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Docteur Sandrine PUYRAIMOND 26 Janvier 2017 EFS de Besançon LBMG , laboratoire de Cytologie Examens biologiques complémentaires en Cancérologie Examens biologiques sanguins Examens de biologie cellulaire et moléculaire Marqueurs tumoraux Bilan infectieux

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Docteur Sandrine PUYRAIMOND 26 Janvier 2017

EFS de Besançon

LBMG , laboratoire de Cytologie

Examens biologiques complémentaires

en Cancérologie

Examens biologiques sanguins

Examens de biologie cellulaire et moléculaire

Marqueurs tumoraux

Bilan infectieux

Examens biologiques complémentaires

en Cancérologie

Examens biologiques sanguins

Examens biologiques sanguins

L’hémogramme

Le bilan d’hémostase

Le bilan biochimique et hépatique

Lors de la découverte d’un cancer solide ou d’une hémopathie maligne (moelle osseuse ou

ganglions)

Chez un patient traité : chimio et radiothérapie, corticoïdes, immunosupresseurs

Examens biologiques sanguins : l’hémogramme

L’hémogramme : NG ou NFS

NG : Numération Globulaire

NFS : Numération Formule Sanguine

Pour étudier

PLaquettesLeucocytes

Hématies et hémoglobine

Examens biologiques sanguins : l’hémogramme

Intérêts de la mesure du taux d’hémoglobine

Mettre en évidence une anémie

Diminution du taux d’hémoglobine

En parallèle du syndrome anémique : fatigue, pâleur, céphalées, vertiges…

Juger de la gravité de l’anémie

décider de transfuser : culots érythrocytaires

prescrire de l’érythropoïétine EPO : Eprex®, Neorecormon®:

Examens biologiques sanguins : l’hémogramme

Intérêts de la mesure du taux d’hémoglobine

Mettre en évidence une anémie

Diminution du taux d’hémoglobine

En parallèle du syndrome anémique : fatigue, pâleur, céphalées, vertiges…

Juger de la gravité de l’anémie

décider de transfuser : culots érythrocytaires

prescrire de l’érythropoïétine EPO : Eprex®, Neorecormon®:

Examens biologiques sanguins : l’hémogramme

Etude des plaquettes sanguines Les plaquettes jouent un rôle important

Dans l’hémostase primaire

Pour stopper les hémorragies cutanéo-muqueuses

Purpura, ecchymoses

Epistaxis

bulles hémorragiques intrabuccales

(critère clinique de sévérité)

Mettre en évidence une thrombopénie Diminution du nombre des plaquettes <150 Giga/L

Hémorragies spontanées si plaquettes < 20 Giga/L

Hémorragies cutanéo muqueuses

Purpura, Ecchymoses,

Epistaxis

Bulles hémorragiques intrabuccales (critère clinique de sévérité)

Apporter des plaquettes : transfusion de concentrés plaquettaires

Examens biologiques sanguins : l’hémogramme

Informations obtenues à partir des leucocytes : versant

infectieux

Suspecter une infection Infections virales : des GB et des lymphocytes

Infections bactériennes, fongiques, parasitaires : des GB et des polynucléaires

Surveiller lors D’une immunodépression (cancer, chimio, corticoïdes, immunosuppresseurs …)

D’une agranulocytose : des GB et polynucléaires neutrophiles < 0,5 G/L

D’une aplasie médullaire post-chimiothérapie : des 3 lignées

Traiter pour lutter contre l’agent infectieux : antibiotiques, antiviraux, antifongiques …

pour stimuler la production de leucocytes : facteurs de croissance : Neupogen®, Leucomax®

Examens biologiques sanguins : l’hémogramme

Informations obtenues à partir des leucocytes : versant

diagnostic d’une hémopathie

Suspecter une pathologie : hémopathie ou métastase

A partir de la formule leucocytaire Présence de blastes : leucémie aiguë ?

Présence de cellules lymphomateuses : lymphome ?

Présence de précurseurs : métastases médullaires d’un cancer solide

Myélémie

Erythroblastes

Examens biologiques sanguins : l’hémostase

Surveiller un traitement anticoagulant Activité anti-Xa : HBPM, Orgaran

Héparinémie : HNF

AVK (préviscan, sintrom) : INR (TP)

Diagnostiquer une CIVD Devant thromboses et/ou hémorragies

Survenue de thromboses et/ou d’hémorragies

Devant des anomalies du bilan de coagulation Allongement du TCA

Diminution du TP, du fibrinogène…

Augmentation des D-Dimères, des PDF

Surveiller les taux d’antithrombine Traitement par Asparaginase, au cours des LAL

Diminution de l’antithrombine

Empêche les thromboses

Examens biologiques sanguins : chimie et foie

Examens pratiqués au laboratoire de biochimie

Ionogramme sanguin : Na+, K+, CI désordres hydroélectrolytiques

Glycémie découverte ou décompensation d’un diabète sucré

Fonction rénale (urée, créatinine) insuffisance rénale

Bilan hépatique (transaminases ALAT et ASAT, bilirubine, γGT, phosphatases alcalines) cytolyse et cholestase

LDH pathologie lymphomateuse, reflet de la masse tumorale

β2 microglobuline myélome

Examens biologiques sanguins : chimie et foie

Examens pratiqués (suite)

CRP, orosomucoïde, procalcitonine, VS

pathologies infectieuses et/ou inflammatoires

infections bactériennes sévères

Protides sériques et Albumine dénutrition ou myélome

Electrophorèse des protéines et immunofixation

myélome

lymphome

Bilan phosphocalcique (calcémie, phosphorémie) métastases osseuses, myélome

Gaz du sang (PaO2, PaCO2, bicarbonates)

prélèvement de sang artériel au niveau de l’artère radiale

évaluer le besoin en oxygène

rechercher une anomalie du pH : acidose, alcalose …

Examens biologiques complémentaires

en Cancérologie

Examens de biologie cellulaire

et moléculaire

Examens de biologie cellulaire

Myélogramme ou médullogramme

Biopsie médullaire (BM, BOM) ou ponction biopsie osseuse

(PBO)

Ponction ganglionnaire

Biopsies diverses : tissulaires et ganglionnaires

Immunophénotypage

Examens de biologie cellulaire

Myélogramme au laboratoire de cytologie à l’EFS Ponction de moelle osseuse, sous anesthésie locale

Ponction STERNALE

Seules contre-indications : antécédents de radiothérapie ou sternostomie

Ponction ILIAQUE

Arrêt AVK remplacés par une HBPM - Arrêt aspirine : risque = hématome

Vérifier le bilan de coagulation

Etude cytologique des 3 lignées = celles qui donnent naissance aux GB/GR/Plaquettes

Ponctions sternale et iliaque

Ponction au niveau de la crête iliaque

Autre lieu de ponction : tibia chez l’enfant

Repère

Sternum Repère

• Prise des repères de ponction

• Désinfection à la bétadine

• Anesthésie locale

• Mise en place du trocart

• Mise en place de la seringue et aspiration

• Examens complémentaires : immunophénotypage, biologie moléculaire, cytogénétique, culture de moelle

Examens de biologie cellulaire

Réalisation de frottis ou étalements

Identifier les lames, les laisser sécher puis les emballer

Les lames sont colorées au laboratoire puis analysées au microscope

Examens de biologie cellulaire : après coloration au laboratoire

Frottis de moelle

après coloration

x10

Mégacaryocyte donnant naissance

aux plaquettes

x50

x100

Précurseurs des globules blancs et des globules rouges

x100

Examens de biologie cellulaire

Pourquoi un myélogramme ?

Mettre en évidence des cellules anormales dans la moelle osseuse

Faire le diagnostic d’une leucémie aiguë, un myélome …

Mettre en évidence des métastases dans la moelle

Suivre un patient traité +/- revoir le traitement selon les résultats Disparition des cellules anormales : en rémission

Persistance de cellules anormales : absence de rémission

Examens de biologie cellulaire

Biopsie ostéomédullaire (B.O.M ou PBO) Laboratoire d’Anatomie pathologique, CHU Minjoz

Prélèvement iliaque d’une carotte d’os conservée dans du liquide de Bouin ouformol, sous AL

Arrêt AVK, arrêt aspirine

Vérification du bilan de coagulation

Etude histologique et cytologique

Etablir un diagnostic de lymphome, de myélome

Confirmer la présence de métastases

et préciser le cancer primitif

Traverser la peau et la corticale Carotte d’os Conservation

Examens de biologie cellulaire

Ponction ganglionnaire et Biopsies tissulaires Le laboratoire de Cytologie, EFS, reçoit

Des ponctions ganglionnaires

Ganglions superficiels (cervicaux, axillaires, inguinaux)

A l’aiguille

Réponses rapide

Lors de suspicion de lymphome, métastase

Le laboratoire d’Anatomie Pathologique reçoit

Des biopsies diverses

Ganglions

Sein, rein, foie, rate, colon, cerveau….

Réponse en quelques jours

Pose le diagnostic définitif : cancer ou lymphome

Biopsie ganglionnaire permettant le diagnostic d’une maladie de Hodgkin- Grandes cellules dites de Sternberg- Cellules de Sternberg et

éosinophiles- fibrose

Images montrant une atteinte bénigne et une atteinte maligne du sein

Examens de biologie cellulaire

Immunophénotypage au laboratoire d’immunologie à l’EFS

À partir de sang, moelle, cellules ganglionnaires

Grâce à un automate appelé cytomètre (cytométrie en flux)

Pour identifier des cellules anormales en hématologie

Cellules de lymphome

Cellules de leucémie aiguë

Non appliqué à la reconnaissance des cellules de cancer solide

Images de spots de couleurs sur l’écran de l’automate selon les caractéristiques des cellules

Examens de biologie cellulaire et moléculaire

Cytogénétique au service de Cytogénétique

A partir du sang, moelle, ganglions …

Etudier les chromosomes : caryotype Identification des chromosomes et de leur nombre

Recherche d’anomalies génétiques dans les cellules tumorales

Translocations (échange de matériel entre chromosomes)

Délétions (perte de matériel par le chromosome)

Chromosomes en moins, en plus …

Un exemple : la translocation (9 ; 22) dans la leucémie myéloïde chronique

Exemple de Caryotype normal 46 XY : 23 paires de chromosomes

Caryotype anormal dans la LMC

Sonde rouge = abl et sonde verte = bcr / détection du gène de fusion en jaune

Technique de FISH avec sondes spécifiques pour mettre en évidence la translocation

Examens de biologie cellulaire et moléculaire

“Contraintes” du prélèvement en cytogénétique Réalisé stérilement

Conservé à température ambiante jusqu’à mise en culture (durée : 24 à 48h)

Echantillon liquide

Recueil sur tube avec héparine sèche ou héparinate de lithium

Echantillon solide

Recueil sur flacon contenant un milieu de culture

Examens de biologie cellulaire et moléculaire

Examens moléculaires au laboratoire d’Oncologie Moléculaire, EFS

A partir du sang, moelle, ganglions …sur tube EDTA

Analyse de l’ADN ou de l’ARN

Différentes techniques très spécialisées Amplification génique (PCR) : obtention d’une grande quantité d’ADN ou d’ARN

PCR quantitative

Séquençage, puces à AND, séquençage haut débit ou NGS

Principe de la PCR : amplification dans un thermocycleur

Examens de biologie cellulaire et moléculaire

Laboratoire d’Oncologie Moléculaire, EFS Recherche d’anomalies moléculaires dans les hémopathies

En cytogénétique : translocation (9 ; 22)

En Biologie Moléculaire : transcrit BCR-ABL

Recherche d’un gène de prédisposition au cancer

Oncogènes impliqués dans la division cellulaire

Gènes suppresseurs de tumeurs ou anti-oncogènes

Gènes réparateurs de l’ADN et garants du génôme

Cancer du sein

5 à 10% des cancers du sein diagnostiqués sont à prédisposition génétique

Mutations des gènes BRCA1 et BRCA2

Cancer colorectal (syndrome de Lynch)

Formes héréditaires de cancer sans polypose préalable

Mutation des gènes MMR (MLH1, MSH2, MSH6)

Plateforme hospitalière de génétique moléculaire / INCA

LISTE DES GÈNES ÉTUDIÉS ET LES SYNDROMES ASSOCIÉS

Examens de biologie cellulaire et moléculaire

La majorité des gènes sont analysés dans quelques laboratoires en France

Les 4 gènes analysés le plus souvent sont

BRCA1 et BRCA2

MLH1 en rapport avec les cancers colo-rectaux sans polypose

MSH2

Examens biologiques complémentaires

en Cancérologie

Marqueurs tumoraux

Marqueurs tumoraux

Substances produites par les cellules cancéreuses

Relarguées dans le sang et les urines

Détectables en très faible concentration, chez le sujet sain

Dosées sur tube sec Patient non à jeun

Dans le même laboratoire : pas de fluctuations des taux

MT = marqueur tumoral

K = cancer

Marqueurs tumoraux

Non spécifiques d’un cancer donné

Sauf quelques cas particuliers : le PSA

Augmentés dans les cancers

Augmentés dans les états non néoplasiques Infectieux

Inflammatoires

Marqueurs tumoraux

PSA (antigène spécifique de la prostate) spécifique du cancer de la prostate K

Adénome prostate (HBP) et Toucher rectal (3 semaines)

Taux à interpréter selon âge : le taux augmente avec l’âge et la taille de la prostate

CA 15-3 < 28 Ul/ml MT principal K sein

K poumon, ovaire

Maladies hépato-biliaires, pancréatite aiguë

Alpha FT < 15 ng/ml Alpha foeto-protéine, présent dans le sang foetal

MT principal K foie – ovaires et testicules

Hépatite, cirrhose

Spina bifida (non fermeture du tube neural), trisomie 21

Marqueur Cancer

CA 125 Ovaire

CA 19‐9 Pancréas

CA 15‐3 Sein

ACE Colon

PSA Prostate

B‐HCG, AFP Testicule

Calcitonine, thyroglobuline Thyroïde

Marqueurs tumoraux et cancers associés

Marqueurs tumoraux

Au moment du diagnostic

Pas dans un simple bilan de santé !

Avec prudence

En fonction des données De l’examen clinique

Des résultats de l’imagerie : scanner, IRM, échographies

Marqueurs tumoraux : intérêts

Un MT est utile pour le suivi d’un patient en cours de traitement

ou à distance

transitoire après chimio : destruction tumorale massive

en faveur de l’efficacité thérapeutique

supposant baisse de l’efficacité, récidive, métastase à distance

Une anormale peut précéder de 6 mois l’apparition de signes cliniques ou radiologiques

Examens biologiques complémentaires

en Cancérologie

Bilans infectieux

Examens à visée infectieuse

Examens d’imagerie

RP Pneumopathie

Pleurésie infectieuse

Scanner cérébral Sinusite

Abscès

Scanner thoraco-abdominal

Radiographie des sinus, panoramique dentaire …

pour mettre en évidence le site infectieux en

parallèle de l’examen clinique

Il est important de rechercher des foyers infectieux avant traitement

Examens à visée infectieuse : dans la sang

Dans le sang De manière indirecte : les sérologies

Recherche d’anticorps spécifiques IG et/ou IgM

Infections Virales : EBV, CMV, HIV, Virus des hépatites

La présence isolée d’IgG est en faveur d’une infection ancienne

La présence d’IgM signifie une infection en cours

De manière directe Identification par PCR

de virus : EBV

de mycobactéries : tuberculose

Hémoculture

Milieux spécifiques

Identification de bactéries, levures…

pour mettre en évidence l’agent infectieux

dans différents prélèvements

Examens à visée infectieuse : matériel autre que le sang

Dans des prélèvements divers ECBU

Coprocultures (identification du Clostridium difficile)

Autres sites Ponction lombaire (LCR)

LBA

Ponction pleurale

Ponction d’ascite

Plaie, abcès, collection liquidienne

ORL (angine, abscès amygdalien….)

Examens à visée infectieuse

Dans des prélèvements divers

Ces examens permettent d’identifier une bactérie Examen direct/coloration GRAM

Identification d’un cocci gram+, bacille gram-

Ci-contre bacile gram-

Culture sur milieux spécifiques

Identification de la bactérie (24 à 48h)

Antibiogramme (24 à 48h)

Ces examens vant manuels sont désormais automatisés (automate Vitek)

Le traitement est adapté à l’agent infectieux mis en évidence

Ensemencer l’échantillon sur une gélose

Après 24 à 48h, les bactéries se multiplient à 37°C

Au laboratoire de bactériologique : principes

des techniques

Principe de l’antibiogramme : étude de la sensibilité des bactéries aux antibiotiques

Zone d’inhibition de la croissance

Aucune inhibition : les bactéries se multiplient au contact du disque d’antibiotiques

Examens à visée infectieuse

Dans des prélèvements divers Aux laboratoires de parasitologie, mycologie

Ces examens permettent d’isoler Un champignon : Candida, Pneumocystis, Cryptocoque

Un parasite : Toxoplasmose

Le traitement peut être adapté à l’agent infectieux mis en évidence

Merci pour votre attention

Examens biologiques complémentaires

en Cancérologie

Docteur Sandrine PUYRAIMOND

LBMG , laboratoire de Cytologie, EFS de Besançon

Examens biologiques complémentaires

en Cancérologie

Marqueurs tumoraux : autres exemples en complément

Marqueurs tumoraux et pathologies associées

CA 125 < 35 Ul/ml MT principal du K (cancer) ovaire

Autres cancers : K endomètre, col utérin, trompe utérine

Peut : Grossesse (1er trimestre), kyste ovaire, endométriose, épanchements, hépatites

CA 19-9 < 60 Ul/ml MT principal K tractus gastro-intestinal (colon, estomac, foie, pancréas)

Autres cancers : K ovaire

Peut I: nflammations, hépatite ou pancréatite chronique

CA 15-3 < 28 Ul/ml MT principal K sein

Autres cancers: K poumon, ovaire

Peut : Maladies hépato-biliaires, pancréatite aiguëCA = Antigène de Cancer

MT = Marqueur Tumoral

K = cancer

Marqueurs tumoraux et pathologies associées

ACE < 5 ng/ml Ou Antigène carcino-embryonnaire

MT principal K colon

Autres cancers : K sein, K poumon

Peut : Maladies inflammatoires digestives, affections hépato-biliaires

Peut chez le Fumeur

HCG (et sous-unité beta) < 5 mUl/ml Ou Hormone chrionique gonadotrope

Sécrétée par le placenta

Choriocarcinome (dégénerescence maligne placenta)

Autres cancers : Tumeurs ovaires et testicules

Marqueurs tumoraux et pathologies associées

Alpha FT < 15 ng/ml Ou Alpha foeto-protéine, présent dans le sang foetal

MT principal K foie – autres cancers : ovaires et testicules

Peut : Hépatite, cirrhose

Peut : Spina bifida (non fermeture du tube neural), trisomie 21

PSA Antigène spécifique de prostate

K prostate : seul MT spécifique de K

Peut : Adénome prostate (HBP) et Toucher rectal (3 semaines)

Taux à interpréter selon âge

♂ jeune < 2,5 ng/ml

♂ 50-60 ans < 3,5 ng/ml

♂ 60-70 ans < 4,5 ng/ml

♂ 70-80 ans < 6,5 ng/ml

Marqueurs tumoraux et pathologies associées

Cyfra 21 < 3ng/ml K bronchique non à petites cellules

NSE < 12,5 ng/ml Neuron Specific Enolase

K poumon à petites cellules

Thyroglobuline < 1 ng/mlK thyroïde

Beta2microglobuline < 2,5 mg/lMyélomeMétastases osseuses, hépatiques