ensembles-applications exercice 1 - e-monsite
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Ensembles-Applications
Exercice 1 :
Soient π΄ = {1,2,3} et π΅ = {0,1,2,3}. DΓ©crire les ensembles π΄ β© π΅, π΄ βͺ π΅ et π΄ Γ π΅.
Allez Γ : Correction exercice 1 :
Exercice 2 :
Soient π΄ = [1,3] et π΅ = [2,4]. DΓ©terminer π΄ β© π΅ et π΄ βͺ π΅.
Allez Γ : Correction exercice 2 :
Exercice 3 :
1. DΓ©terminer le complΓ©mentaire dans β des parties suivantes :
π΄1 =] β β, 0]; π΄2 =] β β, 0[; π΄3 =]0, +β[; π΄4 = [0, +β[; π΄5 =]1,2[; π΄6 = [1,2[.
2. Soient π΄ =] β β, 1[βͺ]2, +β[, π΅ =] β β, 1[ et πΆ = [2, +β[. Comparer les ensembles suivants :
πΆβπ΄ ππ‘ πΆβπ΅ β© πΆβπΆ
Allez Γ : Correction exercice 3 :
Exercice 4 :
Soient π΄ =] β β, 3], π΅ =] β 2,7] et πΆ =] β 5, +β[ trois parties de β.
DΓ©terminer π΄ β© π΅, π΄ βͺ π΅, π΅ β© πΆ, π΅ βͺ πΆ, β β π΄, π΄ β π΅, (β β π΄) β© (β β π΅), (β β (π΄ βͺ π΅), (π΄ β© π΅) βͺ
(π΄ β© πΆ) et π΄ β© (π΅ βͺ πΆ).
Allez Γ : Correction exercice 4 :
Exercice 5 :
Soient π΄, π΅ et πΆ trois parties dβun ensemble πΈ. Montrer que :
1. π΄ βͺ (π΅ β© πΆ) = (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ)
2. π΄ β© (π΅ βͺ πΆ) = (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ)
Allez Γ : Correction exercice 5 :
Exercice 6 :
Soient πΈ un ensemble et π΄ et π΅ deux parties de πΈ. On suppose que :
π΄ β© π΅ β β ; π΄ βͺ π΅ β πΈ; π΄ β π΅; π΅ β π΄
On pose
π΄1 = π΄ β© π΅; π΄2 = π΄ β© πΆπΈπ΅; π΄3 = π΅ β© πΆπΈπ΄; π΄4 = πΆπΈ(π΄ βͺ π΅)
1. Montrer que π΄1, π΄2, π΄3 et π΄4 sont non vides.
2. Montrer que π΄1, π΄2, π΄3 et π΄4 sont deux Γ deux disjoints.
3. Montrer que π΄1 βͺ π΄2 βͺ π΄3 βͺ π΄4 = πΈ.
Allez Γ : Correction exercice 6 :
Exercice 7 :
1. DΓ©terminer le complΓ©mentaire dans β des parties suivantes :
π΄1 =] β β, 0]; π΄2 =] β β, 0[; π΄3 =]0, +β[; π΄4 = [0, +β[; π΄5 =]1,2[; π΄6 = [1,2[.
2. Soient π΄ =] β β, 1[βͺ]2, +β[, π΅ =] β β, 1[ et πΆ = [2, +β[. Comparer les ensembles suivants :
πΆβπ΄ et πΆβπ΅ β© πΆβπΆ
Allez Γ : Correction exercice 7 :
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Exercice 8 :
Justifier les Γ©noncΓ©s suivants.
a) Soient πΈ un ensemble, π΄ et π΅ deux sous-ensembles de πΈ. Si π΄ est inclus dans π΅, alors le
complΓ©mentaire de π΅ dans πΈ est inclus dans le complΓ©mentaire de π΄ dans πΈ.
b) Soient πΈ un ensemble, π΄ et π΅ deux sous-ensembles de πΈ. Si π΄ et π΅ sont disjoints, alors tout Γ©lΓ©ment
de πΈ est soit dans πΆπΈπ΄ soit dans πΆπΈ
π΅.
c) Soient πΈ un ensemble, π΄ un sous-ensemble de πΈ. DΓ©terminer les ensembles suivants :
πΆπΈ(πΆπΈπ΄) ; π΄ β© πΆπΈπ΄ ; π΄ βͺ πΆπΈπ΄ ; πΆπΈβ ; πΆπΈπΈ
Allez Γ : Correction exercice 8 :
Exercice 9 :
1. Montrer que (π΄ β π΅) β πΆ = π΄ β (π΅ βͺ πΆ)
2. Montrer que (π΄ β π΅) β© (πΆ β π·) = (π΄ β© πΆ) β (π΅ βͺ π·)
Allez Γ : Correction exercice 9 :
Exercice 10 :
On rappelle que lβon note
π΄Ξπ΅ = (π΄ β π΅) βͺ (π΅ β π΄)
1. Montrer que
(π΄ β© π΅) β© (π΄ β© πΆ) = π΄ β© π΅ β© πΆ
(π΄ β© πΆ) β© (π΄ β© π΅) = π΄ β© πΆ β© π΅
2. En dΓ©duire que
(π΄ β© π΅)Ξ(π΄ β© πΆ) = π΄ β© (π΅ΞπΆ)
Allez Γ : Correction exercice 10 :
Exercice 11 :
On rappelle que pour toutes parties π et π dβun ensemble πΈ, on note
πΞπ = (π β π) βͺ (π β π)
1. Montrer que pour toutes parties π΄, π΅ et πΆ dβun ensemble πΈ.
(π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ) = π΄ β© π΅ β© πΆ
(π΄ βͺ πΆ) β© (π΄ βͺ π΅) = π΄ β© πΆ β© π΅
2. En dΓ©duire que
(π΄ βͺ π΅)Ξ(π΄ βͺ πΆ) = π΄ β© (π΅ΞπΆ)
Allez Γ : Correction exercice 11 :
Exercice 12 :
Soient π΄, π΅ et πΆ trois parties dβun ensemble πΈ.
1. Que pensez-vous de lβimplication
π΄ βͺ π΅ β πΆ β (π΄ β πΆ ou π΅ β πΆ) ?
Justifiez (on pourra utiliser la contraposΓ©e).
2. On suppose que lβon a les inclusions suivantes : π΄ βͺ π΅ β π΄ βͺ πΆ et π΄ β© π΅ β π΄ β© πΆ. Montrer que
π΅ β πΆ.
3.
Allez Γ : Correction exercice 12 :
Exercice 13 :
Soient π΄ et π΅ deux parties dβun ensemble πΈ . DΓ©montrer les Γ©galitΓ©s suivantes :
1. πΆπΈ(π΄ β© π΅) = πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅
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2. πΆπΈ(π΄ βͺ π΅) = πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅
Si π΄ β π΅, montrer πΆπΈπ΅ β πΆπΈπ΄
Allez Γ : Correction exercice 13 :
Exercice 14 :
Soit πΈ un ensemble et πΉ et πΊ deux parties de πΈ. DΓ©montrer que :
1. πΉ β πΊ β πΉ βͺ πΊ = πΊ
2. πΉ β πΊ β πΉ β© πΆπΈπΊ = β
Allez Γ : Correction exercice 14 :
Exercice 15 :
Soit πΈ un ensemble et soit π«(πΈ) lβensemble des parties de πΈ. Pour π΄ et π΅ dans π«(πΈ), on appelle
diffΓ©rence symΓ©trique de π΄ par π΅ lβensemble, notΓ© π΄Ξπ΅ dΓ©fini par :
π΄Ξπ΅ = (π΄ βͺ π΅) β (π΄ β© π΅)
1. Montrer que π΄Ξπ΅ = (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) = (π΄ β π΅) βͺ (π΅ β π΄).
2. Calculer π΄Ξπ΄, π΄Ξβ et π΄ΞπΈ.
3. Montrer que pour tous π΄, π΅ et πΆ dans π«(πΈ), on a :
a) Montrer que : (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) = (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄)
b) Montrer que : (π΄Ξπ΅)ΞπΆ = (π΄ β© π΅ β© πΆ) βͺ (π΅ β© π΄ β© πΆ) βͺ (πΆ β© π΄ β© π΅) βͺ (πΆ β© π΅ β© π΄)
c) Montrer que π΄Ξ(π΅ΞπΆ) = (πΆπ₯π΅)π₯π΄
d) A lβaide du b), montrer que (π΄π₯π΅)π₯πΆ = (πΆπ₯π΅)π₯π΄,
e) En dΓ©duire que : (π΄Ξπ΅)ΞπΆ = π΄Ξ(π΅ΞπΆ)
Allez Γ : Correction exercice 15 :
Exercice 16 :
Soit π: πΌ β π½ dΓ©finie par π(π₯) = π₯2
1. Donner des ensembles πΌ et π½ tels que π soit injective mais pas surjective.
2. Donner des ensembles πΌ et π½ tels que π soit surjective mais pas injective.
3. Donner des ensembles πΌ et π½ tels que π soit ni injective ni surjective.
4. Donner des ensembles πΌ et π½ tels que π soit injective et surjective.
Allez Γ : Correction exercice 16 :
Exercice 17 :
Dire (en justifiant) pour chacune des applications suivantes si elles sont injectives, surjectives,
bijectives :
π: β β β
π₯ β¦ π₯2
π: β+ β β+
π₯ β¦ π₯2
π: [0,1] β [0,2]
π₯ β¦ π₯2
π: β β β
π₯ β¦ π₯ + π₯3 β: β β β
π₯ β¦ π₯2 + π₯3 π: β β β
π₯ β¦ π₯ + π₯4
Allez Γ : Correction exercice 17 :
Exercice 18 :
Soit πΌ β β et π½ β β, deux intervalles de β. Soit π: πΌ β π½ une fonction strictement croissante.
1. Montrer que π est injective.
On pourra montrer la contraposΓ©e (et on rappelle que π₯1 β π₯2 Γ©quivaut Γ π₯1 < π₯2 ou π₯2 < π₯1)
2. DΓ©terminer lβensemble πΎ tel que π: πΌ β πΎ soit bijective.
Allez Γ : Correction exercice 18 :
Exercice 19 :
Soit π: β2 β β dΓ©finie pour tout (π, π) β β2 par π(π, π) = ππ
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Soit π: β β β2 dΓ©finie pour tout π β β par π(π) = (π, (π + 1)2)
1. π est-elle injective ?
2. π est-elle surjective ?
3. π est-elle injective ?
4. π est-elle surjective ?
Allez Γ : Correction exercice 19 :
Exercice 20 :
Soient
π: β β βπ β¦ 2π
π: β β β
π β¦ πΈ (π
2)
OΓΉ πΈ(π₯) dΓ©signe la partie entiΓ¨re de π₯
Les fonctions sont-elles injectives, surjective ? Comparer π β π et π β π.
Allez Γ : Correction exercice 20 :
Exercice 21 :
Soit π une application de πΈ vers πΈ telle que :
π(π(πΈ)) = πΈ
Montrer que π est surjective.
Allez Γ : Correction exercice 21 :
Exercice 22 :
On considΓ¨re lβapplication π: β β β dΓ©finie pour tout π β β par π(π) = π2
1. Existe-t-il π: β β β telle que :π β π = πΌπβ ?
2. Existe-t-il β: β β β telle que :β β π = πΌπβ ?
Allez Γ : Correction exercice 22 :
Exercice 23 :
Soit π: β€ β β€ dΓ©finie par π(π) = 2π
1. Existe-t-il une fonction π: β€ β β€ telle que π β π = πΌπβ€ ?
2. Existe-t-il une fonction β: β€ β β€ telle que β β π = πΌπβ€ ?
Allez Γ : Correction exercice 23 :
Exercice 24 :
Soit π: πΈ β πΉ une application, oΓΉ πΆπππ(πΈ) = πΆπππ(πΉ)
Montrer que les trois propriΓ©tΓ©s suivantes sont Γ©quivalentes
(i) π est injective
(ii) π est surjective
(iii) π est bijective
Allez Γ : Correction exercice 24 :
Exercice 25 :
RΓ©pondre aux questions qui suivent, en justifiant, le cas Γ©chΓ©ant, votre rΓ©ponse par un bref argument, un
calcul ou un contre-exemple.
1. Si les applications π’: β β β€ et π£: β€ β β sont bijectives, alors lβapplication π’ β π£ β π’: β β β€ est
aussi bijective. Vrai ou Faux, justifier.
2. Lβapplication π: β3 β β: (π, π, π) β¦ 2π3π5π est une application
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(i) bijective (ii) injective et pas surjective (iii) surjective et pas injective (iv) ni surjective ni
injective
Justifier.
3. Soit π β β β {0,1}. Lβapplication π: β€ β β qui Γ lβentier π β β€ associe le reste de la division
euclidienne de π par π est une application.
4. bijective (ii) injective et pas surjective (iii) surjective et pas injective (iv) ni surjective ni
injective
Justifier.
5. Soient π, π, π, π β β€ tels que ππ β ππ = 1. DΓ©terminer lβapplication rΓ©ciproque de la bijection
π: β€2 β β€2
(π’, π£) β¦ (ππ’ + ππ£ + 1, ππ’ + ππ£ β 1)
Allez Γ : Correction exercice 25 :
Exercice 26 :
1. Soient π1 β β β {0,1} et π2 β β β {0,1}
Montrer que :
β1
2<
1
π1β
1
π2<
1
2
2. Soit π: β€ Γ β β {0,1} β β lβapplication dΓ©finie par :
π(π, π) = π +1
π
a. Montrer que π est injective ?
b. π est-elle surjective ?
Allez Γ : Correction exercice 26 :
Exercice 27 :
Soit π«(πΈ) lβensemble des parties de πΈ. Montrer quβil nβexiste pas dβapplication surjective π: πΈ β π«(πΈ).
ConsidΓ©rer la partie π΄ = {π₯ β πΈ, π₯ β π(π₯)}.
Allez Γ : Correction exercice 27 :
Exercice 28 :
Pour un entier π β β on dΓ©signe par πΌπ lβensemble {1,2, β¦ , π}.
1. On suppose π β₯ 2. Combien y-a-t-il dβapplication injectives π: πΌ2 β πΌπ ?
2. A quelle condition portant sur les entiers π et π peut-on dΓ©finir une application π: πΌπ β πΌπ qui soit
injective, surjective, bijective ?
Allez Γ : Correction exercice 28 :
Exercice 29 :
Soient πΈ, πΉ et πΊ trois ensemble et soient π: πΈ β πΉ et π: πΉ β πΊ deux applications.
1. Montrer que si π et π sont injectives alors π β π est injective.
2. Montrer que si π et π sont surjectives alors π β π est surjective.
3. Que peut-on conclure sur π β π si π et π sont bijectives ?
4. Montrer que si π β π est injective alors π est injective.
5. Montrer que si π β π est surjective alors π est surjective.
6. Si Γ prΓ©sent π: πΈ β πΉ et π: πΉ β πΈ, dΓ©duire de ce qui prΓ©cΓ¨de ce que lβon peut dire dans les cas
suivants :
a. π β π = πΌππΈ
b. π β π = πΌππΉ
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c. π β π = πΌππΈ
Allez Γ : Correction exercice 29 :
Exercice 30 :
Soient π et π deux ensembles non vides et π une application de π dans π. Une application π , de π dans
π, telle que π β π = πΌππ sβappelle une section de π.
1. Montrer que si π admet au moins une section alors π est surjective.
2. Montrer que toute section de π est injective.
Une application π, de π dans π, telle que π β π = πΌππ sβappelle une rΓ©traction de π.
3. Montrer que si π possΓ¨de une rΓ©traction alors π est injective.
4. Montrer que si π est injective alors π possΓ¨de une rΓ©traction.
5. Montrer que toute rΓ©traction de π est surjective.
6. En dΓ©duire que si π possΓ¨de Γ la fois une section π et une rΓ©traction π, alors π est bijective et lβon a :
π = π (= πβ1 par consΓ©quent).
Allez Γ : Correction exercice 30 :
Exercice 31 :
Soient πΈ et πΉ deux ensembles et soit π une application de πΈ dans πΉ. Soient π΄ et π΅ deux parties de πΈ,
montrer que :
1. π(π΄ βͺ π΅) = π(π΄) βͺ π(π΅)
2. π(π΄ β© π΅) β π(π΄) β© π(π΅)
Donner un exemple oΓΉ cette derniΓ¨re inclusion est stricte. Montrer alors que π est injective si et
seulement si pour toute partie π΄ de πΈ et pour toute partie π΅ de πΈ, on a π(π΄ β© π΅) = π(π΄) β© π(π΅).
Allez Γ : Correction exercice 31 :
Exercice 32 :
1. Soit π lβapplication de lβensemble {1,2,3,4} dans lui-mΓͺme dΓ©finie par :
π(1) = 4, π(2) = 1 , π(3) = 2, π(4) = 2.
DΓ©terminer πβ1(π΄) lorsque π΄ = {2}, π΄ = {1,2}, π΄ = {3}.
2. Soit π lβapplication de β dans β dΓ©finie par π(π₯) = π₯2. DΓ©terminer πβ1(π΄) lorsque π΄ = {1},
π΄ = [1,2].
Allez Γ : Correction exercice 32 :
Exercice 33 :
1. Soit π: β2 β β dΓ©finie par π(π₯, π¦) = π₯. DΓ©terminer π([0,1] Γ [0,1]), πβ1([β1,1]).
2. Soit π: β β [β1,1] dΓ©finie par π(π₯) = cos(ππ₯), dΓ©terminer π(β), π(2β), πβ1({Β±1}).
Allez Γ : Correction exercice 33 :
Exercice 34 :
Soient πΈ et πΉ deux ensembles et soit π une application de πΈ dans πΉ. Soient π΄β² et π΅β² deux parties
quelconques de πΉ, non vides. Montrer que :
1. πβ1(π΄β² βͺ π΅β²) = πβ1(π΄β²) βͺ πβ1(π΅β²)
2. πβ1(π΄β² β© π΅β²) = πβ1(π΄β²) β© πβ1(π΅β²)
Allez Γ : Correction exercice 34 :
Exercice 35 :
Soient πΈ et πΉ deux ensembles et soit π une application de πΈ dans πΉ .
1. Montrer que pour toute partie π΄ de πΈ, on a π΄ β πβ1(π(π΄)).
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2. Montrer que pour toute partie π΅ de πΉ, on a π(πβ1(π΅)) β π΅.
3. Montrer que π est injective si et seulement si pour toute partie π΄ de πΈ on a π΄ = πβ1(π(π΄)).
4. Montrer que π est surjective si et seulement si pour toute partie π΅ de πΉ on a π(πβ1(π΅)) = π΅.
Allez Γ : Correction exercice 35 :
Exercice 36 :
Soit π· = {(π₯, π¦) β β2, βπ¦ β€ π₯ β€ π¦}
Soit π: π· β β Γ β dΓ©finie par π(π₯, π¦) = (π₯2 + π¦2, 2π₯π¦)
1. ReprΓ©senter π· dans le plan.
2. a. Montrer que si deux couples de rΓ©els (π₯1, π¦1) et (π₯2, π¦2) vΓ©rifient
{π₯1 + π¦1 = π₯2 + π¦2
π₯1 β π¦1 = π₯2 β π¦2
Alors (π₯1, π¦1) = (π₯2, π¦2) (autrement dit π₯1 = π₯2 et π¦1 = π¦2).
b. Montrer que π est injective, on pourra se ramener au systΓ¨me du 2.a..
3. Est-ce que π est surjective ?
Allez Γ : Correction exercice 36 :
CORRECTIONS
Correction exercice 1 :
π΄ β© π΅ = {1,2,3} ; π΄ βͺ π΅ = {0,1,2,3}
Remarque :
Comme π΄ β π΅ on a π΄ β© π΅ = π΄ et π΄ βͺ π΅ = π΅
π΄ Γ π΅ = {(1,0), (1,1), (1,2), (1,3), (2,0), (2,1), (2,2), (2,3), (3,0), (3,1), (3,2), (3,3)
Remarque :
Card(π΄ Γ π΅) = Card(π΄) Γ Card(π΅) = 3 Γ 4 = 12
Allez Γ : Exercice 1 :
Correction exercice 2 :
π΄ β© π΅ = [2,3] ; π΄ βͺ π΅ = [1,4]
Allez Γ : Exercice 2 :
Correction exercice 3 :
1.
πΆβπ΄1 =]0, +β[ ; πΆβπ΄2 = [0, +β[ ; πΆβπ΄3 =] β β, 0] ; πΆβπ΄4 =] β β, 0[;
πΆβπ΄5 =] β β, 1] βͺ [2, +β[; πΆβπ΄6 =] β β, 1[βͺ [2, +β[
2.
πΆβπ΄ = [1,2]; πΆβπ΅ β© πΆβπΆ = [1, +β[β©]2, +β[= [1,2]
Remarque :
πΆβπ΅ β© πΆβπΆ = πΆβ(π΅ βͺ πΆ) = πΆβπ΄
Allez Γ : Exercice 3 :
Correction exercice 4 :
π΄ β© π΅ =] β 2,3]
π΄ βͺ π΅ =] β β, 7]
π΅ β© πΆ =] β 2,7]
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π΅ βͺ πΆ =] β 5, +β[
β β π΄ =]3, +β[
π΄ β π΅ =] β β, β2]
(β β π΄) β© (β β π΅) =]3, +β[β© (] β β, β2] βͺ]7, +β[) = (]3, +β[β©] β β, β2]) βͺ (]3, +β[β©]7, +β[)
= β βͺ]7, +β[=]7, +β[
Ou mieux
(β β π΄) β© (β β π΅) = β β (π΄ βͺ π΅) =]7, +β[
(β β (π΄ βͺ π΅) =]7, +β[
(π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ) =] β 2,3] βͺ] β 5,3] =] β 5,3]
Ou
(π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ) = π΄ β© (π΅ βͺ πΆ) =] β β, 3] β©] β 5, +β[=] β 5,3]
π΄ β© (π΅ βͺ πΆ) =] β β, 3] β©] β 5, +β[=] β 5,3]
Allez Γ : Exercice 4 :
Correction exercice 5 :
Il sβagit de rΓ©sultats du cours que lβon peut utiliser sans dΓ©monstration mais cet exercice demande de les
redΓ©montrer.
1. Si π₯ β π΄ βͺ (π΅ β© πΆ)
Alors (π₯ β π΄ ou π₯ β (π΅ β© πΆ))
Alors (π₯ β π΄ ou (π₯ β π΅ et π₯ β πΆ))
Si π₯ β π΄ alors π₯ β π΄ βͺ π΅ et π₯ β π΄ βͺ πΆ, par consΓ©quent π₯ β (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ).
Si (π₯ β π΅ et π₯ β πΆ) alors (π₯ β π΄ βͺ π΅ et π₯ β π΄ βͺ πΆ)
Donc si (π₯ β π΄ ou (π₯ β π΅ et π₯ β πΆ)) alors (π₯ β π΄ βͺ π΅ et π₯ β π΄ βͺ πΆ)
On a montrΓ© que π΄ βͺ (π΅ β© πΆ) β (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ)
Si π₯ β (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ) alors (π₯ β π΄ βͺ π΅ et π₯ β π΄ βͺ πΆ).
(π₯ β π΄ βͺ π΅ et π₯ β π΄ βͺ πΆ) β ((π₯ β π΄ ou π₯ β π΅) et (π₯ β π΄ ou π₯ β πΆ))
Si (π₯ β π΄ et (π₯ β π΄ ou π₯ β πΆ)) alors π₯ β π΄ β© π΄ ou π₯ β π΄ β© πΆ
Si (π₯ β π΅ et (π₯ β π΄ ou π₯ β πΆ)) alors π₯ β π΅ β© π΄ ou π₯ β π΅ β© πΆ
Alors π₯ β π΄ ou π₯ β π΄ β© πΆ ou π₯ β π΅ β© π΄ ou π₯ β π΅ β© πΆ
Alors π₯ β π΄ ou π₯ β π΄ β© πΆ β π΄ ou π₯ β π΅ β© π΄ β π΄ ou π₯ β π΅ β© πΆ
Alors π₯ β π΄ ou π₯ β π΅ β© πΆ
Alors π₯ β π΄ βͺ (π΅ β© πΆ)
On a montrΓ© que (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ) β π΄ βͺ (π΅ β© πΆ)
Finalement π΄ βͺ (π΅ β© πΆ) = (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ)
2. Si π₯ β π΄ β© (π΅ βͺ πΆ)
Alors (π₯ β π΄ et π₯ β π΅ βͺ πΆ)
Alors (π₯ β π΄ et (π₯ β π΅ ou π₯ β πΆ))
Alors (π₯ β π΄ et π₯ β π΅) ou (π₯ β π΄ et π₯ β πΆ)
Alors π₯ β π΄ β© π΅ ou π₯ β π΄ β© πΆ
Alors π₯ β (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ)
On a montrΓ© que π΄ β© (π΅ βͺ πΆ) β (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ)
Si π₯ β (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ)
Alors π₯ β π΄ β© π΅ ou π₯ β π΄ β© πΆ
Alors (π₯ β π΄ et π₯ β π΅) ou (π₯ β π΄ et π₯ β πΆ)
Alors (π₯ β π΄ ou π₯ β π΄) et (π₯ β π΄ ou π₯ β πΆ) et (π₯ β π΅ ou π₯ β π΄) et (π₯ β π΅ ou π₯ β πΆ)
Alors π₯ β π΄ et π₯ β π΄ βͺ πΆ et π₯ β π΅ βͺ π΄ et π₯ β π΅ βͺ πΆ
Comme π₯ β π΄ et π₯ β π΄ βͺ πΆ et π₯ β π΅ βͺ π΄ entraine que π₯ β π΄
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π₯ β (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ) β π₯ β π΄ et π₯ β π΅ βͺ πΆ β π₯ β π΄ β© (π΅ βͺ πΆ)
On a montrΓ© que (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ) β π΄ β© (π΅ βͺ πΆ)
Et finalement π΄ β© (π΅ βͺ πΆ) = (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆ)
Allez Γ : Exercice 5 :
Correction exercice 6 :
1.
π΄1 = π΄ β© π΅ β β
DβaprΓ¨s lβΓ©noncΓ©
π΄2 = π΄ β© πΆπΈπ΅ = π΄ β π΅ β β
Car π΄ β π΅.
π΄3 = π΅ β© πΆπΈπ΄ = π΅ β π΄ β β
Car π΅ β π΄
π΄4 = πΆπΈ(π΄ βͺ π΅) = πΈ β (π΄ βͺ π΅) β β
Car π΄ βͺ π΅ β πΈ, en fait π΄ βͺ π΅ β πΈ car π΄ β πΈ et π΅ β πΈ.
2.
π΄1 β© π΄2 = (π΄ β© π΅) β© (π΄ β© πΆπΈπ΅) = π΄ β© π΅ β© π΄ β© πΆπΈπ΅ = (π΄ β© π΄) β© (π΅ β© πΆπΈπ΅) = π΄ β© β = β
π΄1 β© π΄3 = (π΄ β© π΅) β© (π΅ β© πΆπΈπ΄) = π΄ β© π΅ β© π΅ β© πΆπΈπ΄ = (π΅ β© π΅) β© (π΄ β© πΆπΈπ΄) = π΅ β© β = β
π΄1 β© π΄4 = (π΄ β© π΅) β© (πΆπΈ(π΄ βͺ π΅)) = (π΄ β© π΅) β© (πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅) = π΄ β© π΅ β© πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅
= (π΄ β© πΆπΈπ΄) β© (π΅ β© πΆπΈπ΅) = β β© β = β
π΄2 β© π΄3 = (π΄ β© πΆπΈπ΅) β© (π΅ β© πΆπΈπ΄) = π΄ β© πΆπΈπ΅ β© π΅ β© πΆπΈπ΄ = (π΄ β© πΆπΈπ΄) β© (π΅ β© πΆπΈπ΅) = β β© β = β
π΄2 β© π΄4 = (π΄ β© πΆπΈπ΅) β© πΆπΈ(π΄ βͺ π΅) = (π΄ β© πΆπΈπ΅) β© (πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅) = π΄ β© πΆπΈπ΅ β© πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅
= (π΄ β© πΆπΈπ΄) β© (πΆπΈπ΅ β© πΆπΈπ΅) = β β© πΆπΈπ΅ = β
π΄3 β© π΄4 = (π΅ β© πΆπΈπ΄) β© πΆπΈ(π΄ βͺ π΅) = (π΅ β© πΆπΈπ΄) β© (πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅) = π΅ β© πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅
= (π΅ β© πΆπΈπ΅) β© (πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΄) = β β© πΆπΈπ΄ = β
3. π΄1, π΄2, π΄3 et π΄4 sont deux Γ deux disjoints.
π΄1 βͺ π΄2 βͺ π΄3 β© π΄4 = (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆπΈπ΅) βͺ (π΅ β© πΆπΈπ΄) βͺ πΆπΈ(π΄ βͺ π΅)
= (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆπΈπ΅) βͺ (π΅ β© πΆπΈπ΄) βͺ (πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅)
= [(π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© πΆπΈπ΅)] βͺ [(π΅ β© πΆπΈπ΄) βͺ (πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅)]
= [(π΄ βͺ π΄) β© (π΄ βͺ πΆπΈπ΅) β© (π΅ βͺ π΄) β© (π΅ βͺ πΆπΈπ΅)]
βͺ [(π΅ βͺ πΆπΈπ΄) β© (π΅ βͺ πΆπΈπ΅) β© (πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΄) β© (πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅)]
= [π΄ β© (π΄ βͺ πΆπΈπ΅) β© (π΄ βͺ π΅) β© πΈ] βͺ [(π΅ βͺ πΆπΈπ΄) β© πΈ β© πΆπΈπ΄ β© (πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅)]
= [π΄ β© {(π΄ βͺ πΆπΈπ΅) β© (π΄ βͺ π΅)}] βͺ [πΆπΈπ΄ β© {(π΅ βͺ πΆπΈπ΄) β© (πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅)}]
= [π΄ β© {π΄ βͺ (πΆπΈπ΅ β© π΅)}] βͺ [πΆπΈπ΄ β© {πΆπΈπ΄ βͺ (π΅ β© πΆπΈπ΅}]
= [π΄ β© {π΄ βͺ β }] βͺ [πΆπΈπ΄ β© {πΆπΈπ΄ βͺ β }] = [π΄ β© π΄] βͺ [πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΄] = π΄ βͺ πΆπΈπ΄ = πΈ
Remarque :
(π΄1, π΄2, π΄3, π΄4) est une partition de πΈ.
Sur un schΓ©ma cβest une Γ©vidence (πΈ est le carrΓ© sur le schΓ©ma).
π΄2 π΄1 π΄3
π΄4
π΄ π΅
πΈ
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10
Allez Γ : Exercice 6 :
Correction exercice 7 :
1.
πΆβπ΄1 =]0, +β[ ; πΆβπ΄2 = [0, +β[ ; πΆβπ΄3 =] β β, 0] ; πΆβπ΄4 =] β β, 0[;
πΆβπ΄5 =] β β, 1] βͺ [2, +β[; πΆβπ΄6 =] β β, 1[βͺ [2, +β[
2.
πΆβπ΄ = [1,2]; πΆβπ΅ β© πΆβπΆ = [1, +β[β©]2, +β[= [1,2]
Remarque :
πΆβπ΅ β© πΆβπΆ = πΆβ(π΅ βͺ πΆ) = πΆβπ΄
Allez Γ : Exercice 7 :
Correction exercice 8 :
a) Soit π₯ β π΅ = βπΈπ΅, π₯ β π΅, comme π΄ β π΅, π₯ β π΄, autrement dit π₯ β π΄ = βπΈ
π΄ ce qui montre que si
π₯ β π΅ alors π₯ β π΄.
b) Si π₯ β π΄ alors π₯ β π΅ (car π΄ β© π΅ = β ) donc π₯ β π΅ = βπΈπ΅.
Si π₯ β π΄ alors π₯ β π΄ = βπΈπ΄
c) πΆπΈ(πΆπΈπ΄) = π΄, π΄ β© πΆπΈπ΄ = β , π΄ βͺ πΆπΈπ΄ = πΈ, πΆπΈβ = πΈ et πΆπΈπΈ = β
Allez Γ : Exercice 8 :
Correction exercice 9 :
1. (π΄ β π΅) β πΆ = (π΄ β© π΅) β πΆ = (π΄ β© π΅) β© πΆ = π΄ β© (π΅ β© πΆ) = π΄ β© (π΅ βͺ πΆ) = π΄ β (π΅ βͺ πΆ)
2. (π΄ β π΅) β© (πΆ β π·) = (π΄ β© π΅) β© (πΆ β© π·) = (π΄ β© πΆ) β© (π΅ β© π·) = (π΄ β© πΆ) β© (π΅ βͺ π·) = (π΄ β© πΆ) β
(π΅ βͺ π·)
Allez Γ : Exercice 9 :
Correction exercice 10 :
1.
(π΄ β© π΅) β© (π΄ β© πΆ) = (π΄ β© π΅) β© (π΄ βͺ πΆ) = (π΄ β© π΅ β© π΄) βͺ (π΄ β© π΅ β© πΆ) = β βͺ (π΄ β© π΅ β© πΆ)
= π΄ β© π΅ β© πΆ
Pour la seconde il suffit dβintervertir π΅ et πΆ.
2.
(π΄ β© π΅)Ξ(π΄ β© πΆ) = ((π΄ β© π΅) β (π΄ β© πΆ)) βͺ ((π΄ β© πΆ) β (π΄ β© π΅))
= ((π΄ β© π΅) β© (π΄ β© πΆ)) βͺ ((π΄ β© πΆ) β© (π΄ β© π΅)) = (π΄ β© π΅ β© πΆ) βͺ (π΄ β© πΆ β© π΅)
= π΄ β© ((π΅ β© πΆ) βͺ (πΆ β© π΅)) = π΄ β© ((π΅ β πΆ) βͺ (πΆ β π΅)) = π΄ β© (π΅ΞπΆ)
Allez Γ : Exercice 10 :
Correction exercice 11 :
1.
(π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ πΆ) = (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ β© πΆ) = (π΄ β© (π΄ β© πΆ)) βͺ (π΅ β© (π΄ β© πΆ))
= (π΄ β© π΄ β© πΆ) βͺ (π΅ β© π΄ β© πΆ) = β βͺ (π΅ β© π΄ β© πΆ) = π΅ β© π΄ β© πΆ = π΄ β© π΅ β© πΆ
Pour la seconde Γ©galitΓ© il suffit dβintervertir les rΓ΄les de π΅ et πΆ.
2.
(π΄ βͺ π΅)Ξ(π΄ βͺ πΆ) = (π΄ βͺ π΅) β (π΄ βͺ πΆ) βͺ (π΄ βͺ πΆ) β (π΄ βͺ π΅) = (π΄ β© π΅ β© πΆ) βͺ (π΄ β© πΆ β© π΅)
= π΄ β© ((π΅ β© πΆ) βͺ (πΆ β© π΅)) = π΄ β© (π΅ β πΆ βͺ πΆ β π΅) = π΄ β© (π΅ΞπΆ)
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11
Allez Γ : Exercice 11 :
Correction exercice 12 :
1. La contraposΓ©e de cette implication est :
(π΄ β πΆ et π΅ β πΆ) β π΄ βͺ π΅ β πΆ
Cette implication est vraie.
2. Prenons π₯ β π΅.
Alors π₯ β π΄ βͺ π΅, alors π₯ β π΄ βͺ πΆ dβaprΓ¨s lβhypothΓ¨se.
Si π₯ β πΆ cβest fini. Si π₯ β π΄ β πΆ alors π₯ β π΄ β© π΅ (puisque lβon a pris π₯ β π΅), dβaprΓ¨s lβhypothΓ¨se
π₯ β π΄ β© πΆ ce qui entraine que π₯ β πΆ.
On a bien montrΓ© que π΅ β πΆ.
Allez Γ : Exercice 12 :
Correction exercice 13 :
Il sβagit de rΓ©sultats du cours, on peut les utiliser sans dΓ©monstration mais cβest lβobjet de cet exercice.
1. Soit π₯ β πΆπΈ(π΄ β© π΅), π₯ β π΄ β© π΅ et donc π₯ β π΄ ou π₯ β π΅, ce qui signifie que π₯ β πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅
Cela montre que πΆπΈ(π΄ β© π΅) β πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅.
Soit π₯ β πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅, π₯ β π΄ ou π₯ β π΅ donc π₯ β π΄ β© π΅ ce qui entraine que π₯ β πΆπΈ(π΄ β© π΅).
Cela montre que πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅ β πΆπΈ(π΄ β© π΅).
Et finalement
πΆπΈ(π΄ β© π΅) = πΆπΈπ΄ βͺ πΆπΈπ΅
Remarque :
On aurait raisonner par Γ©quivalence.
2. Soit π₯ β πΆπΈ(π΄ βͺ π΅), π₯ β π΄ βͺ π΅ et donc π₯ β π΄ et π₯ β π΅, ce qui signifie que π₯ β πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅
Cela montre que πΆπΈ(π΄ βͺ π΅) β πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅.
Soit π₯ β πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅, π₯ β π΄ et π₯ β π΅ donc π₯ β π΄ βͺ π΅ ce qui entraine que π₯ β πΆπΈ(π΄ βͺ π΅).
Cela montre que πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅ β πΆπΈ(π΄ βͺ π΅).
Et finalement
πΆπΈ(π΄ βͺ π΅) = πΆπΈπ΄ β© πΆπΈπ΅
Remarque :
On aurait pu raisonner par Γ©quivalence.
Allez Γ : Exercice 13 :
Correction exercice 14 :
Il sβagit de rΓ©sultats du cours, on peut les utiliser sans dΓ©monstration mais cβest lβobjet de cet exercice.
1. Supposons que πΉ β πΊ.
Si π₯ β πΉ βͺ πΊ alors π₯ β πΉ β πΊ ou π₯ β πΊ alors π₯ β πΊ. Donc πΉ βͺ πΊ β πΊ.
Si π₯ β πΊ alors π₯ β πΉ βͺ πΊ, par consΓ©quent πΉ βͺ πΊ = πΊ.
On a montrΓ© que πΉ β πΊ β πΉ βͺ πΊ = πΊ
Supposons que πΉ βͺ πΊ = πΊ.
Soit π₯ β πΉ, π₯ β πΉ βͺ πΊ = πΊ donc π₯ β πΊ.
On a montrΓ© que πΉ βͺ πΊ = πΊ β πΉ β πΊ.
Finalement πΉ β πΊ β πΉ βͺ πΊ = πΊ.
2. Supposons que πΉ β πΊ.
Si π₯ β πΉ β© πΆπΈπΊ, π₯ β πΉ et π₯ β πΊ β πΉ donc π₯ β πΉ et π₯ β πΉ ce qui est impossible par consΓ©quent
πΉ β© πΆπΈπΊ = β .
On a montrΓ© que πΉ β πΊ β πΉ β© πΆπΈπΊ = β
Supposons que πΉ β© πΆπΈπΊ = β .
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12
Soit π₯ β πΉ, supposons que π₯ β πΊ β π₯ β πΆπΈπΊ ce qui signifie que π₯ β πΉ β© πΆπΈπΊ = β , cβest impossible
donc lβhypothΓ¨se π₯ β πΊ est fausse, par consΓ©quent π₯ β πΊ et πΉ β πΊ.
On a montrΓ© que πΉ β© πΆπΈπΊ = β β πΉ β πΊ.
Finalement πΉ β πΊ β πΉ β© πΆπΈπΊ = β .
Allez Γ : Exercice 14 :
Correction exercice 15 :
1.
(π΄ βͺ π΅) β (π΄ β© π΅) = (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ β© π΅) = (π΄ βͺ π΅) β© (π΄ βͺ π΅)
= (π΄ β© π΄) βͺ (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) βͺ (π΅ β© π΅) = β βͺ (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) βͺ β
= (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) = (π΄ β π΅) βͺ (π΅ β π΄)
2.
π΄Ξπ΄ = (π΄ βͺ π΄) β (π΄ β© π΄) = π΄ β π΄ = β
π΄Ξβ = (π΄ βͺ β ) β (π΄ β© β ) = π΄ β β = π΄
π΄ΞπΈ = (π΄ βͺ πΈ) β (π΄ β© πΈ) = πΈ β π΄ = π΄
3.
a)
(π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) = π΄ β© π΅ β© (π΅ β© π΄) = (π΄ βͺ π΅) β© (π΅ βͺ π΄)
= (π΄ β© π΅) βͺ (π΄ β© π΄) βͺ (π΅ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) = (π΄ β© π΅) βͺ β βͺ β βͺ (π΅ β© π΄)
= (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄)
b)
(π΄Ξπ΅)ΞπΆ = ((π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄)) ΞπΆ = (((π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄)) β© πΆ) βͺ (πΆ β© (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄))
= (π΄ β© π΅ β© πΆ) βͺ (π΅ β© π΄ β© πΆ) βͺ (πΆ β© ((π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄)))
= (π΄ β© π΅ β© πΆ) βͺ (π΅ β© π΄ β© πΆ) βͺ (πΆ β© π΄ β© π΅) βͺ (πΆ β© π΅ β© π΄)
c)
(π΄Ξπ΅)ΞC = (πΆ β© π΄Ξπ΅) βͺ ((π΄Ξπ΅) β© πΆ) = ((π΄Ξπ΅) β© πΆ) βͺ (πΆ β© π΄Ξπ΅) = πΆΞ(π΄Ξπ΅)
or π΄Ξπ΅ = (π΄ β© π΅) βͺ (π΅ β© π΄) = (π΅ β© π΄) βͺ (π΄ β© π΅) = π΅Ξπ΄ donc (π΄Ξπ΅)ΞC = πΆΞ(π΄Ξπ΅) = πΆΞ(π΅Ξπ΄)
d)
(πΆπ₯π΅)π₯π΄ = (πΆ β© π΅ β© π΄) βͺ (π΅ β© πΆ β© π΄) βͺ (π΄ β© πΆ β© π΅) βͺ (π΄ β© π΅ β© πΆ) = π΄Ξ(π΅ΞπΆ), en changeant π΄ et
πΆ.
e)
(π΄Ξπ΅)ΞπΆ = πΆΞ(π΅Ξπ΄) dβaprΓ¨s d) or πΆΞ(π΅Ξπ΄) = π΄Ξ(π΅ΞπΆ) dβaprΓ¨s c).
Donc (π΄Ξπ΅)ΞπΆ = π΄Ξ(π΅ΞπΆ).
Allez Γ : Exercice 15 :
Correction exercice 16 :
1. πΌ = [0,1] et π½ = [β1,1].
2. πΌ = [β1,1] et π½ = [0,1].
3. πΌ = [β1,1] et π½ = [β1,1].
4. πΌ = [0,1] et π½ = [0,1].
Allez Γ : Exercice 16 :
Correction exercice 17 :
π: β β β
π₯ β¦ π₯2
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13
π(β1) = π(1) donc π nβest pas injective.
β4 nβa pas dβantΓ©cΓ©dent, car π(π₯) = β4 β π₯2 = β4 nβa pas de solution dans β. π nβest pas surjective.
Une fonction est bijective si et seulement si elle est injective et surjective donc cette fonction nβest pas
bijective.
π: β+ β β+
π₯ β¦ π₯2
π(π₯1) = π(π₯2) β π₯12 = π₯2
2 β βπ₯12 = βπ₯2
2 β |π₯1| = |π₯2| β π₯1 = π₯2
Car π₯1 β₯ 0 et π₯2 β₯ 0. π est injective.
Pour tout π¦ β ββ, (celui de lβensemble dβarrivΓ©e), il existe π₯ = βπ¦ β ββ, (celui de lβensemble de dΓ©part)
tel que : π¦ = π(π₯), en effet π(π₯) = (βπ¦)2
= π¦ donc π est surjective.
π est bijective.
π: [0,1] β [0,2]
π₯ β¦ π₯2
π(π₯1) = π(π₯2) β π₯12 = π₯2
2 β βπ₯12 = βπ₯2
2 β |π₯1| = |π₯2| β π₯1 = π₯2
Car π₯1 β₯ 0 et π₯2 β₯ 0. π est injective.
2 nβa pas dβantΓ©cΓ©dent, car π(π₯) = 2 β π₯2 = 2 nβa pas de solution dans [0,1]. π nβest pas surjective.
π: β β β
π₯ β¦ π₯ + π₯3
π est une fonction dΓ©rivable, πβ²(π₯) = 1 + 3π₯2 > 0 donc π est strictement croissante sur β.
La contraposΓ©e de π(π₯1) = π(π₯2) β π₯1 = π₯2 est π₯1 β π₯2 β π(π₯1) β π(π₯2)
Supposons que π₯1 β π₯2, alors π₯1 < π₯2 (ou π₯2 < π₯1, ce que revient au mΓͺme), on en dΓ©duit que π(π₯1) <
π(π₯2) car π est strictement croissante, par consΓ©quent π(π₯1) β π(π₯2), π est injective.
limπ₯βββ
π(π₯) = ββ et limπ₯β+β
π(π₯) = +β
π est une bijection strictement croissante de β sur β, par consΓ©quent pour tout π¦ β β, il existe un
unique π₯ β β tel que π¦ = π(π₯), π est surjective. Mais lβunicitΓ© du Β« π₯ Β» fait que π est bijective donc il
Γ©tait inutile de montrer lβinjectivitΓ© de π.
β: β β βπ₯ β¦ π₯2 + π₯3
On va Γ©tudier (sommairement) cette fonction et dresser son tableau de variation.
β est une fonction dΓ©rivable sur β. ββ²(π₯) = 2π₯ + 3π₯2 = π₯(2 + 3π₯)
limπ₯βββ
β(π₯) = ββ et limπ₯β+β
β(π₯) = +β
Le Β« π₯3 Β» lβemporte sur le Β« π₯2 Β».
β(0) = 0 et β (β2
3) = (β
2
3)
2
+ (β2
3)
3
=4
9β
8
27=
4
27
π₯ ββ β2
3 0 +β
ββ²(π₯) + 0 β 0 +
β(π₯) 4
27 +β
ββ 0
Les seules bijections de πΈ β β sur πΉ β β sont les fonctions strictement monotones dont lβimage de πΈ
est πΉ.
β nβest pas une bijection.
Comme β(β1) = 0 = β(0), β nβest pas injective.
Pour tout π¦ β β il existe π₯ β β tel que π¦ = β(π₯), et bien il nβy a pas unicitΓ© sinon β serait bijective.
Pour tout π¦ β [0,4
27[ il existe trois valeurs π₯ tel que π¦ = β(π₯), pour π¦ =
4
27, il y en a deux pour les
autres π¦ nβa quβun antΓ©cΓ©dent.
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14
π: β β βπ₯ β¦ π₯ + π₯4
On va Γ©tudier cette fonction, π est dΓ©rivable et πβ²(π₯) = 1 + 4π₯3
πβ²(π₯) = 0 β 1 + 4π₯3 = 0 β π₯3 = β1
4β π₯ = (β
1
22)
13
= β1
223
π (β1
223
) = (β1
223
) (1 + (β1
223
)
3
) = (β1
223
) (1 β1
4) = (β
1
223
) Γ3
4= β
3
283
limπ₯βββ
β(π₯) = +β et limπ₯β+β
β(π₯) = +β
Le Β« π₯4 Β» lβemporte sur le Β« π₯ Β».
π₯ ββ β3
283
+β
πβ²(π₯) β 0 +
π(π₯) +β +β
β3
283
Pour tout π¦ > β3
283
, π¦ admet deux antΓ©cΓ©dents, π est ni surjective ni injective.
Allez Γ : Exercice 17 :
Correction exercice 18 :
1.
Si π₯1 < π₯2 alors π(π₯1) < π(π₯2) donc π(π₯1) β π(π₯2)
Si π₯1 > π₯2 alors π(π₯1) > π(π₯2) donc π(π₯1) β π(π₯2)
Donc π est injective.
2. πΎ = π(πΌ)
Allez Γ : Exercice 18 :
Correction exercice 19 :
1.
π(1,2) = 1 Γ 2 = 2 Γ 1 = π(2,1)
Donc π nβest pas injective.
2. π(1, π) = 1 Γ π = π
Donc pour tout π β β, il existe (π, π) = (1, π) tel que π = π(π, π)
π est surjective.
3.
π(π1) = π(π2) β (π1, (π1 + 1)2) = (π2, (π2 + 1)2) β {π1 = π2
(π1 + 1)2 = (π2 + 1)2 β π1 = π2
Donc π est injective.
4. On va montrer que (1,1) nβadmet pas dβantΓ©cΓ©dent. Supposons que
(1,1) = (π, (π + 1)2)
Alors
{1 = π
1 = (π + 1)2
Ce qui Γ©quivaut Γ
{1 = π1 = 22
Ce qui est impossible donc (1,1) nβadmet pas dβantΓ©cΓ©dent, π nβest pas surjective.
Allez Γ : Exercice 19 :
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15
Correction exercice 20 :
π(π1) = π(π2) β 2π1 = 2π2 β π1 = π2
π est injective.
1 nβa pas dβantΓ©cΓ©dent car il nβexiste pas dβentier naturel π tel que 1 = 2π, π nβest pas surjective.
π(0) = πΈ (0
2) = πΈ(0) = 0 et π(1) = πΈ (
1
2) = 0, donc π(0) = π(1) ce qui entraine que π nβest pas
injective.
Pour tout π¦ = π β β (dans lβensemble dβarrivΓ©) il existe π₯ = 2π β β (dans lβensemble de dΓ©part) tel
que :
π(π₯) = πΈ (π₯
2) = πΈ (
2π
2) = πΈ(π) = π = π¦
π est surjective.
Si π est pair, il existe π β β tel que π = 2π
π β π(π) = π(π(π)) = π(π(2π)) = π (πΈ (2π
2)) = π(πΈ(π)) = π(π) = 2π = π
Si π est impaire, il existe π β β tel que π = 2π + 1
π β π(π) = π(π(π)) = π(π(2π + 1)) = π (πΈ (2π + 1
2)) = π (πΈ (π +
1
2)) = π(π) = 2π = π β 1
π β π(π) = {π si π est pair
π β 1 si π est impair
Que π soit paire ou impaire
π β π(π) = π(π(π)) = π(2π) = πΈ (2π
2) = πΈ(π) = π
π β π = ππ
Remarque :
Comme on le voit sur cet exemple, il ne suffit pas que π β π = ππ pour que π soit la bijection rΓ©ciproque
de π. La dΓ©finition de la bijection rΓ©ciproque dβune fonction π1: πΈ β πΈ est :
Β« Sβil existe une fonction π2: πΈ β πΈ telle que π1 β π2 = π2 β π1 = πππΈ alors π2 = π1β1 Β» on a alors : π1 et
π2 sont deux fonctions bijectives.
Allez Γ : Exercice 20 :
Correction exercice 21 :
π(πΈ) β πΈ donc π(π(πΈ)) β π(πΈ) β πΈ, or π(π(πΈ)) = πΈ donc πΈ β π(πΈ) β πΈ, par consΓ©quent
πΈ = π(πΈ) ce qui signifie que π est surjective.
Allez Γ : Exercice 21 :
Correction exercice 22 :
1. Supposons que π existe, π β π = πΌπβ β βπ β β, π(π(π)) = π β βπ β β, (π(π))2
= π
Si π nβest pas un carrΓ© cela ne marche pas, par exemple si π = 2, (π(2))2
= 2 donc π(2) = Β±β2 β β
Il nβexiste pas de fonction π: β β β telle que :π β π = πΌπβ.
2. Supposons que β existe, β β π = πΌπβ β βπ β β, β(π(π)) = π β βπ β β, β(π2) = π
Les valeurs β(π) prennent les valeurs quβelles veulent sauf lorsque π est un carrΓ© auquel cas
β(π) = βπ, donnons une fonction β qui rΓ©pond Γ la question :
Si π β π2 alors β(π) = 0 et si π = π2 alors β(π) = βπ = π.
Allez Γ : Exercice 22 :
Correction exercice 23 :
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1. Si π existe alors pour tout π β β€, π(π(π)) = π β 2π(π) = π, si π est impair π(π) β β€ donc il
nβexiste pas de fonction π: β€ β β€ telle que π β π = πΌπβ€.
2. Si β existe alors pour tout π β β€, β(π(π)) = π β β(2π) = π
Soit β la fonction dΓ©finie, pour tout π β β€, par β(2π) = π et β(2π + 1) = 0 convient.
Allez Γ : Exercice 23 :
Correction exercice 24 :
On pose πΈ = {π1, π2, β¦ , ππ} et πΉ = {π1, π2, β¦ , ππ}, et bien sur tous les ππ sont distincts ainsi que tous les
ππ.
On rappelle que le fait que π soit une application entraine que {π(π1), π(π2), β¦ , π(ππ)} β {π1, π2, β¦ , ππ}
On suppose que π est injective, on va montrer que π est surjective.
On va montrer la contraposΓ©e, cβest-Γ -dire que lβon va montrer que si π nβest pas surjective alors π nβest
pas injective.
Soit ππ β πΉ et on suppose quβil nβexiste pas de ππ β πΈ tel que ππ = π(ππ) (π nβest pas surjective)
Donc {π(π1), π(π2), β¦ , π(ππ)} β {π1, β¦ , ππβ1, ππ+1, β¦ , ππ}, il y a π Γ©lΓ©ments dans le premier ensemble et
π β 1 dans le second, donc il existe π1 et π2, avec π1 β π2 dans {1,2, β¦ , π} tels que π(ππ1) = π(ππ2
), or
ππ1β ππ2
donc π nβest pas injective.
On suppose que π est surjective et on va montrer que π est injective.
On va montrer la contraposΓ©e, cβest-Γ -dire que lβon va montrer que si π nβest pas injective alors π nβest
pas surjective.
Si π(ππ) = π(ππ) = π’ avec ππ β ππ alors
{π(π1), β¦ , π(ππβ1), π’, π(ππ+1), β¦ , π(ππβ1), π’, π(ππ+1) β¦ , π(ππ)} β {π1, π2, β¦ , ππ}, le premier ensemble a
π β 1 Γ©lΓ©ments et le second π donc il existe un ππ qui nβa pas dβantΓ©cΓ©dent, cela montre que π nβest pas
surjective.
On a montrΓ© que (π) β (ππ), par dΓ©finition (πππ) β (π) et (πππ) β (ππ). Si on a (π) alors on a (ππ) et
(π) ππ‘ (ππ) entraine (πππ) de mΓͺme si on a (ππ) alors on a (π) et (π) ππ‘ (ππ) entraine (πππ). Ce qui achΓ¨ve de
montrer les trois Γ©quivalences.
Allez Γ : Exercice 24 :
Correction exercice 25 :
1. π’ et π£ sont surjectives donc π’(β) = β€ et π£(β€) = β par consΓ©quent
π’ β π£ β π’(β) = π’ (π£(π’(β))) = π’(π£(β€)) = π’(β) = β€
Cela montre que π’ β π£ β π’ est surjective.
π’ β π£ β π’(π₯1) = π’ β π£ β π’(π₯2) β π’ (π£(π’(π₯1))) = π’ (π£(π’(π₯2))) β π£(π’(π₯1)) = π£(π’(π₯2))
Car π’ est injective
π’ β π£ β π’(π₯1) = π’ β π£ β π’(π₯2) β π£(π’(π₯1)) = π£(π’(π₯2)) β π’(π₯1) = π’(π₯2)
Car π£ est injective
π’ β π£ β π’(π₯1) = π’ β π£ β π’(π₯2) β π’(π₯1) = π’(π₯2) β π₯1 = π₯2
Car π’ est injective
Finalement π’ β π£ β π’ est injective et donc bijective (puisquβelle est surjective).
2. 7 nβadmet pas dβantΓ©cΓ©dent donc π nβest pas surjective.
π(π, π, π) = π(πβ², πβ², πβ²) β 2π3π5π = 2πβ²3πβ²
5πβ²
LβunicitΓ© de la dΓ©composition des entiers en produit de facteur premier entraine que π = πβ²,
π = πβ² et π = πβ², autrement dit π est injective.
Donc π est injective et pas surjective.
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3. π(π) = 0 ππ‘ π(2π) = 0
Donc π nβest pas injective.
π(β€) = {0,1, β¦ , π β 1} β β
Donc π nβest pas surjective.
4. Pour tout (π₯, π¦) β β€ on cherche sβil existe un unique couple (π’, π£) β β€ tel que
Premier cas π β 0
(π₯, π¦) = π(π, π) β (π₯, π¦) = (ππ’ + ππ£ + 1, ππ’ + ππ£ β 1) β {π₯ = ππ’ + ππ£ + 1π¦ = ππ’ + ππ£ β 1
βπΏ1
πΏ2{π₯ β 1 = ππ’ + ππ£π¦ + 1 = ππ’ + ππ£
βπΏ1
ππΏ1 β ππΏ2{
π₯ β 1 = ππ’ + ππ£π(π₯ β 1) β π(π¦ + 1) = πππ£ β πππ£
β {π₯ β 1 = ππ’ + ππ£
π(π₯ β 1) β π(π¦ + 1) = (ππ β ππ)π£β {
π₯ β 1 = ππ’ + ππ£π(π₯ β 1) β π(π¦ + 1) = βπ£
β {π₯ β 1 = ππ’ + π(βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1))
π£ = βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)
β {ππ’ = βπ(βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)) + (π₯ β 1)
π£ = βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)
β {ππ’ = ππ(π₯ β 1) β ππ(π¦ + 1) + (π₯ β 1)
π£ = βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)
β {ππ’ = (ππ + 1)(π₯ β 1) β ππ(π¦ + 1)
π£ = βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)β {
ππ’ = ππ(π₯ β 1) β ππ(π¦ + 1)
π£ = βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)
β {π’ = π(π₯ β 1) β π(π¦ + 1)
π£ = βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)
Si π = 0, alors ππ = β1, en particulier π β 0 et 1
π= βπ
(π₯, π¦) = π(0, π) β (π₯, π¦) = (ππ£ + 1, ππ’ + ππ£ β 1) β {π₯ = ππ£ + 1
π¦ = ππ’ + ππ£ β 1
β { π£ =π₯ β 1
ππ¦ = ππ’ + ππ£ β 1
β {π£ = βπ(π₯ β 1)
π¦ = ππ’ β ππ(π₯ β 1) β 1β {
π£ = βπ(π₯ β 1)
π¦ = ππ’ β ππ(π₯ β 1) β 1
β {π£ = βπ(π₯ β 1)
ππ’ = ππ(π₯ β 1) + 1 + π¦β {
π£ = βπ(π₯ β 1)
π’ = π(π₯ β 1) +1 + π¦
π
β {π£ = βπ(π₯ β 1)
π’ = π(π₯ β 1) β π(1 + π¦)
Ce sont les mΓͺmes formules que dans le cas oΓΉ π β 0
Donc pour tout (π₯, π¦) β β€2 il existe un unique couple
(π’, π£) = (π(π₯ β 1) β π(π¦ + 1), βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1)) β β€2
tel que (π₯, π¦) = π(π’, π£), π est bijective et
πβ1(π₯, π¦) = (π(π₯ β 1) β π(π¦ + 1), βπ(π₯ β 1) + π(π¦ + 1))
Allez Γ : Exercice 25 :
Correction exercice 26 :
1.
π1 β₯ 2 β 0 <1
π1β€
1
2 (1)
π2 β₯ 2 β 0 <1
π2β€
1
2β β
1
2β€ β
1
π2< 0 (2)
En additionnant (1) et (2)
β1
2<
1
π1β
1
π2<
1
2
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2.
a. Pour tout (π1, π1) β β€ Γ β β {0,1} et (π2, π2) β β€ Γ β β {0,1}
π(π1, π1) = π(π2, π2) β π1 +1
π1= π2 +
1
π2β
1
π1β
1
π2= π2 β π1
DβaprΓ¨s la premiΓ¨re question cela montre que π2 β π1 β ]β1
2,
1
2[ or π2 β π1 β β€ donc π2 β π1 = 0,
autrement dit π1 = π2, puis en reportant dans
π1 +1
π1= π2 +
1
π2
Cela montre que 1
π1=
1
π2 et que π1 = π2
Finalement
(π1, π1) = (π2, π2)
Ce qui montre que π est injective.
b. Regardons si 1 β β admet un antΓ©cΓ©dent, on suppose quβil existe, on lβappelle (π, π)
π +1
π= 1
Ce qui Γ©quivaut Γ
1
π= 1 β π
Mais 1
πβ β€ et 1 β π β β€, ce qui est impossible. Par consΓ©quent π nβest pas surjective.
Allez Γ : Exercice 26 :
Correction exercice 27 :
Supposons quβil existe π: πΈ β π«(πΈ) surjective et on cherche sβil existe un antΓ©cΓ©dent Γ π΄. On appelle
π₯0 β πΈ, un antΓ©cΓ©dent de π΄, donc par dΓ©finition π(π₯0) = π΄,
si π₯0 β π(π₯0) alors π₯0 β π΄ et donc π₯0 β π(π₯0) ce qui est contradictoire
Si π₯0 β π(π₯0) alors par dΓ©finition de π΄, π₯0 β π΄ = π(π₯0) ce qui est aussi contradictoire.
LβhypothΓ¨se est donc fausse, il nβy a pas dβapplication surjective de πΈ dans π«(πΈ).
Allez Γ : Exercice 27 :
Correction exercice 28 :
1. Première méthode : raisonnons par récurrence
On pose (π»π) il y a π(π β 1) applications injectives de πΌ2 dans πΌπ.
Regardons si (π»2) est vraie.
Il y a 4 applications de πΌ2 dans πΌπ.
π1(1) = 1 et π1(2) = 1
π2(1) = 1 et π2(2) = 2
π3(1) = 2 et π3(2) = 1
π4(1) = 2 et π4(2) = 2
Seules π2 et π3 sont injectives. Il y a 2 = 2(2 β 1) applications injectives de πΌ2 dans πΌ2.
Montrons que (π»π) β (π»π+1)
Il y a π(π β 1) applications injectives de {0,1} dans {0,1, β¦ , π}.
Supposons que π(1) = π + 1 alors π(2) β {1, β¦ , π} (pour que π(1) β π(2)), cela fait π
applications injectives de plus.
Supposons que π(2) = π + 1 alors π(1) β {1, β¦ , π} (pour que π(1) β π(2)), cela fait π
applications injectives de plus.
Au total, il y a π(π β 1) + π + π = π2 β π + π + π = π2 + π = π(π + 1)
LβhypothΓ¨se est vΓ©rifiΓ©e.
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Conclusion pour tout π β₯ 2, il y a π(π β 1) applications injectives de πΌ2 dans πΌπ.
Deuxième méthode :
Si π(1) = π β {0,1, β¦ , π} alors π(2) β {1, β¦ , π β 1, π + 1, β¦ , π}.
Cela fait π choix possibles pour π(1) et π β 1 pour π(2), soit π(π β 1) choix possibles pour
(π(1), π(2)) de faΓ§on Γ ce que π(1) β π(2) (autrement dit pour que π soit injective).
2. π: πΌπ β πΌπ
π injective Γ©quivaut Γ π(1) = π1; π(2) = π2; β¦ ; π(π) = ππ, avec π1, π2, β¦ , ππ β {1,2, β¦ , π}
tous distincts par consΓ©quent π β€ π.
Remarque :
Cela ne veut pas dire que toutes les applications de {1,2, β¦ , π} dans {1,2, β¦ , π} sont injectives !
Supposons que π est surjective.
Pour tout π1, π2, β¦ , ππ β {1,2, β¦ , π} (les ππ tous distincts) il existe π1, π2, β¦ , ππ β {1,2, β¦ , π} tels
que ππ = π(ππ) par dΓ©finition dβune application tous les ππ sont distincts (sinon un Γ©lΓ©ment aurait
plusieurs images), par consΓ©quent π β€ π.
Pour que π soit bijective il faut (et il suffit) que π soit injective et sujective, par consΓ©quent il
faut que π β€ π et que π β€ π, autrement dit il faut que π = π.
Remarque :
Cela ne veut pas dire que toutes les applications de {1,2, β¦ , π} dans {1,2, β¦ , π} sont bijectives.
Allez Γ : Exercice 28 :
Correction exercice 29 :
1. π β π(π₯1) = π β π(π₯2) β π(π(π₯1)) = π(π(π₯2)) β π(π₯1) = π(π₯2)
Car π est injective
π β π(π₯1) = π β π(π₯2) β π(π₯1) = π(π₯2) β π₯1 = π₯2
Car π est injective.
Donc π β π est injective.
2. Première méthode :
Pour tout π§ β πΊ il existe π¦ β πΉ tel que π§ = π(π¦) car π est surjective.
Comme pour tout π¦ β πΉ il existe π₯ β πΈ tel que π¦ = π(π₯) car π est surjective. On en dΓ©duit que
pour tout π§ β πΊ il existe π₯ β πΈ tel que π§ = π(π(π₯)) = π β π(π₯) autrement dit π β π est
surjective.
Remarque :
(a) Dβhabitude on appelle π¦ un Γ©lΓ©ment de lβimage πΊ mais ici ce pose un petit problΓ¨me de notation parce que
lβon va appeler π₯ lβΓ©lΓ©ment de πΉ et on ne saura pas trop comment appeler lβΓ©lΓ©ment de πΈ, cβest pour cela quβil
est plus malin de lβappeler π§.
(b) Si on commence par Γ©crire Β« pour tout π¦ β πΉ il existe π₯ β πΈ tel que π¦ = π(π₯) car π est surjective Β» puis
Β« pour tout π§ β πΊ il existe π¦ β πΉ tel que π§ = π(π¦) car π est surjective Β» donc Β« pour tout π§ β πΊ il existe π₯ β πΈ
tel que π§ = π(π(π₯)) = π β π(π₯) Β» cela ne va pas, je vous laisse rΓ©flΓ©chir pourquoi.
Deuxième méthode :
On rappelle que π: π β π est surjective si et seulement si π(π) = π
Donc π(πΈ) = πΉ et π(πΉ) = πΊ, par consΓ©quent π β π(πΈ) = π(π(πΈ)) = π(πΉ) = πΊ et on en dΓ©duit
que π β π est surjective.
3. Si π et π sont bijectives alors elles sont injectives et π β π est injective et si π et π sont bijectives
alors elles sont surjectives et π β π est surjective, on en dΓ©duit que π β π est bijective.
4. π(π₯1) = π(π₯2) β π(π(π₯1)) = π(π(π₯2)) β π β π(π₯1) = π β π(π₯2) β π₯1 = π₯2
Car π β π est injective, par consΓ©quent π est injective.
5. Première méthode :
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Pour tout π§ β πΊ, il existe π₯ β πΈ tel que π§ = π β π(π₯) = π(π(π₯)), donc il existe π¦ = π(π₯) tel que
π§ = π(π¦) ce qui signifie que π est surjective.
Deuxième méthode :
Comme π β π est surjective, π β π(πΈ) = πΊ β π(π(πΈ)) = πΊ or π(πΈ) β πΉ donc
π(π(πΈ)) β π(πΉ)
Comme π(πΉ) β πΊ, cela donne
πΊ = π(π(πΈ)) β π(πΉ) β πΊ
DβoΓΉ
π(π(πΈ)) = π(πΉ) = πΊ β π(πΉ) = πΊ
Ce qui montre que π est surjective.
6.
a. π β π = πΌππΈ est bijective (lβidentitΓ© est bijective)
π β π est injective, dβaprΓ¨s 4Β°), π est injective.
π β π est surjective, dβaprΓ¨s 5Β°), π est surjective.
Remarque :
π β π = πΌππΈ nβentraine pas que π = πβ1 et que donc π et π sont bijectives.
b. π β π = πΌππΉ est bijective (lβidentitΓ© est bijective)
π β π est injective, dβaprΓ¨s 4Β°), π est injective.
π β π est surjective, dβaprΓ¨s 5Β°), π est surjective.
c. π β π = πΌππΈ est bijective
π β π est injective, dβaprΓ¨s 4Β°), π est injective.
π β π est surjective, dβaprΓ¨s 5Β°), π est surjective.
Par consΓ©quent π est bijective et πβ1 = π.
Allez Γ : Exercice 29 :
Correction exercice 30 :
1. Pour tout π¦ β π il existe π₯ = π (π¦) β π tel que π¦ = πΌππ(π¦) = π(π (π¦)) = π(π₯), π est surjective.
2. π (π¦1) = π (π¦2) β π(π (π¦1)) = π(π (π¦2)) β π¦1 = π¦2
π est injective.
3. π(π₯1) = π(π₯2) β π(π(π₯1)) = π(π(π₯2)) β πΌππ(π₯1) = πΌππ(π₯2) β π₯1 = π₯2
π est injective.
4. Pour tout π₯ β π, pose π¦ = π(π₯).
Comme π(π₯) = π(π₯β²) β π₯ = π₯β² Γ chaque π¦ β π telle que π¦ = π(π₯) on associe bien une unique
valeur π₯, on dΓ©finit alors π: π(π) β π par π(π¦) = π₯. Pour les π¦ β π qui ne sont pas dans lβimage
de π par π, autrement dit qui ne sont pas de la forme π¦ = π(π₯), on leur attribue nβimporte quelle
valeur dans π, mettons π₯0 pour fixΓ© les idΓ©es (dβailleurs, on nβest pas obligΓ© de leur attribuer Γ
tous la mΓͺme valeur).
Pour tout π₯ β π.
π₯ = π(π¦) = π(π(π₯)) β πΌππ = π β π
π est bien une rΓ©traction de π.
Remarque :
Si π¦ β π(π), π(π¦) = π₯0 ne sert Γ rien pour montrer que π est une rΓ©traction.
5. Pour tout π₯ β π, il existe π¦ = π(π₯) tel que :
π₯ = πΌππ(π₯) = π(π(π₯)) = π(π¦)
Cela montre que π est surjective.
Remarque :
Les rΓ΄les habituels de π₯ et π¦ ont Γ©tΓ© inversΓ©s pour respecter les notations de lβΓ©noncΓ©.
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6.
Si π admet une section alors π est surjective dβaprΓ¨s 1Β°).
Si π admet une rΓ©traction alors π est injective dβaprΓ¨s 3Β°).
Par consΓ©quent π est bijective, on note πβ1: π β π sa bijection rΓ©ciproque.
Comme πΌππ = π β π, en composant par πβ1 Γ droite :
πΌππ β πβ1 = (π β π) β πβ1 β πβ1 = π β (π β πβ1) = π
Comme πΌππ = π β π , en composant par πβ1 Γ gauche :
πβ1 β πΌππ = πβ1 β (π β π ) β πβ1 = (πβ1 β π) β π = π
DβoΓΉ π = π = πβ1.
Allez Γ : Exercice 30 :
Correction exercice 31 :
1. Pour tout π¦ β π(π΄ βͺ π΅), il existe π₯ β π΄ βͺ π΅ tel que π¦ = π(π₯).
Comme π₯ β π΄, π¦ = π(π₯) β π(π΄), comme π₯ β π΅, π¦ = π(π₯) β π(π΅) par consΓ©quent
π¦ = π(π₯) β π(π΄) βͺ π(π΅)
Cela montre que π(π΄ βͺ π΅) β π(π΄) βͺ π(π΅)
Pour tout π¦ β π(π΄) βͺ π(π΅), π¦ β π(π΄) ou π¦ β π(π΅)
Si π¦ β π(π΄) alors il existe π₯ β π΄ tel que π¦ = π(π₯), mais π₯ β π΄ β π΄ βͺ π΅ donc π¦ = π(π₯) β
π(π΄ βͺ π΅)
Si π¦ β π(π΅) alors il existe π₯ β π΅ tel que π¦ = π(π₯), mais π₯ β π΅ β π΄ βͺ π΅ donc π¦ = π(π₯) β
π(π΄ βͺ π΅)
Cela montre que s tous les cas π¦ β π(π΄ βͺ π΅) et que donc
π(π΄) βͺ π(π΅) β π(π΄ βͺ π΅)
Finalement π(π΄ βͺ π΅) = π(π΄) βͺ π(π΅)
2. Pour tout π¦ β π(π΄ β© π΅), il existe π₯ β π΄ β© π΅ tel que π¦ = π(π₯).
Comme π₯ β π΄ β© π΅ β π΄, π¦ = π(π₯) β π(π΄), comme π₯ β π΄ β© π΅ β π΅, π¦ = π(π₯) β π(π΅) par
consΓ©quent
π¦ = π(π₯) β π(π΄) β© π(π΅)
Cela montre que π(π΄ β© π΅) β π(π΄) β© π(π΅)
Pour trouver un exemple oΓΉ lβinclusion est stricte, dβaprΓ¨s la suite, il ne faut pas prendre une
fonction injective, par exemple prenons π: β β β dΓ©finie par π(π₯) = π₯2, ensuite il faut prendre
π΄ et π΅ oΓΉ π nβest pas injective, par exemple :
π΄ = [β4,2] et π΅ = [β2,3]
π(π΄) = π([β4,2]) = [0,16] ; π(π΅) = π([β2,3]) = [0,9] β π(π΄) β© π(π΅) = [0,9]
π΄ β© π΅ = [β2,2] β π(π΄ β© π΅) = [0,4]
On a bien π(π΄ β© π΅) β π(π΄) β© π(π΅)
Allez Γ : Exercice 31 :
Correction exercice 32 :
1. πβ1({2}) = {3,4}; πβ1({1,2}) = {2,3,4} ; πβ1({3}) = β
2.
πβ1({1}) = {β1,1}
πβ1([1,2]) = [ββ2, β1] βͺ [1, β2]
Allez Γ : Exercice 32 :
Correction exercice 33 :
1. [0,1] Γ [0,1] = {(π₯, π¦) β β2, 0 β€ π₯ β€ 1 et 0 β€ π¦ β€ 1}
Donc
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π([0,1] Γ [0,1]) = {π₯ β β, 0 β€ π₯ β€ 1} = [0,1]
πβ1([β1,1]) = {(π₯, π¦) β β2, π(π₯, π¦) β [β1,1]} = {(π₯, π¦) β β2, π₯ β [β1,1]} = [β1,1] Γ β
2.
π(β) = {π¦ β [β1,1], π¦ = cos(ππ) , π β β} = {π¦ β [β1,1], π¦ = (β1)n, π β β} = {β1,1}
π(2β) = {π¦ β [β1,1], π¦ = cos(2ππ) , π β β} = {π¦ β [β1,1], π¦ = 1, π β β} = {1}
πβ1({Β±1}) = {π₯ β β, cos(ππ₯) = Β±1}
Or cos(π₯) = 1 β π₯ = 2ππ et cos(π₯) = β1 β π₯ = (2π + 1)π avec π β β€
πβ1({Β±1}) = {π₯ β β, π₯ = 2ππ , π₯ = (2π + 1)π , k β β€} = {ππ, π β β€}
Allez Γ : Exercice 33 :
Correction exercice 34 :
1. Pour tout π₯ β πβ1(π΄β² βͺ π΅β²), π(π₯) β π΄β² βͺ π΅β² donc π(π₯) β π΄β² ou π(π₯) β π΅β², par consΓ©quent
π₯ β πβ1(π΄β²) ou π₯ β πβ1(π΅β²), autrement dit π₯ β πβ1(π΄β²) βͺ πβ1(π΅β²)
On a montrΓ© que πβ1(π΄β² βͺ π΅β²) β πβ1(π΄β²) βͺ πβ1(π΅β²)
Pour tout π₯ β πβ1(π΄β²) βͺ πβ1(π΅β²), π₯ β πβ1(π΄β²) ou π₯ β πβ1(π΅β²), par consΓ©quent π(π₯) β π΄β² ou
π(π₯) β π΅β², autrement dit π(π₯) β π΄β² βͺ π΅β², donc π₯ β πβ1(π΄β² βͺ π΅β²).
On a montrΓ© que πβ1(π΄β²) βͺ πβ1(π΅β²) β πβ1(π΄β² βͺ π΅β²)
Finalement πβ1(π΄β² βͺ π΅β²) = πβ1(π΄β²) βͺ πβ1(π΅β²)
2. Pour tout π₯ β πβ1(π΄β² β© π΅β²), π(π₯) β π΄β² β© π΅β² donc π(π₯) β π΄β² et π(π₯) β π΅β², par consΓ©quent
π₯ β πβ1(π΄β²) et π₯ β πβ1(π΅β²), autrement dit π₯ β πβ1(π΄β²) β© πβ1(π΅β²)
On a montrΓ© que πβ1(π΄β² β© π΅β²) β πβ1(π΄β²) β© πβ1(π΅β²)
Pour tout π₯ β πβ1(π΄β²) β© πβ1(π΅β²), π₯ β πβ1(π΄β²) et π₯ β πβ1(π΅β²), par consΓ©quent π(π₯) β π΄β² et
π(π₯) β π΅β², autrement dit π(π₯) β π΄β² β© π΅β², donc π₯ β πβ1(π΄β² β© π΅β²).
On a montrΓ© que πβ1(π΄β²) β© πβ1(π΅β²) β πβ1(π΄β² β© π΅β²)
Finalement πβ1(π΄β² β© π΅β²) = πβ1(π΄β²) β© πβ1(π΅β²)
Allez Γ : Exercice 34 :
Correction exercice 35 :
1. Pour tout π₯ β π΄, π(π₯) β π(π΄) et donc π₯ β πβ1(π(π΄)), ce qui montre que π΄ β πβ1(π(π΄))
2. Pour tout π¦ β π(πβ1(π΅)), il existe π₯ β πβ1(π΅) tel que π¦ = π(π₯), comme π₯ β πβ1(π΅) π(π₯) β π΅
ce qui entraine que π¦ β π΅, ce qui montre que π(πβ1(π΅)) β π΅.
3. Comme Β« pour toute partie π΄ de πΈ, on a π΄ β πβ1(π(π΄)) Β» la question revient Γ montrer que :
Β« π est injective si et seulement si pour toute partie π΄ de πΈ on a π΄ β πβ1(π(π΄)) Β»
Si π est injective.
Pour tout π₯ β πβ1(π(π΄)), π(π₯) β π(π΄) ce qui signifie quβil existe π₯β² β π΄ (attention, Γ priori ce
nβest pas le mΓͺme π₯ que celui du dΓ©but de la phrase) tel que π(π₯) = π(π₯β²) comme π est injective
π₯ = π₯β², par consΓ©quent π₯ β π΄.
On a montrΓ© que πβ1(π(π΄)) β π΄.
Si pour toute partie π΄ β πΈ, πβ1(π(π΄)) β π΄
π(π₯1) = π(π₯2) = π¦
On prend π΄ = {π₯1}
π(π΄) = π({π₯1}) = {π(π₯1)} = {π¦} β πβ1(π(π΄)) = πβ1({π¦}) = πβ1(π¦)
DβaprΓ¨s lβhypothΓ¨se πβ1(π(π΄)) β π΄ donc {πβ1(π¦)} β {π₯1}
Or π₯2 β πβ1(π¦) car π(π₯2) = π¦ donc π₯2 β {π₯1} par consΓ©quent π₯1 = π₯2 ce qui signifie que π est
injective.
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23
Finalement on a montrΓ© lβΓ©quivalence demandΓ©e.
4. Comme Β« pour toute partie π΅ de πΉ, on a π(πβ1(π΅)) β π΅ Β» la question revient Γ montrer que :
Β« π est surjective si et seulement si pour toute partie π΅ de πΉ on a π(πβ1(π΅)) β π΅ Β»
Si π est surjective.
Pour tout π¦ β π΅, il existe π₯ β πΈ tel que π¦ = π(π₯) car π est surjective.
π₯ β πβ1(π΅) entraine que π¦ = π(π₯) β π(πβ1(π΅)), cela montre que π΅ β π(πβ1(π΅)).
Si pour tout π΅ β π(πβ1(π΅))
On pose π΅ = {π¦}, alors {π¦} β π(πβ1({π¦})) ce qui sβΓ©crit aussi π¦ β π(πβ1({π¦})), il existe donc
π₯ β πβ1({π¦}) tel que π¦ = π(π₯), cela montre bien que π est surjective.
Finalement on a montrΓ© lβΓ©quivalence demandΓ©e.
Allez Γ : Exercice 35 :
Correction exercice 36 :
1. Le point (0,1) vΓ©rifie π₯ β€ π¦ donc {(π₯, π¦) β β2, π₯ β€ π¦} est le demi-plan supΓ©rieur droit. De mΓͺme (0,1)
vΓ©rifie βπ¦ β€ π₯ donc {(π₯, π¦) β β2, βπ¦ β€ π₯} est le demi-plan supΓ©rieur droit, π· est lβintersection de ces
deux demi-plan, π· est le quart de plan supΓ©rieur du schΓ©ma ci-dessous.
2. a.
πΏ1
πΏ2{π₯1 + π¦1 = π₯2 + π¦2
π₯1 β π¦1 = π₯2 β π¦2
En additionnant πΏ1 et πΏ2 on trouve que 2π₯1 = 2π₯2, donc π₯1 = π₯2, puis en remplaΓ§ant dans πΏ1, on trouve
que π¦1 = π¦2.
b.
π(π₯1, π¦1) = π(π₯2, π¦2) β (π₯12 + π¦1
2, 2π₯1π¦1) = (π₯22 + π¦2
2, 2π₯2π¦2) βπΏ1
πΏ2{π₯1
2 + π¦12 = π₯2
2 + π¦22
2π₯1π¦1 = 2π₯2π¦2
πΏ1 β πΏ2 donne π₯12 + π¦1
2 β 2π₯1π¦1 = π₯22 + π¦2
2 β 2π₯2π¦2, ce qui entraine que (π₯1 β π¦1)2 = (π₯2 β π¦2)2,
comme π₯ β π¦ β€ 0 sur π·, cela donne β(π₯1 β π¦1) = β(π₯2 β π¦2) ou encore π₯1 β π¦1 = π₯2 β π¦2.
πΏ1 + πΏ2 donne π₯12 + π¦1
2 + 2π₯1π¦1 = π₯22 + π¦2
2 + 2π₯2π¦2, ce qui entraine que (π₯1 + π¦1)2 = (π₯2 + π¦2)2,
comme π₯ + π¦ β₯ 0 sur π·, cela donne π₯1 + π¦1 = π₯2 + π¦2.
DβaprΓ¨s 2.a. cela donne que π₯1 = π₯2 et que π¦1 = π¦2, ce qui montre que π est injective.
3. (β1, 1) β β Γ β nβa pas dβantΓ©cΓ©dent dans π· car π₯2 + π¦2 > 0.
Allez Γ : Exercice 36 :
π¦ = π₯ π¦ = βπ₯ π·
Γ (0,1)
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