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Etude d’impact acoustique

Usine d’incinération SITTOM-MI Pontivy (56)

Affaire n° 15 22 1939-1A

ICPE

Etude d’impact acoustique

Rue Vicat – Le Sourn

Pontivy (56)

Date Intervention : du 07/01 au 14/01/2015

Date Edition : 15/01/2015

Ce document comprend 35 pages de narratifs

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Usine d’incinération SITTOM-MI – Pontivy (56) – Etude d’impact acoustique

JLBi Conseils – n° 15 22 1939-1A – janvier 2015 2/35

Révision Affaire Description Date Intervenant Rédacteur Visa

A 15 22 1939-1A Etude d’impact

acoustique 15/01/2015 ML ML FG

Synthèse des résultats

La présente étude acoustique relative au site de l’usine d’incinération SITTOM-MI à Pontivy (56) conduit à la conclusion suivante :

Les niveaux de bruit mesurés en limite de site ICPE sont tous inférieurs aux valeurs admissibles imposées par l’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter en périodes diurnes et nocturnes.

Les émergences mesurées au droit des tiers riverains (ZER) sont inférieures aux valeurs

réglementaires : il y a donc conformité au sens de l’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter et de l’arrêté du 23 janvier 1997 en périodes diurnes et nocturnes.

Il n’y a pas de tonalités marquées détectées au cours de la campagne de mesurages.

Au vu de ces résultats, l’activité de l’usine d’incinération SITTOM-MI à Pontivy (56) a un impact sonore négligeable sur son environnement et dans la zone à émergence règlementée.



Sommaire

1 Objet de la mission ....................................................................................................................................... 4

1.1 La mission ................................................................................................................................................ 4 1.2 Les acteurs .............................................................................................................................................. 4

2 Description sommaire du site ...................................................................................................................... 5

2.1 Localisation .............................................................................................................................................. 5 2.2 Horaires de fonctionnement..................................................................................................................... 5 2.3 Sources sonores sur le site ..................................................................................................................... 5 2.4 Voisinage & Environnement sonore ........................................................................................................ 5

3 Réglementation acoustique ......................................................................................................................... 6

3.1 Zone à Emergence Réglementée (ZER) ................................................................................................. 6 3.2 Niveaux de bruit en limite de site de l’ICPE ............................................................................................. 6 3.3 Tonalité marquée ..................................................................................................................................... 6 3.4 Méthode de mesurage ............................................................................................................................. 6

4 Protocole d’étude & Conditions de mesurage ........................................................................................... 7

4.1 Protocole d’étude ..................................................................................................................................... 7 4.2 Conditions de mesurages ........................................................................................................................ 8 4.3 Analyse qualitative des facteurs climatiques ........................................................................................... 8

5 Résultats ...................................................................................................................................................... 10

5.1 Niveaux sonores mesurés ..................................................................................................................... 10 5.2 Niveaux sonores retenus ....................................................................................................................... 10 5.3 Emergences au droit des ZER .............................................................................................................. 11 5.4 Tonalités marquées au droit des ZER ................................................................................................... 12 5.5 Niveaux de bruit en limite de site ICPE ................................................................................................. 12

6 Conclusion ................................................................................................................................................... 13

A1. Localisation de l’étude ................................................................................................................................. 14

A2. Photographies ............................................................................................................................................... 16

A3. Fiches de mesurages ................................................................................................................................... 18

A4. Lexique ........................................................................................................................................................... 26

A5. Volet Santé ..................................................................................................................................................... 27

A6. Moyens techniques ....................................................................................................................................... 31

A7. Autovérification du matériel sonométrique ............................................................................................... 33



1 Objet de la mission 1.1 La mission

Cette mission est réalisée à l’initiative du SITTOM-MI (syndicat de traitement des ordures ménagères du Morbihan Intérieur) qui exploite une usine d’incinération des ordures ménagères. Elle consiste en un contrôle acoustique au regard de la législation applicable au titre des ICPE où elle est notifiée à la nomenclature, et plus particulièrement à l'arrêté ministériel du 23 janvier 1997 relatif au bruit émis par les ICPE et à son arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter en date du 17 juillet 2008.

1.2 Les acteurs

Demandeur SITTOM–MI

BP 30218 31 rue Jean Moulin 56305 PONTIVY CEDEX M. Bastien GILLARD 02 97 25 01 70

Situation du Projet Usine d’incinération rue Vicat – Le Sourn 56300 PONTIVY



2 Description sommaire du site 2.1 Localisation

Le site de l’usine d’incinération du SITTOM-MI se situe dans une zone industrielle au sud de Pontivy à l’ouest du Blavet. L’activité en son sein est dédiée à l’incinération des ordures ménagères. 2.2 Horaires de fonctionnement

Le site fonctionne en permanence, 24h/24 et 7j/7. L’activité recouvre donc les périodes réglementaires dites de Jour (07h-22h) et de Nuit (22h-07h). 2.3 Sources sonores sur le site

Les sources sonores liées à l’activité sont principalement les suivantes :

La circulation des poids-lourds amenant les déchets (à partir de 09h le matin pour les tournées sur Pontivy et jusqu’à 17h environ pour les derniers arrivages)

Le fonctionnement d’une chargeuse alimentant en déchets l’installation de traitement

Le brûleur 2.4 Voisinage & Environnement sonore

Les habitations les plus proches se situent :

au nord-ouest du site : lotissement situé de l’autre côté de la D2

au sud du site le long de la D156, route de Saint Michel Le paysage sonore résiduel est principalement influencé par :

Le bruit produit par les autres industries de la zone industrielle (Soleval, Lactalis, Gallais…)

La circulation routière sur les voies communales

Les activités de la nature (végétation, oiseaux…).



3 Réglementation acoustique L’activité de la société SITTOM-MI à Pontivy (56) doit répondre à l’arrêté du 23 janvier 1997 relatif à la limitation des bruits émis dans l’environnement par les installations classées pour la protection de l’environnement, et à son arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter en date du 17 juillet 2008. 3.1 Zone à Emergence Réglementée (ZER)

Les Zones à Emergence Réglementée sont les zones construites ou constructibles définies par des documents d’urbanisme opposables aux tiers et publiés à la date de l’arrêté d’autorisation. Le critère à respecter dans ces zones est l’émergence (différence entre le niveau de bruit ambiant avec l’activité étudiée et le niveau de bruit résiduel sans l’activité étudiée) :

Niveau de bruit ambiant dans les ZER (incluant le bruit de l’ICPE)

Emergence admissible [07h-22h] sauf dimanches et fériés

Emergence admissible [22h-07h] et dimanches et fériés

35 dB(A) LAeq 45 dB(A) 6 dB(A) 4 dB(A)

LAeq > 45 dB(A) 5 dB(A) 3 dB(A)

Nota 1 – « … Si l’arrêté d’autorisation concerne la modification d’un établissement existant au 1er juillet 1997, dont la limite de propriété est distante de moins de 200 mètres des zones à émergence réglementée, il peut prévoir que les valeurs admissibles d’émergence ne s’appliquent, dans les zones considérées, qu’au-delà d’une distance donnée de la limite de propriété. Cette distance ne peut excéder 200 mètres. Toutefois, les niveaux admissibles en limite de propriété de l’établissement, fixés par l’arrêté autorisant la modification, ne peuvent être supérieurs aux niveaux admissibles prévus dans l’arrêté d’autorisation initiale, sauf si le niveau de bruit résiduel a été modifié de manière notable… » (Article 3 de l’Arrêté du 23 janvier 1997). Nota 2 – L’annexe de l’arrêté du 23 janvier 1997 précise que si l’écart entre l’indice LAeq et l’indice fractile L50 (niveau dépassé pendant 50 % du temps) est supérieur à 5 dB(A), l’indice considéré pour le calcul de l’émergence est le L50 (soit e = L50 ambiant – L50 résiduel). A défaut, on conserve l’indice LAeq.

3.2 Niveaux de bruit en limite de site de l’ICPE

L’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter du 17 juillet 2008 fixe pour l’usine SITTOM-MI de Pontivy les niveaux limites de bruit à ne pas dépasser en limite de propriété de l'établissement :

Périodes Allant de 07h à 22h

sauf dimanches et jours fériés Allant de 22h à 07h

ainsi que les dimanches et jours fériés

Niveau sonore limite admissible 65 dB(A) 60 dB(A)

3.3 Tonalité marquée

La tonalité marquée établie ou cyclique, ne peut avoir une durée d’apparition supérieure à 30 % de la durée de fonctionnement de l’activité pour chaque période considérée (diurne et nocturne). La tonalité marquée est détectée dans un spectre non pondéré de tiers d'octave quand la différence de niveaux entre la bande de tiers d'octave et les quatre bandes de tiers d'octave les plus proches (les deux bandes immédiatement inférieures et les deux bandes immédiatement supérieures) atteint ou dépasse les niveaux indiquées ci-dessous pour la bande de fréquence considérée, pour une acquisition minimale de 10 secondes :

63 Hz à 315 Hz 400 Hz à 1250 Hz 1600 Hz à 6300 Hz

10 dB 5 dB 5 dB

3.4 Méthode de mesurage

Norme NF S 31-010 de décembre 1996 « Caractérisation et mesurage des bruits de l’environnement – Méthodes particulières de mesurage » et norme NF S 31-010/A1 – amendement de décembre 2008 concernant les conditions météorologiques



4 Protocole d’étude & Conditions de mesurage 4.1 Protocole d’étude

L’implantation des points de mesure a été choisie conformément aux exigences de l’arrêté 23 janvier 1997, et de l’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter du 17 juillet 2008.

N° du point de mesure Localisation

ICPE 1 Limite ICPE Nord-Ouest

ICPE 2 Limite ICPE Sud-Ouest

ZER 1 ZER au Nord-Ouest – 9 rue Saint Jean

ZER 2 ZER au Nord-Ouest – 23 rue du Porh Audren

ZER 3 ZER au Sud-Ouest – 1 route de Saint Michel

Les mesures ont été réalisées du mercredi 07 au mercredi 14 janvier 2015, couvrant les périodes diurne et nocturne. Les réglages étaient les suivants : durée d’intégration de 1 seconde, filtre en bandes de tiers d’octave (1/3). L’ensemble des chronogrammes, analyses et résultats est reporté en annexe. L’usine a été mise à l’arrêt à partir du vendredi 09 janvier à 21h30

Les niveaux de bruit ambiant (usine en marche) et les niveaux de bruit résiduel (usine à l’arrêt) ont donc été considérés selon les périodes suivantes :

Niveau de bruit Ambiant Niveau de bruit Résiduel

Période Diurne Période Nocturne Période Diurne Période Nocturne

Mercredi 07/01 pose à 22h00

Jeudi 08/01 07h00 à 22h00

Vendredi 09/01 07h00 à 21h30

Mercredi 07/01 22h00 à 07h00

Jeudi 08/01 22h00 à 07h00

Lundi 12/01 07h00 à 22h00

Mardi 13/01 07h00 à 22h00

Mercredi 14/01 07h00 à dépose

Lundi 12/01 22h00 à 07h00

Mardi 13/01 22h00 à 07h00

Les périodes du Week-End ont été extraites des enregistrements pour la caractérisation les niveaux de bruit résiduel, car non représentatives en regard de la caractérisation des niveaux de bruit ambiant faite en semaine. L’étude se décompose suivant les étapes suivantes :

caractérisation des niveaux de bruit ambiant (avec l’activité de l’usine) en périodes diurne et nocturne

caractérisation des niveaux de bruit résiduel (sans l’activité de l’usine) en périodes diurne et nocturne

calcul des émergences en périodes diurne et nocturne, au niveau des habitations les plus proches

analyse des résultats en regard de l’arrêté du 23/01/1997 et de l’arrêté préfectoral du 17/07/2008 Remarque : lorsque l’incinérateur du SITTOM-MI s’arrête, les usines voisines SOLEVAL et LACTALIS ralentissent leur activité, ces dernières utilisant la vapeur produite par l’incinérateur comme de source d’énergie.



4.2 Conditions de mesurages

Le tableau suivant résume les conditions climatiques rencontrées durant la campagne de mesures acoustiques.

Dates Conditions météorologiques

Température en °C Ciel Vent

07/01/2015 Jour 4,5 Couvert Nul

Nuit 9 Couvert Sud / 10 km/h

08/01/2015 Jour 12 Couvert Ouest / 20 km/h

Nuit 9 Couvert Sud-Ouest / 22 km/h


Nuit 12,5 Couvert Sud-Ouest / 20 km/h

10/01/2015 Jour 13 Couvert Sud-Ouest / 20 km/h

Nuit 7 Couvert Ouest / 19 km/h

11/01/2015 Jour 9,5 Couvert Ouest / 20 km/h


12/01/2015 Jour 13,5 Couvert Sud-Ouest / 25 km/h

Nuit 12,5 Couvert Sud-Ouest / 30 km/h



14/01/2015 Jour 7 Couvert Sud-Ouest / 25 km/h

Nuit / / /

4.3 Analyse qualitative des facteurs climatiques

Extrait de la norme NF S 31-010/A1 de décembre 2008 :

Définitions des conditions aérodynamiques

Contraire Peu contraire De travers Peu portant Portant

Vent fort U1 U2 U3 U4 U5

Vent moyen U2 U2 U3 U4 U4

Vent faible U3 U3 U3 U3 U3

U1 U2 U3 U4 U5

Vent fort (3 à 5 m/s) contraire au sens de la source-récepteur Vent moyen contraire ou vent fort, peu contraire ou vent moyen peu contraire Vent faible ou vent quelconque soufflant de travers Vent moyen portant ou vent fort peu portant ou vent moyen peu portant Vent fort portant



Définitions des conditions thermiques

Période Rayonnement / couverture nuageuse Humidité Vent Ti

Jour (*)

Fort Sol sec

Faible ou moyen T1

Fort T2

Sol humide Faible ou moyen ou fort T2

Moyen à faible

Sol sec Faible ou moyen ou fort T2

Sol humide Faible ou moyen T3

Fort T3

Période de lever ou de coucher de soleil T3

Nuit (*)

Ciel nuageux Faible ou moyen ou fort T4

Ciel dégagé Moyen ou fort T4

Faible T5

(*) Les indications "jour" et "nuit" ont ici le sens courant et ne renvoient pas à une période réglementaire

T1 Jour ET rayonnement fort ET surface du sol sèche ET (vent moyen ou faible) T2 Jour ET [rayonnement moyen à faible OU surface du sol humide OU vent fort] (Si toutes les conditions

reliées par des OU sont remplies, on se retrouve dans T3) T3 Période de lever du soleil OU période de coucher du soleil OU [jour et rayonnement moyen à faible ET surface du sol

humide ET vent fort] T4 Nuit ET (nuageux OU vent fort, moyen) T5 Nuit ET ciel dégagé ET vent faible

Grille (Ui, Ti)

U1 U2 U3 U4 U5

T1 -- - -

T2 -- - - Z +

T3 - - Z + +

T4 - Z + ++ ++

T5 + + ++

-- - Z + ++

Conditions défavorables pour la propagation sonore Conditions défavorables pour la propagation sonore Conditions homogènes pour la propagation sonore Conditions favorables pour la propagation sonore Conditions favorables pour la propagation sonore

Considérant les conditions climatiques rencontrées et la localisation des points récepteurs, nous pouvons qualifier l’influence de ces conditions sur la propagation sonore de la manière suivante :

Point n° Localisation Diurne Nocturne

ZER 1 ZER au Nord-Ouest Z +

ZER 2 ZER au Nord-Ouest Z +

ZER 3 ZER au Sud-Ouest Z +

Soit pour la période diurne des conditions homogènes et pour la période nocturne des conditions favorables sur la propagation sonore.



5 Résultats 5.1 Niveaux sonores mesurés

L’intégralité des chronogrammes et des résultats est reportée en annexe. Les mesures des niveaux sonores résiduels et ambiants conduisent aux résultats suivants (résultats exprimés en dB(A)).

Pé

rio

de D

IUR

NE

Point / Localisation

Niveaux de bruit en dB(A)

Ambiant Résiduel

LAeq L50 LAeq L50

ZER 1 ZER au Nord-Ouest 54,0 51,1 53,7 50,9


ZER 3 ZER au Sud-Ouest 58,4 49,5 57,5 48,7

ICPE 1 Limite ICPE Nord-Ouest 58,2 54,7 X X

ICPE 2 Limite ICPE Sud-Ouest 61,1 53,9 X X

Pé

rio

de N

OC

TU

RN

E Point / Localisation


Ambiant Résiduel

LAeq L50 LAeq L50




ICPE 1 Limite ICPE Nord-Ouest 53,2 52,9 X X

ICPE 2 Limite ICPE Sud-Ouest 53,3 52,9 X X

En gras les indicateurs retenus. L’annexe de l’arrêté du 23 janvier 1997 précise que si l’écart entre l’indice LAeq et l’indice fractile L50 (niveau dépassé pendant 50 % du temps) est supérieur à 5 dB(A), l’indice considéré pour le calcul de l’émergence est le L50 (soit e = L50 ambiant – L50 résiduel). A défaut, on conserve l’indice LAeq.

5.2 Niveaux sonores retenus

L’indicateur LAeq est choisi pour représenter les ambiances sonores en limites de site ICPE.

Point / Localisation


Diurne Nocturne

ambiant résiduel ambiant résiduel




ICPE 1 Limite ICPE Nord-Ouest 58,2 X 53,2 X

ICPE 2 Limite ICPE Sud-Ouest 61,1 X 53,3 X

X : La mesure du niveau de bruit résiduel en limite de site (usine à l’arrêt) est sans intérêt pour l’analyse.



5.3 Emergences au droit des ZER

Les émergences sont égales aux différences entre les niveaux de bruit incluant l’activité de l’usine d’incinération SITTOM-MI et les niveaux de bruit sans son activité. Elles sont exprimées en dB(A) et arrondies à 0,5 dB(A) le plus proche.

Emergences au droit de la ZER 1

Période Niveau de

bruit ambiant Niveau de

bruit résiduel Emergence

Emergence admissible

Conformité

DIURNE 54 53,7 0,5 5 C

NOCTURNE 47,8 49,3 0 3 C

C = Conforme – NC = Non Conforme


Période Niveau de




Conformité

DIURNE 54,6 54,5 0 5 C

NOCTURNE 43,7 44,5 0 4 C



Période Niveau de




Conformité

DIURNE 49,5 48,7 1 5 C

NOCTURNE 47,5 46,5 1 3 C


Analyse : Les émergences relevées au droit des 3 ZER (zones à émergence réglementée) les plus proches sont conformes en périodes diurne et nocturne. L’impact sonore du SITTOM-MI et de son incinérateur est donc faible sur les zones riveraines.



5.4 Tonalités marquées au droit des ZER

Il n’y a pas de tonalités marquées dans les 3 ZER étudiées au sens de l’arrêté du 23 janvier 1997 et de la norme NF S 31-010 de décembre 1996. 5.5 Niveaux de bruit en limite de site ICPE

Les niveaux de bruit ambiant en limite de site ICPE sont analysés au regard des valeurs maximales admissibles imposés par l’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter. Résultats exprimés en dB(A) et arrondis à 0,5 dB(A) le plus proche

Point – Localisation Période DIURNE

Niveau de bruit ambiant Niveau de bruit admissible Conformité

Point 1 - Limite ICPE Nord-Ouest 58 65 C

Point 2 - Limite ICPE Sud-Ouest 61 65 C

Point – Localisation Période NOCTURNE

Niveau de bruit ambiant Niveau de bruit admissible Conformité

Point 1 - Limite ICPE Nord-Ouest 53 60 C

Point 2 - Limite ICPE Sud-Ouest 53,5 60 C

Analyse : Les niveaux de bruit ambiant relevés en limite de site ICPE sont tous inférieurs aux valeurs limites admissibles imposées par l’arrêté préfectoral d’autorisation du 17 juillet 2008. Ces niveaux de bruit ambiant sont exposés à l’activité du site de SITTOM-MI (fonctionnement du four, passages des camions). Ils sont également exposés aux activités voisines (SOLEVAL au Nord et LACTALIS au Sud) par exemple le niveau de bruit mesuré à 61 dB(A) en limite de site Sud-Ouest en période diurne n’est pas attribué à l’usine SITTOM-MI.



6 Conclusion La présente étude acoustique relative au site de l’usine d’incinération SITTOM-MI à Pontivy (56) conduit à la conclusion suivante : Dans les conditions où nous avons opéré, De nos mesurages dans l'environnement du site réalisés du 07 au 14 janvier 2015 aux abords de l’usine d’incinération SITTOM-MI de Pontivy (56), En regard de la réglementation acoustique en vigueur :

l’arrêté du 23 janvier 1997 relatif à la limitation des bruits émis dans l'environnement par les ICPE,

l’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter en date du 17 juillet 2008, Il apparaît :

Les niveaux de bruit mesurés en limite de site ICPE sont tous inférieurs aux valeurs admissibles imposées par l’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter en périodes diurnes et nocturnes.

Les émergences mesurées au droit des tiers riverains (ZER) sont inférieures aux valeurs

réglementaires : il y a donc conformité au sens de l’arrêté préfectoral d’autorisation d’exploiter et de l’arrêté du 23 janvier 1997 en périodes diurnes et nocturnes.

Il n’y a pas de tonalités marquées détectées au cours de la campagne de mesurages.

Au vu de ces résultats, l’activité de l’usine d’incinération SITTOM-MI à Pontivy (56) a un impact sonore négligeable sur son environnement et dans la zone à émergence règlementée.



A1. Localisation de l’étude

Localisation de l'étude



Localisation des points de mesures

ZER 2

ZER 1

ZER 3

ICPE 2

ICPE 1



A2. Photographies

ZER 1

ZER 2

ZER 3



ICPE 1

ICPE 2



A3. Fiches de mesurages

Point ICPE 1 Localisation : Limite ICPE Nord-Ouest

Date début 07/01/2015

Date Fin 14/01/2015

Opérateur M. Legendre

Durée d'intégration 1 seconde

Spectre 1/3 octave

N° sonomètre SOLO N° 61446 (13)

Choix de l'emplacement En limite de site ICPE, dans la direction des zones riveraines nord-ouest

Perturbations Ambiant JOUR Ambiant NUIT Résiduel

10

20

30

40

50

60

70

80

90

07/01/15 13h 08/01/15 01h 08/01/15 13h 09/01/15 01h 09/01/15 13h

Fichier 1939-1 Solo13 - ICPE 1

Lieu #1446

Type de données Leq

Pondération A

Début 07/01/15 09:11:34

Fin 09/01/15 22:46:24

Leq

particulier L50

Source dB dB

Ambiant JOUR 58,2 54,7

Ambiant NUIT 53,2 52,9

Observations : Ambiance sonore de la zone industrielle

ICPE 1



Point ICPE 2 Localisation : Limite ICPE Sud-Ouest


Date Fin 14/01/2015



Spectre 1/3 octave

N° sonomètre DUO N° 10135 (17)

Choix de l'emplacement En limite de site ICPE, dans la direction des zones riveraines sud-ouest

Perturbations Ambiant JOUR Ambiant NUIT Résiduel

10

20

30

40

50

60

70

80

90

07/01/15 13h 08/01/15 01h 08/01/15 13h 09/01/15 01h 09/01/15 13h

Fichier 1939-1 Duo17 - ICPE 2

Lieu DUO_17-DUO #10135


Pondération A

Début 07/01/15 09:22:47

Fin 14/01/15 09:15:39

Leq

particulier L50

Source dB dB



Observations : Ambiance sonore de la zone industrielle

ICPE 2



Point ZER 1 Localisation : au nord-ouest de l’usine, 9 rue Saint Jean


Date Fin 14/01/2015



Spectre 1/3 octave


Choix de l'emplacement Habitation dans le lotissement le plus proche au nord-ouest de l’usine

Perturbations Ambiant JOUR Ambiant NUIT Résiduel JOUR Résiduel NUIT

Résiduel

10

20

30

40

50

60

70

80

90

08/01/15 09/01/15 10/01/15 11/01/15 12/01/15 13/01/15 14/01/15

Fichier 1939-1 Duo15 - ZER 1

Lieu DUO_15-DUO #10201


Pondération A

Début 07/01/15 09:58:08

Fin 14/01/15 09:40:53

Leq

particulier L50

Source dB dB



Résiduel JOUR 53,7 50,9

Résiduel NUIT 49,3 45,8

Observations : Ambiance sonore de la zone industrielle, circulation locale

ZER 1



> Recherche de tonalités marquées au point ZER 1 :



Point ZER 2 Localisation : au nord-ouest de l’usine, 23 rue du Porh Andren


Date Fin 14/01/2015



Spectre 1/3 octave


Choix de l'emplacement Habitation dans le lotissement le plus proche au nord-ouest de l’usine


Résiduel

10

20

30

40

50

60

70

80

90

08/01/15 09/01/15 10/01/15 11/01/15 12/01/15 13/01/15 14/01/15

Observations : Ambiance sonore de la zone industrielle, circulation locale

ZER 2



Point ZER 3 Localisation : au sud-ouest de l’usine, 1 route de Saint Michel


Date Fin 14/01/2015



Spectre 1/3 octave


Choix de l'emplacement Habitation la plus proche au sud-ouest de l’usine


Résiduel

10

20

30

40

50

60

70

80

90

08/01/15 09/01/15 10/01/15 11/01/15 12/01/15 13/01/15 14/01/15

Observations : Ambiance sonore de la zone industrielle, circulation sur la route de Saint Michel à l’ouest du site industriel

ZER 3



A4. Lexique Lp …………………………… Niveau de pression acoustique donné à une distance de la source et perçu en

ce point, il s'exprime en dB(A).

Lw …………………………... Niveau de puissance acoustique caractérisant l'appareil et servant de base de calcul pour déterminer une pression à une distance donnée, il s'exprime en dB(A) et dépend de la distance : c'est une valeur intrinsèque à la source.

LAeq ……………………….. Niveau acoustique continu équivalent.

Niveau sonore Résiduel… Niveau sonore sans l’activité projetée.

Niveau sonore Ambiant…. Niveau sonore global incluant la source sonore étudiée et le niveau résiduel régnant sur site.

Emergence ………………... Différence entre le Niveau sonore Ambiant et le niveau sonore Résiduel.

Indices Fractiles LX ……... Niveau de pression acoustique pondéré A dépassé pendant x % de l'intervalle de temps considéré les L90 et L50 (niveaux sonores dépassés pendant 90 et 50 % du temps) sont les plus utilisés pour caractériser une ambiance sonore.

Perception de l'oreille …... 20 Hz à 20 kHz.

Echelle de Bruit (brochure CIDB « Le Bruit Aujourd’hui »)



A5. Volet Santé

LES EFFETS DU BRUIT

Effets sur le travail : Le bruit altère la quantité de travail effectué, mais surtout la qualité du travail. En effet, le bruit perturbe la communication, entraîne des difficultés de concentration, une fatigue, une gène, une nervosité et peut donc être à la source d’accidents du travail. Effets sur l'organisme : Le bruit est source d’anxiété, de stress, de perturbation du sommeil et de troubles cardio-vasculaires (augmentation de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle). Effets sur l'audition : Au début le bruit entraîne une fatigue auditive et temporaire (qui disparaît après une période de repos) puis s’installe progressivement une surdité définitive et incurable. Le bruit peut aussi être à l’origine de traumatisme sonore.

Traumatisme acoustique : C’est une perte soudaine d’audition causée par un bruit bref et intense tel qu’une explosion. A l’otoscopie, on constate une perforation tympanique.

La fatigue auditive : Elle se traduit par une élévation temporaire du seuil de l’audition ; est constante d’un jour à l’autre chez un même sujet, peut s’accompagner de bourdonnements ou de sifflements de l’oreille. Elle récupère en quelques jours à quelques semaines. Le bruit est cause de fatigue même sous les seuils réglementaires. A partir de 35 dB, on peut déjà ressentir des bourdonnements d’oreille. Le bruit occasionne un sentiment de gêne, surtout lorsque le travail nécessite une concentration intellectuelle importante. On recommande 55 dB pour un travail nécessitant une attention soutenue.

La surdité professionnelle : La surdité professionnelle n’est pas une pathologie mais une adaptation sensorielle aux conditions acoustiques du milieu de vie. C’est l’augmentation du seuil d’audition sous l’influence du bruit. Au début de l’exposition, la fatigue auditive fait varier temporairement le seuil auditif puis l’augmentation devient permanente. Il y a une grande variation inter-individuelle au bruit. Certains sujets sont hypersensibles au bruit. D’une manière générale, les femmes et les plus de 35 ans sont plus sensibles au bruit. Le même travail pendant la même durée n’aura pas le même effet sur deux salariés différents, l’un peut devenir sourd et l’autre pas. Il existe aussi une perte physiologique de 20 dB à 60 ans sur les fréquences 2000-4000 Hz, avec de grandes variations individuelles. La surdité professionnelle est une surdité de perception bilatérale, symétrique, insidieuse (on ne s’aperçoit pas que l’on devient sourd et on ne ressent aucune douleur), irréversible (c’est déjà trop tard lorsque l’on s’en rend compte). Elle n’évolue pas hors du bruit. On ne sait pas réparer les cellules ciliées de l’oreille interne. C’est une surdité peu améliorable par les prothèses auditives, contrairement aux surdités de transmission. Cependant des progrès médicaux sont en cours et on peut obtenir de bons résultats avec des amplificateurs. L’évolution de la surdité professionnelle n’est pas rectiligne, elle évolue par palier suivant un rythme aléatoire avec des périodes de stabilité puis d’augmentation significative de la perte auditive, sans raison apparente, puis à nouveau stabilisation. La perte est importante pendant les 5 à 10 premières années de travail puis se stabilise. Après 50 ans la perte auditive s’accélère.



LA SURVEILLANCE DES SALARIES EXPOSES PAR LE MÉDECIN DU TRAVAIL LES AUDIOGRAMMES On teste l’ouïe dans une cabine spéciale avec un audiomètre, lequel émet des sons à différentes fréquences et intensités à travers un casque. Puis on compare les résultats avec des niveaux standards. Un déficit de moins de 20 dB(A) n’est pas pathologique. Le dépistage du début d’apparition de la surdité est capital, pour éviter que cela ne s’aggrave. En cas d’anomalie sur l’audiogramme, il faudrait une éviction provisoire du salarié pour établir le diagnostic, ce qui est difficile en pratique quotidienne. Une restriction d’aptitude lors d’une visite d’embauche signifiera souvent une absence d’embauche pour le salarié concerné. Les audiogrammes servent aussi à contrôler l’efficacité des mesures de protection collective et individuelle. Si l’audiométrie d’un salarié est très perturbée, le médecin du travail peut :

essayer de convaincre le chef d’entreprise à prendre des mesures pour réduire le bruit des machines (c’est la meilleure solution, mais aussi la plus difficile à mettre en place, car elle demande beaucoup de temps et de moyens).

essayer de convaincre ce salarié de porter des protections individuelles, pour éviter une aggravation du déficit.

retirer le salarié de l’ambiance sonore et lui trouver un poste de travail où il ne sera pas exposé au bruit (solution parfois complexe et insatisfaisante puisqu’un autre salarié sera à son tour exposé au bruit).

Il faut noter que la surdité de perception n’est pas un facteur de protection contre le bruit, par contre il semblerait que la surdité de transmission ne s’aggrave pas au bruit. Une cophose n’est pas une contre-indication au bruit, si le poste de travail ne nécessite pas d’entendre. Chez une personne appareillée, seule l’audiométrie vocale (liste de mots) est interprétable.

ÉVOLUTION DU DÉFICIT Au début, l’atteinte porte sur les aigus (4000 Hz) ; ces fréquences n’étant pas utilisées pour la voix parlée, le déficit passe d’abord inaperçu.

1er stade : encoche audiométrique, à 3000-4000 Hz, inférieure à 30 dB. Le sujet ignore ce déficit ou alors il ressent une fatigue auditive pouvant s’accompagner de vertige, de céphalée...

2ème stade : perte de plus de 30 dB à 4000 Hz ; le sujet constate que son ouïe est moins fine si les conditions d’audition sont difficiles. Les manifestations générales (vertige, mal de tête...) disparaissent ; ce qui peut passer, aux yeux du salarié, pour une " adaptation " au bruit. En réalité la surdité s’installe alors peu à peu sans que le salarié ne s’en rend compte.

3ème stade : l’encoche est élargie vers les aigus (plus de 30 dB de perte sur 2000 Hz). Le sujet présente des difficultés de compréhension.

4ème stade : perte de plus de 30 dB sur 1000 Hz. Le sujet peut difficilement suivre une conversation normale et fait souvent répéter.



COMMENT SE PROTÉGER DU BRUIT ?

PROTECTION TECHNIQUE COLLECTIVE

réduction à la source (concevoir et acquérir les machines les moins bruyantes)

isoler la source sonore (encoffrement)

écran acoustique (réduit la propagation du son)

traitement acoustique des locaux (matériaux absorbants pour les parois)

acoustique prévisionnelle (avant de modifier l’installation des machines)

limiter le temps d’exposition (cabine insonorisée)

Il faut toujours privilégier la réduction du bruit à la source, puis la protection collective, et seulement en dernier lieu la protection individuelle. PROTECTION INDIVIDUELLE Une oreille bien protégée n’est pas fatiguée après 8 heures de travail. La protection par casques antibruit ou bouchons d’oreille permet une réduction du niveau sonore de plus de 20 dB(A). Cette réduction de 20 dB n’empêche pas la communication entre salariés ou l’écoute d’une machine avec un peu d’habitude. Le salarié choisira la protection qui lui convient le mieux ; les casques sont à préférer en cas de travail très salissant ou si la protection est intermittente (car les casques sont plus faciles à mettre en place et à retirer). Les bouchons bien mis sont aussi efficaces que les casques. Les casques enveloppants sont utiles en cas d’intensités très élevées lorsque la conduction osseuse est importante. Le protecteur sera porté dès le début de l’exposition au bruit et pendant toute la durée de celle ci.

LÉGISLATION BRUIT AU TRAVAIL Décret n° 2006-892 du 19 juillet 2006 relatif aux prescriptions de sécurité et de santé applicables en cas d’exposition des travailleurs aux risques dus au bruit Les seuils réglementaires et actions associées sont ainsi définis :

Seuils acoustiques Niveau d’Exposition Sonore Quotidienne

LEX,8h

Pression acoustique de Crête LpC,peak

Dispositions particulières

Valeurs limites d’exposition (VLE)

87 dB(A) 140 dB(C)

Ces valeurs tiennent compte de l’atténuation assurée par les protecteurs

auditifs individuels portés par le travailleur

Seuil d’action supérieur 85 dB(A) 137 dB(C) Ces valeurs ne prennent pas en

compte l’effet de l’utilisation de ces protecteurs

Seuil d’action inférieur 80 dB(A) 135 dB(C)



Valeurs d’exposition Code du Travail Actions

Valeur d’exposition inférieures

déclenchant l’action de prévention

80 dB(A)

135 dB(C)

R4434-7 1°) Si les moyens techniques et organisationnels ne

permettent pas de réduire l’exposition au bruit, mise à disposition des PICB

R4436-1 Information et formation des travailleurs

R4435-2 Examen audiométrique préventif à la demande du

travailleur ou du médecin du travail

Valeur d’exposition supérieures déclenchant

l’action de prévention

85 dB(A)

137 dB(C)

R4434-2 & R4434-3 Programme de réduction de l’exposition au bruit

et Signalisation appropriée

R4434-7 2°)

Si les moyens techniques et organisationnels ne permettent pas de réduire l’exposition au bruit,

l’employeur veille à ce que les PICB soient effectivement portés

R4435-1 Surveillance médicale renforcée (examens

audiométriques périodiques)



A6. Moyens techniques Sonomètre intégrateur – Classe 1 01dB DUO n° 10944

Microphone GRAS 40CD n° 161798

Préamplificateur 01dB Intégré

Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de janvier 2014

Sonomètre intégrateur – Classe 1 01dB DUO n° 10539 X

Microphone GRAS 40CD n° 154557 X

Préamplificateur 01dB Intégré X

Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de septembre 2014




Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de septembre 2014




Contrôle primitif 01dB-Metravib en date d’avril 2014





Sonomètre intégrateur – Classe 1 01dB DUO n° 10201

Microphone GRAS 40CD n°136999

Préamplificateur 01dB Intégré


Sonomètre intégrateur – Classe 1 01dB BLUESOLO n° 61918

Microphone GRAS MCE 212 n° 103342

Préamplificateur 1 01dB PRE 21 S

Préamplificateur 2 01dB PRE 21 W n° 30670

Contrôle primitif 01dB-Metravib en date d’octobre 2012

Sonomètre intégrateur – Classe 1 01dB BLUESOLO n° 61446 X

Microphone GRAS MCE 212 n° 96329 X

Préamplificateur 1 01dB PRE 21 S n° 14422 X

Contrôle primitif 01dB-Metravib en date de juillet 2013






Préamplificateur 1 01dB PRE 21 S n° 12649


Contrôle primitif 01dB-Metravib en date d’avril 2013





Sonomètre intégrateur – Classe 1 B&K 2250 n° 2473274

Microphone B&K ZC 0032 n° 2895

Préamplificateur B&K 4189 n° 2457783

Sonomètre intégrateur – Classe 1 B&K 2250 n° 2506855

Microphone B&K ZC 0032 n° 4517

Préamplificateur B&K 4189 n° 2529953

Sonomètre intégrateur – Classe 1 01dB SIP 95 TR n° 10873

Microphone Microtech MK 250 n° 6087

Préamplificateur 01dB PRE 12 N n° 23656

Sonomètre intégrateur – Classe 1 01dB SOLO Master n° 10668

Microphone 01dB MCE 212 n° 75229




Microphone 01dB MCE 212 n° 45218





Préamplificateur 01dB PRE 21 W n° 30728

Système Mesure bi-voie – Classe 1 01dB Symphonie n° 1038

Microphone GRAS 40 AE n° 5069

Microphone GRAS 40 AE n° 5421

Préamplificateur 01dB PRE 12H n° 11443

Préamplificateur 01dB PRE 12H n° 11328

Plate-forme PC Fujitsu Stylistic LT C-500







Dosimètre – Classe 2 01dB SIE 95 n° 30362

Microphone MCE 320 n° 12963





Dosimètre – Classe 2 01dB WED007 n° 10116






















Calibreur 01dB CAL21 n° 51030950

Calibreur 01dB CAL01S n° 40250

Calibreur B&K 4231 n° 2542094

Calibreur 01dB CAL21 n° 34282698 X

Calibreur 01dB CAL21 n° 35183017

Télémètre laser leica DISTO D2

Analyseur de Vibrations B&K 4447-A n° 610244

Capteur corps-complet (tri-axial) B&K 4515-B-002 n° 2596468

Capteur main-bras (tri-axial) B&K 4520-002 n° 54057

Accéléromètre mono-axial B&K 4508 B n° 30480

Contrôleur multi-fréquences 01dB CDS n° 10140

Puissance – Alimentation 01dB VES 95 n° 10374




Puissance – Alimentation B&K

Puissance – Alimentation B&K



Puissance – Alimentation 01dB VES 21 n° 10253 X


Ensemble Monitoring OPER@ 01dB EXP n°30101

Surveillance sites industriels et urbains RF n°120214

n°120195

n°120204

Afficheur de niveau sonore AMIX AFF 30 n° 35536

Microphone AMIX CAP 20 n° 35529







Source de bruit – Enceinte active RCF ART 312A n° KGXW23988

Générateur de bruit rose Sony NWZ B162F n° 1155606

Source de bruit omnidirectionnelle A Cappella Omnipulse 19

Amplificateur AX200 11010

Lecteur CD TEAC CD–P1120

CD (bruits roses, harmoniques…) GIAC

Machine à Chocs 01dB 211A n° 29660

Station de mesure de vent CAMPBELL Scientific CR200séries

NRG Systems Classic #40H

NRG Systems Classic #20H

CAMPBELL Scientific COM 110 Kit modem GSM

SOLAREX – SOP10/x Panneau solaire

Mât télescopique 10 mètres CLARK MASTS CSQT

Station de mesure de vent CAMPBELL Scientific CR200X

YOUNG WindMonitor 05103

WAVECOM Kit modem GSM

BP Solar Panneau solaire

BETATHERM Sondes T° t103

VAISALA Sondes Baro cs106

Mât télescopique 10 mètres CLARK MASTS CSQT

Traitement et Exploitation des données

dBConfig32 01dB v. 4.7

dBTrig32 01dB v. 4.7

dBTrait32 01dB v. 5.4 X

dBBati32 01dB v. 4.7

dBLexd v. 4.0.0.5

Evaluator type 7820 B&K v. 4.9

Vibration Explorer 4447 B&K v. 2.2

Logiciels & Cartographie

NoiseAtWork envvea v. 3 Type D

Mithra 01dB - CSTB v. 5.0.10

CadnaA 01 dB - Datakustik v.3.6

CATT Acoustics Euphonia v. 8.0

AutoCAD Autodesk v. 2006

Table à Digitaliser CalComp DBIII

Les appareils de mesure sont conformes à la Norme NF S 31-109 « Acoustique & Sonomètres intégrateurs ». Les calibreurs sont conformes à la norme NF S 31-039 « Calibreurs Acoustiques ».Les Vérifications primitives (ou Vérifications après réparation) sont effectuées par le Laboratoire Technique de la Société 01dB-Metravib (01dB-Metravib est habilité par le Ministère de l'Industrie à effectuer les vérifications primitives sur les instruments neufs, réparés ou modifiés – article 13 de l’Arrêté du 27 octobre 1989 relatif à la construction et au contrôle des Sonomètres).Les Vérifications périodiques sont effectuées par le Laboratoire Nationale d’Essais (LNE), tous les deux ans (article 16 de l’Arrêté du 27 octobre 1989 relatif à la construction et au contrôle des Sonomètres).



A7. Autovérification du matériel sonométrique


Rapport d’étude n° 15 22 1939-1A © JLBi Conseils – janvier 2015

Toute reproduction, même partielle, tout transfert à un tiers sous quelque forme que ce soit, sont strictement interdits sans autorisation écrite

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