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Productivité,

efficience et

valeur ajoutéeM

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MarioGodard

Presses internationalesP o l y t e c h n i q u e

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Productivité, efficience et valeur ajoutée – Mesure et analyseMario Godard

Couverture : Cyclone Design Révision et correction d’épreuves : Nicole Blanchette Mise en pages : Martine Aubry Coordination éditoriale et production : Luce Venne-Forcione

Pour connaître nos distributeurs et nos points de vente, veuillez consulter notre site Web à l’adresse suivante : www.polymtl.ca/pub

Courriel des Presses internationales Polytechnique : [email protected]

Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada pour nos activités d’édition.

Gouvernement du Québec – Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres – Gestion SODEC.

Tous droits réservés © Presses internationales Polytechnique, 2010

On ne peut reproduire ni diffuser aucune partie du présent ouvrage, sous quelque forme ou par quelque procédé que ce soit, sans avoir obtenu au préalable l’autorisation écrite de l’éditeur.

Dépôt légal : 3e trimestre 2010 ISBN 978-2-553-01549-6 (version imprimée) Bibliothèque et Archives nationales du Québec ISBN 978-2-553-01560-1 (version PDF) Bibliothèque et Archives Canada Imprimé au Canada

Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada

Godard, Mario

Productivité, efficience et valeur ajoutée : mesure et analyse

Comprend des réf. bibliogr.

ISBN 978-2-553-01549-6

1. Productivité - Mesure. 2. Profit - Comptabilité. 3. Efficience dans l’industrie - Évaluation. 4. Fabrication - Contrôle. 5. Productivité - Problèmes et exercices. I. Titre.

HD56.25.G62 2010 658.5’036 C2010-941531-0

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Préface

Qui, dans le domaine industriel, ne s’intéresse pas à la mesure de la productivité?

De façon générale, la productivité est définie comme la mesure de l’utilisation rationnelle des ressources, exprimée par le rapport entre les extrants et les intrants. Les extrants sont les biens produits ou les services fournis, et les intrants, les facteurs de production utilisés pour les obtenir, soit l’ensemble des moyens techniques, financiers et humains dont dispose une entreprise ou un organisme. L’analyse de la productivité permet à une organisation de mesurer le degré d’efficacité et d’efficience avec lequel elle met à profit les ressources techniques, financières et humaines dont elle dispose pour fabriquer des biens ou offrir des services. L’augmentation de la productivité est un élément déterminant de la pro-gression du niveau de vie d’un pays, d’une région ou d’une organisation. À long terme, elle constitue la principale source de croissance économique.

Malgré l’apparente simplicité de cette définition, la productivité s’avère une notion dont les effets et les déterminants sont difficiles à cerner. Il existe un grand nombre de méthodes pour effectuer ces mesures, et l’interprétation de leurs résultats doit donc être minutieuse.

En plus d’en envisager les aspects concrets, cet ouvrage présente les fondements théoriques de la mesure de la performance des organisations à partir de la mesure de différents types de ratios de productivité. Son originalité est de proposer une mesure non biaisée de trois indicateurs de performance majeurs : l’évolution de la productivité dans le temps, l’efficience avec laquelle les ressources sont utilisées et finalement le contenu strict de valeur ajoutée et, du même coup, les coûts de non- qualité. Les systèmes de mesure proposés sont le résultat de travaux de recherche et de consultations menées dans différents secteurs, comme les télécommunica-tions, l’industrie alimentaire, l’ameublement, le traitement des métaux, l’industrie papetière et la logistique.

Toutes ces mesures se situent dans des systèmes totalement intégrés qui per-mettent d’obtenir des résultats non seulement pour un intrant avec un extrant, mais aussi pour plusieurs intrants avec plusieurs extrants, et finalement pour tous les intrants avec tous les extrants. Les extrants peuvent être aussi bien les produits finaux de l’organisation, que ceux d’un atelier, d’un centre de travail, d’un service admi nistratif, d’un processus de production, d’un processus d’affaire, d’un proces-sus logistique, d’un regroupement de ces entités ou de toute autre combinaison. En outre, tous les résultats de mesures s’expriment soit en pourcentage, soit en valeur monétaire de leur impact sur les dépenses de l’organisation, des formats qui répondent à un besoin pressant des gestionnaires. Par ailleurs, il est clairement prouvé que les trois indicateurs majeurs que nous avons mentionnés précédem-ment ne doivent pas être calculés à l’aide de systèmes de mesure utilisant les prix de vente pour agréger les extrants. De tels systèmes donnent des indicateurs de

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IV Préface

profitabilité en monnaie constante qui constituent une approximation biaisée des indicateurs de performance recherchés. L’auteur démontre clairement que le biais des mesures basées sur le recours aux prix de vente provient principalement du changement de composition des extrants d’une période à une autre. Les systèmes qui sont proposés ici pour mesurer ces indicateurs sont des plus pertinents pour supprimer ce biais et peuvent être implantés dans tout type d’organisation produc-trice de biens ou de services.

La logique de mesure, similaire pour les trois indicateurs, est simple et facile à assimiler, tout en étant conforme à la logique comptable si typique des systèmes de calcul des prix de revient.

Une étude de cas détaillée ainsi que les nombreux exemples qui accompagnent la théorie font de ce livre un outil pédagogique essentiel pour un cours ou une partie d’un cours, dans le cadre de programmes visant la formation de professionnels appelés à œuvrer au sein de n’importe quel type d’organisation. Grâce aux don-nées du cas, qui sont incluses dans des feuilles de calcul disponibles sur le site Web du livre, le lecteur peut approfondir sa compréhension de la théorie en effec-tuant ses propres calculs. On trouve également sur le site les résultats très détaillés de l’étude de cas, ainsi que le corrigé des problèmes proposés à la fin de chacun des chapitres.

La complémentarité de l’approche théorique s’appuyant sur les formules mathé-matiques et de l’approche empirique illustrée par de nombreuses applications numériques fait de cet ouvrage un outil précieux pour tout étudiant en formation initiale ou continue appelé à exercer dans le domaine. Je recommande aussi la lecture de ce livre aux professionnels en quête de perfectionnement ainsi qu’aux gestionnaires qui désirent contribuer à l’amélioration des organisations, qu’elles soient productrices de biens ou de services. N’est-il pas vrai que l’on ne peut amé-liorer que ce que l’on mesure?

Valérie Botta-Genoulaz Professeur des Universités Université de Lyon, INSA-Lyon Département Génie Industriel Laboratoire d’Informatique pour l’Entreprise et les Systèmes de Production

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Avant-propos

La mesure et l’analyse de la productivité sont les fondements de la réussite de toute stratégie d’amélioration de la performance des organisations. Comme l’ingénieur industriel demeure le professionnel le plus préoccupé par la produc-tivité, il n’est pas surprenant que deux ingénieurs industriels soient à l’origine de la théorie présentée dans ce livre, qui marque une étape importante pour la mesure de la performance des organisations. Il s’agit en effet du premier livre qui présente des systèmes intégrés de mesure et d’analyse touchant l’évolution de la productivité, l’efficience et la valeur ajoutée, et faisant constamment le lien avec la profitabilité. Leur applicabilité à tout type d’organisation ainsi que leur possibilité d’adaptation, aussi bien sur une base périodique que sur le plan très détaillé des opérations ou tâches des réseaux de processus, constituent des atouts indéniables de ces systèmes.

Tous les gestionnaires d’organisations productrices de biens ou de services, tant privées que publiques, doivent se préoccuper du taux de consommation des res-sources utilisées pour la production des extrants. Ce taux de consommation est le ratio de productivité. Nous voulons montrer qu’en comparant différents ratios de productivité, on peut établir une mesure de l’évolution de la productivité, une mesure de l’efficience et une mesure du contenu de valeur ajoutée.

Le développement de notre théorie repose sur une petite équation écrite sur une simple serviette en papier. Mon collègue R. Marcel Prévost et moi avions reçu le mandat de mesurer l’évolution de la productivité d’un service d’entretien d’une grande aluminerie. Nous ne pouvions pas avoir recours à des prix de vente pour agréger les différentes tâches. De plus, il ne fallait pas perdre de vue que la définition de base de la productivité met en relation des quantités. Cette équation, reproduite ici, est à l’origine de tous les systèmes proposés dans ce livre.

( )Indice de productivité comparant la période à la période

n o on n

o o n

Q q QQ qn oQ q q

= =

Nous nous sommes vite rendu compte qu’un indice de productivité ainsi formulé ouvrait la porte, en ayant recours au coût unitaire des intrants, à l’intégration de n’importe quel type d’extrant avec n’importe quel type d’intrant. Il devenait évi-dent, cependant, qu’une fois les coûts unitaires utilisés, on ne pouvait plus parler d’un indice de productivité pure, mais d’un indice mesurant l’impact d’une varia-tion de la productivité sur les dépenses. Heureusement, c’est précisément ce que les gestionnaires recherchent.

Au départ, nous avons cherché à développer un système intégré de mesure et d’analyse de l’évolution de la productivité dans le temps. Par la suite, nous avons découvert que la même démarche pouvait s’appliquer intégralement à la mesure de l’efficience et à la mesure du contenu de valeur ajoutée. Pour chacun

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VI Avant-propos

de ces systèmes, nous nous sommes assurés de faire le lien avec la profitabilité de l’organisation. Cette approche permet de décortiquer l’évolution de la profitabilité, en déterminant bien la contribution d’un certain nombre de facteurs. Tous ces sys-tèmes suivent donc une démarche similaire. Il s’agit là d’un atout précieux pour la compréhension et l’informatisation des systèmes intégrés de mesure. Finalement, nous avons réalisé une adaptation à la mesure en continu de réseaux de processus, quel que soit le type de processus.

Jusqu’à maintenant, on pouvait regrouper les systèmes de mesure de productivité proposés dans la littérature selon deux tendances : l’une axée sur des mesures détaillées adaptées à chacun des types d’extrants et d’intrants, l’autre orientée sur des systèmes intégrés basés sur les coûts unitaires et les prix de vente. La pre-mière tendance demeure très limitée, puisqu’il est impossible d’intégrer différents extrants et intrants ainsi que de mesurer l’impact sur les dépenses. La deuxième tendance, comme nous le démontrerons, donne des résultats biaisés à cause du recours au prix de vente et ne permet pas de toute façon d’établir l’impact sur les dépenses de l’organisation. Notre théorie permet de fusionner ces deux tendances en une seule approche cohérente, qui peut générer des résultats non biaisés très détaillés tout en permettant de mesurer de façon précise l’impact sur les dépenses de l’organisation, donc sur la profitabilité.

En plus de répondre parfaitement aux exigences traditionnelles des gestionnaires, ces développements cadrent très bien avec toutes les approches et les stratégies contemporaines d’amélioration de la productivité, qui comportent au moins les étapes suivantes :

une cartographie du processus à améliorer;• une mesure de la performance actuelle du processus;• la détermination de la valeur ajoutée du processus;• l’établissement d’un objectif précis d’amélioration;• l’évaluation du degré d’obtention de l’objectif.•

Ce livre s’adresse à tous les professionnels qui veulent assurer la performance des organisations, qu’ils soient en formation à l’université ou qu’ils œuvrent déjà dans une organisation. D’une façon plus précise, il est destiné aux étudiants des programmes de génie industriel ou de progrrammes équivalents axés sur les organisations productrices de biens ou de services et même de services publics ainsi qu’aux étudiants en administration. Le contenu de ce livre fait déjà l’objet, depuis quelques années, d’un cours obligatoire du programme de génie industriel à l’École Polytechnique de Montréal.

Pour les personnes que la présentation de nombreuses équations pourrait, à pre-mière vue, rebuter, nous tenons à souligner que ce ne sont que des sommations et que la même démarche revient tout au long du livre. Toutes les équations sont expliquées. Tous les systèmes de mesure présentés reposent sur une même pro-cédure toute simple. Grâce à la simplicité de l’équation donnée précédemment, on développe un indice ayant un numérateur et un dénominateur. Pour obtenir

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Avant-propos VII

l’indice, on divise ces deux valeurs et pour obtenir un écart de dépenses, on sous-trait ces valeurs. Pour obtenir un nouvel indice, on calcule un nouveau numérateur en additionnant les numérateurs des indices partiels qu’on veut agréger; on obtient un nouveau dénominateur en additionnant les dénominateurs des mêmes indices partiels.

Les équations ne font que formaliser cette procédure simple pour toutes les possibilités les plus intéressantes et utiles au regard de l’analyse des résultats. Des exemples simples illustrent toutes les étapes de développement, facili-tant ainsi l’acquisition des diverses équations. De plus, la présentation d’une étude de cas, reprise dans les chapitres 2, 3 et 4, permet une assimilation plus approfondie de la théorie; par ailleurs, cette étude de cas offre la possibilité de résoudre des milliers de problèmes et de vérifier l’exactitude des résultats grâce aux données et aux tableaux de résultats fournis sur le site Web du livre1. De plus, à la fin de chaque chapitre, on propose des exercices dont le corrigé se trouve égale-ment sur le site Web.

1. On y accède en se rendant sur le site des Presses internationales Polytechnique, www.polymtl.ca/pub.

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Remerciements

Mes premiers remerciements vont à mon collègue, R. Marcel Prévost. Sans sa persévérance, son acharnement même, sa vision des organisations, son souci du détail, et surtout sa démarche scientifique, propre aux ingénieurs, toute cette lon-gue aventure n’aurait pas été possible et n’aurait pas conduit au développement des systèmes présentés dans ce livre. Même si Marcel est à la retraite depuis quelques années, il a accepté de réviser les fondements de ce livre. En outre, je n’oublierai jamais que Marcel a fondé le Département de génie industriel de l’École Polytechnique de Montréal. Il a ainsi contribué à la formation de milliers d’ingénieurs industriels qui œuvrent dans plusieurs secteurs de l’économie. Il s’agit là d’une contribution notable à l’économie du Québec. Pour ma part, j’ai trouvé dans le génie industriel la profession qui répond à mes aspirations les plus profondes. Merci, Marcel.

La deuxième personne qui a joué un rôle important dans la réalisation de ce livre est Bernard Boire, associé principal de Convitec. Bernard, également ingénieur industriel, possède une vaste expérience comme consultant et directeur de pres-tigieuses firmes des domaines du conseil à l’échelle nationale et internationale. Bernard a suivi de près le développement des différents systèmes de ce livre. Il n’a jamais cessé de m’inciter à publier un livre. Il a accepté de le réviser. Sa contri-bution m’a forcé à clarifier les concepts et à ajouter des sections permettant de mieux expliquer la contribution des différents facteurs à l’évolution de la profita-bilité. C’est lui qui a pris la relève pour l’enseignement de cette matière à l’École Polytechnique de Montréal. Merci, Bernard.

Merci à Michel Leroux, président du Groupe Progima. Michel, en m’invitant à participer à différents projets de consultation, m’a permis de garder un contact indispensable avec les organisations productrices de biens ou de services. Un professeur-chercheur en génie industriel se doit de garder de tels contacts. Merci, Michel.

Merci aux étudiants de maîtrise qui, à leur façon, ont contribué à consolider cer-taines assises du système de mesure et d’analyse de la productivité proposé dans ce livre.

Je remercie, de plus, le personnel des Presses internationales Polytechnique, et plus particulièrement Luce Venne-Forcione, chargée de projets, Nicole Blanchette, réviseure, et Martine Aubry, responsable de la mise en pages. Leur dévouement et leur compétence ont été essentiels à la publication du livre.

Je suis aussi très reconnaissant à Valérie Botta-Genoulaz qui a accepté de rédiger la préface du livre malgré ses très nombreux engagements.

Merci au Département de mathématiques et de génie industriel pour sa contribu-tion à la publication de ce livre, et en particulier à son directeur, Pierre Baptiste.

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X Remerciements

Enfin, merci à mon épouse, Gisèle. Elle m’a soutenu et encouragé tout au long du processus d’écriture. Elle a partagé les nombreux moments d’angoisse de l’auteur qui n’arrive pas à exprimer son idée de façon aussi cohérente qu’il voudrait, qui cherche à développer des exemples les plus clairs possible et qui vit les affres de l’informatique. Merci, Gisèle.

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Table des matières

Préface .................................................................................................................. IIIAvant-propos ......................................................................................................... VRemerciements .....................................................................................................IXNotation .............................................................................................................. XVListe des abréviations ........................................................................................XXI

Chapitre 1 Introduction ..................................................................................... 11.1 Mesures de performance traitées ................................................................... 2

1.1.1 Mesure de l’évolution de la productivité ........................................... 21.1.2 Mesured’efficience .......................................................................... 111.1.3 Contenu de valeur ajoutée des extrants ............................................ 12

1.2 Intégrationdesmesuresdeperformancedanslamesuredeprofitabilité ..... 171.2.1 Intégrationdelaproductivitédansl’analysedeprofitabilité ........... 171.2.2 Intégrationdel’efficiencedansl’analysedeprofitabilité ................ 211.2.3 Intégration du contenu de valeur ajoutée dans l’analyse

deprofitabilité .................................................................................. 221.3 Applicabilité des systèmes à différents types d’organisations ..................... 231.4 Traitement de certaines catégories d’intrants ............................................... 27

1.4.1 Intrant capital ................................................................................... 271.4.2 Intrant main-d’œuvre directe ........................................................... 301.4.3 Regroupements d’intrants minimes de postes différents .................. 30

1.5 Nécessité de la mesure en continu de réseaux de processus ....................... 311.6 Conclusion ................................................................................................... 32

Chapitre 2 Mesure et analyse de l’évolution de la productivité et desonimpactsurlaprofitabilité ................................................ 352.1 Introduction ................................................................................................. 352.2 Indices de base du SIMAP ........................................................................... 37

2.2.1 Développement des indices de productivité de type no ................... 402.2.2 Développement des indices de productivité de type oo ................... 452.2.3 Développement des indices de productivité de type nn ................... 482.2.4 Développement des indices de productivité de type on ................... 50

2.3 Lien entre les indices de base ...................................................................... 522.3.1 Recours aux indices ,IOPoo

tt IOPnott et IOP

nntt ................................. 52

2.3.2 Recours aux indices ,IOPoott IOPon

tt et IOPnntt ................................ 53

2.3.3 Comparaison des deux approches .................................................... 542.3.4 Équations reliant tous les types d’indices

et tous les types d’écarts .................................................................. 562.4 Extension du SIMAP à l’analyse de l’évolution des dépenses ................... 63

2.4.1 Développement des équations .......................................................... 63

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XII Table des matières

2.4.2 Analyse de l’évolution des dépenses d’une période à l’autre pour les données 2.1 ......................................................................... 66

2.5 Autres approches plus traditionnelles .......................................................... 722.5.1 Recours aux prix de vente et aux coûts unitaires de la période o ..... 722.5.2 Approche typique du domaine de l’économétrie ............................. 80

2.6 Développement du SIMAPF ........................................................................ 812.7 Étude de cas ................................................................................................. 86

2.7.1 Présentation générale ....................................................................... 862.7.2 Application des systèmes de mesure SIMAP et SIMAPF ................ 912.7.3 Comparaison avec l’ITP utilisant les prix de vente

pour pondérer les extrants .............................................................. 1022.8 RetoursurlaflexibilitéduSIMAPetduSIMAPF .................................... 1042.9 Particularités de la mesure de la productivité sur une base périodique ...... 1052.10 Conclusion ................................................................................................. 106Exercices ............................................................................................................ 107

Chapitre 3 Mesuredel’efficienceetdesonimpactsurlaprofitabilité ......... 1093.1 Introduction ............................................................................................... 1093.2 Indices de base du SIMAE ........................................................................ 111

3.2.1 Développement des indices de type nb .......................................... 1133.2.2 Développement des indices de type bb .......................................... 1163.2.3 Développement des indices de type nn .......................................... 1193.2.4 Développement des indices de type bn .......................................... 121

3.3 Lien entre les indices de base .................................................................... 1233.3.1 Recours aux indices ,IBEbb

tt IBEnbtt et IBEnn

tt .......................... 1243.3.2 Recours aux indices ,IBEbb

tt IBEbntt et IBEnn

tt .......................... 1253.3.3 Comparaison des approches des articles 3.3.1 et 3.3.2

et choix d’une approche ................................................................. 1253.3.4 Équations nécessaires pour relier tous les types d’indices

et d’écarts ....................................................................................... 1273.4 SIMAE intégré à l’analyse de l’évolution des dépenses réelles et budgétées ............................................................................................... 134

3.4.1 Développement des équations ........................................................ 1353.4.2 Lien avec l’analyse des écarts d’un système de prix

de revient standard ......................................................................... 1383.4.3 Analyse de l’évolution des dépenses d’une période à l’autre

aux données 3.1 .............................................................................. 1393.5 Développement du SIMAEF ..................................................................... 1443.6 Étude de cas ............................................................................................... 148

3.6.1 Présentation générale ..................................................................... 1483.6.2 Application des systèmes de mesure SIMAE et SIMAEF ............. 151

3.7 RetoursurlaflexibilitéduSIMAEetduSIMAEF .................................... 1643.8 Conclusion ................................................................................................. 165Exercices ............................................................................................................ 166

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Table des matières XIII

Chapitre 4 Mesure du contenu de valeur ajoutée et de son impact surlaprofitabilité ......................................................................... 1674.1 Introduction ............................................................................................... 1674.2 Indices de base du SIMAV ......................................................................... 169

4.2.1 Développement des indices de type na .......................................... 1714.2.2 Développement des indices de type nn .......................................... 174

4.3 Lien entre les indices de base de type na et nn ......................................... 1764.3.1 Équations des indices et des écarts pour le contenu global

de valeur ajoutée ............................................................................ 1764.3.2 Équations des indices et des écarts pour un intrant

avec un extrant ............................................................................... 1784.3.3 Équations des indices et des écarts pour un intrant

avec tous les extrants ..................................................................... 1794.3.4 Équations des indices et des écarts pour un extrant

avec tous ses intrants ...................................................................... 1804.4 Intégration du SIMAV à l’analyse de l’évolution des dépenses entre le réel et l’optimum ........................................................................... 181

4.4.1 Développement des équations ........................................................ 1814.4.2 Application de l’analyse de l’évolution des dépenses

entre le réel et l’optimum aux données 4.1 .................................... 1844.5 Développement du SIMAVF...................................................................... 1864.6 Obtention des données optimales .............................................................. 1884.7 Étude de cas ............................................................................................... 193

4.7.1 Préparation des données optimales ................................................ 1934.7.2 Application des systèmes de mesure SIMAV et SIMAVF ............. 198

4.8 Conclusion ................................................................................................. 204Exercices ............................................................................................................ 205

Chapitre 5 Mesure de réseaux de processus en continu ................................. 2075.1 Introduction ............................................................................................... 2075.2 Adaptation du SIMAP à la mesure d’un réseau de processus .................... 209

5.2.1 Présentation des données d’un réseau de processus de fabrication ................................................................................. 210

5.2.2 Adaptation des équations du SIMAP ............................................. 2125.2.3 Évaluation du changement de productivité de chaque opération

d’un ordre de fabrication ................................................................ 2135.2.4 Intégration d’opérations successives d’un même ordre

de fabrication ................................................................................. 2155.3 Mesure pour l’atelier A des données 5.1 .................................................... 216

5.3.1 Détails des ordres de fabrication de l’atelier A des données 5.1 .... 2165.3.2 Ordres de fabrication commencés et terminés dans la période

de comparaison .............................................................................. 2185.3.3 Ordres de fabrication commencés antérieurement et terminés

dans la période de comparaison ..................................................... 2305.3.4 Ordres de fabrication commencés dans la période

de comparaison et terminés plus tard ............................................. 241

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XIV Table des matières

5.3.5 Évaluation du changement de productivité des centres de travail de l’atelier A ................................................................................... 245

5.3.6 Évaluation du changement de productivité de l’atelier A .............. 2475.4 Mesure pour l’atelier B des données 5.1 .................................................... 249

5.4.1 Ordres de fabrication de l’atelier B des données 5.1...................... 2495.4.2 Ordres de fabrication commencés et terminés dans la période

de comparaison .............................................................................. 2505.4.3 Évaluation du changement de productivité des centres de travail

de l’atelier B .................................................................................. 2545.4.4 Évaluation du changement de productivité de l’atelier B .............. 255

5.5 Mesure pour l’usine : intégration des processus des ateliers A et B ......... 2565.5.1 Extrants de l’usine créés par les opérations 10 et 20

de l’OF 103, associé à la pièce A ................................................... 2575.5.2 Extrants de l’usine créés par l’OF 100, associé à la pièce A .......... 2575.5.3 Extrants de l’usine créés par l’intégration des OF 104 et 101,

associés au produit X ..................................................................... 2575.5.4 Extrants de l’usine créés par l’intégration des OF 105 et 102,

associés au produit Y ..................................................................... 2595.6 Productivitédesextrantsfinauxmisenstockparopposition à la productivité de l’usine ......................................................................... 2645.7 Mesure pour l’atelier d’expédition des données 5.1 .................................. 2675.8 Mesure pour les quantités vendues pour les données 5.1 .......................... 2705.9 Réseau de processus logistiques ................................................................ 2745.10 Réseau de processus d’affaires .................................................................. 2765.11 Lien souhaitable entre mesure en continu et mesure périodique ............... 2785.12 Conclusion ................................................................................................. 279Exercices ............................................................................................................ 280

Chapitre 6 Prémices de développements futurs ............................................. 2816.1 Introduction ............................................................................................... 2816.2 Production de biens ou de services sur commande .................................... 281

6.2.1 Application à des processus de production .................................... 2826.2.2 Application à des processus d’affaires ........................................... 2876.2.3 Application à des processus logistiques ......................................... 289

6.3 Mesure de tous les processus d’une organisation ...................................... 2906.3.1 Problématiquedeladéfinitiondesextrantsdesprocessus ............. 2936.3.2 Mesure par rapport aux quantités vendues ..................................... 296

6.4 Passage aux quantités vendues pour la mesure périodique ........................ 2966.5 Réflexionsurlescomparaisonsdesniveauxdeproductivitéentrepays .... 2996.6 Conclusion ................................................................................................. 304Exercices ............................................................................................................ 305

Chapitre 7 Conclusion ................................................................................... 311

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Notation

Aux fins de leur présentation, les noms de variables sont d’abord classés en fonc-tion du nombre de lettres de leur nom, et ensuite soit par ordre alphabétique, soit selon la logique de leur formation. Tous les indices et les écarts reliés à la mesure de la variation de la productivité sont définis de façon qu’ils comparent les valeurs réelles de la période n aux valeurs réelles de la période de référence o. Tous les indices et les écarts reliés à la mesure d’efficience sont définis pour la comparaison des valeurs réelles de la période n aux valeurs prévues pour la période n, appelées valeurs de la période b. La période de référence pour l’efficience est donc la période b. Quant aux indices et aux écarts reliés à la mesure de la valeur ajoutée, ils sont définis en vue de comparer les valeurs réelles de la période n aux valeurs optimales de la période n, appelées les valeurs de la période a. La période de référence pour la valeur ajoutée est donc la période a.

La liste des variables suit la liste des paramètres.

Noms des paramètrespia coût unitaire optimal possible de l’intrant i à la période de comparaison npib coût unitaire budgété de l’intrant i pour la période npic coût unitaire de l’intrant i pour le contrat cpio coût unitaire de l’intrant i à la période de référence opin coût unitaire de l’intrant i à la période de comparaison npis coût unitaire de l’intrant i au cours de la semaine spkn coût unitaire à la période n de l’intrant k faisant partie de l’ensemble des intrants associés à l’état de fabrication, l’ensemble {K}prn coût unitaire à la période n de l’intrant r faisant partie de l’ensemble des intrants associés à l’état des résultats, l’ensemble {R}Pja prix de vente optimal possible de l’extrant j à la période de comparaison nPjb prix de vente budgété de l’extrant j pour la période nPjo prix de vente de l’extrant j à la période de référence oPjn prix de vente de l’extrant j à la période de comparaison nP ′jn prix de vente strictement proportionnel à la variation du prix de revient à productivité constante, entre la période o et la période nP″jn prix de vente strictement proportionnel à la variation du prix de revient à productivité constante, entre la période b et la période nqija quantité minimum de l’intrant i qui ajoute de la valeur aux quantités Qja

qijb quantité prévue de l’intrant i utilisée pour la fabrication des quantités Qjb

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XVI Notation

qijc quantité de l’intrant i utilisée pour produire la quantité de l’extrant j du contrat c (les quantités Qjc)qijn quantité de l’intrant i utilisée pour la fabrication des quantités Qjn

qijo quantité de l’intrant i utilisée pour la fabrication des quantités Qjo

q′ijn quantité de l’intrant i qu’on aurait utilisée pour produire la quantité d’extrant j de la période n, Qjn, selon la productivité de la période oq′ijo quantité de l’intrant i qu’on aurait utilisée pour produire la quantité d’extrant j de la période o, Qjo, selon la productivité de la période nqijpsf quantité de l’intrant i utilisée pour produire les quantités Qjpsf à l’opéra - tion p, au cours de la semaine s, pour l’ordre de fabrication fq″ijb quantité de l’intrant i qu’on aurait utilisée pour produire la quantité d’extrant j de la période b, Qjb, selon la productivité de la période nq″ijn quantité de l’intrant i qu’on aurait utilisée pour produire la quantité d’extrant j de la période n, Qjn, selon la productivité de la période bqisa quantité de l’intrant i, qui serait la main-d’œuvre, utilisée par le pays a pour produire les quantités Qsa

qisb quantité de l’intrant i, qui serait la main-d’œuvre, utilisée par le pays b pour produire les quantités Qsb

qkjn quantité de l’intrant k utilisée pour la fabrication des quantités Qjn faisant partie de l’ensemble {K}, l’ensemble des intrants associés à l’état de fabricationqkjo quantité de l’intrant k utilisée pour la fabrication des quantités Qjo faisant partie de l’ensemble {K}, l’ensemble des intrants associés à l’état de fabricationQja quantité prévue d’extrant j durant la période n, si l’on produit au niveau optimalQjb quantité prévue de l’extrant j pour la période nQjc quantité de l’extrant j produite pour le contrat cQjn quantité réelle de l’extrant j fabriquée durant la période nQjo quantité réelle de l’extrant j fabriquée durant la période oQjpo quantité de l’extrant j, produite à l’opération p au cours de l’année oQjpsf quantité de l’extrant j, produite à l’opération p, au cours de la semaine s, pour l’ordre de fabrication fQsa quantité du secteur s produite par le pays aQsb quantité du secteur s produite par le pays bskjn quantité de l’intrant k utilisée à la période n pour produire les quantités Sjn

skjo quantité de l’intrant k utilisée à la période o pour produire les quantités Sjo

s′kjn quantité de l’intrant k qu’on aurait utilisée pour produire la quantité d’extrant j vendue à la période n, Sjn, selon la productivité calculée par rapport aux quantités produites de la période o

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Notation XVII

srjn quantité de l’intrant r utilisée pour la production des quantités Sjn faisant partie de l’ensemble {R}, l’ensemble des intrants associés à l’état des résultatssrjo quantité de l’intrant r utilisée pour la production des quantités Sjo faisant partie de l’ensemble {R}, l’ensemble des intrants associés à l’état des résultatss′rjn quantité de l’intrant r qu’on aurait utilisée pour produire la quantité d’extrant j vendue à la période n, Sjn, selon la productivité calculée par rapport aux quantités vendues à la période oSjo quantité de l’extrant j vendue durant la période oSjn quantité de l’extrant j vendue durant la période n

Noms de variables ayant deux lettresnetEP tt écart de dépenses du pays b dû au changement de productivité, pour tous

les intrants de tous les secteurs du pays b par opposition à tous les mêmes intrants de tous les mêmes secteurs du pays a, pour une même période donnée

IP is indice mesurant le changement de productivité pure, pour l’intrant i du secteur s du pays b, par opposition au même intrant du même secteur du pays a, pour une même période donnée

IP it indice mesurant le changement de productivité pure, pour l’intrant i de tous les secteurs du pays b, par opposition au même intrant i de tous les mêmes secteurs du pays a, pour une même période donnée

netIP tt indice mesurant l’impact net du changement de productivité sur les dépenses, pour tous les intrants de tous les secteurs du pays b, par opposi-tion à tous les mêmes intrants de tous les mêmes secteurs du pays a, pour une même période donnée

Noms de variables ayant trois lettresSignification de la première lettre

E indique qu’il s’agit d’un écartI indique qu’il s’agit d’un indiceR indique qu’il s’agit d’un ratio

Signification de la deuxième lettre

A indique la période de référence, période a, associée à la mesure de la valeur ajoutéeB indique la période de référence, période b, associée à la mesure d’efficience

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XVIII Notation

D indique qu’on réfère à un indice DivisiaO indique la période de référence, période o, associée à la mesure de productivitéP indique qu’on a un ratio de productivité T indique qu’on réfère à un indice traditionnel

Signification de la troisième lettre

C spécifie que la variable mesure l’impact du changement de structure des coûts unitaires sur la variation des dépensesE spécifie que le nom est associé à une mesure reliée à l’efficienceF spécifie que le nom est associé à une mesure reliée à la variation de profitabilitéM spécifie que la variable mesure l’impact du changement de composition sur la variation des dépensesN indique qu’on a un ratio de productivité de la période n O indique qu’on a un ratio de productivité de la période o P spécifie que le nom est associé à une mesure reliée à la variation de la productivitéT spécifie que la variable mesure une variation de dépenses totalesV spécifie que le nom est associé à une mesure reliée à la valeur ajoutée

Signification des indices accolés au nom de la variable

ij indique que la valeur s’applique à l’intrant i utilisé pour l’extrant jijc indique que la valeur s’applique à l’intrant i utilisé pour l’extrant j du contrat cijpsf indique que la valeur s’applique à l’intrant i utilisé pour l’extrant j à l’opération p durant la semaine s pour l’ordre de fabrication fij→psf indique que la valeur s’applique à l’intrant i utilisé pour l’extrant j pour toutes les opérations précédant et incluant l’opération p durant la semaine s pour l’ordre de fabrication ftj→psf indique que la valeur s’applique à tous les intrants utilisés pour l’extrant j pour toutes les opérations précédant et incluant l’opération p durant la semaine s pour l’ordre de fabrication fit indique que la valeur s’applique à l’intrant i utilisé pour tous les extrantstj indique que la valeur s’applique à tous les intrants utilisés pour l’extrant jtjpsf indique que la valeur s’applique à tous les intrants utilisés pour l’extrant j à l’opération p durant la semaine s pour l’ordre de fabrication f

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