐-‐-‐> ex. QCM 1 (extrême !! à ne pas faire)
au delà de la forme classique, il est ainsi possible de varier les formes de QCM: • le ques3onnement n’est pas seulement sous la forme d’une simple ques3on mais se réfère à
une donnée complémentaire « chapeau » (énoncé sans ou avec documents fournis) -‐-‐-‐> ex. QCM 2 • le ques3onnement amène à un choix de "réarrangement" (le plus souvent chronologique,
d'une somme d'éléments) -‐-‐-‐> ex. QCM 3 • le ques3onnement amène à un choix "d'appariement" cohérent (2 listes d'éléments à
associer) -‐-‐-‐> ex. QCM 4
Quelques éléments de construc-on du QCM (la logique du QCM)
Que teste t'on ? (quel objec3f) ===> comme dans tout exercice, par3r de la compétence
que l’on veut tester et de ce que l'on espère comme réponse avant de poser la ques3on et les items.
• du savoir: le QCM remplace alors la ques3on de cours ou la récita3on de connaissance de type défini3on apprise par cœur -‐-‐-‐> ex. QCM 5
• des capacités: une seule, ponctuelle, ou une démarche construite, sur plusieurs items ou QCM -‐-‐-‐> ex. QCM 6 (arbre phylogéné3que + matrice avec test de cohérence entre les 2 ===> permet lecture, compréhension et maîtrise des règles de la phylogénie sans avoir à construire l'arbre).
consignes principales (règles et pièges à éviter) • poser une ques-on réellement (éviter la proposi3on sans pbl
posé) -‐-‐-‐> ex. QCM 1
• 1 seul item répond à la ques-on (plusieurs bonnes réponses accroissent la difficulté = carnage) -‐-‐-‐> ex. QCM 7
• éviter l'implicite (préciser les condi3ons d'applica3on de la ques3on: mieux vaut allonger la ques3on que les items et éviter les proposi3ons ambigües) -‐-‐-‐> ex. QCM 8b
• poser une ques-on au style directe (éviter les néga3ons) -‐-‐-‐> ex. QCM 8a
• proposer des items homogènes dans leur forme (construc3on et longueur)
• proposer des distracteurs crédibles formant des leurres qui interrogent (d'où l'intérêt des items à valeurs chiffrées
-‐-‐-‐> ex. QCM 9
• classer les items: globalement (quand il y a des proposi3ons chiffrées ou
chronologiques) ou par type d'objec3f -‐-‐-‐> ex. QCM 9 • éviter les items trop simplistes et approxima-f ou trop longs
et complexes -‐-‐-‐> ex. QCM 10b • pra-quer la mise en facteur de terme pour éviter de trop
longs items par répé33on -‐-‐-‐> ex. QCM 5 et 11 • varier la posi-on de l'item répondant à la ques-on au sein
des distracteurs pour chaque QCM • éviter un dernier item "faible" hétérogène (par manque
d'idée) qui ne se réfère plus à la ques3on mais au autres items -‐-‐-‐> ex. QCM 11
• l'item correct aXendu est forcément vrai rela-vement au pbl posé mais pas forcément faux dans l'absolu
(ce qui complique la réponse ===> on peut s'arranger pour que les distracteurs soient faux dans tous les cas pour faciliter le choix) -‐-‐-‐> ex. QCM 8b et 11
Quelques éléments cri-ques des QCM
avantages que l'on peut aXribuer aux QCM:
• tester finement une compétence précise en posant des distracteurs faux sur un point de fond (no3on scien3fique) ou faux sur la forme (avec des connecteurs logiques erronés au sein de l'item) -‐-‐-‐> ex. QCM 12
• perme^re de fixer des repères précis dans la tête des apprenants, sans ambigüité (si le QCM est « bien » posé)
• tester la compréhension par la lecture fine
• possibilités de tester toutes les capacités et connaissances • correc-on équitable homogène, non ambigüe
• perme^re de tester les apprenants rapidement
• ne pas se baser uniquement sur la simple mémorisa-on "par cœur" de connaissances (comme demander une défini3on)
inconvénients que l'on peut imputer aux QCM: (obstacles à leur u3lisa3on, associés à une mauvaise réputa3on)
• ne pas former du tout à la rédac-on et à l’expression de sa pensée (sauf si l'apprenant conçoit le QCM)
• tester plus la mémoire que la logique de réflexion (sauf si le chapeau con3ent des données de référence)
• risquer de ne tester que des points de détail • risque de réponse au hasard (d'où le sen3ment d'une évalua3on approxima3ve et injuste de choix heureux par ignorance) ===> renforce la nécessité de poser des QCM raisonnés (forcer à des réponses correctes par compétence qui donnent sta3s3quement de meilleurs résultats que les réponses au hasard (seulement 1/4 par QCM), même sans u3liser de barème néga3f.
• long à élaborer correctement (il est plus rapide de poser un QROC ou une défini3on)
Un ou-l de plus pour diversifier sa pédagogie
• une autocorrec-on aisée par l'apprenant ===> permet même de travailler en ligne avec un ENT ou autre
• une correc-on croisée facile entre apprenants ===> permet des discussions construc3ves et mobilise d'autres formes de mémorisa3on
• une construc-on par l'apprenant de QCM ===> permet de consolider les no3ons ou capacités clés
• un travail rigoureux de la langue (éventuellement par la rédac3on du QCM et par la compréhension écrite lors de la lecture)
• un ou-l d'évalua-on complet (diagnos3c, forma3f et somma3f) avec un traitement sta3s3que des réponses possibles ===> permet de repérer les QCM discriminant ou non: -‐ retour vers le concepteur ===> réflexion sur la formula3on +/-‐ correcte, sur les diagnos3cs et la remédia3on de l'appren3ssage de no3ons mal perçues -‐ retour vers l'apprenant ===> interroga3on facile sur la recherche de l'erreur ===> remédia3on rapide
QCM 1 : Les mécanismes évolu-fs à l'origine de la lignée humaine ont fait intervenir:
a -‐ de nombreuses muta.ons qui ont progressivement modelé un bassin apte à la bipédie b -‐ un isolement géographique c -‐ la délé.on d'une paire de chromosomes d -‐ des modifica.ons clima.ques e -‐ des modifica.ons géologiques
QCM 2 : On considère pour la ques-on les données suivantes.
Caryotype a caryotype b
Quelle est la proposi-on exacte concernant les caryotypes a et b présentés ?
a -‐ le caryotype a peut être celui d’un spermatozoïde humain b -‐ le caryotype a peut être celui d’une cellule œuf de sexe géné.que féminin c -‐ le caryotype b peut être celui d’un spermatozoïde humain d -‐ le caryotype b peut être celui d’une cellule œuf humaine de sexe géné.que féminin
QCM 3:
Chez une femme sans antécédent pathologique connu et en âge de procréer, lors d’un cycle menstruel avec ovula3on, sans féconda3on et en dehors de toute prise de contracep3f chimique, on peut observer 3 types de rétroac3ons ovariennes : 1 -‐ une rétroac3on posi3ve exercée par une concentra3on plasma3que d’œstradiol supérieure à 200 pg.mL−1 2 -‐ une rétroac3on néga3ve exercée par l’ensemble œstradiol-‐progestérone 3 -‐ une rétroac3on néga3ve exercée par une concentra3on plasma3que d’œstradiol inférieure à 200 pg.mL−1
Dans quel ordre chronologique peut-‐on observer ces rétroac-ons lors du cycle menstruel ? a -‐ 1, 2, 3 b -‐ 3, 2, 1 c -‐ 2, 1, 3 d -‐ 3, 1, 2
QCM 4 : L’énoncé ci-‐dessous s’applique à la ques-on.
Voici deux listes : l’une de propriétés et l’autre de phases rela3ves à la division cellulaire par mitose d’une cellule végétale eucaryote. À chaque propriété de la première liste peut être associée une phase de la deuxième liste.
Quelle associa-on est vraie ?
a -‐ A1-‐B2-‐C3-‐D4 b -‐ A2-‐B1-‐C4-‐E3 c -‐ A3-‐B4-‐C1-‐D2 d -‐ A4-‐B3-‐C2-‐D1
Liste 1 Liste 2
A - Alignement équatorial des chromosomes 1 - Prophase
B - Ascension polaire des chromatides 2 - Télophase
C - Condensation progressive de la chromatine 3 - Métaphase
D - Reconstruction de l’enveloppe nucléaire 4 - Anaphase
QCM 5a : Qu’appelle-‐t-‐on période réfractaire d’un axone ? C’est la durée :
a -‐ de la réponse de cet axone à une s.mula.on supraliminaire b -‐ d’insensibilité de cet axone à une nouvelle s.mula.on supraliminaire à laquelle il a répondu par un poten.el d’ac.on propagé c -‐ de la transmission du message nerveux de cet axone à un autre neurone au niveau d’une synapse chimique d -‐ de la phase d’hyperpolarisa.on membranaire éventuellement observée lors du déroulement d’un poten.el d’ac.on d’un axone
QCM 5b : Quels paramètres peuvent influencer l’évolu-on du phénotype immunitaire au cours du temps chez un sujet humain sans pathologies immunitaires ?
a -‐ son sexe géné.que b -‐ ses vaccina.ons antérieures et les éventuels rappels subis régulièrement au cours du temps c -‐ son âge d -‐ les antécédents infec.eux de sa mère
QCM 5c : Quelles sont les proposi-ons exactes concernant l’homéostat glycémique de l’Homme normal ?
a -‐ l’homéostasie glycémique correspond au fait que la glycémie oscille en permanence autour d’une valeur physiologique de consigne de 1 g.L-‐1 b -‐ l’homéostasie glycémique nécessite que l’organisme puisse mobiliser des réserves de glucose c -‐ sous l’ac.on de l’insuline, du glucagon est libéré par le foie dans le plasma pour augmenter la glycémie d -‐ sous l’ac.on de l'insuline, du glucose est libéré par le foie dans le plasma pour augmenter la glycémie
QCM 6: On considère pour les ques-ons 6a et 6b les données suivantes :
Le tableau ci-‐dessous présente certains états de caractères chez six Hominidés. -‐ Case à fond blanc : état ancestral du caractère -‐ Case à fond gris : état dérivé du caractère
Dans les proposi3ons d'arbres phylogéné3ques qui suivent : -‐ les carrés représentent les ancêtres communs hypothé3ques aux Vertébrés pris en exemple. -‐ les 3rets légendés représentent l'appari3on de l'état dérivé (innova3on évolu3ve) d'un caractère présenté dans le tableau.
QCM 6a:
Quel arbre phylogéné-que présente un placement correct des innova-ons évolu-ves du précédent tableau de comparaison de caractères ?
a -‐ b -‐
c -‐ d -‐
QCM 6b: L'Hominidé Homo habilis présente les états suivants pour les mêmes caractères que ceux de la ques3on 6a.
Quel arbre phylogéné-que présente un placement correct de la lignée fossile Homo habilis ?
a -‐ b –
c -‐ d -‐
QCM 7: sur chaque arbre, les nœuds phylogéné3ques d'où divergent les lignées sont notés de N1 à N4. Ils correspondent à des ancêtres communs hypothé3ques Document 1 a : arbre phylogéné3que A Document 1 b : arbre phylogéné3que B
Document 2 : matrice des différences comparées entre séquences homologues d'acides aminés de la protéine cytochrome oxydase chez cinq Primates actuels
La cytochrome oxydase comporte plusieurs centaines d'acides aminés
Document 3 : matrice de comparaison de caractères chez cinq Primates actuels
Gibbon Orang-Outan Gorille Chimpanzé Homme
Gibbon 0 14 14 14 14
Orang-Outan 0 9 13 13
Gorille 0 7 7
Chimpanzé 0 6
Homme 0
Présence de : Gibbon Orang-Outan Gorille Chimpanzé Homme
queue régressée oui oui oui oui oui
sinus frontal non oui oui oui oui
fusion prénatal des os du poignet non non oui oui oui
bipédie permanente non non non non oui
QCM 7a: en vous appuyant uniquement sur les données du document 2 et sur l'arbre A du document 1, entourez les leXres des proposi-ons qui vous semblent exactes.
a -‐ les données de la matrice perme^ent de supposer que ces cinq espèces de Primates ont un ancêtre commun
b -‐ les données de la matrice sont cohérentes avec la construc3on de l'arbre A c -‐ les valeurs chiffrées de la matrice sont le reflet de la distance géné3que existant entre ces cinq espèces d -‐ Il y a plus de temps écoulé aujourd'hui depuis la divergence entre Gorille et Orang-‐Outan que depuis la divergence entre Gorille et Chimpanzé
QCM 7b: en vous appuyant uniquement sur les données des documents 2 et 3 et sur les arbres A et B du document 1, entourez les leXres des proposi-ons qui vous semblent exactes.
a -‐ l'arbre A est plus cohérent avec les données que l'arbre B b -‐ le plus proche parent du Gibbon est l'Orang-‐Outan
c -‐ les données du tableau du document 3 sont cohérentes avec la construc3on de l'arbre A d -‐ la bipédie permanente est apparue plus tardivement que la fusion prénatale des os du poignet
QCM 7c: en vous appuyant uniquement sur les données des documents 1 et 3, entourez les leXres des proposi-ons qui vous semblent exactes.
a -‐ la régression de la queue peut être considéré comme un caractère ancestral b -‐ la régression de la queue est un caractère hérité de N1 pour ces cinq espèces de Primates c -‐ le Gorille et le Chimpanzé présente le plus fort degré de parenté au sein de cinq espèces de Primates d -‐ N3 ne devait pas présenter de queue, mais devait posséder un sinus frontal et une fusion prénatale des os du poignet.
QCM 8a :
Parmi les fonc-ons ou états physiologiques suivants, lesquels ne peuvent pas être observés dans les heures suivant la pancréatectomie d’un cobaye de phénotype non diabé-que et sans autre pathologie ?
a -‐ hypoinsulinémie b -‐ hypoglucagonémie c -‐ hypoglycémie d -‐ hyperglycémie
QCM 8b :
Quelles proposi-ons sont vraies concernant la régula-on physiologique de l’axe gonadotrope chez la femme pubère non ménopausée hors d’une période de grossesse ne prenant aucun contracep-f chimique ?
a -‐ le complexe hypothalamo-‐hypophysaire contribue à la sécré.on à taux constant des hormones ovariennes b -‐ le fonc.onnement du complexe hypothalamo-‐hypophysaire a pour conséquence le fonc.onnement cyclique de certains organes cibles des hormones qu’il sécrète c -‐ l'évolu.on cyclique de l'utérus induit la sécré.on, également cyclique, des œstrogènes et de la progestérone d -‐ l’utérus évolue de façon cyclique parce qu’il est un organe cible des hormones hypophysaires FSH et LH
QCM 9 : On considère pour les ques-ons 9a et 9b les données suivantes :
L’arbre généalogique ci-‐contre concerne une famille dont un membre est a^eint d’une forme rare de mucoviscidose. On exclut la possibilité de néo muta3ons et d’anomalies caryotypiques dans ce^e généalogie.
QCM 9a : Quelles sont les proposi-ons exactes concernant l’hérédité de ceXe forme de mucoviscidose ? L’allèle responsable de ceXe anomalie présente le plus probablement :
a -‐ une expression phénotypique récessive b -‐ une expression phénotypique dominante c -‐ un mode de transmission autosomal d -‐ un mode de transmission gonosomal
QCM 9b : Quelle est, d’après ces données, la probabilité que le fœtus présente ceXe forme de mucoviscidose ?
a -‐ 0 b -‐ 1/4 c -‐ 1/3 d -‐ 1/2
QCM 10 : L’énoncé suivant s’applique aux ques-ons 10a et 10b. Soit un ensemble composé de quatre neurones A (neurone sensi3f en T), C (interneurone médullaire), B et D (motoneurones) reliés par des synapses (Figure 1). On s3mule efficacement l’axone du neurone A. On enregistre les poten3els membranaires des neurones B et D. Les résultats sont donnés figure 2 et figure 3.
QCM 10 a : Quelles proposi-ons se référant aux condi-ons expérimentales précédentes et à leurs résultats sont vraies ?
a -‐ la synapse entre les neurones A et B est de type excitatrice b -‐ la synapse entre les neurones A et B est de type inhibitrice c -‐ la synapse entre les neurones C et D est de type excitatrice d -‐ le neurone C est un neurone de type excitateur
QCM 10b Quelles proposi-ons se référant aux condi-ons expérimentales précédentes et à leurs résultats sont vraies ?
a -‐ pour enregistrer le poten.el membranaire du neurone B, rapporté sur la figure 2, on a placé les électrodes réceptrices au niveau de l’axone du neurone B au delà de son cône générateur b -‐ pour enregistrer le poten.el membranaire du neurone B, rapporté sur la figure 2, on a placé les électrodes réceptrices au niveau du corps cellulaire du neurone B c -‐ en s.mulant successivement deux fois le neurone A avec des s.mula.ons efficaces de même intensité et séparées d’un délai supérieur à la période réfractaire du neurone, mais non considérées comme isolées, la différence de poten.el enregistrée au niveau du corps cellulaire du neurone B sera plus ample que celle obtenue avec une s.mula.on unique de même intensité, car le neurone B aura effectué la somma.on spa.ale des informa.ons reçues d -‐ en augmentant l’intensité et la fréquence des s.mula.ons en A, il est possible d’obtenir un poten.el d’ac.on propagé le long de la membrane plasmique du neurone D.
QCM 11 : Quelle est la proposi-on exacte concernant les critères d’appartenance à la lignée humaine du genre Australopithecus ? Il appar-ent à la lignée humaine:
a -‐ car il possède des caractères à l’état dérivé en rela.on avec la bipédie b -‐ car il possède des caractères à l’état dérivé en rela.on avec la bipédie et le développement du volume crânien c -‐ car il possède des caractères à l’état dérivé en rela.on avec le développement du volume crânien d -‐ il n’appar.ent pas à la lignée humaine car il ne possède aucun des caractères à l’état dérivé cités précédemment.
QCM 12 : Quelles proposi-ons sont vraies concernant le développement des caractères sexuels dans l’espèce humaine ?
a -‐ au début de la vie embryonnaire se met en place un appareil génital dont la structure est commune aux deux sexes b -‐ au cours du développement embryonnaire, le gène Sry est ac.vé dans les deux sexes et, si le sexe géné.que est masculin, il induit la synthèse de la protéine TDF, signal de développement des tes.cules c -‐ en présence de la protéine TDF, les ébauches génitales indifférenciées embryonnaires deviennent des ovaires d -‐ l’acquisi.on de la fonc.onnalité des appareils sexuels mâle et femelle et des caractères sexuels secondaires se déroule au moment de la naissance sous l’ac.on des hormones sexuelles, testostérone chez le garçon, œstrogènes chez la fille