Espace dévoré:

Landes 7ha au km.

Pays Basque: 9ha au km.

30 000 m3 à 40 000m » de remblais au km

Au Pays Basque, remblais et déblais s’équilibreront ce qui contredit la promesse de tunnels et viaducs.

La fin du mur de camions?

La fin du mur de camions?

Aujourd’hui environ 8000 camions par jour

La fin du mur de camions?

Aujourd’hui environ 8000 camions par jour

Après ce projet ferroviaire: 12 000 camions par jour

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Comment est-on passé de 10,4 millions de t par an en 2020 prévues par le rapport Becker à 21 millions de t aujourd’hui?

Comment est-on passé de 10,4 millions de t par an en 2020 prévues par le rapport Becker à 21 millions de t aujourd’hui?

Or, l’étude Géode à la base des estimations souligne que la SNCF annonce que le fer capte plus d’un million de t par an du marché automobile (11%) pièces détachées comprises. Cela constitue donc 50% du trafic!

Et il se trouve aujourd’hui menacé!

Note tirée de la synthèse de l’étude « Franchissement des Pyrénées – Mission Becker par la DRF Bordeaux.

La massification qui devrait constituer le principal argument du rail devient ici un handicap suicidaire.

Et si demain on nous refait le coup d’ADA, que restera-t-il?

Occupation réelle: 25 trains par jour et par sens.

Capacité maximale Bayonne-Hendaye sans autres travaux: 132 sillons par jour et par sens.

Possibilités réelles: 132 – 25 = 107 sillons par jour et par sens.

Comme la ligne comporte deux sens, on peut faire passer 2 x 107 sillons =214

Avec des trains à 1000t, il suffit de 35 trains par sens pour atteindre les utopiques 21 millions de t par an.

Avec des trains de 660t, il suffit de 52 trains par sens.

Et comme au Pays Basque, sans trafic national, seules 14,7millions de tonnes sont réellement prévues (p83 étude géode), 37 trains à 660t par sens suffiront.

L’étude géode du dossier prévoit en p84 des capacités de fret après modernisation des voies existantes du Pays Basque de 230 sillons. (scénario M1)

Il reste de la place pour d’autres trains voyageurs grandes lignes et TER.

Et nous ne sommes pas hostiles à envisager des doublements dans des zones qui s’y prêtent.

Pour nous donc:

Un seul scénario est acceptable:

L’utilisation des voies existantes.